LECTIO DIVINA PAR SEQUENCE
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LECTIO DIVINA PAR SEQUENCE
De Saint-Marc jusqu'à Tertullien TOME IV LECTIO DIVINA PAR SEQUENCE EXEGESES _______________ 1995 / 1995 Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 ) PRESENTATION / SEQUENCES Mc - 2 - TABLE DES SEQUENCES _______________ Page AVERTISSEMENT : 0-0 La transcription du grec Avant le commencement 0-1 I-1 à 15 I-2 et 3 I-4 I-16 à 20 I-29 à 31 Le prologue Chemin et sentiers Un pardon de péchés L'appel La belle-mère de Simon I- 1 I-31 I-36 I-40 I-46 II-1 à 12 II-7-8 et 12 II-23 à 28 Il blasphème ! Ainsi Le grand prêtre Abiathar II- 1 II-15 II-18 III-1 à 6 III-6 III-7 à 12 La main desséchée La première Pâque L'Idumée III- 1 III-19 III-28 IV-3 à 20 IV-35 à 41 "La parabole du semeur" Et le vent s'apaisa IV- 1 IV- 8 V-1 à 20 V-21 à 43 V-25 et 26 Vers le pays des géraséniens Deux femmes De nombreux médecins V- 1 V- 5 V-26 VI-3 VI-15 Le charpentier, le fils de Marie L'un des prophètes VI- 1 VI-12 VII-1 à 5 VII-9 et 10 VII-21 et 2 VII-24 à 30 VII-34 (Des rites de purification) "Honore ton père et ta mère" Les réflexions les pires La syrophénicienne Et Jésus soupira VII- 1 VII-21 VII-31 VII-37 VII-55 Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 ) PRESENTATION / SEQUENCES Mc - 3 - VIII-10 VIII-11 VIII-28 "A Dalmanoutha" Un signe du ciel L'unique des prophètes VIII-1 VIII-11 VIII-18 IX-2 à 8 IX-6 IX-14 à 30 (La Transfiguration) Car il ne savait pas Guérison de l'esprit sans-parole IX-1 IX-7 IX-11 X-17 X-17 X-19 X-32 à 52 X-35 à 45 X-37 X-47 "Que ferai-je afin d'avoir en héritage la vie éternelle ?" Un-unique (homme) Jésus dit le Décalogue Par Jéricho Jean et Pierre La Gloire de Dieu Jésus le nazarénien X-1 X-7 X-17 X-32 X-50 X-59 X-68 XI-0 XI-1 XI-15 et 16 XI-21 XI-25 XI-25 La semaine de la Passion Vers la montagne des oliviers Transporter d'affaire par le Temple Le figuier desséché Afin qu'aussi (votre Père...) Qui ... dans les cieux XI-1 XI-3 XI-10 XI-14 XI-16 XI-33 XII-29 XII-31 XII-33 Ecoute Israël Ton prochain comme toi-même Aimer ... plus ... que holocaustes XIII-1 à 5 XIII-9 à 13 L'un de ses disciples Le martyre XIII-1 XIII-7 XIV-1 à 26 XIV-12 à 22 XIV-13 XIV-22 à 24 XIV-54 XIV-53 à 72 XIV-61 La Pâque Apprêter du pain Une cruche d'eau Ceci... mon corps... mon sang Le feu et la lumière Pierre Celui-ci se-taisait XIV-1 XIV-17 XIV-35 XIV-54 XIV-57 XIV-64 XIV-91 XII-1 et XII-3 XII-4 XII-15 Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 ) PRESENTATION / SEQUENCES Mc - 4 - XV-1 XV-19 XV-22 XV-28 XV-29 à 39 XV-33 et 34 XV-34 XV-36 et 37 XV-35 XV-36 XV-38 Le Sanhédrin entier Avec un roseau Lieu du crâne Il fut compté avec les sans-loi Vraiment... Fils de Dieu Lema sabachthani Lema sabachthani Laissez ! Autour d'un roseau Une éponge de vinaigre Le rideau du Sanctuaire XV-1 XV-8 XV-11 XV-18 XV-25 XV-35 XV-74 XV-76 XV-81 XV-87 XV-92 XVI-1 à 15 XVI-15 XVI-9 Un texte insolite Le Message Divin (Un signe du ciel) XVI-1 XVI-16 XVI-21 FINALE XVI-27 _______________ Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 ) PRESENTATION / SEQUENCES Mc - 5 - AVERTISSEMENT LA TRANSCRIPTION DU GREC _______________ Puisque le temps doit arriver de remettre les présents textes à l'imprimeur, l'auteur se trouve devant la nécessité de prendre position sur la question de la transcription des textes grecs en caractères lisibles par tous les lecteurs. Adoptant les règles usuelles de transfert des lettres de l'alphabet grec (pour lesquelles il n'y a pas de difficulté spéciale), il a eu, par contre, à résoudre le problème des accents. Or, l'accentuation grecque est très tardive car ce n'est que vers la fin du III° siècle av. J.-C., à Alexandrie, que, pour la première fois, ont été définies les premières règles de l'orthographe et de la prononciation de ce que nous appelons la langue grecque mais qui, jusque là, était composite car provenant de diverses régions. Il était devenu nécessaire de codifier une langue commune aux fins de faciliter les relations commerciales entre les pays de Haute Egypte et les pays du bassin méditerranéen. On cite, comme ayant été l'agent principal de ce travail linguistique, Aristophane de Byzance (262 ? à 185 ? av. J.-C.), qui serait l'inventeur des esprits et des signes. Environ une trentaine d'années plus tard, Aristarque de Samothrace compléta le nombre des esprits et des signes. Le texte de la Septante est donc, à son origine, sans accentuation. Les accents (ainsi définis au II° siècle av. J.-C.) n'étaient pas utilisés systématiquement dans les 'éditions' de l'époque. Bien au contraire, leur emploi est devenu d'un usage courant seulement au-delà du VII° siècle ap. J.-C. et, jusqu'à cette date, "aucun manuscrit n'est accentué d'une manière continue" (J. Vendryes : Traité d'accentuation grecque - Paris 1958) Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 ) PRESENTATION / SEQUENCES Mc - 6 - La définition des accents (au II° siècle av. J.-C.) n'avait eu pour but que de fixer des règles de prononciation permettant aux diverses voix (romaines ou grecques, barbares de toutes régions) de parler les mêmes mots d'une façon plus compréhensible par tous. Un sémite (hébreu ou arabe) prononçait certainement très différemment d'un grec (d'Athènes ou de Sparte !). Ayant à définir des règles de transcription des accents grecs, l'auteur a voulu tenir compte du fait que le texte de l'évangile de Saint Marc est un livre inspiré, arrivé comme le sixième et dernier chapitre de la Tora. Il a donc délibérément retenu de transcrire les textes grecs sans tenir compte des esprits (doux et rudes), tous étant absents du texte grec de la Tora = la Septante. Les textes grecs ainsi présentés doivent être lus suivant le même mode opératoire que celui suivi par les juifs de l'époque lisant leurs textes hébreux. En effet, ces derniers textes sont écrits uniquement avec des consonnes et les mots ne comportent que leur ossature. Le sens est donné par l'intonation de la voix du lecteur, ce qui est - obligatoirement - son interprétation et son intelligence de l' Ecriture, ou encore son exégèse. C'est seulement vers le X° siècle ap. J.-C. que l'écrit hébreu comportera des voyelles, signes visibles codifiant la musique des mots. L'intonation de la voix devient ainsi transmission orale du texte avec son sens obligé. La présente remarque est d'une importance capitale car elle oblige le lecteur actuel de ces textes (hébreux ou grecs) à regarder attentivement la graphie et à prêter une grande attention aux successions / répétitions / structures / dessins des mots du texte. Pour des raisons de concision, l'auteur a été amené parfois à signaler, dans la transcription, le 'iota-souscrit' mais, lors de l'analyse du passage correspondant, le lecteur trouvera un commentaire expliquant comment, dans cette lettre spéciale, il y a la forme de la lettre oméga et pourquoi, venant en cet endroit précis à cause des lois de la grammaire, elle est d'abord et fondamentalement la réponse conclusive renvoyant à la lettre alpha du commencement du texte. _______________ Jean-Marie GEORGEOT - " De Saint-Marc jusqu'à Tertullien " ( 1978 à 2004 )