DOMINGO HINDOYAN COHEN / DVOŘÁK TCHAÏKOVSKI
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DOMINGO HINDOYAN COHEN / DVOŘÁK TCHAÏKOVSKI
1 € RENCONTRE AVEC… DOMINGO HINDOYAN MERCREDI 14 OCTOBRE 2015 (18H30) LES SOIRÉES DE L’ORCHESTRE : GRANDS INTERPRÈTES COHEN / DVOŘÁK JEUDI 15 OCTOBRE 2015 (20H) VEN 16 OCT. 2015 (20H) - SAINT-VITH, KKM TRIANGEL, DANS LE CADRE DE L’OSTBELGIENFESTIVAL LEKEU, Ophélie V. 22 (2e version) (1890) (extrait de la Seconde Étude Symphonique) → env. 10’ DVOŘÁK, Concerto pour violoncelle et orchestre en si mineur op. 104 (1894-1895) → env. 40’ 1. Allegro | 2. Adagio ma non troppo | 3. Allegro moderato PAUSE TCHAÏKOVSKI, Symphonie n° 4 en fa mineur op. 36 (1877) → env. 45’ 1. Andante sostenuto – Moderato con anima | 2. Andantino in modo canzona 3. Scherzo (Pizzicato ostinato) – Allegro | 4. Allegro con fuoco David Cohen, violoncelle George Tudoraché, concertmeister Orchestre Philharmonique Royal de Liège | Domingo Hindoyan, direction CONCERT CAPTÉ PAR LES SAMEDIS EN FAMILLE TCHAÏKOVSKI SAMEDI 17 OCTOBRE 2015 (16H) TCHAÏKOVSKI, Symphonie n° 4 en fa mineur op. 36 (1877) Pierre Solot, présentation George Tudoraché, concertmeister Orchestre Philharmonique Royal de Liège | Domingo Hindoyan, direction AVEC LE SOUTIEN DE MERCREDI 14, JEUDI 15 ET SAMEDI 17 OCTOBRE 2015 COHEN / DVOŘÁK [PROGRAMME 05] Stéphane Dado, présentation E n 1890, Ophélie, l’héroïne d’Hamlet de Shakespeare, inspire à Lekeu une page symphonique d’une étonnante mélancolie illustrant « sa blanche innocence et sa divine bonté ». Bien qu’écrit aux États-Unis, le célèbre Concerto pour violoncelle de Dvořák (1894-1895) est profondément tchèque dans l’âme. David Cohen a tout le tempérament qu’il faut pour en restituer le caractère nostalgique. Conçue à Venise, la Quatrième Symphonie de Tchaïkovski (1878) est dédiée à sa mécène et amie, Nadejda von Meck. Citée par Pink Floyd et dans la BO de Birdman (Oscar du meilleur film 2015), c’est une formidable épopée qui transcrit en musique les doutes et les rêves intimes du plus tourmenté des compositeurs russes. L’œuvre a inspiré à de nombreuses reprises le 7e Art et notamment le dessin animé La légende de la forêt du dessinateur Ozamo Tezuka (le Hergé japonais). LEKEU OPHÉLIE (1890) GUILLAUME LEKEU NAÎT À HEUSY (Verviers) le 20 janvier 1870. Ses parents s’installent en France, à Poitiers en 1879. Dans son enfance, Lekeu joue un peu de violon mais c’est seulement à l’âge de 14 ans qu’il ressent son premier choc artistique avec la découverte d’une sonate pour violon et piano de Beethoven. Dès lors, la rapidité de son évolution musicale tient du prodige. En 1889, sans avoir jamais reçu une seule leçon de composition, Lekeu écrit et fait exécuter à Verviers une Première Étude symphonique intitulée Chant de triomphale délivrance. Fin août, il rencontre César Franck qui accepte de lui donner des leçons de composition à Paris. Impressionné par son étonnante maturité et son inspiration si personnelle, Franck n’aura pas le temps de l’accompagner très loin dans sa formation. Son décès, en novembre 1890, affecte profondément Lekeu. Vincent d’Indy encourage pourtant le jeune prodige à se présenter au Concours de Rome, mais il n’obtient, avec sa cantate Andromède, que le Second Prix. À la demande de son ami Eugène Ysaÿe, Lekeu compose en 1892 sa Sonate pour violon et piano qui, malgré sa disparition précoce, assurera sa renommée posthume. En 1892-1893, il travaille à son Quatuor avec piano qu’il n’aura pas le temps d’achever. La fièvre typhoïde l’emporte en 1894, le lendemain de son 24e anniversaire. 2 et douce Ophélie, s’abandonne a nouveau à toute sa mélancolie désespérée. » La troisième partie initialement prévue (avec chœur) doit être une marche funèbre « résumant la douloureuse impression du drame ». Les deux premières parties de cette étude sont achevées le 15 août 1890. SEPT JOURS PLUS TARD, le 22 août, Lekeu achève une deuxième version d’Ophélie. Au repère « N » de la partition, il supprime la conclusion piano et ajoute un final plus long qui va vers un grand forte. Cette modification est sans doute destinée à créer le climat propice au début de la troisième partie qui, semble-t-il, ne sera jamais écrite. Au moment de la transition vers le final réapparaît le thème menaçant des basses déjà utilisé dans [le premier mouvement] Hamlet. Voila la trace évidente de son désir de créer des liens entre les différentes parties de cette Étude symphonique. JÉROME LEJEUNE (EXTRAIT DU COFFRET DE 8CD « GUILLAUME LEKEU… LES FLEURS PÂLES DU SOUVENIR / COMPLETE WORKS », RICERCAR-OUTHERE RÉÉDITION 2015) DVOŘÁK CONCERTO POUR VIOLONCELLE (1894-1895) QUERELLE AVEC L’INTERPRÈTE. Avec les EN 1890, Shakespeare fournit à Lekeu l’inspiration avec Hamlet. Il imagine une Deuxième Étude symphonique en trois parties : « Le monde de sentiments divers qui est l’âme de Hamlet est sans aucun doute une des choses les plus captivantes de l’Art, mais aussi une des plus terribles. Dans la première partie {Hamlet] je veux traduire en musique ce caractère désespérant dans sa complexité. La seconde partie, encore que bien difficile est un jeu auprès de la première : je veux dire l’amour pur d’Ophélie, sa blanche innocence et sa divine bonté. La fin de cette partie sera cependant d’une difficulté épouvantable pour moi : Hamlet, que n’a pu consoler l’aimante concertos de Schumann, d’Elgar et de SaintSaëns (le Premier), le Concerto d’Antonín Dvořák (1841-1904) est l’un des plus prisés de tout le répertoire. Commencé à New York (où Dvořák est directeur du Conservatoire depuis 1892) à l’automne 1894 et quasi achevé le 9 février 1895, le Concerto se présente d’abord en quatre parties. Après son retour en Bohême, Dvořák reprend la partition et la réduit à trois mouvements. Le soliste pressenti pour la création est HanuŠ Wihan, le plus célèbre violoncelliste tchèque de l’époque. Les deux hommes se connaissent et s’apprécient, mais une vigoureuse querelle éclate lorsque Wihan souhaite incorporer au concerto une longue cadence de sa composition. AMOUR DE JEUNESSE. Plus exactement, il prétend insérer une cadence (59 mesures), en remplacement de la dernière section du premier mouvement (48 mesures). Dvořák refuse catégoriquement, d’autant que c’est là précisément qu’il a introduit deux thèmes tirés d’une mélodie poignante d’après des poèmes allemands d’Ottilie Malybrok-Stieler : Laßt mich allein (« Laissez-moi à ma solitude.. »), attachée pour toujours au souvenir de son amour de jeunesse (qui devint sa belle-sœur), Josefina Kounicovà, emportée le 27 mai 1895, juste avant le retour définitif du compositeur en Europe… Le Concerto pour violoncelle est finalement créé au Queen’s Hall de Londres par Leo Stern sous la baguette de Dvořák, au cours d’un concert organisé par la Société Philharmonique. La première audition pragoise aura lieu le 11 avril suivant. Après une brouille de trois ans, HanuŠ Wihan deviendra l’un des plus ardents interprètes du Concerto. ENTRE NOSTALGIE ET RÉJOUISSANCE. Bien qu’étant une œuvre du « Nouveau Monde », le Concerto pour violoncelle ne comporte guère de traces de l’influence américaine : il se partage tout entier entre le sentiment de nostalgie qu’éprouvait Dvořák, éloigné de sa patrie, et l’énergie qu’il a toujours puisée dans ses racines nationales. Fougue et douleur, éclat et intimité y alternent tout au long des trois mouvements : Allegro, Adagio ma non troppo et Allegro moderato. Les deux premiers évoquent le désir ardent de retrouver la Bohême. « Il me tarde de voir venir le printemps pour être de nouveau parmi les miens et pour m’asseoir dans le bois de Vysoka » lit-on fréquemment alors dans les lettres de Dvořák ; le dernier mouvement exprime la joie à l’heure du retour. 3 TCHAÏKOVSKI SYMPHONIE N° 4 (1877) INTERDIT. Les années 1876 et 1877 sont très difficiles à vivre pour Tchaïkovski (18401893). Les sentiments de culpabilité liés à son homosexualité et ses tentatives de la dissimuler le poussent à conclure un mariage qui s’avèrera désastreux. En proie à des troubles considérables, il tente de mettre fin à ses jours. Deux œuvres orchestrales de cette époque reflètent clairement son état d’esprit. La première, Francesca da Rimini, traite de l’amour « interdit » entre Francesca et son amant Paolo et des châtiments qui lui sont associés dans L’Enfer de Dante. La deuxième n’est autre que la Quatrième Symphonie. Tchaïkovski y choisit d’illustrer l’action néfaste du fatum (le Destin), « cette force fatale qui empêche l’aboutissement de l’élan vers le bonheur, qui veille jalousement à ce que le bien-être et la paix ne soient jamais parfaits ni sans nuages […] ». Ces mots sont tirés d’une lettre de Tchaïkovski adressée à sa protectrice, Madame Von Meck. Le compositeur y indique comment le premier mouvement de sa symphonie alterne entre résignation, rêverie et rappel à l’ordre. MÉLANCOLIQUE. C’est d’ailleurs par le thème du Destin — une promulgation implacable des cuivres — que s’ouvre la symphonie. Le deuxième mouvement, écrit in modo di Canzone (« à la manière d’une chanson »), repose sur une mélodie de toute beauté qui chante dans le registre médium avec une présence et une chaleur vraiment remarquables. Tchaïkovski y traduit « cet état mélancolique qu’on éprouve le soir lorsqu’on est seul, fatigué, après le travail. On a pris un livre mais il est tombé des mains. On est assailli par un essaim de souvenirs. On est triste devant tant de choses qui ont eu lieu et qui sont révolues, mais on prend aussi plaisir à évoquer la jeunesse. On regrette le passé, mais on n’a pas envie de recommencer à vivre. » INSAISISSABLE. Le Scherzo est un tour de force orchestral qui fut bissé lors de l’exécution à Saint-Pétersbourg le 25 novembre 1878. Quelle magie, en effet, que ce bourdonnement 4 DOMINGO HINDOYAN DIRECTION DAVID COHEN VIOLONCELLE À CARACAS, Domingo Hindoyan commence son activité musicale comme violoniste à l’Orchestre des Jeunes du Venezuela, El Sistema. Il se perfectionne ensuite au Conservatoire de Genève dans la classe de Laurent Gay, où il obtient un diplôme de chef d’orchestre avec les félicitations du jury. En complément, il suit les cours de Bernard Haitink, David Zinman et Jesús López Cobos. Depuis la saison 2013-14, Domingo Hindoyan est assistant de Daniel Barenboim à l’Opéra de Berlin (Staatsoper). Au cours de cette saison, il dirige La Traviata, Le Barbier de Séville, Tosca, Le Sacre du Printemps et The Rake’s Progress. En concerts, Domingo Hindoyan a dirigé, entre autres l’Orchestre Royal National d’Écosse, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre Symphonique de Bâle, l’Orchestre de Chambre de Lausanne, la Deutsche Radio Philharmonie, de l’Orchestre Beethoven de Bonn, la Philharmonie de Rhénanie-Palatinat, le New Japan Philharmonic et l’Orchestre Symphonique Simón Bolívar. Au cours de cette saison, il est réinvité entre autres par l’Orchestre Philharmonia, l’Orchestre Philharmonique de Londres, l’Orchestre de Chambre de Lausanne et dirige également l’Orchestre Philharmonique de Radio France et l’Orchestre du Mozarteum de Salzburg. Dernier concert avec l’OPRL : 9 septembre 2012 (journée « portes ouvertes »). NÉ À TOURNAI EN 1980, David Cohen étudie le violoncelle au Conservatoire de Bruxelles, à la Yehudi Menuhin School de Londres et à la Guildhall School of Music and Drama de Londres. À 14 ans, il fait ses débuts en solo avec l’Orchestre National de Belgique. Depuis lors, il a joué avec de nombreux orchestres de premier plan (Saint-Pétersbourg, BBC, Lille, Genève, Tokyo, Séoul…) sous la direction de Yehudi Menuhin, Mstislav Rostropovitch, Christoph von Dohnányi, Walter Weller, Charles Mackerras, Vladimir Ashkenazy… David Cohen a remporté plus de 25 prix et récompenses internationales. De 2001 à 2009, il est violoncelle solo de l’Orchestre Philharmonia de Londres. Invité régulier des festivals de Kronberg, Manchester, Beauvais, Bordeaux, Gstaad, West Cork, il est directeur artistique de l’Ensemble Melchior (Cambridge), du Festival Sons Intensifs (Lessines) et professeur au Conservatoire Arts² de Mons. Il a enregistré pour Classic FM, Cypres (Concerto de Lalo, avec l’OPRL et Jean-Pierre Haeck) et le label de l’Orchestre Philharmonique de Londres. Projets : œuvres pour violoncelle et orchestre de Schnittke avec le Philharmonia, album solo (Orchid) et Concerto de Dvořák avec Chr. Von Dohnányi. Il joue sur un magnifique Montagnana (1735) prêté par le Razumovsky Trust. Derniers concerts avec l’OPRL : janvier 2011 (Concerto de Lalo). www.davidcohen.be NÉ incessant et fluctuant des cordes utilisées en pizzicato ostinato (cordes pincées, du début à la fin) ! Une suite « d’arabesques capricieuses, d’images insaisissables qui passent dans l’imagination lorsqu’on a bu un peu de vin et qu’on entre dans la première phase de l’ivresse. […] Elles n’ont rien à voir avec la réalité. Elles sont étranges, absurdes et décousues. » Dans la partie centrale intervient un thème de chansonnette populaire, volontairement quelconque, puis une marche militaire surgissant brutalement par une libre association d’idées. ÉTOURDISSANT. Le dernier mouvement, Allegro con fuoco, se veut griserie étourdissante. Il se nourrit des joies simples du bon peuple qui semble ne pas se soucier des affres de l’existence. Une grande fête populaire semble se dérouler sous nos yeux : « Va dans le peuple, vois comme il sait s’amuser en s’adonnant aux sentiments d’une joie sans partage ». Malgré le retour inévitable du fatum, Tchaïkovski semble ne pas vouloir sombrer dans le découragement : « Il existe des joies simples et fortes. Réjouis-toi de la joie des autres. » ÉRIC MAIRLOT 5 ORCHESTRE PHILHARMONIQUE ROYAL DE LIÈGE LA SAISON 2015-2016 a pour thème « Il était une femme », thème évoqué entre autres par les compositrices Clara Schumann, Sofia Gubaïdulina, Hildegard von Bingen, Mel Bonis, Louise Farrenc, Fanny Mendelssohn, Nadia Boulanger, Jeanne Demessieux… et les musiciennes ClaireMarie Le Guay, Plamena Mangova, Karine Deshayes, Els Janssens-Vanmunster, Isabelle Georges, Khatia Buniatishvilli, Rocío Márquez, Magali Léger, Nathalie Loriers, Tineke Postma, Natacha Régnier, Anne-Catherine Gillet, Valentine Lemercier, Anna Vinnitskaya, Amandine Beyer, Els Biesemans, Saskia Salembier et Maria Mazzotta. En janvier 2016, le Festival « Portraits de femmes » célèbre la femme dans toute sa diversité au travers d’œuvres de Falla (L’Amour sorcier), Prokofiev (Cendrillon), Honegger (Jeanne au bûcher), du music-hall (Joséphine Baker) et du jazz. CRÉÉ EN 1960, l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège (OPRL) est la seule formation symphonique professionnelle de la Belgique francophone. Soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles (avec le concours de la Loterie Nationale), la Ville de Liège, la Province de Liège, l’OPRL se produit a Liège, dans le cadre prestigieux de la Salle Philharmonique (inaugurée en 1887), dans tout le pays (à Anvers, Bruxelles, Charleroi, Hasselt, Namur, SaintHubert, Saint-Vith, Verviers, Virton...) et dans les grandes salles d’Europe (Amsterdam, Paris, Vienne, Espagne, Suisse, France…). www.oprl.be | www.facebook.com/orchestreliege | www.twitter.com/orchestreliege DEUX NOUVEAUX DISQUES DE L’OPRL PLUS DE 80 CD. Sous l’impulsion de son fondateur Fernand Quinet et de Directeurs musicaux comme Manuel Rosenthal, Paul Strauss, Pierre Bartholomée, Louis Langrée ou Pascal Rophé, l’OPRL s’est forgé une identité sonore au carrefour des traditions germanique et française. À une volonté marquée de soutien à la création, de promotion du patrimoine francobelge, d’exploration de nouveaux répertoires s’ajoute une politique discographique forte de plus de 80 enregistrements, la plupart récompensés par de nombreux prix et des distinctions internationales. CHRISTIAN ARMING, Directeur musical depuis septembre 2011, pousse les feux de l’excellence et donne à l’Orchestre une nouvelle perspective dans le paysage européen. Depuis près de 15 ans, l’OPRL a pris le parti d’offrir le meilleur de la musique au plus grand nombre, avec des formules originales comme les Music Factory, les Samedis en famille ou les Concerts du chef. L’ambition de l’Orchestre est de porter la musique toujours plus près des nouveaux publics à fidéliser et toujours plus loin en sa qualité d’ambassadeur culturel de la Belgique. 6 RESPIGHI – METAMORPHOSEON ÉDUCATION. L’OPRL est également soucieux de son rôle citoyen tout au long de l’année, en allant vers des populations plus éloignées de la culture classique. Ses saisons permettent d’inscrire des collaborations importantes et régulières avec les autres formations orchestrales de Belgique ou d’Europe, les conservatoires de la Fédération WallonieBruxelles, la Chapelle Reine Élisabeth de Belgique, les Jeunesses Musicales et tous les acteurs culturels majeurs du quotidien. Deuxième volume de la série consacrée à Respighi avec trois œuvres pour grand orchestre dirigées par John Neschling. « Ces pages négligées bénéficient d’une approche à la fois fougueuse et bien méditée : John Neschling adopte un large tempo permettant de mettre en relief les savoureux détails et l’expression intense des ces musiques profuses et décoratives. » (Michel Fleury, Classica, septembre 2015) Ottorino RESPIGHI (1879-1936) Metamorphoseon Ballade des gnomes Belkis, Reine de Saba WAGNER – AIRS D’OPÉRAS Star du MET, de l’Opéra de Paris et du Mariinsky, Evgeny Nikitin chante Wagner avec Christian Arming et l’OPRL. Richard WAGNER (1813-1883) Extraits du Vaisseau fantôme, Lohengrin, Tannhäuser, Le Crépuscule des Dieux, La Walkyrie Evgeny Nikitin, baryton-basse Michaela Schuster, mezzo-soprano Orchestre Philharmonique Royal de Liège Christian Arming, direction LABEL : Naïve SORTIE : septembre 2015 Orchestre Philharmonique Royal de Liège John Neschling, direction LABEL : BIS SORTIE : juin 2015 7 AGENDA VOO RIRE FESTIVAL MUSIQUE À MIDI KROLL SUR SCÈNE PROMENADE DANS LES BOIS VENDREDI 23 OCTOBRE 2015 (20H) MERCREDI 25 NOVEMBRE 2015 (12H30) VOO RIRE FESTIVAL DUEL OPUS 2 SAMEDI 24 OCTOBRE 2015 (20H) Laurent Cirade, violoncelle, auteur Paul Staïcu, piano, auteur Agnès Boury, mise en scène MUSIQUES DU MONDE LA MAGIE DES VOIX BULGARES JEUDI 05 NOVEMBRE 2015 (20H) Trio Ralitsa, chant | Nedyalko Nedyalkov, kaval Valeri Dimchev, tamboura LES SOIRÉES DE L’ORCHESTRE : GRANDS CLASSIQUES BEETHOVEN 8 VENDREDI 13 NOVEMBRE 2015 (20H) SAINT-SAËNS, Le rouet d’Omphale YSAŸE, Berceuse / Chant d’hiver / Au rouet BEETHOVEN, Symphonie n° 8 Amaury Coeytaux, violon OPRL | Jean-Jacques Kantorow, direction PIANO 5 ÉTOILES PLAMENA MANGOVA DIMANCHE 22 NOVEMBRE 2015 (16H) BRAHMS, Sonate pour piano n° 3 LISZT, Sonnet 104 de Pétrarque LISZT, Mephisto-Valse n° 1 CHOSTAKOVITCH, Préludes, extraits GINASTERA, Danzas argentinas Plamena Mangova, piano Lieve Goossens, flûte Geoffrey Baptiste, piano GRATUIT AVEC LE SOUTIEN DES AMIS DE L’ORCHESTRE LES SOIRÉES DE L’ORCHESTRE : GRANDS INTERPRÈTES LA VOIX SECRÈTE D’ALMA MAHLER VENDREDI 27 NOVEMBRE 2015 (18H) D’après le texte Alma d’Anna Enquist Catherine Walezac, comédienne DESHAYES / CHAUSSON VENDREDI 27 NOVEMBRE 2015 (20H) CHAUSSON, Poème de l’amour et de la mer MAHLER, Symphonie n° 6 « Tragique » Karine Deshayes, mezzo-soprano OPRL | Christian Arming, direction MUSIQUES ANCIENNES HILDEGARD VON BINGEN RENCONTRE AVEC ELS JANSSENS-VANMUNSTER DIMANCHE 29 NOVEMBRE 2015 (14H30) CONCERT : HISTOIRES DE SOUFFLES DIMANCHE 29 NOVEMBRE 2015 (16H) Œuvres de Hildegard von BINGEN, Klaus HUBER, Petr EBEN, Sophie LACAZE Mora Vocis Els Janssens-Vanmunster, direction Avant les concerts du vendredi soir, La Crèmerie Piercot vous accueille et vous propose ses divers plats du jour, salades, sandwiches… RUE EUGÈNE YSAŸE, 14 (AU COIN DU BD PIERCOT) – 4000 LIÈGE TÉL. : 04/221.02.52 | E-MAIL : [email protected] [RÉSERVATION SOUHAITÉE] 8