Environnement Client/Serveur Présentation de l`architecture d`un
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Environnement Client/Serveur Présentation de l`architecture d`un
Environnement Client/Serveur Présentation de l'architecture d'un système client/serveur De nombreuses applications fonctionnent selon un environnement client/serveur, cela signifie que des machines clientes (des machines faisant partie du réseau) contactent un serveur, une machine généralement très puissante en terme de capacités d'entrée-sortie, qui leur fournit des services. Ces services sont des programmes fournissant des données telles que l'heure, des fichiers, une connexion, etc. Les services sont exploités par des programmes, appelés programmes clients, s'exécutant sur les machines clientes. On parle ainsi de client (client FTP, client de messagerie, etc.) lorsque l'on désigne un programme tournant sur une machine cliente, capable de traiter des informations qu'il récupère auprès d'un serveur (dans le cas du client FTP il s'agit de fichiers, tandis que pour le client de messagerie il s'agit de courrier électronique). Avantages de l'architecture client/serveur Le modèle client/serveur est particulièrement recommandé pour des réseaux nécessitant un grand niveau de fiabilité, ses principaux atouts sont : • des ressources centralisées : étant donné que le serveur est au centre du réseau, il peut gérer des ressources communes à tous les utilisateurs, comme par exemple une base de • données centralisée, afin d'éviter les problèmes de redondance et de contradiction une meilleure sécurité : car le nombre de points d'entrée permettant l'accès aux données est • moins important une administration au niveau serveur : les clients ayant peu d'importance dans ce modèle, ils • ont moins besoin d'être administrés un réseau évolutif : grâce à cette architecture il est possible de supprimer ou rajouter des clients sans perturber le fonctionnement du réseau et sans modification majeure Inconvénients du modèle client/serveur L'architecture client/serveur a tout de même quelques lacunes parmi lesquelles : • • un coût élevé dû à la technicité du serveur un maillon faible : le serveur est le seul maillon faible du réseau client/serveur, étant donné que tout le réseau est architecturé autour de lui ! Heureusement, le serveur a une grande tolérance aux pannes (notamment grâce au système RAID) Fonctionnement d'un système client/serveur Un système client/serveur fonctionne selon le schéma suivant : • Le client émet une requête vers le serveur grâce à son adresse IP et le port, qui désigne un service particulier du serveur • Le serveur reçoit la demande et répond à l'aide de l'adresse de la machine cliente et son port Réseaux - Architecture client/serveur à 3 niveaux USESDEFRITBR Mai 2014 Présentation de l'architecture à 2 niveaux L'architecture à deux niveaux (aussi appelée architecture 2-tier, tier signifiantrangée en anglais) caractérise les systèmes clients/serveurs pour lesquels le client demande une ressource et le serveur la lui fournit directement, en utilisant ses propres ressources. Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de fournir une partie du service. Présentation de l'architecture à 3 niveaux Dans l'architecture à 3 niveaux (appelée architecture 3-tier), il existe un niveau intermédiaire, c'est-àdire que l'on a généralement une architecture partagée entre : 1. Un client, c'est-à-dire l'ordinateur demandeur de ressources, équipée d'une interface utilisateur (généralement un navigateur web) chargée de la présentation ; 2. Le serveur d'application (appelé également middleware), chargé de fournir la ressource mais faisant appel à un autre serveur 3. Le serveur de données, fournissant au serveur d'application les données dont il a besoin. Etant donné l'emploi massif du terme d'architecture à 3 niveaux, celui-ci peut parfois désigner aussi les architectures suivantes : • Partage d'application entre client, serveur intermédiaire, et serveur d'entreprise • Partage d'application entre client, serveur d'application, et serveur de base de ; données d'entreprise. Comparaison des deux types d'architecture L'architecture à deux niveaux est donc une architecture client/serveur dans laquelle le serveur est polyvalent, c'est-à-dire qu'il est capable de fournir directement l'ensemble des ressources demandées par le client. Dans l'architecture à trois niveaux par contre, les applications au niveau serveur sont délocalisées, c'està-dire que chaque serveur est spécialisé dans une tâche (serveur web/serveur de base de données par exemple). L'architecture à trois niveaux permet : • • Une plus grande flexibilité/souplesse ; Une sécurité accrue car la sécurité peut être définie indépendamment pour chaque service, et à chaque niveau ; • De meilleures performances, étant donné le partage des tâches entre les différents serveurs. L'architecture multiniveaux Dans l'architecture à 3 niveaux, chaque serveur (niveaux 2 et 3) effectue une tâche (un service) spécialisée. Un serveur peut donc utiliser les services d'un ou plusieurs autres serveurs afin de fournir son propre service. Par conséquent, l'architecture à trois niveaux est potentiellement une architecture à N niveaux... Réseaux - Client lourd USESDEFRITBR Juin 2014 Client lourd Le terme « client lourd » (en anglais « fat client » ou « heavy client »), par opposition au client léger, désigne une application cliente graphique exécutée sur le système d'exploitation de l'utilisateur. Un client lourd possède généralement des capacités de traitement évoluées et peut posséder une interface graphique sophistiquée. Néanmoins, ceci demande un effort de développement et tend à mêler la logique de présentation (l'interface graphique) avec la logique applicative (les traitements). Ce type d'application étant généralement installé sur le système d'exploitation de l'utilisateur, une nouvelle version doit être installée afin de la faire évoluer. Pour y remédier, les éditeurs d'applications lourdes les dotent généralement d'une fonctionnalité exécutée au lancement de l'application, permettant de vérifier sur un serveur distant si une version plus récente est disponible et le cas échéant propose à l'utilisateur de la télécharger et de l'installer. Réseaux - Client léger USESDEFRITBR Juin 2014 Client léger Le terme « client léger » (parfois « client pauvre », en anglais « thin client »), par opposition au client lourd, désigne une application accessible via une interface web (en HTML) consultable à l'aide d'un navigateur web, où la totalité de la logique métier est traitée du côté du serveur. Pour ces raisons, le navigateurest parfois appelé client universel. L'origine du terme lui-même provient de la pauvreté du langage HTML, qui ne permet de faire des interfaces relativement pauvres en interactivité, si ce n'est pas le biais du langage javascript. Le fait que l'essentiel des traitements soit réalisé du côté du serveur et que l'interface graphique est envoyée au navigateur à chaque requête permet une grande souplesse de mise à jour. En contrepartie, l'application doit s'affranchir des différences d'interprétation du code HTML par les différents navigateurs et l'ergonomie de l'application possède un champ réduit. Client riche Un « client riche » est un compromis entre le client léger et le client lourd. L'objectif du client riche est donc de proposer une interface graphique, décrite avec une grammaire de description basée sur la syntaxe XML, permettant d'obtenir des fonctionnalités similaires à celles d'un client lourd (glisser déposer, onglets, multi fenêtrage, menus déroulants). Les clients riches permettent ainsi de gérer l'essentiel des traitements du côté du serveur. Les données sont ensuite transmises dans un format d'échange standard utilisant la syntaxe XML (SOAP, XMLRPC), puis interprétées par le client riche. Les principaux standards permettant de définir une application riche sont les suivants : • XAML (eXtensible Application Markup Language), prononcez « zammel », un standard XML • proposé par Microsoft, utilisé notamment dans les applications utilisant le framework .NET ; XUL, prononcez « zoul », un standard XML proposé par la fondation Mozilla, utilisé par exemple dans le client de messagerie Mozilla Thunderbird ou dans le navigateur Mozilla Firefox ; • Flex, un standard XML proposé par la société Macromedia. Présentation de l'architecture d'égal à égal Dans une architecture d'égal à égal (en anglais peer to peer), contrairement à une architecture de réseau de type client/serveur, il n'y a pas de serveur dédié. Ainsi chaque ordinateur dans un tel réseau est un peu serveur et un peu client. Cela signifie que chacun des ordinateurs du réseau est libre de partager ses ressources. Un ordinateur relié à une imprimante pourra donc éventuellement la partager afin que tous les autres ordinateurs puissent y accéder via le réseau. Inconvénients des réseaux d'égal à égal Les réseaux d'égal à égal ont énormément d'inconvénients : • ce système n'est pas du tout centralisé, ce qui le rend très difficile à administrer • la sécurité est très peu présente • aucun maillon du système n'est fiable Ainsi, les réseaux d'égal à égal ne sont valables que pour un petit nombre d'ordinateurs (généralement une dizaine), et pour des applications ne nécessitant pas une grande sécurité (il est donc déconseillé pour un réseau professionnel avec des données sensibles). Avantages de l'architecture d'égal à égal L'architecture d'égal à égal a tout de même quelques avantages parmi lesquels : • un coût réduit (les coûts engendrés par un tel réseau sont le matériel, les câbles et la maintenance) • une simplicité à toute épreuve! Mise en oeuvre d'un réseau peer to peer Les réseaux poste à poste ne nécessitent pas les mêmes niveaux de performance et de sécurité que les logiciels réseaux pour serveurs dédiés. On peut donc utiliser Windows NT Workstation, Windows pour Workgroups ou Windows 95 car tous ces systèmes d’exploitation intègrent toutes les fonctionnalités du réseau poste à poste. La mise en oeuvre d'une telle architecture réseau repose sur des solutions standards : • Placer les ordinateurs sur le bureau des utilisateurs • Chaque utilisateur est son propre administrateur et planifie lui-même sa sécurité • Pour les connexions, on utilise un système de câblage simple et apparent Il s'agit généralement d'une solution satisfaisante pour des environnements ayant les caractéristiques suivantes : • Moins de 10 utilisateurs • Tous les utilisateurs sont situés dans une même zone géographique • La sécurité n’est pas un problème crucial • Ni l’entreprise ni le réseau ne sont susceptibles d’évoluer de manière significative dans un proche avenir Administration d'un réseau poste à poste Le réseau poste à poste répond aux besoins d’une petite entreprise mais peut s’avérer inadéquat dans certains environnements. Voici les questions à résoudre avant de choisir le type de réseau : On désigne par le terme "Administration" : 1. Gestion des utilisateurs et de la sécurité 2. Mise à disposition des ressources 3. Maintenance des applications et des données 4. Installation et mise à niveau des logiciels utilisateurs Dans un réseau poste à poste typique, il n’y a pas d’administrateur. Chaque utilisateur administre son propre poste. D'autre part tous les utilisateurs peuvent partager leurs ressources comme ils le souhaitent (données dans des répertoires partagés, imprimantes, cartes fax etc.) Notions de sécurité La politique de sécurité minimale consiste à mettre un mot de passe à une ressource. Les utilisateurs d’un réseau poste à poste définissent leur propre sécurité et comme tous les partages peuvent exister sur tous les ordinateurs, il est difficile de mettre en oeuvre un contrôle centralisé. Ceci pose également un problème de sécurité globale du réseau car certains utilisateurs ne sécurisent pas du tout leurs ressources. Améliorer l’expérience utilisateur en environnement TSE (Terminal Services, Services Bureau à distance, Remote App) Contrairement à ce que la plupart des gens pensent, on peut bénéficier, en environnement TSE, d’un bureau au look moderne, au moins façon XP. Ainsi, il est possible d’afficher LDCompta : - au look XP en TSE à partir de Windows Server 2003 (éditions Standard, Entreprise ou Datacenter), - au look Vista à partir de Windows Server 2008 (éditions Standard, Entreprise ou Datacenter), - au look 7 (avec Aéro à condition de disposer de pilotes et d’un client Vista/7 compatible) à partir de Windows Server 2008R2 (éditions Standard, Entreprise ou Datacenter). Attention, tous les effets graphiques avancés ne sont toutefois pas fonctionnels. Tout cela est par défaut désactivé et bien sûr déconseillé, essentiellement pour des raisons de performances et de bande passante. Activer tous les mécanismes d’embellissement sur une machine, même récente, desservant 40 bureaux utilisateurs simultanément avec des applications graphiquement riches pourrait amener à des résultats aberrants, des nonaffichages, des lenteurs ou des gels, momentanés ou persistants. De nombreux paramètres entrent en ligne de compte, nous allons les énumérer dans ce document. Paramètres côté serveur, Windows Server 2003 Limitation du nombre de couleurs La première étape consiste à vérifier que le nombre de couleurs transmises par le serveur est suffisant po ur obtenir la qualité d’affichage souhaitée ; ce param ètre prime sur les autres réglages et a une influence im portante sur la bande passante. Dans Outils d’administration on trouve Configuration des services Terminal Server. Dans la fenêtre de console MMC qui s’affiche alors, on sélectionne Connexions dans l’arborescence de gauche puis on fait un clic-droit sur l’objet RDP-Tcp dans la partie droite. On choisit Propriétés dans le menu contextuel ; une fenêtre s’ouvre. On sélectionnera l’onglet Paramètres du client ; l’option qui nous intéresse est Limiter le nombre maximal de couleurs. 8 bits, correspondant à 256 couleurs est trop faible ; 24 bits, plus de 16 millions de couleurs, est inutile… Service de gestion des thèmes L’application du look XP à une fenêtre est gérée par un service Windows appelé Thèmes. Il est désactivé par défaut sur les systèmes d’exploitation de type serveur ; il convient donc de l’activer. Pour ce faire, il suffit d’ouvrir la MMC Services depuis les Outils d’administration par exemple, de double-cliquer sur le service Thèmes et de modifier la valeur Type de démarrage de Désactivé à Automatique. On clique sur Appliquer ; le bouton Démarrer devenant accessible, on clique dessus afin de lancer le service. On peut enfin fermer toutes les fenêtres. Activation du thème Sitôt le service Thèmes démarré, il va être possible d’appliquer un thème à l’environnement utilisateur en cours. Comme sur un poste sous Windows XP, il suffit de faire un clic-droit dans un emplacement vide du bureau et de sélectionner Propriétés dans le menu contextuel. La liste déroulante Thème apparaissant dans la nouvelle fenêtre permet de sélectionner le thème Windows XP. Une pression sur OK ou Appliquer permet de transformer l’environnement utilisateur en quelques secondes (cela peut durer jusqu’à une minute sur un serveur chargé). Sur certains systèmes, le thème Windows XP n’apparaît pas dans la liste mais rien n’interdit de choisir l’option Parcourir… dans la liste déroulante. Les thèmes de base sont stockés dans C:\WINDOWS\Resources\Themes\ ; le fichier correspondant au thème Windows XP est le fichier Luna.theme . Comme sous Windows XP, il est ensuite possible de changer de modèle de couleurs depuis l’onglet Apparence. Par défaut, c’est le modèle Bleu de Style Windows XP qui est utilisé mais on dispose par défaut des modèles Argenté et Vert olive. Les options de personnalisation avancée sont disponibles via le bouton Avancé, les effets par le bouton Effets… de la même fenêtre. Attention : il est déconseillé d’utiliser la méthode de lissage des bords et polices d’écran ClearType dans les environnements TSE car elle peut dangereusement dégrader les performances. Tous ces paramètres sont définis par utilisateur ; c’est-à-dire que si l’on configure le look XP sur le profil utilisateur Pierre, l’utilisateur Michel continuera à évoluer dans l’environnement qui lui est propre. Utilisation des stratégies de groupe Pour les déploiements à grande échelle ou pour forcer l’application de ce type de configuration, on préfèrera utiliser les stratégies de groupe basées sur une unité organisationnelle Active Directory (en général, pour la gestion de la sécurité, il en existe une spécifique aux utilisateurs TSE). La stratégie en question concerne bien entendu la Configuration utilisateur et les objets utilisés se trouvent dans Modèles d’administration \ Bureau \ Panneau de configuration \ Affichage \ Thèmes du Bureau. L’objet le plus intéressant est : Charger un fichier de style visuel spécifique ou forcer le style Windows Classique, les autres objets permettent d’appliquer des restrictions. A noter donc, les stratégies de groupe permettent aussi d’interdire l’utilisation des thèmes. Prudence avec les stratégies : ces manipulations sont à faire en concertation avec l’administrateur système car on a tôt fait de faire des bêtises (notamment avec des héritages contrariants). Paramètres côté serveur, Windows Server 2008 / 2008 R2 Limitation du nombre de couleurs des services Bureau à distance Comme sous Windows Server 2003, il faut vérifier que le nombre de couleurs transmises par le serveur est suffisant pour obtenir la qualité d’affichage souhaité ; ce paramètre prime sur les autres réglages et a une influence importante sur la bande passante. Dans Outils d’administration on trouve Services Bureau à distance puis Configuration d’hôte de session Bureau à distance. En faisant un clic-droit sur RDP-Tcp dans la partie centrale de la fenêtre, on peut sélectionner Propriétés. C’est depuis l’onglet Paramètres du client que l’on pourra modifier le paramètre Limiter le nombre maximal de couleurs. Même remarque que précédemment, on conseillera plutôt 15 bits ou 16 bits à moins de vouloir bénéficier des effets Aéro (32 bits nécessairement, à bannir autant que possible !). Bien que supportée et à moins de ne travailler qu’à quatre ou cinq utilisateurs en réseau local, la configuration multi-moniteur est à éviter. Limitation du nombre de couleurs des services RemoteApp Les services RemoteApp, bien que s’appuyant complètement sur la couche RDP, disposent de paramètres propres ; c’est le cas de la configuration multimoniteur, de la limitation du nombre de couleurs et du lissage des polices. Ces paramètres sont accessibles par Outils d’administration, Services Bureau à distance, Gestionnaire RemoteApp. Dans la console MMC dédiée, il suffit de cliquer sur le lien Modifier en face de Paramètres du protocole RDP. Dans la fenêtre qui apparaît, les options qui nous intéressent se situent sur l’onglet Paramètres RDP communs, section Expérience utilisateur. Contrairement au Bureau à distance, la configuration de RemoteApp favorise par défaut la qualité de l’affichage : on trouvera donc fréquemment les paramètres Qualité optimale (32bits) dans l’option Couleurs et l’option Autoriser le lissage des polices coché. Services de gestion des thèmes et de gestion du fenêtrage Comme sous Windows Server 2003, l’application d’un style moderne à une fenêtre est gérée par le service Windows appelé Thèmes. Désactivé par défaut sur les systèmes d’exploitation de type serveur, il convient de l’activer. Pour ce faire, il suffit d’ouvrir la MMC Services depuis les Outils d’administration par exemple, de double-cliquer sur le service Thèmes et de modifier la valeur Type de démarrage de Désactivé à Automatique (non différé). On clique sur Appliquer ; le bouton Démarrer devenant accessible, on clique dessus afin de lancer le service. On peut enfin fermer toutes les fenêtres. Une fois le service Thèmes démarré, comme sous Windows Vista ou Windows 7, il suffit d’atteindre les propriétés d’affichage (clic-droit dans un emplacement vide du bureau puis Personnaliser ou Panneau de configuration, Apparence et personnalisation, Personnalisation) pour pouvoir choisir un thème Windows 7 Basic par exemple. Les thèmes et les effets Aéro, s’ils sont disponibles à la sélection, ne seront fonctionnels que si la fonctionnalité Windows Expérience utilisateur ou Composition Bureau est installée (pas le cas par défaut) et le service Gestionnaire de sessions du Gestionnaire de fenêtrage déclaré activable et démarré (même démarche que pour le service Thèmes si besoin). Attention, les mêmes pré-requis qu’avec Windows Vista ou Windows 7 s’appliquent pour l’utilisation d’Aéro. Il est conseillé de disposer d’une bonne carte graphique avec des pilotes à jour. Pour rappel, on découragera vivement l’utilisation d’Aéro dans le cadre d’une utilisation TSE. Utilisation des stratégies de groupe Comme sous Windows Server 2003, pour les déploiements à grande échelle ou pour forcer l’application de ce type de configuration, on préfèrera utiliser les stratégies de groupe basées sur une unité organisationnelle Active Directory (en général, pour la gestion de la sécurité, il en existe une spécifique aux utilisateurs TSE). La stratégie en question concerne bien entendu la Configuration utilisateur et les objets utilisés se trouvent dans Modèles d’administration\ Bureau \ Panneau de configuration \ Affichage \ Thèmes du Bureau. L’objet le plus intéressant est : Charger un fichier de style visuel spécifique ou forcer le style Windows Classique, les autres objets permettent d’appliquer des restrictions. A noter donc, les stratégies de groupe permettent aussi d’interdire l’utilisation des thèmes. Prudence avec les stratégies : il vaut mieux opérer en concertation avec l’administrateur système car on a tôt fait de faire des bêtises (notamment avec des héritages contrariants). Pour pouvoir utiliser Aéro en environnement TSE sur Windows Server 2008 R2, il est nécessaire d’appliquer une stratégie de groupe locale à la machine car c’est interdit par défaut. Pour ce faire, il faut lancer la console MMC adéquate depuis l’option Exécuter… du menu Démarrer en saisissant gpedit.msc . Là, on parcourt l’arborescence jusqu’à la branche Configuration ordinateur \ Modèles d’administration \ Composants Windows \ Services Bureau à distance \ Hôte de la session Bureau à distance \ Environnement de session à distance. Il faut activer le paramètre Autoriser la composition du Bureau pour les sessions Bureau à distance. Appliquée à l’ordinateur, cette configuration concerne tous les profils utilisateurs ; tous les utilisateurs du Bureau à distance seront désormais autorisés à activer le thème Aéro si aucune stratégie utilisateur ne vient la contrarier. Pour informations, certaines fonctionnalités d’Aéro (Flip3D, animations de fenêtres) peuvent être interdites individuellement par des stratégies machine ou utilisateur depuis Modèles d’administration \ Composants Windows \ Gestionnaire de fenêtres du Bureau. Paramètres côté client Les possibilités d’affichage dépendent également de la configuration côté client. Chaque système d’exploitation vient nativement avec sa version du client Bureau à distance et peut ou non le mettre à jour vers telle ou telle version. Selon la version du programme installée, les fonctionnalités offertes ne seront pas les mêmes. Le système d’exploitation client, les pilotes graphiques de la machine cliente et la configuration de l’environnement utilisateur sur cette machine influent directement sur les possibilités d’affichage. Lorsque l’on définit une session cliente Bureau à distance, les paramètres à vérifier se situent au niveau de l’onglet Affichage pour ce qui concerne la profondeur des couleurs et sur l’onglet Avancé pour les fonctionnalités (Styles visuels permettra l’affichage d’un thème, Composition du Bureau des effets type Aéro…). Enfin, retenons que les stratégies de groupe priment sur la configuration serveur qui, ellemême, prime sur la configuration client. Informations techniques Les architectures de cloud computing et de stockage dans le cloud Les disques durs Seagate permettent l'utilisation de services et de fonctionnalités du cloud qui, associés, créent les logiciels en tant que service (SaaS, Software as a Service), des plates-formes en tant que service (PaaS, Platform as a Service) et des infrastructures en tant que service (IaaS, Infrastructure as a Service). • Imprimer • zoom • L'infonuagique (cloud computing) et le stockage dans le cloud sont devenus les principales méthodes de diffusion des informations et des fonctionnalités en ligne. Alors que certains services de cloud se concentrent sur la fourniture aux consommateurs d'une large gamme de services et de fonctionnalités (commerce électronique, recherche, réseaux sociaux, consommation de divertissement et protection de documents numériques importants), d'autres s'orientent vers les petites et grandes entreprises, les administrations et les autres institutions. Certains proposent aux consommateurs un stockage dans le cloud gratuit, alors que d'autres appliquent des frais sur la base d'une inscription. Il existe également des clouds privés, détenus et contrôlés par des organisations, qui offrent un réseau sécurisé pour le partage de logiciels et de données critiques. Par exemple, les hôpitaux peuvent décider d'utiliser des services d'archivage publics pour les dossiers médicaux électroniques et les données d'imagerie des patients (à l'aide du PACS), ou de créer leur propre solution d'archivage dans le cloud. En outre, ils ont la possibilité de rassembler leurs budgets et leurs ressources pour créer un cloud privé partagé. Les clouds privés sont créés à partir de matériel, de logiciels et d'autres outils provenant de différents fournisseurs et dont les serveurs sont gérés sur site ou hors site. Les clouds hybrides, comme leur nom le laisse penser, associent plusieurs ressources de cloud public et privé pour créer un service ou une solution. Au cœur des services, produits et solutions de cloud, se trouvent les outils logiciels, avec trois piliers d'outils et fonctionnalités : pour le traitement des données et des applications en fonctionnement (serveurs de calcul), pour le déplacement des données (réseau) et pour la conservation ou le stockage des données (stockage). Cet article traite des architectures de cloud computing et de stockage, en tirant parti des connaissances fondamentales de l'entreprise et du stockage de données informatiques. Contexte et défis Le cloud computing et le stockage dans le cloud sont aujourd'hui sur toutes les lèvres en raison des possibilités qu'ils offrent pour la gestion des problèmes et des défis informatiques courants et des nouvelles opportunités qu'ils offrent. Pour certains environnements, l'objectif principal est de réduire les coûts, alors que pour d'autres, il s'agit de soutenir la croissance. Par ailleurs, certains environnements doivent renforcer leurs objectifs de niveau de services et répondre à leurs contrats de niveau de service en termes de disponibilité, de performances, de sécurité et de protection des données. Les défis courants que les solutions de cloud peuvent permettre de surmonter sont les suivants : Défi informatique Solution cloud En faire plus avec le budget disponible, tout en continuant à Budgets fixes ou réduits soutenir la croissance Besoin de nouvelles fonctionnalités Flexibilité permise par un déploiement rapide Soutien de la croissance avec Croissance soutenue avec souplesse stabilité Confidentialité et sécurité des Multitenancy (mutualisation) pour une coexistence sûre informations Protection des données Continuité de l'activité et récupération après sinistre flexibles Réduction du délai de commercialisation et création de nouvelles Amélioration du service client opportunités Possibilité d'accès depuis n'importe où, sur différents Manque de mobilité ou de flexibilité périphériques Qu'est-ce que les solutions de cloud ? Les solutions de cloud sont des outils permettant la création et le stockage de contenu ou d'informations, ainsi que des stratégies relatives à l'endroit et à la manière de les consommer. Ces solutions sont utilisées pour la mise en place d'infrastructures virtuelles pour les petites et les grandes organisations, destinées à héberger des applications ou des fonctions spécifiques, et d'un lieu pour développer et tester de nouvelles fonctionnalités. En outre, elles comprennent des services et des produits à la demande (matériel, logiciels et réseaux) et des solutions que vous pouvez acheter afin de les installer dans votre environnement. Voici tout d'abord certains adjectifs et expressions courants pour qualifier les solutions de cloud : • Optimisées et économiques : alignent les ressources aux objectifs de niveau de service afin de répondre aux contrats de niveau de service • Menu d'options de service parmi lesquelles choisir : hiérarchisation des ressources alignée sur les coûts et les contrats de niveau de service • Souples, évolutives et stables : soutiennent la croissance sans augmenter la complexité • Rapides, souples et dynamiques : s'adaptent à l'évolution des besoins tout en restant disponibles • Rapides ou en provisionnement automatique : accèdent rapidement aux ressources et aux services • Sécurisées et multitenant : séparation des utilisateurs sécurisée tout en garantissant l'intégrité des données • Mesurées et gérées : indicateurs de mesure pour la création de rapports, analyses et gestion du service • Évolutives en fonction de la densité : tirent parti du multitenant et des économies d'échelles pour minimiser les coûts Du SaaS au PaaS et IaaS Les logiciels en tant que service (SaaS) consommés via les solutions de cloud comprennent également le divertissement personnel (Netflix), les réseaux sociaux (Facebook, Skype et Twitter), le partage de photos, le partage de fichiers (Dropbox), la messagerie, la musique et les services de sauvegarde en ligne. Les petites et grandes entreprises utilisent les solutions de cloud pour fournir des fonctionnalités distinctes aux consommateurs, mais aussi pour améliorer leur productivité. Par exemple : partage de documents (Google Documents), gestion de la relation client (Salesforce.com), notes de frais (Concur), salaires (ADP), messagerie, partage des fichiers, sauvegarde et archivage. En plus du SaaS, les fournisseurs de cloud disposent d'outils et d'environnements pour les plates-formes en tant que service (PaaS), notamment pour soutenir le développement et la création des services SaaS. Les différents types de couches de stockage pour les IaaS comprennent des fonctionnalités telles que le Web ou les machines virtuelles (VM), le stockage pour le partage de fichiers en ligne, la sauvegarde ou l'archivage, les bases de données, les outils de recherche et de développement. Ces fonctionnalités permettent aux fournisseurs de cloud ou à des tiers de créer eux-mêmes des solutions individualisées en associant les différentes fonctionnalités ou couches de cloud dans les services fournis. Les solutions de stockage dans le cloud SaaS comprennent le partage de fichiers, de documents, de musique, de photos et de vidéo, la sauvegarde et la restauration, la continuité d'activité et la reprise après sinistre, ainsi que des fonctionnalités d'archivage. Parmi les autres options de stockage dans le cloud, on trouve les bases de données, les analyses des Big data (notamment Hadoop et les services basés sur Map-reduce), les disques durs virtuels et les autres applications tirant parti du stockage back-end dans le cloud. Les solutions de stockage dans le cloud s'étendent également vers les produits et solutions utilisés pour déployer des clouds publics, privés et hybrides. Les produits et solutions sont les éléments des services de stockage dans le cloud utilisés le plus couramment dans les systèmes de stockage physiques. Le cloud privé et les services publics, du SaaS au PaaS et IaaS, tirent parti de la hiérarchisation du stockage, notamment avec les disques SSD et les disques durs classiques. Similaires aux environnements de stockage d'entreprise traditionnels, les services de cloud exploitent une combinaison de plusieurs niveaux de technologies de stockage, répondant à différentes exigences en termes d'objectifs et de contrats de niveau de service. Par exemple, l'utilisation de disques SSD rapides pour la consolidation des E/S denses (prenant en charge les journaux et index de bases de données, les métadonnées pour les recherches rapides et d'autres données transactionnelles) permet l'exécution d'un nombre supérieur de tâches avec moins d'énergie, dans un espace plus dense et économique. La combinaison de disques SSD ultrarapides et de disques durs traditionnels haute capacité offre un équilibre entre performances et capacités, idéal pour répondre aux autres exigences de service, avec des options de coût différentes. Avec les services de cloud, les fournisseurs ne spécifient plus le type de disque physique à acheter, mais ils proposent différentes options de disponibilité, de coût, de capacités, de fonctionnalités et de performances, afin de répondre à chaque exigence de contrats et d'objectifs de niveau de service. Architecture du cloud Au cœur de l'informatique héritée, de l'hébergement, des fournisseurs de services gérés (MSP) et du cloud, on trouve les mêmes éléments de base, notamment les technologies de réseau, de traitement et de stockage. Différents types de serveurs, de réseaux et de technologies de stockage répondent à différents besoins de cloud computing et de stockage dans le cloud (par exemple : serveurs rack et lames denses avec des quantités distinctes de prises, cœurs avec différentes vitesses en GHz, différents threads, différentes quantités de mémoire et capacités d'expansion des E/S, etc.). Parmi les options de réseau : des vitesses élevées à 40 GbE et 100 GbE, pour les circuits de transmission et de liaison, et des vitesses plus communes de 10 GbE et 1 GbE pour les réseaux virtuels privés (VPN) et l'optimisation de la bande passante. Les différents niveaux et options de stockage des données sont basés sur les disques SSD ultrarapides, ainsi que sur les disques durs traditionnels rapides et de capacité moyenne à élevée. Parmi les fonctions de gestion du stockage, on trouve la protection des données (haute disponibilité (HA, High availability), sauvegarde (BC, Backup) et récupération après sinistre (DR, Disaster Recovery)), ainsi que la réduction de l'encombrement (DFR, Data Footprint Reduction) pour l'optimisation de l'espace, comme la compression, la déduplication et le provisionnement fin, qui permet de stocker plus d'informations pendant plus longtemps et avec des coûts inférieurs. Les outils logiciels sont également très importants pour la création de services et de solutions. Ils comprennent les interfaces de programmation, le middleware, les bases de données, les applications, les hyperviseurs pour la création des machines virtuelles (VM) et des infrastructures de bureau virtuel (VDI), ainsi que le stackware sur le cloud, comme OpenStack, et les outils de gestion associés. Parmi les exemples d'hyperviseurs de VM et de VDI : Citrix/Xen, KVM, Microsoft Hyper-V, Oracle et VMware ESX/vSphere. Dans les trois cas, le stockage des données est configuré dans les systèmes et appliances de stockage et dans les serveurs de calcul. Les clouds public sont des services gratuits ou payants qui offrent différentes fonctionnalités. Par exemple : Amazon Web Services (AWS), Google Docs ou le logiciel de sauvegarde des données Seagate® EVault®. Les clouds publics sont contrôlés par leurs propriétaires, dont les clients choisissent d'utiliser le service. À l'inverse, les clouds privés sont détenus, gérés et contrôlés par des organisations et se rapprochent davantage de la fourniture de services informatiques traditionnelle. Notez toutefois qu'il existe des clouds privés conçus au moyen de composants ou de services accessibles à tous et sur les sites existants de fournisseurs de clouds. Ils sont alors appelés clouds hybrides. Stockage dans le cloud Seagate Seagate est la référence en matière de stockage d'entreprise et se trouve tout naturellement au cœur de l'infrastructure infonuagique. Avec des décennies d'expérience dans le domaine des services gérés, administratifs et institutionnels, haute densité et à grande échelle, ainsi que dans le domaine des environnements colocalisés, Seagate étend le champ de ses compétences aux environnements infonuagiques publics et privés. Seagate propose la meilleure technologie de stockage du marché et collabore depuis des dizaines d'années avec ses différents partenaires, exploitant leurs solutions de stockage, leurs packages, leurs châssis et leurs boîtiers, ainsi que leurs processus de test et de vérification. En tant que principal fournisseur des prestataires de services gérés et infonuagiques publics et privés, Seagate est présent dans les environnements d'entreprise et les centres de données infonuagiques, ainsi que chez les fournisseurs de services gérés destinés aux PME et aux particuliers. En d'autres termes, Seagate facilite le cloud computing et le stockage infonuagique entre le centre de données et votre poche depuis déjà un certain temps ! Dans la catégorie des solutions de stockage pour environnements de cloud computing et de stockage dans le cloud, Seagate propose ses disques SSD ultra-hautes performances de la gamme Pulsar®. Et pour compléter l'offre de disques Pulsar hautes performances, Seagate fournit les disques durs Savvio® 10K et 15K 2,5 pouces pour les configurations à haute densité, ainsi que les disques durs Constellation®, économiques en énergie et capables de prendre en charge une configuration avec plusieurs téraoctets. Le tableau 1 indique comment et où Seagate donne accès au stockage dans le cloud et au cloud computing public et privé. Tableau 1. Comment Seagate donne accès au cloud Centre de données : public, privé, hybride Professionnel Cloud computing Stockage dans le cloud Association de Économique, capacité Stockage local et performances élevées et de élevée, économies dans le cloud capacité d'énergie Disques Pulsar® (SSD), Disques Constellation® Savvio® 15K et Savvio 10K et Constellation ES, BlackArmor® 2,5 pouces, optimisés pour optimisés pour la NAS les performances capacité Personnel Cloud personnel Stockage local et dans le cloud Stockage réseau GoFlex® Home, stockage personnel Backup Plus et stockage mobile sans fil Satellite™ Résumé et étapes suivantes Il existe de nombreuses solutions de cloud, chacune offrant des fonctions et des services différents. Les fonctions et les services de cloud pour le calcul et le stockage sont combinés afin de permettre la mise en place du SaaS, du PaaS et de l'IaaS dans les solutions de cloud publiques et privées. Ces fonctionnalités peuvent être fournies sous la forme d'un service, d'un produit ou d'une solution groupée, également connue sous le nom d'« informatique en tant que service » (ITaaS). En outre, les services de cloud s'étendent sur des infrastructures publiques et privées afin de créer des clouds hybrides et de répondre à vos besoins et exigences spécifiques. La manière de traiter les besoins et exigences en termes d'informations est déterminée par la façon dont vous, ou votre fournisseur de service, exploitez les ressources du cloud. Pour plus d'informations sur l'infonuagique et le stockage dans le cloud, consultez le « Centre de solutions ». Tag : • disques durs pulsar, • informatique hautes performances, • sécurité des entreprises, • disques durs HPC, • stockage infonuagique, • disques durs savvio, • centre de données, • disque dur Constellation, • disques durs hautes capacités, • disques durs internes seagate Quelle différence y a-t-il entre un domaine, un groupe de travail et un groupe résidentiel ? S’applique à toutes les éditions de Windows 7. Les domaines, les groupes de travail et les groupes résidentiels représentent différentes méthodes d’organisation des ordinateurs dans les réseaux. Leur principale différence est la manière dont les ordinateurs et les autres ressources du réseau sont gérés. Les ordinateurs exécutant Windows sur un réseau doivent faire partie d’un groupe de travail ou d’un domaine. Les ordinateurs exécutant Windows sur les réseaux domestiques peuvent aussi faire partie d’un groupe résidentiel, mais cela n’est pas requis. Les ordinateurs appartenant à des réseaux domestiques font généralement partie d’un groupe de travail et éventuellement d’un groupe résidentiel, tandis que les ordinateurs appartenant à des réseaux d’entreprise font généralement partie d’un domaine. Remarque Les groupes résidentiels ne sont pas disponibles dans Windows Server 2008 R2. • Pour déterminer si votre ordinateur se trouve sur un groupe de travail ou sur un domaine 1. Pour ouvrir Système, cliquez sur le bouton Démarrer , faites un clic droit sur Ordinateur, puis cliquez sur Propriétés. 2. Sous Paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail, vous verrez apparaître « Groupe de travail » ou « Domaine », suivi du nom. Les paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail Pour déterminer si votre ordinateur appartient à un groupe résidentiel 1. Pour ouvrir le Centre Réseau et partage, cliquez sur le bouton Démarrer , puis sur Panneau de configuration. Dans la zone de recherche, tapez réseau, puis cliquez sur Centre Réseau et partage. 2. Si vous voyez les mots « Jonction effectuée » à côté de « Groupe résidentiel », c’est que votre ordinateur appartient à un groupe résidentiel. La zone de l’état du groupe résidentiel dans le Centre Réseau et partage Dans un groupe de travail : • Tous les ordinateurs sont des homologues, aucun ordinateur n’en contrôle d’autres. • Chaque ordinateur a un ensemble de comptes d’utilisateur. Pour ouvrir une session sur un ordinateur d’un groupe de travail, vous devez disposer d’un compte sur cet ordinateur. • Il n’y a en général pas plus de vingt ordinateurs. • Un groupe de travail n’est pas protégé par un mot de passe. • Tous les ordinateurs doivent se trouver sur le même réseau local ou le même sous-réseau. Dans un groupe résidentiel : • Les ordinateurs d’un réseau domestique doivent appartenir à un groupe de travail, mais ils peuvent aussi appartenir à un groupe résidentiel. Un groupe résidentiel facilite le partage d’images, de musique, de vidéos, de documents et d’imprimantes avec d’autres personnes sur un réseau domestique. • Un groupe résidentiel est protégé par un mot de passe, mais vous ne devez entrer le mot de passe qu’une seule fois, lorsque vous ajoutez votre ordinateur au groupe résidentiel. Dans un domaine : • Un ou plusieurs ordinateurs sont des serveurs. Les administrateurs réseau utilisent les serveurs pour contrôler la sécurité et les autorisations sur tous les ordinateurs du domaine. Cela permet de réaliser plus facilement des changements, car ils sont automatiquement appliqués sur tous les ordinateurs. Les utilisateurs d’un domaine doivent fournir un mot de passe ou d’autres informations d’identification chaque fois qu’ils accèdent au domaine. • Si vous possédez un compte d’utilisateur sur le domaine, vous pouvez vous connecter à tout ordinateur du domaine, sans nécessiter de compte sur cet ordinateur. • Vous ne pouvez généralement apporter que des modifications limitées aux paramètres d’un ordinateur car les administrateurs réseau veulent souvent s’assurer d’une certaine cohérence entre les ordinateurs. • Un domaine peut être constitué de milliers d’ordinateurs. • Les ordinateurs peuvent se trouver sur des réseaux locaux différents. Quelle différence y a-t-il entre un domaine, un groupe de travail et un groupe résidentiel ? S’applique à toutes les éditions de Windows 7. Les domaines, les groupes de travail et les groupes résidentiels représentent différentes méthodes d’organisation des ordinateurs dans les réseaux. Leur principale différence est la manière dont les ordinateurs et les autres ressources du réseau sont gérés. Les ordinateurs exécutant Windows sur un réseau doivent faire partie d’un groupe de travail ou d’un domaine. Les ordinateurs exécutant Windows sur les réseaux domestiques peuvent aussi faire partie d’un groupe résidentiel, mais cela n’est pas requis. Les ordinateurs appartenant à des réseaux domestiques font généralement partie d’un groupe de travail et éventuellement d’un groupe résidentiel, tandis que les ordinateurs appartenant à des réseaux d’entreprise font généralement partie d’un domaine. Remarque • Les groupes résidentiels ne sont pas disponibles dans Windows Server 2008 R2. Masquer tout Pour déterminer si votre ordinateur se trouve sur un groupe de travail ou sur un domaine 1. Pour ouvrir Système, cliquez sur le bouton Démarrer Ordinateur, puis cliquez sur Propriétés. , faites un clic droit sur 2. Sous Paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail, vous verrez apparaître « Groupe de travail » ou « Domaine », suivi du nom. Les paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail Pour déterminer si votre ordinateur appartient à un groupe résidentiel 1. Pour ouvrir le Centre Réseau et partage, cliquez sur le bouton Démarrer , puis sur Panneau de configuration. Dans la zone de recherche, tapez réseau, puis cliquez sur Centre Réseau et partage. 2. Si vous voyez les mots « Jonction effectuée » à côté de « Groupe résidentiel », c’est que votre ordinateur appartient à un groupe résidentiel. La zone de l’état du groupe résidentiel dans le Centre Réseau et partage Dans un groupe de travail : • Tous les ordinateurs sont des homologues, aucun ordinateur n’en contrôle d’autres. • Chaque ordinateur a un ensemble de comptes d’utilisateur. Pour ouvrir une session sur un ordinateur d’un groupe de travail, vous devez disposer d’un compte sur cet ordinateur. • Il n’y a en général pas plus de vingt ordinateurs. • Un groupe de travail n’est pas protégé par un mot de passe. • Tous les ordinateurs doivent se trouver sur le même réseau local ou le même sousréseau. Dans un groupe résidentiel : • Les ordinateurs d’un réseau domestique doivent appartenir à un groupe de travail, mais ils peuvent aussi appartenir à un groupe résidentiel. Un groupe résidentiel facilite le partage d’images, de musique, de vidéos, de documents et d’imprimantes avec d’autres personnes sur un réseau domestique. • Un groupe résidentiel est protégé par un mot de passe, mais vous ne devez entrer le mot de passe qu’une seule fois, lorsque vous ajoutez votre ordinateur au groupe résidentiel. Dans un domaine : • Un ou plusieurs ordinateurs sont des serveurs. Les administrateurs réseau utilisent les serveurs pour contrôler la sécurité et les autorisations sur tous les ordinateurs du domaine. Cela permet de réaliser plus facilement des changements, car ils sont automatiquement appliqués sur tous les ordinateurs. Les utilisateurs d’un domaine doivent fournir un mot de passe ou d’autres informations d’identification chaque fois qu’ils accèdent au domaine. • Si vous possédez un compte d’utilisateur sur le domaine, vous pouvez vous connecter à tout ordinateur du domaine, sans nécessiter de compte sur cet ordinateur. • Vous ne pouvez généralement apporter que des modifications limitées aux paramètres d’un ordinateur car les administrateurs réseau veulent souvent s’assurer d’une certaine cohérence entre les ordinateurs. • Un domaine peut être constitué de milliers d’ordinateurs. • Les ordinateurs peuvent se trouver sur des réseaux locaux différents. SECURITE DU SYSTEME D’INFORMATION Enjeu : Dans 80 % des cas, ce sont les maladresses internes, (volontaires ou non) ou l’absence de sauvegardes fiables qui sont à l’origine de la perte ou de la destruction d’informations sensibles. Les 20 % restants sont imputables à des actes externes mal intentionnés. Au cours de ces dernières années, le risque sur le système d’information s’est accru avec le développement du travail à distance et des nouvelles technologies. L'entreprise doit concilier la nécessité de communiquer des informations et de préserver certaines d’entre elles en mettant en place une politique de sécurité de son système d’information (SSI). Pour être efficace, la politique de sécurisation du système d’information doit s’appuyer sur la mise en place de moyens techniques mais son efficacité reposera également fortement sur l'organisation du processus dans l’entreprise et sur les comportements individuels. Comment ? Que protéger ? Le système d’information comprend : - le ou les serveurs réseau et des postes de travail informatique (fixes et nomades) ; - les applications (systèmes d’exploitation, suites bureautiques, logiciels métiers …) ; - les infrastructures de communication et de télécommunication (réseaux locaux, liaisons inter-sites, réseau téléphonique, accès Internet, liaison radio …). Les informations sensibles détenues par l’entreprise (Les informations dont la divulgation procurerait un avantage à la concurrence ou aux partenaires ou réduirait Désignation et formation d’un responsable de la sécurité du Système d’Information Formation et sensibilisation permanentes de l’ensemble des salariés à la protection des informations sensibles (Voir fiche sur la sensibilisation du personnel à la protection des informations sensibles) Engagement de la responsabilité des utilisateurs (charte d’utilisation annexée au règlement intérieur ou document qui renvoie au règlement intérieur pour les sanctions – attention aux conditions de mise en place). Implication forte de la direction Etablir une charte avec les règles de bonnes pratiques quant à l’utilisation du Système Informatique - Confidentialité et renouvellement des mots de passe - Verrouillage de l’ordinateur - Gestion des courriers électroniques - Déclaration de tout incident - Sauvegarde et suppression des données les plus anciennes - Installation de tout nouveau logiciel interdite sans autorisation - règles d’utilisation d’internet (téléchargement – participation à des forums…) - etc. l’avantage dont dispose l’entreprise telles que la R&D, les travaux d’innovation, le savoir-faire technologique, le contenu d’offres commerciales, la structure des comptes financiers, les fichiers clients, les projets de développement, le fonctionnement de l‘entreprise…). Les informations les plus sensibles devront faire l’objet de procédures renforcées. Quels sont les risques pesant sur le système d’information ? vols, destruction de données ou de matériel, captations d’information, indisponibilité du système, etc. avec une origine qui peut être externe mais souvent interne (malveillance ou négligence). Quelles sont les vulnérabilités du système d’information ? (modes d’accès au réseau de l’entreprise – protection insuffisante des serveurs et postes de travail, équipements nomades, messagerie non protégée…) Formalisation d’une politique de protection du Système d’Information Quelles procédures de sécurisation du système d’information ? Authentification : Déterminer des droits d’accès au système d’information différenciés selon les responsabilités des salariés et les statuts des autres personnes pouvant avoir accès au système d’information (stagiaires, personnels temporaires, prestataires extérieurs) : qui a le droit de faire quoi ? de savoir quoi ? Gestion des codes d’accès et des mots de passe (attribuer des mots de passe suffisamment sécurisés (agrégat de caractères alphabétiques et numériques), les renouveler régulièrement (tous les 3 mois par exemple), les supprimer lors du départ des individus) ; Configuration des postes par le responsable de la sécurité du système d’information … Sécuriser les informations et le système : Utilisation des logiciels et matériels de sécurité (antivirus, anti-spyware, pare-feu, anti-spam, etc.) pour les serveurs et postes informatiques (fixes et nomades) ; Sécurisation des échanges (Internet - extranet – Wifi ...) par le chiffrement des données les plus sensibles ; Pour les données très sensibles, utilisation de matériel non connecté au réseau ; Application des mises à jour et correctifs des logiciels ; Contrôler régulièrement la configuration des pare-feu ; Veille sur les nouveaux virus, logiciels espions (www.certa.ssi.gouv.fr - www.certist.com). Sauvegarde : Définir le type de données à sauvegarder, selon quelle périodicité, pour quelle durée (obligations légales pour certaines données) – Revoir périodiquement le périmètre de sauvegarde Dupliquer les sauvegardes - Répartir les informations confidentielles sur plusieurs supports Sécurisation des lieux de sauvegardes, conservation des supports mensuels et annuels en dehors de l’entreprise Contrôle du bon fonctionnement des sauvegardes Sous-traitance à un prestataire : s’assurer du cryptage des données sauvegardées chez le prestataire … Contrôle de la bonne utilisation du système d’information par les salariés (Cf. www.cnil.fr pour les conditions d’application) – Le contrôle est nécessaire, l’entreprise étant responsable de la protection de son système d’information. – Ces mesures doivent notamment être transparentes, connues de tous, faire l’objet d’une discussion collective, faire preuve de précision et mesure, définir clairement les procédures concernant les messages privés. Gestion des incidents : Détection des vulnérabilités et anomalies le plus en amont possible Les instances à alerter en cas d’attaque informatique : La Gendarmerie – La DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) – L’OCLCTIC (Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l’information et de la Communication) – le BEFTI (Brigades d’Enquêtes sur les Fraudes aux Technologies de l’Information) - Pour plus d’informations : www.clusif.fr (Portail Cybervictime) ; Prévoir des solutions de secours en cas d’indisponibilité du système informatique (assistance dépannage – mise à disposition de matériel de secours). Recours à la sous-traitance Les 10 points clés du contrat de sous-traitance (source : Guide SSI – Medef 2005) S’assurer de la santé financière du prestataire Veiller au respect de la confidentialité des informations (clauses de confidentialité) Le contrat de sous-traitance 1. Mention dans le document contractuel de l’ensemble des documents (cahier des charges, propositions du prestataire…) - 2. Description précise des prestations - 3. Régime de l’obligation du prestataire (moyens ou résultats) - 4. Prix des prestations (critères d’évolution des prix) - 5. Etablissement du montant des pénalités - 6. Définition du statut et la propriété des matériels et logiciels - 7. Etendue de la responsabilité - 8. Limitation du préjudice réparable - 9. Cession de droits (développement de logiciels par le prestataire) - 10. Juridiction compétente en cas de litige Quels enjeux juridiques ? (les principaux) Risque de mise en cause civile ou pénale de l’entreprise induite par le comportement de ses salariés : L’utilisation malveillante des moyens informatiques et de communications électroniques (messagerie, forums) (contenus diffamatoires à l’égard de tiers par exemple) ; Le téléchargement de documents ouvrant droit à des poursuites pénales (pédophiles, incitation à la haine raciale …) ; La contrefaçon : utilisation de copies illicites de logiciels ou d’œuvres protégées sans autorisation des ayants droits ; Traitement de données nominatives sans autorisation (cf. www.cnil.fr et fiche sur la collecte d’information) ; Le non respect du secret des correspondances privées. En cas de défaut de protection de son système d’information, la responsabilité de l’entreprise peut également être engagée : Par ses partenaires extérieurs (atteinte à leur système d’information, non respect des engagements de livraison, de confidentialité …) ; Par ses actionnaires et ses salariés (mise en cause du dirigeant pour faute de gestion). La responsabilité du chef d’entreprise peut être également mise en cause en cas de non respect des procédures dans la mise en place d’un processus de cybersurveillance des salariés (cf. www.cnil.fr) L’entreprise est soumise à la nécessite de veiller à l'intégrité, la confidentialité, la disponibilité, et la traçabilité de ses informations et de mettre en place les moyens adaptés tant d’un point de vue technique qu’organisationnel (procédures – encadrement du comportement humain). Sites et documents de référence : « Guide sécurité, fiches pratiques », Haut fonctionnaire de défense et de sécurité, ministères de l’Économie et du Budget, 2009 // www.ssi.gouv.fr // Passeport « Protégez votre information stratégique », Préfecture de la région Basse-Normandie, 2010 // Guide pratique du chef d’entreprise face au risque numérique, 3e Forum international sur la Cybercriminalité, 2009 // www.afnor.org (norme ISO 27001 : référentiel pour le management de la certification de la sécurité des systèmes d’information – stratégies – mise en œuvre et bonnes pratiques ; Référentiel de bonnes pratiques « Sécurité des informations stratégiques », 2002) // CLUSIF : Menaces Informatiques et Pratiques de Sécurité en France, 2010 – Maîtrise et Protection de l’Information, juin 2006 (www.clusif.fr) // Sécurité économique : Les bonnes pratiques pour votre entreprise, Comité Opérationnel Défensif à l’Intelligence Economique de Lorraine // Dispositif de Sécurité Economique, Comité Opérationnel de Sécurité Economique de Basse-Normandie // Guide méthodologique de Sécurité économique dans les pôles de compétitivité, INHES // Guide SSI, Medef, 2005 // www.securite-informatique.gouv.fr // Décret n° 2010-112 du 2 février 2010 pris pour l'application des articles 9, 10 et 12 de l'ordonnance n° 2005-1516 du 8 décembre 2005 relative aux échanges électroniques entre les usagers et les autorités administratives et entre les autorités administratives ETUDE DE CAS Cas d’un cabinet comptable. Avantages et inconvénients de chaque architecture Que peut-on améliorer ? L’architecture tient elle compte de la réalité locale, de nos besoins et environnementale ?