Lafarge aide une usine de sable du Wisconsin à surmonter des
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Lafarge aide une usine de sable du Wisconsin à surmonter des
PRINTEMPS 2011 NOUVELLES EN BREF Des usines évitent le transport de tonnes de déchets dans des sites d’enfouissement Les cimenteries de Lafarge intensifient leurs efforts de recyclage. Les usines de Davenport (Iowa) et de Sugar Creek (Missouri) ont converti en combustible quelque 40 000 tonnes de déchets de papier, de bois et de plastiques qui se seraient autrement retrouvés dans des sites d’enfouissement. Tous les ans, les usines de l’unité d’exploitation Rivières de Lafarge recyclent près de 500 000 tonnes de déchets industriels – cendres résiduelles, sable de fonderie et plâtre synthétique – qui auraient autrement été transportés dans ces sites d’enfouissement. Cet engagement en matière de pratiques durables permet de remplacer jusqu’à 40 % des combustibles et 25 % des matières premières extraites utilisées dans les usines de Sugar Creek et Davenport. Breen honorée pour ses contributions à l’industrie du ciment En janvier, Andrea Breen, ingénieure, Service technique, a reçu le prix Orton Spanley de la section du Wisconsin de l’American Concrete Institute. Ce prix récompense les réalisations et les contributions dans l’industrie du béton. Première femme à recevoir ce prix, Breen a été choisie pour ses réalisations dans de nombreux secteurs : éducation, pratique technique, études scientifiques, recherche et promotion. Suite å la page 4 Mesurant 4 784 m3, la dalle d’une usine du Wisconsin accueillera 12 silos de 21 m de haut et de 15 m de diamètre. Lafarge aide une usine de sable du Wisconsin à surmonter des obstacles de construction La construction d’une immense dalle en béton à l’usine de sable de Chippewa Falls, au Wisconsin, a présenté de nombreux défis importants pour les ingénieurs de chantier Krech Ojard & Associates et l’entrepreneur en excavation Haas Sons. La taille de la dalle – 4 784 m3 (168 939 pi3) – a constitué le premier de ces défis. La dalle pèse plus de 10 000 tonnes, y compris 800 tonnes de barres d’armature. Cette dalle accueillera 12 silos de 21 m (70 pi) de haut et de 15 m (48 pi) de diamètre. Avant la mise en place de la dalle, il a été nécessaire de stabiliser les sols. Bien qu’il soit une source idéale de sable siliceux, le site de l’usine présente des propriétés de compactage médiocres, compte tenu notamment du poids de la dalle et de l’usine. Les nombreux mélanges de béton qui ont été évalués pour effectuer la stabilisation des sols ont été rejetés en raison des contraintes de temps et de l’approche de l’hiver. Pour répondre aux besoins du client, Lafarge a conçu un mélange spécial de béton à faible résistance (mélange maigre) destiné à la stabilisation des sols, contenant un ciment composé à 66 % de cendres volantes de classe C de Lafarge et de 33 % de ciment Portland de Type I et II. Pendant 10 jours, Haas Sons a excavé environ 12 233 m3 (16 000 vg3) de sol sablonneux, qui ont été remplacés par le mélange maigre. Les cendres volantes de classe C assèchent, durcissent et renforcent le sol, ce qui permet de créer une plateforme idéale pour la construction subséquente. La mise en place de la dalle de béton en tant que telle a aussi représenté un défi de taille. Dans un marché aussi petit, une entreprise unique aurait été incapable de fournir assez de béton pour la mise en place d’un tel monolithe. Lafarge a coordonné de nombreuses réunions de planification et trois producteurs locaux de béton prêt à l’emploi ont uni leurs forces dans ce projet. Il a fallu louer des bétonnières additionnelles, parfois à 160 km de là. Suite å la page 4 JOIGNEZ-VOUS À NOUS… La division Ciment de Lafarge participera aux événements suivants en 2011. N’hésitez pas à nous y rendre visite afin de connaître les dernières nouvelles concernant nos innovations en matière de produits et de services. Convention nationale de l’American Institute of Architects Nouvelle-Orléans (Louisiane) Du 12 au 14 mai 2011 Stand 419 Salon Greenbuild Toronto (Ontario) Du 4 au 7 octobre 2011 Stand 1231N Lafarge cherche à augmenter l’implantation d’habitations durables La crise qui a frappé l’industrie du bâtiment récemment a entraîné une redéfinition du terme « normalité ». Doit-on s’en étonner? Pensons au taux de chômage, au nombre alarmant de maisons dévaluées, de reprises hypothécaires, ou de maisons inoccupées… au déclin du prix des maisons malgré des taux d’intérêt qui n’ont pas été aussi bas depuis 50 ans. Il y a tout de même une lueur d’espoir dans ce tableau, à la fois pour notre industrie et pour l’environnement : la construction durable. Les consommateurs exigent de plus en plus des maisons écoénergétiques, saines et sans danger pour l’environnement. De plus, l’augmentation des coûts de l’énergie et l’évolution des codes du bâtiment locaux, provinciaux et nationaux stimulent cette tendance. Les jeunes adultes d’aujourd’hui – membres de la « génération Y », « post-boomers » ou « écho-boomers » – veulent vivre à proximité des services, des restaurants, des transports publics et d’autres commodités. Bien que le climat économique actuel et les dettes contractées pendant les études nuisent à ceux qui souhaitent acheter une maison (on projette d’ailleurs que le taux de propriété de cette génération sera inférieur à celui des précédentes), les jeunes adultes ont tendance à préférer les quartiers urbains ou les banlieues rapprochées. Et la durabilité est un élément important de leur processus décisionnel. « Le mouvement pour une construction plus verte et plus écoénergétique avait commencé à s’intensifier avant la récession », peut-on lire dans le rapport Housing in America publié récemment par l’Urban Land Institute. Jusqu’à présent, la construction verte s’est surtout concentrée sur les bâtiments commerciaux ou les logements collectifs. Aux États-Unis, plus d’un million de maisons ont été homologuées « vertes », mais cela ne correspond encore qu’à moins de un pour cent des habitations actuelles. Selon les recherches, même si plus de la moitié des propriétaires souhaitent posséder une maison verte, peu d’entre eux sont prêts à la payer plus cher. « Le défi consiste à créer des technologies capables de réduire la consommation d’énergie sans coûts supplémentaires et à promouvoir des pratiques durables dont les coûts sont égaux ou inférieurs à ceux des pratiques standards », explique le rapport de l’Urban Land Institute. Lafarge possède l’expertise nécessaire pour aider les architectes, les entreprises de construction, les entrepreneurs en maçonnerie et d’autres intervenants de notre industrie à construire des maisons plus écoénergétiques. Nous nous engageons à fournir des produits novateurs qui maximisent l’utilisation de matières recyclées et réduisent l’empreinte carbone des nouvelles constructions, tout en participant à la réduction des coûts énergétiques globaux et en permettant de bâtir des maisons durables. Lafarge est un acteur important sur la scène de la construction durable. Communiquez avec votre représentant Lafarge pour obtenir davantage de renseignements. Sylvain Garnaud Président, Ciment Lafarge, Amérique du Nord Remaniement du site Web de Lafarge – utilisation plus facile, renseignements plus pertinents Le site Web remanié de Lafarge : une ressource précieuse et conviviale. Les architectes, les entreprises de construction, les entrepreneurs en maçonnerie, les producteurs de béton prêt à l’emploi et la population en général ont maintenant accès à une toute nouvelle source de renseignements précieux sur les matériaux de construction, la construction durable et l’industrie du bâtiment : le site Web remanié de Lafarge North America. Le site offre de nombreuses fonctions : navigation de pointe, baladodiffusions, vidéos et fils RSS. Grâce à ce site Web amélioré, les professionnels de la conception et de la construction, les représentants du gouvernement et même les propriétaires de maison moyens peuvent accéder à de l’information sur des matériaux de construction précis et se documenter sur les caractéristiques et les avantages des produits Lafarge. Pour répondre aux besoins des clients et des propriétaires de maison canadiens, le contenu du site Web est aussi disponible en français. Tous les aspects du site Web – comme la navigation ou la lisibilité – ont été adoptés après des recherches intensives et une analyse approfondie des meilleures pratiques et des besoins de nos clients. Grâce à la combinaison d’une technologie de pointe et d’un nouveau contenu, le site Web est une ressource en ligne à la fois précieuse et conviviale. Visitez www.lafarge-na.com. Plus propre et PLUS VERT La cimenterie de Brookfield fait équipe avec Canards Illimités pour la remise en état de la carrière Le ciment de stuc Magnolia et le ciment de maçonnerie de Type S de Lafarge ont été utilisés dans cet ensemble résidentiel haut de gamme de Kiawah, en Caroline du Sud. Utilisation du ciment de stuc et du ciment de maçonnerie coloré de Lafarge dans un ensemble résidentiel de Kiawah Les habitations des Garden Cottages of Cassique, ensemble résidentiel haut de gamme de Kiawah, en Caroline du Sud, sont décorées de superbes ouvrages en stuc. Le cabinet d’architecte McKeller and Associates et l’entrepreneur Charlotte Plastering ont utilisé une approche novatrice pour donner aux garnitures des fenêtres l’apparence de la pierre de taille. L’utilisation d’une truelle en acier a permis d’obtenir un fini lisse imitant le marbre. L’entrepreneur en construction Simonini a bâti les maisons à charpente classique. Les lattes métalliques ont ensuite été recouvertes de deux couches de ciment de stuc MagnoliaMD de Lafarge. Enfin, une couche de ciment de maçonnerie de Type S de couleur sur mesure Lafarge a été soufflée sur ce revêtement. À l’exception des garnitures, les habitations ont une finition de type crépi ou « tabby » (à coquilles) très marquée. Le ciment de stuc Magnolia de Lafarge offre une durabilité, une apparence, une maniabilité et une résistance supérieures. Il s’applique facilement, offre une adhérence et une résistance initiale élevées, résiste à la fissuration et au craquelage, et permet au plâtrier de définir facilement la texture souhaitée. Le ciment de stuc Magnolia peut être appliqué à toute surface plane ou courbe, à l’intérieur ou à l’extérieur, et permet de créer de magnifiques finis résistants aux intempéries. Un processus avancé garantit la parfaite homogénéisation des particules de ciment et des pigments du ciment de maçonnerie de Lafarge. Il en résulte des couleurs magnifiques, riches et durables. Les ciments de maçonnerie de Lafarge sont proposés en de nombreuses couleurs. Utilisation du ciment NewCem de Lafarge pour l’agrandissement de l’hôpital de Greensboro Le chantier de construction de la nouvelle tour nord de six étages de l’hôpital Moses H. Cone Memorial de Greensboro, en Caroline du Nord, a été officiellement inauguré l’automne dernier. Le devis de ce projet d’agrandissement – plus grand projet de ce genre des 58 ans d’existence de l’hôpital – précisait l’utilisation de 40 % de matières cimentaires de remplacement en vue de l’obtention de crédits LEEDMD (Leadership in Energy and Environmental Design). Lafarge détient une grande expérience technique des exigences pouvant contribuer à l’obtention de crédits LEED et connaît bien les façons de respecter les devis de remplacement de matières cimentaires. Ce projet LEED or recourt à du ciment Portland et du ciment NewCemMD de Lafarge, ciment composé de laitier de haut fourneau granulé finement broyé. La combinaison de ces ciments permettra à l’hôpital de réduire l’empreinte carbone de sa nouvelle aile. La tour nord comprendra de nouvelles salles d’opération qui pourront accueillir des équipes chirurgicales et des équipements de pointe, de nouveaux locaux pour le service d’urgence de l’établissement et trois nouvelles unités de soins infirmiers conçues pour rapprocher le personnel infirmier des patients. Grâce à ces nouveaux locaux, presque toutes les chambres des patients seront privées, ce qui constitue aujourd’hui une norme pour les services offerts aux malades hospitalisés. Lorsqu’elle a dû détourner le cours de deux ruisseaux traversant sa carrière, la cimenterie Lafarge de Brookfield, en Nouvelle-Écosse, a fait appel à l’expertise de Canards Illimités, plus grande organisation privée mondiale de protection de la sauvagine et des terres humides. Le résultat? Les ruisseaux contournent maintenant la carrière et offrent un habitat faunique favorisant une plus grande biodiversité qu’auparavant. Lafarge avait besoin de détourner les ruisseaux pour accéder à un gisement de calcaire qui se trouvait au-dessous. Étant donné que les ruisseaux détournés feront partie des plans de remise en état du site, Lafarge voulait s’assurer que leur emplacement serait favorable à la faune. Grâce aux conseils de Canards Illimités, Lafarge a aménagé des étangs et des zones marécageuses le long des canaux de contournement; ces lieux attirent maintenant de nombreuses espèces animales : canards, aigles, grands hérons, tortues hargneuses, etc. De plus, Lafarge et Canards Illimités ont tracé des sentiers qui permettent aux résidents et aux visiteurs de Brookfield de profiter des lieux. Pour créer cet habitat faunique, Lafarge a déplacé 2,3 millions de tonnes de matière. Les activités minières ont commencé en 2007 dans ce secteur et les gisements de calcaire de la carrière permettront à l’usine de Brookfield de produire du ciment pendant les 30 prochaines années. La cimenterie Lafarge de Brookfield est entrée en service pendant les années 1960 et sa capacité de production se chiffre à 500 000 tonnes par année. Le site est certifié par Habitat faunique Canada, organisme sans but lucratif ayant pour mission de remettre en état et d’améliorer les habitats fauniques. Nouvelles en bref, suite de la page 1 L’usine de Bath transforme en compost tous ses déchets biodégradables L’usine Lafarge de Bath (Ontario) a lancé un vaste programme de compostage l’été dernier. Toute la matière biodégradable – surtout des déchets alimentaires et des serviettes en papier – est détournée du flux des déchets qui aboutissent dans les sites d’enfouissement. Des installations de compostage industrielles assurent le traitement des déchets, qui se décomposent dans un milieu riche en oxygène. Lafarge estime que chaque année, le programme de compostage de l’usine de Bath évitera le transport de près de 30 tonnes de déchets dans les sites d’enfouissement. Le Wildlife Habitat Council récompense le terminal de Muskegon et l’usine d’Atlanta Le terminal Lafarge de Muskegon (Michigan) et sa cimenterie d’Atlanta (Géorgie) ont récemment reçu la certification « Wildlife at Work » du Wildlife Habitat Council pour souligner leur engagement en matière de gérance environnementale et de conservation des habitats sauvages. Le terminal de Muskegon a mérité cette récompense après l’exécution de grands travaux de remise en état de l’habitat riverain naturel. L’usine d’Atlanta a été récompensée pour le projet d’aménagement paysager qui a permis de mettre en place un habitat de pollinisation, d’améliorer l’aspect visuel des lieux et de procurer de la nourriture et des abris pour la faune. Des plantes indigènes ont été utilisées dans ce projet. L’objectif du Wildlife Habitat Council est d’accroître la qualité et la quantité des habitats fauniques sur les terres privées et publiques. Usine de sable du Wisconsin, suite de la page 1 La coulée de béton de la dalle gigantesque a commencé à 3 h pour se terminer à 17 h, le 2 décembre. Pendant toute la journée, 96 bétonnières se sont relayées pour mettre en place entre 382 et 459 m3 (500 et 600 vg3) de béton à l’heure. Le Centre de valeur pour la clientèle de l’unité Rivières de Lafarge et les terminaux de La Crosse, Eagan, Minneapolis et Redrock ont permis d’assurer la livraison presque sans accrocs du ciment Portland Type I/II et des cendres volantes de classe C de Lafarge. « Fournir à nos clients des produits novateurs et de qualité supérieure ne représente qu’une partie de ce que les entreprises doivent proposer dans le marché très concurrentiel d’aujourd’hui, a déclaré Mike Stolpa, directeur des ventes de secteur de Lafarge. Un service exceptionnel – de la commande à la livraison – est essentiel pour bâtir des relations durables. » Ces étapes permettent d’éviter les problèmes de moisissure courants Après l’hiver très rigoureux qui a touché l’est des États-Unis en 2009-10, on a demandé à des experts de Lafarge d’inspecter des projets de parements en brique dont les joints présentaient des variations de couleur. Les propriétaires et les architectes s’inquiétaient de l’apparence de la maçonnerie et voulaient savoir si la variation de couleur des joints était attribuable au mortier, à la brique, aux conditions météorologiques ou au travail de l’entrepreneur en maçonnerie. Les inspections ont révélé que la couleur des joints variait indépendamment de la couleur du mortier utilisé (coloré ou gris). Le ciment de maçonnerie et les mortiers de ciment et de chaux ont subi les mêmes variations de couleur. Aucune plainte n’a été reçue en ce qui concerne les variations de pigment dans les mortiers de poudre sèche ou des mortiers fraîchement préparés. Les essais – qui ont nécessité le découpage de sections de mur – n’ont permis de déceler aucune déficience dans les matériaux ni dans les méthodes utilisés par les entrepreneurs en maçonnerie. Les variations de couleur des joints sont surtout imputables à la rétention d’humidité dans la brique et aux périodes d’exposition prolongée au temps froid et humide. Les experts de Lafarge recommandent les mesures suivantes pour prévenir ce problème : •Retirer l’emballage rétractable des briques ou des blocs de maçonnerie en béton à leur livraison. •Placer les briques ou les blocs de maçonnerie en béton sur des palettes surélevées, sur un terrain élevé et bien drainé, et recouvert, dans la mesure du possible. •Faire sécher les briques ou les blocs de maçonnerie en béton à l’aide de gros ventilateurs, par exemple. Rappel : Les travaux de maçonnerie sont exécutés à l’extérieur. On doit donc prévoir un certain degré de variation dans la teinte des joints. Il faut attendre au moins un an après la fin des travaux pour juger de l’apparence finale de la maçonnerie. Adapté de Weathering the Storm, article paru dans le numéro de janvier 2001 de « Masonry Construction », rédigé par Bill Kjorlien, directeur technique, Ciments de maçonnerie, Lafarge. Nouveau livre sur l’utilisation du béton dans l’architecture d’aujourd’hui Grâce à une commandite de Lafarge, l’école supérieure d’architecture, d’urbanisme et de conservation de l’Université Columbia a publié récemment un livre intitulé Solid States: Concrete in Transition. L’ouvrage se concentre sur le retour du béton dans l’architecture. Plus de 12 milliards de tonnes de béton – matériau de construction le plus répandu et le plus abordable au monde – sont produites chaque année. Au cours des 25 dernières années, des percées scientifiques ont donné naissance à des composites plus robustes de l’acier, plus légers que l’eau et aussi attrayants que la pierre naturelle. « Nous sommes fiers de notre partenariat avec l’Université Columbia et de cette commandite, qui a permis la parution de ce livre, a déclaré Pascal Casanova, directeur du service de R et D de Lafarge. Solid States est une ressource extrêmement précieuse pour la communauté du bâtiment, car les innovations dans le domaine du béton rehaussent sa polyvalence et sa capacité à s’établir comme le matériau de choix de la construction et du développement durables. » Il est possible de se procurer Solid States: Concrete in Transition sur amazon.com. À propos de CONSTRUIRE : Le bulletin Construire est une publication de Lafarge North America. Adressez vos questions, commentaires et suggestions à Dawn Stefano, directeur, Services promotionnels, par courriel à [email protected] ou par courrier à Lafarge North America Inc., 12018 Sunrise Valley Drive, Suite 500, Reston, VA 20191, USA. Imprimé sur papier recyclé. ©2011 Lafarge North America Inc. Lafarge North America Inc. 12018 Sunrise Valley Drive Suite 500 Reston, VA 20191, USA www.lafargenorthamerica.com