Dossier de presse - Théâtre de Lenche
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Dossier de presse – Théâtre de Lenche - Saison 11/12 WESTERN Massimo Schuster / Théâtre de l’Arc en Terre Théâtre de papier A voir dès 8 ans Du 22 novembre au 10 décembre 2011 Théâtre de Lenche Du 22 novembre au 3 décembre Représentations aux horaires habituels : Mardi, vendredi et samedi à 20h30 Mercredi et jeudi à 19h Du 5 au 10 décembre Dans le cadre de Minots, marmaille & cie : Mercredi 7 et Samedi 10 décembre à 15h00 Représentations Scolaires Lundi 5, Mardi 6, Jeudi 8, et Vendredi 9 décembre à 14h30 Contact presse : Sylvia Duranton – Théâtre de Lenche 4, place de Lenche- 13002 Marseille 04 91 91 52 22- [email protected] www.theatredelenche.info A découvrir avant les représentations de Western Mardi 22, vendredi 25, samedi 26, mardi 29 novembre, samedi 3, mardi 6, mercredi 7, jeudi 8, vendredi 9 et samedi 10 décembre. A 19heures A LA GRACE DE MARSEILLE Un roman de James Welch Adaptation et lecture par Sylviane Simonet Cie Le Temps de dire Lecture feuilleton en 10 épisodes de 50 minutes à l’Annexe du Théâtre de Lenche ( 12 place de Lenche – En face du Théâtre) Chaque épisode est précédé d’un résumé qui permet de rejoindre l’histoire à tout moment ! À la grâce de Marseille raconte l’extraordinaire épopée de Charging Helk (Elan qui charge), jeune indien oglala abandonné dans un hôpital de Marseille par le grand cirque de Buffalo Bill, le légendaire West Wild Show, en tournée dans la vieille Europe. Son étrange destin se jouera des ruelles du Panier aux quais du Vieux Port entre la fin du 19ème siècle et l’aurore du 20ème.. Choc des cultures, déracinement, exil, à travers l’émouvant portrait d’un homme que nous suivrons 16 ans durant, James Welch a écrit un roman passionné, sur un thème évidemment contemporain et dans un grand souffle classique. C’est aussi une savoureuse peinture de la ville cosmopolite. James Welch auteur nord-américain d’origine « black feet » est décédé depuis peu. Il laisse une œuvre puissante et admirée qui a ouvert la voie aux écrivains amérindiens. 2 WESTERN Théâtre de papier Massimo Schuster / Théâtre de l’Arc en Terre Equipe Artistique De Massimo Schuster & Chiara Laudani Mise en scène et jeu Massimo Schuster Dessins Paolo D’Altan Musique originale Paolo Fresu Interprétée par Paolo Fresu, Stefano Onorati, Sonia Peana et Massimo Schuster Costumes Marco Caboni Dispositif scénique Alexandre Bügel & Silvio Martini Régie générale, éclairages et assistant à la mise en scène Silvio Martini Spectacle tout public à partir de 8 ans Durée 60 mn Production Théâtre de l’Arc-en-Terre (Marseille) Coproduction TJP-Centre Dramatique National d’Alsace – Strasbourg, L’Estive-Scène Nationale de Foix et de l’Ariège, Teatro Pietro Aretino - Arezzo (Italie) Le Théâtre de l’Arc-en-Terre est une compagnie conventionnée avec le Ministère de la Culture et de la Communication / Direction Régionale des Affaires Culturelles PACA, subventionnée par la Ville de Marseille, le Conseil Général 13 et la Région PACA. 3 BANDE ANNONCE Des cow-boys, des indiens, un saloon, un ranch, une guitare, des bottes, des chevaux, du bétail, l’Arizona. Un jeune homme qui se cherche un avenir, un chef indien qui sent que son monde s’écroule, un Apache, des bandits mexicains, un directeur des chemins de fer prêt à tout, un gouverneur sans caractère, une jeune femme trop belle pour être honnête, un éleveur sans scrupule. Des intrigues, des amours, des coups tordus, du courage, de l’intégrité, des trahisons, des injustices et la justice qui triomphe enfin. Tout y est. Après avoir voyagé de la guerre de Troie du Dernier guerrier à l’Inde lointaine du Mahabharata, du foisonnement des Trois mousquetaires à la tragédie de la bataille de Roncevaux, Massimo Schuster s’attaque avec sa verve habituelle de conteur à cette grande mythologie contemporaine qu’est le western. Pour cela, il revient à une technique qui lui est chère, celle des théâtres de papier, qui plus que d’autres permet d’allier grandiloquence et clins d’œil et nous fait entrer dans un monde spectaculaire à la Hollywood. Le western nous appartient, à nous tous, enfants et adultes. Il a contribué à nous forger, il nous a fait rêver et voyager, il nous a appris à détester les injustices et les forfaitures, il nous a offert toute une galerie de héros simples et humains dans lesquels nous reconnaitre. Avec bonheur et légèreté, ce spectacle nous fait replonger dans cet univers où le bien finit toujours par triompher du mal. 4 LE SPECTACLE Depuis une trentaine d’années, un des axes principaux du travail de Massimo Schuster a été le rapport entre la marionnette et les textes classiques, théâtraux ou littéraires, adaptés aux exigences du théâtre d’animation. Mais derrière cette volonté de revisiter les épopées et les mythes se cache celle de se confronter, en les adaptant au public contemporain, à des thématiques populaires. Ainsi, dès son Macbeth de 1984 et plus tard avec Le Cid, puis avec Les trois mousquetaires, Charta, le Mahabharata, et jusqu’au Dernier guerrier, Massimo Schuster a toujours puisé dans les figures traditionnelles du conteur et du bateleur l’inspiration pour réinventer le rôle même du marionnettiste, se permettant des croisements entre manipulation, narration et jeu d’acteur. Popularisé d’abord aux USA par la publication des dime novels (romans à trois sous) dès la fin du XIXe siècle jusqu’aux années 40, le western s’est transformé en mythologie universelle grâce à Hollywood, berçant l’enfance et l’adolescence de millions de personnes à travers le monde. Il existe, bien sûr, différentes familles de western : des psychologiques aux politiques, des intimistes à ceux liés aux grands espaces de l’ouest américain, jusqu’aux meilleurs et aux pires westerns spaghetti et aux quelques rares western comiques. Mais le fil qui relie toutes ces formes est celui d’un contenu basé sur des valeurs simples de courage, loyauté, fidélité et amitié, celles-là mêmes qui constituent la colonne vertébrale de la littérature dite “populaire” occidentale, de Dumas à Salgari, de Scott à l’ensemble de la Heimatliteratur allemande. Vu ainsi, le western semble répondre non seulement à un désir d’évasion, mais aussi à un vrai besoin des publics les plus divers de revivre à l’infini des schémas narratifs dans lesquels le bien triomphe toujours sur le mal grâce à l’expression de valeurs trop souvent bafouées par les structures sociales. Poussé par son grand amour pour Alexandre Dumas, c’est en repensant à sa mise en scène des Trois Mousquetaires que Massimo Schuster a décidé de revisiter le western. Comme ce fut le cas pour l’œuvre de Dumas, l’idée est ici de travailler à partir de la tradition des théâtres de papier, forme simple techniquement mais qui, justement en raison de sa simplicité, permet des dynamiques cinématographiques par l’emploi d’un grand nombre de personnages, de décors multiples et d’éléments comiques issus directement de l’apparente contradiction entre grandeur du propos et simplicité des moyens utilisés. En collaboration avec la scénariste Chiara Laudani, Massimo Schuster a écrit un texte original dont l’histoire se déroule en Arizona vers 1870. Alexandre Bügel inventeur et constructeur de têtes caméra pour le cinéma — notamment pour les films documentaires de Jacques Perrin — a construit un mécanisme scénique basé sur plusieurs plateaux roulants. Paolo D’Altan, dessinateur il y a une vingtaine d’années des personnages des Trois Mousquetaires, a créé figures et décors. Paolo Fresu, un des meilleurs trompettistes de jazz contemporains, a composé une bande son originale enregistrée avec la violoniste Sonia Peana. Le spectacle prendra vie dans un castelet fermé, totalement autonome et de transport facile. Le spectacle Western est destiné à tous les publics, tant aux jeunes qu’aux adultes, aux plus populaires comme aux plus cultivés, car c’est là une des règles de base que nous avons suivie dans nos précédentes créations. Pour reprendre l’exemple de Dumas, ou celui de son inspirateur et maitre Walter Scott, bien que leurs textes soient normalement considérés comme faisant partie de la littérature destinée à l’adolescence, ils continuent à compter de très nombreux lecteurs parmi les adultes les plus exigeants. 5 WESTERN / LA PRESSE… TELERAMA du 14 au 20 mai 2011 Massimo Schuster est grand, pataphysicien, végétarien et chauve. Marionnettiste aussi. Il fait les spectacles qu’il aimerait voir comme spectateur. Et c’est tant mieux car nous aimons voir les spectacles qu’il crée ! A l’instar de cette nouvelle création découverte aux Giboulées de la Marionnette. Toutes les figures emblématiques du western (le cow-boy, le shérif, les Indiens, les tuniques bleues) sont réunies sur une petite scène. Mais ni la dimension du plateau ni celle des petites figurines en papier n’amoindrissent le tableau, car le souffle épique des récits est préservé et les décors interchangeables restituent l’ampleur de l’Ouest américain. Aves une bonne dose d’humour. A voir à tout âge. DNA, dimanche 20 mars 2011 QUELQUE CHOSE DE CINEMA Massimo Schuster au far West pour un western en papier, une certaine idée de cinéma au festival strasbourgeois de la marionnette. Chapeauté et botté, en habits noirs, Massimo Schuster entonne la rengaine du héros solitaire, tel un légendaire Lucky Lucke : I’m a poor lonesome cow-boy. Sur cette folk song familière, la nouvelle création de son Théâtre de l’Arc-en-Terre, Western, embarque sur les territoires d’une certaine mythologie américaine : en route pour une aventure des grands espaces, dans le désert rude de l’Arizona, sur des terres immenses et disputées par des cow-boys conquérants et des indiens enracinés, sur fond de corruption, de manœuvres politiques… Western se joue dans un théâtre aux héros de papier, mais il trace sa route fidèle aux lois du genre et aux clichés popularisés par le cinéma… L’UNITA, mardi 17 mai 2011 LE WESTERN COMME VOUS NE L'AVEZ JAMAIS VU : EN SCENE, LES MARIONNETTES COLOREES DE SCHUSTER Massimo Schuster, artiste éclectique, est le seul représentant italien à la Biennale Internationale des Arts de la Marionnette de Paris. Ses silhouettes de carton sont dessinées par Paolo D'Altan et évoluent sur une musique de Paolo Fresu. Le western, genre cinématographique par excellence, fait de prairies immenses, de grands espaces traversés par des cavaliers solitaires, de saloons poussiéreux, de pianistes imperturbables, de pistoleros et de camps indiens, est maintenant abordé au théâtre. Massimo Schuster, artiste éclectique s’il en est, l’a réinterprété avec ses figurines de carton, unique représentant italien à la Biennale Internationale des Arts de la Marionnette de Paris. Western, titre presque convenu pour un spectacle qui n’a rien de convenu, à part le respect presque maniaque pour les canons d’un genre toujours actuel. Les acteurs surtout, silhouettes de papier dessinées par Paolo D'Altan qui évoluent sur une scène de deux mètres sur un, comme dans les vieux théâtres de papier des années 1800, sont en dehors des schémas. Personnages manipulés à vue par les mains de Schuster, qui dialoguent avec le marionnettiste, partenaire en scène de ses propres marionnettes. Personnages qui suivent la dramaturgie de Chiara Laudani construite sur des citations et situations inspirées de la grande période de la cinématographie hollywoodienne des années 50 et 60, et qui évoluent sur des musiques originales de Paolo Fresu, en formation réduite, trompette, violon, piano, guitare et voix avec quelques suppléments électroniques pour en souligner les parfums et les saveurs. JUSTICE ET HONNEUR Le western est l’occasion d’aborder, de manière simple et populaire, les grands sujets de toujours comme la justice, l'honneur, le devoir, la négation des droits vis-à-vis de qui est 6 « différent ». L’éternelle lutte entre le bien et le mal. Massimo Schuster réussit à instaurer une complicité avec le public en mêlant grande histoire et petites histoires, comme dans les grands westerns du cinéma. Les citations et références à la grande épopée du Far West, aux guerres continuelles entre fermiers et tribus peaux-rouges qui tentent en vain de sauver leur terre des invasions blanches, ne manquent pas. Ces grands sujets servent de toile de fond aux aventures de Tom, cow-boy parti du Tennessee pour conduire un troupeau et de Sam Wilkinson jeune apprenti embauché par Tom. Sam deviendra un homme au cours de cette histoire qui se déroule à Tucson, Arizona, au début des années 1870. Quand le mythe de la frontière et de l’Ouest lointain se construisait. Comme point de départ, les Apaches réfugiés sur les montagnes, l’incontournable gouverneur corrompu et la fille de saloon du grand coeur tout aussi incontournable. Et comme tout western qui se respecte, ici aussi les méchants sont démasqués et punis. Tous les éléments qui nous ont rendu familier ce genre cinématographique sont là. "Grâce aux grands westerns des années 50 et 60, explique Schuster, je suis arrivé plus tard aimer l'Iliade et la mythologie grecque, Dumas et Scott, le Mahabharata et les autres grands poèmes épiques du monde." Poèmes épiques portés ensuite en scène avec des marionnettes. … Dans l'attente de pouvoir les admirer en Italie, les figurines de Schuster reviendront s'exhiber en septembre, au Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes de Charleville-Mézières. 7 LES COLLABORATIONS MASSIMO SCHUSTER et PAOLO D’ALTAN «C’est le moment où tout ce que j’ai prévu pendant des mois va enfin prendre forme, une forme inattendue, comme toujours. Paolo D’Altan, le dessinateur qui avait déjà travaillé avec moi pour mes Trois mousquetaires, m’envoie chaque jour de nouveaux dessins. Le travail a beaucoup changé depuis l’époque des Mousquetaires. À l’époque, il avait fait tous les dessins à la main, en noir et blanc, puis je les avais coloriés un par un au feutre, suivant ses indications de couleur. Maintenant nous travaillons sur ordinateur, échangeant des fichiers, et cela nous permet des corrections rapides et un dialogue beaucoup plus serré. Ma palette graphique me permet d’intervenir directement sur les dessins originaux. Si j’apporte des modifications, je renvoie le fichier à Paolo pour approbation et dans les cinq minutes j’ai une réponse. C’est très agréable. Puis je coupe, je colle sur carton plume et je découpe au bistouri. Les rayons de ma bibliothèque sont devenus des présentoirs pour des dizaines de cow-boys, indiens, petites femmes de saloon, ouvriers chinois du chemin de fer, sherifs, rangers et paysages de l’Arizona. J’ai l’impression de retrouver quelque chose de mon enfance quand, allongé en travers sur mon lit, ma Winchester en plastique à la main, je tuais les méchants au fond du canyon. J’ai envie de m’amuser, je m’amuse déjà. Je suis conscient que c’est par le biais des grands western des années 50 et 60 que je suis arrivé plus tard à aimer l’Iliade et la mythologie grecque, Dumas et Scott, puis le Mahabharata et les autres grands poèmes épiques du monde. Et cet amour-là, j’ai vraiment envie de le partager.» Massimo Schuster MASSIMO SCHUSTER ET PAOLO FRESU «Belle rencontre que celle avec Paolo. Trompettiste magnifique (à vrai dire son instrument privilégié est le bugle), c’est aussi une belle personne. Et je suis fier qu’il ait accepté de travailler à mon spectacle, lui qui de Trilok Gurtu à Gerry Mulligan, de Ralph Towner à Aldo Romano, de Carla Bley à Richard Galliano, en passant par Omar Sosa, Nguyên Lê, Palle Danielsson et plein d’autres, a joué et enregistré avec les meilleurs jazzmen contemporains. J’ai beau être (presque) toujours seul sur scène, quand je pense à mes quarante et quelques années de travail ce sont les collaborations avec des artistes comme Enrico Baj, Peter Schumann, Hervé et Richard Di Rosa, Anthony Burgess, Joan Baixas, Lorenzo Ferrero et aujourd’hui Paolo Fresu qui me rendent heureux. Des artistes à la pointe dans leurs domaines respectifs, mais aussi et surtout des hommes qui, ayant accepté de partager un bout de mon chemin, m’ont permis de mieux connaître le leur de l’intérieur, de voir d’autres façons de créer, de rêver et d’exister. Il m’a appelé hier, Paolo. Pour une fois il n’était pas dans un avion, mais dans un train, lui qui enchaîne les concerts et les séances d’enregistrement sur les cinq continents. Il m’a parlé de ce qu’il a composé et de ce qu’il pense improviser, selon mes besoins. Oui, c’est très excitant.» Massimo Schuster 8 WESTERN / L’EQUIPE Massimo SCHUSTER Né à Lodi, Italie, en 1950 Massimo Schuster a fait ses premiers pas dans le monde du théâtre à l’École d’Art Dramatique du Piccolo Teatro de Milan. il rencontre le Bread and Puppet Theatre de Peter Schumann et partage pendant plusieurs années ses nombreuses tournées et créations aux USA, au Canada et dans plusieurs pays d’Europe. il crée sa compagnie en France en 1975 et s’affirme rapidement comme un créateur original dans le panorama mouvant du théâtre français. Son travail se caractérise par des collaborations avec des peintres, des sculpteurs, des écrivains, des musiciens et par son attachement aux textes classiques revus, corrigés et adaptés au théâtre de formes animées. Auteur, il a publié de nombreux articles dans des revues professionnelles et cinq ouvrages. Pédagogue, il a enseigné à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières et a dirigé des stages en France, Italie, Slovaquie, Portugal, Éthiopie, Niger et Brésil. Membre du College de Pataphysique, il est décoré de l’Ordre de la Grande Gidouille par l’Institutum Pataphysicum Mediolanense. Chiara LAUDANI Née à Cagliari, Italie, en 1970 Après l’obtention d’un Master à l’Ecole Huber de Rome (tuteur Roberto Baricco), un cours pour scénariste à la RAI et un atelier de spécialisation auprès du groupe Mediaset, Chiara Laudani a commencé sa carrière de scénariste pour la télévision et le cinéma en 1999. Auteur et co-auteur de nombreux scénari pour la télévision et de cinq long-métrages, elle a reçu le prix du concours européen Corto in Bra (2000) pour le meilleur court-métrage, le prix Fellini pour le long-métrage Voci de Franco Giraldi (2002) et le prix Medusa pour le longmétrage Shimessalinu (Dio ce ne scampi e liberi) de Giovanbattista Avellino (2004). Paolo D’ALTAN Né à Milan en 1964 Illustrateur autodidacte, il a travaillé avec les plus grandes agences publicitaires italiennes et a publié des dessins dans nombre de quotidiens (Corriere della sera, Il Sole 24 Ore, Ventiquattro, ect). Il a illustré des livres pour Grimm Press, Gallimard, Mondadori, Einaudi, Piemme, a participé à de nombreuses expositions en Italie et à l’étranger, a reçu deux médailles d’or de l’Art Directors Club italien, le prix Annual Illustratori de l’Association Italienne des Illustrateurs et le prix Turin, ville de Culture. En 1994, il a dessiné tous les personnages de théâtre de papier pour Les Trois Mousquetaires du Théâtre de l’Arc-en-Terre. Alexandre BUGEL Né à Geislingen/Steige (Allemagne), en 1968 Après un baccalauréat franco-allemand à Freiburg, il entre en 1990 au Conservatoire Libre du Cinema Français et crée en 1991 l’association SANDOR WELTMANN. Il travaille à différents postes de technicien de l’image, mais surtout comme chef machiniste pour le cinéma, le documentaire et la publicité. Il a notamment travaillé sur OCEANS et LE PEUPLE MIGRATEUR de Jacques Perrin, pour qui il a conçu et réalisé les dispositifs de tournage, mais aussi LOVE ME de Laetitia Masson, ASSASSIN(S) et LA HAINE de Mathieu Kassovitz ou L’HOMME EST UNE FEMME COMME LES AUTRES de Jean-Jacques Zilbermann. Il est également chef constructeur pour le théatre, notamment pour le GROUPE MERCI (« Réserve d’acteurs », « Colère ! » et « Européana ») et le collectif DE QUARK (« Glaces »). En 2009, Il participe à la création de la compagnie STUNT, pour laquelle il signe la scénographie et la « mise en image ». 9 Silvio MARTINI Né à Arezzo, Italie, en 1972 Après un bac de techniques électriques et industrielles en 1991, il obtient un diplôme de scénographie technique en 1994 et de régie lumière et régie plateau en 1995. Il travaille avec le Théâtre de l’Arc en Terre depuis 2003 mais aussi avec le Théâtre communal de Turin, la Coopérative Nazareno, le Théâtre de Los Andes (Bolivie), ACTI, (Turin), Armunia, festival Costa degli Etruschi, le Théâtre Communal de Florence, le Théâtre Metastasio (Prato), Theatre House (Stuttgart)… et avec les danseurs Raffaella Giordano,Giorgio Rossi, Virgilio Sieni, ,Roberto Castello. Il assure la direction technique de plusieurs festivals dont La Semaine de l’Archéologie (Arezzo), Visioni (Toscane), Europla’ (Toscane), Fête de Capodanno (Florence), Natalogie (Prato), Pievi e Castelli in Musica (Toscane), Il teatro e il Sacro (Toscane). Paolo FRESU Né à Berchidda, en Sardaigne, en 1961 Musicien (trompette et bugle), compositeur, arrangeur, il commence la trompette à 11 ans dans la fanfare de son village natal. Il a donné des concerts sur les cinq continents dans des lieux comme, l’Olympia et la Salle Pleyel à Paris, le Blue Note et le Birdland à New York… et enregistré plus de 270 albums de jazz ou mixtes. Il a reçu de nombreux prix, notamment le Django d’Or français du meilleur musicien de jazz en 1996 et du meilleur musicien international en 2001. Il participe à de nombreuses formations musicales, du duo à l’orchestre, et explore d’autres styles (tango, musiques d’Ennio Morricone, classique, musique sarde, musique zoulou, fanfare de macédoine, variétés…) Il collabore avec des peintres, sculpteurs, artistes vidéo, plasticiens, écrivains, poètes et compose pour la danse, le théâtre, l’opéra… Il est directeur de plusieurs manifestations artistique en Europe. Depuis le début des années 80, il donne des cours et master class en Italie et à l’étranger. Il a publié différents articles dans la presse spécialisée et trois livres. Paolo Fresu vit entre Paris, l’Appennin Tosco-Emilian et la Sardaigne. 10 LE THEATRE DE L’ARC EN TERRE Depuis 1975, le Théâtre de l’Arc-en-Terre crée des spectacles de marionnettes qui s’adressent à un public adulte, indépendamment de l’âge des spectateurs. Il est dirigé par Massimo Schuster, italien de naissance, citoyen francais depuis plus de 30 ans, marionnettiste, comédien, conteur, metteur en scène, mais aussi photographe, grand voyageur, pataphysicien, végétarien et chauve. Après l’école d’art dramatique du Piccolo Teatro de Milan, Massimo Schuster part à l’aventure avec le Bread and Puppet Theater de Peter Schumann puis crée sa propre compagnie, le Théâtre de l’Arc-en-Terre. Très vite, il s’affirme comme un créateur original et devient l’un des solistes les plus connus du monde de la marionnette. Attaché aux grands textes épiques, théâtraux et littéraires, qu’il adapte pour mieux parler des remous de notre temps, sa curiosité pour les arts visuels l’amène à faire appel à différents artistes pour la conception de ses marionnettes, afin d’explorer des rapports originaux avec les personnages qu’il manipule. L’Arc-en-Terre s’est produit dans une soixantaine de pays sur quatre continents, participant notamment à de nombreux festivals internationaux. 11 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES Théâtre de Lenche 4, place de Lenche 13002 Marseille Renseignements et réservations 04 91 91 52 22 www.theatredelenche.info Accès Métro-Vieux Port (ligne 1) ou Joliette (ligne 2) Bus 49, Tramway arrêt Sadi-Carnot. Parking Jules Verne Horaires Du 22 novembre au 3 décembre Représentations aux horaires habituels : Mardi, vendredi et samedi à 20h30 Mercredi et jeudi à 19h Du 5 au 10 décembre Dans le cadre de Minots, marmaille & cie : Mercredi 7 et Samedi 10 décembre à 15h00 Représentations Scolaires Lundi 5, Mardi 6, Jeudi 8, et Vendredi 9 décembre à 14h30 Tarifs Général : 16 € Réduit : 8€ Bénéficiaire du RSA : 2 € - (sur présentation d’un justificatif CAF de moins de 3 mois) Carte Spectateur : 18 € - (carte nominative, donne accès à trois spectacles de la saison) Carnet à plusieurs : 36 € (pour 6 places à partager dans la limite de 3 par soir) 12
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