Fonds commun Aquitaine-Euskadi RAPPORT FINAL DE L
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Fonds commun Aquitaine-Euskadi RAPPORT FINAL DE L
Ref IEFC : Conv052 Ref CRA : 2005/1320 Fonds commun Aquitaine-Euskadi RAPPORT FINAL DE L’ACTION FORÊTS ET SOCIÉTÉS Programme d’enseignement interdisciplinaire transfrontalier Université du Pays basque – Enita de Bordeaux - IEFC Rappel des enjeux, Contextes, objectifs et méthode Réalisation et déroulement de l’action Compte-rendu réalisé par les étudiants de l’enitab Rédaction :, C. Bonhomme, B. Bouvier, : JP Guyon, A. Prouvot, A. Renard, C. Rober. ENITAB, 1/12 Rappel des Enjeux, Contextes, Objectifs et Méthodes Un enseignement transfrontalier sur les déterminants sociétaux et biotechniques de la gestion durable et participative des Forêts IEFC, ENITAB, UNIVERSIDAD del PAIS VASCO Les enjeux Les enjeux tournent autour de la gestion durable participative des ressources naturelles. La gestion de la forêt est pris comme exemple de cette gestion, dans ses aspects sociétaux et biotechniques. Le contexte socio économique Il s’agit de développer, dans l’enseignement, des compétences biotechniques aux étudiants en sociologie et, réciproquement des compétences sociologiques aux étudiants en Foresterie afin de préparer les étudiants aux métiers de facilitateur de projets environnementaux. Les objectifs Mettre en œuvre un enseignement interdisciplinaire biotechnique et sociologique sur les représentations et les savoir faire des différents groupes d’utilisateurs de la forêt et leurs conséquences sur la gestion forestière. Les méthodes Enseignement théorique de nos résultats de recherche acquis depuis trois ans et enseignement pratique par des visites de terrain et la réalisation, par les étudiants d’enquêtes et diagnostic sur le terrain. Une semaine d’enseignement (2 jours au Pays Basque et deux jours en Aquitaine). L’intérêt transfrontalier du projet Il s’agit de poursuivre une coopération engagée entre l’IEFC, l’ENITAB et L’UNIVERSITÉ du Pays Basque. Il s’agit aussi de transformer les acquis scientifiques en objets d’enseignement. Les produits du projet L’enseignement théorique est mis en ligne sur le site de l’IEFC . http://www.iefc.net/index.php?affche_page=projet_FFS 2/12 Réalisation et déroulement de l’action Objectifs Pédagogiques Contextes et Enjeux Dans le cadre de la semaine d’information sur les outils de la sociologie de l’environnement appliqués aux stratégies de gestion des propriétaires forestiers, il s’agit d’un regard croisé entre sociologues et praticiens de part et d’autre des pyrénées. Un groupe d’une dizaine d’étudiants français et espagnols et trois enseignants chercheurs Objectifs de l’enseignement Comprendre la mise en œuvre des pratiques des différents acteurs et leurs traductions dans le paysage. Identifier les modes d’interaction entre les acteurs présenter des indicateurs. Contenu Des interventions en salle (4) Deux visites sur le terrain d’actions engagées avec la participation de praticiens. 3/12 Réalisation Enitab / UPV/IEFC Retour d’information par les étudiants de Bordeaux. Le compte – rendu des interventions et tournées sur le terrain. Compétences Interdisciplinarité, Outils d’analyse sociologique et Indicateurs de gestion Comparaison interrégionale. Calendrier Lundi Mardi 21 - 22 Mai 2007 Trajet vers Urkiola Park, Visite de la hêtraie primaire Mercredi 23 Mai 2007 Socioéconomie de la filière forêt-bois au Pays basque Espagnol, Recherhe qualitative, méthodologie et résultats. A. Davila, N. Jausoro, E. Arrieta (UPV). Trajet vers Bordeaux Jeudi-Vendredi 24-25 Mai 2007 Matin : Sociologie et environnement, les outils d’analyse.Ph. Deuffic (cemagref) Management acteurs et territoires en forêt d’aquitaine. JP Guyon Enitab Sur le terrain, approche des indicateurs de gestion durable. C. Orazio (IEFC). Rédaction du Compte-rendu 4/12 Compte rendu réalisé par les étudiants de l’ENITA de Bordeaux Historique et évolution des représentations de la forêt dans la société Pour aborder ce thème, nous avons suivi des cours en collaboration avec des étudiants en sociologie de la faculté du Pays Basque espagnol. Ces quelques jours avaient deux buts principaux : aborder le concept de forêt sous des angles différents (sociologie en Espagne et production en France) comparer les représentations et les pratiques forestières dans les deux pays Contenu Ouverture à des objets différents Ces quelques jours en collaboration avec les élèves de la faculté de sociologie du pays basque nous ont permis : - d'avoir le point de vue des sociologues sur l'objet forêt - de découvrir une autre culture autour de la forêt, comment celle-ci est perçue au Pays Basque, son histoire, son avenir. - d'appréhender un style de gestion différent de celui de la forêt landaise Idée de la conservation Lors de notre visite du Parc Naturel d’UrKiola, nous avons pu soulever certains problèmes concernant la conservation du patrimoine paysager. Un certain nombre de pratiques durables sont imposées par le parc cet d’autres sont à l'initiative des propriétaires. Mais l’évolution du marché du bois, et des modes de vie des propriétaires fait qu’un certain nombre de parcelles ne sont plus exploitées. Nous avons visité une hêtraie, cette dernière était autrefois exploitée et nous trouvons de très caractéristique hêtre têtard qui sont le reflet d’une exploitation passée. Ce paysage est aujourd’hui entretenu, en tant que mémoire et pour son environnement spécifique. Mais cette forêt ne peut perdurer. En effet l’exploitation de cette forêt ayant été arrêté depuis plusieurs années on ne peut revenir en arrière. Le paysage forestier est donc intimement lié à l’exploitation. Cette idée n’est pas toujours partagée ou connue de certains acteurs de la forêt (les promeneurs par exemple). Et il n’est pas toujours facile, voir possible de maintenir une activité dans certaines zones, entre autre la montagne. 5/12 Comparaison des différents types de gestion Les propriétaires forestiers du pays basque sont regroupés en associations. Ce sont ces dernières qui élaborent des plans de gestion, font les inventaires, entretiennent les chemins, ... Dans les landes, les propriétaires n'ont pas mis en place de telles structures. Chacun gère à sa façon son ensemble de parcelles. Cette différence se traduit principalement par la difficulté de récupérer des données en France (surtout pour les forêts privées), les inventaires nationaux n'étant pas toujours suffisants pour avoir une idée précise à un instant donné de l'état des forêts. Ce problème de communication entre les différents acteurs français de la forêt, peut également être perçu comme un frein à une optimisation des gestions. L’état des parcelles, les résultats d’étude, les attentes de chacun… sont autant d’informations utiles qui ne sont pas toujours assez bien partagées. Résumé des interventions Visite du parc naturel d’Urkiola au pays basque. J. Azpitarte et J. Sesma, gestionnaires forestiers Nous avons visité le mardi 22 Mai 2007 le parc Naturel d’Urkiola. Créé en 1989, il s’étend sur 6 000 ha et se compose de huit communes. Ce paysage peut être décomposé en trois parties bien distinctes en fonction de l’utilisation des ressources et de la topographie. En effet, sur le haut des montagnes nous pouvons observer des sols crayeux affleurant sur lesquels se perchent les hêtres et les chênes, zones très peu exploitables. En dessous dans les sols plus profonds mais où la topographie reste importante les feuillus y sont également présents avec les traces de leurs dernières exploitations qui datent de plusieurs décennies maintenant. Sur les bas des coteaux certaines exploitations agricoles subsistent avec des pâturages dans lesquels apparaissent quelques moutons élevés pour leur lait qui sert à la conception de fromages locaux. Tout à côté des fermes nous observons quelques jardins potagers pour la consommation personnelle des exploitants. Sur la plus grande partie des pentes de ces paysages magnifiques on observe une espèce dominante : le pin radiata exploité pour la production de bois. De nombreuses essences autres que celles citées précédemment viennent augmenter la biodiversité du site tel que le frêne, le noisetier, le châtaigner, le noyer, le chaîne liège, le mélèze ou encore le douglas… Jusque dans les années 1960, le site évoluait dans une politique économique d’autosuffisance avec le jardin potager, les moutons et les vaches, la forêt qui rapportait un peu d’argent, les fougères et les landes pour la litière des bêtes… 6/12 Certains exploitants forestiers ou agricoles montaient dans les montagnes pour fabriquer du charbon de bois. Depuis, l’apparition de la gazinière cette pratique a disparu. Certaines ressources ont également été exploitées depuis longtemps comme les carrières où sont produits graviers et pierres de pays pour les constructions des habitants. Aujourd’hui, la forêt est divisée en trois régions : le biskaï avec 60% de privé et 40% publique, le kipusquoi avec 80% de privé et l’alava avec, au contraire, 20 % de privé. Le parc ne comporte aucune habitation d’ailleurs c’est l’un des facteurs de décision des limites physiques. La forêt est gérée par le conseil régional basque et un plan de gestion est établi depuis 1992. Les pins sur les parcelles sont éclaircis pour obtenir environ 1 600 tiges à l’hectare à l’abatage. Ce sont donc les administrations et associations qui décident et agissent pour l’entretien et la gestion du parc. De nombreuses activités gravitent autour de cette forêt basque comme la chasse, les promeneurs, les cueilleurs de champignon, les amoureux des paysages, les sportifs,… La question réelle aujourd’hui est de savoir de quelle manière doit-on gérer ce bien qui est finalement collectif ? Les hypothèses sont multiples mais les deux principales sont : - la forêt doit-elle avoir une fonction de production de bois pour les produits bruts, de première et de deuxième transformation - ou doit-on, au contraire, tout faire pour améliorer son côté non marchand : promeneurs, sportifs, cueilleurs,… 7/12 Quelles sont les nouvelles règles à mettre en place, on assiste à une évolution des mentalités, il faut s’adapter. Doit-on empêcher les propriétaires de mettre des espèces autres que des espèces autochtones ? Doit-on la laisser à l’abandon sans entretien ? Le propriétaire forestier d’hier était très proche de son bien qu’il a récupéré d’un héritage ou qu’il s’est acheté. Il entretenait sa parcelle, produisait du charbon ou un peu de bois de chauffage, du bois d’œuvre pour ses clôtures et ses constructions. Aujourd’hui, l’image du propriétaire basque est celle d’un destructeur pour les amoureux du paysage et les promeneurs, de plus il n’a pas toujours le temps de s’occuper de sa forêt. Elle lui coûte parfois plus qu’elle ne lui rapporte. Il préfère laisser la gestion de son bien à des collectivités. Les anciens vivaient de leur bien, aujourd’hui la forêt ne fait plus vivre les citoyens basques. Quelles sont les politiques à suivre demain ? Socio-économie de la filière forêt-bois au Pays Basque Espagnol, Recherhe qualitative, méthodologie et résultats. A. Davila, N. Jausoro, E. Arrieta (UPV). Les deux présentations auxquelles nous avons assisté à St Sebastien portaient sur l’aspect aussi bien quantitatif que qualitatif de la perception de la forêt par les sociologues. Avant tout la définition de la sociologie a été rappelée. Elle ne se borne pas à la représentation que les personnes se font de la forêt, elle comprend également les conseils, les groupements de forestiers, l’aide aux jeunes propriétaires,… Au Pays Basque espagnol un inventaire forestier est réalisé tous les 10 ans à partir de photos aériennes. A cet inventaire s’ajoute un recensement effectué en même temps que le recensement agricole, complété avec les données des industries du bois. En effet, dans le pays Basque espagnol la forêt est très liée à l’agriculture, puisque nombre d'agriculteurs possèdent quelques hectares de forêts. Cependant, ce recensement n’est pas très étoffé car il ne représente qu’une page à la fin du recensement agricole. A partir de ces données récoltées par recensement on peut avoir une idée de la forêt et cela permet de donner des pistes pour des sujets d’études sociologiques. A l’heure actuelle seulement deux recensements ont eu lieu. Suivant les résultats comparés de 8/12 ces recensements, d’un point de vue forestier on n’observe pas de perte d’actifs mais plutôt un abandon de la gestion, d’où l’intérêt des associations d’aide à la gestion mises en place dans cette région. Il se trouve que les espaces forestiers sont d’une taille assez modeste puisque 2/3 des propriétaires possèdent moins de 5 ha. Ces données peuvent cependant être discutées puisqu’elles sont issues de recensement agricole, activité pour laquelle la forêt ne représente qu’une faible part des revenus. De plus, le Pays Basque espagnol n’a pas encore beaucoup de recul sur ces résultats puisque les recensements ont lieu à intervalles assez longs et sont plutôt récents. Nous avons ensuite pris connaissance d’une enquête portant sur la vision, et donc sur l’image sociale de la forêt. Pour les personnes qui ne font pas parti du secteur forestier, la forêt a une image mythique, naturelle. Pour les autres personnes, la forêt est essentiellement matérielle. En effet, elle représente souvent un « carnet d’épargne », ou une source de revenus secondaire pour les agriculteurs. On note donc une grande séparation entre l’image des professionnels de la forêt et le public qui l’utilise en tant que loisirs. Pour les personnes interrogées la forêt publique a une fonction de conservation et de biodiversité. Certains utilisateurs pensent même que la forêt publique ne doit rien produire. Le but des gestionnaires de la forêt va donc être la recherche d’une multifonctionnalité, de fonctions sociales, écologiques et économiques (principe de durabilité), pour répondre aussi bien à la demande des propriétaires que du public. Différentes représentations de la forêt par la société et leurs relations Sociologie et environnement, les outils d’analyse. Ph. Deuffic (Cemagref Bordeaux) La perception de la forêt par notre société a beaucoup changée depuis le début du 20ème siècle. Pour appréhender ce changement, il faut avoir recours à la sociologie, qu'elle soit de sens commun (savoir comment les groupes d'individus construisent leurs connaissances) ou bien de l'environnement (impact environnemental dans l'esprit des individus). C'est ces outils sociologiques que le CEMAGREF et l'ONF utilisent dans le cadre d'un programme de recherche commun. Ce programme a été initié par la loi forestière de 2001 qui insiste sur le caractère multifonctionnel de la forêt. Il est composé de trois phases : une recherche bibliographique, une enquête quantitative et une autre qualitative. La recherche bibliographique a montré que les fonctions sociales de la forêt se sont modifiées. En effet, à la fin du 19ème siècle, la fonction sociale était cantonnée dans des "réserves artistiques" pour contenter les artistes et les bourgeois en mal de verdure. Dans les années 60, le public a de 9/12 nouvelles attentes : les sorties en forêt sont utilitaires (sport, cueillette...) ou bien sont contemplatives. A partir des années 1975 - 1985, le travail des forestiers est remis en question car la préoccupation environnementale en forêt est de plus en plus forte. Cette dernière devient l'archétype d'une nature "sauvage", non touchée par l'homme. L'enquête quantitative à été effectuée auprès de citoyens d'origines diverses. Les questions posées portaient sur les activités pratiquées en forêt, les opinions vis à vis des travaux forestiers, les dangers menaçant les forêts, une éventuelle participation du public et sur des pistes d'amélioration. Le traitement à démontré une forte corrélation entre la couverture forestière et la fréquentation des dites forêts. De plus pour le public, la forêt est l'antithèse de la ville. Elle doit être propre, silencieuse, déserte si possible, mais pourtant elle doit être pourvue de chemins, de parkings... L'enquête qualitative n'a pas encore été réalisée. Management acteurs et territoires en forêt d’aquitaine et en Euskadi JP Guyon (Enitab) Comment intégrer les différentes connaissances des différents partenaires dans le management de la forêt durable en Aquitaine et en Euskadi L’objectif de cette intervention a été de nous présenter les résultats d’une enquête menée en Aquitaine et dans le Pays Basque. Cette étude sociologique porte sur les différentes fonctions de la forêt : économique, environnementale, éducative et paysagère. Il s’agit, grâce à une active participation des différents acteurs (propriétaires, managers, touristes), de définir la meilleure méthode de management visant à satisfaire les attentes de chacun. Cela passe par l’étude des représentations et des perceptions de la forêt ainsi que de ses différentes fonctions par la société, son opinion sur son management,… Cette étude repose sur 1 méthode spécifique à chaque région et sur différents questionnaires et entretiens adaptés aux différents acteurs forestiers : professionnels, touristes (vététistes, promeneurs,...), managers et gestionnaires forestiers. Il en ressort plusieurs représentations propres à chaque type d’acteur qui sont évaluées/classées en perceptions (opinions) et préférences (attitudes des interrogés). Le traitement des résultats fait ressortir trois groupes de perceptions : - la forêt mythique (vététistes, cavaliers, promeneurs,…). Ces utilisateurs de la forêt se disent satisfaits de la manière dont est gérée la forêt et ne souhaitent pas de changement dans le futur ; - la forêt matérielle (sylviculteurs, propriétaires). Ce qui importe pour ces acteurs, c’est la dimension utilitaire et économique de la forêt qui représente une richesse et/ou un patrimoine à préserver ; - la forêt idéale (managers, gestionnaires). Pour ces derniers, la forêt est un outil de développement et représente un bon support en terme d’image. Cette étude n’est que la première étape du processus global de management forestier. Ces résultats doivent ensuite être mis à profit pour gérer les conflits entre les différents utilisateurs de la forêt. En définissant des indicateurs de suivi de l’évolution des perceptions de la forêt, il sera possible de répondre aux attentes et demandes des acteurs en tenant compte de la flexibilité, de l’incompatibilité et de l’acceptabilité de chacune d’elle. Le but à long terme étant de satisfaire tous les intéressés grâce à une participation active de chacun d’entre eux et par la prise en commun des décisions. 10/12 approche des indicateurs de gestion durable du parc naturel régional des Landes de Gascogne, aux environ de Mios. C. Orazio (IEFC). L'objectif de cette visite est de visualiser, sur le terrain, différents indicateurs de durabilité sur des sites spécifiques. Sur différents sites, les sociologues et les étudiants forestiers ont échangé leurs impressions sur les indicateurs de durabilité visibles. Nous avons pu ainsi comparer la sensibilité de chacun aux différents éléments du paysage et également nous enrichir des éléments que nous n’avions pas observés. En effet, le représentant de l’IEFC qui nous accompagnait, complétait nos observations et nous informait sur les indicateurs effectivement utilisés. Ces indicateurs se rattachant aux 6 critères de durabilité d’Helsinki. Nous avons pu observer ou évoquer les indicateurs suivants : - La présence de plusieurs classes d’âge - Les surfaces forestières de la zone et leur évolution - L’état de santé de la Foret et la fréquence des dommages observés dans la région - Le taux de plan de gestion dans la région - La présence de structure d’accueil pour les différents acteurs (chemins balisés pour les promeneurs et palombières pour les chasseurs) - Diversité des essences - Présence d’une rivière et observations de la ripisylve (présence d’espèces protégées) - Le bois mort - La structure des propriétés privées de la région. Évaluer la durabilité d’un espace est une entreprise très délicate. Actuellement les indicateurs utilisés sont nombreux afin de répondre aux mieux aux attentes des différents acteurs. Mais il reste difficile de prendre en compte les sensibilités de chacun. 11/12 ANNEXES 12/12