Marie Agnès NICOLET
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Marie Agnès NICOLET
Optimisation des fonctions de contrôle et risques Conférence eifr /15 octobre 2013 Marie-Agnès NICOLET Regulation Partners Présidente fondatrice 35, Boulevard Berthier 75017 Paris [email protected] +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34 Marie-Agnès NICOLET Sommaire Introduction: le millefeuille des fonctions de contrôle La fonction de responsable des contrôles permanents La fonction de contrôle périodique La fonction Conformité La filière Risques Le responsable de la sécurité des systèmes d’information Quelle articulation des fonctions pour un contrôle efficace? Le rôle majeur des organes de gouvernance dans le contrôle interne et la maîtrise des risques Marie-Agnès NICOLET 2 Introduction : une accumulation de fonctions de contrôle o De l’émergence des premiers textes de contrôle au début des années 1990 aux récentes évolutions réglementaires post-crise Les fonctions de contrôle au sein des établissements bancaires et financiers ont subi des mutations importantes. Plus que jamais, la crise a rendu ces fonctions de contrôle nécessaires. Elles ont pour objet de sécuriser l’ensemble des activités des établissements financiers et de protéger les épargnants. o Les étapes de l’émergence de ces fonctions Le Règlement CRB 90.08 avait rendu obligatoire la fonction de responsable du contrôle interne ainsi que la mise en place de dispositifs adéquats de surveillance au sein des établissements de crédit. En 1990, il était devenu obligatoire de nommer un déclarant et correspondant TRACFIN. Marie-Agnès NICOLET 3 Introduction : une accumulation de fonctions de contrôle o Les étapes de l’émergence de ces fonctions (suite) La troisième étape correspond à la diffusion en 1996 d’un Livre Blanc sur la sécurité des systèmes d’information, instaurant les objectifs DICP et recommandant la désignation d’un responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI). Ont ensuite été définies des fonctions de contrôle des services d’investissement au sein des PSI (RG CMF 2006-2008). En 2005, le règlement CRBF 97.02 a modifié l’organisation des structures en instaurant une séparation plus claire entre contrôle permanent et contrôle périodique, en rendant obligatoire la fonction de conformité et en instaurant une obligation de contrôler les PSEE. Enfin, une filière Risques a été mise en place en 2010, dans le but de coordonner l’ensemble des dispositifs de surveillance des risques afin de ne pas laisser de côté des risques significatifs sans surveillance au sein du monde bancaire. Marie-Agnès NICOLET 4 I. La fonction de responsable des contrôles permanents o Définition des niveaux de contrôle : Contrôle Permanent et Contrôle Périodique, 1er et 2nd niveaux Contrôle périodique Audit interne / Inspection 2èmeniveau 2ème niveau Contrôle permanent 1er niveau 1er niveau Coordination des contrôles permanents Fonctions dédiées et indépendantes réalisant les contrôles réguliers Direction des Risques Conformité Sécurité financière Contrôle Permanent Contrôle par la hiérarchie Contrôle intégré aux processus, par les opérationnels et systèmes IT (contrôles manuels et automatisés) Marie-Agnès NICOLET 5 I. La fonction de responsable des contrôles permanents o Les facteurs clés de succès d’un contrôle permanent de second niveau : Dans le cas d’une décentralisation des contrôles de second niveau, la mise en place d’un contrôle qualité au niveau central, La construction de plans de contrôle permanents qui permettent de couvrir la totalité du périmètre en une année environ, La mise en place d’une fonction de coordination qui ne se limite pas à définir une méthodologie et à consolider les résultats, La formalisation des contrôles permanents de second niveau. Marie-Agnès NICOLET 6 II. La fonction de contrôle périodique o Définitions du contrôle périodique Le règlement CRBF 97.02 modifié a opéré une séparation du contrôle périodique des autres fonctions de contrôle, le premier étant défini comme : « Le contrôle périodique de la conformité des opérations, du niveau de risque effectivement encouru, du respect des procédures, de l’efficacité et du caractère approprié des dispositifs de contrôle est assuré au moyen d’enquêtes par des agents au niveau central et le cas échéant local, autres que ceux en charge du contrôle permanent. » o Rattachement de la fonction Le contrôle périodique est une fonction indépendante dont le responsable est rattaché à l’organe exécutif et, éventuellement, à l’organe délibérant ou au comité d’audit. o Elaboration du plan pluriannuel et du programme annuel d’audit interne Le contrôle périodique réalise ses enquêtes dans le cadre de missions définies dans un plan d’audit. Les priorités de ce plan doivent être définies en fonction de l’évaluation des risques Marie-Agnès NICOLET 7 III. La fonction Conformité o 10 grandes missions, entre veille, contrôle et conseil : Assurer et diffuser la veille réglementaire: Agir dès les projets de textes Mettre en place et diffuser les normes et procédures en matière de conformité •Il s’agit d’intégrer l’impact des nouvelles réglementations. Former et informer sur les risques de non-conformité •La fonction Conformité a un rôle majeur dans la sensibilisation des collaborateurs aux problématiques réglementaires les concernant. Assurer un conseil aux collaborateurs pour tout élément lié à la conformité (ex : conflits d’intérêts) •coexistence de deux rôles à gérer simultanément Donner un avis écrit sur la conformité des nouveaux produits •Procédure nouveaux produits •Dans nouveaux produits : cibles de commercialisation d’un produit, et parfois opérations de croissance externe. Marie-Agnès NICOLET 8 III. La fonction Conformité o 10 grandes missions, entre veille, contrôle et conseil (suite) : Réaliser et mettre à jour la cartographie des risques de nonconformité Et ceci dans un objectif d’adaptation des dispositifs de contrôle. Assurer un rôle de contrôle permanent des dispositifs assurant la Conformité •Le plan de contrôle permanent de la conformité fait partie intégrante du plan de contrôle global de second niveau et doit être réalisé de manière indépendante. Assurer la maîtrise d’ouvrage des applicatifs lié à la Conformité S’assurer que les nouveaux applicatifs métiers restent conformes aux obligations réglementaires Assurer la fonction de responsable de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme Marie-Agnès NICOLET 9 III. La fonction Conformité o Exemple de grille d’impacts Marie-Agnès NICOLET 10 V. La filière Risques o La crise et les risques à couvrir dans la banque La crise de 2007 a révélé la nécessité d’une approche globale des risques. Il s’agit d’identifier et d’évaluer tous les risques qui pourraient affecter l’établissement, et non de se focaliser sur ceux qui semblent les plus présents. C’est pour cette raison que l’une des dernières modifications du règlement CRBF 97.02 porte sur la nécessité de créer une filière Risques qui consolide l’ensemble des risques, les systèmes transversaux permettant de les appréhender, ainsi que l’analyse et la mesure des risques. Marie-Agnès NICOLET 11 V. La filière Risques o Les principaux risques bancaires à couvrir (article 4 du CRBF 97-02) (1/2) RISQUES FINANCIERS Crédit Encouru en cas de défaillance d'une contrepartie ou de contreparties considérées comme un même bénéficiaire Taux d'intérêt global Encouru en cas de variation des taux d'intérêt du fait de l'ensemble des opérations de bilan et de hors-bilan Liquidité Risque de ne pas pouvoir faire face à ses engagements ou de ne pas pouvoir dénouer ou compenser une position en raison de la situation du marché, dans un délai déterminé et à coût raisonnable Concentration Risque, direct ou indirect, résultant de l'octroi à une même contrepartie, à des contreparties considérées comme un même bénéficiaire, à des contreparties opérant dans le même secteur économique ou la même zone géographique, ou de l'octroi de crédits portant sur la même activité, ou de l'application de techniques de réduction du risque de crédit, notamment de sûretés émises par un même émetteur Résiduel Risque que les techniques de réduction du risque de crédit reconnues pour l'application de l'arrêté du 20 février 2007 aient une efficacité moindre qu'attendue Marie-Agnès NICOLET 12 V. La filière Risques o Les risques principaux bancaires à couvrir (article 4 du CRBF 97-02) (1/2) AUTRES RISQUES Non-conformité Risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière significative ou d'atteinte à la réputation, qui naît du non-respect des disposition propres aux activités bancaires et financières qu’elles soient de nature législatives ou réglementaires, ou qu’il s’agisse de normes professionnelles et déontologiques, ou d’instructions de l’organe exécutif prises notamment en application des orientations de l’organe délibérant Juridique Risque de tout litige avec une contrepartie, résultant de toute imprécision, lacune ou insuffisance susceptible d'être imputable à l'entreprise au titre de ses opérations Opérationnel Inadaptation ou d'une défaillance imputable à des procédures, personnels et systèmes internes ou à des événements extérieurs "y compris d'événements de faible probabilité d'occurrence mais à fort risque de perte" . "Le risque opérationnel inclut les risques de fraude interne et externe Marie-Agnès NICOLET 13 V. La filière Risques o Création d'une "filière Risques" dans les établissements financiers par l'arrêté du 19 janvier 2010 modifiant le CRBF 97-02 Les entreprises assujetties désignent un responsable en charge de la filière « Risques » dont l’identité est communiquée à l’ACP Le responsable de la filière Risques doit être membre de l’organe exécutif ou lui être rattaché Il rend compte de ses missions à l’exécutif et, si nécessaire, à l’organe délibérant ou au Comité d’Audit La filière Risques peut être placée sous la responsabilité du responsable du contrôle permanent lorsque la taille de l’établissement ou les circonstances le justifient Le responsable de la filière Risques s’assure de la mise en œuvre des systèmes de mesure et de surveillance des risques, notamment de crédit, de marché, de taux d’intérêt global, d’intermédiation, de règlement, de liquidité et opérationnels Marie-Agnès NICOLET 14 V. La filière Risques o Création d'une "filière Risques" dans les établissements financiers par l'arrêté du 19 janvier 2010 modifiant le CRBF 97-02 (suite) Les établissements doivent disposer d’une cartographie des risques y compris des risques prédictifs actualisée régulièrement et qui : •Prend en compte l’ensemble des risques encourus •Est établie par entité et/ou ligne de métier, au niveau auquel est exercée, le cas échéant, la surveillance consolidée ou complémentaire •Evalue l’adéquation des risques encourus par rapport aux orientations de l’activité •Identifie les actions en vue de maîtriser les risques encourus (renforcement des dispositifs de contrôle permanent, mise en œuvre des systèmes de surveillance et de maîtrise des risques, définition des plans de continuité de l’activité) Marie-Agnès NICOLET 15 VI. La fonction de responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI) o Une fonction définie par le Livre Blanc de la sécurité des systèmes d’information Sorti en mars 1996, le Livre Blanc de la sécurité des systèmes d’information commençait par un questionnaire à destination des dirigeants d’établissements de crédit. Depuis, l’article 14 du règlement CRBF n°97.02 modifié a rendu obligatoire : •Le contrôle des systèmes d’information pour évaluer périodiquement le niveau de sécurité des systèmes informatiques et des procédures de secours, •La préservation de l’intégrité et de la confidentialité des informations. Et ceci afin d’assurer la continuité de l’exploitation en cas difficulté de fonctionnement des systèmes. Le rôle du RSSI n’est pas spécifiquement prévu, mais il se révèle essentiel pour que le niveau de sécurité retenu soit respecté et que les SI soient adaptés aux métiers de l’établissement. Marie-Agnès NICOLET 16 VII. Articulation des fonctions pour un contrôle efficace o Organisation des fonctions de contrôle dans les établissements de petite taille L’organisation de ces nombreuses fonctions de contrôle a posé des problèmes majeurs pour les petits établissements dans lesquels il est très difficile de séparer ces fonctions. Dans les filiales de groupes, il est possible de demander à la maison mère d’assurer les fonctions de contrôle périodique. o Assurer un reporting global des risques et des contrôles à la DG Dans les grandes structures, ces fonctions sont organisées en filières avec des liens fonctionnels ou hiérarchiques, et doivent être coordonnées pour permettre d’assurer une surveillance consolidée des risques et contrôles réalisés. La taille peut ainsi être un véritable obstacle à la perception claire et exhaustive des véritables risques. Marie-Agnès NICOLET 17 Introduction : une accumulation de fonctions de contrôle o Exemple d’organisation des fonctions de contrôle dans un établissement de taille moyenne Organe délibérant Comité d’audit Reporting sur les recommandations non suivies d’effet Possibilité de reporting direct Organe exécutif Contrôle périodique Contrôle permanent de second niveau / Filière risques Responsable du contrôle permanent Responsable Conformité Marie-Agnès NICOLET Responsable de la filière Risques 18 EFFECTIFS RISQUES ET CONTROLES o SOURCE (enquête 2012/2013 PRMIA/REGULATION PARTNERS) Que lle e s t la p a rt d e l’e ffe c tif g lo b a l d e v o tre é ta b lis s e me nt re p ré s e nté e p a r le s fo nc tio ns d e c o ntrô le e t d e ma îtris e d e s ris q ue s c ité e s c i-d e s s o us ? Op tio ns d e ré p o ns e a) Contrôle Permanent b) Contrôle Périodique c) Conformité d) Risques Opérationnels e) Risques « financiers » (crédit, marché, taux, …) f) PCA et Sécurité des SI Commentaires < 0.5% d e 0.5% à 1% de 1 % à 2% > 2% 13 10 14 16 13 18 7 10 11 9 4 6 9 8 4 7 8 5 6 5 4 4 12 3 no mb re d e p e rs o nne s a y a nt ré p o nd u à la q ue s tio n Marie-Agnès NICOLET N o mb re d e ré p o ns e s 35 33 33 36 36 31 3 39 19 Effectifs des fonctions risques (source enquête PRMIA/REGULATION PARTNERS 2012/2013) Quelle part de l’effectif total de votre établissement estest-elle représentée par la filière risques ? 20 18 16 14 12 10 8 6 4 2 0 < 0.5% de 0.5% à 1% de 1 % à 2% Marie-Agnès NICOLET > 2% 20 VIII. Le rôle des organes de gouvernance dans le contrôle interne et la maîtrise des risques o Une nécessaire implication des organes de gouvernance Les fonctions de contrôle ne peuvent à elles seules éviter une prise de risques inconsidérée. Elles ont un devoir d’alerte, de remontée et de suivi des problèmes. La multiplication de ces fonctions impose de les optimiser pour les rendre plus efficaces. Les organes exécutifs et délibérant ont, quant à eux, le devoir de leur donner les moyens d’exercer leurs tâches et de suivre leurs actions. o Le rôle des organes de gouvernance au sens du CRBF 97-02 : les attentes du régulateur Le Règlement CRBF 97-02 relatif au contrôle interne des établissements de crédit et des entreprises d'investissement du 21 février 1997 (modifié) est un document qui définit les fondamentaux en matière de gestion des risques et de contrôle interne. Marie-Agnès NICOLET 21 VIII. Le rôle des organes de gouvernance dans le contrôle interne et la maîtrise des risques o Rôle de l’organe délibérant en matière de suivi des risques Procède à l'examen de l'activité et des résultats du contrôle interne, au moins 2 fois par an (art. 39) Reçoit le rapport sur les conditions dans lesquelles le contrôle interne est assuré et le rapport sur la mesure et la surveillance des risques (art. 44) Evalue et contrôle périodiquement l'efficacité des politiques, des dispositifs et des procédures mis en place pour se conformer au 9702 (art. 38 al 2) Rôle de l’Organe délibérant Arrête […] les critères et seuils de significativité […] permettant d'identifier les incidents devant être portés à sa connaissance (art. 38-1) Les documents examinés par le board, relatifs au suivi des risques et les extraits des PV concernés sont adressés à l’ACP(art.39) (CRBF 97-02) Est informé par l’organe exécutif, au moins 1 fois par an, -des éléments essentiels et des enseignements principaux qui peuvent être dégagés « de l'analyse et du suivi des risques associés à l'activité et aux résultats » -des mesures prises pour assurer la continuité de l'activité et le contrôle des PSEE et l'appréciation portée sur l'efficacité des dispositifs en place Marie-Agnès NICOLET Lorsque la structure ne comprend pas de comité de rémunération, l’organe délibérant examine directement la rémunération du responsable du contrôle de la conformité et du responsable en charge de la filière risques 22 VIII. Le rôle des organes de gouvernance dans le contrôle interne et la maîtrise des risques o Le Comité d’audit, émanation de l’organe délibérant Emet une recommandation sur les commissaires aux comptes proposés à la désignation par l'assemblée générale Assure le suivi - du processus d'élaboration de l'information financière - de l'efficacité des systèmes de contrôle interne et de gestion des risques - du contrôle légal des comptes par les CAC - de l'indépendance des CAC Vérifie, sous la responsabilité du board, la clarté des informations fournies et porte une appréciation sur la pertinence des méthodes comptables adoptées (Art. 4) Rôle du Comité d’audit Porte, sous la responsabilité du board, une appréciation sur la qualité du contrôle interne, notamment la cohérence des systèmes de mesure, de surveillance et de maîtrise des risques et propose les actions complémentaires à ce titre (art. 4 CRBF 97-02) Rend compte régulièrement à l'organe exécutif et à l'organe délibérant de ses missions et les informe sans délai de toute difficulté rencontrée Assure le suivi des questions relatives à l'élaboration et au contrôle des informations comptables et financières au sein des établissements de crédit qui dont l’activité porte sur la réception de fonds du public, les opérations de crédit, ou les services bancaires de paiement. Le contrôle périodique informe directement et de sa propre initiative le comité d’audit de l’absence d’exécution des mesures correctrices décidées (art. 9-1 CRBF 97-02). Marie-Agnès NICOLET 23 Document de Bâle : Principes aux fins de l’agrégation des données sur les risques et de la notification des risquesrisques- Janvier 2013 Définition de l’« Agrégation des données sur les risques » La définition, la collecte et le traitement des données dans le respect des exigences de notification des risques, pour permettre à la banque de mesurer ses résultats au regard de sa tolérance au risque/appétence pour le risque. Objectifs : Renforcer la capacité des banques à agréger les données relatives aux risques et améliorer les pratiques de notification des risques à l’intérieur des établissements, et ce pour améliorer la gestion des risques et la prise de décision au sein des banques. Marie-Agnès NICOLET 24 Document de Bâle : Principes aux fins de l’agrégation des données sur les risques et de la notification des risquesrisques- Janvier 2013 Gouvernance Coopération entre autorités d’origine/d’accueil Architecture des données et infrastructure informatique Actions correctives et mesures prudentielles Exactitude et intégrité Surveillance Exhaustivité PRINCIPES Distribution Actualité Fréquence Adaptabilité Clarté et utilité Exactitude Représentativité Marie-Agnès NICOLET 25 Document de Bâle : Principes aux fins de l’agrégation des données sur les risques et de la notification des risquesrisques- Janvier 2013 Principe 9 Clarté et utilité – Les rapports sur la gestion des risques devraient être clairs et concis. Ils devraient être faciles à comprendre tout en étant suffisamment complets pour permettre aux destinataires de prendre des décisions en toute connaissance de cause. Les informations dont ils font état devraient être pertinentes et adaptées aux besoins des destinataires. • Un juste équilibre devrait être trouvé entre la place accordée aux données de risque, aux analyses et interprétations ainsi qu’aux explications qualitatives. L’équilibre à ménager entre informations qualitatives et quantitatives ne sera pas le même à différents niveaux de l’organisation. Marie-Agnès NICOLET 26
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