Jeunes musiciens du monde -

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ARTICLE - 17 novembre 2005
L'organisme Jeunes musiciens du monde, pour une quatrième
année consécutive, vous invite à venir célébrer l'amour des
jeunes et de la musique lors d'une soirée-bénéfice qui se
tiendra le 25 novembre à Montréal. Envie de faire le plein
d'humanisme?
Cette année encore, les spectateurs présents en auront plein
la vue avec les Ariane Moffatt, Daniel Bélanger, Yves
Lambert, DJ Champion, Florent Vollant, Yann Perreau,
Marc Déry, Éloi Painchaud, Polémil Bazar, Colectivo,
Vent du Nord, Chauffeurs à pied, Martin Racine et les
[+] agrandir
artistes indiens Jagjit Singh et Gurpreet Chana. Des
Jeunes musiciens du monde œuvre à la
participants du Cirque du monde (programme social du Cirque
fondation d'écoles de musiques
du Soleil) offriront aussi une prestation. Les soirées seront
traditionnelles gratuites pour les jeunes
animées par Monique Giroux de Radio-Canada et la
des quartiers populaires du Québec et
journaliste Karina Marceau.
d'ailleurs. Sur la photo: des élèves de
son école en Inde.
De 20 h 30 à 3 h, tout comme l'an dernier, les artistes se
relaieront sur scène et s'uniront afin de célébrer le pouvoir rassembleur de la musique par-delà
les différences ethniques ou culturelles.
UN PROJET ANCRÉ DANS LE MILIEU ARTISTIQUE
Depuis près de quatre ans, Jeunes musiciens du monde (JMM), un organisme de bienfaisance
qui œuvre à la fondation d'écoles de musiques traditionnelles gratuites pour les jeunes des
quartiers populaires du Québec et d'ailleurs, mise sur la magie de la musique pour aider les
jeunes à grandir. Après avoir fondé une première école en Inde en 2002, pays où ils résident
pendant la plus grande partie de l'année, les frères Mathieu et Blaise Fortier récidivaient
chez eux à Québec, en 2003, en lançant l'École des musiques traditionnelles de Saint-Sauveur.
Galvanisés par les succès obtenus et l'enthousiasme suscité, les frères Fortier décidèrent de
poursuivre l'aventure avec l'École de musique traditionnelle La Bolduc, qui vient à peine
d'ouvrir ses portes dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal.
Tout s'est déroulé très rapidement depuis trois ans, expliquent Mathieu et Blaise, qui avouent
parfois être à bout de souffle, bien que très heureux de la tournure des événements. "Au
départ, les gens avaient beaucoup de sympathie pour nous; on sent maintenant qu'on a acquis
de la crédibilité à leurs yeux. Il faut dire qu'en trois ans on a ouvert trois écoles, une par
année! Je pense que ce qui nous a permis d'avoir le vent dans les voiles, c'est l'originalité du
projet. Un projet dynamique et bien défini, pas juste un truc pour les enfants pauvres. Je crois
que c'est ce qui a stimulé les mélomanes qui croient en le pouvoir de la musique et le potentiel
des jeunes", confie Mathieu.
"Depuis qu'on a parti le projet, il y a un enthousiasme incroyable, continue Blaise. Ce qui fait la
force de JMM, c'est qu'il est ancré dans le milieu artistique et soutenu par lui. Je crois aussi
qu'on a fait le bon choix en misant sur les spectacles-bénéfice pour se financer. On ne s'est pas
tournés vers l'État comme unique soutien. En fait, si on avait suivi la procédure classique et
rempli des demandes de subventions, très peu de gens auraient peut-être entendu parler de
JMM..."
Les frères Fortier confient avec fierté s'être "levés de bonne heure" et avoir pris les choses en
main pour assurer le succès de leur entreprise et réaliser leur rêve, eux qui portent à bout de
bras JMM depuis sa naissance. "On a pris le téléphone, on a réussi à développer un réseau de
contacts. Les artistes sont prêts à nous appuyer, c'est ce qui nous a donné une grosse
visibilité", enchaîne Mathieu.
FINANCEMENT
Le plus grand défi demeure toujours de trouver, année après année, les sous afin que les
activités éducatives et artistiques puissent se poursuivre. Et qu'on ne s'y trompe pas, lancent
en cœur Mathieu et Blaise: la notoriété qu'a acquise JMM ne lui assure en rien un financement
stable et récurrent. Chaque automne, tout est à refaire. "Il ne faut pas croire que tout baigne
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et qu'on est en meilleure santé financière qu'on ne l'est en réalité. Ce n'est pas parce qu'on a
de la visibilité qu'on ne manque pas de sous... Mathieu et Agathe [conjointe de Mathieu et
cofondatrice] n'ont toujours pas de salaire. Moi, je viens tout juste d'en avoir un qui équivaut,
pour une semaine, à ce que je gagnais en pourboires en un soir quand je travaillais au
restaurant Le Saint-Amour, à Québec", ajoute Blaise.
Un programme de parrainage d'enfants est envisagé à l'heure actuelle pour combler les besoins
grandissants. JMM est aussi à la recherche de partenaires corporatifs désireux de le soutenir
financièrement. C'est que les soirées-bénéfice ont peine à combler tous les besoins, explique
Mathieu. "Nous accueillons aujourd'hui 75 jeunes en Inde. Nous en avions 40 au départ.
Certains parents offrent des pots-de-vin à la directrice de l'école pour obtenir une place pour
leur enfant!"
L'an dernier, quelque 40 bénévoles se sont rendus en Inde pour des périodes de trois mois afin
de participer aux activités de l'école. "Tous sont repartis en pleurant, dit Mathieu. Nos jeunes
progressent. Ils sont appelés régulièrement à donner des spectacles. Ils se sont même produits
devant le premier ministre de l'État du Karnataka!"
CONSOLIDER LES ACQUIS
Interrogés quant à leurs projets futurs, Blaise et Mathieu restent prudents. Bien que le nom de
JMM circule pratiquement aux quatre coins du monde, pas question de placer la charrue devant
les bœufs et de se lancer dans un développement improvisé. "On travaille en ce moment à
consolider les acquis, dit Blaise. On a fait un gros travail cet hiver pour restructurer
l'organisme, car il grandit très vite. Si on avait accepté toutes les offres, on aurait pu partir 10
écoles! Des gens du Pérou, du Brésil, du Burkina Faso, de la Mongolie, de l'Indonésie, du
Mexique ou du Venezuela nous ont contactés."
"Nous avons le Mali dans la mire, avoue Mathieu. On a déjà un terrain là-bas et des gens sont
désireux de prendre en charge l'école éventuellement. Mais on n'est pas pressé, on prendra le
temps qu'il faut."
CITOYENS DE DEMAIN
Si l'enseignement musical est à la base de JMM, l'organisme s'attarde aussi à transmettre des
valeurs citoyennes qui lui sont chères. Chaque année, JMM organise un camp d'été, qui s'est
tenu cette année à la ferme biologique Marichel, à Sainte-Agathe-de-Lotbinière. Durant 10
jours, les jeunes ont pu s'initier aux travaux de la ferme, nourrir les animaux, en plus d'être
informés sur la nourriture biologique.
L'an prochain, JMM entend tenir son camp d'été à Mashteuiatsh (Pointe-Bleue), un territoire
amérindien situé au Lac-Saint-Jean. Une idée lumineuse alors que trop peu de jeunes sont au
fait de la culture et des réalités autochtones. "Cela permettrait de créer un lien entre nos
jeunes et les jeunes autochtones. De nombreux autochtones ont perdu contact avec leurs
racines. Le but de JMM est toujours de permettre de reprendre contact avec la culture
traditionnelle. Dans nos écoles, on se rend compte des effets positifs que cela a sur l'identité du
jeune. Quand on sait d'où l'on vient, on est fier de ce que l'on est. On observe alors des
changements sur le plan de la personnalité. Des jeunes retrouvent le goût d'exister. La
musique, c'est magique", conclut Mathieu.
Soirée-bénéfice
Le 25 novembre
Au Métropolis
La soirée débute à 18 h par un cocktail dînatoire incluant canapés et vins de qualité pour 150 $
(reçu de charité de 75 $).
Pour le spectacle seulement: billets en prévente au coût de 20 $ (étudiants) et 25 $ (général). À
la porte: 25 $ (étudiants) et 30 $ (général).
Pour acheter des billets:
www.ticketpro.ca
Pour plus d'information:
1 866 525-JMDM (5636)
www.jeunesmusiciensdumonde.org
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20 août 2006, 13:46
Par: Jean-Claude Decalonne
répondez à cette critique!
Bravo à vous pour cette initiative. La Musique sauve, vous le
prouvez une fois de plus...
Personnellement à l'initiative du développement des classes d'orchestres à l'école en France
(qui, contrairement à ce que vous imaginez peut être, est très en retard en manière de
pratique musicale ; seuls 2 % des jeunes français ont accès à la Musique). Je me fais un vrai
bonheur d'installer, de préférence dans les quartiers défavorisés, de réelles structures
orchestrales destinées à des jeunes, des enfants, qui n'auraient jamais eu accès à cela sans nos
interventions. Tout à commpencé il y a six ans. Alors vous dire combien je suis sensible à votre
action est peu dire... Si vous le souhaitez, nous pouvons garder le contact. Très sincèrement,
02 déc. 2005, 17:36
Par: Jean-François Garneau
répondez à cette critique!
Être là c'est bien, écouter c'est mieux
Ma compagne et moi étions présents au Métropolis pour le spectacle-bénéfice de JMM.
L'ambiance était chaleureuse et bon enfant. L'enthousiasme pour une belle cause semblait
partagé par les artistes et les specateurs. Partagé?.. Hum, peut-être pas. Une rumeur presque
constante montait de l'immense salle. Les gens parlaient entre eux. Pas tout bas. Assez fort
pour déranger leurs voisins et même les artistes sur scène. J'aurais souhaité que Monique
Giroux leur explique que la musique naît du silence, mais comment lui reprocher de ne pas
jouer au préfet de discipline? Près de nous, une dame racontait à sa voisine des détails de son
quotidien... Pourquoi ne pas quitter la salle si les confidences ne peuvent attendre? En plus,
pendant la prestation de Monica Freire, on a commencé à diffuser simultanément des images
du documentaire sur JMM tourné en Inde, ce qui contribuait à la distraction généralisée. Nous
avons quitté les lieux peu après, contents d'avoir participé à l'événement mais déçus par le
manque de respect de nombreux spectateurs. Est-ce que d'autres ont connu ce genre
d'expérience? Manifestez-vous, s'il vous plaît!
22 nov. 2005, 09:26
Par: Marianne Szabo
répondez à cette critique!
L'humanité
Quel beau projet, quelle belle initiative. Cela est réconfortant que les musiciens(nes) utilisent
leur talent et leur Art pour soutenir le monde. Il y a de quoi être fière de nos artistes
québecois(es) qui s'investissent corps et âmes dans l'aide humanitaire. C'est un bel exemple
pour les jeunes adolescents qui se demandent même pas ce qui se passe sur le reste de la
planète, l'ignorance pululle chez nos jeunes. Par cet événement les artistes vont sûrement
rallier de nouvelles ÂMES aux gestes humanitaites par le biais de spectacles de musique entreautre. Oui il y a de l'espoir!
21 nov. 2005, 15:30
Par: Ann Boisvert
répondez à cette critique!
JMM
Je suis allée au show de Québec il y a 1 semaine et ça valait le déplacement. Je serai au show
vendredi, j'espère que vous y serez vous aussi. JMM est un organisme formidable, voué à
l'enseignement musical et ce que j'aime est que c'est axé aussi sur la préservation de la
musique traditionnelle. Ariane Moffatt a elle-même contacté JMM pour leur donner un coup de
main. Ce n'est pas l'organisme qui est venu la chercher. Et quelle chance ils ont, les
organisateurs, de l'avoir comme porte-parole! Elle a invité tous ses amis d'Audiogram à jouer et
chanter au spectacle ainsi que sur "Noël sans pluie". Je parie qu'ils ne se sont pas fait tordre le
bras pour accepter de venir en aide à un tel organisme qui favorise l'enseignement musical
dans plusieurs pays. Le spectacle est un genre de mini-Woodstock avec la crème des musiciens
du Québec. Je suis certaine que plusieurs noms vont se rajouter à cette liste prestigieuse. À
vendredi!
06/juil./2011 15:33
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20 nov. 2005, 14:51
Par: Vicky B. Danault
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espoir de musique
Fantastique! Voila un projet absolument merveilleux qui permet aux jeunes d'un peu partout
de pouvoir être musicien. Je trouve sa vraiment brillant que l'on puissent permet a des jeunes
de faire sa. Cela fera que développer leur cretivité et leur mettra un peu plus d'espoir dans leur
coeur. Surtout à ceux qu'il ont de la difficulté à surporter leur situation. De plus le 2$ que l'on
envoye ou le 20$ pour aller voir le spectacle c'est quoi pour nous comparé a eux?? Pas grand
chose alors un peu de générosité de peu qu'être bénéfique autant pour nous que pour eux!
20 nov. 2005, 12:02
Par: Yves Bolduc
répondez à cette critique!
Bravo!1
J'applaudis cette initiative des frères Fortier. Voilà une action significative qui a des résonances
universelles et pas seulement mondialistes. Reconnaître les différences culturelles et les
apprécier c'est un geste de paix et d'amour. C'est aller vers les autres en valorisant leurs
histoires et leurs cultures à la fois si semblables et différentes. Prendre contact avec ces
musiques c'est découvrir tous ces sens qu'on peut donner à une vie qui aujourd'hui n'en a plus
beaucoup. Revenir aux racines de l'âme, à ce qu'il y a de plus profond dans l'homme, c'est
s'aventurer sur un territoire riche et fertile. Toutes les cultures, toutes les musiques du monde
transportent dans leurs sons si différents, les bases même de leurs préoccupations, de leurs
espoirs comme de leurs peines. C'est l'histoire de la vie sensible que racontent ces musiques,
avec autant de sources philosophiques que de petits plaisirs partagés en groupe, en société.
Tout ce qui unit les gens, de toutes origines, de toutes cultures, de toutes langues, au lieu de
les séparer, les comparer, les éloigner, doit être cultivé avec amour et passion. C'est un jardin
qui alimente la paix et la compréhension entre les hommes du monde. Alors je remercie ces
citoyens responsables et salue leur contribution à l'éveil de ces jeunes. Leur action doit être
soutenue et encoragée, pas juste aves des mots et pas juste par les artistes. Parce qu'au bout
du compte, c'est tout le monde qui y gagne. Je dis que le gouvernement fédéral devrait prendre
1% de son budget militaire pour le consacrer aux actions de paix comme celle des JMM. Et
aussi 1% du budget de la diplomatie canadienne devrait être consacré à ces initiatives qui nous
représentent bien mieux que bien des ambassadeurs véreux qu'on envoie se cacher au
Danemark. Moi, avec mes taxes, je paie pour ça. Alors, puis-je donner mon opinion sur
comment on devrait dépenser mon argent? Me semble que 1% de ces "hénaurmes" budgets
représenterait un bon début...
18 nov. 2005, 23:46
Par: Nancy Dessureault
répondez à cette critique!
Se découvrir et se développer à travers la musique
traditionnelle
C'est vraiment génial que les frères Fortier aient bâti un tel projet. La musique, c'est la richesse
d'un peuple, la libération de l'esprit, la transparence des moeurs. Ici, au Québec, on a la
chance, le privilège, d'offrir de la musique dans la plupart des écoles primaires et secondaires.
Malheureusement, trop peu de périodes y sont allouées par semaine. Les administrateurs et les
hommes de loi ne comprennent pas à quel point la musique est importante pour l'identité des
jeunes et la société en général. Ils ne pensent qu'à l'argent, à l'apparence, au rendement, et
prennent la musique pour un simple loisir, facile, sans efforts. Réveillez-vous! La musique, c'est
une vraie discipline! C'est complet, sous toutes ses formes! Ça développe une multitude de
facultés et de capacités qui serviront aux jeunes dans d'autres matières. Mais ça, ça se fait
subtilement, de manière inaperçue. Ce n'est que plus tard qu'on voit les résultats fabuleux des
effets de la musique. Plus grande intelligence, capacité supérieure de concentration, de
mémorisation, expression des sentiments... La musique traditionnelle, en plus, permet de
comprendre nos sources, nos racines, nos valeurs culturelles. Permettre à des jeunes issus de
milieux défavorisés de vivre une expérience enrichissante de musique est vraiment géniale. Je
souhaite de tout coeur que les frères Fortier continuent leur élan et ouvrent d'autres écoles
aux quatre coins du monde. C'est un bel exemple de courage et de détermination qui va
permettre à plusieurs jeunes de se découvrir et de se développer à travers la musique
traditionnelle. Bravo!
18 nov. 2005, 13:12
Par: Isabelle Trudo
répondez à cette critique!
Le temps de donner
Hey oui déjà le temps des fêtes, le temps des âmes charitables et généreuses. Par le fait meme
quel belle occasion pour rassembler sur scènes les grands de la musique Québécoise. Il est clair
que selon eux les cours de musique doivent avoir une certaine importance a leurs yeux. Faire
06/juil./2011 15:33
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une genre de « party » pour amasser des fonds doit être une cause qui leurs tient a cours et je
tiens ales féliciter et les remercier. Je trouve le projet fantastique car la musique prend une
place vraiment importante dans ma vie et je crois que le geste pourrait aider beaucoup de
jeunes. Il est important de s'accrocher à quelque chose lorsqu'on est jeune et je pense que la
musique est une forme très spirituelle de passer a travers des moments heureux et difficiles..
17 nov. 2005, 22:06
Par: Marie-Eve Larivière
répondez à cette critique!
Musique du monde, langue universelle
Beaucoup croient toujours que l'anglais est la langue internationale. Je dirais plutôt que c'est la
musique. Comment rejoindre toute une planète afin que tous disent la même chose en même
temps ? Demandez aux gens de la terre de dire bonjour tous en choeur et vous aurez un mix
techno impressionnant. Mais si vous leur demandez de faire un "sol", alors la planète sera au
diapason pour produire le son le plus égal et le plus pur jamais connu. Par la musique passent
aussi les émotions les plus intenses. On se rejoind dans ces grands frissons que nous donnent
la musique, quelque soit nos goût. Voilà pourquoi je trouve cet événement extrêmement
sympathique. S'ouvrir musicalement à une culture, c'est aussi en apprendre beaucoup sur les
moeurs et coutumes de ces gens. Et quel projet intéressant pour les enfants, pour qui les
barrières et préjugés raciaux ne seront plus que des mots et non une réalité, grâce entre autre
à des projets de cette envergure. Je lève mon chapeau aux organisateurs et aux instigateurs de
"Jeunes musiciens du monde" !
17 nov. 2005, 16:38
Par: Valérie Augier
répondez à cette critique!
Envie de faire le plein de musique?!
C'est tout de même très bien ce type de soirée qui doit certainement motiver les jeunes (et
moins jeunes!) spectateurs québécois à s'en mettre plein la vue. Les organisateurs qui
encouragent les jeunes à se surpasser ont toute mon admiration car ce genre d'initiative est
tout de même important et nécessaire pour nos futurs grands musiciens, surtout pour avoir
envie de commencer quelque part... Il faut dire que des noms tels que: Ariane Moffatt et Daniel
Bélanger, sont de bonnes raisons de se déplacer pour une soirée qui ne coûte qu'un billet de
20...!
17 nov. 2005, 12:45
Par: Yannic Stevenson
répondez à cette critique!
Bravo!
Je lève mon chapeau à cette initiative extra-ordinaire. Je crois qu'un projet comme ceci mérite
d'être supporté. Personnellement je n'ai pas les ressources financières pour assister au
spectacle. Par contre, j'ai trouvé un petit 2$ au fond de mes poches et je me suis procuré
l'album Noël sans Pluie écrite par Pierre Lapointe et chantée par plusieurs artistes : Pierre
Lapointe, Ariane Moffatt, Daniel Bélanger, Lhasa, Michel Rivard, Mara Tremblay etc. Les profits
de cet album sont justement remis à Jeunes Musiciens du Monde. En plus de la chanson, vous
avez également le vidéo. À mon avis, c'est un 2$ bien placé parce que la toune est bonne et la
cause l'est tout autant.
17 nov. 2005, 12:40
Par: Isabelle Lefebvre
répondez à cette critique!
La musique au coeur de notre vie
Les jeunes ont besoin d'éveiller leurs sens. Au Québec, ils sont devant la télé ou les ordinateurs
et dans d'autres pays, ils sont devant les guerres ou le silence. Il est prouver que la musique
nous inspire et nous stimule. Dès le plus jeune age, on nous conseille de faire écouter de la
musique aux bébé, alors, pourquoi ne pas leurs enseigner à en jouer? Bien des jeunes n'ont
pas la possibilité de jouer d'un instrument, alors qu'avec un projet comme les écoles des jeunes
du monde, on leur donne cette oportunité. C'est un projet très sain et plein d'amour. Quand on
pense que les fondateurs n'ont pas encore de salaire décent, on peut tout de suite voir que
l'amour fait partie d'eux. Des donneur véritable qui s'attende à rendre heureux les jeunes du
futur. Bravo pour le travail accompli mais il faut penser, nous, le public, que si nous voulons
qu'un tel projet continue de fleurir, ils ont besoin de nous. Donc, à nous de contribuer
généreusement en assistant à ce concert bénéfice. En attendant, un gros bravo pour l'éveil à
un art qui permet de s'extériorisé et de voir la vie plus en couleur et en rythme!
17 nov. 2005, 12:15
répondez à cette critique!
06/juil./2011 15:33
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http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?article=39108&section=11
Par: Shirley Noël
Quel projet merveilleux! remède à la délinquance juvénile ?
C'est magnifique ce projet de faire connaitre et intéresser les jeunes à la musique. Surtout ces
plus démunis qui n'ont souvent pas d'espoir d'aller à l'école longtemps, qui ont l'impression de
ne pas pouvoir entrer dans le moule. Remarquez une chose, les enfants et adolescents qui ont
une passion, un intérêt marqué pour quelque chose de concret et créateur, seront moins
délinquants que ceux qui n'ont rien à se raccrocher. Donc des projets comme celui-ci qui
permet de donner une chance à tout le monde de l'essayer, de créer, de se réaliser, c'est
fantastique. Que ce soit en musique, en sports, en arts sous toutes ses formes, il en faut de
plus en plus de projets comme celui-ci. Et que les artistes musiciens se mobilisent ainsi, c'est
encore plus grandiose et je lève mon chapeau à ces deux frères qui prennent le temps de
réaliser et maintenir ce projet.
17 nov. 2005, 11:23
Par: Richard Marenger
répondez à cette critique!
belle initiative
Les enfants ont besoin d'un toit sur la tête , de nourriture et de soins médicaux , cela nous en
sommes tous conscient . Mais ils ont besoin aussi d'un peu plus . La culture c'est important .
Les jeunes ont des talents qui ne demandent qu'à être développés , car sinon ces talents loin
d'être perdus serviront plutôt à faire de 'mauvaises choses' . On retrouve rarement des
délinquants musicien , car ceux-ci peuvent canaliser leurs pulsions vers la musique que vers le
vandalisme . C'est aussi tout un défi pour ces jeunes de faire de la musique dite traditionnelle
quand la mode veut du moderne . Je comprend que les fondateurs de cette belle initiative
oeuvrent en Inde parmis une population qui est très pauvre et c'est louable , mais il faut
penser aussi à notre jeunesse qui elle aussi veut pouvoir s'exprimer par la musique . De plus
notre jeunesse qui vient souvent de quartiers moins favorisés peut profiter d'un camp d'été où
en plus du plein air elle peut mettre en pratique ce qu'elle apprend et surtout vivre de belles
expériences .
17 nov. 2005, 08:16
Par: Rose-Marie Groult
répondez à cette critique!
L'éducation à travers la Culture,
Ah si d'autres frères et soeurs, d'autres passsionnés, pouvaient suivre leur idée et ouvrir ici et
là-bas d'autres écoles basées sur l'étude de la musique, mais aussi du sport, de l'écriture ou de
l'art plastique. Tous ces grands oubliès de l'école qui pourtant sont souvent les matière
préférées des élèves. L'argent a toujours été plus difficile à trouver pour les cours de musique
ou de sport, ou de desssin, que pour les maths et le français. Et cela se poursuit lorsque JMM
chercher à financer leur oeuvre. Ils doivent se battre et chercher d'inombrables moyens pour
financer leur association. Nous essaierons de les encourager en allant vooir leur show, mais il
faudrait que des subventions s'ouvrent aussi sur le long terme. Bravo à ces deux frères,
talentueux, tenaces et téméraires.
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