cité de la musique amphithéâtre cOnsErVaTOirE nAtional sUPérieUr

Transcription

cité de la musique amphithéâtre cOnsErVaTOirE nAtional sUPérieUr
#orchestre
les
avantscenes
samedi 18 octobre 2014
20 h cité de la musique
amphithéâtre
Orchestre des lauréats
du Conservatoire
Philippe Aïche, direction
Nathanaël Gouin, piano
Eun-Joo Lee, violon
Irène Duval, violon
CONSERVATOIRE
NATIONAL SUPÉRIEUR
DE MUSIQUE ET
DE DANSE DE PARIS
œuvres de
ludwig van beethoven
HENRI DUTILLEUx
DARIUS MILHAUD
MAURICE RAVEL
cité de la musique
amphithéâtre
Entrée libre
avec réservation
01 01 44 84 44 84
www.citedelamusique.fr
le concert des
avant-scènes
samedi 18 octobre 2014 à 20 h
cité de la musique
salle des concerts
programme
Bénéficiant du soutien de
la Fondation Meyer pour le
développement culturel et
artistique, les Avant-scènes
distinguent chaque année
trois élèves de 3e cycle
pour se produire en concerto et
effectuer ainsi leurs
véritables « débuts » parisiens.
Henri Dutilleux
B e e t h ov e n
Concerto n° 2 en si bémol majeur
L'Arbre des songes
e n t r ac t e
Da r i u s M i l h au d
Cinéma-Fantaisie d'après
Le Bœuf sur le toit
M au r i c e R av e l
La valse
concert des avant-scènes
conservatoire de paris saison 2014-15 5
solistes
l'orchestre des lauréats
du conservatoire
Philippe Aïche,
Nathanaël Gouin,
piano
direction
VI O LO N
ALTO
F Lû TE
TR O M P ETTE
Eun-Joo Lee,
violon
Angélique Charlopain,
Marion Chaix,
Amélie Feihl
Blandine Julian
Claire Luquiens
Nicolas Brouqueyre
Johann Nardeau
Thomas Peter
Irène Duval,
violon
HAUTB O IS
TR O M B O NE
Raphaël Cohen
Rémi Grouiller
Clarisse Moreau
Jean-Charles Dupuis
Hervé Friedblatt
violon solo
chef d'attaque
Keisuke Tsushima,
Marina Capstick
Ivan Cerveau
Mayeul Girard
Maxence Grimbert-Barre
Anne-Catherine Touil
Thien-Bao Pham-Vu
Hélène Platone
Julia Robert
Ralph Szigeti
chef d’attaque des
seconds violons
Bilal Alnmer
Alain Arias
Boris Borgolotto
Oriane Carcy
Albane Genat
Perceval Gilles
Clara Jaszczyszyn
You-Kyung Kim
Cécile Kubik
Dalia Kuznecovaite
Nicole Leon
Sandrine Martin
Pierre Olivier Ory
Claire-Marie Pessey
Matthias Piccin
Mathilde Potier
Constance Ronzatti
Marie Salvat
Émilie Sauzeau
Ségolène Saytour
Nicolas Vankuijk
Charlotte Vergnes
Jean-Philippe Wizmane
Malika Yessetova
concert des avant-scènes
VI O LO NCELLE
Julie Sevilla,
TR O M B O NE BASSE
CLARINETTE
Maxime Jaouen
Anne-Sophie Lobbe
Franck Russo
Iris Zerdoud
chef d'attaque
Amaryllis Jarczyk
Geneviève Koerver
Alice Picaud
Amandine Robilliard
Marc Girard Garcia
Michèle Pierre
Pablo Tognan
C O NTREBASSE
Herng-Yu Pan,
chef d'attaque
Afaf Fakhour-Robilliard
Benjamin Hebert
Yannick Trotoux
Boris Trouchaud
Adrien Tyberghein
Vincent Radix
TUBA
Raphaël Martin
TI M BALE / P ERCUSSI O N
BASS O N
Lomic Lamouroux
Louise Lapierre
Sophie Raynaud
CO R
Laurianne Gebel de Gebhardt
Arthur Heintz
Julie Moreau
Ilan Sousa
Christophe Drelich
Thibault Lepri
cymballum
Othman Louati
Benoit Maurin
François-Xavier Plancqueel
Vassilena Serafimova
HAR P E
Chloé Ducray
Alexandra Luiceanu
P IAN O/CELESTA
Philippe Hattat
conservatoire de paris saison 2014-15 7
Beethoven Concerto n° 2
en si bémol majeur
Beethoven compose ce concerto
pour piano entre 1790 et 1801, au
moment même où il envisage une
carrière de pianiste à Vienne.
Cette œuvre a de quoi dérouter
l’auditeur si celui-ci s’attend à une
dramaturgie exacerbée pleine d’élan
vers le romantisme à venir. L’œuvre
est en effet caractéristique des
débuts viennois de Beethoven qui,
rempli d’admiration pour Mozart,
continue dans la droite ligne le style
classique. On découvre aussi un
Beethoven plein d’humour, à la façon
de son maître Haydn, comme par
exemple lors du troisième mouvement en rondo (dans lequel alternent
couplets et refrains). Alors que,
pour la dernière reprise du refrain la
tonalité attendue est si bémol majeur,
le piano l’entame en sol majeur. C’est
l’orchestre qui, par son intervention,
va ramener le piano dans la tonalité
attendue, comme si le soliste avait
commis une erreur d’inattention !
Ce concerto est donc un témoignage
du jeune Beethoven, de son esprit et
de sa personnalité. Les traces d’humour et de douceur, contrecarrées
par des moments de tensions intenses
et prolongées sont déjà significatives
d’un tempérament qui ne tardera pas
à s’affirmer.
Henri Dutilleux L’Arbre des songes
Ravel
La Valse
En 1900, les valses, et notamment
celles de Johann Strauss, représentaient encore pour tous la joie de
vivre et le raffinement viennois. Mais
en écoutant La Valse, imaginée par
Ravel dès 1906 mais achevée en 1919,
on pressent que des événements
majeurs sont venus bouleverser cette
conception et cet héritage.
La guerre, dans laquelle Ravel choisit de s’engager volontairement, le
marque profondément et change sa
vision d’un monde qu’il voit s’écrouler.
Si en effet ce poème chorégraphique
commence comme un hommage, il
évolue avec violence pour finir dans
la destruction, comme en écho des
événements européens. Le décès de
sa mère en 1917 allait augmenter son
désarroi sur le plan personnel.
Avant 1914, Ravel pensait intituler
ce ballet « Wien », en hommage à
Johann Strauss. La guerre déclarée,
il jugea que cette référence « manquait d’à propos ». Il choisit ensuite de
conserver le thème des valses viennoises pour en créer un ballet, mais
avec une vision maintenant beaucoup
plus critique.
Connaissant les conditions de sa
composition, il est fascinant de suivre
dans l’œuvre l’évolution de l’état
d’esprit de Ravel durant ces années.
Milhaud Le Bœuf sur le toit
Milhaud imaginait que la musique du
Bœuf sur le toit aurait pu accompagner un film muet de Charlie Chaplin :
sous-titrée « Cinéma-Fantaisie »,
l’œuvre adopte dès l'origine un caractère burlesque. La partition évoluera
jusqu’à sa parution finale en 1919
comme un ballet sur un argument
de Jean Cocteau qui avait déjà signé
celui de Parade.
« Toujours hanté par les souvenirs du Brésil, je m’amusais à réunir
des airs populaires, des tangos des
maxixes [ou Matchitche], des sambas
et même un fado portugais et à les
transcrire avec un thème revenant
entre chaque air comme un rondo.
Je donnais à cette fantaisie le titre
de Bœuf sur le toit qui était celui
d’une rengaine brésilienne », écrit le
compositeur dans Ma vie heureuse.
Superposant des mélodies, chacune dans des tonalités différentes,
l’œuvre s’inscrit dans une esthétique
typique du Groupe des six et des
Années folles.
Après Tout un monde lointain pour
violoncelle, L’Arbre des songes
composé entre 1983 et 1985 pour
Isaac Stern est le second concerto
d'Henri Dutilleux. De l’aveu même du
compositeur, il a ici renoncé tant à la
virtuosité brillante du violon, qu’à la
structure en trois mouvements héritée
du concerto classique ou romantique.
L’œuvre illustre parfaitement
la « théorie de la graine ». Quatre
éléments constituent le patrimoine
génétique de cette pièce : de même
que la graine contient à la fois
l’énergie pour que la plante débute
sa croissance et ses caractéristiques
principales, la partition entière se
développe à partir de ces quatre
éléments. Du point de vue formel,
trois interludes séparent ces éléments
et les conditionnent de la même manière qu’un arbre s’adapte au terrain
sur lequel il pousse. Les interludes se
développent à partir de trois idées :
l’une est pointilliste, la seconde est
constituée d’une ligne mélodique et
la dernière d’une grande économie de
moyens. Il est fascinant de les voir se
développer, s’entrelacer comme des
branches pour donner finalement une
vision d’un naturel poétique.
La pièce a la particularité d’incorporer un élément humoristique
symbolisant de manière stylisée le
fracas que produit l’accord des musiciens d’orchestre avant le concert. Il
est alors possible de s’imaginer que
Dutilleux l’écrit comme une métaphore de l’accord entre les musiciens
et la flore, deux phénomènes naturels.
Léo Duprey
Élève de la classe des métiers
de la culture musicale
concert des avant-scènes
conservatoire de paris saison 2014-15 9
philippe aïche
direction D'orchestre
Nathanaël Gouin
piano
À l'âge de huit ans, Philippe Aïche
commence l'étude de la musique
au Conservatoire d'Antony. Après
avoir obtenu une médaille d'or au
Conservatoire national de région de
Versailles dans la classe d'Antoine
Goulard, il entre au Conservatoire
de Paris en 1979 dans la classe de
Christian Ferras pour le violon et
de Jean Hubeau pour la musique
de chambre. Parallèlement à ses
études instrumentales il suit les
cours d’harmonie et de contrepoint
au Conservatoire de Paris dans les
classes de Roger Boutry et JeanPaul Holstein. En 1983, il obtient un
premier prix de violon et de musique
de chambre, qui lui permettent de
poursuivre le cycle de perfectionnement de violon chez Michèle Auclair
et de musique de chambre chez Jean
Mouillère puis Roland Pidoux. Il a participé à de nombreuses master-classes
et reçu les conseils de grands maîtres
tels que Salvatore Accardo, Menahem
Pressler, les membres du Quatuor
Amadeus, Janos Starker.
En 1985, il entre comme violoniste a l'Orchestre de Paris ou il est
actuellement premier violon solo,
ce qui lui a permis de jouer sous la
direction des plus grands chefs (Solti,
Giulini, Bernstein, Maazel, Sawallisch,
Jochum...). Parallèlement, il se produit
régulièrement en soliste en France et
à l'étranger (Allemagne, Italie, Suisse,
Roumanie, États-Unis) et notamment
avec l'Orchestre de Paris, l'Orchestre
de Picardie, l’Orchestre de chambre
d’Auvergne, et sous la direction de
chefs tels que Louis Langrée, KlausPeter Flor, Semyon Bychkov, Yutaka
Sado, Josep Pons, Lorin Maazel.
Né en 1988, Nathanaël Gouin commence l'étude du piano et du violon à l'âge de 4 ans. Il travaille en
premier lieu avec François Chaplin
au Conservatoire de Rouen, puis
au Conservatoire de Toulouse avec
Thierry Huillet. Il vit alors sa première
expérience scénique à l'âge de 10 ans,
en soliste avec l'Orchestre de Chambre
de Toulouse. Intégrant en 2007 le
Conservatoire de Paris dans la classe
de Michel Beroff et Denis Pascal, il obtient un master en 2012 et le Diplôme
d’artiste interprète (3e cycle) en 2014.
Nathanael reçoit les conseils de
grandes personnalités telles que MariaJoao Pires, Jean-Claude Pennetier,
Menahem Pressler, Pierre-Laurent
Aimard, ElissoWirssaladze ou encore
Christoph Eschenbach.
Révélé à l’attention internationale
par sa victoire, en 2009, au Concours
Johannes Brahms de Portschäch en
Autriche, il est l’invité de nombreuses
salles et festivals en France et à
l’étranger — Folle Journée de Nantes,
Palais Bozar de Bruxelles, Orangeries
de Sceaux et de Bagatelle, La Roque
d’Anthéron, Cité de la musique... —
et se produit régulièrement avec
orchestre. Passionné de musique
de chambre, il donne de nombreux
concerts avec des artistes de sa
génération, particulièrement avec le
violoniste Guillaume Chilemme, avec
lequel il a enregistré un disque de
Sonates de Ravel et Marguerite Canal
(Label Maguelone, 2014).
concert des avant-scènes
Il a créé en février 1997 le Deuxième
concerto pour violon d'Éric Tanguy,
dont il est le dédicataire, avec
l’Orchestre de Paris sous la direction
de Semyon Bychkov. Il est lauréat des
concours internationaux de violon
« Tibor Varga » (Suisse) et « Lipizer »
(Italie) et des concours internationaux de musique de chambre de
Florence (Italie) et de Melbourne
(Australie) avec le quatuor Kandinsky.
Très tôt, il s’est intéressé à la direction
d’orchestre. Il a dirigé de nombreux
ensembles qui lui ont permis d’aborder un répertoire très diversifié allant
de la petite formation (Pierrot Lunaire
de A. Schönberg, Histoire du Soldat
et Ebony Concerto de I. Stravinsky, le
Bal Masqué de F. Poulenc etc.) jusqu’à
l’orchestre symphonique (symphonies
de Beethoven, Schubert, Mozart…).
En 2001, l’Orchestre de Paris lui
donne la chance de pouvoir diriger
la Symphonie n°9 de Beethoven à
l’occasion de la fête de la musique
dans les jardins de l’Hôtel Matignon à
Paris. En novembre 2009, il remplace
à la dernière minute Jean Deroyer,
souffrant, pour la finale du Concours
Rostropovitch. En 2011, l’Orchestre de
Paris lui confie plusieurs concerts pour
les jeunes et une série de concert des
Jeunesses musicales de France (JMF)
consacrée à Léonard Bernstein. Il a
également été l'invité de l'Orchestre
de Cannes et de l'Orchestre des Pays
de la Loire. Il est depuis 2011 directeur
artistique de l'Orchestre des lauréats
du Conservatoire (OLC) et depuis
2014 professeur associé de la classe
de direction au Conservatoire de Paris.
Philippe Aïche est Officier des
Arts et lettres.
conservatoire de paris saison 2014-15 Partenaire également de Claire
Désert, Jean-Claude Pennetier, Fabrice
Millischer (avec lequel il a aussi enregistré deux disques) et du Quatuor
Voce, il fonde le Trio Werther avec
lequel il s’illustre au Concours Maria
Canals de Barcelone et au Concours
de Musique de chambre de Lyon.
Travaillant avec de nombreux artistes
lyriques, Nathanaël Gouin est aussi
compositeur et crée au cours de ses
concerts ses pièces pour piano, voix et
divers instruments.
Lauréat de la Fondation Banque
Populaire, il est actuellement en résidence à la chapelle Reine Elisabeth de
Belgique, où il se perfectionne auprès
de Maria Joao Pires.
11
Eun Joo LEE
violon
Née en 1988 à Séoul, Corée du Sud,
Eun Joo Lee commence le violon à
l’âge de sept ans. Elle étudie en Corée
puis entre au Conservatoire de Paris
en 2008 dans la classe de Roland
Daugareil. Elle travaille également
avec Suzanne Gessner, Christophe
Poiget, Serge Pataud et étudie la musique de chambre avec Pierre-Laurent
Aimard, Michel Strauss, Hae-Sun
Kang, Jean Sulem et Marc Coppey.
Elle participe aux master-classes
d’Igor Ozim, Pavel Vernikov, Michael
Frischenschlager et Tedi Papavrami.
En 2010, elle remporte le premier
prix du concours Vatelot-Rampal à
Paris et le premier prix du concours
Leopold Bellan en 2013.
Elle obtient son diplôme de premier
cycle supérieur en 2011 et celui de
master, mention très bien à l'unanimité
avec les félicitations du jury en 2013.
Elle poursuit actuellement ses études
en 3e cycle, 2e année de DAI (Diplôme
d'artistes interprètes) - répertoire
contemporain et création.
concert des avant-scènes
Irène Duval
violon
Passionnée par le travail d'orchestre,
elle a participé à l'académie de
l'Orchestre de Paris en 2010-2011
avec Paavo Järvi, Esa Pekka Salonen
et Chistoph Eschenbach, et au Festival
de Lucerne en 2012 avec Pierre Boulez
et Peter Eötvös.
Elle se produit régulièrement en
concerts, en musique de chambre
et en soliste, en France et en Corée.
Irène est née en 1992 à Mont Saint
Aignan, et débute le violon à Hong
Kong à l'âge de sept ans avec Agnes
Kwasniewska. Sur le conseil du
violoniste et chef d’orchestre JeanJacques Kantorow, qu'elle rencontre
en 2005, elle intègre la classe de
Suzanne Gessner au Conservatoire
à rayonnement régional de Paris,
après deux ans passés à celui de
Rouen. En mars 2008, elle est admise
au Conservatoire de Paris dans la
classe de Roland Daugareil, et Daria
Hovora en musique de chambre.
Elle obtient son Diplôme de 1er cycle
supérieur de musique de chambre
mention très bien à l'unanimité avec
la pianiste Charlotte Coulaud en
2012, et son Diplôme de Master en
violon en mai 2013, avec la mention
très bien à l’unanimité et félicitations
du jury. Irène poursuit actuellement
ses études en 3e cycle supérieur
au Conservatoire de Paris (cursus
de Diplôme d’Artiste Interprète),
ainsi que des études à la Kronberg
Academy en Further Master Studies
avec la violoniste Mihaela Martin.
conservatoire de paris saison 2014-15 Son succès la conduit à jouer avec
la Dresdner Philharmonie pour leurs
concerts du Nouvel An 2012, avec
l’Orchestre de la Garde Républicaine
dans le concerto pour violon de
Beethoven dirigé par Stéphane Billard,
avec la Chursaesische Philharmonie de
Bad Elster dans les Airs Bohémiens et
la Carmen Fantaisie de Sarasate dirigé
par Florian Merz, avec l'Orchestre
Lyrique de Région Avignon Provence
à l’Opéra Théâtre d’Avignon dans
le 3e concerto de Saint Saens, avec
l’orchestre de Caen dirigé par Vahan
Mardirossian dans le 2e concerto de
Prokofiev……
Irène se produit également en récital
avec le pianiste Pierre-Yves Hodique
et ensemble ils forment un trio avec
Aurélien Pascal. Elle forme en 2013 un
quatuor de Tango avec Pierre Cussac
au bandonéon, Alvise Sinivia au piano,
et Leila Renault à la contrebasse.
Irène joue sur un violon prêté par
l'Association Zilber-Vatelot-Rampal.
13
à l'agenda du
conservatoire
carte
blanche
aux jeunes solistes
hommage à Claude
baron-renault
#musique_de_chambre
Jeudi 23 octobre à 19 h
Salle d'orgue
Conservatoire de Paris
Entrée libre sur réservation
[email protected]
académie européene
de la musique de chambre
#musique_de_chambre Jeudi 30 octobre à 19 h
Salle d'orgue
Conservatoire de Paris
concert avec
jimmy cobb
#jazz
Vendredi 7 novembre à 19 h
Espace Maurice-Fleuret
Conservatoire de Paris
Samedi 22 novembre à 15 h et 20 h
Dimanche 23 novembre à 15 h et 18 h
Lundi 24 novembre à 20 h
Cité de la musique, Salle des concerts
Entrée libre sur réservation
01 44 84 44 84
www.citedelamusique.fr
CONSERVATOIRE
NATIONAL SUPÉRIEUR
DE MUSIQUE ET
DE DANSE DE PARIS
Bruno Mantovani, directeur
Rémy Pflimlin, président
programme
complet en ligne
www.conservatoiredeparis.fr
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CONSERVATOIRE
NATIONAL SUPÉRIEUR
DE MUSIQUE ET
DE DANSE DE PARIS
Bruno Mantovani, directeur