Nouvelle réaliste - Collège Saint-Charles

Transcription

BIBLIOGRAPHIE 4ème
NOUVELLES REALISTES
1 – Guy de Maupassant – 22 recueils
A cheval
Une vieille femme se fait renverser par un cavalier inexpérimenté. Il décide de prendre en charge ses
soins mais la femme profite de l'occasion et vit alors à ses dépens.
1
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La Parure : et autres nouvelles - Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 148 – 3 € (7 nouvelles)
La Parure et autres nouvelles - Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 148 – 3 € (7 nouvelles)
La Parure et autres nouvelles réalistes – Librio, Coll. Littérature, n° 1104 – 2 € (9 nouvelles)
9 nouvelles légères - Gallimard, Coll. Folioplus classiques, n° 251– 4 € (9 nouvelles)
Adieu
2
Deux amis finissent de dîner quand l’un des deux dit à l’autre, en soupirant profondément, qu’il se sent
vieillissant. Mais l’autre, un peu plus âgé, ne se sentait pas du tout vieux. Il parle de ses souvenirs de
jeunesse et comprend, lui aussi, que le temps passe.
 La Parure et autres nouvelles réalistes – Librio, Coll. Littérature, n° 1104 – 2 € (9 nouvelles)
Auprès d’un mort
3
Un homme se meurt doucement. A cette occasion, il raconte la plus grande frayeur de sa vie, alors qu’il
veillait le corps de son maître, philosophe Schopenhauer
 Boule de Suif - Le Livre de poche. Classiques de poche, n° 650 – 2,30 € (21 nouvelles)
 Boule de Suif - Gallimard, Coll. Folio. Classique, n° 3297 – 4,50 € (21 nouvelles)
Aux champs
4
Deux familles pauvres vivent misérablement dans deux chaumières. Un jour, un couple noble, qui ne
peut pas avoir d’enfant, veut adopter moyennant finances, le plus jeune d’une des familles. La mère
refuse violemment cette proposition inhumaine à ses yeux. Mais l’autre couple accepte la rente en
augmentant le tarif proposé au début. Du coup, les deux familles ne se parlent plus. Le fils défendu par
sa mère se sent supérieur. Mais vingt ans plus tard, l’autre garçon, devenu un jeune homme riche, refait
son apparition.
 Le papa de Simon : et autres nouvelles - Flammarion, Coll. GF. Etonnants classiques – 2,80 € (9
nouvelles)
 Cinq nouvelles réalistes - Magnard, Coll. Classiques & patrimoine, n° 4 – 2,95 € (5 nouvelles)
 Contes et nouvelles - Hatier, Coll. Classiques Hatier. Oeuvres & thèmes, n° 43– 3,40 € (9 nouvelles)
 Contes de la bécasse - Bordas, Coll. Univers des lettres. Classiques Bordas, n° 41 – 3,55 € (17
nouvelles)
 Contes de la bécasse - Le Livre de poche. Jeunesse. Classique, n° 499 – 4,95 € (15 nouvelles)
Collège Saint-Charles – CDI – 2014/2015
Boitelle
5
Boitelle, qui fait son temps de soldat au Havre, s'éprend de la jeune bonne du café des Colonies, une
noire. Il décide de la présenter à ses parents qui cultivent une petite ferme à Tourteville mais ses parents
ne supportent pas sa couleur de peau trop foncée à leur goût.
nouvelles)
Boule de Suif
6
Pendant la guerre de 1870, en plein hiver, alors que Rouen est envahie par les prussiens, une diligence
avec à son bord "Boule de suif" et neuf autres personnes s'enfuient vers Dieppe. Il y a là un couple de
commerçants, deux couples de la bourgeoisie et de la noblesse, deux religieuses, un démocrate, et Boule
de suif, une femme galante, dont la présence soulève la méfiance, l’indignation ou la curiosité. Le
voyage s’annonce difficile, le froid est vif. La neige ralentit la progression de la diligence. Les
voyageurs ont faim. Seule, Boule de Suif a pensé à emporter des provisions qu’elle partage volontiers
avec ses compagnons de voyage. Ceux-ci n’hésitent pas alors à oublier provisoirement leurs préjugés
pour bénéficier de la générosité de la passagère. Mais lorsque celle-ci à besoin d’eux à son tour, ils se
contentent d’afficher leur mépris.
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Boule de Suif et autres nouvelles – Librio, Coll. Librio littérature – 2 € (9 nouvelles)
Boule de Suif - Flammarion, Coll. GF. Etonnants classiques, n° 87 – 3,20 € (1 nouvelle)
Boule de Suif - Pocket, Coll. Pocket. Classiques à petit prix, n° 12350 – 1,55 € (2 nouvelles)
Boule de Suif - Le Livre de poche. Classiques de poche, n° 650 – 2,30 € (21 nouvelles)
Boule de Suif - Gallimard, Coll. Folio. Classique, n° 3297 – 4,50 € (21 nouvelles)
Boule de Suif et autres nouvelles – Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 50– 3€ (5 nouvelles)
Boule de suif et autres récits de guerre - Flammarion, Coll. GF, n° 584 – 5,80 € (16 nouvelles)
Ce cochon de Morin
7
Morin, mercier à La Rochelle, est arrêté pour « outrage aux bonnes mœurs » car il a embrassé de force
une jeune fille dans un train revenant de Paris, Henriette Bonnel. Celle-ci, qui s’était débattue contre
Morin, cède aux charmes de Labarbe, venu plaider la cause de son ami, Morin.
nouvelles)
Coco
8
À la ferme des Lucas, on conserve par charité, dans le fond de l'écurie, un très vieux cheval que la
maîtresse veut nourrir jusqu'à sa mort naturelle, parce qu'elle lui rappelle des souvenirs. Un vaurien de
quinze ans, nommé Isidore Duval, surnommé Zidore, doit prendre soin de la bête, la nourrir et, quatre
fois par jour, en été, la déplacer dans le pré où on l'attache, afin qu'elle ait en abondance de l'herbe
fraîche. Quand Zidore le mène à l'herbe, il lui faut tirer sur la corde, tant la vieille rosse se déplace avec
peine. Les gens de la ferme et ses camarades, voyant la colère du garçon contre Coco, prennent le
garçon pour souffre-douleur, ce qui l'exaspère. Il sent naître en lui le désir de se venger du cheval.
nouvelles)
« Coco, coco, coco frais ! »
9
Aurélien Malte, 36 ans, écrit des lettres, qu'il n'enverra jamais, à Anne, sa visiteuse de prison. Il lui
raconte la violence, l'enfermement et aussi la rédemption par la culture et l'amour qu'elle lui inspire.
 9 nouvelles légères - Gallimard, Coll. Folioplus classiques, n° 251– 4 € (9 nouvelles)
Deux amis
10
L’histoire se déroule pendant le siège de Paris, lors de la Guerre franco-prussienne de 1870. Deux
camarades, Morissot et Sauvage, décident d’aller pêcher dans l’île Marante à Colombes malgré les
consignes des occupants. Arrêtés comme espions, ils refusent de « donner le mot d'ordre » à l'officier
prussien, ils sont fusillés immédiatement.
 Boule de Suif et autres nouvelles – Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 50– 3€ (5 nouvelles)
 Boule de suif et autres récits de guerre - Flammarion, Coll. GF, n° 584 – 5,80 € (16 nouvelles)
En famille
11
Monsieur Caravan, modeste employé de bureau, mène depuis trente ans une vie réglée comme du papier
à musique, chaque soir dans le tramway qui le ramène à Courbevoie, il discute avec M. Chenet, un soidisant médecin, fait une partie de domino au café, puis il rentre chez lui retrouver sa femme, ses deux
enfants et sa mère de quatre-vingt-dix ans qui habite l’appartement au-dessus. Les époux passent leurs
soirées à discuter d’une meilleure vie. Un soir, la mère Caravan décède. Le couple se précipite pour
récupérer des biens précieux chez elle, avant l’héritage. Mais leur surprise est grande, lorsque, quelques
heures plus tard, ils la voient redescendre dans leur appartement.
En mer
Un bateau de pêche s’est échoué, cinq hommes ont péri dont le patron Javel. Il se souvient alors que dixhuit ans auparavant, il avait sacrifié le bras de son frère dans des circonstances terribles. Par avarice, il
avait refusé de couper le câble qui coinçait le bras de son frère. Il avait alors fallu l’amputer.
12  Contes de la bécasse - Bordas, Coll. Univers des lettres. Classiques Bordas, n° 41 – 3,55 € (17
nouvelles)
En voyage
13
Un vieil homme raconte à un voyageur le drame qui s’est passé devant le réservoir devant lequel les
deux hommes se trouvent.
Deux garçonnets jouaient, leur percepteur lisant, allongé à côté. Le plus âgé des garçons tombe dans le
réservoir ; aussitôt le percepteur plonge pour le secourir. Malheureusement, il heurte le fond et ne
réapparaît pas. Le garçonnet, seul, arrive à regagner le bord, mais il lui est impossible de franchir le
rebord. Son petit frère qui le tient des deux mains faiblit peu à peu. Ils crient. Personne ne les entend. Le
garçon comprend qu'il ne survivra pas. Le lendemain, on retrouva les deux corps.
nouvelles)
En wagon
14
À Royat, une grave affaire tourmente Mmes de Sarcagnes, de Vaulacelles et de Bridoie : Comment faire
venir de Paris leurs fils, élèves chez les Jésuites, dans un train fréquenté par des femmes de mauvaises
vie ? La mission est confiée à un jeune prêtre, l'abbé Lecuir.
Farce normande
15
Jean Patu, le fermier le plus riche du village, se marie. Quand la noce arrive à la ferme, les paysans
tirent des coups de fusils en l’air et le repas peut commencer. Le soir, tout le monde est ivre. Les
paysans disent des obscénités et des plaisantins font remarquer à Jean Patu que les braconniers vont
sûrement profiter qu’il est occupé avec sa femme pour venir chasser sur ses terres. Quand la nuit de
noce commence, on entend un coup de feu. Fou de colère, Jean Patu court avec son fusil à la recherche
des braconniers.
nouvelles)
L’Ami patience
16
Gontran Lardois se remémore ses anciens amis avec un ami de collège. Il parle d’un homme qu’il a
rencontré à Limoges cinq ans auparavant. Celui-ci l’avait invité à déjeuner chez lui. Gontran trouvait la
décoration de la maison un peu lourde, avec des peintures de femmes nues de partout. Jusqu’à ce qu’il
comprenne qu’il s'agissait d'une maison pour prostituées. Et l’homme de lui dire avec fierté : « Et dire
que j'ai commencé avec rien... ma femme et ma belle-sœur."
 Boule de Suif et autres nouvelles – Librio, Coll. Librio littérature – 2 € (9 nouvelles)
L’Attente
17
Maître Lebrument, notaire, a un jour été appelé au chevet d'une mourante qui lui promet une somme
importante s'il retrouve son fils. En effet, après la mort de son mari, elle devint la maîtresse de l'homme
qu'elle avait aimé dans sa jeunesse et que ses parents empêchèrent d'épouser. Lorsqu'il découvrit leur
liaison, son fils partit sans retour. Aussitôt, elle chassa son amant, pensant que cela ferait revenir son
fils, mais vingt années se sont écoulées et elle est toujours seule.
L’Aventure de Walter Schnaffs
Walter Schnaffs est un soldat prussien malheureux depuis son entrée en France. Il est pacifiste, a horreur
des armes, n’aime pas marcher et regrette par-dessus tout sa femme et leurs quatre enfants. Aussi, quand
on l’envoie en patrouille en Normandie et que la troupe est attaquée par des francs-tireurs, il saute dans
un trou pour se cacher. Les heures passent. Notre homme rêve tout d’abord de se constituer prisonnier.
Cela serait la fin de ses soucis, mais les Français ne le fusilleront-ils pas ?
18
nouvelles)
L’Aveu
19
Céleste Malivoire est une jeune fermière. Après avoir trait les vaches en compagnie de sa mère, elle a
des difficultés à porter les seaux de lait. Sa mère l’interroge et Céleste lui confie qu’elle se croit
enceinte. La vieille Malivoire se rue alors sur sa fille et la bat rudement avant de lui demander de
s’expliquer. La jeune fille lui raconte que lorsqu’elle prenait tous les mercredis et tous les samedis la
voiture de poste d’Yvetot pour aller porter au bourg les produits de la ferme, le cocher, Polyte, lui
proposait toujours d’accepter une « rigolade » avec lui, en échange de trajets gratuits.
L’Horrible
20
Durant une soirée, le général de G... raconte deux anecdotes horribles : l'une se déroulant pendant la
guerre de 1870, l'autre concerne la fin de la mission Flatters en 1881.
La Bécasse
21
Le vieux baron des Ravots est maintenant paralysé depuis 6 années et ne peut plus chasser. Quand il fait
beau, on le mène sur un fauteuil sur le perron avec un domestique pour charger les fusils et un autre
pour lâcher des pigeons. C’est ainsi qu’il passe ses journées. Quand vient la saison de la chasse, tous les
chasseurs des environs sont invités au « conte de la Bécasse », c’est un rituel. Chaque convive mange
une bécasse et donne la tête au baron. Celui-ci la met sur le goulot d’une bouteille, la fait tourner et le
bec de l’oiseau désigne l’heureux gagnant qui aura le plaisir de manger les têtes et de raconter une
histoire.
nouvelles)
La Confession
22
Marguerite de Thérelles, 56 ans est mourante. Suzanne, sa sœur ainée, 63 ans, est à son chevet. Les deux
sœurs ont toujours vécu ensemble. Suzanne avait été fiancée, mais le garçon mourut brusquement peu
avant le mariage. Marguerite avait alors juré à sa sœur aînée qu'elles ne se sépareraient jamais, quitte à
ne pas se marier. Elle avait tenu parole, mais un mal intérieur la perturbait. Au moment de mourir,
Marguerite avoue à sa sœur qu’elle aussi avait été amoureuse d’Henry, son fiancé. Elle n’avait que
douze ans mais elle était jalouse de sa sœur, de rage de voir qu’il la préférait, elle l’avait tué.
nouvelles)
La Dot
23
Jeanne Cordier, une jeune fille, épouse un homme, Simon Lebrument. Après leur mariage, ils décident
d’aller à Paris, la dot sous le bras, afin de la faire parvenir à M. Papillon, pour payer les études de Simon
qui souhaite ouvrir un cabinet de notaire. Ils en profiteront aussi pour visiter la ville romantique qu’est
Paris, et faire comme les amoureux. Une fois dans la ville, ils décident d’aller déjeuner au restaurant. M.
Lebrument voulant économiser l’argent, ils prennent un omnibus. Le mari, prétextant vouloir fumer une
cigarette, monte sur le toit du véhicule, laissant Jeanne seule à l’intérieur de l’omnibus. Le véhicule
démarre, et le voyage dure longtemps. Les passagers défilent. Peu à peu, l’omnibus se vide de ses
passagers et, au terminus, Jeanne se retrouve seule : son mari n'est plus sur le toit de l'omnibus, et la dot
non plus !
 La Parure : et autres nouvelles - Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 148 – 3 € (7 nouvelles)
 La Parure et autres nouvelles - Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 148 – 3 € (7 nouvelles)
 Nouvelles réalistes - Gallimard, Coll. Classicocollège, n° 97 – 2,95 € (4 nouvelles)
 Quatre nouvelles réalistes sur l'argent - Nathan, Coll. Carrés classiques. Collège, n° 2 – 4,60 € (4
nouvelles)
La Femme de Paul
24
Paul Baron emmène Madeleine, sa maîtresse, faire de la yole sur la Seine. Ils vont vers un établissement
de bains qui fait guinguette. Il y a là les habituels promeneurs du dimanche, des demi-mondaines qui
cherchent un pigeon, des ivrognes, la crapulerie distinguée de Paris. Lorsqu'arrive un canot avec quatre
femmes à bord, tous les hommes de la guinguette hurlent « lesbos ». Paul les siffle, ce qui énerve
Madeleine, et la dispute dégénère entre les amoureux.
 Une partie de campagne : et autres nouvelles au bord de l'eau – Flammarion, Coll. GF. Etonnants
classiques – 2,80 € (5 nouvelles)
La Ficelle
25
C’est le jour de marché dans le bourg normand de Goderville où se rend un paysan, maître
Hauchecorne. Celui-ci ramasse un petit morceau de ficelle sous les yeux d’un bourrelier, Malandain,
avec lequel il est en conflit. Plus tard, un crieur public fait savoir que quelqu’un a perdu un portefeuille.
Maître Hauchecorne est accusé d’avoir trouvé et conservé le portefeuille. En effet, il a été dénoncé par
Malandain. Convoqué chez le maire, on ne retient rien contre lui mais on n’a pas pu prouver son
innocence. Tous les gens qu’il rencontre sont persuadés qu’il a conservé le portefeuille.
 Guy de Maupassant – Petit à petit, Coll. Les Contes en BD – (8 nouvelles)
La Folle
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L'histoire se déroule en Normandie. En un seul mois, une jeune femme voit mourir son mari, son père et
son enfant nouveau-né. Après six semaines de délire, elle sombre dans la mélancolie, bougeant à peine,
étendue sur son lit et hurlant dès qu'on veut la lever. Pendant quinze ans, une vieille bonne lui donne à
manger, à boire et fait sa toilette. Lorsque la guerre franco-prussienne de 1870 est déclenchée et que les
Prussiens entrent dans le village, chaque foyer doit loger plusieurs soldats. Au bout de quelques jours,
l'officier qui loge chez la folle exige qu'elle sorte de sa chambre, ce qui est impossible, même face au
danger.
nouvelles)
La Maison Tellier
27
La maison close d'une petite ville normande, tenue par Madame Tellier, est « fermée pour cause de
première communion » au grand dam des habitués. Après un périple en chemin de fer, les pensionnaires
assistent à la cérémonie et sont émues par Constance, nièce de Madame Tellier, et l’atmosphère de
recueillement de l’église, si bien qu'elles passeront pour de saintes femmes. Après l'événement sacré,
Joseph Rivet, le frère de Mme Tellier, donne une fête en l'honneur de ces visiteuses qui lui ont valu
d'être le point de mire du village. Les choses alors tournent mal…
 La maison Tellier : 1881 - Nathan, Coll. Carrés classiques, n° 19 – 3,45 € - (1 nouvelle)
La Mère Sauvage
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Le père Sauvage, un braconnier, est été tué par les gendarmes. Peu après, le fils part à la guerre et ne
donne plus de nouvelles. Un jour, la mairie place chez la mère Sauvage quatre soldats prussiens des
troupes d’occupation. Un mois passe. Elle reçoit une lettre l’avisant de la mort au combat de son fils.
Elle garde son chagrin pour elle, fait à manger aux soldats et monte du foin dans le grenier où ils
couchent. À la nuit tombée, quand les soldats dorment, elle met le feu à sa ferme.
La Moustache
29
Le temps étant maussade, Jeanne et ses amis avaient décidé de jouer des pièces de salon à domicile ;
manquant de femme, le mari de Jeanne avait sacrifié sa moustache pour jouer le rôle d’une soubrette.
Jeanne voyant son mari sans moustache, compare les différentes sortes de moustaches existantes. Bien
sûr, elle préfère la moustache à la française. Cela lui rappelle d'ailleurs un cruel souvenir. Pendant la
Guerre franco-allemande de 1870, elle avait aperçu des cadavres de soldats dont seuls les têtes étaient
visibles. Elle avait reconnu les Français à leur moustache.
La Parure
Lorsque son mari lui annonce qu’ils sont invités à un bal, Mathilde Loisel se désole : elle n a ni bijoux
ni robe à porter. Une amie lui prête un collier, et Mathilde oublie, le temps d une soirée, sa vie triste de
femme d'employé. Mais de retour chez elle, la parure n’est plus à son cou. Pour remplacer et rendre le
collier, les Loisel contractent une dette qu’ils mettront une vie entière à rembourser. Jusqu’au jour où
Mathilde, rendue méconnaissable par les épreuves, croise son amie qui lui fait une terrible révélation...
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 La Parure : et autres scènes de la vie parisienne - Flammarion, Coll. Etonnants classiques, n° 124 –
2,50 € (5 nouvelles)
La Rempailleuse
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Une histoire d'amour entre une rempailleuse et le pharmacien de son village. La rempailleuse se
contente voir le médecin chaque année, quand elle passe dans son village. À sa mort, elle lui lègue
toutes ses économies. Mais celui-ci refuse tout d'abord, humilié d'avoir été aimé par une pauvresse. Mais
l'appât de l'argent est plus fort que tout.
nouvelles)
La Roche aux Guillemots
32
En avril, à l’ouverture de la chasse au guillemot, on voit arriver sur la plage de vieux messieurs,
d’ailleurs de moins en moins nombreux chaque année, venir tirer ces oiseaux migrateurs. Ces oiseaux
viennent spécialement des environs de Terre-Neuve pour nidifier, pondre et couver. Cette chasse est
assez spéciale, les chasseurs partent vers trois heures du matin. Ils montent dans des barques. Les marins
les mènent à la rame près de la roche et effraient les oiseaux pour leur faire quitter les nids et permettre
aux chasseurs de les tirer en vol. Lors d’une des dernières chasses, un groupe de quatre chasseurs, des
anciens qui se réunissent chaque année pour le massacre annuel, voit le plus acharné d’entre tous, M.
d’Arnelles, être distrait. Il ne semble pas être dans son assiette. Il rate ses coups. Un valet, vêtu de noir,
le sollicite en aparté à plusieurs reprises.
La Serre
33
Gustave Lerebour s’est retiré des affaires et vit de ses rentes avec sa femme Palmyre. Ils ont le même
âge, mais la ressemblance s’arrête là. Il est jovial et rond ; elle est sèche et acariâtre, voire agressive
avec son mari depuis quelques années. Il essaie sans succès d’en connaître les raisons.
Le Baptême
34
La famille Dentu part à l'église faire baptiser leur nouveau-né, Prosper César, âgé de deux mois. Elle est
reçue par un vieux prêtre. Une fois l'enfant baptisé, les parents se rendent au buffet, laissant leur enfant
seul, qui se met à pleurer. Cependant, le prêtre voit le poupon et le prend dans ses bras. C'est alors qu’il
se rend compte de tout le bien que s'occuper d'un enfant peut procurer. Sur le chemin du retour, le
prêtre, l'enfant toujours dans les bras, ne peut s’empêcher de l'embrasser. À la fin du repas, tout le
monde est saoul. Le prêtre, lui, est dans la chambre de l’enfant : il sanglote le front sur l’oreiller où dort
l’enfant.
nouvelles)
Le Bonheur
35
Un soir, à propos du bonheur, un vieux monsieur raconte un singulier souvenir.
Au cours d'un voyage dans cette île, il passa la nuit chez un vieux couple. La femme avait autrefois été
riche. Elle révèle à l'étranger de passage son bonheur au côté de l’ancien sous-officier de hussards qui
l’a enlevée de chez ses parents. L’homme se tait : le bonheur de cette femme était plus important que
l’argent de sa famille.
Le Crime au Père Boniface
36
Faisant sa tournée, le facteur Boniface jette un coup d'œil sur le journal de Paris destiné à M. Chapatis,
marié depuis peu. Il y lit, raconté avec un luxe de détails terrifiants, un crime qui s'est passé dans la
capitale. Homme simple et impressionnable, Boniface prend peur et voit tout le crime défiler dans sa
tête. Quand il arrive chez M. Chapatis pour lui livrer son journal, il entend des cris. Bouleversé, il court
à la gendarmerie pour chercher de l'aide, persuadé qu'il est qu'un crime est en train d'être commis.
Le Diable
37
Pressé de rentrer son blé, Honoré Bontemps se résigne à quérir une vieille femme, la Rapet, pour garder
sa mère mourante. Mais elle réclame vingt sous le jour et quarante la nuit. Face à sa mère mourante, son
seul sentiment est celui de se sentir arnaqué.
Le Donneur d’eau bénite
38
Un couple a eu un fils sur le tard qui s’appelait Jean, ce dernier disparaît à l’âge de cinq ans. Ils vendent
tout et parcourent les routes à la recherche de leur fils unique. Quinze ans plus tard, toujours à sa
recherche, ils mendient pour survivre. La vieille croit voir dans un jeune homme, le visage de son mari
quand il était jeune. C’est bien leur fils Jean ! Il avait été enlevé par des saltimbanques, puis recueilli par
une dame qui avait fait de lui son héritier.
Le Lit 29
39
Bel officier de hussards, le capitaine Épivent, en garnison à Rouen, fait la connaissance d'Irma, « la
maîtresse, disait-on de M. Templier-Papon, le riche manufacturier ». La guerre franco-allemande de
1870 terminée, le capitaine retrouve Irma à l'hôpital civil dans le lit 29. Elle est atteinte d’une maladie
sexuellement transmissible, suite à un viol commis par des soldats prussiens. Pourtant, la capitaine
Epivent ne la voit pas comme une victime et ne peut s’empêcher de la juger.
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Boule de Suif et autres nouvelles – Librio, Coll. Librio littérature – 2 € (9 nouvelles)
Boule de suif et autres récits de guerre - Flammarion, Coll. GF, n° 584 – 5,80 € (16 nouvelles)
Le Mariage du lieutenant Laré
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1871. La France est en guerre contre la Prusse. Le lieutenant Laré reçoit comme mission d’aller au
secours d’une troupe française menacée d’anéantissement. Il part de nuit avec trois cents hommes. En
chemin, il porte secours à un vieillard et sa fille qui fuient l’avancée des armées allemandes. Sur ordre
du lieutenant, la jeune fille épuisée est portée sur une litière à tour de rôle par la troupe. Il n’est pas
insensible à son charme.
Le Masque
41
Un soir de bal costumé, un étrange et vieux danseur au visage recouvert d'un masque de jeune homme
s'évanouit sur la piste de danse. On appelle à l'aide un médecin sur les lieux qui, en retirant le
déguisement, révèle le visage en sueur d'un vieil homme. Le docteur reconduit chez lui le malade. Dans
une rue misérable se trouve l'appartement de l’homme et de sa compagne, Madeleine. Elle raconte au
docteur comment son mari, a perdu son charme en quelques années. Lui si beau autrefois ne peut
s'empêcher à l'occasion de retourner, masqué, dans les endroits à la mode, où il peut encore paraître un
jeune homme, côtoyer de jolies femmes...
Le Papa de Simon
42
Pour sa première rentrée à l'école, Simon deviens le souffre-douleur des autres enfants et se bat même
avec eux, car la rumeur dit qu'il n'a pas de père. Il est honteux, blessé et très triste. Lors d’une tentative
de suicide, Philippe Remy, un forgeron, l'aperçoit et lui vient en aide. Il devient alors pour Simon une
sorte de père.
nouvelles)
Contes et nouvelles - Hatier, Coll. Classiques Hatier. Oeuvres & thèmes, n° 43– 3,40 € (9 nouvelles)
Le Parapluie
43
Mme Oreille, la quarantaine, est avare à tel point que son mari est obligé de lui mendier de l’argent son
argent de poche. Pourtant, le ménage a des revenus, pas d’enfant, et Monsieur travaille comme commis
dans un ministère. Il est d’ailleurs l’objet au travail de railleries à cause de son parapluie hors d’âge et
d’usage. Il obtient que sa femme lui en achète un neuf, mais elle choisit un modèle si bon marché, huit
francs cinquante, que l’objet ne dure que trois mois, et il est victime de moqueries de la part de ses
collègues. Ulcéré, M. Oreille ordonne à sa femme d’acheter un vrai parapluie.
Le Père
44
François Tessier est un employé de ministère. Il prend tous les matins l’omnibus pour se rendre au
centre de Paris. Il y rencontre une employée de magasin qui fait le même trajet. Petits sourires, poignées
de mains, quelques mots : cette demi-heure dans l’omnibus est le moment le « plus charmant » de sa
journée. Un jour, elle accepte d’aller déjeuner avec lui un samedi à Maisons-Laffitte. Dans l'émotion de
ce premier rendez-vous, ils couchent ensemble. Mais Louise se sent coupable. Elle ne veut pas le revoir.
François insiste et dit qu’il veut l’épouser. Elle revient et, pendant trois mois, ils sont amants. Mais il se
lasse quand il apprend que Louise est enceinte et, un jour, il déménage sans laisser d’adresse. Un jour, il
la croise, mariée et avec deux enfants, dont l’ainé doit être le sien. Il ne peut alors qu’assisté à son
bonheur.
nouvelles)
Le Père Millon
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Pendant la guerre de 1870, l’état major prussien s’était établit dans la ferme du père Milon. Depuis un
mois des soldats disparaissaient régulièrement, on retrouvait le corps des soldats le lendemain matin. Un
matin le père Milon est retrouvé avec une balafre sur la figure, les officiers font le rapprochement avec
les deux soldats qui ont été retrouvés éventrés ce matin. Un conseil de guerre est réuni, le colonel
interroge et le père Milon raconte avec quelle facilité il a tué, tout d’abord un soldat isolé et la nuit, avec
l’uniforme du premier, il se fait passer pour un Uhlan blessé, il va en tuer seize en tout. Il tue pour
venger son fils soldat mort au début de la guerre
Le Petit Fût
46
Maître Chicot convoite la ferme de la mère Magloire, sa vieille voisine. Il parvient à la convaincre de lui
céder son bien en viager. Après quelques années, constatant que la vieille tarde à mourir, maître Chicot
décide d'aider la nature en convertissant la mère Magloire aux bienfaits de son alcool, dont il lui offre
généreusement un "petit fût". Le traitement s'avère efficace. En effet, la mère d'un naturel ordonné et
sérieux prend la mauvaise habitude de s'enivrer. Elle perd de sa vivacité et décède promptement, au
grand bénéfice de maître Chicot.
Le Protecteur
47
Jean Marin monte à Paris faire ses études de droit. Il devient l’ami d’étudiants versés en politique. Plus
tard, n’ayant aucun succès comme avocat, il renoue connaissance avec un de ses amis étudiant devenu
entre-temps député. Quand le député devient ministre, Jean Marin devient conseiller d’État. En poste, il
se sent investi d’une mission : il doit protéger les gens, les aider. Un matin, il aide avec son parapluie un
vieux prêtre, l’abbé Ceinture, qui va justement au Conseil d’état. Marin, aussitôt, lui fait trois lettres
d’introduction. Le lendemain matin, il découvre effaré dans un journal anticlérical que cet abbé Ceinture
a comploté contre le gouvernement et qu’il a été cassé par son évêque. Marin, dépité, jure un peu tard
qu’on ne l’y prendra plus.
Le Rendez-vous
48
Femme mariée, Mme Haggan a rendez-vous avec le beau vicomte de Martelet, son amant
depuis deux ans. Mais le cœur n'y est plus pour elle alors elle traîne sur le chemin du rendezvous jusqu'à ce qu'elle tombe sur un jeune baron. Elle a un coup de foudre. Le baron l'emmène
avec lui. Plus tard, on apprend sa mort.
Le Testament
49
Le narrateur, intrigué par le fait que son ami René de Bourneval ne porte pas le même nom que ses
frères, obtient de lui une confidence sur ses origines. Sa mère, Mme de Courcils, était mariée à un
gentilhomme de campagne, un rustre qui l’avait épousée pour son argent et qu'il trompait avec les
servantes, les filles et les femmes de ses fermiers. Elle eut pourtant deux garçons de lui, qui ont, tout
comme leur père, toujours considérés leur mère comme une espèce de bonne. Mme de Courcils, de
nature craintive, délicate et aimante, tomba amoureuse M. de Bourneval. De cette union naît René, le
seul fils qui l’aima et qu’elle aima. Lors de son décès et de l’ouverture du testament, chacun reçoit alors
à la mesure de l’amour qu’il lui a porté.
nouvelles)
Le Vengeur
50
Antoine Leuillet se marie après dix à attendre Mathilde Souris. Elle avait en première noce épousé son
ami Souris, il avait bien essayé à l’époque de la courtiser mais Souris était plus riche. Il laisse passer
quinze mois de veuvage, fait sa demande qui est acceptée, et le voici l’homme le plus heureux du
monde. Heureux, pas tout à fait. Il ne cesse de la questionner sur les relations qu’elle avait avec lui.
Mathilde, finaude, tourne toutes les comparaisons à l’avantage de Leuillet, mais un jour, elle fait l’erreur
de lui avouer qu’elle avait trompé Souris. Aussitôt, Leuillet la frappe et il sent monter en lui une haine
contre cette femme qui avait trahi son ami.
Le Vieux
51
Un couple de fermiers est devant le lit où est en train de mourir le vieux. Le curé vient de dire qu’il ne
passera pas la nuit. L’homme se demande s’il doit veiller son beau-père où aller aux champs. Sa femme
lui conseille d’aller travailler, puisque l’enterrement aura lieu samedi. Puis, ils se ravisent : il faut mieux
aller prévenir le voisinage de la mort du vieux ; cela fera gagner du temps demain. L’homme part faire
la tournée et la femme prépare à manger pour les visiteurs qui viendront samedi. Le lendemain, le vieux
n’est pas mort. C’est gênant, car il va falloir changer la date de décès si on veut l’enterrer samedi.
Heureusement, le maire et l’officier de santé sont d’accord pour signer les documents. Mais le samedi,
le vieux n’est toujours pas mort, et les invités vont arriver pour l’enterrement.
Le Voleur
52
Après un dîner très arrosé, trois jeunes hommes, par jeu, se déguisent l’un en Grenadier, l’autre en
hussard et le dernier en cuirassier. La beuverie continue quand le moins ivre annonce qu’il a entendu des
bruits dans l’atelier attenant. Aussitôt, la petite et bruyante armée envahit la pièce et finit par trouver un
voleur caché dans une grande armoire. On s’empare de l’homme, on tient un conseil de guerre arrosé de
punch et le voleur est condamné à mort. La sentence est exécutable immédiatement. L’homme hurle, on
le bâillonne pour éviter qu’il ne réveille le voisinage et on tire avec les fusils qui ne sont bien sûr pas
chargés. L’armée décide ensuite de conduire le voleur au poste de police. Peine perdue, le fonctionnaire
de faction, qui connaît le tempérament farceur des personnages, refuse le prisonnier.
Les Bijoux
53
M. Lantin est employé dans un ministère avec un modeste revenu. Il rencontre dans une soirée chez son
chef de bureau une jeune fille douce et en tombe immédiatement amoureux. Tous ceux qui la connaisse
chante ses louanges : c’est une beauté modeste ; elle et sa mère sont pauvres ; ce sont d’honnêtes
femmes. Six mois plus tard Lantin est l’homme le plus heureux en ménage, sa femme est plein de
délicatesses pour lui, elle gouverne la maison si bien qu’ils semblent vivre dans le luxe. Elle n’a que
deux défauts aux yeux de Lantin, l’amour du théâtre, mais elle a enfin consentit à y aller seule le soir, et
les bijoux de pacotilles qu’elle collectionne. Un soir, de retour de l’opéra, Mme Lantin prend froid. On
l’enterre une semaine plus tard. Pour subvenir à ses besoins, Lantin songe à vendre les pacotilles de sa
femme. A sa grande surprise, le bijoutier lui en propose dix huit milles francs. Lantin ne comprend rien.
Il erre dans Paris : de qui sa femme avait-elle reçu ces cadeaux ?
Les Prisonniers
54
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, près de Rethel, Berthine, la fille du garde forestier Nicolas
Pichon, fait prisonnier six Allemands.
Les Rois
55
Arrivés dans la ville de Porterin, des officiers français de bonne famille prennent possession d’une
maison bourgeoise. Il pleut et comme c'est le jour des Rois, ils veulent préparer un repas pour cette fête
et souhaitent la présence de femmes. Un curé espiègle est censé les aider dans cette mission. En
attendant, les soldats exultent. Quel n'est pas leur étonnement de voir arriver le curé, une religieuse et
trois vieilles femmes infirmes !
Les Sabots
56
À la fin de la messe, le vieux curé fait des publications: "M. Césaire Omont voudrait bien trouver une
jeune fille honnête comme servante". De retour chez eux, les Malandain discutent de l'annonce. Le père
dit "on devrait peut-être envoyer Adélaïde!", leur fille. Elle a vingt et un ans, n'est pas très maline et
surtout très naïve. Le soir même, après le repas, la mère et Adélaïde se rendirent chez M. Césaire Omont
et ils tombèrent d'accord et elle commença le travail le lendemain. Six mois plus tard, comme elle allait
voir ses parents un dimanche, son père l'examine curieusement et voit qu’elle est de M. Césaire Omont.
Le dimanche suivant, le vieux curé publiait les bans de M. Onufre- Césaire Omont avec CélesteAdélaïde Malandain.
nouvelles)
Les Tombales
57
À la fin d'un dîner, cinq amis sont réunis. L'un d'eux raconte une de ses mésaventures au cimetière. Il y
rencontre une jeune femme qui pleure la mort de son mari disparu. Pris de pitié pour la veuve, il
l'accompagne jusqu'à la sortie du cimetière. Ils ont une brève aventure. Et quelque temps plus tard, il
croise la même jeune femme au cimetière, escortée cette fois par un autre homme qui à son tour l'a prise
en pitié.
Mademoiselle Cocotte
58
Le narrateur visite un asile d’aliéné et se fait raconter l’histoire de François, un cocher devenu fou après
avoir noyé son chien. Ce dernier avait recueilli une chienne famélique, qu’il avait surnommé Cocotte, et
à laquelle il avait acheté un collier où était inscrit « Mademoiselle Cocotte, au cocher François ». Mais
celle-ci avait la particularité d'attirer tous les mâles des environs ; de ce fait, tous les quatre mois,
naissait une nouvelle portée de chiots que François jetait à la rivière, ne gardant que le plus vaillant. La
présence de tous ces chiens dans la propriété excédant les maîtres de François, ils lui imposent de se
débarrasser de la chienne. Après bien des remords, François la jette dans la Seine avec une pierre au
cou.
Mademoiselle Fifi
59
Des Prussiens ont envahi la France et occupent le château d’Uville. On y trouve le major, le comte de
Farlsberg, le baron de Kelweingstein et trois officiers de moindre grade, dont « un tout petit blondin fier
et brutal avec les hommes ». Ce dernier est, depuis son entrée en France, surnommé Mademoiselle Fifi
par ses camarades en raison de sa taille fine, de sa figure pâle et de l’habitude qu’il avait prise, pour
exprimer son souverain mépris des êtres et des choses, d’employer à tout moment la locution française «
fi », « fi donc », qu’il prononçait avec un léger sifflement. Occupant un château en Normandie, ces cinq
officiers prussiens désœuvrés font venir des filles de joie. L’un d’eux, le petit blondin (Mademoiselle
Fifi), insulte la France et maltraite Rachel. La prostituée patriote lui enfonce un couteau dans la gorge.
 Boule de Suif - Pocket, Coll. Pocket. Classiques à petit prix, n° 12350 – 1,55 € (2 nouvelles)
Mademoiselle Perle
60
Comme tous les ans, Gaston va faire les Rois chez les Chantal et, surprise, c'est lui le roi, qui doit
choisir une reine. Ce sera Mlle Perle...
nouvelles)
Menuet
61
Jeune homme, Jean Bridelle étudiait le droit et allait chaque matin se promener dans la pépinière du
jardin du Luxembourg. Dans le jardin, il se pique de curiosité pour un vieillard qui, se croyant seul,
danse dans les allées du jardin. Ils deviennent amis et l’homme lui raconte sa vie : il était maître de
danse à l'Opéra de Paris sous Louis XV ; il est marié avec la Castris, une danseuse qui avait été aimée
du roi. Jean Bridelle rencontre le couple un après-midi dans le jardin. Jean demande une description du
menuet. Le couple âgé fait une démonstration. À la fin de la danse, ils éclatent en sanglots en
s’embrassant, et lui font part de l’importance du jardin pour eux. Bridelle part pour la province trois
jours après. Quand il revient à Paris, deux ans plus tard, la pépinière a été détruite. Jean ne les reverra
plus. Leur souvenir le hante.
nouvelles)
Mohammed-Fripouille
62
Sur une terrasse dominant Alger, le capitaine Marret, ancien spahi, raconte une drôle d'affaire :
l'expédition punitive du maréchal des logis Mohammed-Fripouille contre la tribu des Ouled-Berghi qui
avait assassiné un voyageur anglais.
Mon oncle Jules
63
Un homme, escroqué par son frère sans sa jeunesse, guette le retour de celui-ci car il lui a promis qu'il le
rembourserait à son retour d'Amérique, lorsqu'il serait devenu riche. Le jour où l'homme voit un
mendiant, effrayé, il reconnaît son frère.
Mouche
64
Le jour où elle est enceinte, Mouche, maîtresse de cinq joyeux canotiers à la fois, les voit tout heureux
de cette paternité commune.
Pierrot
65
Mme Lefèvre, une veuve riche, mais avare, se fait voler une douzaine d'oignons dans son potager. Suite
au conseil d'un voisin, elle décide d'acheter un petit chien, un gros la ruinerait . Le boulanger lui amène
un chien qui ne ressemble à rien, mais qui a l’avantage de couter pas très cher, il est surnommé Pierrot.
Quand arrive la taxe pour les animaux, elle refuse de payer et décide de jeter Pierrot dans la marnière ;
c’est le puits dans lequel tous les chiens des environs finissent, ils y meurent de faim lentement. Une
nuit, avec sa bonne, elle jette Pierrot, entend la chute, les jappements du chien, cela lui déchire le cœur
et, les nuits suivantes, elle voit en rêve Pierrot. C’en est trop, elle veut le faire remonter. Mais quand le
puisatier lui demande quatre francs, elle refuse. Pour apaiser sa mauvaise conscience, elle va alors
chaque jour au bord du trou lui jeter du pain.
nouvelles)
Première neige
66
Une jeune femme atteinte d'une pneumonie et se sachant à l’article de la mort se remémore ses dernières
années, assise sur un banc à Cannes. Elle s’est mariée pour faire plaisir à ses parents, elle était une
parisienne gaie et, du jour au lendemain, elle se retrouve isolée dans un château de Normandie. Elle
n’aime pas son mari, mais le respecte. Le premier hiver est terrible pour elle. Elle est frileuse, son mari
qui est toujours en mouvement, ne craint pas le froid. Elle insiste pour avoir un calorifère, il refuse. Elle
réitère sa demande pour le deuxième hiver, il refuse toujours, mais finit par lui acheter une chaufferette
de cuivre. Elle voudrait aussi sortir, voir du monde, aller à Paris, elle s’ennuie, mais lui ne voit rien, ne
comprend rien. Ici, c’est sa vie, il ne comprend pas que l’on ne puisse pas vouloir y rester. Pau à peu,
elle se meurt de froid, mais surtout d’ennui.
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Guy de Maupassant – Petit à petit, Coll. Les Contes en BD – (8 nouvelles)
Contes et nouvelles - Hatier, Coll. Classiques Hatier. Oeuvres & thèmes, n° 43– 3,40 € (9 nouvelles)
Rose
67
Lors de la fête des fleurs à Cannes, Mme Margot et Mme Simone sont dans une voiture, la banquette
remplie de fleurs. L'une se sent heureuse, comblée de joie. Alors que l'autre, ressent un besoin d'amour,
de n'importe qui ou de n'importe quoi. Mais son amie ne l'entend pas de cette oreille et préfère ne pas
être aimée, « plutôt que d'être aimée par un valet », dit-elle. Elle explique en effet que, quatre ans plus
tôt, sous les traits de son valet se cachait en fait un grand bandit.
Saint-Antoine
68
Antoine est un paysan du pays de Caux, âgé de soixante ans, que l’on surnomme Saint-Antoine parce
qu’il est bon vivant, joyeux, farceur, gros mangeur et fort buveur. Arrive l’invasion prussienne de 1870,
le maire du village lui impose de loger un soldat prussien, Ce dernier ne parlant pas un mot de français,
Antoine le surnomme mon cochon pour faire rire les villageois et entreprend de l’engraisser en lui
imposant de manger beaucoup et de boire de l’eau de vie. Un soir où les deux hommes ont beaucoup bu
de l'eau de vie, ils se battent, et Antoine assomme le Prussien. Antoine le croit mort. Aussi, quand il le
voit se réveiller, de peur d’être arrêté, il le transperce avec sa fourche et le cache sous un tas de fumier.
nouvelles)
Tombouctou
69
La rencontre sur les grands boulevards parisiens entre un noir et un officier est l’occasion pour ce
dernier de raconter comment les deux hommes s’étaient connus lors de la Guerre franco-allemande de
1870 et de raconter deux anecdotes sur cet homme hors du commun. Ils ont servi ensemble, dans la
même citadelle assiégée.
Un coq chanta
70
Le baron de Croissard poursuit de ses assiduités Mme d’Avancelles depuis plusieurs mois. Elle vit
séparée de son mari. Le baron donne des chasses, des fêtes, des feux d’artifice pour l’impressionner,
rien n’y fait. Cependant, le jour où il organise une chasse à courre au sanglier, elle lui laisse un espoir :
«Baron, si vous tuez la bête, j’aurai quelque chose pour vous». Le baron déchainé par cette promesse tue
de son poignard la bête et, le soir, il est dans la chambre de la dame. Elle s’esquive pourtant, en lui
demandant de se mettre au lit, car elle revient bientôt. Le baron, épuisé par la journée de chasse, seul
dans le lit, s’endort rapidement.
nouvelles)
Un coup d’état
71
Sous forme de satire, on assiste à une tentative de prise de pouvoir par deux clans lors de la Guerre
franco-allemande de 1870, après le désastre de Sedan : celui du maire, un ancien légitimiste rallié à
l’Empire, et celui du docteur Massarel, un républicain franc-maçon. S’ensuit une farce ou le manque de
courage des uns n’a d’égale que l’obstination des autres sous l’œil indifférent de la foule. Le maire
quitte la mairie : il ne veut pas servir la république. Enfin, le docteur triomphe. Mais cela n’intéresse
personne. Il rentre dans son cabinet où les patients l’attendent.
Un duel
72
La Guerre franco-allemande de 1870 est terminée pour la France, et pour M. Dubuis. Il a été Garde
nationale à Paris et n’a pas vu un seul Prussien. Aussi, est-il particulièrement humilié d’avoir à subir les
réflexions vantardes d’un officier prussien dans le train qui les mènent vers la Suisse. Le Prussien
ordonne à M. Dubuis d’aller lui chercher du tabac. Ce dernier refuse, et quand le Prussien veut lui
arracher la moustache, il le frappe. L’officier lui propose un duel et, contre toute attente, M. Dubuis qui
touche un pistolet pour la première fois de sa vie.
Un fils
73
Deux hommes âgés se promènent au printemps dans un jardin fleuri. Le pollen s’envole. L'un d'eux fait
un parallèle entre ce pollen et les nombreux bâtards que l’autre aurait eus. Ce dernier estime qu’il a eu
des rapports avec deux ou trois cents femmes, et qu’à ce titre, il est en droit de penser qu’il peut avoir
des descendants qu'il ne connaît pas. Mais cela lui ravive une douleur sur une vieille affaire.
nouvelles)
Un lâche
74
Le Vicomte Gontran-Joseph de Signoles est un homme heureux : il possède une fortune convenable, est
reçu dans le monde et, pour se distraire, il pratique l'épée et le tir au pistolet. Ayant invité après le
théâtre deux couples d'amis à manger une glace, ils sont gênés par un homme qui fixe une des dames du
groupe. Signolles se lève et intime l'ordre à l'individu de cesser cette insistance. Devant son ton
insultant, il le défie en duel. Mais dans la nuit, peu à peu, la peur s’insinue en lui.
Un Normand
75
Le père Mathieu, que les Normands surnomment aussi « La Boisson », est un ancien sergent-major
revenu dans son village sur ses vieux jours. Il a obtenu « grâce à des protections multiples et à des
habiletés invraisemblables » d'être le gardien d'une chapelle fréquentée essentiellement par les filles
enceintes et non mariées. Pour augmenter ses revenus, il vend « sous le manteau » une prière permettant
à ces demoiselles de trouver rapidement un mari. Mais sa première occupation est le saoulomètre, une
invention à lui qui lui permet de mesurer son degré quotidien d’ivresse.
nouvelles)
Un réveillon
76
Le narrateur chasse depuis un mois chez son cousin en Normandie. Entendant sonner les cloches, ils
réalisent que c'est le jour du réveillon de la nouvelle année. La bonne leur précise alors que ces cloches
sonnent aussi en raison de la mort d'un berger apprécié des environs, le Père Fournel. Après avoir assisté
à la messe, les deux hommes vont apporter leurs condoléances au petit-fils du défunt et son épouse, ces
gens dînent sur un coffre faisant usage de table.Quand ils veulent voir le défunt pour lui rendre un
dernier hommage, les parents du mort sont gênés, il faut même élever la voix pour que la femme accepte
de leur montrer le vieux berger qui est … dans le coffre qui leur sert de table à manger.
Une aventure parisienne
77
Le narrateur commence par rappeler que la curiosité est le sentiment le plus aiguë chez la gent féminine,
et de prendre l’exemple d’une femme de province qu’il a visiblement connu. Sous un aspect
irréprochable, un mari, deux enfants, une vie rangée, elle est saisie du démon de la curiosité, elle veut
tout savoir de la vie parisienne, elle s’imagine des débauches, des orgies, des amants extraordinaires.
N’y tenant plus, elle trouve le prétexte d’aller visiter de la famille pour aller seule à Paris. Mais la visite
ne sera pas à la hauteur de ses rêves.
Une famille
Le narrateur va revoir son ami Simon Radevin, marié en province, perdu de vue depuis quinze ans. Il
ressent pour lui pitié et tristesse en voyant ce qu'il est devenu, un chef de famille, assez loin du jeune
homme vif et intelligent qu'ila connu.
78  La Parure et autres nouvelles réalistes – Librio, Coll. Littérature, n° 1104 – 2 € (9 nouvelles)
Une partie de campagne
En 1860, M. Dufour , commerçant parisien, vient en famille passer une journée à la campagne. Il
s’endort au bord de l’eau. Deux canotiers décident alors de séduire la mère, Pétronille, et sa fille,
Henriette.
79  Une partie de campagne : et autres nouvelles au bord de l'eau – Flammarion, Coll. GF. Etonnants
Une ruse
80
Un médecin raconte à une de ses patientes, idéaliste et convaincue que l'adultère est une tare, une
aventure qui lui est arrivée. Une femme arrive chez lui en pleine nuit, en pleurs, car son amant vient de
trouver la mort d'un arrêt cardiaque. Le médecin la suit, et constate effectivement le décès. Le mari
rentrant à ce moment, les deux commencent à paniquer, craignant que la femme ne soit surprise en
situation d'adultère du fait de la présence du mort, nu. Le médecin ordonne alors d'habiller l'homme à la
va-vite, et fait passer le cadavre pour un de ses amis ayant fait un petit malaise, et reçoit de ce fait
l'assistance du mari pour le porter. La patiente ne comprend pas, de prime abord, pourquoi le médecin
lui raconte cela.
Une soirée
81
Maître Saval, notaire de province (vu comme un artiste pour les habitants de Vernon) vient passer une
soirée à Paris. Par un enchaînement de circonstances, il se trouve embringué dans une soirée donnée par
un peintre célèbre. Il y joue d'abord le rôle de larbin, puis d'attraction involontaire et ridicule de la
soirée.Il se réveille au matin avec la gueule de bois, dépouillé de ses vêtements et de toutes ses affaires.
Une vendetta
82
À Bonifacio, une mère perd son fils unique, tué d'un coup de couteau, à la suite d'une dispute. Le
meurtrier s'enfuit en Sardaigne, de l'autre côté du détroit dans un village sarde « où se réfugient les
bandits corses traqués de trop près. Ils peuplent presque seuls ce hameau en face des côtes de leur patrie
en attendant là le moment de revenir et de retourner au maquis ». La mère devant le cadavre de son
enfant lui promet la vendetta en déclarant : « Va, va, mon garçon, mon pauvre enfant ; dors, dors, tu
seras vengé entends-tu ? C'est la mère qui le promet ».
Enfermée chez elle avec pour seule compagnie sa chienne, elle cherche le moyen, malgré son grand âge
et son infirmité, de venger son fils
2 – Prosper Mérimée – 6 recueils
La Partie de trictrac
83
Le destin de Roger, lieutenant de la flotte impériale, bascule lorsqu'il tombe follement amoureux de
Gabrielle, une actrice. Tout s'engage fort bien puisque la belle répond favorablement à ses avances.
Jusqu'à une malheureuse partie de trictrac, perdue, puis trop facilement gagnée...
nouvelles)
Mateo Falcone
84
Mateo Falcone habite à la lisière en Corse. Un jour, il décide d'aller voir un de ses troupeaux avec sa
femme. Fortunato, son fils héritier, voit arriver un homme s’appelant Gianetto qui lui demande de le
cacher. Le jeune homme accepte pour cinq francs. Un peu plus tard, six hommes armés se présentent et
demandent à Fortunato où est passé l’homme qu’ils poursuivaient. Après discussion, Fortunato accepte
de dévoiler la cachette du bandit en échange d'une belle montre dont il rêvait. C'est alors que Mateo
Falcone arrive et voit Gianetto qui, capturé, accuse Mateo et sa famille de trahison. Une fois les six
hommes et Gianetto partis, sa femme, devinant l’idée de son mari, le supplie d’arrêter mais sans
l’écouter, il va, avec son fils, dans la forêt et, après lui avoir fait faire ses prières et malgré ses
supplications, l’abat d’un coup de fusil pour avoir sali l'honneur de sa famille.
 Mateo Falcone, Tamango - Flammarion, Coll. Etonnants classiques– 2,80 € (2 nouvelles)
Tamango
85
Tamango, un puissant guerrier sénégalais, a pour habitude d'échanger des gens de son peuple contre de
l'alcool et des armes. Le capitaine Ledoux vient pour la dernière fois de sa carrière chercher le précieux
chargement. La vente commence, mais sous l'effet de la colère et surtout de l'alcool, Tamango livre sa
propre femme, Ayché, au négrier. Le lendemain, il réalise son erreur. Fou de douleur, il tente alors de
rattraper le navire sur lequel sa femme a été embarquée. Lorsqu'il y parvient, il tombe entre les mains du
capitaine Ledoux qui le réduit en esclavage. Tamango se retrouve alors dans la même situation que ceux
qu'il vendait. Au fil de la traversée, les Noirs, dirigés par Tamango, se rebellent contre l'équipage et
parviennent à tuer tous les blancs dont le capitaine. Mais que faire d'un navire impossible à diriger ?

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Tamango - Larousse, Coll. Petits classiques Larousse, n° 18 2– 3 € (1 nouvelle)
Tamango - Magnard, Coll. Classiques & contemporains. Collège, LP, n° 21 – 3,60 € (1 nouvelle)
Tamango - Hachette Education, Coll. Classiques Hachette. Bibliocollège, n° 66 – 3,60 € (1 nouvelle)
Mateo Falcone, Tamango - Flammarion, Coll. Etonnants classiques– 2,80 € (2 nouvelles)
3 – Alfred de Musset – 1 recueil
Mimi Pinson
86
La jeune et jolie Mimi Pinson est logée dans une mansarde à Paris. Menacée d'être expulsée car sans le
sou, elle s'entretient avec l'homme chargé de son dossier. Ce dernier tombe sous le charme de la jeune
Mimi qui n'est pas amoureuse. Mimi Pinson aide une de ses copines, et, pour cette dernière, elle se
sépare de sa robe bien-aimée.
nouvelles)
4 – Auguste de Villiers de L’Isle-Adam – 1 recueil
Virginie et Paul
87
Virginie est une jeune fille bourgeoise, élevée dans un pensionnat. Elle compte épouser son cousin Paul
et a des idées précises sur leur vie future. Il a rendez-vous avec elle, en secret, à la grille du pensionnat.
Quelle nouvelle importante veut-il lui annoncer ?
nouvelles)

Nouvelle réaliste - Collège Saint-Charles

Transcription

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IEJ – Sceaux – session CRFPA 2010-2011 Bibliographie Droit de la

IEJ Sceaux – CRFPA session 2010

Pour aller plus loin

BIBLIOGRAPHIE

Lycée Lakanal - Lycée et Collège LAKANAL

Ö Ö Ö Ö - Ville de Nancy

Plan du métro - Soil Erosion Site

FRA 3500 - Université de Montréal

Minable le pingouin - Ribambelle

septembre 2006