Soaring Strings in Montréal
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Soaring Strings in Montréal
Soaring Strings in Montréal Montréal Cabaret Le Lion d’Or 09/27/2011 – Reinhold Glière: Eight Pieces for Violin and Cello: Scherzo, opus 39 n° 7 Selga Mence: Andante et Allegretto Arthur Honegger: Sonatine for Violin and Cello, H. 80: 3rd Movement (Allegro) Johan August Halvorsen: Sarabande con variazioni (Thême de Händel) Sébastien Lépine: Fantaisie Rock’n d’Roll Maurice Ravel: Sonata for Violin and Cello: 2nd Movement (Très vif) Antoine Bareil: Gros insectes Edgar Meyer: Concert Duo: 1st movement George Frideric Handel: Keyboard Suite n° 7 in G minor, HWV 432: Passacaglia (arrangement Johan August Halvorsen) Cordes en délire: Antoine Bareil (Violin), Sébastien Lépine (Cello) Cordes en délire (© Courtesy of Orgue et Couleurs) Montréal has so many music festivals that it’s difficult to keep track of them let alone attend them all. Tuesday evening I heard the duo ―Cordes en délire‖ (Soaring Strings) as part the 13th edition of ―Orgue et couleurs‖ (Organ and Colours), which offers two annual festivals—―Festival d’automne‖ (The Autumn Festival) and ―Concerts populaires de Montréal‖ (Popular Concerts Montréal). Violinist Antoine Bareil and cellist Sébastien Lépine, who comprise ―Cordes en délire‖, have been performing together since 2006, specializing in challenging and off-beat compositions from the 20th and 21st centuries. On Tuesday they offered a exciting array of works interspersed with rollicking repartee in a cabaret setting. They opened with Reinhold Glière’s three-minute Scherzo, performed with verve and a relaxed lightness of touch. Selga Mence’s (b. 1953) Andante et Allegretto was rendered with a burnished tone and an impeccable balance and blend of instrument – from the mournful, elegiac opening to the strident, lively segments of the Allegretto. Their performance of the third movement of Honegger’s Sonata for Violin and Cello was astonishing in its virtuosity. They closed the first half of the program with the Norwegian Johan August Halvorsen’s variations on Handel’s Sarabande from the Eleventh Suite, the leitmotif of which, the musicians reminded us, Stanley Kubrick used in his film Barry Lyndon. Although Halvorsen’s rendition is still in the tonal mode, he infuses counterpoint and a wide dynamic range to provide enough excitement to put his compositions on the popular music charts. The audience was wowed by the first half of the program, but bowled over by the second half. The duo began with Lépine’s (b.1974) Fantaisie Rock’n d’Roll an imaginative and witty 10-minute composition for electric violin and cello! (Note the lightly veiled reference to ―droll‖ in the title.) This potpourri of thematic material featured riffs on various pop tunes, including the theme from Goldfinger, during which Lépine stood up and reminded the audience that they were listening to James Bond! To my dismay this was the only composition in which they used these eclectic instruments. This was followed by an intense and aggressive rendition of the second movement of Ravel’s Sonata for Violin and Cello. In this extremely difficult work technique and harmonics are pushed to the limit. The duo dazzled with their virtuosity, passion and intensity right up to the closing sigh of relief from the cello. Bareil (b. 1980) then treated the audience to his composition Gros insectes (Large Insects), a musical description, he explained, of various animal life nestled between a large boulder and the ground in the forest. Besides virtuosic feats on the strings, the work featured the duo stomping their feet, knocking on their instruments and rustling the pages of their scores. The penultimate work, Concert Duo, by Edgar Meyer (b. 1960), the double bass and bluegrass performer, again featured a plethora of musical styles of amazing virtuosity, ranging from a mournful, nostalgic introduction to a rocking jazz-like theme on the cello. They concluded with finely played arrangement by Halvorsen of Handel’s Passacaglia from the Seventh Suite. « Cordes en délire » have performed across Canada as well as in Italy on several occasions. Bareil performs on a Vuillaume violin and Lépine on a 1699 Stradivarius cello (of which only 25 exist worldwide). It was too bad that only about two dozen attendees profited from this exciting, energizing concert. Earl Arthur Love Lien : http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=7805 Quelques traductions en français de la critique précédente : « Le public a été séduit par la première partie du concert, mais littéralement renversé par la seconde. » « Le duo nous a ébloui par sa virtuosité, sa passion et son intensité, jusqu'au tout dernier soupir du violoncelle. » « Un concert saisissant et énergique! » Publié le 30 janvier 2012 à 08h10 | Mis à jour le 30 janvier 2012 à 08h10 L'émotion perce à travers le brouillard Antoine Bareil, à gauche et Sébastien Lepine ont offert des interprétations inspirées dans leur spectacle Brouillard,présenté à la Maison de la culture de Trois-Rivières vendredi soir de même qu'au Centre des arts de Shawinigan hier. Photo: Stéphane Lessard François Houde Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Les Trifluviens ne sont probablement pas conscients de la chance qu'ils ont de compter parmi eux des talents comme ceux d'Antoine Bareil et de Sébastien Lépine. Talents qu'on croirait décuplés lorsque le violoniste et le violoncelliste travaillent en duo comme c'était le cas vendredi soir à la Maison de la culture lors de la grande première de leur nouveau spectacle intitulé Brouillard. Avec ce deuxième spectacle ensemble, les deux musiciens réussissent une fois de plus à tendre la main à leur public et à rendre leur musique classique accessible en lui donnant les couleurs et l'émotion. Vendredi, ils ont interprété les pièces choisies, toutes inspirées de différents folklores nationaux, avec beaucoup de nuances pour leur donner un lyrisme qui a fait vibrer le public. C'était particulièrement vrai dans les Four Songs op. 35 de Gustav Holst, ou alors, dans la 2e Méditation dite Vitrail, de Helmut Lipsky, une oeuvre superbe qui profitait pleinement du traitement sonore offert par Daniel Savoie, sonorisateur à la Maison de la culture. Puisqu'on y est, glissons également un mot de la très belle scénographie, conçue, elle, par Luc Levreault pour Brouillard. Le décor est sobre mais de très bon goût. Avec, pour tous accessoires, cinq parapluies ouverts, déposés au sol, le tête vers le public de sorte que celui-ci ne voit pas que des lumières y sont dissimulées, permettant de changer la couleur des toiles au besoin. Profitant des possibilités qu'offrent les éclairages de la salle AnaïsAllard-Rousseau, Levreault a réalisé un décor d'une discrète sophistication qui donne ce qu'il faut de couleur à la scène pour qu'on oublie les austères petites estrades noires sur lesquelles les deux artistes prennent place. Si on s'attarde sur le décor, ce n'est pas seulement parce qu'il est réussi mais aussi parce qu'il est au diapason du spectacle et des musiciens. Il y a juste ce qu'il faut de couleur dans leur travail pour égayer la rigueur de leurs solides interprétations. Avec Brouillard, ils ont choisi de privilégier l'émotion et se sont montrés dignes de ce choix moins facile qu'il n'y paraît. Ils ont fait chanter leurs cordes avec beaucoup d'intensité sans jamais être langoureux. D'ailleurs, tout le trop court spectacle se caractérisait par cet heureux dosage de lyrisme et d'éclat qui s'est manifesté dans des pointes de virtuosité qui sont venues nous rappeler le calibre des musiciens à qui on avait affaire. Bareil et Lépine ont assurément dû potasser le répertoire pour trouver les pièces qu'ils nous ont offertes. On retrouvait au programme des compositeurs peu connus comme Edgar Meyer, Joseph Jongen ou Mark O'Connor ou bien des nettement plus connus dans des oeuvres qui ne le sont guère. On pense aux mélodies traditionnelles hongroises de Bartok ou aux chants religieux de Holst dont le grand public connaît bien davantage les Planètes. Ces choix, c'est tout à fait Antoine Bareil et Sébastien Lépine, qui aiment la découverte, s'aventurer dans des sentiers peu fréquentés par simple amour de la musique, toute la musique. Depuis le temps qu'ils jouent ensemble, ils ont développé une complicité belle à entendre. La chimie qui les unit est palpable. Elle s'entendait, vendredi, dans les nuances qu'ils créent dans un irréprochable unisson et dans les soudains sursauts de vigueur en parfaite simultanéité. Tout cela dans une atmosphère détendue et une simplicité qui faisait plaisir. On est loin des austères concerts de musique classique qui intimident beaucoup de gens. Bareil et Lépine offrent, avec Brouillard, un spectacle très agréable, accessible, impressionnant et émouvant. Le spectacle de vendredi était une première. Il ne faudra pas les rater quand ils reviendront aussi bien à Trois-Rivières qu'à Shawinigan où ils se produisaient hier aprèsmidi. Lien : http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/arts-spectacles/201201/30/01-4490645lemotion-perce-a-travers-le-brouillard.php Bareil-Lépine : cordes en délire… bien contrôlé Publié le mercredi, 21 mars 2012 23:23 - par Laurent Leblond Le spectacle devait avoir lieu au Cabaret Espace Scène de la salle Desjardins-Telus. Mais, devant le nombre imposant de spectateurs, le récital s’est déroulé dans la salle même et ce fut un moment d’une belle spontanéité. Les spectateurs étaient manifestement là pour s’amuser et pour entendre de bons musiciens. Le violoniste Antoine Bareil et le violoncelliste Sébastien Lépine le sont. Plutôt deux fois qu’une, sans mauvais jeu de mots. Dans une présentation détendue, spontanée, qui a plu dès le début aux amateurs, les deux musiciens ont démontré une maîtrise de tous les instants, présentant chacun des numéros avec humour autant qu’avec une belle précision. S’appliquant aussi aux œuvres proposées. En bougeant sur la scène, changeant de positions à presque tous les numéros (en « stéréo », éloignés l’un de l’autre des deux côtés de la scène, côte à côte, à l’avant, ou sur un podium, en fond de scène, pour les sections électriques), ils ont joué prestement, assis... ou debout. Au démarrage, le traditionnel « Mon merle », arrangé par Antoine Bareil, donnait déjà une bonne idée de ce qui nous attendait. Alors que chacun allait ensuite à son micro, pour les présentations d’usage, on a pu entendre un Andante et un Allegretto de Selga Mence, une compositrice qui propose une mélodie fort intrigante, tout en permettant aux deux instruments de « sonner » de façon particulière et juste. Quant aux quatre duos extraits des « Huit duos » de Reinhold Glière, rien à dire. Extraits pas faciles, surtout exigeants et déterminants pour les musiciens. A suivi une « Sarabande » de Johan August Halvorsen, sur un thème de Haendel. Thème que Stanley Kubrick a utilisé pour son superbe film « Barry Lindon », tourné en éclairages naturels, sur un dandy britannique, tombeur de femmes et d’honneurs. En écoutant cette version, en plusieurs suites d’adaptation, je revoyais la séquence, inoubliable, du duel dans cette église délabrée, éclairée par un soleil aux rayons traçants dans la poussière. Et cette mélodie de Haendel, livrée en de nombreuses versions (même aux timpanis), à la trame sonore du film, était de moins en moins reconnaissable, mercredi, dans cette avalanche de notes que Halvorsen a inscrites dans cette pièce, intéressante au demeurant. Et fort bien jouée. La première partie s’est terminée sur l’allegro de la Sonatine pour violon et violoncelle, d’Arthur Honegger, en toute simplicité, en douceur et en rythmes. Avant les « surprises » de la seconde partie. Les deux musiciens ont toujours proposé les pièces en les expliquant bien, en leur donnant leur sens direct, en un langage très clair. Comme leur jeu. Ce qui fut de nouveau le cas en début de seconde partie avec une Fantaisie Rock n’ Roll, de Sébastien Lépine, sur des thèmes des films de James Bond. Alors que l’auteur a expliqué par la suite la différence entre le son acoustique et le son amplifié. Musique éclatée et pas à peu près, jouée sur le podium avec une assurance fort honorable. Prouvant que ces musiciens sont très versatiles. Puis, de nouveau à l’avant-scène, le duo a proposé une pièce, la première « heavy metal » du siècle, selon Antoine Bareil, inspirée par Maurice Ravel, et son mouvement très vif de cette Sonate en Ut mineur joué… à la chandelle... rockeuse. Interprétation concluante, comme le fut celle du « Concert Duo » du contrebassiste américain Edgar Meyer, qui mêle jazz, blue grass, folk, classique, et qui a aussi joué avec Bela Fleck, Yo Yo Ma, David Grisman et James Taylor. Ce fut un des grands moments de ce récital, qui a conservé cette sorte de candeur et d’honnêteté, comme cette complicité, avec la salle, conquise assez rapidement par ces deux musiciens d’une accessibilité remarquable. Ainsi, après une séance de mise en accords, Sébastien Lépine a lancé: « La prochaine pièce… », ce qui a fait crouler son complice… et l’assistance. En fin de course, la Passacaille sur un thème de Haendel, toujours travaillée par Johan August Halvorsen, a confirmé la force et la justesse du duo, dans une interprétation d’une œuvre très dense, exigeante, et surtout enlevante à plus d’un titre. La salle a bondi et a réclamé son dû. Des rappels. Qui ont été donnés avec une toute aussi belle complicité. Un concert tout simple, dans le sens noble du terme, avec deux musiciens pédagogues et conscients de leur talent, comme de la justesse de leurs choix musicaux. Diversifiés et accrocheurs, permettant de connaître des auteurs contemporains et parfois moins connus. Une belle leçon de musique. Classique et d’inspirations personnelles. Lien : http://www.lavantage.qc.ca/culturel/22-03-2012-bareil-lepine-cordes-en-delirebien-controle Works for Violin and Cello Antoine Bareil; Sébastien Lépine XXI XXI-CD 2 1583 When compared to the duet music available for other string combinations, the repertoire for violin and cello appears to be somewhat limited. The major works in this format were written in the 20th century, and several of them are included on this excellent CD from the Quebec duo Antoine Bareil and Sébastien Lépine. The main work on the disc is the Ravel Sonata from 1922, one of the cornerstones of the repertoire. Bareil and Lépine are in fine form, giving a lyrical reading of the opening allegro, handling the challenging multiplestopping in the tres vif second movement with ease, displaying sensitivity in the slow movement, and showing great rhythmic vitality in the finale. Arthur Honegger’s Sonatina from 1932, a favourite of mine from an old 1965 Supraphon LP with Josef Suk and André Navarra, is a lovely work that would have sounded even better with a bit more lyrical warmth from Bareil. Andante and Allegretto, by the contemporary Latvian composer Selga Mence, four of Glière’s 8 Duets Op.39 from 1909 and the Handel/Halvorsen Passacaglia, a firm favourite in its original 1894 violin/viola form, round out the programme. The performances occasionally convey a sense of solid if somewhat workmanlike musicianship rather than dazzling technique, but in works where virtuosity itself is not the primary focus that’s not really a major concern. The CD was recorded in L’Eglise du Sacre-Coeur de la Baie in Shawinigan in July 2006; the sound is clean and wellbalanced, although there is more than a little fingerboard noise and string buzz from the cello. Terry Robbins – WholeNote Magazine, June 08 Le répertoire pour violon et violoncelle est plutôt limité si on le compare à celui écrit pour les autres duos à cordes. Les principales oeuvres composées pour cette formation datent du 20e siècle, et plusieurs d’entre elles figurent sur cet excellent disque du duo québécois Antoine Bareil et Sébastien Lépine. L’oeuvre principale du disque est la sonate de Ravel de 1922, une des pierres angulaires du répertoire. En grande forme, Bareil et Lépine abordent l’allegro avec lyrisme, manient habilement les nombreux arrêts du très vif deuxième mouvement, interprètent le mouvement lent avec sensibilité et impressionnent par leur vitalité rythmique au finale. La sonatine de 1932 d’Arthur Honegger est une de mes pièces préférées sur un microsillon Supraphon de 1965 avec Josef Suk et André Navarra. C’est une oeuvre magnifique qui aurait été encore meilleure sur ce disque si Bareil avait fait preuve d’un peu plus de lyrisme. Aussi au programme : l’Andante et l’Allegretto du compositeur lettoncontemporain Selga Mence, quatre duos de Glière op.39 de 1909 ainsi que la Passacaille de Handel/Halvorsen, une oeuvre de prédilection dans sa forme violon/alto originale de 1894. Parfois, au lieu d’éblouir par ses prouesses techniques, le duo Bareil-Lépine se montre solide, interprétant les pièces avec une musicalité qui respecte les règles de l’art. Toutefois, pour un répertoire où la virtuosité n’est pas au premier plan, il ne s’agit pas d’une faiblesse majeure. Le disque a été enregistré à l’église du Sacré-Coeur de La Baie à Shawinigan en juillet 2006; le son est clair et bien balancé, mais les bruits de touche et les bourdonnements des cordes du violoncelle ne se font pas rares. Terry Robbins – WholeNote Magazine, juin 08 Cordes en délire : Beaux Lundis et plus encore Nord-Info – Luc Proulx - 30 juin 2011 «La virtuosité de ces Cordes en délire est époustouflante.» «Il faut aussi souligner l’animation des musiciens qui ont su intéresser les Boisbriannais avec des commentaires intéressants, souvent humoristiques, mais très instructifs, notamment sur le rôle obscur des compositrices du début du siècle. » Des airs mélodieux au second Rendez-vous champêtre Desjardins Le relève – Daniel Hart – juillet 2010 « Le public a apprécié la qualité d’interprétation des deux musiciens de talent. Les présentations simples et leur approche chaleureuse durant les explications qui précédaient l’interprétation des airs les a rendus fort sympathiques aux gens. Tout le concert s’est déroulé dans une atmosphère conviviale, très loin du conformisme habituel qui entoure trop souvent le monde de la musique classique » Quand les cordes délirent! Le Choix – Sonia Lortie – juillet 2008 «Le 19 juillet, Antoine Bareil et Sébastien Lépine débarquaient chez nous pour faire entendre leur conception de la musique classique. Intitulé Cordes en délire, le récital se sera fait intime et intense.» «Les deux jeunes musiciens québécois, désormais connus à travers le globe, se sont armés de leurs instruments à corde et de leurs archets pour faire cadeau de leur talent et offrir une série de pièces classiques, au grand bonheur du public.» «En effet, les accords des deux instruments se complètent pour créer des harmonies considérablement intéressantes, voire enveloppantes.» «On pourrait s’avancer à dire qu’ils réinventent le style classique de par leurs idées contemporaines.» «Le spectacle compta huit groupements de morceau, tous pour violon et violoncelle. On remarque dès lors la complicité entre les deux individus, puis la passion qui les habite et les unit. Antoine Bareil, violoniste, joue avec ferveur et un plaisir palpable. Sébastien Lépine manie le violoncelle avec grâce et une grande minutie. Mais par-dessus tout, on distingue la précision des notes et le bonheur certain de se donner à un tel métier. Les deux hommes manient l’archet avec grande aisance!» «Un spectacle auquel il faisait bon assister. « Cordes en délire »; rien de plus vrai!» When soaring strings Soar! Le Choix – Sonia Lortie – July 2008 The violin and cello: two instruments that were brilliantly featured on July 19 th. Antoine Bareil and Sébastien Lépine gave a performance that revealed their unique take on classical music. Titled Soaring Strings, the recital was intimate and intense. «The now internationally known musicians from Quebec showcased their exceptional talents, offering a series of classical works that delighted the audience». «Together they created highly captivating harmonies». «One could venture that the duo reinvents classical music with its contemporary ideas». «The repertoire was grouped into eight parts, and all pieces were for violin and cello. From the beginning, the chemistry between the two performers was palpable, as was their passion for the music. Antoine Bareil, the violinist, played with fervor and obvious enjoyment. Sébastien Lépine handled his cello gracefully and meticulously. Above all, they played the notes with precision and displayed unmitigated joy for their work. They commanded their instruments with remarkable ease». « A most enjoyable performance. Soaring Strings definitely lives up to its name!» Cordes en délire : Un duo envoûtant! EnBeauce.com – Johanne Jacques – novembre 2007 http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=6988 Le duo formé d’Antoine Bareil, violoniste et de Sébastien Lépine, violoncelliste, était de passage ce jeudi à la chapelle du Centre culturel Marie-Fitzbach. C’est dans un spectacle intimiste que les deux musiciens nous livrent de façon exceptionnelle un répertoire des plus inusités. Ils donnent une nouvelle couleur à la musique classique et font découvrir des pièces au langage musical inhabituel aux oreilles des mélomanes. Au cœur du récital, Antoine allume les bougies d’un chandelier. L’ambiance feutrée nous entraîne aussitôt dans une chimie envoûtante de rythmes endiablés du compositeur Arthur Honegger. On s’abandonne complètement à un feu roulant d’émotions. Le niveau technique très complexe de la pièce met la virtuosité des musiciens à l’honneur. La passion qui les anime donne un spectacle des plus captivant et touchant. Sébastien Lépine prend quelques minutes pour nous parler de son Stradivarius. C’est avec émotion qu’il explique la chance qu’il a de pouvoir jouer sur un instrument aussi recherché, datant de 1699. Il ne reste plus qu’environ 25 de ces petits bijoux en circulation à travers le monde. L’instrument lui a été prêté par la compagnie CANIMEX. Soaring Strings : An Enthralling Duo! EnBeauce.com – Johanne Jacques – November 2007 The duo featuring violinist Antoine Bareil and cellist Sébastien Lépine gave a performance last Thursday at the chapel of the Centre culturel Marie-Fitzbach. In an intimate setting, the two musicians artfully executed a most singular repertoire. They offered a fresh new take on classical music and delighted the audience with pieces marked by an unusual musical language. In the midst of the recital, Antoine lit the candles of a chandelier, creating a hushed atmosphere. Then, the duo immediately unleashed the frenzied rhythms of Arthur Honegger and swept away the crowd in a torrent of emotions. The technical complexity of the piece allowed Bareil and Lépine to exhibit their virtuosity. The two passionate performers gave a moving and highly captivating show. Lépine took a few moments to talk about his Stradivarius. He enthusiastically explained how fortunate he was to play on such a coveted instrument, which dates back to 1699. Today, there are only about 25 of these gems still in circulation throughout the world. The instrument was lent to him by the Canimex foundation. Voir – Critique du disque Bareil-Lépine, étiquette XXI-21 «Après avoir visité une trentaine de salles au Québec et en Ontario avec leur projet classique Cordes en délire, le violoniste Antoine Bareil et le violoncelliste Sébastien Lépine lançaient récemment sur l’étiquette XXI-21 Works for Violin and Cello. Cet album résume en quelque sorte l’essentiel de leurs deux ans de collaboration – leur premier concert avait lieu le 6 mai 2006 -: Mence, Honegger, Glière, Händel-Halvorsen et Ravel. Ainsi sous leur archets naissent des oeuvres d’un romantisme à faire pleurer, d’une beauté fragile ou d’une incroyable rigueur. Notons que le duo gagnant du prix des arts de la scène Louis-Philippe-Poisson2007 (Grands Prix culturels de Trois-Rivières) agira à titre d’ambassadeur trifluvien du 2 au 10 mars en Italie.» (K.G.) Voir – Review of Bareil-Lépine’s release for the XXI-21 label “After taking their classical music project Soaring Strings to some thirty venues in Québec and Ontario, violinist Antoine Bareil and cellist Sébastien Lépine recently released Works for Violin and Cello for the XXI-21 label. This album essentially sums up the highlights of their two year collaboration (their first concert took place on May 6 th, 2006): Mence, Honegger, Glière, HaendelHalvorsen and Ravel. Bareil and Lépine give life to music that is delicately magnificent, astonishingly rigorous or so romantic it will move you to tears. The two talented performers, who received the Louis-Philippe-Poisson award for the performing arts in 2007 (Grands Prix culturels de Trois-Rivières), will be the ambassadors of Trois-Rivières in Italy from March 2 nd to March 10th.” (K.G.)