Talisco + L`impératrice

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Talisco + L`impératrice
16/17
MUSIQUES
Septembre > Janvier
Talisco +
L’impératrice
samedi 19 nov.
20h30
Tel : +33 450 43 24 24
Fax : +33 450 43 24 26
[email protected]
1, route de Bonneville - Annemasse
www.chateau-rouge.net
Plein tarif 18 €
Tarif réduit 15 €
- 20 ans 12 €
Abo 14 €
Talisco
Il a observé la Cité des Anges depuis les hauteurs de Mulholland Drive, au-dessus de la
canopée urbaine, “pour contempler les lumières les plus brillantes de la ville”. Pour faire
la lumière sur soi. Le deuxième album de Talisco, Capitol Vision, illustre ses trois dernières
années, son immersion californienne, la love Story avec L.A., les tournées un peu partout
dans le monde et les plongées plus intérieures en studio. Ses nouvelles visions, capitales.
Talisco en mode radical. “Frontal” préfère l’artiste qui a sorti les griffes et durci le ton.
L’heure est à l’affirmation : guitares cinglantes, cordes métalliques, jamais mécaniques,
soufflantes électro et hymnes indie-pop... Il revient de son périple américain marqué au fer
rouge, à l’image du titre qui ouvre l’album A kiss from
L.A.. Un baiser brûlant, une morsure. “C’est un album
plus brut que le précédent car je raconte des histoires
que j’ai réellement vécues, il n’y a pas de fantasme, de
personnages de fiction, de faux Talisco, c’est ma réalité”.
Un homme dans la ville, pas dans le rêve américain.
Colors. A l’image du film de Dennis Hopper, Talisco,
le “streetartist” aux pinceaux musicaux, a réalisé une
fresque urbaine riche en couleurs et pleine d’humanité. Il y est question d’ombres et de
lumières, d’une course folle (The Race : “Un jour, quelqu’un m’a dit que je n’avais même
pas franchi la ligne de départ que j’étais déjà en train de négocier le virage de l’aire
d’arrivée ! C’est vrai, je vis pied au plancher, c’est mon monteur et ma perte...”) et d’une
retraite loin du monde des hommes (The Martian Man), de démons et de spectres. De
brûler la chandelle et même de lutter contre la mort, trois titres étant dédiés à un proche
décédé en 2015. “Dans le morceau Behind the River, j’ai fantasmé son voyage vers l’audelà pour rendre les choses plus belles, plus douces, plus acceptables...”. Un gospel hors
format, sans refrain, avec linceul de synthés et déchirures de guitares. Dans Sitting with
the Braves, transe psychérock aux lézardes de larsen, il combat à sa manière la grande
faucheuse : “Elle rode autour de sa chambre, on ferme les volets, on se barricade pour
qu’elle ne puisse ni le voir ni le prendre...”. Ghost dance.
S’il ne court plus, Talisco reste résolument en mouvement. Tout autant storyteller que
storyboarder, le musicien-réalisateur crée de somptueux décors et enregistre en fonction
des lumières du jour ou de la nuit, entre couchers de soleil et néons des clubs downtown,
from L.A., New York ou Berlin. Il frappe ses Fender, fait cracher la fuzz et tricote des dentelles
sur de vieux synthés analogiques (Prophet et Jupiter), sans tomber dans les clichés rock
ni l’urgence binaire. Prendre le temps de trouver le bon tempo. Tout au long de l’album,
Talisco chemine entre riffs sauvages et orchestrations
luxuriantes, gueulantes saturées et chants choraux.
Caresses ou coups de latte.
Vision globale. Tel un alchimiste des studios, Talisco a
assemblé d’hypnotiques légos électro, triturant les sons,
les tordant, il a même bricolé sa Fender Stratocaster
pour faire rugir la bête : “J’ai mis mes sons un peu plus
à nu et utilisé beaucoup de samples que j’ai explosés
dans tous les sens, bien plus que sur Run, pour un
rendu plus frontal, plus animal”. Il s’est également adjoint les services d’une des pointures
US, Jaycen Joshua (3 Grammy Awards et pas mal de stars à son tableau de chasse, dont
Jay Z, Justin Timberlake, Iggy Azalea, Snoop Dogg, Little Dragon etc.) pour mixer l’album.
“Capitol Vision est né d’une volonté d’être entier, je n’avais pas envie d’être poli”, résume
celui qui y pratique les contrepieds et les passements de samples avec jubilation. C’est
aussi un disque “live style”, marqué par la fièvre des tournées de ces trois dernières années.
“Donner de la place aux instruments, ne surtout pas étouffer leur caractère”, magnifier
sans embellir... De son home studio, Talisco lorgne les grands espaces et dessine sa propre
mappemonde. On le sait, qu’ils aient les fesses posées sur un nuage ou le nez collé dans
nos affaires terrestres, les anges vivent dans une autre dimension.
taliscomusic.com
L’impératrice
« Cortège en partance vers des latitudes impudiques ». Sous la pop tendre et naïve
d’Odyssée se cachent les tribulations décadentes de Theodora, impératrice et courtisane
byzantine réputée pour le charme de ses danses ensorcelantes. D’agitations tropicales
en safari lunaire, elle emmène sa cour dans les
transes d’une odyssée sensuelle, teintée de plaisirs
organiques et de fièvre arc-en-ciel.
Puisant leurs inspirations dans l’héritage synthétique
laissé par le Pop Model de Lio (Agitations Tropicales)
ou le Moon Safari de Air (La Lune) en passant par
l’incandescence organique de Sébastien Tellier
(Parfum Thérémine), les thématiques d’Odyssée
s’écoutent avec l’indulgence qu’on réserve aux
frasques d’une femme qui cherche les limites.
Pour ce 3ème EP studio, L’Impératrice a trouvé sa voix avec le timbre cristallin de Flore
Benguigui. Avec des apparitions remarquées au Palais de Tokyo, au New Morning, au
Festival Days Off de la Philharmonie de Paris et une Maroquinerie et Gaîté Lyrique sold out.
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