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AOUT/SEPT 11 Bimestriel Surface approx. (cm2) : 1839 N" de page :108-112 15, LA CERISAIE. LES IMBERTS 84220 GORDES Page 1Æ s*ÇrÉTtâ tEs PAPIS ET MAMIES D'JIUIOURD'HUI RÉUWTUTENT LEUR RÔLE ffimAIsffi§*FAffiENY§MAIS PAS TROP Prn CLÂtnE AusP orcque safilleluia annoncé qu'elle attendaitrm enfant, Ànnick Légn:illette a été envahie d'émotiorrs diverses : « La joie, 6ien sfir, raconte-t-e11e. Le choc de vair ma fille âevenk maman à son tour Mais aussi une certaine appréhension : dtais-je devoir me rendre uJtradispoilÉle ? » Elle avait programmé depuis longtemps un trek au NéPal, Or, voici .E o () N que la naissance du bébé E s'annonçait Pile au moment de son déPart, É « Phx la date approchatt, plus )e ressentals ure prP,s§on hhde et plus;'etars angotssee » Par !d chance, le bebe naft dxpurs avant la date prevrc « J'at pu êtte ptésente au mament de I accouchement Heweusement I Ma hle m a avoue ete ta' eile auratt 0) zï:ï,i:,tr"î"r i::tr::: EGPE a4f1 1 9A200524 lG ADI AVH D o o tjt 6 o h 'i É lz A a ô É o o À toutes citations : association de promotion des relations intergénérâtions, Eléments de recherciê : EGPE ou Ecole des Grilds-pilents Europèss AOUT/SEPT 11 Bimestriel Surface approx. (cm2) : 1839 N'de page :108-112 15, [A CERISAIE . LES IMBERTS 84220 GORDËS Page2lS « Ig nê âujà pàÉ p!êt à renoneer ftes âdtivités poux n\'6ccupe! â dè hes petits-erJân16. êônkê, j'aimê leut faire petagÉï certêines pâ§§iên§, » Pü G É(È- #=À€' --fê =r.t§$ : \-. * ,(., r-*':: t #: EGPE a40 1 1 9 A200524I G AO I AV toutes citations Europêens : associatioD de promotion des relations intergénérations, Eléments de ræherche : EGPE ou Eæle des Grands-parents H I2 AOUT/SEPT 11 Bimestriel Surface approx. (cm2) : 1839 N'de Page : t08-112 15, LA CERISAIE - LES IMBERTS 84220 GORDES C Page 3Æ Lɧ Ires seruors ne se recorueissent Plus Souvent encore en activité ou avec des loisirs prenants, ils n'entendent pas renoncer à dl "Entez mar surtoutne drtes nen'' », témoigne une grand-mère « An veutben de notts, à condtÛon qu'on la boucle », résume sarc fard Mar:eClane C}:aur, psychanaiyste et afirnattce dela commrcsonEcoute echanges àl'Ecole des grands-parents européeru rlEffih IJne postr:re drfrcrle à garder, tant ce§ §eruors ont corsaence du pords qu'lls représenterrt et du rôle de prvot q* rJs louent dan§ Ia société prouver que mon dans le rôIe traditionnêl de baby-sitter' leur vie sociale' Certains ont recours à des écoles pour apprendrc à satisfaire les attentes de Ieurs enfants sans se renier. genùe m'a l'on peut concùer bren-être, utahté et sagesse Cette ambnralence des sentmenTs lorsque paraît le peht-enfant n'est pas toqoi:rs audrbie Chao:n vous le drra ête grand-parent, ce n'est quedu- bon-heur I En « of », les heurerx grrands-parents ayouent néanmoms enusager avec appéhenuon l'âé qr:r s'annonce, la ma:son remplie à craquer' I'rrtendance à asswer, les ;eux à rrventer, tout cela pour soulager leu]E propres enfane « +n sonl sI latgués » D'autres, au contraue, ne sernblent ête solhotés que pour mrerx se fane rabrouer «Àu- ctne de nos proçnshons ne conwent pmats' dsserft ennarü ces gnands-parents de 55 et 60 als, /e ca- avü)s chov avec anour esloslens. pour blement rynoré, le vêtement rangé une los deau q:e nous de sorûes toutes dars un p)acard et nos suggeslsons qu'r1 s'agt de soxanteproposûon étart d'emderruère la dont hurtards mquées » Précrsons menerles enfantsdeS el7 ansà unconcert de rock-ies parents despeEts sont d'une généraùon plus sage, « écologrquemerrt » pltu responsable our autant, rmpossrble de fa{lrr a Ia règle de base du grand-parent « Th seras drsponble ungt-quatre heures sur ungt-quatre en cas O'nrget ce ou lors des vacances >» « Notamment des /es petrtes vacances, garanbe de I'exstence grands-parents depu» que les femmes trarratllent »,rappeüe Chnstrane Collange' auteure' entre autres, de « Sacrées grands-mères » s'obert Laffont, 2OOT) ei du « Jeu des 7 farrulles pow une cohabltaûon harmorueuse entre les 2011) Un manôénéÉton§ » (Robert lafiont, au mleux' des sonl, ce et règle !'u"*"rrt a la drott de vor du prlaüon ia pre, au râproches, masslve dlssuaslon de alme pettts-enfants, les e Une réa]üe vécue tals-tol et grarid-palent Sors O'ente eux « Latsque l'a demande sl prr -le nà*no ma fiJle après 9n accr,uchemenl" votr ÿ»vats 1 hlle m'acctsse de ne 98200524/GAD/AVH/2 pas savotr /es armer / » [a dr- c'Llsston, en apparence anodu:e, sur la façcn dont ies noureaux gr-ands-parents l'onl ête nommés' rliustre souvent cette sourde batallle « Grandmère t Mémé c Grutrry ? Oh, ça ne me ressernt/e une leune marrue f5peractve /e pÉêre que l'on m'appelle psle par mon prenom » pas, dI BE§TÜ{D'ËCCILE Parce qu'rJs ont le senbment d'avancer en teram ûuné, ou qu'rls sont eux-mêmes en prole a une forme d'ambryalence guant a leur nouveau statut de grrands-pæenG, certams poussent la porte de i'Ecole des grands-parents europêeru À parler de leus d:ffrcuttés, en efiet, srnon à Ierus qut pars ? Cette êcole a été fondée en 1994 par Mane-FLançore Fuchs, médecrn psychotherapetÏe' surle màdele de I'Ecoie desparents dont elle fut nsalariée purs présrdente « À i'occasion d'une la dans grands-parenb des rôle le Yr tervenfrin leurs de préventnn de la taxcomiirue auprès 'pbts-eüang, raconle-t-elle, p me sws rendu -compte qu't\ exstatt Êspeu de Ertes YCette patfots' ce fonctton de cmfident qu'tls æcupent awart FÏeud » dn)ogue sans enleu d'autonté grandsécrrt, dans une correspondance, que les qu':ln'avart mars essentei, unrôle pârents avalent pas le temps de creuser davantage Ia quesüon I La premrère foncton de l'Ecole esl d'orgaruser aes dOnats et des sémrnares §ur le rôle des grands-pârents TTès ute, des témorgnages afies drflrcultes relatonnelles renconfluunt "*rt autrées Des groupes de parole sont orgarusés grand-rnère tour de Ôfiérentes themaûques « des GIAdS-Parents Européens Eléments de recherche : EGPE ou Ecole EGPE 8401 Concùaton pas toulous évrdente $ ces nouveaux grands-parents tentent de râppeler qu'ils ont aus$ une ue soclale actve, à laqtrelte rls n'entendent pas renoncer, les accusaüorrs d'ngrahhrde fr:sent « On a vottlu fatre de mot un refu'até, quelqu'ülde tès d»portble, dors que p suts toupapl de 62 ans Et comme p Tours acùf raconte ce garder ses enfants, ma bellede n'at pas )e temps : intergénêrations' toutes citâtions association de promotion des relatims AOUT/SEPT 11 Bimestriel Surface approx. (cm2) : 1839 N'de Page :108-112 Page4lS « liÉrd », qui s'avoue en quête dune attitude appropriee. 1æ dire duectement aux udéressê n'es,t pas possible : mieux vaut tourner sept fois sa langnre dans sa bouche « Quand I'enknt sen plus qand' vous poufiez sentuellemenl lui parler des problèmes gue vous rencaûtez avæ fui, mats uniquement ente quate yeta.Il ne faut lamats rap[nrter aLu parcrts )), sou- rur grand-père pourtant I )igne Ctr.-isûane fulà, gn:and-mere et animatice d'nn groupe de parole «.Soyez des partenaires de Collange, 1êu », conseille de son sôté Christiane pour faciliter les confidences sur un mode Iu- pour ia prerilère fois », « beUes-mères et beuesfilles » (un hit), « psychogénéalogie »' ' Dan§ l'immeuble de la rue Chomel, ce qui n'était au départ qu'une association parisienne de grandsmères-etde gn:ands-pères, même s'iJ:s sont plus discrets - prend de l'ampler:r, preuve s'il en est de l'exis{ence d'une forte demande' LEcole essaime d.ars toute la France. Des services de mé' diation et un numéro vert sont mis en place poru drque Àux grands-mères intrusives qri téléphonent tous lesjours pour avoir des nouvelles et se plaignent ensuite d'être mal reçues la psyclogê néaiogiste Sylüe Houel rappelle '. « N'oubliez pas q)e vote rapport au tenp est difrércnt de ælw de rtæ enfants, avec les containtæ du quotidien »Dt' Ërence toutefojs de plLrs en pLu retative : pris dans l'activisme ambiant, même quand ils ne traVaillentph:s, les nouveaux seniors sont nornbreux cas Ies Plus difficiles. Çe qut catacténse )es græds-parents aujoutd'hw, ,,erlt:ême cùrærsité des straûbr» z explique 1es « à « ne pas avojr une m:nute », parce qu'tls sont engagés dans r-ne ONG humanitatre ou parce c'e§ \'\[ t],\§ E,§1 l-ilxtP§ n[l {i,'\RI}lrl{ §ES ['-\]:"t\'["H" "co&{a4E,{t: !* n#r gÈI-,LE-FILlp m'accusE üE NE PAs §AYOIR LEs Â[§fER Clristiane Collange On peü êu.e grand-parcff pendant trente ans ; maÈ on ne tissera pes les mêmes rciations aÆc le§ peüts-enfants à 55 ans q:'à B0 les grands-parents encore en actiüté sont nombreux - ce gui nuit à 1a fameuse disponiblité. On est parfois père et grand-père d'enfants du même âge. les familtes se rccomposent' , créantdessitr:ationsdanslesq:ellespeûtsenMs $ « biotogrques » et « de cceur » se mêlent - gare § aux jatoirsres I Mais qu'appre:rnent les sexa- ou â octogienaires dans cette école d'un genrepartictl9 Ïer ? « A trouver la bonne distance », répond ë tzt"ti.-Cf"* Chairr EIette Joubert, qui s'occupe témoigne -É aes activites intergenérations àI'EGPE'par I'amow emporter laiser me peur de « # J'anis I ful un temps pelils-ettfants mes à prtab que ie È q où ie qwttas man t'awil en couralt poÜ retrower que s § ** püt-h)s avec autant d'empreæemenl » È c'étaitunrendez-vousamoureLtx « lors7ue ie vax à I'y-. * Exemple p1i:st'unprosarque Ë vonatre àe de næspeuts-enrana,Je suis etaré §, par te.urs cwprtements de tyræs,les7oueb gur 9o tainentdanstoutl'appartemenletje ne comprends à rr.scomfientmonfttspeutlaiserfa'ue»,témoigrne : : cite adressée à l'Ecole des grands-parcnts' G I,I§SEMEI\TT § ÉNSRÂTITNNEL Dans le gror.rpe de pæole qr:'anime Sylvie Houel, ies seniors apprennent à eiçlorer leurs propres rapports familiaux et tansgÉnérabonnels pour mieux comprendre « ce qui se rejoue » à I'arriÉe des petitsenfants, et notarffnent avec lerus « gn-ands » erfants. Larnonce du bébé à venir, Ia gtrossesse, l'accouchement, Ie choix du pénom, les aruriversaires.,, aulanl de moments clés qui peuvent réacliver des conIlits parlois [às an- ciens. Dans le groupe « Grand-mère pour Ia première fors », les participantes expriment les sentimeirts arnlcilalents qui naissent lorsque lews filles deviennerü mères à leur tour. Ànnick Iéguüette, animatrice du groupe, soulève ie cou: « Bruquement,la fille devient en quelque sorte |'égde de sa mère' vercie de pactes urconsctents toutes citations Européens : association de promolion d€s relations intergénérations, Elêments de recherche : EGPE ou Ecole des Grands-pârents EGPE a40ÿ 9a2oos24 lG qu'ils ont décidê de « se faire enfin un peu de bien » en praüquant 1e yoga, Ie tar-chi ou le massagre ayurvediqræ. Apprendre à concilier leur quête de développemenl pelsorrrei et letrr mission de grands-parents est une demande expü- AOI AV H 12 A()UI/StsP! II Bimestriel Surface approx. (cm2) :1839 N" de page :1O8-112 15, LA CERISAIE. LES IMBERTS 84220 GORDES Une forme de dette envers cette dernrère se trouve rcmplrc, avec un accord tmplc,te 'Je te farsunenfant, tu vas t'en occuper" ou, au conlratte, une revanche, vore une vengeancer pnse par la fi\le "'I\s, m'en crqfals rncapable, Ssm tl'at fait au§$ blen et même mteux que tor ' ' Dans ce pas| sage, toutes les nuances sont po.rvb.les » échanges organæés par l'école enüe « grands-parents mdrgnes », tels que se nomment pado§ les nouveaux pap§ et mamres, perrnettent de touver des dés pour dédramatser les conlhs et ouvnr les relatlon§ « On apprend à es dte "peut-être'i raconte Ànruck Legruillette Peut-êtrc powtatlc m'occapcr de ton ftls certatrs d'un cran de plrr vers la sorbe C'e§ le derner appren[ssage, le plw dur peul -ëte « On apprend à ne phts être srrie detnnt de la scèr:e, à ne pfus ête concemé enpremer, explquefuruckleg'utiIette. Mas c'esl à ceüe conùfron qte )'on peut avotr » Ce renonce* de bonnes relafrons avæ permet d'ête des autes ia vte à régenter ment dars lQpr.ne du hen « k seule chose qw m'rn- les erfants porle auftnd, c'esl que mespeÙE-enfants profitent de tout l'amow que p pew lew donner », ésume \4ane-Clare Cham Vorlà pourquol certalrs sont capables de passer au-dessus desploblèmes financlerc ou relatronnels Une sagesse que leurs petrts-enhnts recherchent « ll y a we phtlosoplue de la we,lon de la quête de pefæûæparcrûale, À[rTREF6[S" ON (]OI\S{DERAIT ÇLi',ETHE CHÂI§D-MERE DE\rr\[T mercreds, ma$ pas fou§ et ausst pendant les vacances, mats pas systémabquement, il s'aEt de fatre comprendre aux enfants que |'on n'est pas prêt à abandorner toute we sætale au bénéfice des pet:ts-enfan6 rnar§ que æla ne veut pas dre pour autant qu'on ne les atme pas » Message subtù mars essentrel « A |'twerse, 1'a1 trop w de grands-mères sutznvestr auprès de lews pebts' enfanls et se retrouver wdées, sans acttwté n seûs à donner à lew me, lorsque les Wttts gandssertl et s'en vont »,témorgne Mane-Flançotse F\rchs Grand-màe confiture un Jour grand-mère rar" donneuse-rq6ageuse ]e lendemart, pourquol lex ressoruces fmanctères le permettent « Autrefots, on cortsdénnt qa'êbe grand mère étatt w état qü detrail combler la femme lorqu'elle de- pas POTIR EN SAVOIR PLUS Le Siècle des grandsperents. Une génération phare, ici et ailleurs », Claudine Àttias Donfut, Martine Segalen, Âutrement 2Ao1,247 p., l9 €. << jeu des sept familles pour une cohabitahon « Le harmonieuse entre les grénéralions », Christiane Collange, Robed Laffont, 201 1,230 p., )9 €. 1 venatt mons désrable, con§tate Chnsbane Collange Mars ces Er-ancb-mères "a.bsoiues" soal en vote de dspanton » PIus fi:rrgants que ieurs pÉdecesseurs, les grands-pères parlopent dumouvement « le ne suts pas prét à renoncer à mes acÜlafes sor.rs prctexte de m'wuper de mes lew [atre partaget Wttts-entants , par conte,l'atme cedaxre,s passi ons, colnme les grandes balades en forêt», reconoait im grdnd-père de 65 ans, adepte d'ur: rrtuel emprurité à Mane de Hennezel (< Ia Chaleur du cceur empêche nos corp§ de rouller », Robert laffont,2008) . por:r leur dmème anruvenare, ses petb-enfants ont 1ou§ drolt à un voyage mervelleux, preparé pendant des mor t grrandes constantes, elles, ne changent évrdernrnent pas danerur grand-parent vous porlsse les écoute, appreaés du temps, qta sont autant d'éléments par les petts-enfants », constate Chns- tane Ælès « Avec mes peût*enfana, p voudras pouyotr donner des corser.ls de bonne I4e, sans pour autant que fon fase de mot w ret-atté qt a des hobbps et des occupahora du totsème âge », conclut ce leune gr-and-père, rcsumaut en une phrase tor.rte l'ambvalenee et la complexté du rôIe de grand-parent au;ourd'hru r POUR APPREI\TIS PAPIS ET MAMIES .I/Ecole des gands-patonts européens, ce sont cinq cents aPPels Par an,une üngtaine de médiation§ enble parcnt§ et gzands-parrents : "On esl Ià pour établir des liera ntergénération' nels,pas pow être I'avocat des grandsparents", précise Monique Desmedt, médiatrice à I'EGPE. Mais ausst : des groupes de Parole, des séminaires, des actiütés intergénérationnelles. wwwegpe.org . Ei pour qui n'a pas de Petit-enfant' l'association Grands parrairs prcpo§e de darcnir grand-père ou grand-mère d'adoption. www. girandsParrarns,Ë promotion des relalioos inlergénérations, toutes citâlions Eléments de recherche : EGPE ou Eæle des Grands-parents Européens : association de EGPE I 4ü : ? Sr tne 9A200524 I G AO I AV H 12 2§âZ-EEy--ttÎ" &Æ # {fft§;{c Quotidien Pads OJD :314318 14 BOUI.EVABD HAUSSMANN Surface approx. (cm'z) :338 î{" de Page: '10 75{{}8 PÂRls CEDEX 09 - 01 57 08 50 00 Page 1/I lmËernet facilite les relations emËre [es générations Une étude canadi.erme montre que la transmission familiale dépend des loisirs cÛmmuns' ÂrƧs§Ês PertzBer dæ loisiEi eruLmblc E)ur mi€u transrettE. SeLn urc rtudt q\r vlen Ht de publler au CilÂda r*attee d6 clærcheus de l'rmrverstté de Cbrmr- FÂISLII dir à -VonEéal, le mimien d'aüivfë de loists comrnurs sntte lcs Sran&-prrcnts Et leus Pelil§-enfmts dwËnu§ jeuffi rdulles 6t prirlordtâI. Un t en qu'il n'€st de nËlntenlÿ' lmt l€s centr6d'interêt diYergent cilre m pÂstNjouswidrnr ct un g!âod *mr {dolffnt, w Prkr dr:s contrahiles géographiques er de I agende chargé dm petis-enànts. Pounær, fetu- de. que vist de Publier lc Profeeur ne[c d oue. kin les WE srrlün. l'étude montæ qw là §âr§nl§ston m s fait Ph§ aujurd'hui à sro uüJt dc E, tilt I'âvènercnl d'lnternet e chmSé là d., nmt.tlot t§hrpk4lcr dorre- hf*tenkunlIæ k§ gnnds parent§ frençâis $nt k8ê à h rË[æ effiigtr€. Et c}laeD , s rtrett6' Derlb quelqrr§ ,nnm, ce grand-Père de S pmits.cnfants, dont trols ÊÛtre 16 et 2l rns. ['€§ mi\ à l'infirmliqu FÜ ttx ei dtilo{ue désonMis par mal.! avec eu une coàplÈité qui hs mpproche phsiem fois w maiæ. . APrùc wwwk qÀ o lJÿibâ twc ÀüreE]n:r--fûe de lç dw,I'ai ælsned ærc cb &s PlDf6 et ruffi§ Q!'ll servê a colmur*quêr, rÉcr dês ah{rfis Éotos ou ald€r aux devo&s, mff âgË de 80 ffi taÿ c6 boru mmrmorûmrro« eliÉ rirs t fÊncoiæ, Pourtan( " milrtient le lien notammerrt en pæ36, emnant sPetirc-nlk de 17âns P(rurd§ âgès-midi de shopPing ou de leche coi1r ttien lc malûtien d'artlvit§ (lmungi c§1 m lrJeur de oanînisslon d6 valeurs et' un moÿm prMlegie de PerPetua I'heritagc (amitial. Par des activités e prioli bâna Is, come la cuisinc' le strupping ou en' core dr simples dl§cu§ons el r4nlons femillales. . 1e3 octivü$ de lowsûrnt h DosflÀ'lilé sur arsnds firenls de prtoyr .b l'hisluitc ilt lil ÎMûb el Uw Pq - 'un[ rut tjargaogetwl«w [-a *frb*a Pffiffi tiui' ,i*,, Una* Wrt* ù m' ohttnir ttP çi- n,rus sicinr dc ws rhuir I ', wurt-ellt' âuù" grând-pere a dË1dé d'cmmetEr depuls quelques crees ffi Petlts-enftnts adôterents chaqw hiver une rmaine a lâ nontagnc, un muYen Pu lui de ls evuir de maiière priv'ilégiée en leur trisenl pleisjr. Mats qd dft adeptatlon àux sct vlté§ du ieurc va parfols dc Flr âÿæ la trenmis' 'gon a'm hcritagc lamiliel. ' J'esvie ou poxge tle Prkr Mr ruÿ Wtil§-aÿi['(É Cet indspemables engùÉte de I'observatoue de usâg5 Intanet MeôametBe de tewler 20u tes Plus d€ 50 ffi comaEsert 'm ÿ€ntable mgousnent DÔU Internet - Lo derDcre de(cme àtt agqr"e Por ,'oYengnenl des süvgs(ss ,6lnt4qutes d€ 50 6 et Dlu ». note l'etude Et c€ sont l€s Èus àe 65 æs qur enregEûent lâ plu forte proBres§on ils sont ffiI trut 106 ȧ autoùdhu 31 % des Pl6 de 65 æ' côn[e 4 9/" seulement e 2001. Au coÛs Sort du m*ntEt12Eî rw telr§ petlts-Enfûüs qBtnme tmstre 2010 la Fræce &t fr atkû dc w ,{r,nts, à sawf r ÿi8Ïf,mn e( Gtism, parrdd D{efl lùt & leo t Pr fua' potim a acrivitesocarcll« I ", expliqre ce gud-prc. El, minc dc rien, ils apprennenl ainsi un peu leur histoir€ famlliele. sefl ousl ôloirc les r.le ^ P61ats. hÏotc wjÆ el jurlet æu de mthr I ., Elisr ce papy deciderem dwënu 1Iè§ Î&hno. El les échânges !'ont elo§ bon trâln. Pou les grands parcuts. lc loumt dc I'adolcs (ffi 61 imlrrrtmt - ls Srstfu-Waÿt qd s gonr beo4û9 lmeJtl§ P?,ldoil I e,lîM & lews petils sÿal§ Peu'snr res *nli, ure qruù wllIw qwrd x der triæ §'élrligMt a fr'rl wiB Wy'f,€n x à lu 972oo5o3/GSD/ATFil souverurs nôte Bnce ÀDon. Plesdent de l'âssooatron Frat€lrut€ nwerlque, qu forme ls seuors a l'm{omatrque persoms fomé6 t'æ dru (1100 n6. le mobre choEr Par 19% d6 Plus de 65 æ au AoEme trmesüc 2010 prrenonreDe rrlernet et Pro/rts ouss leu des opportw,tes donl leu donf 40% dc motr§ dc 25 ans ÀuuÊ phenmen€ Iuhùsatlon des siltphoPàrm les acàutes les seBors ff 1es Plus Proees Pil l'echanBe de la Toile Elêmêils d6 rs€àêrche EGPÉ 1 + LAURI}ICt rmuToN/ Pr0T3^LI0 comDtal 38 mlLoE d'ntgnautes les ro noribw qu'ù Y a tùx il§ a avo, suteI côùncls âÿ« deln fuüio etet d'albums s Internei au cows du demler müs I'stmsùon Photos s7B j err gr$ds- pücnt3pûJr grüde voguedes ((sikrer$lrfcr§», c.ltampion§ dc la décennie sÉoN la dsnse 1 \ crt frn gfports lntcmat dcveru des N iJ,rdrel' mnté-u q&rtr 4 cM c'étsit Frw mai w fimiùt}le mtrya tb Shânmn tkbbieths'haite, rmffre # tlté» de lew vtu' » Mrls : et de donr Ie plus age aYan. 98 ffi ) - les seoors ne ÿeu]ot pcs êlle exclu-s du Pte mtouoge lls ont oDs§ coDPns gile cttot u n gqen de ,esta e, ùqs ovec Ieü roaüe, pù le Dlo§ d€ côu- ne/s, voreduioqrâelSkr?€ . EGPE ou Ecole des Grands-Pare0ts EuropéÔns ^.§É prtuU dc l'od,1lgffiY'' noie Mârie" Clâire ChilD, psychglel+peute el ânlm trirc de gropt à llErulclds grands-pa mls euroPeer§, qd accunPagrE d€s 9nioru dam leus diflieltê. IYouver lE bocn€ dls§$êe Âpres dei vacanc§ §owenl pa-r*is en cmmun, un rÉarusterent e§l âiots DéGsalre : rouYer de§ æntres d'lntér& cÛrnmm mab arci la bonrP distaffi à entre ' tenir. tani en t€rme de frt$.lence qæ de d€gré d'tflnsbn dâns h vle Persnneue. Un chaltengp plus dltfrcüe eftsn quand les æti§-€ntÂffs vlveil loln. D'autæt or'l l'oppotc dc crtain§ clichds ru lc cüple urü entre une tEtile-nue adohæn$e et I Srand-nÈre dlîatrüque' 16 grads-pilents mt Parfôis Perd§ Potu si' sxr ommudqffi ncclesedoi. Mêm ligne trlarie-Clairc Oreln, ' kr lfr* mnt d'oIttaî? phts rociles qu'on les a ?ntmem§ Emd le pti|alwl slüil Plw iuna "Pou aidcr lcs 8rards-lDrents a mleur communlqær, I'ltole ds Erands-parcnE mime dæ goup€s d'6oute sü ditÊreots thèms ct or8âoi$ dcs *miEi6, réætlrenl âutow do Ia l€(turc de r#dies et d'lntÊrnet. mâl§ aussa ds æffi d'kûrm$ique ül d€ mEaage PhotG. Un crqresu dmt * sont emPar'és de rcnbrffi asciâti{Dr§ €t entreprr§er, m uopeer s8so{ietion ds promotion d6§ rslatione intergénôraiions, loulss citatlons tre enf,ant - Grands-parents e, ffiffi ffiffiffi§æ ffii §æ ffiæ§æffiffiæ§§æ Profiter de so retroite pour retourner sur les boncs de moternelle et onimer des oteliers de longoge ? C'est I'oventure que nous roconte Elyette Joubert o I'origine, ovec Annie Sussel, de Dire ce que je veux dire, une initiotive rnenée por I'ossociotion EGPE*. Enfant magazine : Cornrnent votls êtes-vous investie à I'EGPE* et plus particulièrement dans Dire ce que je veux dire ? Elyette Joubert : " Ces ateliers sont le fruit de deux impulsions conjointes, celle de mon amie Annie Sussel et la mienne. Quand nous nous sommes retrouvées à la retraite, Annie et md étions plusieurs fois grand-mère. Trois petitsenfants pourAnnie et cinq pour moi !Toutes deux très impliquées dans notre grand-parentalité et la transmission des valeurs familiales, nous aüons aussi envie de nous investir en dehors de nos familles. Annie avait mené une carière de professeur d'anglals en khâgne. J'avais été directrice d'école élémentaire et maître formatrice de professeurs des écoles, Alors pourquoi ne pas apporter aux enfants moins favorisés que les nôtres un peu de notre savoir-faire ? " Plus d'in-fos Vous souhaitez en savoir plus sur cette initiaiive ? Rendez-vous sur Allo-grandsparents.fr, le site des grandsparents européens. 92 o rNrRrur L4AGAZINE Dans quel but les ateliers Dire ce que je veux dire ont-ils été créés ? E. J. : " ll s'agit, dès la maternelle, de la prévention précoce de la violence par la maîtrise du langage. Comme l'a dit le linguiste, Alain Bentolila : "Quand on ne maîtrise pas le verbe, on en vient aux mains." Le langage est un fossé qui se creuse très tôt et ceux qui n'ont pas les mots utilisent souvent leurs mains et leurs pieds... Notre objectif est de permettre à des enfants inhibés, qui ont du mal à s'exprimer FÉvRlER/MARs 2012 soit parce qu'ils sont non francophones, soit parce qu'ils sont en difficultés, d'oser prendre ia parole, de se raconter. De leur donner la possibilité de résister à la violence quand manquent les outils de l'argumentation. , Comment se déroulent-ils ? E. J. : . Des grands-parents, toujours en binôme, prennent un groupe de quatre enfants, sélectionnés par l'instituteur, une demi-heure par semaine sur le temps scolaire en maternelle. Ce sont loujours les mêmes grands-parents pour le même groupe d'enfants, Pour apprendre à parler, nous insistons sur l'importance des rituels. A chaque atelier, nous répétons le même cérémonial : le bonjour, la présentation par les prénoms... La répétition sécurise les enfants et instaure la confiance. Et puis, autour d'activités ludiques - marionnettes, comptines, lectures d'albums, etc. -, les grands-parents aident les enfants à s'exprimer dans un climat affectif et plus personnalisé, ce qui n'est pas malheureusement réalisable pour l'instituteur dans une classe de vingt-cinq enfants ! , Votre âge est-il un « plus » auprès des petits ? E. J. : n En plus d'aider les enfants à exprimer ce qu'ils ont à dire, ces ateliers sont une façon de transmettre une tradition. lls sont un lieu de transmission entre les générations. Les grands- ' :, _... .l::r::è. I !::: i ir:: ,:i,:.. : ', ..r*:,:* ::-::-È.'€::ï']:. '' -:':,14€r, §.t.: 1 *-r'. .,F. 1r ' d' - ., 1l rJ<.) d l-l' ,a: r.::.il:,,: rlr.t.:ÿ._r :r=j;.âi i: Y' /-Nrr : *' §§ É. - ...' F:-. , §: *:: /.. t.';: :.- l -,:lq i' _.:t& : g§'-,'.:t+ ,a, §i§__.,'.,,,.:, -:- B*e :. § iç - : .: \ . I:..: : à3::r.. ': Ë!;:r-:ri-.:i : .: .9:::::: i:iiia::: : :1 : .::r.:i: a:: è:È t-i3;: '. îS+ .§§., i ..i": l,r :+ -:r:.::§:+': r': l 8...:; #-;f:§v. *, r\r*ffï m\ §:.:ffi :, r ê.' §l Ër ï- E § §, .§' .ê$*'!r' 6;p*f i i.: r I 1,...' s§.Èërr ,.{§, i:: t;I È:.r É, '' i'- "È. rql t::r:li {'i É' t. Ëê l6 Ê,{r:' Itr'. al l' : i:i::: \, :: ::::!:.i= ],r::. !,:.: fur :::,a::, !:: -€3 i,,:ir.:i:,]j: t' , :;, ll*i / parents s'y racontent aussi. lls parlenl d'eux quand ils étaient enfants. Pour les enfants d'origine étrangère.,. qui assistent à ces ateliers et qui n'ont pas forcément leurs grands-parents près d'eux, cette portée intergénérationnelle a un grand intérêt. Elle donne à ces enfants la notion du temps et leur faire comprendre ce qu'être inscrit dans une lignée signifie. " Etes-voLrs satisfaite des résultats ? Est-ce une initiateve arnenée à se développer ? E. .,§. : " Après deux ans d'expérimentation, cette initiative a reçu l'agrément du rectorat en 2010. D'ici la fin de l'année, quinze écoles à Paris, bénéficieront de ces ateliers de langage. Chaque ouverture d'atelier est une action très sérieuse et extrêmement bordée, qui nous mobilise énormément. Aujourd'hui, nous avons plus de demandes d'écoles que d'intervenants. Nous cherchons des volontaires I Nos bénévoles sont sélectionnés comme dans un entretien d'embauche. On ne peut pas se permettre de faire intervenir n'importe qui avec des enfants dans une école. Bénévoles, mais pas dilettantes I Après avoir été recrutés, les grands parents bénévoles suivent une formation obligatoire, assurée par des équipes pédagogiques constituées de professeurs de l'Education nationale, des orthophonistes, des psychologues scolaires, des conseillers pédagogiques... Chaque nouvelle recrue est parrainée et intègre l'atelier de langage en douceur. Pour ma part, je fais un gros travail de prospection. Je présente le projet aux inspecteurs, aux écoles, et j'assure le suivi des ateliers sur le terrain. Nous avons énormément de demandes, en province notamment et des difficultés à y répondre rapidement. Nous ne demandons qu'à développer cette action, mais Ça ne peut pas s'improviser ! " Fropos recueillis par Frédérique Odasso. .EGPE: Ecole des grands-parents européens, L'EGPE, qu'est-ce que c'est ? L'EGPE, l'Ecole des grands-parents européens, est une association qui privilégie la force du lien entre les générations. Eile se mobilise depuis sa création sur des travaux de réflexion et de recherche permanentes, afin d'éclairer la connaissance de la grand-parentalité. Son objectif est d'apprendre aux grands-parents à se pedectionner dans le " métier de grand-parent » pour trouver une juste place dans la famille, leur faire accepter à ne pas être les parents de leurs petits-enfants et pour éviter la confusion des rôles, génératrice de nombreuses tensions familiales. Elle se veut aussi un lieu d'apprentissage du bien-vieillir dans son corps et dans sa tête par une meilleure appréhension des difficultés liées aux grandes étapes de la retraite. Elle offre la possibilité de poursuivre une vie active post-professionnelle où chacun peut valoriser son expérience, Ia partager, la transmettre, et construire des liens intergénérationnels. TNIANT MACAZTNF ttvRlFq/N/ARS 20tz u 93 281021 11 irance lnter > émissions > serv,ce publlc GREUFE[{ Bons. €{ Gants j, .it dès 6.9C€ Volc les dcats @ fr(ockey {jès 16 99€ ,Ë i:*' L646 Bottes ses t4 9§€ voir bs deals lroir bs dêàls *tL par lsabêlle Glordâno du lundi au vendredi de 10h05 à 1lh &es *c,use§Êcs @ §ff'vfce 6:u[:tfe Wannao,a JeOa* ,: > présentatioo > le blog > commenkires hÀctoircs dc \,,. . > à venir > coôlact mercredi 23 févrte( 2411 Quel{es nourrelles places pour tes grands parent's ? padicipez témoign8ge, questions, réaciions... p3r léléphone au 0 1 15 7A 7WO ou laissêz un -@mmentairg i*t inrrités Anno-Solênn Le Eihatl je vais choz mâmiê l psycho,oguo clinicienre êt théEpeute familiale' aut€ure dB « Si tu dis non, bciions L-arouss, le règard d'un p§y sur le rôle de§ gBndsfarents a\rjourd'hui' Ë } €$s leuleûûrlt ! ffi Claudine Attla§-Donfut quoslions liéês au vieillissêmenl sociotogu6, dirEctriæ dss rEcfBrches à la cttAV. SÉcialiste das at aux lisns inter{énérationnels. ^aûlttÔNH TJATT-A.S Ja<4<.+4e Martine grand-mère de 6 enfaîts. vit à Metz. programmation musicale > fÀsrin€ > Ayo: C.lste / T3,?ÿ Ètatl I La fommo chat l'm gonna dancê Le reportage pârents Dirsction Sl Maur des ôÀ"nær"niO,amUia0c€, pour alie," r.ndre visite à d'aulrès gtands Èoi.6", O"nr lê 94, tlotrê'reporter Raphàl Yem ssl allé dânser.su goûter musiæl de la résidonc€ ss mu§ un€ halte arlnUi,ays Cette rnaison de'relraite publique a ;3 partielarîlé d'8æillirdans petils, el personnes g"rC"ri., tt donc, de favoriser les activités iotergénérationnelies, enlre tous {à, Ies àæà" O" pLs en plus d,élablissements da ce genre ouvrenl en Francê. C€l après-midi pà6s giaient, gigolaienl et mangeaient des c.êpes, §ous le r€gard attendri dè mamiês el de papis "Æ ni [ h*=:[Ælj §(} ffi ffiH ffirff $ 'iïillÆ iË;ffi§ffir r*'a&*[E qui ns sont pas lgs leurs La chronrque §onia Davillers lien Le iste de l'éc§tre des grands-parents :l.i,lt,.i:f iil "'^', [-." : ,.Æ=.^ ,ft kffi f, .j'i,,: tp://sites.radiofrance,frlfranceinter/em/servicepubiic/index php?id=101680 € l, Page I sur ; m ü ËËÊE§ a o) 5 !- (U rm (U (U E É o {-, \o ëËËBËË C E a t-, LN E ,IE È U'l m .q) U) g § u) EI (U g, (U m §.n j-, È 'I ÈJ H o u) E Ëe -'a E -g CI - Lr F{ 9s? orH EË -}.J .H1J Oo) .FE o;r ()r{ u u §E c-l Eü lrQ) m 9.6 iü ,É11 (,)o) 9.à EH(D' ra qÉ E5 .0) F u:() ll(ql .gË, alO; E Bi EE, hl'X, HE ddJ d i ffi,< I- (U -f-, f'u (U - l- .gü æôi Ço; J r- - (U E! :u (U tr (U m E - ü =FJ m > EË Ëggggggsï Ur IE o- gE org .rJE süî E .'= 1i ËÊ-sEËË ,"'s-H ËÉ, d tl o§ Ëë à Ë* ff .E'Ë'i e Ë E'HE,§i r{ ,{J 5 Fi o. (r= =6' .â rE lU6 EUI E ,*EË+s+it+HËE$ËgïËË Ë˧gËEË -5 .É.â HgrEi ffË"Eii Y.H rrl r.! G' ,OS s6 ggi i e éo.ao;5ÊÈ ËsËËËËËiEÊHËËËËËËËË t iEË §:€€ u :, trr o .E al rsill*gE #sâË*E.a i ËËË i*Ëg ËaËËËËg G' !, v L' (, EL ln û, -g G' gor := CL 1' E râ It ttüo q E =tl o tr G' 1' \(u tâ L = o J 0 tl t! CL E o |n 0, L ut \o, :, iê ^ r qatdlrO«, Ê r.tr ll, ut .9, '6 g l, E !d§s3§§t ËEËÈf;:§ o .E o È E o o !, c, 0, È, Ut ,E r! cl gEHËËËI§ ËgË ËÊêE É.8ËE.Ë EE §§ Ë s§Ës ËËâË Ë $gËË *.FË Ë iËËË Ë§ § â ËË Ë âËËË ËËËË g HE tt 0,'fr1 lrLlt g ÉE E s - êr(1, gËËË .ü# E Ëg§ ËâËËËË ËËgËâË ËËËË âËËË Erafrü 'i r!= (u= .Ë ff i'.Ë sfiËe .ü.J'Ë * $ttr sô ËËË O! [,ri or-9ààË9 iËËËs! ËE â$Éi ut § § E IE g ut L 3 '4' r(f ï3 sH o'fi f,E {ô) ,s ri) (ÉbÉ ,4§ UË : ËË /r iii#