Dossier de presse

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Dossier de presse
MÉLODY
5, rue Massillon - 16000 Angoulême - France
Tél. : 05 45 38 34 10 - 06 29 94 84 44
[email protected]
de Sylvie Rancourt
Couverture et extraits disponibles sur :
www.ego-comme-x.com
> L’étonnante confession d’une danseuse
nue dans le Québec des années 80.
EN LIBRAIRIE le
23 janvier 2013
> Première édition française et intégrale
de la fameuse série de Sylvie Rancourt.
FICHE TECHNIQUE
> Une œuvre notamment saluée par Aline
Kominsky-Crumb et Chris Ware...
Format 15 X 21 cm
350 pages noir et blanc
Prix : 19 euros
> Préface inédite de Bernard Joubert
ISBN 978-2-9109-4688-3
9 782910 946883
LE LIVRE
L’AUTEUR
Danseuse dans les bars de Montréal au début des années 1980, Sylvie Rancourt met
à la disposition des clients un fascicule exposant, en bande dessinée, les aléas de son
métier. L’initiative plaît, les lecteurs en redemandent...
Originaire d’Abitibi (une région située dans le nord-ouest du Québec), Sylvie Rancourt
s’installe en 1980 à Montréal. Sans le moindre diplôme, elle n’a pas beaucoup de choix
et devient stripteaseuse professionnelle. À ses heures perdues, elle met en images sa vie
quotidienne de danseuse nue, qu’elle distribue auprès de ses clients. Devant le succès
obtenu, elle en réalise en 1985 une véritable bande dessinée publiée à compte d’auteur et
présenté sous la forme d’un fascicule intitulé Mélody (du nom du personnage principal,
son alter ego). Si le traitement graphique s’avère relativement naïf et infantile, les histoires
témoignent d’une véritable sensibilité, d’une imagination débordante et d’une indiscutable
bonne santé. Notons qu’il s’agit ici de la toute première bande dessinée canadienne
autobiographique et auto-éditée. Suite à cette première expérience, Sylvie Rancourt
s’associa au dessinateur Jacques Boivin, avec lequel elle continua le récit de ses expériences.
“Ces archives Mélody nous donnent à lire une histoire extrêmement linéaire et d’une
effarante naïveté, qui fascine cependant aussi bien par la candeur que par la crudité de
son propos. La parfaite connaissance du milieu décrit rend possible une certaine finesse
d’observation et l’on sent parfois chez Sylvie Rancourt une forme de tendresse vis-à-vis
de la faune triste et esseulée des bars. […] Pour ma part, je n’en finis pas de m’étonner
qu’une telle BD ait vu le jour !” [Jacques Samson]
[Source : Larousse de la BD, 2004]