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NOTICE DES ÉPREUVES
EN ORGANISME DE FORMATION
Certificat de Qualification Professionnelle
Technicien Expert Après-Vente Automobile
Technicien Électricien Électronicien Automobile
Épreuve A
Épreuve B
Épreuve C
Épreuve complémentaire M1
Épreuve complémentaire M2
ÉPREUVE A
DIAGNOSTIC SUR UN SYSTÈME À GESTION ÉLECTRONIQUE
Moment de l’évaluation : À partir du 7e mois de la formation pour le TEAVA et du 12e mois
de la formation pour le TEEA
Durée de l’épreuve : 2h30 maximum
Objectifs de l’évaluation :
On apprécie les capacités du candidat à établir un diagnostic sur un dysfonctionnement
complexe en choisissant les informations et les moyens de contrôle adaptés sur :
- Un des systèmes correspondant aux modules suivants : « Climatisation régulée »,
« Transmission pilotée », « Suspension et direction pilotées » et « Systèmes de gestion de
stabilité » ;
OU sur
- Un système de mémorisation de poste de conduite ;
OU sur
- Un système de condamnation des portes associées à des dispositifs de protection ;
OU sur
- Un système de gestion multifonction.
Le candidat choisit les informations et les moyens de contrôle adaptés.
Précisions :
Lors de la démarche de diagnostic retenue, l’outil de diagnostic pourra être utilisé dans toutes
ses fonctionnalités dans la mesure où son utilisation ne masque pas l’aptitude du candidat à
mettre en œuvre un raisonnement visant le diagnostic (définition et mise en œuvre de la
démarche).
Lors de cette épreuve, l’évaluateur s’assure que le candidat ne sollicite pas de méthodes
guidées.
La documentation mise à disposition du salarié doit être exhaustive et ne pas se limiter au seul
système incriminé afin de permettre une véritable recherche d’informations.
Le dysfonctionnement est plausible et vérifiable dans le contexte de l’épreuve.
Moyens :
- Données écrites de la situation-problème (contexte, fréquence de la panne, conditions
d’apparition, opérations éventuelles réalisées antérieurement, etc.)
- Véhicule présentant un dysfonctionnement sur un système à gestion électronique (hors
gestion moteur)
- O.R. renseigné
- Documentation technique
- Poste de travail équipé (outillage d’atelier, outillage à main, kit de protection du
véhicule, etc.)
- Outillage spécifique (connecteur, manomètre, thermomètre, bornier spécifique, etc.)
- Oscilloscope / multimètre / outil de diagnostic
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ÉPREUVE B
CONTRÔLE / DIAGNOSTIC ET INTERVENTION SUR SYSTÈME À GESTION ESSENCE
Moment de l’évaluation : À partir du 11e mois de la formation pour le TEAVA et du 17e mois
de la formation pour le TEEA
Durée de l’épreuve : 2h pour une panne (impossibilité de démarrer) / 2h30 pour un
dysfonctionnement
Objectifs de l’évaluation :
On apprécie la capacité du candidat à :
- Contrôler la conformité des gaz d’échappement
- Contrôler les éléments du circuit d’allumage et d’injection
- Établir le diagnostic du dysfonctionnement
- Mettre en œuvre une gamme opératoire adaptée et choisir les moyens correspondants
- Émettre et contrôler les hypothèses de façon rationnelle
- Remplacer les éléments défectueux si nécessaire
- Réaliser la remise en conformité du véhicule
Le candidat choisit les informations et les moyens de contrôle adaptés.
Précisions :
Le véhicule présente soit une panne moteur (impossibilité de démarrer), soit un
dysfonctionnement moteur (ralenti instable, à-coup, surconsommation, manque de puissance).
Un candidat mis en situation sur un véhicule présentant une panne franche dans le cadre
de l’épreuve B est mis en situation sur un véhicule présentant un dysfonctionnement
moteur dans le cadre de l’épreuve C, et vive versa.
Le dysfonctionnement est plausible et vérifiable dans le contexte de l’épreuve.
Lors de la démarche de diagnostic retenue, l’outil de diagnostic pourra être utilisé dans toutes
ses fonctionnalités dans la mesure où son utilisation ne masque pas l’aptitude du candidat à
mettre en œuvre un raisonnement visant le diagnostic (définition et mise en œuvre de la
démarche).
Lors de cette épreuve, l’évaluateur s’assure que le candidat ne sollicite pas de méthodes
guidées.
La documentation mise à disposition du salarié doit être exhaustive et ne pas se limiter au seul
système incriminé afin de permettre une véritable recherche d’informations.
Moyens :
- Véhicule essence présentant une panne franche ou un dysfonctionnement
- Données écrites de la situation-problème (contexte, fréquence de la panne, conditions
d’apparition, opérations éventuelles réalisées antérieurement, etc.)
- O.R. renseigné
- Documentation technique
- Analyseur de gaz
- Pompe à pression / dépression
- Poste de travail équipé (outillage d’atelier, outillage à main, kit de protection du
véhicule, etc.)
- Outillage spécifique (connecteur, manomètre, thermomètre, bornier spécifique, etc.)
- Oscilloscope / multimètre / outil de diagnostic
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ÉPREUVE C
CONTRÔLE / DIAGNOSTIC ET INTERVENTION SUR SYSTÈME À GESTION DIESEL
Moment de l’évaluation : À partir du 11e mois de la formation pour le TEAVA et du 17e mois
de la formation pour le TEEA
Durée de l’épreuve : 2h pour une panne (impossibilité de démarrer) / 2h30 pour un
dysfonctionnement
Objectifs de l’évaluation :
On apprécie la capacité du candidat à :
- Contrôler la conformité des gaz d’échappement
- Contrôler les éléments du circuit d’allumage et d’injection
- Établir le diagnostic du dysfonctionnement
- Mettre en œuvre une gamme opératoire adaptée et choisir les moyens correspondants
- Émettre et contrôler les hypothèses de façon rationnelle
- Remplacer les éléments défectueux si nécessaire
- Réaliser la remise en conformité du véhicule
Le candidat choisit les informations et les moyens de contrôle adaptés.
Précisions :
Le véhicule présente soit une panne moteur (impossibilité de démarrer), soit un
dysfonctionnement moteur (ralenti instable, à-coup, surconsommation, manque de puissance).
Un candidat mis en situation sur un véhicule présentant une panne franche dans le cadre
de l’épreuve B est mis en situation sur un véhicule présentant un dysfonctionnement
moteur dans le cadre de l’épreuve C, et vive versa.
Le dysfonctionnement est plausible et vérifiable dans le contexte de l’épreuve.
Lors de la démarche de diagnostic retenue, l’outil de diagnostic pourra être utilisé dans toutes
ses fonctionnalités dans la mesure où son utilisation ne masque pas l’aptitude du candidat à
mettre en œuvre un raisonnement visant le diagnostic.
Lors de cette épreuve, l’évaluateur s’assure que le candidat ne sollicite pas de méthodes
guidées.
La documentation mise à disposition du salarié doit être exhaustive et ne pas se limiter au seul
système incriminé afin de permettre une véritable recherche d’informations.
Moyens :
- Véhicule Diesel présentant une panne franche ou un dysfonctionnement
- Données écrites de la situation-problème (contexte, fréquence de la panne, conditions
d’apparition, opérations éventuelles réalisées antérieurement, etc.)
- O.R. renseigné
- Documentation technique
- Opacimètre
- Pompe à pression / dépression
- Poste de travail équipé (outillage d’atelier, outillage à main, kit de protection du
véhicule, etc.)
- Outillage spécifique (connecteur, manomètre, thermomètre, bornier spécifique, etc.)
- Oscilloscope / multimètre / outil de diagnostic
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Épreuve complémentaire M1
GESTION ET ORGANISATION DE L’ACTIVITÉ
Moment de l’évaluation : À l’occasion de l’épreuve A ou de l’épreuve B ou de l’épreuve C
Durée de l’épreuve : 15 minutes
Objectifs de l’évaluation :
On apprécie la capacité du candidat à :
- Organiser son poste de travail en fonction des travaux à réaliser
- Respecter les règles d’hygiène, de sécurité et environnementales
- Rédiger un O.R. en fonction des informations transmises et des symptômes relevés
Contexte :
- O.R. vierge
- Véhicule servant à la réalisation de l’épreuve A ou de l’épreuve B ou de l’épreuve C
Épreuve complémentaire M2
RELATION SERVICE
Moment de l’évaluation : À l’occasion de l’épreuve A ou de l’épreuve B ou de l’épreuve C
Durée de l’épreuve : 15 minutes
Objectifs de l’évaluation :
On apprécie la capacité du candidat à :
- Expliquer une intervention à un client
- Formuler un conseil d’utilisation ou d’entretien
Contexte :
Le formateur-évaluateur met en œuvre un scénario dans lequel il joue le rôle d’un client « non
spécialiste », tout en prenant soin de ne pas orienter le diagnostic réalisé par le candidat
ultérieurement.
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