Actuel - CIDJ : L`indemnisation du chômage
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Actuel - CIDJ : L`indemnisation du chômage
Études Métiers Emploi Formation Société Loisirs Vacances Étranger Sports 3.461 - Avril 2005 L’indemnisation du chômage Sommaire > Le régime d’assurance chômage > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses DONNÉES CLÉS Début décembre 2004, le nombre d’allocataires indemnisés par l’Assédic s’élevait à 2 237 800, soit une baisse de 1,1 % par rapport à l’année 2003. Source Assédic CHIFFRES ET TENDANCES En 2004, le chômage augmente chez les femmes (+ 0,8 %) et, surtout, chez les jeunes (+ 2,2 % pour les moins de 25 ans). Les sorties du chômage ont légèrement progressé (+ 1,2 %). En revanche, les demandeurs d’emplois de longue durée sont de plus en plus nombreux (+ 3,1 %). Source Assédic FICHES LIÉES Trouver un emploi, bénéficier des aides à l’emploi n° 3.01 Les services de l’Assédic et de l’ANPE n° 3.03 L’Unédic en crise financière Après trois années de hausse, l’année 2004 a vu le nombre de demandeurs d’emploi se stabiliser à 2 44 200 personnes fin décembre. Mais en dépit du retour de la croissance économique, la France surfe encore à un taux de 9,9 % de chômage, qui n’arrange pas la situation financière de l’Unédic. vec plus de 10 milliards d’euros de déficit cumulé, l’assurance-chômage traverse la plus grave crise financière de son existence. Sans compter que, selon les projections de l’Unédic, le trou se creuse plus que prévu en atteignant 12,4 milliards d’euros cette année. La faute n’en revient pas à la croissance (2 % en 2004), mais à l’absence de reprise immédiate d’embauche dans les entreprises. L’assurance chômage en déficit Cependant, les économistes sont formels : la situation financière de l’Unédic ne pourra s’assainir fin 2005-début 2006 que si la conjoncture internationale et la croissance économique se maintenaient. Même dans le meilleur des cas, l’ardoise auprès des banquiers ne s’effacerait qu’à partir de 2009. Une situation pour le moins critique, alors même que se renégocie la convention d’assurance chômage ! Si, a priori, les paramètres d’indemnisation ne devraient pas être modifiés, on peut néanmoins s’attendre à quelques changements… Les nouvelles mesures de licenciement pourraient, en effet, alourdir le déficit du régime. La solution miracle serait de réduire le nombre de demandeurs d’emploi, ce à quoi s’est engagé le Premier ministre : son objectif est de faire baisser le chômage de 10 % d’ici à fin 2005. Promulguée le 18 janvier, la loi Borloo devrait y contribuer. La loi Borloo L’une des mesures principales du volet emploi de la loi de cohésion sociale est la création, d’ici à 2006, de 300 maisons de l’emploi. Associant l’État, l’ANPE, l’Unédic et les collectivités territoriales, elles offriront un meilleur accompagnement aux chômeurs via un guichet unique vers toutes les prestations. Afin d’en faciliter la mise en place, une convention devrait être signée d’ici l’été 2005. Afin de réduire la durée du chômage, la loi prévoit aussi d’encourager les chômeurs à retrouver un emploi par une amélioration du dispositif de suivi, mais aussi des sanctions : le demandeur d’emploi sera incité à prendre un poste compatible avec les compétences qu’il aura acquises en formation ou avec sa mobilité géographique, sous peine de voir son allocation diminuée, voire supprimée. … 1/12 2005 L’indemnisation du chômage 3.461 - Avril 2005 Le régime d’assurance chômage Un système paritaire Sommaire > Le régime d’assurance chômage > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses BON À SAVOIR Chômage et création d’entreprise Tant que l’activité envisagée n’est qu’au stade de projet, les démarches accomplies pendant la phase préparatoire à la création ou la reprise d’une entreprise constituent des actes de recherche d’emploi. Dans ce cas, vous conservez le bénéfice des allocations. Lorsque l’entreprise est créée, un maintien partiel des allocations est possible, condition que votre nouvelle activité ne vous rapporte pas plus de 70 % du salaire sur lequel a été calculée votre allocation. D’autre part, vous devez demeurer inscrit comme demandeur d’emploi. Cf. fiche ACTUELCidj Créer son entreprise n° 3.6. Le régime d’assurance chômage assure le paiement des prestations aux chômeurs et les aide à retrouver un emploi. Le financement du régime d’assurance chômage repose sur les contributions obligatoires des salariés et des entreprises. Le régime d’assurance chômage concerne avant tout les entreprises du secteur privé, mais la majorité des employeurs du secteur public adhèrent au régime d’assurance chômage ou signent une convention de gestion avec lui. C’est un système paritaire : l’État, les employeurs et les syndicats interviennent de manière égale. La gestion en est confiée à l’Union nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans l’industrie et le commerce (Unédic) et sa mise en œuvre aux 30 Assédic répartis sur tout le territoire. Les bénéficiaires Pour bénéficier du régime d’assurance chômage de l’Unédic et percevoir l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) il faut : - avoir été privé d’emploi involontairement : la cession d’activité doit résulter d’un licenciement, d’une fin de contrat de travail à durée déterminée, d’une démission considérée comme légitime (suivi du conjoint qui déménage pour exercer un nouvel emploi, etc.) Cependant, le départ volontaire ne constitue pas un obstacle définitif à l’indemnisation car au bout de quatre mois, l’Assédic peut sur demande et sous conditions de recherche active verser quand même des allocations, - être physiquement apte à l’exercice d’un emploi : en cas de maladie, une indemnité journalière est versée par l’organisme de Sécurité sociale. - s’engager à chercher un emploi avec l’ANPE ou de manière individuelle - être inscrit comme demandeur d’emploi auprès de l’Assédic ou suivre une formation. Comment s’inscrire à l’Assédic ACTUALITÉ Les intermittents Suite au conflit entraîné par la réforme de l’assurance chômage signée en juin 2003, le gouvernement a signé un nouvelle convention le 1er février 2005. Celle-ci prolonge l’existence d’un fond d’urgence, financé par l’État et géré par l’Unédic, à destination des intermittents du spectacle exclus du régime. Ils peuvent bénéficier de l’allocation d’aide au retour à l’emploi, à condition de remplir les conditions antérieures à la réforme (cumuler 507 heures de travail sur 12 mois). Le meilleur moyen, c’est le téléphone : composez le 0 811 01 01 suivi des deux derniers chiffres de votre département (prix d’un appel local). Au bout du fil, le conseiller de l’Assédic vous renseigne, vous préinscrit, organise votre rendezvous et vous envoie à domicile votre dossier et convocation. Si la dernière inscription à l’Assédic date de moins de six mois : le conseiller vous réinscrit, vous n’avez pas à vous déplacer. Pour constituer son dossier, il faut apporter une pièce d’identité ainsi qu’une pièce garantissant l’accès au marché du travail (notamment une carte de séjour autorisant les activités professionnelles ou encore un document prouvant la demande d’asile ou de statut de réfugié). Afin de faire une demande d’allocations, il faut aussi présenter une (ou plusieurs) attestation(s) d’employeur, une copie de la carte d’immatriculation à la Sécurité sociale (carte Vitale ou attestation de la caisse primaire d’assurance maladie) et un relevé d’identité bancaire ou postal. Une fois admis par l’Assédic, vous pourrez bénéficier du plan d’aide au retour à l’emploi (PARE). Pour plus de renseignements, contactez l’Assédic : www.assedic.fr … 2/12 3.461 - Avril 2005 Le rôle de l’ANPE Organisme chargé du reclassement des demandeurs d’emploi, l’ANPE propose des offres d’emploi via son réseau d’agences ou sur le site www.anpe.fr. EN SAVOIR PLUS Si vous avez 16 ans entre le 1er juillet et le 31 décembre de l’année, vous pouvez vous inscrire comme demandeur d’emploi. L’inscription à l’Assédic vous permet d’accéder aux services de l’ANPE. Cf. fiche ACTUEL-Cidj Les services de l’Assédic et de l’ANPE n° 3.03 Le plan d’aide au retour à l’emploi (PARE) C’est la mesure essentielle de la convention d’assurance chômage depuis le 1er janvier 2001. En s’inscrivant à l’Assédic, le demandeur d’emploi signe un plan d’aide au retour à l’emploi (PARE). Celui-ci définit notamment les droits et obligations du demandeur d’emploi. Ce dernier s’engage, entre autres, à élaborer et signer un projet d’action personnalisé (PAP) qu’il définira avec l’ANPE. Le projet d’action personnalisé (PAP) Dans le mois suivant la signature du PARE, le demandeur d’emploi est tenu de se présenter à un entretien à l’ANPE dont il dépend, afin de bâtir un projet d’action personnalisé (PAP). Cet entretien doit déterminer les types d’emplois qui correspondent à ses qualifications et à ses compétences professionnelles. Il est d’ailleurs possible de participer à des ateliers permettant d’évaluer ses compétences, de découvrir d’autres métiers existants ainsi que des formations complémentaires. En contrepartie et pour toucher l’ARE pour une durée de trente mois au maximum, toujours au même taux, le demandeur d’emploi s’engage à rechercher activement un emploi. Outre les offres d’emploi qui sont disponibles au sein des agences, l’ANPE propose de participer à des ateliers permettant d’améliorer l’efficacité de sa recherche : rédaction de CV, ciblage des entreprises à contacter spontanément, préparation à l’entretien d’embauche… Si, au bout de six mois, il n’a pas retrouvé d’emploi, un bilan de compétences approfondi peut avoir lieu et un nouveau projet d’action personnalisé est élaboré (PAP 02). Son allocation est toujours maintenue, au même taux. Au-delà d’un an et dans la limite de la durée de ses droits, il se voit proposer de nouvelles solutions de reclassement. Mises en œuvre par l’Assédic sur proposition de l’ANPE, il existe plusieurs types d’aides au reclassement : aides à la mobilité géographique, aides à la formation (prise en charge des frais de formation, des frais de dossier et d’inscription, des frais de transport et d’hébergement), aide à l’employeur (elle concerne les demandeurs d’emploi inscrits depuis douze mois ou trois mois pour les 50 ans et plus ; c’est une aide financière dégressive, en application d’une convention spécifique conclue entre l’employeur et l’Assédic). Si l’ANPE estime que les efforts sont insuffisants (pensez à garder une trace de toutes les démarches : photocopies des courriers, mails, etc.), elle peut vous radier de la liste des demandeurs d’emploi. De plus, l’Assédic suit de près l’exécution du PAP et examine son avancée tous les dix mois, en convoquant éventuellement le demandeur d’emploi à un entretien. Là encore, si le demandeur d’emploi ne s’y rend pas ou ne présente pas les pièces demandées, il peut voir son allocation retirée. Dans ces deux cas, le dossier est ensuite transmis à la Direction départementale du travail de l’emploi et de la formation professionnelle (DDTEFP). Celle-ci décide de la suspension de l’allocation, voire de la radiation du demandeur d’emploi. … 3/12 2005 3.461 - Avril 2005 L’indemnisation du chômage Droits, devoirs et formalités Qui a droit à quoi ? Sous quelles conditions ? Et comment calculer le montant ? Sommaire > Le régime d’assurance chômage L’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), non dégressive, remplace l’allocation unique dégressive (AUD) et l’allocation de formation reclassement (AFR). Elle est applicable sous certaines conditions (voir ci-dessous) aux salariés privés d’emploi. D’autres allocations ou aides s’adressent à des publics spécifiques ou permettent de suivre une formation. > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses Calculer l’allocation d’aide au retour à l’emploi Deux éléments sont pris en compte pour calculer le montant de cette allocation non dégressive : la durée de l’activité antérieure et le montant des anciens salaires du demandeur d’emploi. Allocation d’aide au retour à l’emploi (au 1/07/2004) Salaire mensuel brut Allocation brute (journalière) Inférieur à 1 000,40 € 75 % du salaire brut Retenues sociales 0 Compris entre 1 096,01 et 1 808,82 € 25,01 € par jour 3 % de ancien salaire (retraite complémentaire) Compris entre 1 808,82 et 9 904 € 57,4 % du salaire journalier brut 11,25 % de l’allocation (CSG/RDS/retraite) si allocation est supérieure au SMIC (40 €) ➔ Conditions d’affiliation BON À SAVOIR Toute personne ayant perçu indûment des allocations ou des aides au reclassement doit les rembourser. Sans compter que les déclarations inexactes ou mensongères peuvent entraîner des sanctions pénales… Pour obtenir l’allocation de retour à l’emploi, il faut bien sûr être inscrit comme demandeur d’emploi et avoir été salarié dans une ou plusieurs entreprises (ou en formation professionnelle), pendant six mois dans les vingt-deux mois précédant la fin du contrat de travail. L’inscription doit se faire dans un délai de douze mois à compter de la fin du contrat de travail, mais il peut être rallongé sous certaines conditions : si la personne a bénéficié de journées d’interruption de travail ayant donné lieu à certaines prestations (maladie, maternité, paternité, accident du travail…), si elle a touché une pension d’invalidité, si elle a suivi un stage de formation professionnelle, si elle a été incarcérée, si elle a pris un congé parental d’éducation ou un congé pour création d’entreprise, si elle a exercé un mandat (électif, politique, syndical), si elle a effectué une mission de volontariat international… ou encore si elle a suivi son conjoint expatrié dans le cadre de son emploi. Pour plus de renseignements sur ces exceptions, contactez votre Assédic. Le droit à percevoir l’ARE dépend de l’Assédic. Si la demande est rejetée, elle doit en signaler les raisons ainsi que les modalités de réexamen éventuel. ➔ Le salaire journalier de référence Le montant de l’allocation est calculé en fonction des rémunérations perçues pendant une période d’affiliation, ou, par défaut, des douze mois précédant le dernier jour de travail. Sont pris en compte les salaires bruts et les primes, à l’exclusion des indemnités de préavis, de licenciement ou compensatrices de congés payés. Pour calculer le salaire journalier de référence, il faut faire le total de ces rémunérations et diviser la somme par le nombre de jours compris dans la période. … 4/12 3.461 - Avril 2005 Le montant brut de l’allocation sera : - soit 40,4 % du salaire journalier de référence + 10,25 €, - soit 57,4 % du salaire journalier de référence. Le montant le plus élévé sera retenu dans la limite de 75 % du salaire journalier de référence. Il ne pourra pas être inférieur à 25 € / jour (au 1er juillet 2004). Pour obtenir le montant de l’allocation mensuelle, il faut multiplier ce résultat par le nombre de jours compris dans le mois. Attention, ce calcul n’est valable que pour une activité exercée à temps plein : en cas de temps partiel et de chômage saisonnier, l’allocation est minorée. Les titulaires d’une pension d’invalidité voient leur allocation réduite du montant de la pension. Résultat : une allocation mensuelle brute de 929 € en moyenne. C’est ce que révélait une enquête de la DARES fin 2002. Cependant 50 % des personnes indemnisées touchaient moins de 858 € et, parmi elles, 22 % moins de 450 €. Le montant fixe de l’ARE est revalorisé chaque année au 1er juillet. En 2004, l’augmentation a été de 1 %. Une progression qui ne suit malheureusement pas le coût de la vie (2,15 %). La raison : le déficit de l’Unédic. ➔ Durée du versement L’allocation est versée par période de six mois renouvelables dans une durée totale variant en fonction de la durée d’affiliation au régime d’assurance chômage. Pour les demandeurs d’emploi de moins de 50 ans, la durée maximale d’indemnisation est de : - 7 mois, sous réserve d’avoir été salarié 6 mois au cours des 22 derniers mois (précédant la fin de ce contrat) - 23 mois, sous réserve d’avoir été salarié 14 mois au cours des 24 derniers mois. Pour les demandeurs d’emploi de 50 ans et plus, la durée maximale d’indemnisation est de : - 36 mois sous réserve d’avoir été salarié 27 mois dans les 36 derniers mois, - 42 mois, sous réserve d’avoir travaillé 27 mois au cours des 36 derniers mois et d’avoir acquis 100 trimestres d’assurance vieillesse, pour les 57 ans et plus. Attention, seules les périodes n’ayant pas déjà servi à ouvrir des droits sont prises en compte. ➔ Le paiement QUE FAIRE SI Vous rencontrez des difficultés exceptionnelles ? Il est possible de demander à l’Assédic un acompte sur allocations. Le montant de cet acompte sera retenu sur le paiement suivant. Les allocations sont versées par virement bancaire ou postal au début du mois suivant la période de chômage concernée. Cependant, un délai peut s’écouler entre le moment où l’on s’inscrit à l’Assédic et celui où l’on perçoit l’allocation. En effet, si l’employeur a versé une indemnité compensatrice de congés payés ou des indemnités de rupture supérieures au minimum légal, l’indemnisation est reportée. L’Assédic calcule alors un délai de carence « congés payés » correspondant aux congés payés non pris, ainsi qu’un délai de carence « indemnités de rupture » qui ne peut excéder 75 jours. De plus, dans tous les cas, la prise en charge est différée de sept jours : il s’agit du différé d’indemnisation. Les allocations sont soumises à l’impôt sur le revenu, et l’Assédic vous informe, en début d’année, des sommes à déclarer. … 5/12 2005 L’indemnisation du chômage 3.461 - Avril 2005 ➔ Interruption du versement Sommaire > Le régime d’assurance chômage > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses Le versement de l’ARE peut s’interrompre pour plusieurs raisons. Bien sûr le fait de retrouver une activité professionnelle, salariée ou non, en France ou non, entraîne la radiation comme demandeur d’emploi, et donc la fin de l’ARE. C’est aussi le cas si le demandeur d’emploi cesse de résider sur le territoire français, s’il perçoit des indemnités de la Sécurité sociale au titre de l’assurance maladie ou d’une maternité, s’il perçoit une allocation parentale d’éducation ou de présence parentale. L’indemnisation peut aussi prendre fin une fois tous les droits épuisés, mais dans certaines conditions, le relais peut être pris par l’allocation de solidarité spécifique. Dernier cas : l’exclusion du bénéfice des allocations de chômage sur décision administrative (déclarations inexactes) ou à la suite d’une radiation par l’ANPE notamment pour refus d’un emploi sans motif légitime. Cumul de l’allocation et de rémunérations Si le demandeur d’emploi a retrouvé ou conservé du travail de manière occasionnelle ou à temps partiel, il peut continuer à percevoir une partie de ses allocations mensuelles. Pour cela, il doit rester inscrit comme demandeur d’emploi et ne pas gagner plus de 70 % de son ancien salaire brut mensuel. Ce maintien sera possible pour une durée de dix-huit mois, et sous réserve d’envoyer ses bulletins de salaire chaque mois, après avoir déclaré sa situation mensuelle. Les aides particulières ➔ Les fonds sociaux de l’Assédic ACTUALITÉ Les recalculés Le déficit des comptes de l’assurance chômage a conduit le 20 décembre 2002 à la réduction de la durée des indemnisations à compter du 1er janvier 2003. Mais, devant le mécontentement des allocataires « recalculés », le ministère de l’Emploi a rétabli en juin 2004, les 600 à 800 000 chômeurs concernés dans leurs droits, pour un coût global estimé à plus de 2 milliards d’euros. Cependant, cette réforme reste en vigueur pour les demandeurs d’emplois qui se sont inscrits depuis. L’Assédic accorde des aides financières individuelles et à caractère exceptionnel sur des fonds sociaux. Elles ne constituent pas un droit, et seules les personnes en cours d’indemnisation ou celles qui ont cessé d’être indemnisées (pendant une période d’un an), en grande difficulté, peuvent y avoir droit. Ces aides sont destinées à permettre de régler des impayés (loyer, EDF, eau, etc.) ou peuvent contribuer au règlement de certains frais de formation, de recherche d’emploi ou de déplacement. Pour de plus amples renseignements, contactez l’Assédic. ➔ L’aide aux travailleurs étrangers Les travailleurs étrangers en situation régulière bénéficient des allocations d’assurance chômage dans les mêmes conditions que les Français. Une aide peut leur être accordée s’ils sont indemnisés par l’Assédic ou menacés de licenciement et qu’ils désirent quitter la France pour s’établir dans leur pays d’origine. La demande se fait auprès de l’Office des migrations internationales (OMI). Cette aide peut prendre la forme, par exemple, d’une prise en charge des frais de transport. ➔ L’allocation décès En cas de décès en cours d’indemnisation d’un allocataire, il est versé à son conjoint ou concubin une somme égale à 120 fois le montant journalier de l’allocation dont bénéficiait le défunt. Cette somme est majorée de 45 allocations journalières par enfant à charge. … 6/12 3.461 - Avril 2005 Contrôles et sanctions ➔ En cas de refus d’une offre d’emploi Si le demandeur d’emploi refuse une ou plusieurs offres sans motif légitime, s’il ne se présente pas à un entretien ou à un atelier (par exemple, rédaction de CV, techniques de recherche d’emploi), s’il ne renvoie pas des pièces justificatives, il peut être sanctionné. Son dossier est instruit par l’Assédic qui le transmet à la direction départementale du travail et de l’emploi. ➔ La déclaration de situation mensuelle Les chômeurs qui perçoivent des allocations sont contrôlés par l’Assédic et par l’ANPE. L’Assédic envoie chaque mois au domicile du demandeur d’emploi un formulaire de déclaration de situation mensuelle (DSM). Celui-ci doit la renvoyer avant le dernier jour du mois, sous peine de sanctions. Il est aussi possible de renouveler son inscription tous les mois par téléphone (serveur vocal : 0890 642 642) ou sur Internet (www.assedic.fr). Pour avoir accès à son dossier, il faut donner le numéro identifiant qu’a adressé l’Assédic par courrier, et signaler si l’on est toujours à la recherche d’un emploi, si l’on a travaillé le mois précédent et combien d’heures, si l’on a été en formation ou en stage, si l’on a bénéficié d’un congé maladie ou maternité… Il faut déclarer toute absence de plus de sept jours, car il est possible d’être absent dans la limite de 35 jours par an. Reprise d’un emploi, congé maladie, entrée en stage, déménagement, nouvel état-civil : tout changement de situation doit s’accompagner dans les 72 heures de l’envoi d’un avis de changement de situation (joint à la carte d’inscription). Si vous avez retrouvé un contrat à durée déterminée : il est conseillé de se déclarer « être toujours à la recherche d’un emploi » : cette procédure ne permet pas de garder son allocation, mais elle facilite la réouverture de droits par la suite. Notion de chômeur En application de la définition internationale adoptée en 1982 par le Bureau international du travail (BIT), un chômeur est une personne en âge de travailler (15 ans ou plus) qui répond à trois conditions : être sans emploi ; être disponible pour prendre un emploi dans les quinze jours ; chercher activement un emploi ou en avoir trouvé un qui commence ultérieurement. Chômeur à temps partiel Il y a chômage partiel lorsque les salariés subissent une perte de salaire du fait : - de la fermeture temporaire de tout ou partie de l’entreprise. Au-delà de quatre semaines, c’est le chômage partiel total et les intéressés sont considérés comme étant à la recherche d’emploi, ils bénéficient des allocations chômage ; - de la réduction temporaire de l’horaire de travail si le temps travaillé devient inférieur à la durée légale du travail. … 7/12 2005 L’indemnisation du chômage 3.461 - Avril 2005 Le système d’indemnisation du chômage partiel permet de gérer une baisse d’activité temporaire d’une entreprise et d’éviter les licenciements économiques. Ce système comprend plusieurs allocations qui se complètent ou se succèdent et sont financées par l’employeur et par l’État (allocation d’aide publique, allocation conventionnelle, allocation de temps réduit indemnisé de longue durée). Sommaire > Le régime d’assurance chômage > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses Pour toute information complémentaire sur ces allocations, consultez le site Internet www.assedic.fr. Un chômeur saisonnier Le chômage saisonnier peut tirer son origine d’une activité liée au tourisme, à l’agriculture ou de tout travail dans un secteur où la saisonnalité est importante. Mais il définit également toute période de chômage survenant trois ans de suite à la même période, quel que soit le secteur d’activité. L’indemnisation de ce type de chômage est caractérisée par une allocation minorée selon un coefficient réducteur. Le régime de solidarité L’État solidaire Dans le cas de droits de l’assurance chômage épuisés ou refusés, d’autres dispositifs financés par l’État, mais gérés par l’Assédic prennent le relais. ACTUALITÉ Le montant journalier des allocations du régime de solidarité a été revalorisé de 1,8 % au 1er janvier 2005. Trois types de demandeurs d’emplois sont concernés : les chômeurs n’ayant jamais travaillé (allocation d’insertion), les chômeurs ayant épuisé leurs droits au régime d’assurance chômage (allocation de solidarité spécifique) et les chômeurs justifiant de 160 trimestres validés au titre de l’assurance vieillesse (allocation équivalent retraite). L’allocation d’insertion CHIFFRES ET TENDANCES En 2003, les prestations versées par l’Assédic au titre du régime de solidarité représentaient environ 2,32 milliards d’euros, soit l’équivalent de 9 % des prestations versées au titre de l’assurance chômage. L’allocation d’insertion concerne les personnes qui n’ont jamais travaillé ou pas assez pour obtenir l’ARE. Peuvent aussi en bénéficier : - les personnes rencontrant des difficultés particulières d’insertion, qu’elles soient rapatriées ou apatrides - les salariés victimes d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle dont le contrat est suspendu - les anciens détenus (détention de deux mois minimum) - les anciens salariés expatriés qui ne sont pas couverts par le régime d’assurance chômage en France. Cette allocation est soumise à certaines conditions : il faut être inscrit sur la liste des demandeurs d’emploi, faire une demande d’allocation dans les deux mois à compter de l’inscription, être apte au travail et avoir des ressources inférieures à un plafond (cf. tableau p. 9). … 8/12 3.461 - Avril 2005 L’allocation d’insertion est attribuée pour un an au maximum, en période de 6 mois renouvelable. Elle est versée sans délai de carence, et est dégressive en fonction des ressources de la personne. Elle peut être maintenue dans le cas de reprise d’activité professionnelle ou de création d’entreprise, sous condition. Allocation d’insertion (au 1/01/2005) Pour une personne seule Vos ressources mensuelles De 0 à 591,6 € De 591,6 € à 887,4 € De 887,4 € et + Pour un couple Vos ressources mensuelles De 0 à 1 479 € De 1 479 à 1 774,8 € De 1 774,8 € et + Votre allocation mensuelle 295,8 € Allocation différentielle égale à : 887,4 € / mois moins les ressources Pas d’allocation Votre allocation mensuelle 295,8 € Allocation différentielle égale à : 1 174,8 € / mois moins les ressources Pas d’allocation L’allocation de solidarité spécifique NOS CONSEILS Les recours Suivant la raison de son exclusion, l’allocataire de l’ASS peut saisir la commission départementale de recours gracieux (absence de recherche d’emploi), le directeur départemental du travail de l’emploi et de la formation professionnelle (non-respect des conditions de ressources ou d’activité, exclusion) ou encore la commission de recours (demande de prolongation). BON À SAVOIR Les prestations familiales La Caisse des allocations familiales reverra votre dossier une fois que vous serez demandeur d’emploi. Il est important de lui signaler votre situation. Elle est destinée aux chômeurs de moins de 60 ans, qui ont épuisé leurs droits aux allocations d’assurance chômage. Un mois avant la fin de leur indemnisation, ceux-ci reçoivent de la part de l’Assédic une demande d’admission à remplir. Pour en bénéficier, il faut être inscrit comme demandeur d’emploi, effectuer une recherche active (sauf les 55 ans et plus), être physiquement apte à travailler. Cette allocation n’est versée que si le demandeur d’emploi peut justifier de cinq ans d’activité salariée au cours de dix ans précédant la fin du dernier contrat de travail. Cette activité peut prendre la forme d’un contrat de travail (CDI, CDD, intérim…), mais elle recouvre aussi le service national, la formation professionnelle et les différents congés (maladie, maternité, accident du travail, congé parental etc.). Cette durée peut être réduite si le demandeur d’emploi a interrompu sa carrière pour élever un ou plusieurs enfants (un an par enfant, dans la limite de trois ans). L’allocation de solidarité spécifique est attribuée par périodes de six mois, renouvelables, avec, depuis le 1er janvier 2004, une limitation de la durée maximale à deux ans pour les moins de 55 ans (les 55 ans et plus continuant à la toucher de manière illimitée). Elle peut, sur décision d’une commission de recours, être prolongée de trois mois. Elle est versée dès l’interruption du versement des allocations d’assurance chômage. Dans certains cas, elle peut être cumulée avec une activité partielle pendant douze mois. Se renseigner auprès de l’Assédic. Son montant est placé sous conditions de ressources (cf. tableau p. 10). … 9/12 2005 L’indemnisation du chômage Sommaire > Le régime d’assurance chômage > Le régime de solidarité > Carnet d’adresses 3.461 - Avril 2005 Allocation de solidarité spécifique (au 1/01/2005) Pour une personne seule Vos ressources mensuelles Votre allocation mensuelle De 0 à 560 € 420 € De 560 € à 980 € Allocation différentielle égale à : 980 € / mois moins les ressources De 980 € et + Pas d’allocation Pour un couple Vos ressources mensuelles Votre allocation mensuelle De 0 à 1 120 € 420 € Allocation différentielle égale à : 1 540 € / mois De 1 120 à 1 540 € moins les ressources De 1 540 € et + Pas d’allocation ➔ Le contrat d’avenir La loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale a créé le contrat d’avenir. Destiné à faciliter l’insertion sociale et professionnelle des personnes bénéficiant du revenu minimum d’insertion (RMI), de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) ou de l’allocation de parent isolé (API), ce nouveau contrat de travail consiste en un CDD au sein du secteur non marchand, pour une durée de deux ans, renouvelable pour douze mois. Il comprend des actions de formation et d’accompagnement en faveur du salarié. ➔ Le contrat d’insertion-revenu minimum d’activité Les allocataires de l’ASS, comme ceux de l’API, rencontrant des difficultés particulières d’accès à l’emploi peuvent bénéficier du contrat insertion-revenu minimum d’activité. L’allocation de fin de formation Si vous n’avez pas achevé votre formation alors que vos droits à l’ARE sont épuisés, une allocation de fin de formation (AFF) d’un montant égal à l’ARE peut vous être versée, sous conditions. La décision d’attribution de l’AFF est prise par le directeur de l’agence locale de l’ANPE qui a prescrit la formation. Il n’y a pas de formalités à accomplir. Protection sociale des chômeurs Quelle que soit votre situation, vous conservez des droits auprès des la caisse de Sécurité sociale et d’assurance vieillesse : remboursement des frais pharmaceutiques et médicaux, indemnités journalières, validation de trimestres pour la retraite… L’étendue des droits varie suivant la situation et le type de prestation. Votre couverture de base est plus ou moins étendue selon que : - vous percevez les allocations de chômage, - vous n’êtes pas indemnisable ou n’êtes plus indemnisé, - vous êtes en préretraite. … 10/12 3.461 - Avril 2005 En cas de maladie, il faut le signaler dans sa déclaration mensuelle et adresser l’arrêt de travail, puis la feuille de prise en charge délivrée par la Sécurité sociale à l’Assédic. Attention, des contrôles systématiques sont effectués… Pour compléter le remboursement de base, la couverture maladie universelle ou CMU offre des possibilités de prise en charge complémentaire aux personnes à revenus modestes. Renseignements auprès de la caisse primaire d’assurance maladie ou de la caisse de Sécurité sociale du lieu de résidence. 11/12 2005 3.461 - Avril 2005 L’indemnisation du chômage Carnet d’adresses LISTE 1 Pour en savoir plus SURFER www.assedic.fr Producteur : Union nationale pour l’emploi dans l’industrie et le commerce www.service-public.fr Producteur : portail officiel de l’administration française www.travail.gouv.fr Producteur : site du ministère de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale. LISTE 2 Les associations d’aide aux demandeurs d’emploi ➔ Ces associations accompagnent les demandeurs d’emploi. Elles disposent d’un réseau d’antennes ou de délégations régionales. Agir ensemble contre le chômage AC ! 23 B rue Mathis 75019 - PARIS Tél : 01 40 09 27 49 www.ac.eu.org AC ! regroupe une soixantaine de collectifs militants qui agissent contre l’exclusion, le chômage et la précarité. AC ! rassemble des chômeurs, des salariés, des retraités, des associations et des syndicats. Permanence le mercredi de 15 h à 19 h (permanence le mercredi matin pour les recalculés). Il n’y a ni cotisation ni adhésion. Association Pivod 30 rue Brey 75017 - PARIS Tél : 01 56 68 07 00 www.pivod.org L’association Pivod propose un accompagnement aux demandeurs d’emploi et un appui aux créateurs d’entreprises et porteurs de projets. Elle dispose de plusieurs implantations en régions : Le Vésinet (78), Epinay-sur-Seine (93), Meaux (77), Marc en Baroeuil (59), Metz (57), Nancy (54) Ses prestations sont assurées par des seniors bénévoles qui ont une expérience de l’entreprise et/ou du recrutement. Les permanences ont lieu principalement dans les missions locales et les maisons de l’emploi des mairies. Aide à la recherche d’emploi : accompagnement et suivi des demandeurs d’emploi, rédaction CV et lettre de candidature, atelier techniques de recherche d’emploi. Association pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés - AFIJ Porte 237, 1er étage 3 rue Jean Jaurès 93200 - SAINT-DENIS Tél : 01 55 87 02 50 www.afij.org Réseau : 40 points d’accueil répartis dans toute la France. L’objectif de l’AFIJ est d’améliorer l’insertion professionnelle des jeunes issus de l’enseignement supérieur : diplômés, étudiants, jeunes en échec à l’issue du premier cycle universitaire ou en emploi précaire. Elle leur propose des modules collectifs gratuits d’accompagnement à la recherche d’emploi, des offres d’emploi, des informations sur la recherche d’emploi. Elle assure un accompagnement individuel auprès de publics en difficulté, et mène également une action auprès des professionnels (rencontres, visites d’entreprises…). Prestations proposées : module de stratégie de recherche d’emploi (3 heures, groupe de 8 à 14 personnes), des entretiens personnalisés, des offres d’emploi (dont certaines à l’étranger) et de stages, une aide à l’élaboration de CV. Les offres d’emploi sont accessibles sur le site Internet. Association pour la valorisation en relation avec les professionnels AVARAP 90-92 rue du Moulin Vert BP Boite aux lettres n° 48 75014 - PARIS Tél : 01 45 41 42 27 www.avarap.asso.fr L’AVARAP apporte une aide et un appui aux cadres ayant au moins cinq ans d’expérience qui sont à la recherche d’un emploi ou d’une mutation professionnelle. Elle dispose d’antennes dans les villes suivantes : Aix-Marseille, Nice, Bordeaux, Rennes, Valenciennes, Clermont-Ferrand. Elle fonctionne sous la forme de groupes qui se réunissent une fois par semaine pour permettre aux cadres d’échanger leurs expériences, de mettre au point leur projet professionnel et de dynamiser leur recherche d’emploi. Accueil téléphonique de 9 h 30 à 12 h, réunion mensuelle d’information publique (sur inscription). Association pour l’emploi, l’information et la solidarité APEIS 8 rue de Verdun 94800 - VILLEJUIF Tél : 01 46 82 52 25 www.apeis.org L’APEIS aide les chômeurs à défendre leurs droits et les accompagne dans leurs démarches auprès des Assédic et de l’ANPE. Elle compte une cinquantaine de comités locaux (la liste est disponible sur son site Internet). Publication : Existence ! (5 n°/an, sur abonnement : 23 € ; 15 € pour les travailleurs précaires ; 8 € pour les chômeurs) Fédération des comités et organismes d’aide aux chômeurs par l’emploi - COORACE 17 rue Froment 75011 - PARIS Tél : 01 49 23 70 50 www.coorace.org La fédération COORACE regroupe 500 structures d’insertion par l’activité économique : associations intermédiaires, entreprises de travail temporaire d’insertion, entreprises d’insertion, chantiers d’insertion, chantiers écoles, associations de services aux particuliers. Parmi ses objectifs : l’accès à l’emploi de tous, permettre aux exclus de retrouver leur place dans la société (mise en situation de travail, formation), développer l’animation et la création d’activités nouvelles, intervenir dans le débat public en proposant des solutions pour la prévention de l’exclusion. La Boucle regroupe les boutiques clubs-emploi de toute la France. Elles offrent gratuitement à tous les chômeurs des services et des outils de recherche d’emploi : ressources documentaires, offres d’emploi, aide à la rédaction de CV… La Boucle fournit les coordonnées des boutiques clubs-emploi. Mouvement national des chômeurs et des précaires - MNCP 17 rue de Lancry 75010 - PARIS Tél : 01 40 03 90 66 http://mncp.mncp.free.fr Le MNCP fédère une quarantaine d’associations locales en France métropolitaine et à La Réunion. Il a pour objectif la défense des droits des chômeurs et des précaires (indemnisation, formation, transports, accès à la culture…) et la représentation de ces derniers dans certaines instances (ANPE…). Le MNCP s’est également engagé dans la voie de l’économie sociale et solidaire. Aide à la recherche d’emploi (rédaction de CV, lettres de candidatures…) et selon les associations : initiation à Internet, à l’informatique, aux langues vivantes, développement personnel (art-thérapie, théâtre…). Solidarités nouvelles face au chômage - SNC 2 cité Bergère 75009 - PARIS Tél : 01 42 47 13 41 www.snc.asso.fr Réseau : 80 groupes de solidarité, 900 accompagnateurs bénévoles. SNC est une association de solidarité au service des demandeurs d’emploi et de lutte contre le chômage et l’exclusion. Elle leur propose un accompagnement personnalisé par deux bénévoles tout au long de leur parcours de retour à l’emploi et un soutien moral, amical. Elle finance, dans quelques cas, des emplois à durée déterminée et le plus souvent à temps partiel. La Boucle 157 rue Marcadet 75018 - PARIS Tél : 01 42 57 07 00 www.la-boucle.com Réseau : 12 délégations locales dont 3 en Ile-de-France (Juvisy, Gennevilliers, Tremblay-en-France) 12/12 3.461 - Avril 2005 Actuel Ile-de-France Les espaces accueil Assédic 75018 - PARIS 7 B rue G. Agutte 18e arr. (quartiers 70, 72) 78005 - VERSAILLES CEDEX 24 rue de Vergennes BP 553 91700 - SAINTE-GENEVIÈVEDES-BOIS 185-187 rue Gabriel Péri ➔ Les espaces accueil Assédic assurent l’inscription des demandeurs d’emploi ainsi que leur indemnisation. Ils sont présentés cidessous selon leur compétence géographique. Un seul numéro de téléphone pour tous les sites d’accueil : 0 811 01 01 (suivie du n° du département 75, 77, 78,…) 75018 - PARIS 5 rue Georgette Agutte 18e arr. (quartiers 67-68) 78133 - LES MUREAUX CEDEX 28 rue des Bougimonts BP 3091 91800 - BRUNOY 13 rue de Cerçay 75019 - PARIS 36 rue du Maroc 10e Ouest et 19e arrondissement Ouest 78181 - SAINT-QUENTINEN-YVELINES CEDEX Immeuble International 13 av. de la Gare 75019 - PARIS 22 allée Darius Milhaud 19e arr. (quartiers 74, 75, 76) 78195 - TRAPPES ZA du Buisson de la Couldre 1 allée des Hêtres BP 207 Siège 4 rue Traversière 75012 - Paris 75010 - PARIS 253 rue du Fg Saint Martin 2e, 8e, 9e arrondissements 75010 - PARIS 20 T rue Louis Blanc 1er, 3e, 4e arrondissements 75010 - PARIS Passage des Récollets 10e arr. (quartiers 39, 40) 75011 - PARIS 11 rue Pelée 11e arr. (quartier 41, 42) 75011 - PARIS 62 rue Amelot 11e arr. (quartiers 43, 44) 75012 - PARIS 25 bd de Picpus 12e arrondissement 75014 - PARIS 13 rue Friant 13e arrondissement 75014 - PARIS 9 rue Friant 5e et 14e arrondissements 75015 - PARIS 109 av. Félix Faure 6e, 7e, 15e et 16e arrondissements 75015 - PARIS 3 rue Sainte Félicité 15e arrondissement 75017 - PARIS 141 av. de Clichy 17e arr. (quartiers 69, 71) 75020 - PARIS 160 T rue Pelleport 20e arr. (quartiers 78,79) 75020 - PARIS 74 rue Stendhal 20e arr. (quartiers 77, 80) 78205 - MANTES-LA-VILLE CEDEX 23 rue des Deux Gares BP 1546 78304 - POISSY CEDEX Av. Maurice Berteaux BP 4014 92051 - PARIS-LA-DÉFENSE CEDEX Siège (78, 92, 95) Immeuble Lafayette 2 place des Voges Tél : 01 41 99 50 50 92000 - NANTERRE Immeuble « Les Fontenelles » 1-9 rue de Craiova 92100 - BOULOGNE-BILLANCOURT 31, rue d’Aguesseau 92100 - BOULOGNE-BILLANCOURT Bâtiment E 81 , rue Marcel Dassault 92110 - CLICHY 40 boulevard Jean Jaurès 77025 - MELUN CEDEX Siège (77, 91) ZI Vaux-le-Pénil 70 rue Pascal Tél : 01 64 87 46 00 78374 - PLAISIR CEDEX 31 rue Sevestre BP 76 77100 - MEAUX 29 rue de la Crèche 78507 - SARTROUVILLE CEDEX 27 rue Lamartine BP 161 92220 - BAGNEUX 157 rue des Blains 78511 - RAMBOUILLET CEDEX 10 rue Petit Parc BP 3 92290 - CHÂTENAY-MALABRY Bât Edison 6 Centrale Parc - Avenue Sully Prud’homme 91000 - ÉVRY 6 rue du Bois Sauvage 92310 - SÈVRES 47 av. de l’Europe 91080 - COURCOURONNES 3 av. du Bois de l’Epine 92400 - COURBEVOIE 17 rue du Président Kruger 91100 - CORBEIL-ESSONNES 22 rue du Général Leclerc 92500 - RUEIL-MALMAISON 20-22 avenue de la République 91120 - PALAISEAU 9 rue Edouard Branly 92600 - ASNIÈRES Tour d’Asnières 4 av. L. Cély 77120 - COULOMMIERS 17 rue Marcel Clavier 77130 - MONTEREAU 52 rue Léo Lagrange 77140 - NEMOURS 30 av. de Lyon 77160 - PROVINS 14 rue de la Foire aux Chevaux 77176 - SAVIGNY-LE-TEMPLE 18 rue de l’Aluminium 77185 - LOGNES 18 rue Nicolas Appert 77190 - DAMMARIE-LES-LYS 476 av. du Général Leclerc 77210 - AVON 9 av. du Général de Gaulle 77290 - MITRY-MORY 9 place Salvador Allende 77340 - PONTAULT-COMBAULT 16 av. de la République 77500 - CHELLES 1 rue du Révérend Père Chaillet 91150 - ÉTAMPES 15 rue de Saclas 91160 - LONGJUMEAU 32 rue Maurice 91170 - VIRY-CHÂTILLON 16 rue de Ris - Parc de Viry 91200 - ATHIS-MONS La Pyramide - 3 rue J. Vallès 91220 - BRÉTIGNY-SUR-ORGE Résidence Antarès 13 rue du Général Leclerc 92150 - SURESNES 67 rue Rouget de l’Isle 92600 - ASNIÈRES Immeuble grand angle 61 av. Gabriel Péri 92700 - COLOMBES 5 bd Edgar Quinet 93104 - MONTREUIL-SOUS-BOIS 7 rue Kléber 93120 - LA COURNEUVE 139 av. Paul Vaillant Couturier 93166 - NOISY-LE-GRAND CEDEX 8 av. du Maréchal Juin 91290 - ARPAJON 4 bd Voltaire Ile-de-France 1/3 2005 3.461 - Avril 2005 L’indemnisation du chômage 93207 - SAINT-DENIS CEDEX 5 av. du Colonel Fabien 93290 - TREMBLAY-EN-FRANCE 43 allée Nelson Mandela 93320 - LES-PAVILLONS-SOUS-BOIS 10-12 av. Aristide Briand 93507 - PANTIN CEDEX 188 av. Jean Lolive 93531 - AUBERVILLIERS CEDEX 51 rue des Presles 93585 - SAINT-OUEN CEDEX 114-116 av. Gabriel Péri 93604 - AULNAY-SOUS-BOIS 26 rue Louise Michel 93712 - DRANCY CEDEX ZAC Voltaire 19 rue Voltaire 93891 - LIVRY-GARGAN CEDEX 2e étage 33-39 bd R. Schumann 95031 - CERGY-PONTOISE CEDEX Immeuble « Le Rond-Point » 11 B bd de l’Hautil 95100 - ARGENTEUIL 47 bd Jean Allemane 95128 - ERMONT 90 rue Raoul Dautry BP 79 95150 - TAVERNY 47 rue de Montmorency 95200 - SARCELLES 28 B av. du 8 mai 1945 95200 - SARCELLES 30 av. du 8 mai 1945 95310 - SAINT-OUEN-L’AUMÔNE 60 rue de Paris 95340 - PERSAN 31 av. Jean Jaurès 95500 - GONESSE 10 B rue Berthelot 94010 - CRÉTEIL Siège (93,94) 23 av. Sainte-Marie Tél : 01 45 17 96 88 95800 - CERGY-SAINT-CHRISTOPHE Avenue des Béguines BP 8360 94006 - CRÉTEIL CEDEX 15 place Olof Palme Les agences ANPE spécialisées 94132 - FONTENAY-SOUS-BOIS CEDEX Immeuble Périgares 201 rue Carnot 94234 - CACHAN CEDEX 8 rue François Delage 94373 - SUCY-EN-BRIE CEDEX Zone Leader Club 113 9 allée du Pacifique 94417 - SAINT-MAURICE CEDEX 5 av. du chemin de Presles 94507 - CHAMPIGNY-SUR-MARNE 19 rue Jean Allemane 94607 - CHOISY-LE-ROI 1 place des Alliés 94607 - CHOISY-LE-ROI Immeuble Orix 16 av. Jean Jaurès 94704 - MAISONS-ALFORT CEDEX RN 19 251 av. du Général Leclerc ➔ Les agences présentées ci-dessous ont une compétence départementale ou régionale. Elles s’adressent à des publics spécifiques. ANIMATION SOCIOCULTURELLE ET MÉTIERS DU SPORT ANPE jeunes CIDJ 101 quai Branly 75015 - PARIS Tél : 01 44 49 13 47 3614 ANPE www.anpe.fr Au sein de l’ANPE jeunes une équipe spécialisée traite les offres d’emploi des métiers du sport (tous métiers confondus) et de l’animation socioculturelle (principalement BAFA et BAFD). Elle propose les services suivants : mise à disposition quotidienne des offres, aide à la recherche d’emploi, point rédac’CV, bornes Internet. Elle participe également à l’organisation de forums, de journées de recrutement, de salons (salon Jobs d’été au CIDJ, salon du sport…), et développe des relations avec les entreprises et les institutions liées aux métiers du sport. Public : animateur, éducateur sportif. Espace cadres La Défense 4-10 place de la Défense 92974 - PARIS LA DÉFENSE Cedex Tél : 01 46 96 06 50 3614 ANPE www.anpe.fr Condition : être titulaire d’un bac + 4/bac + 5 ou cotiser à une caisse cadre BÂTIMENT ET TRAVAUX PUBLICS Point relais Bati-Jaurès 10 rue du Débarcadère 75017 - PARIS Tél : 01 40 55 11 32 3614 ANPE www.anpe.fr CADRES Les Espaces cadres proposent les services suivants : information, accompagnement personnalisé, importante documentation (marché de l’emploi, formations, annuaires d’entreprises, magazines…), offres d’emploi, accès Internet. Espace cadres Saint-Lazare 12 rue Blanche 75009 - PARIS Tél : 01 53 21 80 50 3614 ANPE www.anpe.fr Condition : être titulaire au minimum d’une licence. Se munir d’un CV. COMMUNICATION (MÉTIERS DE LA)/PUBLICITÉ Espace emploi communication-publicité 12 rue Blanche 75009 - PARIS Tél : 01 53 21 80 90 3614 ANPE www.anpe.fr L’espace emploi communication gère les offres d’emploi de ce secteur ainsi qu’un fichier de candidats (inscrits ou non à l’ANPE). Elle organise des ateliers de recherche d’emploi spécifiques au secteur communication, et met à disposition une documentation spécifique, la presse spécialisée ainsi qu’un espace bureautique. Public : responsable communication, métiers de l’événementiel, chef de publicité, graphiste, infographiste, webmaster, attaché de presse, assistant (pub, communication) ETUDIANTS Espace cadres Gare de Lyon 8-16 rue Van Gogh 75012 - PARIS Tél : 01 40 19 96 96 3614 ANPE www.anpe.fr Condition : être titulaire d’un diplôme de niveau I, II ou III. Espace cadres Montparnasse 113-117 avenue du Maine 75014 - PARIS Tél : 01 42 79 40 40 3614 ANPE www.anpe.fr Condition : être titulaire d’un diplôme de niveau I, II ou III. Espace cadres Versailles 2 rue Jean Houdon 78000 - VERSAILLES Tél : 01 30 83 95 50 3614 ANPE www.anpe.fr Condition : être titulaire d’un diplôme de niveau I, II ou III. ANPE jeunes au CROUS 39 avenue Georges Bernanos 75005 - PARIS Tél : 01 40 51 37 52 3614 ANPE/3615 CROUS www.anpe.fr Au sein de l’ANPE jeunes une équipe spécialisée gère les offres d’emploi destinées aux étudiants (mi-temps, temps partiel, courte durée) : garde d’enfants, soutien scolaire, jobs… Ces offres sont en consultation sur le site www.anpe.fr et par voie d’affichage. D’autres prestations sont proposées aux étudiants : atelier de recherche d’emploi, point rédac’CV, borne Internet. Pour bénéficier de ces différents services, présenter sa carte d’étudiant. 94814 - VILLEJUIF CEDEX 6-8 avenue de Paris Ile-de-France 2/3 3.461 - Avril 2005 HANDICAPÉS JEUNES JEUNES DIPLÔMÉS TRANSPORTS-LOGISTIQUE ANPE handipass 3 rue des Nanettes 75011 - PARIS Tél : 01 43 38 27 34 www.anpe.fr L’agence Handipass est l’agence spécialisée de l’ANPE pour les travailleurs handicapés (travailleurs handicapés reconnus par la Cotorep pouvant exercer en milieu ordinaire de travail, travailleurs bénéficiant d’une rente d’accident du travail de plus de 10 %, personnes bénéficiant d’une pension d’invalidité). L’agence Handipass assure l’accompagnement des travailleurs handicapés de Paris : suivi individualisé, bilan, rendez-vous personnalisés avec un conseiller. Elle propose des offres d’emploi spécifiques (contrats aidés, CES, CEC) et met à disposition de la documentation spécialisée (presse, etc.). Ses services en libre accès (offres d’emploi, affichage, etc.) sont accessibles aux personnes handicapées quelle que soit leur domiciliation (Paris, banlieue, de passage à Paris). ANPE jeunes CIDJ 101 quai Branly 75015 - PARIS Tél : 01 44 49 13 47 3614 ANPE www.anpe.fr Cette agence propose de multiples prestations aux jeunes pour faciliter leur insertion : mise à disposition quotidienne d’offres d’emploi (notamment des contrats à durée déterminée ou des temps partiels), aide à la recherche d’emploi et à la réalisation de projets dans le cadre d’ateliers ouverts tous les aprèsmidi de 14 h à 17 h (sauf le vendredi), point rédac’CV, bornes Internet (accès au site www.anpe.fr et à des sites spécialisés sur l’emploi). L’agence participe à l’organisation de forums, de journées de recrutement et de salons (salon Jobs d’été au CIDJ, salon du sport…). ANPE espace cadres La Défense Espace jeunes diplômés 4-10 place de la Défense 92974 - PARIS LA DÉFENSE Cedex Tél : 01 46 96 06 50 3614 ANPE www.anpe.fr Public : jeunes diplômés bac + 4 minimum, âgés de 30 ans maximum, résidant en Ile-de-France, à la recherche de leur premier emploi (expérience de 6 mois maximum sur le poste visé) L’Espace jeunes diplômés propose des prestations d’aide à l’élaboration de projet et de recherche d’emploi : information, accompagnement personnalisé, importante documentation (enrichie des productions de l’APEC), ateliers (CV, réussir un entretien…), offres d’emploi, accès internet. ANPE transports Garonor Centre de tri routier 93611 - AULNAY-SOUS-BOIS Cedex Tél : 01 55 81 08 60 3614 ANPE www.anpe.fr Public : chauffeur (poids lourd, transport en commun), manutentionnaire, cariste, préparateur de commandes… L’agence traite les offres d’emploi de la filière transports-logistique en Ilede-France. Elle gère un fichier de candidats et diffuse les CV aux employeurs selon les postes à pourvoir. Elle s’adresse tant aux professionnels qu’aux débutants. Elle assure des évaluations de compétences professionnelles et organise des actions d’insertion spécifiques (exemple : recruter des conductrices de car pour une entreprise). HÔTELLERIE - RESTAURATION ANPE hôtellerie-cuisinerestauration-métiers de bouche HCRB 231 rue de Belleville 75019 - PARIS Tél : 01 42 41 22 55 3614 ANPE www.anpe.fr L’agence HCRB s’adresse aux demandeurs d’emploi domiciliés à Paris ayant deux ans d’expérience en hôtellerie-restauration (salle, cuisine, hébergement) ou six mois en plonge ou titulaire d’un diplôme en hôtellerie-restauration (CAP, BEP…). Un service Extras (1 ou 2 jours de travail) est ouvert également aux personnes résidant en banlieue. L’agence gère un fichier des demandeurs et diffuse les offres d’emploi à pourvoir à Paris. Elle assure également la mise en relation - via un serveur vocal - entre demandeurs inscrits et employeurs. ANPE Cité des métiers Cité des Sciences et de l’Industrie 30 avenue Corentin Cariou 75019 - PARIS Tél : 01 40 05 72 29 3614 ANPE www.anpe.fr L’agence de la Cité des métiers propose de multiples prestations : - consultation d’offres d’emploi sur toute la France : salle Internet avec accès au site de l’ANPE, à d’autres sites d’offres d’emploi et à des sites d’entreprises - consultation d’offres de contrats en alternance et de contrat emploisjeunes (classeurs réactualisés) - atelier de recherche d’emploi (1 fois par semaine) - information sur les filières de formation dans le cadre du pôle formation - journées d’information et de recrutement - forums de recrutement : alternance (en avril), artisanat (avril), jeunes diplômés (octobre) - club des jeunes diplômés (durée : 3 mois) : moins de 26 ans, titulaires d’un bac + 2 et ayant un projet professionnel - objectif emploi en groupes : demandeurs d’emploi inscrits - pôle Créer son activité : atelier élaborer son projet (1 fois par mois), atelier démarches (2 fois par mois), rencontres-débat thématiques (1 fois par mois) - mise à disposition de documentation (métiers, formations…) RMI Point relais RMI Paris 123 rue Oberkampf 75011 - PARIS Tél : 01 49 23 33 00 3614 ANPE www.anpe.fr Point relais RMI Vexin ville nouvelle Immeuble Le Modem 16 rue traversière 95000 - CERGY Tél : 01 30 32 92 90 3614 ANPE www.anpe.fr Point relais RMI Argenteuil Les Algorithmes, Bât. Le Sophocle 144 rue Michel Carre 95100 - ARGENTEUIL Tél : 01 30 76 62 94 3614 ANPE www.anpe.fr Point relais RMI Sarcelles 2 avenue Joliot-Curie 95200 - SARCELLES Tél : 01 39 86 81 80 3614 ANPE www.anpe.fr Point relais RMI Beaumont-sur-Oise Centre social Louis de Mazade 5/7 rue Léon Godin 95260 - BEAUMONT-SUR-OISE Tél : 01 34 70 39 00 3614 ANPE www.anpe.fr Point relais RMI Eaubonne 29, avenue de Paris 95600 - EAUBONNE Tél : 01 34 16 00 10 3614 ANPE www.anpe.fr Ile-de-France 3/3 ( La librairie du CIDJ… … Une librairie spécialisée unique en son genre >> Plus de 1 000 références sur les formations, les concours, les métiers, les stages ou la recherche d’emploi. >> Des éditeurs les plus connus (l’ONISEP, l’Étudiant, Studyrama) aux plus pointus (Dixit, Éditions Grand Palais, Éditions du Puits Fleuri). Retrouvez toutes ces références : • à la librairie dans le hall du CIDJ, 101, quai Branly à Paris (15e) • sur notre librairie en ligne : www.cidj-librairie.com ( Commandes en nombre des publications du CIDJ >> Vous avez besoin de documents pour distribuer sur un salon, un événement que vous organisez ? Le CIDJ peut répondre à vos demandes grâce à ses 350 titres disponibles sous formes de fiches ou de carnets. ( Pour toute commande ou devis, contactez le département commercial au 01 44 49 12 28 - Fax : 01 44 49 29 25 E-mail : [email protected] ) Location de fichiers >> Vous avez besoin d’adresses ciblées pour une campagne de communication ou de prospection ? Le CIDJ, producteur de fichiers pour ses publications, propose à la vente certains fichiers. Pour plus d’infos sur ce service : www.cidj-pro.com - rubrique « services » ou contactez le département commercial au 01 44 49 12 28 - e-mail : [email protected]