Salon de Provence, le 27 Janvier 2006 - Académie d`Aix

Transcription

Salon de Provence, le 27 Janvier 2006 - Académie d`Aix
N/Réf. : MM/SL
Salon,
Le 16 novembre 2007
Compte rendu de réunion
de la Commission T.I.C.E.
Date
Mardi 13 novembre 2007 de 9 h à 12 h
Lieu
Collège Lucie Aubrac - Eyguières
Présents
Patrick BOISTEL
Marc BOUVART
Eric COMBELLES
Valérie DECARRIERE
Stéphanie LEPARMENTIER
Marie-Lucie MAS
Matthieu MORETTI
Denis REGAUD
Erick TRINCA
Point Ac@r.
Principal adjoint – Collège Joseph d’Arbaud – Salon.
Principal adjoint – Collège Lucie Aubrac – Eyguières.
Proviseur adjoint – LGT Adam de Craponne – Salon.
Assistante du Bassin.
Principale – Collines Durance – Mallemort.
Principal adjoint – Collège Françoise Dolto – Saint Andiol.
Point Ac@r.
Principal adjoint – Collège Jean Bernard – Salon.
1. Le B2i, Brevet Informatique et Internet en collège et en lycée
Le B2i est généralisé au collège et étendu au lycée. L'arrêté du 14 juin 2006 (B.O n°29 du 20 juillet
2006) définit les connaissances et compétences exigibles pour l'obtention du B2i. Cette année, le B2i
collège rentre dans le cadre de l'évaluation du socle commun et sera obligatoirement pris en compte
dans l'obtention du diplôme national du brevet (B.O n°22 du 7 juin 2007). Les chefs d'établissement ont
donc l'obligation de veiller à ce que la totalité des élèves de 3ème ait été évaluée en vue de l'obtention du
B2i.
o La validation du B2i
Présentation du bilan 2006/2007 par Patrick BOISTEL (voir document PowerPoint joint).
Le B2i peut être validé de la 6ème à la 3ème par un nombre d’enseignants significatif dans la
quasi totalité des disciplines. Matthieu MORETTI précise que la validation peut se dérouler sur
un principe pluriannuel, par niveau et par équipe pédagogique. Il est envisageable de valider 20
% des items (soit 9) dès la 6ème. Cependant, la répartition des items par niveau relève de la
responsabilité pédagogique des établissements.
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Proposition de répartition de la validation : par le conseil pédagogique ou par les
professeurs coordonnateurs de discipline (voir documents joints).
Dans le Bassin de Salon, tous les établissements ont intégré la base de données Elèves /
Professeurs Gibii sur laquelle doit s’effectuer la validation du B2i. Si l’établissement utilise
IACA, il n’y a alors pas de problème de mot de passe et de login. Toutefois attention, il peut y
avoir quelques doublons dans l’Académie. En règle générale, c'est le professeur coordonnateur
TIC ou l'ATI qui effectue l'intégration des bases.
La validation du B2i s’effectue en fonction du paramétrage établi sous Gibii dont la
responsabilité revient à l’équipe de Direction des établissements. A cet effet et pour tout
problème rencontré, le point Ac@r dispose d’un fichier HTM.
Plusieurs méthodes sont pratiquées. Soit un professeur valide une compétence, soit plusieurs
enseignants valident le même item. Une validation collégiale peut être source de difficultés,
c’est à l’établissement de choisir le paramétrage qui lui convient le mieux, mais une fois qu'un
item est validé, il n’y a plus moyen de faire marche arrière. Or, une compétence est
véritablement acquise quand elle est vue, au moins, dans deux contextes pédagogiques
différents. Cette mise en œuvre peut être problématique dans la gestion des priorités des
établissements, d’où l’importance de la stratégie du paramétrage.
Si les statistiques sous Gibii ne correspondent pas à la réalité, d’une part, il se peut que
certains enseignants n’aient pas procédé immédiatement à la validation dans la base de
données et d’autre part, que la saisie des élève en provenance d’une autre académie ou d’un
autre bassin n'ait pu être effectuée, l’établissement doit donc demander la feuille de position à
l'établissement d'origine et renseigner Gibii..
Pour exemple, Matthieu MORETTI imprime en début d'année l’ensemble des feuilles de
position des élèves de son collège, pour les mettre à la disposition des enseignants. Les
professeurs qui n’ont pas le temps d’aller sur Gibii peuvent dans un premier temps cocher
manuellement les validations sur ces documents « papiers », ils régulariseront ensuite plus tard
la base de données. C'est pour cette raison qu'il peut y avoir un décalage entre l'état réel de la
validation au sein des établissements et l'état de la validation sur Gibii.
Cette année sur le Collège de Saint Andiol, la validation en 4ème et 3ème intègrera l’auto
évaluation des élèves. Le principe de l'auto évaluation pour les classes de 6ème et de 5ème
semble plus difficile à mettre en place du fait d'une moindre autonomie des élèves.
Le Recteur souhaite que le B2i lycée soit mis en œuvre dès la 2nde pour effectuer les validations
en 1ère, puisque le B2i n’est pas encore obligatoire pour le baccalauréat.
Le plus souvent, ce sont les A.T.I qui assurent l’installation et l’intégration des données sur
Gibii. Marie-Lucie MAS souhaite que le rôle des A.T.I. soit, de façon générale, mieux formalisé.
Le point Ac@r note que les deux Bassins de Salon et d’Arles/Tarascon sont plutôt en avance
sur l’état des validations dans l’académie.
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Quelques outils de suivi sont proposés aux équipes de direction :
https://pedagogie.ac-aix-marseille.fr/gibii/outils/analyseacad/
https://pedagogie.ac-aix-marseille.fr/gibii/outils/analyseacad/discip.php
Plusieurs documents utilisés dans divers établissements sont proposés en documents joints.
Les formations
Le DAFIP propose des stages sur le B2i collège et lycée, il reste encore quelques places. Sur le
Bassin, seuls les lycées Adam de Craponne à Salon et le collège Collines Durance à Mallemort
ont demandé ce stage.
La mise en pratique du B2i avec l’équipe éducative
Matthieu MORETTI donne quelques exemples de pratiques : La répartition de la validation est
définie en concertation avec les professeurs coordonnateurs de disciplines. Elle est totalement
ancrée dans les programmes et doit se faire dans le cadre de la pratique pédagogique. Par
exemple, l’item correspondant à l'utilisation du tableur est validé en 4 ème et pris en charge par le
professeur de mathématiques. Les enseignants des matières artistiques valident les items
faisant référence à l'utilisation de la photo, du son et de la vidéo. Les items relatifs aux droits,
aux obligations en matière d'usage des TICE sont pris en charge par le professeur en
éducation civique.
Des difficultés peuvent se présenter pour l'instauration du B2i. La mise en place d'un dispositif
global prend du temps. Il faut donc y aller par étapes, en tenant compte des conditions
matérielles et des usages. On peut tout à fait s'appuyer sur un petit noyau dur, dans un premier
temps, et faire évoluer son dispositif. Une large concertation doit être menée avec les équipes
en leur faisant comprendre qu'il ne s’agit pas là d’un travail supplémentaire mais d’une
modification des pratiques dans une démarche pédagogique plus globale.
A terme, on peut, dans sa discipline, dans le cadre des programmes, travailler par exemple sur
l'éducation à la sécurité routière et valider une ou plusieurs compétences du B2i.
Au collège Françoise Dolto, l'équipe des professeurs coordonnateurs et le comité de pilotage
TICE se réunit en début d'année. Ils définissent ensemble la répartition pluridisciplinaire des
items du B2i avec l’objectif de diminuer la charge de travail des professeurs de technologie. Le
professeur principal doit transmettre ensuite l’information à l’équipe pédagogique pour que
chaque enseignant choisisse le ou les items qu’il souhaite valider. Le dispositif doit pouvoir se
mettre en place à la rentrée des vacances de Toussaint.
En ce qui concerne les classes de 3ème, les professeurs de technologie profitent du planning
aménagé pour les révisions du DNB, en fin d’année, pour revoir avec les élèves l'intégralité de
la validation des items du B2i, même s’ils ont déjà été validés. Les attestations sont délivrées à
ce moment et distribuées aux élèves.
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Un constat est fait, l'implication de l’Equipe de Direction est fondamentale pour la réussite du
dispositif. Elle doit assurer un pilotage régulier, diffuser l'information auprès des équipes, des
élèves et des parents, doit être présente pour que la dynamique ne s’essouffle pas,
accompagner les équipes avec le comité de pilotage TICE.
La problématique des lycées est différente, car bien que l’outil informatique soit plus développé
que dans les collèges, peu de matières peuvent se prêter à la validation des items du B2i. Une
phase d’expérimentation a débuté l’an dernier aux lycées Adam de Craponne.
Le point Ac@r transmettra des statistiques aux lycées après chaque rentrée de congés
scolaires et reste à l’écoute de leurs besoins.
La question de la réunion éventuelle des deux bassins, dans le cadre du B2i lycée, pour obtenir
un groupe de 7 lycées au lieu des 3 du Bassin de Salon a été posée.
Dans un premier temps, la réponse est négative car les spécificités et les expérimentations sont
différentes d’un établissement à l’autre, toutefois dans un second temps, une consultation
pourrait être mise en place pour identifier les attentes et les actions communes envisageables.
Marie-Lucie MAS propose d’avoir aussi recours aux corps d’inspection pour inciter les
enseignants à s’impliquer.
L’implication des parents est aussi une piste de travail, il est possible de leur transmettre
l’adresse internet où leur enfant pourra visualiser l’état de ses validations. Une impression
papier pourrait aussi être jointe aux bulletins scolaires. Cette impression de la feuille de
positionnement est une application proposée par Gibii. Le Conseil d’Administration doit être
informé du dispositif mis en place et de son évolution.
2. Le TBI, Tableau Blanc Interractif
Présentation du bilan 2006/2007 par Patrick BOISTEL et des perspectives pour 2007/2008 (voir
document joint).
Frédérique POLI HANQUIER travaille avec les fournisseurs des TBI pour l’Académie. Ces derniers
proposent un pack de services : installation du matériel, une mini formation, un service de prêt.
Les fournisseurs agréés, Speechi, Prométhéan, Smart Board et Minio, proposent chacun des matériels,
fixes ou mobiles, répondant aux besoins pédagogiques.
Pour les établissements non pourvus de TBI, il est possible d’en obtenir un en prêt pour trois semaines.
Pour cela, il suffit de remplir le formulaire en ligne sur le site pédagogique du rectorat ou également
prendre l'attache du point Ac@r.
Des formations à l’usage des TBI sont disponibles dans le PAF, à titre individuel et collectif.
Pour le bassin de Salon, 7 établissements ont déjà été financés par le rectorat, 5 établissements ont
financé l'acquisition sur fonds propres.
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Dans le cadre des projets TICE 2007/2008, 5 établissements du bassin ont reçu des financements pour
l'acquisition de TBI : lycées Adam de Craponne, les collèges Joseph d’Arbaud, Jean Moulin et
Françoise Dolto. Le lycée de l’Empéri, les collèges Collines Durance, Mont Sauvy, Roger Carcassonne
et Lucie Aubrac ne sont pas encore équipés. Le collège Jean Bernard a 2 TBI. Enfin, le point Ac@r
relève que les établissements qui avaient des TBI ont décidé d'en acquérir de nouveaux. Nous
observons que le taux d'équipement en TBI a considérablement augmenté durant ces deux dernières
années, grâce aux financements apportés par le rectorat et par le CG 13.
Par contre, en ce qui concerne les usages, il est difficile d’obtenir des documents relatant les pratiques
des enseignants et à fortiori de les diffuser. Marie-Lucie MAS précise que certains enseignants, non
habitués à l’outil informatique, peuvent considérer le TBI comme une surcharge de travail avec la
préparation des séquences pédagogiques. Dans ces conditions, quelle est la plus value pédagogique ?
Y a-t-il des professeurs référents dans le Bassin susceptibles d'apporter une aide méthodologique et
didactique aux collègues intéressés ?
Le point Ac@r propose une journée de formation sur les TBI (échange de pratiques et/ou animation)
par l’intermédiaire de la DAFIP, avec des utilisateurs référents. Matthieu MORETTI propose d'envoyer
un courriel à l’ensemble des établissements pour connaître leurs besoins en formation. Si le nombre de
participants est suffisant, il serait envisageable de procéder à des formations par discipline ou par
groupe de disciplines. Il est également possible de mutualiser les pratiques en collèges et en lycée.
La commission propose qu’une fiche d’usage soit établie par les enseignants après chaque formation
de manière à alimenter un fond documentaire et mutualiser les pratiques.
Nous souhaiterions que les collèges Jean Moulin et Louis Leprince Ringuet, établissements pilotes en
matière d'utilisation des TBI puissent présenter, au cours de la prochaine réunion de la Commission
TICE, un bilan sur les usages et les pratiques liées à l'utilisation des TBI.
3. Ordina 13
Les nouvelles orientations du dispositif Ordina 13 entraînent des modifications importantes dans
l'utilisation pédagogique des TICE au sein des établissements.
Le principe de don des ordinateurs portables aux élèves, ainsi que des clés USB pose des problèmes
en matière d'utilisation et également en matière de sécurité informatique. Cette nouvelle donne nous
oblige à revoir les conditions d'utilisation de ces différents outils.
La plupart des établissements représentés à la commission TICE ont pris la décision d'interdire
l'utilisation des ordinateurs portables des élèves au sein même des collèges. Plusieurs raisons à cela.
En premier lieu, le matériel informatique a été donné à l'élève, sous la responsabilité de ses
représentants légaux, pour un usage strictement privé. La clé USB fait partie des accessoires du
portable, elle est donc réservée également à un usage privé. En second lieu, les ordinateurs élèves
sont équipés de Windows Vista et cela semble poser d'importants problèmes vis à vis de nos réseaux
informatiques, sans oublier le fait qu'ils n'ont pas été équipés de logiciel antivirus.
Le dispositif Ordina 13 prévoit un poste informatique pour cinq élèves avec un renouvellement tous les
cinq ans du parc des postes fixes. Nous avons été destinataires d'un courrier du CG 13 relatif à
l'équipement en classes mobiles et matériels divers. Les établissements devaient, avant le 16
novembre, faire remonter leurs besoins auprès du service d'informatisation des collèges.
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Le choix des classes mobiles n'apparaît pas évident (classe entière, demi classe). Techniquement, il
faut prévoir environ 10 minutes pour l’installation du matériel et autant pour son rangement. L'utilisation
de ces classes ne peut donc être efficace et optimale que sur un créneau horaire de 2 heures.
L’autonomie du portable peut poser des problèmes d'utilisation régulière. Un autre paramètre est à
considérer, celui de l’ergonomie du chariot (poids important, problèmes de mobilités en cas d'absence
d’ascenseur dans certains établissements, etc…). Faut-il l’utiliser en poste fixe ou dévolu à une ou deux
disciplines ? Le point Ac@r suit l’expérimentation d’une classe mobile dans le bassin.
Ces changements imposent donc de faire les bons choix, de rationaliser l'utilisation de l'ensemble des
équipements, de manière à offrir aux élèves et aux équipes les meilleures conditions de travail.
En ce qui concerne les clés USB, il faut être extrêmement vigilants. Les portables des élèves ne sont
pas équipés d’anti-virus, ainsi les clefs USB peuvent contenir des virus ou des fichiers indésirables de
toutes sortes. Denis REGAUD a rédigé un document (joint) sur les problèmes posés et les démarches à
engager. Il paraît nécessaire d'insister sur ce point auprès des élèves et cela implique de mettre en
place une politique antivirale efficace.
L’administrateur réseau peut paramétrer le réseau de manière à bloquer certains fichiers indésirables
(par exemple les fichiers MP3). La vérification éventuelle du contenu d'une clé USB suspecte doit être
bien encadrée. Les jurisprudences sont déjà nombreuses à ce sujet. D'un point de vue réglementaire,
l’usage de ces clefs doit être stipulé dans le règlement intérieur et dans la Charte Informatique en
précisant comme préalable que seul un contenu à usage pédagogique est autorisé. Le point Ac@r fera
parvenir aux établissements un modèle de texte dès qu'il aura été validé par le service juridique du
rectorat.
De façon générale, nous observons que ces nouvelles dispositions d'Ordina 13 représentent une perte
sèche pour la plus-value pédagogique et provoquent une certaine désorganisation au sein des
établissements dans le domaine de l'utilisation de l'outil l’informatique. Les classes mobiles et
équipements divers ne permettront plus de travailler aussi efficacement et aussi régulièrement avec les
élèves, même si les conditions de travail demeurent satisfaisantes au regard des collègues des autres
départements.
Enfin les membres de la commission rappellent qu’environ 1/3 des chargeurs des portables des élèves
et des portables prêtés aux professeurs ne fonctionne plus. Les élèves continuent de se rapprocher des
collèges alors qu'ils ne sont plus compétents et que le service après vente dépend du Conseil Général.
Celui-ci a demandé aux ATI de s'occuper du remplacement des batteries défectueuses des élèves et
des professeurs intéressés.
En ce qui concerne l'équipement en ordinateurs portables des établissements, ceux-ci ont, pour la
plupart, fait signer des conventions de prêt. Le matériel n’est restitué qu’au moment du départ des
enseignants de l’établissement. Le collège Françoise Dolto fait établir un bon de prêt et un bon de
restitution. La procédure est suivie par l’intendance, qui possède une liste nominative. Comme le
collège ne peut pas doter tous les enseignants en portables, chacun a adopté des modalités de prêt
particulières, en conservant le plus souvent les principes antérieurs. Au collège Françoise Dolto, le prêt
se fait en fonction de plusieurs critères définis en comité de pilotage TICE (priorité aux enseignants de
4ème et de 3ème, fréquence des usages pédagogiques, enseignants à plein temps). Deux ordinateurs
portables n'ont pas été distribués afin de satisfaire des besoins spécifiques (ex : besoins pédagogiques
des stagiaires IUFM, utilisation du vidéo-projecteur de l'amphithéâtre, conférence, etc…).
Un point précis de l'utilisation des classes mobiles sera fait lors de la prochaine réunion de la
commission.
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4. Comité de Pilotage
La constitution et le fonctionnement des comités de pilotage TICE, en lien avec le conseil pédagogique
est indispensable pour mener une véritable politique éducative et pédagogique en matière d'utilisation
des outils informatiques.
Le point Ac@r propose de faire remonter les compositions des comités de pilotage des établissements
et les thèmes des réunions.
5. Volets TICE 2007/2008
Dans l'Académie d'Aix-Marseille, 291 projets ont été proposés pour une enveloppe globale de
450 000 €. Sur le bassin d'Arles-Tarascon, 26 projets ont été proposés pour une enveloppe de
36 000 €.
Cette année, sur le bassin, 15 établissements seront accompagnés financièrement et en terme de suivi.
De façon générale, le point Ac@r note une évolution des financements affectés vers du matériel
innovant, en particulier pour l'acquisition de TBI, plutôt que vers l'acquisition de logiciels pédagogiques
ou de ressources numériques.
Le fort développement et l'utilisation croissante de ressources libres et gratuites rendent moins
nécessaire l'acquisition de logiciels ou ressources pédagogiques spécifiques. De plus, le coût de ces
ressources numériques est toujours trop élevé, voire prohibitif dans certains cas.
L’assistante du bassin
Stéphanie LEPARMANTIER
L'animateur de la commission
Matthieu MORETTI
PJ :
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Diaporama PowerPoint sur la réunion TICE du 12/11/2007 préparé par Patrick BOISTEL et
Denis REGAUD – Point Ac@r
Information sur les clés USB par Denis REGAUD – Point Ac@r
Fiche méthodologique et répartition de la validation du B2i au collège Françoise Dolto – St
Andiol
Répartition de la validation du B2i au collège Mont Sauvy – Orgon
Répartition de la validation du B2i au collège Jean Moulin – Salon
Tableau récapitulatif des compétences pour le B2i du collège Joseph d’Arbaud - Salon
Mode d’emploi Gibii du collège Jean Bernard - Salon
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