Mise en page 1 - Fondation Bon Sauveur

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Qui était Henri Terret ?
Prix des Fondations Bon Sauveur
H
enri Terret a été le Directeur Général de
la Fondation Bon Sauveur de Bégard de
2001 jusqu’à sa disparition brutale le 18 février 2012. Voici quelques extraits de son
éloge lus le 23 février à l’église Saint-Martin
à Brest...
organisé par
►Fondation Bon Sauveur de Bégard
►Fondation Bon Sauveur d’Albi
►Fondation Bon Sauveur de Saint-Lô
►Fondation Bon Sauveur de Picauville
►Fondation Pierre François Jamet de Caen
►Fondation Bon Sauveur de Carriglea
►Congrégation des Filles du Bon Sauveur
« Henri Terret savait comprendre les sœurs du
Bon Sauveur. Elles aimaient beaucoup cet
homme toujours prêt à entendre, à écouter, à
A l’orgue de la Chapelle du Bon Sauveur, son territoire de passion
aider,… La première messe pour Henri Terret a
été célébrée le matin du 19 février à Foulpointe, petit village sur la côte Nord-Est de Madagascar. Merci aux sœurs et à nos ami(e)s malgaches qui, les premiers, ont établi un
lien entre le ciel et lui…
Quelqu’un a dit « Henri est un homme solaire » c'est-à-dire un homme rayonnant par son
sourire, par l’attention qu’il portait à l’autre et par le partage de ses passions. Cette approche est sans doute flatteuse, mais ô combien, véridique…
Qui nous a dit que le monde de la psychiatrie était un monde immobile, fermé ? Lui, l’organiste, nous a fait, ces dernières années, un numéro de virtuosité administrative en nous
ouvrant les voies légales pour nous associer à d’autres... ».
2015 Concourez dès à présent
au 2ème Prix des Fondations Bon Sauveur
« En mémoire de... »
Après l’hommage 2013 rendu à Henri Terret, le jury révèlera au cours de l’année
la personnalité au nom de laquelle le Prix sera rendu «En mémoire de...».
D’ores et déjà, vous pouvez disposer des plaquettes d’information et des fiches d’inscription
au Prix des Fondations Bon Sauveur (*)
auprès des Présidents et/ou Directeurs des Fondations ou de la Supérieure Générale de la Congrégation.
(*) Le réglement complet se trouve dans la Convention originelle et peut être obtenu sur demande
ou en téléchargement sur www.fondationbonsauveur.com, rubrique «La Fondation», onglet «Prix des Fondations Bon Sauveur».
Ce prix récompensant la meilleure initiative ou innovation bénéfique pour des patients ou résidants
est organisé avec le soutien :
LBS
fondation
bon sauveur d’alby
Centre Ressource de l’Ouïe et de la Parole
Caen
Cariiglea (Irl.)
Fondation Abbé P.F JAMET reconnue d’utilité publique
Dunet, Cabinet d’architecte
de Saint-Brieuc, a réalisé
la «Résidence Henri-Terret»
et l’UMD à Albi.
LANNION
TREGUIER
PAIMPOL
MORLAIX
APAST
PLOUARET
GUINGAMP
ASSOCIATION
POUR
L’ANIMATION
SCIENTIFIQUE
DU TRÉGOR
Fondation
Bon
Sauveur
Picauville
Saint-Lô
-- + -Congrégation
des Filles
du Bon Sauveur
-- + --
Bretteville/Odon
Fondation Bon Sauveur de Bégard | Service Communication | Novembre 2013
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Fondation Bon Sauveur
► PÔLE DE SANTÉ MENTALE
Bégard
Des professionnels de santé de la Fondation Bon Sauveur, psychiatres notamment,
participent à des activités initiées par l’APAST. L’APAST favorise sur le bassin du Trégor
le développement de l’innovation, en majeure partie scientifique.
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Prix des Fondations Bon Sauveur.
« En mémoire d’Henri Terret »
Les Fondations Bon Sauveur de Bégard, Albi, Saint-Lô, Picauville, Carriglea (Irlande), la
Fondation Pierre François Jamet de Caen et la Congrégation des Filles du Bon Sauveur ont
décidé de créer le «Prix des Fondations Bon Sauveur. En mémoire d’Henri Terret».
Ce prix participe à la réalisation d’un projet. Ce prix est aussi dédié à la mémoire d’une personne ayant œuvré
par son action exemplaire pour le développement, le rayonnement d’un établissement signataire de la présente
convention. Cette première édition rend hommage à Henri Terret, Directeur Général de la Fondation Bon Sauveur de Bégard, décédé en Février 2012.
L’esprit du «Prix...»
En 2012 est fêté le trois centième
anniversaire de la création de la
communauté (de Saint-Lô) qui,
peu d’années plus tard, allait
prendre le nom de « Filles du
Bon Sauveur ». Que ce soient
Elisabeth de Surville, Anne Le
Roy, le Père Jamet ou, pour
Bégard, Mère Mélanie Corbel,
toutes ces personnes et bien
d’autres… avaient en commun la
volonté de servir les plus pauvres
ou les plus démunis, dans des
domaines pas faciles à leur
époque : ouvrir écoles ou soigner
les malades atteints d’aliénation,
de surdité,… rejetés par la société, et femmes de surcroît.
Bien des choses ont changé depuis. Mais, depuis ce temps, la
misère, les difficultés de la vie, le
mal être ont-ils réellement été
allégés ? Avec nos capacités,
hors des sentiers bien balisés
par les budgets accordés en
fonction de critères de plus en
plus contraignants, essayons en
prenant quelques initiatives
originales de trouver quelques
espaces de liberté pour aider,
comme l’ont fait les précurseurs
cités plus haut, ceux qui fréquentent nos établissements.
(Préambule de la convention
«Prix des Fondations»)
Les projets présentés sont portés par une personne ou un groupe de personnes (salarié, bénévole, résidant, usager,…) œuvrant au sein d’un
établissement fondateur du Prix. Ce prix récompense la meilleure initiative
ou innovation bénéfique pour des patients ou résidants. Elle doit relever
des domaines : technique (appareil, appareillage…), culturel, médical (thèse,
mémoire,…), de la gestion, humanitaire, informatique (logiciel au service du
patient),... appliqués aux champs de travail des établissements signataires :
psychiatrie, santé mentale, sourds et muets… et être applicable ou utilisable
dans chaque établissement signataire de la convention.
Le prix, attribué tous les deux ans, est d’un montant fixé entre 3000 et 5000 €
pour un projet individuel ou d’un montant plus élevé s’il s’agit d’un projet
collectif. Le montant est déterminé par le jury national en fonction de
l’excellence du projet. Le montant peut aussi être réparti entre divers lauréats.
Le dépôt du projet se fait avant le 30 juin de chaque année impaire, au
secrétariat de direction de l’établissement, à l’attention du Président et/ou
Directeur de la Fondation ou de la Supérieure Générale de la Congrégation.
Le Prix 2013 est attribué à...
la Communauté du Bon Sauveur
à Ambositra (Madagascar)
Les Sœurs du Bon Sauveur, présentes à Ilaka depuis 1989, en vertu de leur charisme, se sont intéressées aux maladies mentales lors des tournées
pastorales : elles ont été en contact avec des personnes présentant des handicaps psycho-moteurs,
des crises d'épilepsie, des troubles psychiatriques.
Ouvert en 2005, en lien étroit avec le Centre Akany Marary de Ambositra, sous la responsabilité du Diocèse, le Centre Fialofana, dirigé par les Sœurs, a
pour vocation d'accueillir une dizaine de femmes malades mentales. Ces personnes ont été soit déjà soignées en hôpital ou chez elles, soit n'ont pas encore
de traitement à leur arrivée. Toutes ont besoin d'une
prise en charge pour acquérir plus d'autonomie.
Durant leur séjour, leur traitement est établi ou continué ; ces personnes sont surtout stimulées et aidées
pour se former au travail manuel, le petit élevage, le
jardinage,... afin de pouvoir subvenir à leurs besoins
dans la mesure du possible.
Chaque établissement signataire met en place son « jury primaire » : les
projets soumis à concourir au Prix des Fondations Bon Sauveur sont tout
d’abord, présentés au jury primaire d’établissement constitué à l’initiative de
son président et/ou directeur.
Foulpointe
Dans un second temps, le projet primo-primé ou nominé est présenté au jury
national qui choisit parmi ceux-ci, puis attribue au « meilleur » d’entre eux le
Prix des Fondations Bon Sauveur « En mémoire de... ».
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Ilaka
Fialofona
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Illustres personnages de l’histoire de la Communauté du Bon Sauveur :
Anne Le Roy, Pierre François Jamet, Mère Mélanie Corbel
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Ambositra
►L'objectif premier consiste à réinsérer ces malades dans leur milieu familial au bout de quelques
semaines ou de quelques mois passés au Centre.
►Le deuxième aspect, tout aussi important, est d'aider les familles des malades à mieux les comprendre de manière à ce qu'un meilleur accueil leur soit
réservé lors de leur retour en famille.
►En troisième lieu, les Sœurs et le personnel de
Fialofana assurent le suivi de ces mêmes malades à domicile en vue d'une réinsertion effective parmi les leurs.
Le centre travaille en lien avec les centres de santé
de base et avec le médecin psychiatre de l’hôpital de
Fianaransoa. En 2010, les sœurs ont ouvert un
nouveau centre à Foulpointe sur la côte-est, pour
répondre à ces mêmes besoins constatés par les
sœurs de notre communauté à Vavatenina. La ville
de Foulpointe a été choisie car à mi-chemin de Tamatave, l’hôpital de référence.
Actuellement, le Centre Pierre-François Jamet de Foulpointe est reconnu par le Ministère de la Santé et travaille
en lien avec l’hôpital de Tamatave. Les objectifs sont les
mêmes qu’à Ambositra. Ce qui manque ce sont les médicaments et les fonds pour rémunérer du personnel.
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Le Prix sera remis à la Sœur Supérieure
de la Congrégation des Filles du Bon Sauveur
le 24 avril 2014 à Caen
lors de la rencontre «Le Chemin de l’Union»
avec d’autres congrégations.