Dossier de présentation PDF

SARAH CREPIN & ETIENNE CUPPENS
Cie La BaZooKa
Queen Kong
A PARTIR DE 6 ANS
NOV DIM 6 / 17:00 LUN 7 / 10:00 + 14:15 A POLE-SUD
© Christian Rausch
POLE-SUD // CDC - CENTRE DE DEVELOPPEMENT CHOREGRAPHIQUE – 1 RUE DE BOURGOGNE - F 67100 STRASBOURG //
CONTACT : MARION HULOT T +33 (0)3 88 39 76 07 // [email protected] // POLE-SUD.FR
QUEEN KONG
Dans Queen Kong, une créature de la forêt, un bibendum au
féminin et les trois reines Kong se déchaînent dans une
ambiance rock survoltée.
Lumières bleutées, pépiements d’oiseaux. A côté d’un tas de
bûches, trois danseuses à l’affût. L’énigme et la fantaisie
hantent le royaume de Queen Kong. Un spectacle réjouissant
qui tient à la fois du rêve et de l’éveil.
Mais que se passe-t-il donc dans la forêt que la compagnie La
Bazooka nous invite à découvrir ? Dans cet univers plein de
mystères et de surprises, les arbres bougent, un bout de bois
pleure et parfois l’orage gronde, mais l’inquiétude ne dure
jamais longtemps. Car cette forêt est aussi peuplée d’étranges
personnages. On y croise un curieux doudou géant, tout blanc
et rembourré et trois reines bûcheronnes, vêtues de short kaki
et marchant les pieds nus. Avec elles, la musique et la danse
ont vite raison des embûches. Leurs combats contre les forces
de la nature tout comme leurs rondes joyeuses donnent le
NOV
6 7
DIM 17:00 LUN 10:00 + 14:15
A PARTIR DE 6 ANS
Conception : Etienne Cuppens, Sarah
Crépin
Mise en scène : Etienne Cuppens
Chorégraphie : Sarah Crépin
Interprétation et réalisation chorégraphique :
Sarah Crépin, Léa Scher, Taya
Skorokhodova
Création lumières : Christophe Olivier et
Max Sautai
Réalisation costumes : Marion Egner
tempo de cette balade rock. Avec des haches, des scies, des
vis, avec des courses, des sauts et des tours facétieux, les trois
reines ont vite fait de clouer le bec aux idées reçues. Non les
filles ne sont plus de petits animaux, proies fragiles et faciles
mais des chasseresses pleines de forces et d’énergie. De
fantaisie aussi. Avec ses biches délurées et ses bûches, Queen
Kong invite à la jubilation. En pourchassant par le rire, la peur
du noir et de l’inconnu, ce conte d’aujourd’hui fait chanter le
désir de grandir. Nous sommes plongés dans un conte de fées
dont les éléments sont assemblés pour permettre au spectateur
de librement constituer sa propre version de l'histoire ou sa
propre hypothèse d'histoire.
–
Danse | France Trio | 45’
BIOGRAPHIES
LA BAZOOKA
Dès les premiers spectacles conçus depuis 2002 par Etienne Cuppens et Sarah Crépin, La BaZooKa s’est
attachée à mettre en jeu la place du spectateur, grâce, notamment, à des dispositifs scéniques et/ou
optiques, comme par exemple dans MonStreS (le public y était entouré de miroirs), offrant au corps des
perspectives inédites pour questionner la notion de mémoire et d'incarnation. Depuis le Ka, Madison,
MonStreS Indiens et Queen Kong, les pièces se veulent plus « politiques », engageant au fil des projets
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une réflexion sur la notion de liberté, seul(e), au sein d'un groupe restreint, d'une communauté ou au sein
du couple comme dans la dernière création Stravinsky Motel ; continuant ainsi tout en le précisant, le
travail sur l'identité, commun à tous les spectacles de La BaZooKa.
ETIENNE CUPPENS
Artiste protéiforme, il conçoit les spectacles et réalise les mises en scène ainsi que les dispositifs
scénographiques et les environnements sonores pour La BaZooKa. Parallèlement, créateur sonore, il a
réalisé différents univers pour le spectacle vivant et le cinéma. Il a collaboré avec Jean-Paul Buisson,
Isabelle Duboulloz, Pierre Doussaint, François Raffinot, Aude Vermeil, Thierry Langlois, Emmanuelle VoDinh, Hervé Robbe, Yvan Duruz et Arnaud Troalic. Son travail est le plus souvent un détournement et une
confrontation d’éléments sonores existants (dialogues de films, ambiances, musiques, voix
radiophoniques…).
SARAH CREPIN
Après des études de danse classique et contemporaine au conservatoire de Grenoble et une année de
formation au Centre National de Danse Contemporaine d’Angers, elle a été l’interprète de François
Raffinot, Joanne Leighton, Myriam Naisy, Xavier Lot, Anja Hempel, Fabrice Lambert, Razerka Ben-SadiaLavant et Hervé Robbe. Elle conçoit et chorégraphie les spectacles de La BaZooKa.
PRESSE
Seine Chroniques.fr – Bénédicte Lerat- Dossier de presse : labazooka.com
« Un bleu nimbé. Un tas de bûches. (…) Puis les voilà, les trois Queen. Elles entament une ronde, et
nous entrainent immédiatement à leur suite. Elles jouent, elles dansent, elles sautent. Les sifflements font
place à des riffs des plus rocks. Sous l’emprise de quelque élixir mystérieux, les trois grâces composent et
décomposent leur ronde. Elles chantent aussi, sons gutturaux et rauques, chants indiens et vaudou. Elles
jouent à tout, à rien : à se faire peur, à se poursuivre, à chasser. Elles tombent aussi, atteintes par
d’invisibles flèches. Puis se relèvent, poursuivent leur ronde incessante. Imaginez « Les trois Grâces » de
Raphaël sous ecstasy ou « La danse » de Matisse. Se mettre subitement en mouvement, façon Monty
Python. Imaginez que Twin Peaks est le décor. Vous ressentez une grande joie et une grande liberté ? Et
bien vous êtes chez les « Queen Kong ». Oui, à la fin vous l’êtes devenu un peu aussi, une Queen, une
Kong. Oui, si vous sortez du théâtre en criant, en sautant, vous l’êtes! Bien sûr, vous ne le ferez pas.
Pourquoi ? Parce que vous l’avez déjà fait. Vous avez eu des rêves de hache. Vous avez crié. Vous avez
dansé. Vous avez consolé. Vous êtes tombé. Vous avez planté des clous, et scié du bois. Vous avez porté
des bûches hurlantes en vous demandant quoi en faire. Vous êtes des Queen. Vivent les Queen Kong. A
quoi s’occupent donc ces trois bûcheronnes, assez sauvages, au bord de s’entre-tuer (pour ressusciter de
plus belle) ? bien embêtées par des bûches qui hurlent leur malheur d’être sectionnées ? Queen Kong
dérive ainsi vers le fantastique. Et pour ce faire, les danseuses recourent à une vaste palette. Les souffles,
les cris, les râles, font partie de leur panoplie chorégraphique. On ne danse pas qu’avec des jolis gestes.
La voix elle-même ne procède-t-elle pas d’un mouvement du corps tout entier ? Nous voici sur la piste de
ce conte déjanté… Et bien vite, on leur trouve une toute autre trempe, taillée à vif dans de l’énergie rock.
Le titre Queen Kong nous le suggère : quelque chose déborde, quelque chose d’énorme, dans cette pièce
qui défie librement les bonnes manières. L’art scénique n’est autre chose que celui des métamorphoses. »
Tarif spectacle en journée : 5 € par enfant
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AUTOUR DU SPECTACLE
Ateliers artistiques :
A destination des écoles élémentaires.
Dans ces ateliers, il sera question d’aborder les éléments chorégraphiques qui façonnent l’écriture de
Queen Kong.
Rencontre à l’issue de la représentation :
Lundi 7 novembre à 10h
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