A toi qui aimait tant Pudeur, rancœur, j`a A présent, tu n`es plus là e

A ma Maman
A toi qui aimait tant les fleurs et le lilas blanc
Je n’ai pas su saisir le moment
Le temps qu’il était encore temps
Pour te dire que je t’aimais tant !
Pudeur, rancœur, j’ai fait fi de tes sentiments
Que je trouvais trop étouffants.
A présent, tu n’es plus là et tu me manques énormément.
Je ne peux remonter le temps,
Pour que tu sois près de moi maintenant !
Regrets, d’avoir agi égoïstement
Toi qui m’écoutais tout en pensant
Et qui avait besoin d’amour tout autant
Que mes enfants, à qui
qui je le donnais prioritairement.
Tu t’effaçais pour mon bonheur seulement !
Je ne l’ai compris que tardivement.
La vie est un éternel recommencement
Je suis le chemin de toutes les mamans
En s’oubliant pour le bonheur des enfants
Où tu es dans le firmament,
firmament, je te dis toujours
Bonne fête maman, je t’aime tant
Ta grande …
Béa ©