Une Symphonie Fantastique

L’Orchestre de Paris et Les Clés de l’écoute présentent
Une Symphonie
Fantastique
CONCERT-SPECTACLE
TOUT PUBLIC
pour
Orchestre Symphonique
© Photos Arnaud Kehon
SOMMAIRE
L’Orchestre de Paris
Les Clés de l’Ecoute
Genèse du projet
pages 4, 5
Propos, Synopsis et texte d’accroche
pages 7
Biographies
pages 8, 10
Les Chefs d’orchestre invités
page 13
Répertoire
et
Fiche technique
page 14
Contacts
page 15
Une Symphonie
fantastique
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L’Orchestre de Paris
L’Orchestre de Paris donne plus d’une centaine de concerts chaque saison, il est
depuis janvier 2015 l’orchestre résident principal de la Philharmonie de Paris.
Il a donné son concert inaugural en novembre 1967 sous la direction de son premier directeur musical, Charles Munch. Herbert von Karajan, sir Georg Solti, Daniel
Barenboim, Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi et Christoph Eschenbach se
succèdent ensuite à la direction de l’ orchestre. Depuis 2010, Paavo Järvi en est le septième directeur musical. L’orchestre inscrit son répertoire dans la tradition musicale
française en jouant un rôle majeur au service des répertoires du xxe et xxie siècles.
Avec le jeune public au cœur de ses priorités, l’orchestre diversifie ses activités pédagogiques (concerts éducatifs ou en famille, répétitions ouvertes, ateliers, classes
en résidence, parcours de découvertes...) tout en élargissant son public. Ainsi, au
cours de la saison 2014/2015, les musiciens initieront plus de 40 000 enfants et
familles à la musique symphonique. L’Orchestre développe aujourd’hui des formes
de spectacles innovantes avec Les Clés de l’Ecoute en vu d’élargir l’horizon de ses
publics.
Les Clés de l’Ecoute
Les Clés de l’Ecoute est le producteur incontournable des médiations musicales
innovantes. Il réalise des spectacles et des concerts éducatifs pour les orchestres,
des concerts interactifs, des projets ambitieux en milieu scolaire, et des applications numériques.
Les Clés de l’Ecoute est aussi un vaste réseau de musicologues, compositeurs, metteurs en scène, danseurs, chorégraphes, dessinateurs, comédiens, concepteurs numériques.
Il travaille avec de nombreux orchestres, salles de spectacles, centres culturels, radios et institutions : Orchestre de Paris, Orchestre de Chambre de Paris, Orchestre
National d’Ile-de-France, Ensemble InterContemporain, Orchestre National de Bordeaux-Aquitaine, Orchestre de Vendée, Auditorium du Musée du Louvre, JMFrance,
Académie de Paris, Éducation Nationale, Editions Gallimard.
Il intègre, en 2012, la résidence CREATIS de la Gaîté Lyrique de Paris, plateforme
consacrée à l’entrepreneuriat et à l’innovation dans les champs culturels.
Il a reçu en 2011 les prix de la Fondation de France et de la Fondation HSBC pour
l’ouverture du monde de l’art aux enfants.
Genèse du projet
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Quand l’Orchestre de Paris a demandé à Géraldine Aliberti, directrice artistique
des Clés de l’écoute, de réaliser un concert d’inaugration famille pour la Philharmonie de Paris le 18 janvier 2015, l’idée de jouer La Symphonie Fantastique a
tout de suite été une évidence. l’Orchestre de Paris créa l’oeuvre en 1830 sous
le nom à l’époque d’Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire.
Mettre en lumière un compositeur français, ambitieux tel Berlioz ne pouvait qu’honorer cet évènement tant attendu que fut la découverte de la nouvelle salle de la Philharmonie de Paris. Aujourd’hui, l’Orchestre de Paris et
Les Clés de l’Ecoute s’associent pour faire rayonner leurs créations «Tout Public», et aborder une nouvelle ère pour la musique classique et le jeune public.
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fantastique
Propos
Un concert éducatif tout public
Connaitre le contexte de création de l’oeuvre, découvrir son compositeur avec ses
désirs, ses peurs, ce qu’il entend intérieurement avant de coucher ses idées sur le
papier, décuple le plaisir d’écoute de l’oeuvre.
Découvrir tous les secrets de fabrication permet de mieux apprécier l’oeuvre tel un
joaillier se pâmant devant les angles parfaits d’un diamant.
Le concert éducatif mis-en-scène offre au public une connaissance et une écoute
subtile de l’oeuvre, en lui donnant à entendre toutes ces subtilités qu’il n’avait pas
soupçonnés.
La valeur de l’oeuvre et son intérêt s’en trouvent multipliés.
Synopsis
Paris, Septembre 1827.
Berlioz sort du théâtre de l’Odéon totalement bouleversé par Hamlet de Shakespeare, et éperdument amoureux de l’actrice incarnant Ophélie, la comédienne irlandaise Harriet Smithson. Il est décidé : son nom rayonnera aussi loin que le sien.
Il se lance alors avec passion dans l’écriture de ce qu’il envisage comme la plus
grande oeuvre symphonique du siècle, sa Symphonie Fantastique.
Nous sommes face à un Berlioz complètement survolté, dans sa petite chambre,
sans le sou, imaginant des timbales à lui faire exploser la tête et des sons que l’on
n’a encore jamais entendu.
L’orchestre est sa conscience, son imagination, l’oeuvre est en train de germer et
de grandir devant nous. Nous sommes dans son esprit assistant à ses idées, ses
erreurs, ses fantômes, et bientôt son Songe d’une nuit de sabbat, véritable délire
musical et fantasmagorique où les rires de sorcières et sifflements de serpents se
bousculent.
Texte d’accroche
Je vous raconterai pourquoi j’ai rêvé mille fois de mon amour et par quelles notes
de musique cet amour m’entête. Je voudrais aussi vous dire que les trombones
sonneront mon arrêt de mort, me conduisant au supplice, et puis non ! Car tout
cela n’est qu’un rêve, n’est-ce pas ? « Fantastique » veut-il bien dire irréel, imaginaire
? Mon rêve à moi, je vous le raconterai au son de trompettes tonitruantes, d’un
hautbois fou, de flûtes moqueuses, et de violons rugissant mon rêve fou et mon
terrible cauchemar... Je veux écrire ma symphonie fantasmagorique, une symphonie fantastique !
Le spectacle repose sur un texte écrit d’après les Mémoires de Berlioz, par Géraldine Aliberti et Victor Gauthier-Martin.
Lien vers le teaser du spectacle
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Biographies
GÉRALDINE ALIBERTI Direction artistique
Compositrice et musicologue diplômée d’un Master à Paris IV-Sorbonne, et des
conservatoires de la Ville de Paris en piano, musique de chambre et écriture, Géraldine Aliberti transmet la mu- sique à travers des formes innovantes de spectacles,
de concerts éducatifs et interactifs, ou dans le domaine du numérique. Elle travaille
en 2005 pour Mezzo-tv, puis intègre en 2006 la Cité de la Musique, puis assure la direction artistique des Jeunesses musicales de France en 2012. Elle est compositrice
associée aux Éditions Gallimard-Musique pour la collection Écoutez-Lire, et a créé
de 2011 à 2014 neuf spectacles intitulés « Les laboratoires musicaux » pour l’Auditorium du Louvre, avec la compagnie Les Clés de l’écoute. Elle conçoit aujourd’hui
les concerts Famille et Jeune Public de l’Orchestre de Paris à la Philharmonie de Paris et des orchestres partenaires des Clés de l’écoute. Convaincue que la pédagogie
est un art, son travail tente de changer les codes du concert éducatif.
VICTOR GAUTHIER-MARTIN Mise en scène
Ancien élève du Conservatoire national supérieur d’Art dramatique et de l’ERAC
(Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes), titulaire d’une bourse Lavoisière, Victor
Gauthier-Martin suit d’abord un parcours de comédien au Everyman Theater de
Cheltenham, puis au London Academy of Music and Dramatic Art. Avec des artistes
tels Sébastien Bournac, Jean-François Peyret, Benoît Bradel, Pascal Rambert, Alain
Françon et Jean Liermier. Il développe son sens de la mise en scène aux côtés d’
Ariane Mnouchkine, Manfred Karge à Berlin ou Krystian Lupa à Cracovie. Depuis
2003, il met en œuvre ses projets de mise en scène au sein de Microsystème, une
compagnie associée à la Comédie de Reims et au Théâtre de Chelles depuis 2011.
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Il y cré Le Rêve d’un homme ridicule de Fedor Dostoïevski (2004) avec Régis Royer,
Gênes 01 de Fausto Paravidino (2007), Genoa/Us d’après Gênes 01 (2008) à New
York, Le Laveur de visages de Fabrice Melquiot (2009), Round’up, et enfin L’Enfant-Roi de Clémence Barbier. En 2013, il rejoint le collectif Les Clés de l’écoute,
pour travailler sur les moyens de marier la musique à la mise en scène, avec le projet Peer Gynt Numérique.
RÉGIS ROYER Comédien
Formé au Conservatoire national d’Art dramatique, Régis Royer joue dans plusieurs
mises en scène de Roger Planchon : Le Triomphe de l’amour de Marivaux, La Dame
de chez Maxim’s de Feydeau ou Un lourd destin de Charles Juliet. Il travaille avec
Georges Lavaudant dans l’opéra Impressions d’Afrique de Raymond Roussel et
Ulysse matériaux, La Vie de Timon d’après Shakespeare et Gênes 01 de Fausto Paravidino, deux pièces mises en scène par Victor Gauthier-Martin, Le Balcon de Genet
mis en scène par Jean Boillot, Lola, rien d’autre ou La Madone aux poubelles de et
mis en scène par Jacques Lassalle ou encore Du mariage au divorce de Feydeau
mis en scène par Alain Françon avec qui il avait déjà travaillé dans Platonov de
Tchekhov, et La Noce de Brecht mise en scène par Patrick Pineau. Début 2014, il
joue au coté d’Anne Alvaro dans Femme non-rééducable de Stefano Massini sous
la direction d’Arnaud Meunier et est actuellement en tournée avec III de Philippe
Malone (mise en scène dePatrick Sueur et Paule Groleau). Acteur pour la télévision
sous la direction de Elisabeth Rappeneau, Denis Granier-Deferre ou Alain Tasma,
il joue au cinéma, entre autres dans La Lectrice de Michel Deville, Arthur, Adèle
Blanc-Sec et Malavita de Luc Besson, et interprète Lautrec dans le film éponyme
de Roger Planchon.
XAVIER MAILLEZ ET ANTOINE GÉRÉ Video designers
Antoine Géré et Xavier Mailliez sont deux jeunes vidéo designers et réalisateurs
français. Ils se dirigent vers l’image en mouvement, le motion design puis le
video-mapping. Depuis une dizaine d’années, ils mettent toute leur expérience au
service des plus grands événements mondiaux. Parmi leurs réalisations, le bicentenaire de l’indépendance du Mexique, Place du Zocalo à Mexico, les 120 ans de la
Tour Eiffel à Paris, les XVIIe Jeux Méditerranéens de Mersin en Turquie ainsi que les
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XXIIe Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi. En 2014, ils rejoignent le collectif Les Clés
de l’écoute, pour mettre l’image au service de la musique. C’est le point de départ
d’une réflexion sur la transmission de la musique aux jeunes générations.
chambre d’étudiant en 1830
PATRICK PLEUTIN Peintre-assemblier
board à la philharmonie de paris- Patrick Pleutin _20 janvier 2015
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Patrick Pleutin a étudié à l’École supérieure Estienne à Paris. Peintre et artiste multimédia, il a été invité en 2010, par la Comédie de Clermont-Ferrand
à intervenir en direct avec le danseur- chorégraphe Dominique Boivin. C’était
la première fois que son geste de peinture, par des images projetées, entrait
en résonance avec l’énergie de la musique, de corps en mouvement et de
l’espace. Un travail dans le prolongement de son film d’animation Bâmiyân
(Prix Scam 2009 de l’œuvre d’art numérique). Depuis plus de trois ans, il scénographie régulièrement les concerts pédagogiques de l’Orchestre de Paris
: en 2012 il peint en direct Salle Pleyel sur Color de Dalbavie ; « Autour des
Tableaux d’une exposition » de Moussorgski, et Ravel en 2013. Il peint ainsi
en direct avec les cent- vingt musiciens de l’Orchestre de Paris, donnant le
sentiment d’un cent vingt-et-unième musicien sur scène qui joue la partition.
Prochainement, pour le dimanche 19 avril 2015, Il a imaginé et conçu la boîte
à outils du Réparateur d’orchestre, Stéphane Varupenne.
PHILIPPE BERTHOMÉ Lumières
Formé à l’École supérieure d’Art dramatique du Théâtre National de Strasbourg,
Philippe Berthomé crée en 1994 les lumières de Vole mon dragon d’Hervé Guibert (mise en scène Stanislas Nordey) pour le Festival d’Avignon. S’ensuivent de
très nombreuses collaborations theâtrales, mais Philippe Barthomé éclaire aussi de
nombreuses mises en scène d’opéra. Pour Stanislas Nordey, il signe les lumières de
Pierrot Lunaire de Schoenberg, Le Rossignol de Stravinski dirigés par Pierre Boulez
au Théâtre du Châtelet en 1997, Les Trois Sœurs de Peter Eötvös au Staatsoper de
Hambourg en 1999, Jeanne au bûcher d’Honegger au Festival de la Ruhr Triennale 2003, Saint-François d’Assise de Messiaen à l’Opéra-Bastille en 2004, Pelléas
et Mélisande de Debussy à Salzbourg (2006) et au Royal Opera House du Covent
Garden de Londres, Melancholia de Haas au Palais Garnier en 2008 et Lohengrin de
Wagner à Stuttgart en 2009. Pour Jean-François Sivadier, il crée à l’Opéra de Lille les
lumières de Madame Butterfly de Puccini en 2004, Wozzeck de Berg en 2007, Les
Noces de Figaro de Mozart en 2008, Carmen de Bizet en 2010, Le Couronnement
de Poppée en 2012, Le Barbier de Séville en 2013. Et aussi Traviata avec Natalie
Dessay à l’Archevêché du Festival d’Aix en 2011. Pour Eric Lacascade, il éclaire La
Vestale au Théâtre des Champs-Elysées en 2013. Plus récemment, il collabore avec
Mariame Clément pour les lumières du Chevalier à la Rose à l’Opéra du Rhin en
2012, Hansel et Gretel au Palais Garnier en 2013. Enfin, Philippe Berthomé éclaire
les derniers tours de chant Enfants d’hiver et Jane Via Japan de Jane Birkin, CIELS
de Wajdi Mouawad au Festival d’Avignon 2009.
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Géraldine Aliberti
& Bruno Ribeiro présentent
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Les chefs invités
ANDREI FEHER, chef d’orchestre
Depuis le début de cette saison, Andrei Feher occupe le poste de chef assistant de
Paavo Järvi à l’Orchestre de Paris. Né en Roumanie dans une famille de musiciens,
Andrei Feher commence le violon à 7 ans. À son arrivée au Québec à l’âge de 13
ans, il étudie à l’École Joseph-François Perrault, dotée d’un orchestre symphonique.
De 2006 à 2013, il étudie le violon au Conservatoire de musique de Montréal. Intéressé et passionné par la direction d’orchestre, il dirige la Marche Hongroise d’Hector Berlioz lors d’un concert à Nantes avec l’orchestre de Joseph-François Perrault
en 2008. En 2011, il participe à un atelier de direction d’orchestre avec Gilles Auger
au Conservatoire de Québec. L’année suivante, il est sélectionné pour un stage au
Centre national des Arts à Ottawa avec Kenneth Kiesler. À partir de 2011, il étudie
la direction d’orchestre auprès de Raffi Armenian, chef et directeur du Conservatoire de Montréal. Au printemps 2012, il forme l’Orchestre des Artistes avec lequel
il dirige le Sacre du Printemps de Stravinski et la Symphonien°5 de Tchaïkovski. En
novembre 2012, il remporte l’audition pour le poste de chef assistant en résidence
à l’Orchestre symphonique de Québec auprès de Fabien Gabel. En 2013, il est nommé directeur musical de l’Orchestre de la faculté de musique de l’Université de Laval. En 2013, il est chef invité au Festival international « Young Prague » et dirige le
concert de clôture avec l’Orchestre philharmonique de chambre de Bohême du
Sud. À l’invitation de Yannick Nézet-Séguin, il dirige également l’Orchestre Métropolitain de Montréal à plusieurs occasions.
CHRISTOPHE MANGOU, chef d’orchestre
Invité régulier de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse depuis plusieurs
saisons, la collaboration de Christophe Mangou avec l’orchestre s’étend, depuis la
saison 2012-2013, à l’élaboration de son projet pédagogique. Lors de la saison 20152016, il dirigera une vingtaine de représentations, parmi lesquels un concert très
original dédié au compositeur multi instrumentiste Frank Zappa.
Lauréat du célèbre concours Donatella Flick à Londres en 2002, Christophe Mangou
se voit attribuer le titre de chef assistant du London Symphony Orchestra pendant
deux ans. Il est ainsi amené à travailler avec le chef principal Sir Colin Davis et les
chefs invités de ce prestigieux orchestre, entre autres, Bernard Haitink, Mariss Jansons, Michael Tilson Thomas, Antonio Pappano, Sir John Eliot Gardiner, Emmanuel
Krivine... Il dirige aujourd’hui de nombreux orchestres, en France et à l’étranger.
Tout en poursuivant sa carrière de chef classique, Christophe Mangou, musicien
éclectique, s’attache à développer des projets fondés sur des collaborations originales entre musiciens classiques, Jazzmen, et autres artistes d’horizons différents...
Notamment, depuis septembre 2012, il collabore avec Jeff Mills, DJ de renommée
mondiale, sur ses différents projets.
Pour enrichir son champ d’expression, il se forme depuis 2004 au « Soundpainting »,
technique de composition en temps réel basée sur de l’improvisation dirigée, permettant de repousser les « frontières » apparentes entre ces différents mondes artistiques, et crée à Paris l’ensemble Amalgammes (www.ensemble- amalgammes.fr).
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Répertoire
deuxième mouvement «Un Bal»
extrait troisième mouvement «Scène aux Champs»
Quatrième mouvement «La marche au supplice»
Cinquième mouvement «Le songe d’une nuit de Sabbat»
Durée
1 heure
Public
Tout Public
Scolaires
à partir du CE2, programme parfaitement adapté aux collèges et lycées
Répétitions
Répétition technique
Répétition générale avec l’orchestre souhaitée
Fiche technique
. Micro casque HF
Halo de lumière sur le chef sur le final (songe une nuit de sabbat)
. Poursuite
- lampes pupitres
Matériel videomapping
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-
1 vd Christie 18K, avec objectif 4.1/6.9
-
1 modulo serveur par flux avec pupitre de commande
-
1 pupitreur + 1 technicien video
Lumière : Console Grand M.A.2
-
1 pupitreur
-
1 pupitreur Ph. Berthomé
Régie
-
4 personnes requises
Contacts
DIRECTION ARTISTIQUE
Géraldine Aliberti
+33 (0)6 84 24 95 72
[email protected]
ADMINISTRATION ET PRODUCTION
Vaidehi Nota
+33 (0)6 30 56 90 97
[email protected]
DÉVELOPPEMENT SPECTACLE VIVANT
Matthieu Lescure
+33 (0)6 61 53 03 01
[email protected]
DÉVELOPPEMENT NUMÉRIQUE
Guillaume Terrien
+33 (0)6 59 25 42 79
[email protected]
Lien vers le teaser du spectacle
Une Symphonie
fantastique
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www.lesclesdelecoute.org
Les Clés de l’Ecoute font partie de CREATIS,
résidence d’entrepreneurs culturels de la Gaîté Lyrique
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M° Réaumur Sébastopol
Les Clés de l’Écoute
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