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Tr’espace
Roman Muller/Petronella von Zerboni
Hilfikerstrasse 12
5614 Sarmenstorf
Suisse
www.trespace.com
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La Cie Tr’espace
La Cie Tr’espace a été fondée en 2002.
Elle se compose à la base de Roman Müller et Petronella von Zerboni, jongleurs de
diabolo, formé à la Scuola Teatro Dimitri, une école orientée principalement sur le
travail du corps et du mouvement, et son implication dans les intentions du jeu
d’acteur.
Cette formation les a conduit au désir de trouver un rapport avec leurs objets à
travers le mouvement dans l’espace et d’en développer une théâtralité.
A la Scuola Teatro Dimitri, ils rencontrent aussi le contrebassiste Mischa Blau,
avec qui ils vont créer les spectacles « RencontreD » et « Le Cercle ».
C’est le départ d’une longue recherche.
La réflexion sur le diabolo
À l’origine de la forme du diabolo se trouve le cercle ; une balle en quelque sorte.
En coupant cette balle en deux parts symétriques, puis en les assemblant tournées
à 180°, on obtient une forme qui fait penser à un sablier : un diabolo.
Le jongleur « jongle » avec ses objets, mais on dit qu’on « joue » au diabolo. Cela
s’explique par le fait que le diabolo était un jouet, un jeu de société, pratiqué autant
par les enfants que par les adultes, en Chine d’abord puis plus tard aussi en
Europe. On retrouve le diabolo d’une façon très récente dans les cirques
traditionnels ou les cabarets. Mais les exigences de ces lieux poussent à une
recherche sous forme de numéro, basé sur la performance.
C’est là que débute notre recherche, notre désir d’aller au-delà de ces limites.
D’une part, nous incluons des bases théâtrales, en développant une dramaturgie,
en cherchant une logique interne à notre spectacle. Il y a deux jongleurs de diabolo
et un contrebassiste, dont la relation ne consiste pas uniquement dans
l’accompagnement musical, de l’un pour les deux autres, mais dans l’interaction de
chacun à travers l’espace, le mouvement, les rythmes et la manipulation de leurs
objets. C’est dans ce contexte que se créent les situations, les états. Il n’y a pas
d’histoire concrète plutôt une calligraphie dans l’espace, qui crée des images. Les
liens entre les acteurs se tissent dans le mouvement, dans la dynamique où le
diabolo et la contrebasse font partie intégral de la chorégraphie.
D’autre part, nous analysons les propriétés physiques de l’objet. Cette façon de
réfléchir nous fait découvrir d’autres possibilités d’utilisation tout comme la parenté
avec d’autres objets, qui ont un fonctionnement de rotation, comme la toupie.
Dès lors, nous nous posons la question : « comment construire un diabolo qui ait
les propriétés d’une toupie ? » et « comment peut-on utiliser l’effet gyroscopique ? »
Nous passons alors de la théorie à la pratique en construisant des diabolos très
spécifiques.
L’aboutissement de notre recherche rend possible d’utiliser et de jouer du diabolo
bien au-delà de la forme traditionnelle. Par les inventions techniques sur les
diabolos, il devient possible de jouer sur différents plans, à la verticale comme à
l’horizontale, d’utiliser l’espace tout autour du jongleur. L’espace s’ouvre, le
vocabulaire se diversifie.
Le parcours de Tr’espace
2002 -----------------------Avec le musicien Mischa Blau ils créent
leur première forme de 20 min : « RencontreD ». Le thème de la
création est assez simple : Comment les trois artistes, un
contrebassiste et deux jongleurs de diabolo, peuvent-ils se
rencontrer à travers leurs propres instruments ?
2003 ----------------------------- La prochaine étape de la recherche
est la création de leur numéro « Duo Tr’espace ». Ce numéro a
fait sa première apparition dans le spectacle « Schlag » avec la
Cie « Le Site CRA » au Jardin des Tuileries à Paris. Lié à la
scénographie de 360° de ce spectacle, ils créent une toute
nouvelle technique de diabolo. Adapté à cet espace circulaire, le
diabolo ne voyage plus seulement dans la verticalité, mais aussi
dans l’horizontalité de l’espace qui permet des mouvements
linéaires et circulaires à l’horizontal. On ne se pose plus la
question d’un devant ou d’un derrière, tout devient possible.
2004 ------------------------------ Continuant dans cette ligne de
recherche et de questionnement, ils retravaillent le spectacle
« RencontreD » en intégrant la nouvelle technique de
l’horizontalité. Ils le présentent aux Jeunes Talents Cirque 2004
et ils obtiennent la bourse du Conseil Régional d’Ile de France.
Au 25e « Festival Mondial du Cirque de Demain » à Paris ils
reçoivent la médaille d’argent pour le « Duo Tr’espace » et les
prix spéciaux de ARTE, Cirque du Soleil, Cirque Eloize et
Alexander Grimailo Studios Moscou.
« RencontreD » et « Duo Tr’espace » voyagent au Japon et en
Europe.
2005 ------------------------------- Suite à « RencontreD » ils créent
« Le Cercle », un spectacle d’une heure au festival « La Route
du Cirque » à Nexon. La nouvelle étape de recherche est la
prolongation de l’axe du diabolo qui permet de l’utiliser d’une part
comme une toupie, d’autre part de jouer avec l’effet
gyroscopique. Par cette innovation les trajets entre la verticalité
et l’horizontalité deviennent très fluides. Il devient donc possible
de créer des mouvements circulaires et linaires dans tous les
sens.
De plus ils travaillent avec la décomposition du diabolo et ils
retournent à la forme initiale de la balle et des moitiés.
Ces innovations ouvrent d’autres horizons concernant l’articulation
de la technique et celle de la dramaturgie.
Ils créent avec « le site CRA » le spectacle « Schlag2 « à l’espace
des Arts á Chalons sur Saône.
Ils reçoivent au «10th International China Wuqiao Circus Festival » le
Lion d’Argent pour le « Duo Tr’espace ». Invitation à l’école du
Cirque à Kunming, Chine (Flag Circus) pour une rencontre avec les
élèves et pour leur donner un stage.
2006 ------------------------------ La recherche autour du diabolo
continue. Ils créent une nouvelle forme qui exploite un autre aspect
de l’espace : l’espace aérien. Avec l’aide d’un tissu aérien, ils
développent tout un nouvel univers où le diabolo et le tissu se
rencontrent, se mêlent, fusionnent.
Ces différents spectacles tournent en Europe (France, Allemagne,
Belgique, Pays-Bas, Espagne, Angleterre, Hongrie, Finlande) et à
l’International (Israël, Amérique du Nord, Canada, Australie, Japon).
Ils enseignent à l’école supérieure des Art du Cirque à Melbourne
(NICA), à l’école du cirque de Bruxelles (ESAC), à l’Académie
Fratellini et à l’école du cirque de Québec.
2007
------------------------------ Résidence au Théâtre Le Ranelagh à
Paris pour créer une adaptation frontale du spectacle « Le Cercle »,
puis présentation du spectacle du 16 octobre au 25 novembre.
Le Cercle
Définition :
« Surface plane limitée par une courbe (circonférence) dont tous les points sont à égales
distance du centre »
Sens Figuré :
« Ce dont on fait le tour, dont on embrasse l’étendue »
Le titre reflète le double sens de cette définition par l’espace scénique nu, le
mouvement, la forme du diabolo, et la musique « live » reprise en boucle a l’image
du cercle ainsi que par les trois artistes présents qui embrassent l’ensemble.
Des balles roulent, traversent l’espace et dessinent des lignes imaginaires, se
fendent en deux, tracent des cercles et deviennent diabolo. Ainsi commence le
spectacle.
« à Nexon, je suis entré dans un Cercle magique.....
......ils donnent véritablement vie à leurs accessoires et
instruments, dont on croirait presque qu!ils sont les
serviteurs, tellement ils arrivent à donner l!illusion que ceuxci sont animés d!un vie propre. Mais dans « Le Cercle », il
n!y a pas désordre, il y a harmonie : les moitiés de diabolo
décrivent des cercles magnifiques et réguliers pour revenir
dans la main qui les lance, les Diabolos eux-mêmes
tournent inlassablement et reviennent comme par
enchantement sur le fil qui les lança. »
Le travail dramaturgique relève de cette évolution, de cette transformation du
diabolo et de ses nouvelles possibilités de manipulation dans l’espace. Corps et
objets existent dès lors dans le rapport de proximité et de distance, d’équilibre et de
déséquilibre, pour former le fil conducteur du spectacle.
« Ce spectacle est bien plus qu!un exercice de style : c!est
une création d!un univers merveilleux d!où ni l!affrontement
ni l!humeur ne sont absents. Les corps se frôlent, les pas
de danse glissent souplement sur la piste, l!acrobatie n!est
jamais loin, et toujours, dans les lumières parfaitement
réglées par Laurent Béal, apparaît un Diabolo. »
Le jonglage et la musique parfois s’affrontant, parfois s’alliant, créent ensemble le
spectacle. Diabolo et instruments de musique, contrebasse et autres, intervertissent
leurs rôles : Le diabolo révèle des sons, par ses seules vibrations issues de sa
rotation et amplifiées au contact des autres instruments. De même, la contrebasse
se joint à la chorégraphie, se transforme en décor, devient objet de jonglage.
« Mischa Blau est le contrebassiste génial de ce spectacle :
retravaillant ses son avec un « sound machine »,
exploitant toutes les possibilités sonores de son instrument,
il accompagne ses deux partenaires avec force et maestria:
c!est-à-dire qu!il évolue lui aussi sur la piste, qu!il danse et
jongle parfois, s!entremêle aux corps des autres dans un
ballet très esthétique. Comme le Diabolo, la contrebasse en
vient à vivre sa propre existence et à se joindre à la
chorégraphie. »
C’est autour des objets que naissent des personnages. Pourtant, la théâtralité
n’existe pas par une histoire pré-écrite. En effet, le travail dramaturgique s’est porté
avant tout sur la recherche d’une théâtralité au travers du mouvement de l’objet et
du corps. C’est de ce travail qu’émergent des images où chacun peut rêver une
histoire. La proximité de l’action, les acteurs, leur souffle, le son de la manipulation
du diabolo, les vibrations des cordes de la contrebasse, transportent dans un
univers poétique déclencheur de sensations et d’émotions.
« D!autres instruments contribuent à la beauté de ce
spectacle : une petite boîte à musique
qui nous fait souvenir que nous sommes dans un rêve, des
cloches de couleurs, et un tambour descendu du ciel,
éclairé comme la plaine lune qui illumine dehors le
chapiteau. Il sera le prétexte à un moment extraordinaire,
les Diabolos étant envoyés, tournent sur eux-mêmes, dans
un duel de virtuosité. Jusqu!au dernier tableau, après les
nombreux rappels, la magie nous enveloppe comme une
brume bienfaisante et l!on demeure longtemps, jusqu
moment de s!endormir, habité par ce spectacle
formidable »
Laurent Bourdelas, 20.08.2005
Le Cercle est un premier aboutissement d’une longue recherche autour le diabolo,
la première fois qu’il est « l’acteur » principal d’une création d’une heure.
Dispositif
Le cercle sera créé en circulaire.
L’espace est nu.
La scénographie est essentiellement définie par
les corps et la lumière.
Le public est disposé autour de la piste,
dans un gradin…
On entre là dans une intimité,
dans un espace de l’intime…
On est proche de tout
Ce qui adviendra…
nous sera confié, comme un présent.
Nous serons là, avec vous.
La durée, pour peut-être une heure
Adaptation du spectacle en frontal en 2007
Les partenaires
• Coproduction et résidence de création :
Les Arts à la rencontre du Cirque – Nexon, dans le cadre du Festival La Route du
Cirque
• Résidences de création, avec le soutien de :
l’Académie Fratellini - Saint-Denis ;
l’Espace Catastrophe – Bruxelles ;
le Théâtre la Coupole – Saint-Louis, dans le cadre du Réseau pour les Arts du
Cirque / Les Migrateurs.
• Tr’espace a obtenu la bourse du Conseil Régional d’Ile de France pour le création
du “cercle”, dans le cadre des Jeunes Talents Cirque 2004
Les Gens
Oeil extérieur :
Création Lumière :
Costume :
Conseil acrobatique :
Visuel :
Administration :
Jack Souvant
Isabelle Rivoal
Laurent Béal
Urs Steiner
Christian Malgoires
Philippe Deutsch
Laure Mullot
Site Internet :
www.trespace.com
Fiche technique
Plateau :
10 mètres de diamètre minimum avec un sol plan et semi dur
(plancher de danse) sans aspérités clous ou vis et recouvert d’un tapis
de danse coté noir.
Loges :
Une loge d’un confort normal, chauffée, avec un point sanitaires à
proximité , équipée pour recevoir trois personnes, avec un paravent ,
ou une deuxième loge. Il est impératif de prévoir une salle
d’échauffement avec tapis si la loge ne s’avère pas assez spacieuse
pour l’habillage et l’échauffement de trois danseurs.
Son :
une sono de diffusion adéquat et suffisante pour le chapiteau
permettant la reprise d’un ampli basse en direct (XLR) ainsi qu’un
micro hf qui sera fixé sur un tambour. Pas de diffusion de bande ni
tout autre supports
Lumière :
- Un jeu à mémoires de 48 circuits de trois KW minimum.
- 20 PC 1 KW
- 8 PC 2 KW
- 30 PARS 64 : 8 x cp 60 / 6 x cp 61 / 16x cp 62
- 15 Découpes 1 KW (type juliat 614) dont 3 avec portes gobos
- 1 Découpe 2 KW ( type juliat 714)
- 2 F1
- 1 machine à brouillard (ou fumée lente)
Plateau :
Au centre du chapiteau un fil avec renvoi de poulies jusqu’au sol le
long d’un des mats . Il s’agit de faire monter et descendre à des
hauteurs définies un tambour équipé de projecteurs (que nous
fournissons) . le poids de l’installation est de 15 kg et sera manipulée
par les artistes.
Personnel : Pendant la répétition et le spectacle un régisseur son et un régisseur
lumière. Pour le montage à définir avec notre régisseur.
Fiche technique élaborée par Laurent Beal : 06 14 09 82 91
La Presse
Le Cercle
à Nexon, je suis entré dans un Cercle magique.....
......ils donnent véritablement vie à leurs accesoires et instruments, dont on croirait
presque qu’ils sont les serviteurs, tellement ils arrivent à donner l’illusion que ceuxci sont animés d’un vie propre. Mais dans « Le Cercle », il n’y a pas désordre, il y a
harmonie : les moitiés de diabolo décrivent des cercle magnifiques er réguliers pour
revenir dans la main qui les lance, les Diabolos eux-mêmes tournent
inlassablement er reviennent comme par enchantement sur le fil qui les lança. Ce
spectacle est bien plus qu’un exercice de style : c’est une création d’un univers
merveilleux d’où ni l’affrontement ni l’humeur ne sont pourtant absents. Les corps
se frôlent, les pas de danse glissent souplement sur la piste, l’acrobatie n’est jamais
loin, et toujours, dans les lumières parfaitement réglées par Laurent Béal, apparaît
un Diabolo.
Mischa Blau est le contrebassiste génial de se spectacle : retravaillant ses son avec
un sound machine, exploitant toutes les possibilités sonores de son instrument, il
accompagne ses deux partenaires avec force et maestria : c’est-à-dire qu’il évolue
lui aussi sur la piste, qu’il danse et jongle par fois, s’entremêle aux corps des autres
dans un ballet très esthétique. Comme le Diabolo, la contrebasse en vient à vivre
sa propre existance et à se joindre à la choréographie. D’autres instruments
contribuent à la beauté de se spectacle : une petite boîte à musique qui nous fait
souvenir que nous sommes dans un rêve, des cloches de couleurs, et un tambour
descendu du ciel, éclairé comme la plaine lune qui illumine dehors le chapiteau. Il
sera le prétexte à un moment extraordinaire, les Diabolos étant envoyés tourner sur
lui dans un duel de virtuosité.
Jusqu’au dernier tableau, après les nombreux rappels, la magie nous enveloppe
comme une brume bienfaissante et l’on demeure longtemps, jusq’qu moment de
s’endormire, habité par se spectacle formidable .
Laurent Bourdelas, 20.08.2005
Duo Tr’espace
Tr’espace (Roman Müller and Petronella von Zerboni) performed their magnificent
Diabolo act. The couple, recently featured on the cover of Kaskade, has created
quite a buzz since winning a silver medal at Cirque de Demain. With smooth and
impossible moves, they express themes of couplehood not through stagy flirtation
but just by supporting and touching each other as diaboloists. The two met as
students at the Scuola Teatro Dimitri in Switzerland. Their “horizontal diabolo
playing” allows them greater freedom of movement and more dynamic imagery.
This new technique, in which a diabolo stays in the upright hourglass position and is
then looped and whipped in a horizontal plane, has already caught on and seems
destined to change the face of the art.
“Juggling” American Juggle Magazin Nov./Dez. 2004
“You know that feeling? You see something and you’re speechless, you’re unable to
move because the beauty of the moment has left you paralysed. A subtle, romantic
moment that makes your whole body tingle. Your heart starts thumping, but in a
warm, pleasant way. You even get butterflies in your stomach, a feeling of unease
that is nonetheless somehow positive. You know that what you’re seeing is so
beautiful that you cannot really describe it. Nor do you even want to describe it. You
wish that the moment could go on for ever. Just being here now is enough to cause
tears of joy to well up in your eyes. It’s exactly the kind of feeling you have when
you fall in love. Head over heels. You’re knocked out and happy at the same time.
That’s what happened to me to me last December, in the Palazzo Colombino in
Freiburg. On the stage were Tr’espace, performing there Diabolo act. And it’s really
true: I fell in love – with the most beautiful and most innovating act I’ve seen for a
long time. Roman Müller and Petronella von Zerboni presented a new art form, a
new dimension of diabolo playing. Dance and movement, body and prop merged
into a single flow: The diabolos are upright, with the strings horizontal. They seem
to hover, rather than moving up and down, they float in the air, as though
weightless, then released – sent on their journey - and are caught again. Sticks fly,
are handed over, develop a life of their own – they are just as much a prop and a
focus as the diabolo itself. Strings are wound around bodies, the bodies wind
themselves around each other and become one. It’s breathtaking – and beautiful.
Quite simply beautiful.........”
“Kaskade” Nr.75 (2004), Lais Franzen,
„ Für Jonglierfans ist die Diabolonummer unzweifelhaft der stärkste Moment.
Ungewöhnlich originelle Bewegungen gepaart mit subtiler Choreographie. Ich muss
zugeben, dass ich Diabolo nie auf so einem Level des Könnens gesehen habe“
„Undoubtedly the strongest moment, certainly for juggling fans, is the Diabolo act.
Some splendid original moves linked together in a supple choreography. I must
admit that I’ve never seen diabolo-playing at this level of skill.
Denis Paumier, „Kaskade“
„Le Diabolo semble mu par les notes et les sonorité des percusionistes qui
l’entourent“
„Les Art de la Piste“ Nr. 27 Odile Coucoule
„Virtuos: Petronella von Zerboni und Roman Müller verschmelzen Tanz, Musik und
Diabolo-Jonglage zu einer poetischen Vorstellung im Palazzo Colombino.“
„Freiburger Zeitung“, 17. November 2003
„But as so often in a magic show it was a speciality act which scored heaviliy. This
was the swiss duo Tr’espace who did things with diabolos that one would not have
thought possible as they danced and gyrated around the stage. It was a brilliant
performance.”
“The Budget”, Official Magazine of the International Brotherhood of Magicians,
November
2003
RencontreD
„Die Companie Tr’espace präsentierte gestern und vorgestern ihr neues Stück
RencontreD im Theater am Brennpunkt in Baden. Eine Besonderheit des Stücks ist
die Perfektion in der Harmonie von Musik und Bewegung. Die Komposition
verzichtet auf pompöse Hilfsmittel und viele Worte, lebt aber umso mehr vom
starken Ausdruck der Artisten. Im Gleichklang zu den Tönen des Bassisten Mischa
Blau, zeigten Roman Müller und Petronella von Zerboni ein Diabolospiel voller
Romantik und Wehmut. Rencontre D ist eine beinahe dunkel anmutende
Produktion, die durch elegantes Zusammenspiel von Musik und Diabolo-Jonglage
überzeugt“.
„Aargauer Tagblatt“, 30. Oktober 2003
„.....die Artisten kombinieren auf sehr beeindruckende, künstlerische Weise ihre
Instrumente. In einem schönen Wechselspiel nutzen Sie alle musikalischen,
tänzerischen und technischen Möglichkeiten ihres jeweiligen Handwerkzeuges und
ihrer selbst aus, um ein Harmonisches Ganzes zu erschaffen“. «Auch im zehnten
Jahr seines Bestehens zog das Strassenzirkus-Festival «La Strada» wieder
zahlreiche Zuschauer in seinen Bann. Zu den herausragenden Auftritten gehörte
die Diabolo-Performance des deutsch-schweizerischen Trios «Tr›espace». «Man
hätte fast die berühmte Stecknadel fallen hören können bei der DiaboloPerformance
des
deutschschweizerischen
Trios
«Tr›espace».
Zu
Kontrabassklängen jonglierte ein schwarz gekleidetes Paar wie schwerelos. Das
Publikum genoss die sinnliche Darbietung in fast ehrfurchtsvoller Stille, umso
tosender fiel am Ende der Applaus aus.»
„Bremer Nachrichten“, 22. August 2004
Umso erfreulicher das Artisten Trio Tr’espace, das seine ungewöhnliche DiaboloJonglage in eine ebenso zauberhafte wie dynamische Tanz-Performance kleidete.
Während Misch Blau seinem fahrbaren Kontrabass allerhand erstaunliche Töne und
Melodien entlockte, liessen Petronella von Zerboni und Roman Müller die Rollen
tanzen: In perfekter Präzision und Choreographie wirbeln hier schwerelos Mensch
und
Gerät,
wird
das virtuos eingesetzte
Diabolo
zum
beredten
Kommunikationsmittel seiner Tänzer. Ein ebenso poetisches wie originelles
Schauspiel, bei dem die Technik der Jonglage immer wieder in fantastischen
Bewegungsbildern aufgeht.
Marion Klötzer, Badische Zeitung, 19.01.2005