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SOMMAIRE
Fiche de projet
Abattoir cunicole
Abattoir polyvalent Moyen
Abattoir polyvalent Moyen
Abattoir polyvalent Grand
Unité de production et de conditionnement de viande
d’autruches
Stockage des céréales
Unité de production des semoules
Stockage horizontal à plat des céréales
Silos verticaux de stockage de céréales
Ensilage de mais
Station de conditionnement pour fruits et légumes
Conserverie de cœurs d’artichauts
Conserverie de câpres
Unité de surgélation des cœurs d’artichauts
Conditionnement de la fraise surgelée et de la fraise
fraîche
Conditionnement et entreposage de fruits et légumes
Produits dérivés de la tomate : concentré / Séchée /
Sauces
Semi-conserves d’olives, câpres, fonds d’artichauts,
asperges et autres légumes
Unité de séchage, déshydratation et lyophilisation de la
tomate
Unité de produits alimentaires surgelés (Légumes et
fruits)
Unité de produits alimentaires surgelés (Fruits)
Unité de production de tomates séchées
Confitures BIO (Figues, orange, Fraise…)
Unité de conditionnement de fruits et légumes frais
Unité de surgélation de fruits et légumes : Fèves, petits
pois, oignons, fonds et cœurs d’artichauts, melons,
fraises, pêches et poires
Unité de surgélation de frites
Unité de production de chips de pommes de terre
Séchage de vigne
Conserverie végétale
Les escargots en conserves
Terrine d'escargot à la gentiane
Unité moyenne de transformation de la niora
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Fiche de projet
(pimenterie)
Unité de transformation des pruneaux
Unité de conditionnement de prunes secs
Mini – Huilerie d’olive
Huilerie d’olive en flux continu
Huilerie en container
Huilerie moderne
Conditionnement d’huile d’olives
Unité de production d’huile de tournesol
Unité de production d’huile d’arachide
Unité de fabrication de beurre d’arachide
Fabrication de glace et de sorbets: Crème glacée
Projet de fabrication de pulpes de : pommes – fraises –
pêches- poires
Fabrication de jus de raisin destiné aux conditionneurs
de Jus de fruits
Fabrique de glace hydrique
Unité spécialisée en production de jus de légumes
Unité intégrée : Traitement du lait & Fabrication de
produits laitiers
Mini laiterie : Traitement du lait & Fabrication de
produits laitiers
Laiterie : Traitement du lait & Fabrication de produits
laitiers
Fromage à pâte pressée type Edam, Gruyère, Saint
polain et Fromage à pâte molle (Sicilien et Mozzarella)
Unité artisanale de production de fromage de chèvr
Unité de production de fromage de chèvre
Pâtés, Beurres Et Mousses à Base De Sardines
Filets de Sardines
Plats Cuisines A Base De Poisson
Plats cuisinés et semi-cuisinés
Unité de valorisation des écarts de triage des produits
de la mer
Unité de production d’aliments composés pour volaille
et bétail
Unité de paille mélasse pelle tissée
Entrepôt frigorifique pour fruits et légumes
Unité de fabrication de pâtes fraîches
Tissu gabardine
Tissu denim
Tissus pour pantalons
Tissus pour chemises
Tissu pour vêtements de travail
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Fiche de projet
Finissage de tissus chaîne et trame
Prêt-à-porter Homme en produit fini
Confection de prêt-à-porter féminin
Pantalons sous-traitance
Pantalons jeans en produit fini
Chemises en produit fini
Unité moyenne de tissage
Unité de DERRAZ traditionnel
Unité de tissage de drapeaux à base d’El kherka
Ouezzania
Unité de tissage d’el Kharka el Ouazzani
Unité de passementerie
Soutiens gorges en produit fini
Vêtements de bonneterie en produit fini
Vêtements de bonneterie en grosse maille (tricotage
rectiligne) en produit fini
Finissage de vêtements de bonneterie
Vêtements en cuir
Tannerie et mégisserie
Unité de fabrication de petite maroquinerie
Unité de confection d'articles en cuir
Unité de fabrication de sac à main
Chaussures de ville
Chaussures de sécurité
Fonderie de métaux
Unité de fabrication de fils métalliques
Unité de fabrication de pointes diverses
Unité de fabrication de pointes en acier
Unité de fabrication de pièces en fils de fer
Traitement de surface et revêtement de métaux
Unité de fabrications de boulonnerie visserie, écrous,
raccords, tiges
Unité de menuiserie métallique
Unité de tourneurs, fraiseurs, traitement des métaux
Fabrication de moules pour semelles
Fabrication de semoirs et pulvérisateurs destinés à la
préparation et entretien des récoltes
Unité de fabrication de plaques photovoltaïques à
usage domestique (énergie solaire)
Unité d’assemblage de matériel agricole
Unité de menuiserie d’aluminium
Unité de menuiserie en Inox
Unité de fabrication de profilés en alliage d’aluminium
Unité moyenne de travail d’acier, du cuivre et du fer
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Fiche de projet
Unité de chaudronnerie moderne
Rebobinage de moteurs électriques
Rebobinage de moteurs électriques
Fabrication de bennes pour tracteurs
Fabrication de bennes pour camions
Fabrication de bennes pour camions utilitaires
Faisceaux de câbles
Tubes annelés pour faisceaux de câbles automobiles
Systèmes d’échappement Secteur
Plaquettes de freins
Moule pour pièces Auto
Tapis autos
(Equipements d’intérieur)
Soufflet de levier de vitesse (Equipements d’intérieur)
Equipements d’intérieur (Housses pour sièges)
Pièces en caoutchouc pour automobile
Equipements d’intérieur (Panneaux de portes)
Ressorts à lames
Ressorts à lames
Amortisseurs
Radiateurs en aluminium
Durits et Joints de portes
Garnitures d’embrayage
Câbles électriques
Fabrication de connectiques
Filtres pour véhicules industriels
Moulage à cire perdue de pièces automobiles
Décolletage de pièces automobiles
Unité de traitement de surface par anodisation et
bichromatage
Garnitures de freins
Rénovation des cardans
Assemblage de Minibus
Unité de montage et d’assemblage d’autocars
Fabrication de jantes en aluminium pour voitures,
motos et utilitaires
Grande unité d’injection plastique
Unité moyenne d’injection plastique
Unité d’extrusion des plastiques
Unité de production de tuyaux en PVC pour bâtiment
Unité de fabrication d’équipements routiers en plastique
Unité de fabrication d’articles en matières plastiques
pour l'agriculture et l'élevage
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Fiche de projet
Unité de fabrication de bonbonnes en plastique
Unité de fabrication de sceaux en plastique
Unité de fabrication de bloc – tiroir en plastique
Unité de fabrication de bacs alimentaires en
polypropylène
Unité de fabrication de jouets en plastique
Unité de fabrication d’emballage en plastique pour
produits alimentaires
Unité de fabrication d’emballage en plastique pour
produits agricoles
Unité de fabrication de pots et bouteilles en plastique à
usage biologique et médical
Unité de fabrication de produits et outils en plastique à
usage médical
Unité de fabrication de pièces automobiles en plastique
Emballage pour produits alimentaires en plastique
Unité de fabrication de meubles en plastic
Unité de mise en sac de sable de mer
Unité de production des sacs en polypropylène
Unité de fabrication de pots alimentaires en
polypropylène
Unité de fabrication de barils alimentaires en
polyéthylène
Unité de fabrication de pots de crème en polypropylène
Unité de fabrication de pots cosmétiques pour crème et
maquillage
Fabrication de meubles marocains en bois
Unité de production de bois pour bâtiment
Unité de production de portes et d’éléments en bois
pour bâtiment : Portes d’intérieur et d’extérieur,
fenêtres,…
Unité de production de portes traditionnelles
marocaines en bois
Unité de réparation de bateaux de pêche en bois
Unité de fabrication de barques en bois pour pêche
artisanale
Chantier naval pour fabrication de chalutiers en bois
Menuiserie moderne
Unité de menuiserie de bois
Unité moyenne de fabrication de caisses en bois
Unité de fabrication de caisseries en bois
Industrie du liège
Fabrication des meubles de l’intérieur en série
Unité de fabrication de meubles d’intérieur modulaires
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Fiche de projet
Unité de fabrication de meubles de bureaux en
panneaux
Unité de production de béton prêt à l’emploi
Unité industrielle de fabrication des agglomérés et
hourdis
Unité industrielle de fabrication des carreaux en bétons
Unité industrielle de fabrication de tuyaux en béton et
en béton armé
Unité industrielle de fabrication des buses en béton
pour puits
Unité de production de verre plat pour bâtiment
Unité de fabrication du plâtre : Sac de plâtre de 40 Kg
Unité de production de pavés en béton
Unité de production de bordures en béton
Unité de fabrication d'éléments de plancher en béton
précontraint et béton armé, murs et éléments de
structure
Unité de fabrication de poteaux en béton pour lignes
électriques
Unité de fabrication de regards en béton
Unité de fabrication de sacs ciment
Unité de fabrication de produits sanitaires en céramique
Unité de fabrication de carreaux en céramique
Unité industrielle de fabrication de carreaux de
mosaïque
Fabrication de carreaux en céramique pour le
revêtement du mur
Unité de fabrication de produits finis à base de marbre
Unité pour le travail de marbre
Traitement de blocs de granite : Granit en carreaux
Traitement de blocs de granite : granit en dalles
Unité de production de pavés en pierre naturelle
Industrie de l’eucalyptus : pâte à papier
Unité de fabrication des cahiers scolaires et de
fournitures de bureau à base de papier
Unité moyenne de traitement et récupération des
déchets papier
Unité de récupération et traitement des déchets papiercarton
Unité de fabrication du carton ondulé
Unité d’impression numérique, gravure et flashage
Unité d’édition de livres scolaires
Imprimerie
Fabrication de plaques celloderme
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Fiche de projet
Unité de production artisanale des huiles essentielles
Unité de fabrication et impression d’étiquette adhésives
Unité de nettoyage, tri, classement et mise en bales de
vieux papier et carton
Unité de saponification à froid
Crème à base d’extraits d’escargots
Fabrication de produits dérivés du Ghassoul
Unité de fabrication d’emballage en verre
Unité de fabrication de verre pour l’industrie automobile
Unité de fabrication de pièces en caoutchouc moulé
travaillées à partir de matières premières naturelles ou
de synthèse comme les silicones, les nitriles…
Unité de fabrication de pneus rechapés
Unité de Fabrication de Pneu
Unité de Fabrication de chambres à air
Détergent liquide concentré tout usage
Unité de fabrication d’Eau de javel détergente
concentrée
Unité de fabrication d’assouplissant concentré pour
textile
Petite unité de traitement de déchets industriels non
ferreux
Unité moyenne de traitement de déchets industriels non
ferreux
Grande unité de traitement de déchets industriels non
ferreux
Unité de production de canaux d’irrigation pour
agriculture
Matériaux composites
Unité de production de peinture pour bâtiment
Unité de production de pavés en terre cuite
Unité de produits d’étanchéité
Cimenterie
Usine de production d’acier pour gros œuvre
Unité traditionnelle de production de matériaux de
construction en terre cuite :
Briqueterie moderne
Unité Industrielle Moyenne de fabrication de la chaux
Unité traditionnelle de fabrication de la chaux
Fabrication des carreaux en ciment traditionnels et
contemporains
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_01
Intitulé du projet
Abattoir cunicole
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Production de viandes de
boucherie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Slimane,
Ouezzane, Souk Larbaa.
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
28 Tonnes de viande par an
Besoin en superficie
1.000 m²
Besoin en RH
15 permanents
Marchés potentiels
Le Marché local et Export de
fourrures
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
- Loi n° 78–00 portant charte
communale.
- Dahir portant loi n° 1-75-291 du
24 chaoual 1397 (8 octobre
1977) édictant des mesures
relatives à l'inspection sanitaire
et
qualitative
des
animaux
vivants et des denrées animales
ou d'origine ;
- Décret n° 2-93-23 du 21 kaada
1413 (13 mai 1993) relatif aux
attributions et à l'organisation du
Ministère de l'Agriculture et de la
Réforme Agraire.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'effectif du cheptel dans la région se
compose de 343 610 têtes de bovins dont
38.36 % est de la race locale. Les ovins
sont au nombre de 1 million de têtes soit
7.32 % par rapport à l'échelle nationale.
Alors que les caprins ne dépassent pas les
33 900 têtes soit 0.70 % à l'échelle du
pays.
Justification du projet
La viande de lapin est très appréciée par le
consommateur marocain grâce à ses
qualités organoleptiques et nutritionnelles.
En effet, le lapin est une viande très saine,
nutritive et digestive, sans cholestérol.
L'élevage du lapin est appelé à se
développer afin de satisfaire un potentiel
de consommation en protéines animales,
monopolisé jusqu'à maintenant par la
viande blanche.
Conditions d’approvisionnement
La race locale constitue une
d’approvisionnement importante.
source
Il faut signaler que les lapins sont des
animaux particulièrement sensibles aux
facteurs liés à l'environnement tels que la
température, l'hygrométrie, l'aération et
l'éclairage de la pièce réservée à l'élevage.
En effet, des températures trop basses ou
des changements brusques de température
associés à des courants d'air provoquent
une plus grande sensibilité aux troubles
respiratoires. Une hygrométrie et une
chaleur trop élevée augmentent les risques
d'infection.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
1
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_02
Intitulé du projet
Abattoir polyvalent Moyen
Secteur
Industries alimentaires
Branche
Production de viandes de
boucherie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem.
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
3 000 T / an
Besoin en superficie
25 000 m²
Besoin en RH
50 Personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Au Maroc, en 2004, la production des
viandes rouges a atteint la valeur de
398.000 T avec un taux d’abattage de
79%, soit l’équivalent de 314 680 T de
viandes produits au niveau des abattoirs.
La région compte un cheptel relativement
important. Il se compose de 1 818 380
têtes (à fin 2006). Les 2 principales
espèces sont : les ovins (1 060 400
têtes) et les bovins (399 260 têtes).
Justification du projet
Les abattoirs actuels de la région sont
anciens et ne répondent pas à la
demande en terme de qualité et de
quantité.
Conseils techniques
Consulter le « Guide méthodologique
pour l’évaluation des incidences sur
l’environnement, Projet d’abattoir ».
Marchés potentiels
Local et régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
- Loi n° 78 – 00 portant charte
communale.
- Dahir portant loi n° 1-75-291 du
24 chaoual 1397 (8 octobre
1977) édictant des mesures
relatives à l'inspection sanitaire
et
qualitative
des
animaux
vivants et des denrées animales
ou d'origine ;
- Décret n° 2-93-23 du 21 kaada
1413 (13 mai 1993) relatif aux
attributions et à l'organisation du
Ministère de l'Agriculture et de la
Réforme Agraire.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
2
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_03
Intitulé du projet
Abattoir polyvalent Petit
Secteur
Industries alimentaires
Branche
Production de viandes de
boucherie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem.
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
1 000 T / an
Besoin en superficie
15 000 m²
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Au Maroc, en 2004, la production des
viandes rouges a atteint la valeur de
398.000 T avec un taux d’abattage de
79%, soit l’équivalent de 314 680 T de
viandes produits au niveau des abattoirs.
La région compte un cheptel relativement
important. Il se compose de 1 818 380
têtes (à fin 2006). Les 2 principales
espèces sont : les ovins (1 060 400
têtes) et les bovins (399 260 têtes).
Justification du projet
Les abattoirs actuels de la région sont
anciens et ne répondent pas à la
demande en terme de qualité et de
quantité.
Conseils techniques
Consulter le « Guide méthodologique
pour l’évaluation des incidences sur
l’environnement, Projet d’abattoir ».
Besoin en RH
30 Personnes
Marchés potentiels
Local et régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
- Loi n° 78 – 00 portant charte
communale.
- Dahir portant loi n° 1-75-291 du
24 chaoual 1397 (8 octobre
1977) édictant des mesures
relatives à l'inspection sanitaire
et
qualitative
des
animaux
vivants et des denrées animales
ou d'origine ;
- Décret n° 2-93-23 du 21 kaada
1413 (13 mai 1993) relatif aux
attributions et à l'organisation du
Ministère de l'Agriculture et de la
Réforme Agraire.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
3
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_04
Intitulé du projet
Abattoir polyvalent Grand
Secteur
Industries alimentaires
Branche
Production de viandes de
boucherie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem.
Coût global du projet
110.000.000 MAD
Capacité de production
6 000 T / an
Besoin en superficie
45 000 m²
Besoin en RH
100 Personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Au Maroc, en 2004, la production des
viandes rouges a atteint la valeur de
398.000 T avec un taux d’abattage de
79%, soit l’équivalent de 314 680 T de
viandes
produites
au
niveau
des
abattoirs.
La région compte un cheptel relativement
important. Il se compose de 1 818 380
têtes (à fin 2006). Les 2 principales
espèces sont : les ovins (1 060 400
têtes) et les bovins (399 260 têtes).
Justification du projet
Les abattoirs actuels de la région sont
anciens et ne répondent pas à la
demande en terme de qualité et de
quantité.
Conseils techniques
Consulter le « Guide méthodologique
pour l’évaluation des incidences sur
l’environnement, Projet d’abattoir ».
Marchés potentiels
Local et régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
- Loi n° 78 – 00 portant charte
communale.
- Dahir portant loi n° 1-75-291 du
24 chaoual 1397 (8 octobre
1977) édictant des mesures
relatives à l'inspection sanitaire
et
qualitative
des
animaux
vivants et des denrées animales
ou d'origine ;
- Décret n° 2-93-23 du 21 kaada
1413 (13 mai 1993) relatif aux
attributions et à l'organisation du
Ministère de l'Agriculture et de la
Réforme Agraire.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
4
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_05
Intitulé du projet
Unité de production et de
conditionnement de viande
d’autruches
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Production de viandes de volailles
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
De nos jours l’élevage d’autruches est considéré
comme un des projets agricoles les plus rentables.
C’est un projet d’avenir, en raison de la grande
variété des produits exploités (viandes, cuir et
plumes), de leur efficacité de production et de
reproduction et de leur rentabilité élevée.
Le climat au Maroc permet l’élevage d’autruches.
L’élevage d’autruches se veut novateur avec un
maximum d’intégration afin de fournir au marché
local et international des produits (dérivés de
l’autruche) à haute valeur ajoutée.
Justification du projet
Besoin en superficie
200.000 m²
L'autruche produit une viande rouge très proche du
bœuf en terme d'aspect. Cette viande est appréciée
depuis l'antiquité. Sa richesse nutritionnelle est
exceptionnelle pour une viande : peu calorique et
pauvre en matières grasses (1à 2%), la viande
d'autruche est pourvue d'une bonne teneur en
protéines (20 à 22%) et d'une très faible teneur en
cholestérol...
C’est l'aliment idéal pour les sujets prédisposés au
risque cardio-vasculaire mais néanmoins amateurs
de viande rouge.
La forte demande des marchés européens et la
proximité de la région constituent une excellente
opportunité à saisir.
Besoin en RH
30 permanents
Conditions d’approvisionnement
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Slimane,
Sidi Kacem, Sidi Taibi, Souk Larbaa,
Souk Tlet, Ouezzane, Had Kourt
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
150 tonnes par an
Marchés potentiels
Export 90% National 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
- Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual
1397 (8 octobre 1977)
-
Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13
mai
1993)
La viande d’autruche se commercialise en frais et en
surgelé, mais à la différence du bœuf, en surgelé,
elle ne perd aucun parfum et cela améliore encore sa
tendreté.
Par contre la viande d’autruche se doit d’être
toujours conditionnée sous vide.
Conseils techniques
La viande de l’autruche est une viande rouge réputée
être extrêmement tendre. Elle est extrêmement
pauvre en cholestérol (600 mg/kg). Ses qualités
culinaires en font une viande de premier choix qui ne
peut être comparée qu’aux meilleurs filets de veau.
En matière d’équipement il faut prévoir une ligne
d'abattage pour l'autruche.
En matière de conditionnement des viandes
d’autruche, il existe plusieurs possibilités :
- Les viandes : steaks, pavés, rôtis, sautés ;
- Les pâtés et terrines ;
- Les rillettes ;
- Les saucissons ;
- Le fumé ;
- Les plats cuisinés…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
5
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_06
Intitulé du projet
Stockage des céréales
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Meunerie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Souk
Tlet, Souk Larbaa
Coût global du projet
20 000 000 MAD
Capacité de production
1 000 Tonnes par an
Besoin en superficie
8 000 m²
Besoin en RH
10 permanents
Marchés potentiels :
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan
1415 (22 février 1995) portant
promulgation de la loi n° 12-94
relative
a
l'office
national
interprofessionnel des céréales et
des
légumineuses
et
a
l'organisation du marche des
céréales et des légumineuses.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Compte tenu du décalage entre le rythme de la
production et celui de la consommation, le
stockage des céréales constitue un élément clé
dans le fonctionnement général des circuits
d’approvisionnement de la région et du pays.
Le secteur est composé de divers opérateurs et
équipements.
Les
coopératives
et
les
commerçants agréés disposent de capacités de
stockage pour une longue durée sous couvert ou
semi-couvert.
Ces
opérateurs
disposent
également de capacités additionnelles pour le
stockage d’appoint. Leur capacité est d’environ 2
millions de tonnes. En outre, les industries de
transformation détiennent également une capacité
sous couvert importante, estimée à 500.000
tonnes environ. Les ports céréaliers sont dotés de
silos d’une capacité estimée à 200.000 tonnes.
En outre, la fonction de stockage continue d’être
exercée dans une large mesure par les exploitants
agricoles,
pour
des
raisons
liées
à
l’autoconsommation. Ce type de stockage ne
présente pas les propriétés requises dans un
marché céréalier parfaitement intégré au reste de
l’économie, et dans le cadre d’une politique de
sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration
des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.
Justification du projet
Le commerce des céréales va subir les effets
attendus de la libéralisation croissante des
échanges et la dérégulation du commerce
intérieur des grains et des farines.
Parmi ces effets, il y a l’intensification des
échanges entre zones déficitaires et zones
favorables, telles que la zone du Gharb,
l’amplification des variations des prix dans le
temps et l’espace, autant d’incitations favorables
à l’activité de stockage.
Pour tirer profit de
cette évolution,
le
développement du stockage à proximité des
producteurs dans les zones excédentaires sera
primordial.
Conditions d’approvisionnement
Au plan national, la production de la plus grande
quantité de céréales est concentrée dans la région
Fès-Boulemane, la région Meknès-Tafilalet, et la
région Doukala-Abda.
Le transport des céréales peut se faire par
camions ou par trémies sur voie ferrée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
6
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_07
Intitulé du projet
Unité de production
semoules
des
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Activités de travail des grains
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Sidi
Kacem,
Kénitra, Sidi Slimane
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
50 T par jour
Besoin en superficie
3000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Au Maroc, les céréales comptent pour
environs le 1/3 des dépenses alimentaires
des ménages.
Les ménages marocains sont de grands
consommateurs de produits céréaliers,
notamment, à base de blés durs tels que
les pâtes alimentaires, les semoules et les
farines de blé dur.
Justification du projet
Le consommateur marocain devient de
plus
en
plus
exigeant
et
bon
sélectionneur dans ses choix. En plus, les
denrées alimentaires à base de blé dur
deviennent très demandées dans le
marché national.
Conditions d’approvisionnement
La semoule, obtenue
grains de blé dur,
matière
première
fabrication de pâtes
couscous.
par trituration des
est la principale
utilisée
pour
la
alimentaires et de
Les
unités
industrielles
dans
leur
ensemble
souffrent
de
problèmes
d'approvisionnement
en
matière
première. Ces minoteries rencontrent des
difficultés à garantir les milliers de tonnes
dont elles ont besoin pour éviter de
tourner en dessous de leur capacité ou de
connaître des ruptures de stock: la
production de céréales est une activité
saisonnière tandis que la transformation
est permanente.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
7
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_08
Intitulé du projet
Stockage horizontal à plat des
céréales
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Meunerie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane, Souk Tlet, Souk
Larbaa, Mechra Bel Ksiri,…
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
900 Tonnes par an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
15 permanents
Marchés potentiels :
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan 1415
(22
février
1995)
portant
promulgation de la loi n° 12-94
relative
a
l'office
national
interprofessionnel des céréales et des
légumineuses et a l'organisation du
marche
des
céréales
et
des
légumineuses.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Compte tenu du décalage entre le rythme de la
production et celui de la consommation, le stockage
des céréales constitue un élément clé dans le
fonctionnement
général
des
circuits
d’approvisionnement de la région et du pays.
Le secteur est composé de divers opérateurs et
équipements. Les coopératives et les commerçants
agréés disposent de capacités de stockage pour une
longue durée sous couvert ou semi-couvert. Ces
opérateurs disposent également de capacités
additionnelles pour le stockage d’appoint. Leur
capacité est d’environ 2 millions de tonnes. En outre,
les
industries
de
transformation
détiennent
également une capacité sous couvert importante,
estimée à 500.000 tonnes environ. Les ports
céréaliers sont dotés de silos d’une capacité estimée
à 200.000 tonnes.
En outre, la fonction de stockage continue d’être
exercée dans une large mesure par les exploitants
agricoles,
pour
des
raisons
liées
à
l’autoconsommation. Ce type de stockage ne
présente pas les propriétés requises dans un marché
céréalier
parfaitement
intégré
au
reste
de
l’économie, et dans le cadre d’une politique de
sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration
des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.
Justification du projet
Le commerce des céréales va subir les effets
attendus de la libéralisation croissante des échanges
et la dérégulation du commerce intérieur des grains
et des farines.
Parmi ces effets, il y a l’intensification des échanges
entre zones déficitaires et zones favorables, telles
que la zone du Gharb, l’amplification des variations
des prix dans le temps et l’espace, autant
d’incitations favorables à l’activité de stockage.
Pour tirer profit de cette évolution, le développement
du stockage à proximité des producteurs dans les
zones excédentaires sera primordial.
Conseils techniques
Il est recommandé pour stocker des céréales
d'utiliser des bâtiments ayant été conçus ou adaptés
à cet usage conformément aux normes.
En effet des règles de génie civil sont à respecter eu
égard aux pressions et frottements créés par les
masses de grain.
Le stockage à plat se fait dans des silos horizontaux
généralement construits en béton ou en tôles
soudées ou boulonnées. Les parois en tôle peuvent
être protégées intérieurement par des éléments en
béton.
Dans le souci d’assurer l’étanchéité du bâtiment, il
est nécessaire dans ce type de construction, et
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
8
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
d'autant
plus
pour
des
durées
de
conservation qui peuvent être longues, de
vérifier l'étanchéité à l'eau.
Le sol doit être le plus régulier possible afin
de
permettre
un
enlèvement
de la
marchandise aussi facile que possible.
La hauteur du magasin doit être importante
pour permettre les manutentions de grain et
une bonne aération.
Les silos horizontaux sont des bâtiments de
grand volume. Afin de permettre une bonne
conservation, il est préférable de fractionner
le lot de céréales, ce qui permet de réduire
les risques et de prendre des mesures
limitées de préservation.
Les installations seront conçues de manière à
réduire le nombre de pigées à poussières.
En matière d’équipements, ces magasins
doivent
disposer
d’un
matériel
de
désinsectisation approprié et d’un système
de ventilation.
Conditions d’approvisionnement
Au plan national, la production de la plus
grande quantité de céréales est concentrée
dans la région Fès-Boulemane, la région
Meknès-Tafilat, et la région Doukkala-Abda.
Le transport des céréales peut se faire par
camions ou par trémies sur voie ferrée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
9
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_09
Intitulé du projet
Silos verticaux de stockage de
céréales
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Meunerie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane, Souk Tlet, Souk
Larbaa
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
1.200 Tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
20 permanents
Marchés potentiels :
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan 1415
(22
février
1995)
portant
promulgation de la loi n° 12-94
relative
a
l'office
national
interprofessionnel des céréales et des
légumineuses et a l'organisation du
marche
des
céréales
et
des
légumineuses.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Compte tenu du décalage entre le rythme de la
production et celui de la consommation, le stockage
des céréales constitue un élément clé dans le
fonctionnement
général
des
circuits
d’approvisionnement de la région et du pays.
Le secteur est composé de divers opérateurs et
équipements. Les coopératives et les commerçants
agréés disposent de capacités de stockage pour une
longue durée sous couvert ou semi-couvert. Ces
opérateurs disposent également de capacités
additionnelles pour le stockage d’appoint. Leur
capacité est d’environ 2 millions de tonnes. En outre,
les
industries
de
transformation
détiennent
également une capacité sous couvert importante,
estimée à 500.000 tonnes environ. Les ports
céréaliers sont dotés de silos d’une capacité estimée
à 200.000 tonnes.
En outre, la fonction de stockage continue d’être
exercée dans une large mesure par les exploitants
agricoles,
pour
des
raisons
liées
à
l’autoconsommation. Ce type de stockage ne
présente pas les propriétés requises dans un marché
céréalier
parfaitement
intégré
au
reste
de
l’économie, et dans le cadre d’une politique de
sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration
des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.
Justification du projet
Le commerce des céréales va subir les effets
attendus de la libéralisation croissante des échanges
et la dérégulation du commerce intérieur des grains
et des farines.
Parmi ces effets, il y a l’intensification des échanges
entre zones déficitaires et zones favorables, telles
que la zone du Gharb, l’amplification des variations
des prix dans le temps et l’espace, autant
d’incitations favorables à l’activité de stockage.
Pour tirer profit de cette évolution, le développement
du stockage à proximité des producteurs dans les
zones excédentaires sera primordial.
Conseils techniques
Il est recommandé pour stocker des céréales
d'utiliser des bâtiments ayant été conçus ou adaptés
à cet usage conformément aux normes.
En effet des règles de génie civil sont à respecter eu
égard aux pressions et frottements créés par les
masses de grain.
Les silos verticaux ont des parois latérales de
hauteur supérieure à 10 mètres, ces silos
comportent plusieurs cellules de hauteur élevée et
de diamètre réduit. Ces cellules peuvent être soit
réalisées en béton, soit composées de parois
métalliques. Ces silos permettent de stocker des
produits de nature différente dans chaque cellule. Le
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
10
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
taux de rotation des céréales stockées est en
général plus important que pour un silo plat.
Conditions d’approvisionnement
Au plan national, la production de la plus
grande quantité de céréales est concentrée
dans la région Fès-Boulemane, la région
Meknès-Tafilat, et la région Doukkala-Abda.
Le transport des céréales peut se faire par
camions ou par trémies sur voie ferrée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
11
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_10
Le secteur compte actuellement 32 unités ayant une
capacité totale de 2 millions tonnes (soit un taux
d’utilisation de 100%). En termes de concentration,
4 entreprises détiennent plus de 40% de la capacité
totale installée au niveau national.
Secteur
Industrie alimentaire
d'aliments
Données sur le secteur
La production d’aliments composés avoisine les 2
millions de tonnes par an. Les ¾ de cette production
sont destinés à l’élevage avicole, le reste étant
destiné aux ruminants.
Intitulé du projet
Ensilage de mais
Branche
Fabrication
animaux
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
pour
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Slimane, Sidi Kacem, Souk
Larbaa, Sidi Allal Tazi
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
5 000 tonnes par an
Besoin en superficie
2 000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels :
Local et Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Base légale :
- Dahir n° 1-83-108 du 5 octobre 1984 portant
promulgation de la loi n° 13-83 relative à la répression
des fraudes sur les marchandises (B.O n° 3777 du 20
mars 1985) ;
- Arrêté viziriel du 7 août 1946 relatif au contrôle de la
vente des aliments composés destinés au bétail (B.O n°
1766 du 30 août 1946) ;
- Arrêté du Directeur de l'Agriculture, du Commerce et
des forêts du 20 avril 1948 relatif à la vente des aliments
destinés au bétail (B.O n° 1853 du 30 avril 1948).
- Arrêté du Directeur des Affaires Economiques du 7 août
1946 fixant les conditions de vente des aliments
composés destinés au bétail (B.O n° 1766 du 30 août
1946).
Justification du projet
L'ensilage de maïs donne un lait riche en matières
grasses en comparaison avec d'autres ensilages (tel
que l'ensilage d'herbe), car il est relativement bien
pourvu en matières grasses (environ 4% MS) et
favorable aux fermentations butyriques. L'apport
d'ensilage de maïs est aussi souvent associé à des
taux protéiques élevés, en raison de sa valeur
énergétique élevée.
Conditions d’approvisionnement
Les matières premières utilisées sont d’origine
végétale ou animale auxquelles des additifs tels que
vitamines,
minéraux,
colorants
et
parfois
antibiotiques sont incorporés. Les produits d’origine
végétale comprennent notamment des céréales, des
fèves, des graines oléagineuses, des huiles, du sucre
et de la mélasse, des pulpes de betterave, etc.
Les matières premières animales sont par exemple
des sous-produits de l’industrie du pois son, du sang,
des os, des graisses, du lait et d’autres sousproduits.
La livraison peut se faire pour les conditionnements
en vrac et en sac.
Conseils techniques
L'ensilage est une méthode de conservation du
fourrage par voie humide passant par la
fermentation lactique anaérobie. En fonction des
différentes techniques utilisées, on obtient un
fourrage acide dont le pourcentage d'humidité varie
de 50 % à 85 % environ. En règle générale, plus le
taux de matière sèche est élevé, plus l'anaérobiose
nécessaire au démarrage de la fermentation lactique
est difficile à mettre en œuvre. L’ensilage de maïs
est un élément incontournable pour la production
laitière.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
12
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_11
Intitulé du projet
Station de conditionnement
pour fruits et légumes
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Coût global du projet
4 000 000 MAD
Capacité de production
12 000 tonnes par an
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
9 permanents
Marchés potentiels :
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35 000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon
(près de 180 000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces
productions
disposent
par
ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée sur
un secteur agricole performant avec des terres
irriguées
et
un
climat
favorable.
Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement installées restent insuffisantes
dans la région.
Les infrastructures telles que les mûrisseries,
les stations de conditionnement, les entrepôts
frigorifiques ou les unités de congélation sont
très peu nombreuses et appartiennent à
quelques exploitants ou sociétés agricoles.
Justification du projet
La proportion élevée de sols aptes aux cultures
maraîchères, la dotation en eau, le faible coût
relatif de la main d’œuvre et la proximité des
grands centres de consommation, sont des
avantages de taille pour la production de fruits
et légumes dans cette région.
Ces
avantages
se
traduisent
par
la
compétitivité de certains produits de la région.
Leur
meilleure
valorisation
nécessite
l’installation de stations de conditionnement et
d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des
capacités au niveau de la région ainsi que la
tendance de la demande des agglomérations de
Kenitra et de Rabat constituent de bonnes
opportunités pour l’installation de nouvelles
unités de conditionnement et d’entreposage de
fruits et légumes.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de services
clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
13
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_12
Intitulé du projet
Conserverie
de
d’artichauts
Secteur
Industrie alimentaire
cœurs
Branche
Transformation et conservation
de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham,
Mnasra,
Lalla
Mimouna
Coût global du projet
10 000 000 MAD
Capacité de production
500 tonnes par an
Besoin en superficie
2 500 m²
Besoin en RH
35 permanents
Marchés potentiels :
National et Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35.000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326.000 tonnes), le melon
(près de 180.000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée
sur un secteur agricole performant avec des
terres irriguées et un climat favorable. Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement
installées
restent
insuffisantes dans la région.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la
disponibilité de la matière première à
transformer, une main d’œuvre abondante et
la proximité des grands marchés de
consommation marocains et européens.
En plus, le secteur maraîcher du Gharb s’est
développé rapidement avec l'introduction des
cultures sous-abris dans la zone côtière.
L’activité de conservation de légumes est la
plus importante en termes de valeur ajoutée
et d’exploitations. Ainsi, cette activité a
enregistré un chiffre d’affaire total de plus de
1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de DH à
l’export.
La culture de l’artichaut occupe une superficie
de 2 424 ha avec une production de 40 818
tonnes.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Les principales régions de production des
artichauts sont le Gharb, la basse moulouya,
Sais et le Haouz.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
14
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_13
Intitulé du projet
Conserverie de câpres
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bouselham,
Mnasra,
Souk
Larbaa
Coût global du projet
30 000 000 MAD
Capacité de production
1 000 tonnes par an
Besoin en superficie
3 000 m²
Besoin en RH
70 permanents
Marchés potentiels :
L’Europe, l'Amérique du Nord,
du Sud et Centrale, les pays de
l'Asie, d'Australie et d'Afrique.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le ramassage des câpres et leur transformation est
une pratique ancienne au Maroc, qui est le premier
producteur mondial. On compte entre 20 et 25
unités de transformation. La quasi-totalité de la
production est exportée : près de 11 000 tonnes en
2003 (6% des volumes totaux exportés) pour une
valeur de 260 millions de DH (12% de la valeur total
des exportations).
Les exportations de câpres sont constituées de
plusieurs types de produits à savoir les câpres en
saumure, sans sucre, sauf conservées par gaz
sulfureux, … Ces produits sont exportés soit en fûts
soit en boites. Les câpres en fûts représentent 91%
des quantités de câpres transformées exportées. Les
exportations de câpres ont conquis plusieurs régions
du monde autre que l’Europe : Amérique, Asie,
Afrique et Australie. Au sein de l’Union européenne,
l’Espagne et l’Italie sont les principaux importateurs
de câpres avec respectivement de 3 637 T et 3 263 T
pour la campagne 2002/2003, soit 75% des
exportations vers les pays de l’UE.
En amont, le câprier pousse au Maroc à l’état
spontané selon deux origines (à l’état sauvage sur
une superficie de 10 000 ha et en culture sur une
superficie de 1 000 ha).
Justification du projet
La matière première est disponible à l’état sauvage
et le processus de production est relativement simple
et consiste en un tri manuel suivi d’un calibrage,
d’un lavage et de la mise en saumure en fûts
pendant 2 à 3 mois. Les unités opérationnelles ne
maîtrisent pas convenablement l’approvisionnement
quantitatif et qualitatif puisqu’elles dépendent des
intermédiaires et les pertes sont encore élevées.
La valorisation du produit fini reste faible puisqu’une
bonne partie est exportée en vrac et le
reconditionnement est effectué dans les pays
importateurs laissant échapper ainsi une valeur
ajoutée pour les industriels marocains.
Les caractéristiques de la demande mondiale sont
favorables puisque le marché européen, qui
représente les 2/3 de la consommation mondiale, est
globalement en croissance. Il y a de la place pour
tous les calibres : les gros calibres sont demandés
par les pays latins (Italie, Espagne, Amérique Latine)
et les petits calibres sont appréciés sur le marché
américain.
Conditions d’approvisionnement
La matière première est principalement localisée
dans la région de Fès, Meknès et Marrakech. La
récolte des câpres commence au moment de leur
croissance avant leur ouverture pour pouvoir les
tremper et les conserver par la suite.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
15
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_14
Intitulé du projet
Unité de surgélation
cœurs d’artichauts
des
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa
Coût global du projet
7 000 000 MAD
Capacité de production
1 200 tonnes par an
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
15 permanents
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35.000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326.000 tonnes), le melon
(près de 180.000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée
sur un secteur agricole performant avec des
terres irriguées et un climat favorable. Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement
installées
restent
insuffisantes dans la région.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la
disponibilité de la matière première à
transformer, une main d’œuvre abondante et
la proximité des grands marchés de
consommation marocains et européens.
En plus, le secteur maraîcher du Gharb s’est
développé rapidement avec l'introduction des
cultures sous-abris dans la zone côtière.
L’activité de conservation de légumes est la
plus importante en termes de valeur ajoutée
et d’exploitations. Ainsi, cette activité a
enregistré un chiffre d’affaire total de plus de
1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de DH à
l’export.
Marchés potentiels :
Régional et national
La culture de l’artichaut occupe une superficie
de 2 424 ha avec une production de 40 818
tonnes.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Les principales régions de production des
artichauts sont le Gharb, la basse moulouya,
Sais et le Haouz.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
16
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_15
Intitulé du projet
Conditionnement
de
fraise surgelée et de
fraise fraîche
la
la
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Souk
Tlet, Mnasra
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
1.600 tonnes par an
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Données sur le secteur
La culture du fraisier occupe une superficie
de près de 2.000 hectares dont un peu plus
de 600 ha dans la région du Gharb-ChrardaBeni Hssen. La production annuelle de cette
région atteint près de 25.000 tonnes pour
une production nationale de 70.000
tonnes ; le reste étant produit dans la
province limitrophe de Larache.
La production est destinée essentiellement à
l’exportation
sous
forme
de
fraises
surgelées. En effet, à l’image des fruits
surgelés marocains de manière générale qui
ont connu de meilleures performances sur
les marchés étrangers, les exportations de
fraises surgelées ont été multipliées par 7
en 10 ans, pour atteindre les 50.000 tonnes
en 2003.
Justification du projet
La région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen
offre de bonnes conditions pour la culture
du fraisier. Les faibles capacités de
conditionnement dans la région par rapport
au volume de la production ainsi que la
tendance de la demande des marchés à
l’exportation
constituent
de
bonnes
opportunités pour l’installation d’unités de
conditionnement.
Marchés potentiels
Fraise fraîche : Le Marché local, la France,
l’Angleterre, la Suisse, la Belgique et la
Hollande.
Fraise surgelée : Certains pays asiatiques
et américains.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Code d'usages international pour le
traitement et la manutention des denrées
surgelées (CAC/RCP 8-1976).
Conditions d’approvisionnement
L’achat de la fraise fraîche peut se faire sur
place. Le produit doit être manipulé dans
des conditions propres à en conserver la
qualité
au
cours
du
transport,
de
l'entreposage et de la distribution, jusqu'au
moment de la vente finale inclusivement. Il
est recommandé que, tout au long des
opérations d'entreposage, de transport, de
distribution et de vente au détail, le produit
soit manutentionné en conformité des
dispositions du Code d'usages international
recommandé pour le traitement et la
manutention
des
denrées
surgelées
(CAC/RCP 8-1976).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_16
Intitulé du projet
Conditionnement
entreposage de
légumes
fruits
et
et
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Slimane,
Souk
Larbaa,
Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk
Tlet,
Moulay
Bousselham,
M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ
Bel Ksiri, Had Kourt
Coût global du projet
7 000 000 MAD
Capacité de production
1 200 tonnes par an
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
20 permanents
Marchés potentiels
Régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans
la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen
est estimée à plus d’un million de tonnes
par an ; elle est réalisée sur une
superficie de près de 35.000 hectares.
Les principales productions sont les
agrumes (326.000 tonnes), le melon
(près de 180.000 tonnes), la pomme de
terre, la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance
fondée sur un secteur agricole performant
avec des terres irriguées et un climat
favorable. Ces productions ne sont
cependant que faiblement valorisées du
fait que les capacités de conditionnement
installées restent insuffisantes dans la
région.
Justification du projet
La valorisation des productions des fruits
et légumes nécessite l’installation de
stations
de
conditionnement
et
d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse
des capacités au niveau de la région ainsi
que la tendance de la demande des
agglomérations de Kenitra et de Rabat
constituent de bonnes opportunités pour
l’installation de nouvelles unités de
conditionnement et d’entreposage de
fruits et légumes.
En fait, les infrastructures telles que les
mûrisseries,
les
stations
de
conditionnement,
les
entrepôts
frigorifiques ou les unités de congélation
sont
très
peu
nombreuses
et
appartiennent à quelques exploitants ou
sociétés agricoles.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être
engagés sur un cahier des charges
commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_17
Intitulé du projet
Produits
dérivés
de
la
tomate : concentré / Séchée
/ Sauces
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation
et
conditionnement des Fruits et
légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mnasra,
Machraa Belksiri
Coût global du projet
55.500.000 MAD
Capacité de production
500 tonnes par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels :
Local 70% - Export 30%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production annuelle du Maroc s’élève à
800 000 tonnes de tomates fraîches, dont
la majeure partie est absorbée par le
marché de frais. La région du Gharb (NordEst) cultive une superficie de l’ordre de 3
000 ha de tomate industrielle. La région de
Tanger – Tétouan (Nord) où se trouve la
CIL (Loukus) comprend une superficie de
l’ordre 500 ha.
Il existe d’autres régions de production
(Chaouia – Ouardigha, Tadla, et Meknès,
du Centre-Ouest au centre-Est du pays)
mais dont la superficie ne dépasse pas 100
ha.
L’essentiel de la production industrielle est
destiné à la transformation en concentrés
et dérivés.
Justification du projet
La production importante de la région en
tomates fraîches offre des opportunités
d’investissement importantes, surtout au
niveau de l’aval de la filière, en
l’occurrence l’industrie alimentaire. Une de
ces opportunités est la production des
produits dérivés de la tomate, dont la
demande aujourd’hui est de plus en plus
forte au niveau national.
Parmi les produits les plus demandés de
cette industrie on retrouve : la tomate
pelée, ketchup, tomate en cube et tomate
séchée.
La place de la région lui permet d’être en
proximité aussi bien des producteurs de la
tomate que des consommateurs.
Conditions d’approvisionnement
La matière première est importante au
niveau de la région, dont l’essentiel est
destiné à la transformation en concentrés
et dérivés.
Cependant, il faut fédérer autour de
l’entreprise un ensemble de producteurs
régionaux. Ces producteurs partenaires
doivent être engagés sur un cahier des
charges commun et partagent les objectifs
de qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_18
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Coût global du projet
8.700.000 MAD
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35 000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon
(près de 180 000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces
productions
disposent
par
ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée sur
un secteur agricole performant avec des terres
irriguées
et
un
climat
favorable.
Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement installées restent insuffisantes
dans la région.
Les infrastructures telles que les mûrisseries,
les stations de conditionnement, les entrepôts
frigorifiques ou les unités de congélation sont
très peu nombreuses et appartiennent à
quelques exploitants ou sociétés agricoles.
Capacité de production
500 tonnes par an
Justification du projet
Intitulé du projet
Semi-conserves d’olives,
câpres, fonds d’artichauts,
asperges et autres légumes
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels :
Local 50% - Export 50%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La proportion élevée de sols aptes aux cultures
maraîchères, la dotation en eau, le faible coût
relatif de la main d’œuvre et la proximité des
grands centres de consommation, sont des
avantages de taille pour la production de fruits
et légumes dans cette région.
Ces
avantages
se
traduisent
par
la
compétitivité de certains produits de la région.
Leur
meilleure
valorisation
nécessite
l’installation de stations de conditionnement et
d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des
capacités au niveau de la région ainsi que la
tendance de la demande des agglomérations de
Kenitra et de Rabat constituent de bonnes
opportunités pour l’installation de nouvelles
unités de conditionnement et d’entreposage de
fruits et légumes.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de services
clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
20
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_19
Intitulé du projet
Unité
de
séchage,
déshydratation et lyophilisation
de la tomate
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation de
légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
60 000 000 MAD
Capacité de production
2 500 tonnes par an
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local 30% et exportation 70%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production annuelle du Maroc s’élève à
800 000 tonnes de tomates fraîches, dont la
majeure partie est absorbée par le marché
de frais. La région du Gharb (Nord-Est)
cultive une superficie de l’ordre de 3 000 ha
de tomate industrielle. La région de Tanger
– Tétouan (Nord) où se trouve la CIL
(Loukous) comprend une superficie de
l’ordre 500 ha.
Il existe d’autres régions de production
(Chaouia – Ouardigha, Tadla, et Meknès, du
Centre-Ouest au centre-Est du pays) mais
dont la superficie ne dépasse pas 100 ha.
L’essentiel de la production industrielle est
destiné à la transformation en concentrés et
dérivés.
Justification du projet
La production importante de la région en
tomates fraîches offre des opportunités
d’investissement importantes, surtout au
niveau de l’aval de la filière, en l’occurrence
l’industrie
alimentaire.
Une
de
ces
opportunités est la production des produits
dérivés de la tomate, dont la demande
aujourd’hui est de plus en plus forte au
niveau national.
Parmi les produits les plus demandés de
cette industrie on retrouve : la tomate
pelée, ketchup, tomate en cube et tomate
séchée.
La place de la région lui permet d’être en
proximité aussi bien des producteurs de la
tomate que des consommateurs.
Conditions d’approvisionnement
La matière première est importante au
niveau de la région, dont l’essentiel est
destiné à la transformation en concentrés et
dérivés.
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs
partenaires
doivent
être
engagés sur un cahier des charges
commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
21
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_20
Intitulé du projet
Unité de produits
alimentaires surgelés
(Légumes et fruits)
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Coût global du projet
13.000.000 MAD
Capacité de production
4 tonnes par jour
Besoin en superficie
3 000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels :
Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production agricole au niveau de la
région est d’une importance assurant au
branche
du
secteur
de
l’industrie
agroalimentaire de disposer de matière
première suffisante et de bonne qualité.
La production des produits surgelés est une
de ces branches, qui, au niveau de la
région de GCBH, reste insuffisante pour
d’une part absorber la production agricole
qui lui est destinée, et d’autre part
atteindre la taille critique permettant au
secteur dans son ensemble de devenir
compétitif en constituant une débouché de
la production agricole.
Justification du projet
L’importance de la production agricole de la
région
offre
plusieurs
opportunités
d’investissements tout au long de la filière.
Parmi ces opportunités les produits
surgelés destinée à la consommation.
Sur un autre registre la consommation des
produits surgelés, respectant les conditions
d’hygiènes, est de plus en plus importante,
surtout avec le changement des modes de
consommation de la population marocaine
et de la région en particulier.
Fruits congelés (fraises, abricots, pêches,
pulpes),
Légumes
congelés
(petits
pois,
carottes, betteraves, etc.)
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première
ne constitue nullement une barrière à
l’entrer dans ce secteur.
Toutefois cette industrie est soumise à des
conditions d’hygiène très stricte nécessitant
une expérience et une connaissance
approfondie. En plus elle demande des
procédures de production spécifiques :
Ligne de préparation (lavage et triage),
tunnel de surgélation, chambres de
conservation,
machines
de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements spéciaux pour fruits et
légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
22
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_21
Intitulé du projet
Unité
de
alimentaires
(Fruits)
produits
surgelés
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Coût global du projet
13.000.000 MAD
Capacité de production
4 tonnes par jour
Besoin en superficie
3 000 m²
Besoin en RH
50 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production agricole au niveau de la
région est d’une importance assurant au
branche
du
secteur
de
l’industrie
agroalimentaire de disposer de matière
première suffisante et de bonne qualité.
La production des produits surgelés est une
de ces branches, qui, au niveau de la
région de GCBH, reste insuffisante pour
d’une part absorber la production agricole
qui lui est destinée, et d’autre part
atteindre la taille critique permettant au
secteur dans son ensemble de devenir
compétitif en constituant une débouché de
la production agricole.
Justification du projet
L’importance de la production agricole de la
région
offre
plusieurs
opportunités
d’investissements tout au long de la filière.
Parmi ces opportunités les produits
surgelés destinée à la consommation.
Sur un autre registre la consommation des
produits surgelés, respectant les conditions
d’hygiènes, est de plus en plus importante,
surtout avec le changement des modes de
consommation de la population marocaine
et de la région en particulier.
Fruits congelés (fraises, abricots, pêches,
pulpes),
Légumes
congelés
(petits
pois,
carottes, betteraves, etc.)
Conditions d’approvisionnement
Marchés potentiels :
Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’approvisionnement en matière première
ne constitue nullement une barrière à
l’entrer dans ce secteur.
Toutefois cette industrie est soumise à des
conditions d’hygiène très stricte nécessitant
une expérience et une connaissance
approfondie. En plus elle demande des
procédures de production spécifiques :
Ligne de préparation (lavage et triage),
tunnel de surgélation, chambres de
conservation,
machines
de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements spéciaux pour fruits et
légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
23
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_22
Intitulé du projet
Unité de production de
tomates séchées
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de tomates
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Kacem, Sidi Slimane,
Moulay Bousselham
Coût global du projet
1.800.000 MAD
Capacité de production
Capacité moyenne unitaire de
l’ordre de 100 T/an
Besoin en superficie
2.500 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35 000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon
(près de 180 000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces
productions
disposent
par
ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée sur
un secteur agricole performant avec des terres
irriguées
et
un
climat
favorable.
Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement installées restent insuffisantes
dans la région.
Les infrastructures telles que les mûrisseries,
les stations de conditionnement, les entrepôts
frigorifiques ou les unités de congélation sont
très peu nombreuses et appartiennent à
quelques exploitants ou sociétés agricoles.
Justification du projet
La production est destinée à l’exportation, donc
il est recommandé de respecter les conditions
d’hygiène, de bien choisir les tomates mures,
de les laver avant et après séchage, de les
protéger contre les insectes, les oiseaux et les
conserver après séchage dans des chambres
réfrigérées.
Conditions d’approvisionnement
Ces unités pourraient avoir une capacité
moyenne unitaire de l’ordre de 100 T/an de
produits finis nets soit l’équivalent de 1 000 T
de tomates fraîches transformées par an.
Plusieurs variantes sont possibles pour un tel
projet :
-Tomate séchée au soleil
-Tomate semi-déshydratée (par le biais d’un
séchoir industriel)
-Tomate séchée à l’huile d’olive
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
24
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_23
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
En 2007, la production mondiale en
agriculture biologique a dépassé les 31
millions d'hectares.
Intitulé du projet
Confitures BIO (Figues,
orange, Fraise…)
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Ensemble
des
communes
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
300 T par an
Besoin en superficie
1.500 m²
Les produits "Bio" couvrent 25 mille
hectares de terres agricoles au Maroc
depuis 1986, répartis sur 54 produits
(légumes, fruits et plantes médicinales et
aromatiques).
Justification du projet
Aussi
bien
au
niveau
national
qu’international, la production et la
demande des produits BIO ne cessent
d’augmenter.
Conseils
La culture Biologique recourt à des
pratiques
culturales
et
d'élevages
soucieux du respect des équilibres
naturels. Elle se définit par l'utilisation de
pratiques spécifiques de production,
l'utilisation d'une liste positive et limitée
de produits de fertilisation, de traitement,
de stockage et de conservation.
Besoin en RH
20 personnes
Les règles de base sont l'interdiction
d'utiliser des engrais chimiques et
pesticides ou herbicides de synthèse.
Marchés potentiels :
National et international
Les productions fruitières biologiques
émanent de deux régions essentielles :
Marrakech et Agadir.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Il serait opportun de mettre en place les
conditions de production biologique au
sein de l’unité de conserves et auprès des
agriculteurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
25
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Fiche de projet n° S_IAA_24
Le secteur marocain des conserves végétales a
connu une croissance constante.
Sa production a passé de 150 000 tonnes en 1990
et 230 000 tonnes en 2000.
Sa contribution au produit intérieur brut est
devenue est importance et ses performances
moyennes remarquables :
Production 5 milliards de Dirhams
Exportations 3,75 milliards de Dirhams
Investissements Annuels 250 millions de
Dirhams
Valeur Ajoutée 1 milliards de Dirhams
Emploi 20 000 emplois directs permanents
Le secteur offre toujours des opportunités
d’investissement surtout avec le développement
technologique qu’il connaît et la diversification de
ses produits.
Intitulé du projet
Unité de conditionnement
de fruits et légumes frais
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Conditionnement de fruits et
légumes frais
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Ensemble
des
communes
Justification du projet
Le secteur n’exprime toutefois pas encore tout son
potentiel eu égard à la biodiversité climatique et
culturale du Maroc, et de la région en particulier, à
la qualité de ses ressources humaines et à sa
proximité de marchés porteurs.
Ces potentialités et ces performances font du
secteur marocain des conserves végétales un
élément clé de la stratégie de développement
socio-économique du Maroc de demain, un
opérateur économique dynamique et bien intégré
aux zones de libre échange établies avec l’Union
Européenne, les pays arabes et les Etats-Unis
d’Amérique
Coût global du projet
11.500.000 MAD
Capacité de production
600 tonnes/an de fruits
légumes
et
Besoin en superficie
5 000 m²
Conditions d’approvisionnement
Besoin en RH
40 personnes
Vu la richesse de la production agricole de la
région, l’approvisionnement en matière première
ne constitue pas une entrave.
Toutefois l’unité doit se doter des installations
adéquates pour assurer la qualité de production
estimée.
Marchés potentiel
Local, national et export.
Généralement, les produits seront triés et mis
en cartons, en filets ou en barquettes pour
être exportés
Liste des produits :
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
-
Courgettes
Melons
Fraises
Artichauts
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
26
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_25
Intitulé du projet
Unité de surgélation de fruits
et légumes : Fèves, petits pois,
oignons,
fonds
et
cœurs
d’artichauts, melons, fraises,
pêches et poires
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation de
légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Had Kort, Sidi Slimane,Moulay
Bousselham,Machraa
Belksiri,
Souk Tlat Lgharb, Lamnasra,
Arbaoua, Khnichat
Coût global du projet
20.500.000 MAD
Capacité de production
5.000 tonnes/an de fruits
légumes
et
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local, national, export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
La production agricole au niveau de la
région est d’une importance assurant au
branche
du
secteur
de
l’industrie
agroalimentaire de disposer de matière
première suffisante et de bonne qualité.
La production des produits surgelés est une
de ces branches, qui, au niveau de la
région de GCBH, reste insuffisante pour
d’une part absorber la production agricole
qui lui est destinée, et d’autre part
atteindre la taille critique permettant au
secteur dans son ensemble de devenir
compétitif en constituant une débouché de
la production agricole.
Justification du projet
L’importance de la production agricole de la
région
offre
plusieurs
opportunités
d’investissements tout au long de la filière.
Parmi ces opportunités les produits
surgelés destinée à la consommation.
Sur un autre registre la consommation des
produits surgelés, respectant les conditions
d’hygiènes, est de plus en plus importante,
surtout avec le changement des modes de
consommation de la population marocaine
et de la région en particulier.
Fruits congelés (fraises, abricot, pêches,
pulpes),
Légumes
congelés
(petits
pois,
carottes, betteraves, etc.)
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première
ne constitue nullement une barrière à
l’entrer dans ce secteur.
Toutefois cette industrie est soumise à des
conditions d’hygiène très stricte nécessitant
une expérience et une connaissance
approfondie. En plus elle demande des
procédures de production spécifiques :
Ligne de préparation (lavage et triage),
tunnel de surgélation, chambres de
conservation,
machines
de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements spéciaux pour fruits et
légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
27
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_26
Intitulé du projet
Unité de surgélation de
frites
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
18.500.000 MAD
Capacité de production
1 500 tonnes/an de frites et de
500 tonnes de flocons pour la
purée de pomme de terre
Besoin en superficie
5000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Local et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la région
du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus
d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur
une superficie de près de 35 000 hectares. Les
principales productions sont les agrumes (326 000
tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la
pomme de terre, la tomate, le poivron et
l’artichaut.
Ces
productions
disposent
par
ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée sur un
secteur agricole performant avec des terres
irriguées et un climat favorable. Ces productions
ne sont cependant que faiblement valorisées du
fait que les capacités de conditionnement installées
restent insuffisantes dans la région.
Les infrastructures telles que les mûrisseries, les
stations de conditionnement, les entrepôts
frigorifiques ou les unités de congélation sont très
peu nombreuses et appartiennent à quelques
exploitants ou sociétés agricoles.
Justification du projet
La proportion élevée de sols aptes aux cultures
maraîchères, la dotation en eau, le faible coût
relatif de la main d’œuvre et la proximité des
grands centres de consommation, sont des
avantages de taille pour la production de fruits et
légumes dans cette région.
Ces avantages se traduisent par la compétitivité de
certains produits de la région. Leur meilleure
valorisation nécessite l’installation de stations de
conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la
faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi
que
la
tendance
de
la
demande
des
agglomérations de Kenitra et de Rabat constituent
de bonnes opportunités pour l’installation de
nouvelles
unités
de
conditionnement
et
d’entreposage de fruits et légumes.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble
de producteurs régionaux. Ces producteurs
partenaires doivent être engagés sur un cahier des
charges commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Il faut s’assurer aussi de l’approvisionnement en
matières premières à faible taux de sucres
réducteurs pour éviter la caramélisation lors du
passage en friteuse.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
28
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_27
Intitulé du projet
Unité de production de chips
de pommes de terre
Secteur
Industrie agro-alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
3.250.000 MAD
Capacité de production
1.200 kg par jour
Besoin en superficie
2000m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Marché
régional,
international
national,
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’agriculture,
l’élevage
les
équipements
agricoles
et
l’agro-industrie,
constituent
incontestablement
le
secteur
le
plus
prometteur de la région. Bénéficiant de
conditions
naturelles
exceptionnelles
par
rapport aux autres régions du Maroc en termes
de ressources en eau (précipitations assez
abondantes, barrages permettant d’irriguer de
grandes
superficies,
infrastructures
d’irrigation) et en sols favorables et diversifiés
permettant la pratique de cultures nombreuses
et à forte valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie
de tous les atouts pour se développer et hisser
la région parmi les principales zones
d’approvisionnement du Maroc en denrées
alimentaires (céréales, légumineuses, cultures
industrielles, produits maraîchers, agrumes,
rosacées, produits laitiers, viandes banches et
viandes rouges, miel, etc.).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la
disponibilité de la matière première, une main
d’œuvre abondante et la proximité des grands
marchés de consommation et d’écoulement.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
pomme de terre fournies en général par des
partenaires locaux. Pour cela il faut fédérer
autour de l’entreprise un ensemble de
producteurs
régionaux.
Ces
producteurs
partenaires doivent être engagés sur un cahier
des charges commun et partagent les objectifs
de qualité et de services clients.
Prévoir également un approvisionnement en
film en plastique pour l’emballage et en huiles
alimentaires pour la friture.
Conseils techniques
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Prévoir
un
équipement
comprenant
essentiellement des systèmes de contrôle, des
convoyeurs en bande, des convoyeurs vibrant
de réception et de séparation d’huile, des
convoyeurs
vibrants
de
distribution
et
d’inspection, des convoyeurs d’alimentation
coupeuse, des convoyeurs d’alimentation
peseuse, des calibreurs de diamètre, des
coupeurs de pomme de terre, des trieuses et
des pompes à produits alimentaires.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
29
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_28
Intitulé du projet
Séchage de vigne
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de fruits et de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Sidi Kacem
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
2000 T/an
Besoin en superficie
1000 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Marché national
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La
région
présente
de
grandes
potentialités de production de raisins
(8.800T actuellement et potentiellement
75.000T). Cette Culture est en extension
dans
le
Gharb
notamment
avec
l'introduction de nouvelles technologies
(variétés productives, irrigation localisée,
conduite en pergola…).
Justification du projet
- Inexistence d'unité de transformation
de la production de raisins dont la
grande partie est consommée à l'état
frais.
- Grande importation de raisins secs sur
le marché national actuellement.
Conditions d’approvisionnement
Les
raisons
doivent
être
traitées
efficacement car s’il est contaminé de
manière généralisée par les moisissures :
- il ne peut pas être utilisé pour la
consommation humaine, ni frais, ni
comme raisin sec, ni pour l'élaboration
de moût concentré, de jus de raisin,
de vinaigre ;
- son utilisation doit être limitée à la
distillation.
Quelques conseils techniques pour la
production destinée à l’obtention de
raisins secs :
- Trier les raisins en éliminant les grains
endommagés et contaminés.
- Favoriser le séchage progressif et
uniforme de toutes les parties de la
grappe.
- Pour les conditions particulières de
séchage
en
plein
air,
il
est
recommandé d’effectuer le séchage
dans des conditions bien ventilées et
de couvrir les raisins pendant la nuit
pour éviter la condensation de
l’humidité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
30
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_29
Intitulé du projet
Conserverie végétale
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de fruits et légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
600 T/Jour
Besoin en superficie
9.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par
an ; elle est réalisée sur une superficie de
près de 35 000 hectares. Les principales
productions sont les agrumes (326 000
tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes),
la pomme de terre, la tomate, le poivron et
l’artichaut.
Le secteur maraîcher du Gharb commence à
se développer avec l'introduction des
cultures sous-abris dans la zone côtière.
L’activité de conservation de légumes est la
plus importante en termes de valeur
ajoutée
et
surtout
en
termes
d’exploitations. Ainsi, cette activité a
enregistré un chiffre d’affaire total de plus
de 1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de
DH à l’export.
Justification du projet
- Potentiel de la production en augmentation
prévisible
avec
les
travaux
actuels
d'aménagement,
de
réhabilitation
et
d'extension des secteurs irrigués.
- Proximité des grands centres d'écoulement
des produits finis.
- Larges possibilités d'exportation compte
tenu de la forte demande des marchés
extérieurs.
- Volonté des producteurs de s'organiser en
OPA
pour
la
production
et
la
commercialisation du produit.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs
partenaires
doivent
être
engagés sur un cahier des charges
commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
31
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_30
Intitulé du projet
Les escargots en conserves
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Escargot préparé et conservé
Lieu d’implantation proposé
Provinces de Kénitra et Sidi
Kacem
Coût global du projet
4.750.000 MAD
Capacité de production
45 millions d'escargots par an
Besoin en superficie
2.500 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Export 80%, National 20%
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'escargot fait aujourd'hui l'objet
d'un
commerce intense. Il est très apprécié dans
l'alimentation
et
constitue
une
source
importante de protéine animale et rentre
également dans la pharmacopée où il est utilisé
entre autre pour le traitement de l'asthme et
l'hémorroïde. En outre, sa coquille sert
d'emballage pour les anti-poisons et les
antivenimeux et est aussi utilisée pour amender
les sols acides et dans l'alimentation de la
volaille.
De nos jours, l'expansion de l'aménagement
des terres hydro morphes qui sont leurs
habitats de prédilection et le prélèvement
intense occasionnent une raréfaction de
l'escargot et menacent dangereusement la
survie de l'espèce.
Justification du projet
La région offre les conditions propices à la
réalisation d’un tel projet vu son écosystème
adapté et la disponibilité des matériaux
nécessaires à la nourriture des escargots.
Le produit est demandé au niveau international,
en l’occurrence en Europe.
Conseils techniques
L’entrepreneur peut s’inspirer des pratiques
accumulées par les pays avancés, tel que la
France.
Il est toutefois appelé à assurer une traçabilité
précise, conforme aux normes et standards
internationaux pour pourvoir conquérir le
marché international.
D’un point de vu technico-commercial, il est
recommandé:
• Que le Bouillon soit enrichi en aromates
• De proposer des boîtes équipées de
couvercles à ouverture facile
• De Proposer une gamme de conserves en
formats multiples ;
• D’adopter
une
stratégie
de
communication adaptée;
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
32
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_31
Intitulé du projet
Terrine d'escargot
gentiane
à
la
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Escargot préparé et conservé
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
4 800 000 MAD
Capacité de production
750 T par an.
Besoin en superficie
2500 m² de bâtiments
Données sur le secteur
L'escargot fait aujourd'hui l'objet
d'un
commerce intense. Il est très apprécié dans
l'alimentation
et
constitue
une
source
importante de protéine animale et rentre
également dans la pharmacopée où il est utilisé
entre autre pour le traitement de l'asthme et
l'hémorroïde. En outre, sa coquille sert
d'emballage pour les anti-poisons et les
antivenimeux et est aussi utilisée pour amender
les sols acides et dans l'alimentation de la
volaille.
De nos jours, l'expansion de l'aménagement
des terres hydro morphes qui sont leurs
habitats de prédilection et le prélèvement
intense occasionnent une raréfaction de
l'escargot et menacent dangereusement la
survie de l'espèce.
Justification du projet
La région offre les conditions propices à la
réalisation d’un tel projet vu son écosystème
adapté et la disponibilité des matériaux
nécessaires à l’élevage des escargots.
Le produit est demandé au niveau international,
en l’occurrence en Europe.
Besoin en RH
40 personnes
Conseils techniques
Marchés potentiels
Export 80%, National 20%
Composition : farce campagne et escargot,
ail, persil, oignon, gentiane (1,3%), œuf,
farine, sel, poivre.
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Il faudra assurer une traçabilité précise,
conforme
aux
normes
et
standards
internationaux pour pourvoir conquérir le
marché international.
D’un point de vu technico-commercial, il est
recommandé :
•
Que le Bouillon soit enrichi en aromates ;
•
De proposer des boîtes équipées
couvercles à ouverture facile ;
•
De Proposer une gamme de conserves en
formats multiples ;
•
D’adopter
une
communication adaptée.
stratégie
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
de
de
33
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_32
Intitulé du projet
Unité
moyenne
de
transformation de la niora
(pimenterie)
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et
Conditionnement des légumes
et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
900 tonnes par an
Besoin en superficie
2500 m²
Besoin en RH
8 permanents
Marchés potentiels :
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le Maroc consacre une superficie de 700.000
ha à la culture des fruits et légumes avec une
production globale de 3 millions tonnes de fruits
et 4 millions tonnes de légumes.
Le secteur maraîcher du Gharb se compose des
productions de saison, des primeurs et des
productions destinées à la transformation. Ce
secteur a connu un développement avec
l'introduction des cultures sous-abris dans la
zone côtière. A partir du début des années 80,
le secteur maraîcher s’est orienté vers les
cultures d'exportation, en particulier la fraise,
et les cultures de transformation notamment le
niora et la tomate
La niora est une plante annuelle appartenant à
la famille des solanacées. Le fruit est la base
d’un condiment en poudre, utilisé comme
colorant alimentaire dans la cuisine marocaine.
Le secteur de la production de piment est
important eu égard aux superficies cultivées et
à la production relativement importante du
piment
moulu.
Cette
activité
contribue
activement à l’amélioration du niveau socioéconomique.
Justification du projet
La proportion élevée de sols aptes aux cultures
maraîchères, la dotation en eau, le faible coût
relatif de la main d’œuvre et la proximité des
grands centres de consommation, sont des
avantages de taille pour la production et la
transformation de la niora dans la région.
Conseils techniques
La transformation de la niora en piment passe
par la réception de la matière première, la
mouture, l’huilage et malaxage, le tamisage, le
conditionnement, le stockage et enfin la
livraison.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant auprès
des producteurs de la région ou des régions
avoisinantes.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
34
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_33
Intitulé du projet
Unité de transformation des
pruneaux
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Moulay
Bousselham, Sidi Slimane, Sidi
Kacem, Ouezzane
Coût global du projet
6.500.000 MAD
Capacité de production
13.000 tonnes par an
Besoin en superficie
3.500 m²
Besoin en RH
25 permanents
Marchés potentiels :
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un
million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une
superficie de près de 35 000 hectares. Les
principales productions sont les agrumes (326 000
tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la
pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités
réelles de croissance fondée sur un secteur agricole
performant avec des terres irriguées et un climat
favorable. Ces productions ne sont cependant que
faiblement valorisées du fait que les capacités de
conditionnement installées restent insuffisantes dans
la région.
Justification du projet
La demande tant à l’étranger qu’au niveau national
est très importante et la possibilité de produire une
grande quantité localement sont les principales
justifications de ce projet.
Les pruneaux transformés par cette unité devront
être présentés sous différentes formes :
- les crèmes de pruneaux : elles sont fabriquées à
partir de pruneaux, généralement de petits
calibres, tamisés pour éliminer les noyaux. On
ajoute du sucre et on stérilise.
- les pruneaux au sirop : ce sont des pruneaux
réhydratés, mis en boîte ou bocal avec un sirop
de sucre et stérilisés.
- les jus de pruneaux : ils sont obtenus après
diffusion complète dans l’eau chaude. La matière
sèche recueillie est ensuite concentrée sous
forme de jus de pruneaux très appréciés en
alimentation diététique.
- le concentré de jus de pruneaux : il est obtenu
en concentrant les bains de réhydratation de
pruneaux puis en les re-diluant pour obtenir un
produit utilisé notamment en diététique.
- les pâtes de pruneaux : elles sont obtenues en
malaxant de la pulpe de pruneaux et
additionnées ou non de sucre, de pectine de
pomme et d’aromatisant. Cette pâte est
notamment utilisée pour la préparation de
pruneaux fourrés.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de
producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires
doivent être engagés sur un cahier des charges
commun et partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
35
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_34
Intitulé du projet
Unité de conditionnement
de prunes secs
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Transformation et conservation
de légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Moulay
Bousselham, Sidi Slimane
Coût global du projet
5 000 000 MAD
Capacité de production
10 000 tonnes par an
Besoin en superficie
5 000 m²
Besoin en RH
12 permanents
Marchés potentiels :
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un
million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une
superficie de près de 35 000 hectares. Les
principales productions sont les agrumes (326 000
tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la
pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités
réelles de croissance fondée sur un secteur agricole
performant avec des terres irriguées et un climat
favorable. Ces productions ne sont cependant que
faiblement valorisées du fait que les capacités de
conditionnement installées restent insuffisantes dans
la région.
Justification du projet
La demande tant à l’étranger qu’au niveau national
est très importante et la possibilité de produire une
grande quantité localement sont les principales
justifications de ce projet.
Les produits séchés traditionnellement comprennent
des fruits (exemple : les raisins, les figues, les
prunes et les dattes), des légumes et d'autres
plantes.
Les techniques utilisées sont très rudimentaires et
consistent a exposer au soleil des produits entiers si
ils sont de petites tailles, ou très riches en sucre
(raisins, figues, prunes) ou des produits découpés si
ils sont plus gros et riches en humidité .
L'exposition se fait directement sur le sol. Certains
produits reçoivent avant exposition au soleil un
traitement pour conserver les couleurs, ou les
caractéristiques du produit.
Cette technique peu capitalistique et simple constitue
une opportunité à saisir.
Eventuellement, il serait important que l’unité créée
apporte des améliorations aux techniques actuelles
de séchages solaire consistent à savoir :
- Mettre les produits à l'abri des poussières
pendant le séchage et le stockage
- Traiter les produits contre les insectes et
acariens
- réduire au minimum les transports des fruits
frais, très vulnérables aux manipulations
Conditions d’approvisionnement
Le stockage des prunes séchés se fait dans des sacs
en papier ou en jute ou dans des couffins.
Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de
producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires
doivent être engagés sur un cahier des charges
commun et partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Soit, il faut intégrer la filière en amont et assurer
une autoproduction.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
36
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_35
Intitulé du projet
Mini – Huilerie d’olive
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Fabrication d'huiles d'olives
Lieu d’implantation proposé
Commune : Arbaoua, Ain Dfali, Selfat,
Had Kort, Béni Quolla, Sidi Ameur El
Hadi, Jorf El Melha, Mechraâ Bel Ksiri,
Béni Oual, Sidi Azouz, Moulay Abdel
Kader, Sidi Ameur El Hadi, Sidi Ahmed
Ben Aisaa, Lmrabih, Sidi M’hamed
Chelh, Taoughlit, Khénichet, Bab
Tiouka, Zirara, Zagota, Selfat, Tekna,
Bir
Taleb,
Chbanat,
Masmouda,
Mzefouren, Sidi Redouane, Ounana,
Lamjaara, Teroual, Zghira, Sidi Hmed
Cherif, Sidi Bousber, Nouirat, Sidi Al
Kamal, Rmilat, Sefsaf, Al Haouafat,
Dar Laaslouji, Lalla Mimouna, Sidi
Boubker
Coût global du projet
1.300.000 MAD
Capacité de production
10 tonnes par jour
Besoin en superficie
400 m²
Besoin en RH
8 personnes
Marchés potentiels :
Régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’oléiculture revêt un intérêt particulier dans le
tissu économique national en général et l’économie
rurale en particulier. La superficie occupée par
l’olivier a atteint 477 mille hectares avec une
production de 455 mille tonnes durant la
campagne 2001-2002.
En ce qui concerne les unités de trituration des
olives, le Maroc compte 287 unités d’une capacité
nominale de 506 mille tonnes par an ainsi que de
plus de 15 mille mâasras (unités traditionnelles de
trituration des olives). Les unités industrielles de
trituration installées dans la région du GharbChrarda-Beni Hssen sont au nombre de 9 et ont
une capacité nominale de plus de 10 mille tonnes
par an. La région compte aussi 778 mâasras.
L’ensemble de ces unités (industrielles et mâasras)
se situent dans la province de Sidi Kacem.
Justification du projet
La caractéristique la plus importante pour l’huile
d’olive est sa faible consommation par tête au
Maroc comparée avec celle de nos voisins et
concurrents immédiats (Espagne, Tunisie). En
moyenne la consommation au Maroc ne dépasse
pas les 3 kg/personne/an, contre 10/12 pour
l’Espagne. Cette caractéristique correspond aussi à
un
faible
taux
d’industrialisation
de
la
transformation. Par conséquent, le marché de
l’huile d’olive au Maroc est porteur en termes de
demande car la consommation par tête y demeure
réduite.
Les capacités de transformation moderne dans la
région sont limitées à quelques unités. La
compétitivité de la production agricole régionale
est avérée et la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen participe par une production de plus 7 mille
tonnes et une superficie de près de 7 mille
hectares. Cette production est appelée à
augmenter du fait des extensions des plantations
oléicoles et de l’introduction de nouvelles variétés
à forte productivité dans le cadre des programmes
projetés par le département de l’agriculture. Par
ailleurs, la rentabilité étudiée dans les projets en
cours pour ce type d’investissement serait assurée
par l’amélioration des taux d’extraction qui
permettrait d’accroître la marge de transformation
de 1 à 2 DH/kg d’huile brute.
Conditions d’approvisionnement
Au niveau de la région de GCBH, le producteur
peut produire pour son propre compte ou acheter
auprès des producteurs locaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
37
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_36
Intitulé du projet
Huilerie d’olive en flux continu
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Fabrication d'huiles d'olives
Lieu d’implantation proposé
Commune : : Arbaoua, Ain Dfali,
Selfat, Had Kort, Béni Quolla, Sidi
Ameur El Hadi, Jorf El Melha, Mechraâ
Bel Ksiri, Béni Oual, Sidi Azouz,
Moulay Abdel Kader, Sidi Ameur El
Hadi, Sidi Ahmed Ben Aisaa, Lmrabih,
Sidi
M’hamed
Chelh,
Taoughlit,
Khénichet, Bab Tiouka, Zirara, Zagota,
Selfat, Tekna, Bir Taleb, Chbanat,
Masmouda, Mzefouren, Sidi Redouane,
Ounana, Lamjaara, Teroual, Zghira,
Sidi Hmed Cherif, Sidi Bousber,
Nouirat, Sidi Al Kamal, Rmilat, Sefsaf,
Al Haouafat, Dar Laaslouji, Lalla
Mimouna, Sidi Boubker
Coût global du projet
4 000 000 MAD
Capacité de production
60 tonnes par jour
Besoin en superficie
840 m²
Besoin en RH
14 permanents
Marchés potentiels :
Régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’oléiculture revêt un intérêt particulier dans le tissu
économique national en général et l’économie rurale
en particulier. La superficie occupée par l’olivier a
atteint 477 mille hectares avec une production de
455 mille tonnes durant la campagne 2001-2002.
En ce qui concerne les unités de trituration des
olives, le Maroc compte 287 unités d’une capacité
nominale de 506 mille tonnes par an ainsi que de
plus de 15 mille mâasras (unités traditionnelles de
trituration des olives). Les unités industrielles de
trituration installées dans la région du GharbChrarda-Beni Hssen sont au nombre de 9 et ont une
capacité nominale de plus de 10 mille tonnes par an.
La région compte aussi 778 mâasras. L’ensemble de
ces unités (industrielles et mâasras) se situent dans
la province de Sidi Kacem.
Justification du projet
La caractéristique la plus importante pour l’huile
d’olive est sa faible consommation par tête au Maroc
comparée avec celle de nos voisins et concurrents
immédiats (Espagne, Tunisie). En moyenne la
consommation au Maroc ne dépasse pas les 3
kg/personne/an, contre 10/12 pour l’Espagne. Cette
caractéristique correspond aussi à un faible taux
d’industrialisation
de
la
transformation.
Par
conséquent, le marché de l’huile d’olive au Maroc est
porteur en termes de demande car la consommation
par tête y demeure réduite.
Les capacités de transformation moderne dans la
région sont limitées à quelques unités. La
compétitivité de la production agricole régionale est
avérée et la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen
participe par une production de plus 7 mille tonnes
et une superficie de près de 7 mille hectares. Cette
production est appelée à augmenter du fait des
extensions
des
plantations
oléicoles
et
de
l’introduction
de
nouvelles variétés
à
forte
productivité dans le cadre des programmes projetés
par le département de l’agriculture. Par ailleurs, la
rentabilité étudiée dans les projets en cours pour ce
type
d’investissement
serait
assurée
par
l’amélioration des taux d’extraction qui permettrait
d’accroître la marge de transformation de 1 à 2
DH/kg d’huile brute.
Conditions d’approvisionnement
Au niveau de la région de GCBH, le producteur peut
produire pour son propre compte ou acheter auprès
des producteurs locaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
38
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_37
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Besoin en superficie
10.000 m²
L'essentiel de la consommation des corps gras au
Maroc concerne les huiles végétales raffinées. Ces
huiles proviennent du raffinage des huiles brutes
importées et des huiles brutes produites localement
à partir de la trituration des graines. Pour la
trituration, le Maroc traite aussi bien des graines
importées que des graines produites localement. La
capacité de trituration des unités industrielles au
niveau national est de l’ordre de 500 à 600 000 T/an
alors que les écrasements moyens au cours des 5
dernières années ont atteint 300 000 tonnes/an. Les
huiles végétales brutes produites localement par les
unités de trituration sont vendues aux raffineries.
L'industrie de raffinage des huiles végétales au
Maroc compte une dizaine d'unités ayant une
capacité nominale de raffinage de 312 000 T/an
dont 18 000 T/an (soit près de 6%) pour la seule
huilerie installée dans la région du Gharb-ChrardaBeni Hssen. Cette filière se caractérise par
l’importance des produits dérivés, les tourteaux, qui
sont destinés à la fabrication d’aliments de bétail.
La production de graines oléagineuses au Maroc est
constituée essentiellement de graines de tournesol.
Les autres graines (coton, soja et colza, carthame)
ne représentent que des parts très faibles dans la
production nationale. La production d'arachide quant
à elle est destinée à la consommation humaine
directement.
Besoin en RH
50 personnes
Justification du projet
Intitulé du projet
Huilerie en container
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Slimane,
Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal
Tazi,
Souk
Tlet,
Moulay
Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem,
Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
20 tonnes par jour pour l’huilerie
et 5 tonnes par jour pour le
raffinage
Marchés potentiels
National 80% et export 20%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La demande d’huile de graines s’est accrue
rapidement durant les 20 dernières années. La
consommation par tête a en effet augmenté de 4%
par an et la demande globale de 5,2% bien qu’une
stagnation de la demande par tête ait été enregistrée
durant les dernières années. La demande de
tourteaux se caractérise également par une
dynamique favorable à cause de la croissance de la
demande des viandes de volailles. Il existe des
possibilités futures pour la commercialisation d'une
huile de tournesol raffinée de bonne qualité en tant
que produit distinct destiné à la consommation
humaine.
Conditions d’approvisionnement
La région présente des atouts manifestes en matière
de maîtrise de l’approvisionnement puisque la
production des graines oléagineuses dans la région
du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de 25 000 tonnes
de tournesol (soit 75% de la production nationale)
sur une superficie de 35 500 ha, de 19 000 tonnes
d’arachide (soit 48% de la production nationale).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
39
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_38
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Huilerie moderne
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Ouezzane,
Sidi
Kacem, Kénitra
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
3.000 tonnes par an
Besoin en superficie
125.00 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L'essentiel de la consommation des corps gras au
Maroc concerne les huiles végétales raffinées. Ces
huiles proviennent du raffinage des huiles brutes
importées et des huiles brutes produites
localement à partir de la trituration des graines.
Pour la trituration, le Maroc traite aussi bien des
graines importées que des graines produites
localement. La capacité de trituration des unités
industrielles au niveau national est de l’ordre de
500 à 600 000 T/an alors que les écrasements
moyens au cours des 5 dernières années ont
atteint 300 000 tonnes/an. Les huiles végétales
brutes produites localement par les unités de
trituration sont vendues aux raffineries. L'industrie
de raffinage des huiles végétales au Maroc compte
une dizaine d'unités ayant une capacité nominale
de raffinage de 312 000 T/an dont 18 000 T/an
(soit près de 6%) pour la seule huilerie installée
dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen.
Cette filière se caractérise par l’importance des
produits dérivés, les tourteaux, qui sont destinés à
la fabrication d’aliments de bétail. La production de
graines oléagineuses au Maroc est constituée
essentiellement de graines de tournesol. Les autres
graines (coton, soja et colza, arachide, carthame)
ne représentent que des parts très faibles dans la
production nationale.
Justification du projet
Ce projet devra produire différentes variétés
d’huiles de savons et de tourteaux.
L’objectif poursuivi à travers ce projet type est
d’installer une huilerie avec système continu de
centrifugation de 2/3 phases doté de tous les
éléments pour être capable de produire des huiles
de haute qualité. Le fonctionnement de cette
installation doit permettre la maîtrise des coûts de
production et l’instauration d’une culture de
production d’huile de qualité.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement en graines en
effectuant des contrats avec les producteurs
régionaux et nationaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
40
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_39
Intitulé du projet
Conditionnement d’huile
d’olives
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Ouezzane,
Sidi
Kacem, Kénitra, Sidi Slimane,
Sidi Yahia
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
200 tonnes par an
Besoin en superficie
2.000 m²
Besoin en RH
8 personnes
Marchés potentiels
Local (50%) et export (50%)
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur marocain des conserves végétales
a connu une croissance constante.
Sa production a passé de 150 000 tonnes en
1990 à 230 000 tonnes en 2000.
Sa contribution au produit intérieur brut est
importante et ses performances moyennes
remarquables :
Production 5 milliards de Dirhams
Exportations 3,75 milliards de Dirhams
Investissements Annuels 250 millions
de Dirhams
Valeur Ajoutée 1 milliards de Dirhams
Emploi
20
000
emplois
directs
permanents
Le
secteur
offre
des
opportunités
d’investissement
surtout
avec
le
développement technologique qu’il connaît et
la diversification de ses produits.
Justification du projet
Le secteur n’exprime toutefois pas encore
tout son potentiel eu égard à la biodiversité
climatique et culturale du Maroc, à la qualité
de ses ressources humaines et à sa proximité
de marchés porteurs.
Ces potentialités et ces performances font du
secteur marocain des conserves végétales un
élément clé de la stratégie de développement
socio-économique du Maroc de demain, un
opérateur économique dynamique et bien
intégré aux zones de libre échange établies
avec l’Union Européenne, les pays arabes et
les Etats-Unis d’Amérique
L’objectif est d’installer une salle de
conditionnement d’huile d’olive, dotée de tous
les
éléments
pour
être
capable
de
conditionner 200 tonnes d’huile par an.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première
peut se faire localement aussi bien que des
régions avoisinantes.
L’emballage et le conditionnement de l’huile
d’olive peut se faire aussi bien en verre qu’en
plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
41
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_40
Intitulé du projet
Unité de production d’huile
de tournesol
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Slimane, Souk Larbaa, Mograne,
Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay
Bousselham,
M’Saada,
Sidi
Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had
Kourt.
Coût global du projet
7.500.000 MAD
Capacité de production
750 T/an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
Régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur de l’Agrobusiness est le plus prometteur
de la région puisqu’il bénéficie de conditions
naturelles exceptionnelles par rapport aux autres
régions du Maroc en termes de ressources en eau
(précipitations
assez
abondantes,
barrages
permettant d’irriguer de grandes superficies,
infrastructures d’irrigation) et en sols favorables et
diversifiés permettant la pratique de cultures
nombreuses et à forte valeur ajoutée. Ce secteur
bénéficie de tous les atouts pour se développer et
hisser la région parmi les principales zones
d’approvisionnement
du
Maroc
en
denrées
alimentaires.
Le secteur des oléagineux est considéré parmi les
secteurs prioritaires de l’agriculture marocaine.
Depuis les années 80, le tournesol a connu un
développement important grâce aux actions de
vulgarisation et de soutien de cette culture au
niveau des zones productrices. Les oléagineux
occupent au niveau du Gharb une superficie
moyenne de l’ordre de 70.000 Ha soit 18% de la
SAU dont 3500 Ha pour l’olivier assurent une
production annuelle brute d’environ 47.000
Tonnes.
Justification du projet
Le Gharb possède de nombreuses potentialités qui
lui permettent d’être parmi les pôles à potentiel de
production agroindustrielle les plus importants du
Maghreb.
La culture de tournesol occupe une surface de
34.000 ha avec une production annuelle qui atteint
48.000 T.
L’huile est extraite des graines, dont la teneur dans
les variétés améliorées varie de 45 à 50 %. L’huile
de tournesol est appréciée pour son équilibre en
acides gras : elle contient 12 % seulement d’acides
gras saturés et beaucoup d’acides gras mono ou
poly-insaturés, acide oléique, acide palmitique et
surtout acide linoléique, qui est un acide gras
essentiel. D’après les nutritionnistes, cette huile a
d’excellentes qualités diététiques, par exemple
pour combattre le diabète. C’est également une
bonne source de vitamine E. L’huile de tournesol
entre dans la composition des margarines. Elle sert
aussi à la fabrication de savon et de cierges.
Conditions d’approvisionnement
La région concentre près de 78% de la production
agricole en oléagineuses.
Cependant, pour un meilleur approvisionnement, il
faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de
producteurs
régionaux.
Ces
producteurs
partenaires doivent être engagés sur un cahier des
charges commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
42
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_41
Intitulé du projet
Unité de production d’huile
d’arachide
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Slimane, Souk Larbaa, Mograne,
Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay
Bousselham,
M’Saada,
Sidi
Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had
Kourt
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Le secteur de l’Agrobusiness est le plus
prometteur de la région puisqu’il bénéficie de
conditions naturelles exceptionnelles par
rapport aux autres régions du Maroc en
termes de ressources en eau (précipitations
assez abondantes, barrages permettant
d’irriguer
de
grandes
superficies,
infrastructures
d’irrigation)
et
en
sols
favorables et diversifiés permettant la
pratique de cultures nombreuses et à forte
valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous
les atouts pour se développer et hisser la
région
parmi
les
principales
zones
d’approvisionnement du Maroc en denrées
alimentaires
Les huiles alimentaires constituent un produit
de première nécessité au Maroc. Le secteur
des oléagineux est considéré parmi les
secteurs
prioritaires
de
l’agriculture
marocaine.
Justification du projet
Capacité de production
850 tonnes par an
Besoin en superficie
16.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Régional
et
national
international
Données sur le secteur
et
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le
Gharb
possède
de
nombreuses
potentialités qui lui permettent d’être parmi
les
pôles
à
potentiel
de
production
agroindustrielle les plus importants du
Maghreb.
La culture d’arachide occupe une surface de
9.280 ha avec une production annuelle qui
atteint 22.000T. La région concentre 78% de
la production des oléagineuses du Maroc
L'huile d'arachide est une huile végétale
alimentaire préparée et extraite à partir de
cacahuètes
au
moyen
d'une
presse
hydraulique.
Il s'agit d'une huile à couleur très limpide
idoine
pour
les
cuissons
à
hautes
températures, ce qui fait de cette huile
appropriée pour frire les aliments, mais aussi
pour préparer des mayonnaises ou encore des
vinaigrettes pour salades.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement en arachides.
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
43
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_42
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
beurre d’arachide
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Slimane, Sidi Kacem
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les principales espèces oléagineuses annuelles
cultivées au Maroc sont le tournesol, le colza,
l'arachide, le soja et le carthame. La superficie
totale réservée à la culture de l’arachide est de
25.000 ha pour un rendement moyen allant de 10
à 16 qx/ha.
La région du Gharb concentre plus de 78% de la
production oléagineuse.
Ces
productions
disposent
par
ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée sur un
secteur agricole performant avec des terres
irriguées et un climat favorable. Ces productions
ne sont cependant que faiblement valorisées.
Justification du projet
Besoin en superficie
8.000 m²
La culture d'arachide a connu ces dernières années
une extension importante dans les régions du
Loukkos et du Gharb. En effet, elle occupe plus de
10.000 ha pour une production de 22.000
tonnes/an.
L'adoption rapide de l'arachide et l'extension des
superficies de cette culture sont justifiées par son
rôle dans l'amélioration des revenus des
agriculteurs et dans l'approvisionnement en
alimentation du bétail.
Besoin en RH
45 permanents
L’arachide est une denrée semi-périssable. Stockée
dans des conditions favorables, elle peut se
conserver pendant plusieurs années.
Marchés potentiels
Régional et national
Dans le cas contraire, elle peut devenir impropre à
la consommation en l’espace d’un mois à cause de
la moisissure, des insectes ou de l’absorption de
saveur étrangère qu’on appelle alors rancissement.
Coût global du projet
12.000.000 MAD
Capacité de production
1.000 T/an
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Conseils techniques
La fabrication du beurre de cacahuète comprend le
décorticage, le grillage à sec, le blanchiment des
graines et le broyage fin. Le grillage et le
blanchiment ne sont pas impératifs. Néanmoins la
pellicule rouge ocre doit être enlevée avant le
broyage, éventuellement à la main. En général,
des ingrédients tels que le sel, les matières grasses
hydrogénées, le dextrose, la glycérine et la
lécithine ou anti-oxydant, sont incorporés afin
d’améliorer la saveur, d’éviter la séparation de
l’huile et de maîtriser le rancissement.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement en arachides. Il faut
fédérer autour de l’entreprise un ensemble de
producteurs
régionaux.
Ces
producteurs
partenaires doivent être engagés sur un cahier des
charges commun et partagent les objectifs de
qualité et de services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
44
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_43
Intitulé du projet
Fabrication de glace et de
sorbets: Crème glacée
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
3.000 litres par jour
Besoin en superficie
7.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels :
National 90%, Export 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'infrastructure industrielle de transformation
du lait au Maroc s'est rapidement développée
au cours de ces dernières années. La capacité
de traitement installée est ainsi passée de 850
000 litres/j en 1975 à 2,7 millions de litres/j en
2004. En 2004, les quantités de lait
transformées représentent 60 % de la
production totale. Toutefois, près de 90 % du
lait collecté est transformé en lait pasteurisé de
boisson, les dérivés laitiers qui assurent les
marges bénéficiaires les plus élevées ne
représentant que 10 % des volumes collectés.
Justification du projet
Le secteur laitier représente une des rares
activités agricoles où le prix à la production est
stable et connu par rapport à d’autres
spéculations (maraîchage, arboriculture, etc.).
Cette stabilité constitue un attrait indéniable
pour de nombreux acteurs économiques, en
particulier les éleveurs. Ces derniers doivent
s’efforcer de produire à un coût de revient
inférieur au prix du lait à la production. Ce
secteur se caractérise aussi par une filière
longe et diversifiée, qui avec l’existence de
matière première abondante tel que au niveau
de la région de GCBH, permet des opportunités
d’investissement importante.
Parmi les branches porteuses de cette filière on
retrouve la production de Crème glacée
conditionnée sous différentes formes, qui avec
l’amélioration
du
pouvoir
d’achat
des
consommateurs de la région aussi bien que
leurs habitudes de consommation.
L’émergence
de
nouveaux
marchés
demandeurs tels que l’Afrique Ouest constitue
également une excellente opportunité à saisir.
Conditions d’approvisionnement
Au niveau de la région GCBH, la matière
première ne constitue pas une contrainte pour
l’exercice de cette activité, toutefois les normes
et les conditions d’hygiène régissant ce
secteurs sont strictes et nécessitent la mise en
place de structure de production adapté et de
qualité tel que : Matériel de réception de lait,
pasteurisateur, malaxeur, cuves, groupes
frigorifiques, chambres de congélation, ligne de
conditionnement.
La production régionale laitière peut satisfaire
largement les besoins d’une telle unité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
45
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_44
Intitulé du projet
Projet de fabrication de pulpes
de : pommes – fraises –
pêches- poires
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Moulay
Bousselham, Souk Larbaa, Lalla
Mimouna
Coût global du projet
22.000.000 MAD
Capacité de production
5.000 tonnes par an
Besoin en superficie
3.500 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Local et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production agricole au niveau de la
région est d’une importance assurant aux
branches
du
secteur
de
l’industrie
agroalimentaire de disposer de matière
première suffisante et de bonne qualité.
Cette production dispose par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée
sur un secteur agricole performant avec des
terres irriguées et un climat favorable. Ces
productions
ne
sont
cependant
que
faiblement valorisées du fait que les
capacités de conditionnement installées
restent insuffisantes dans la région.
Justification du projet
La valorisation des productions des fruits
nécessite l’installation de stations de
conditionnement et d’entrepôts frigorifiques
dont la faiblesse des capacités au niveau de
la région ainsi que la tendance de la
demande des agglomérations de Kénitra et
de
Rabat
constituent
de
bonnes
opportunités pour l’installation de nouvelles
unités de conditionnement et d’entreposage
de fruits.
En fait, les infrastructures telles que les
mûrisseries,
les
stations
de
conditionnement, les entrepôts frigorifiques
ou les unités de congélation sont très peu
nombreuses et appartiennent à quelques
exploitants ou sociétés agricoles.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première
ne constitue nullement une barrière à
l’entrer dans ce secteur. En effet, la
production
régionale
permet
de
s’approvisionner dans de bonnes conditions.
Toutefois cette industrie est soumise à des
conditions d’hygiène très stricte nécessitant
une expérience et une connaissance
approfondie. En plus elle demande des
procédures de production spécifiques :
Ligne de préparation (lavage et triage),
tunnel
de
surgélation,
chambres
de
conservation,
machines
de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements
spéciaux
pour
fruits
(dénoyauteuse, calibreuse...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
46
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_45
Intitulé du projet
Fabrication de jus de raisin
destiné aux conditionneurs de
Jus de fruits
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Moulay
Bousselham
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
3 500 tonnes par an
Besoin en superficie
3000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
Local et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production agricole au niveau de la
région est d’une importance assurant au
branche
du
secteur
de
l’industrie
agroalimentaire de disposer de matière
première suffisante et de bonne qualité.
Cette production dispose par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée
sur un secteur agricole performant avec des
terres irriguées et un climat favorable. Ces
productions
ne
sont
cependant
que
faiblement valorisées du fait que les
capacités de conditionnement installées
restent insuffisantes dans la région.
Justification du projet
Le raisin est un des trois fruits avec
l’orange, et la tomate dont on peut faire un
concentré.
Le rendement en jus du raisin est de 87%
contre 42 % pour l’orange. Le raisin doit
être traité très vite après récolte et une
campagne dure rarement plus de 40 jours
dans
les
pays
méditerranéens.
Les jus de raisin pour être concentrés
doivent être clarifiés et la qualité des jus
s’en ressent car le chauffage prolongé
même à basse température modifie la
structure
physico-chimique
des
jus.
Pour clarifier le jus on peut agir par
clarification mécanique centrifugeuse ou par
voie enzymatique (patinasses) puis par
échange à contre courant vapeur.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première
ne constitue nullement une barrière à
l’entrer dans ce secteur. En effet, la région
enregistre une grande production agricole.
Toutefois cette industrie est soumise à des
conditions d’hygiène très stricte nécessitant
une expérience et une connaissance
approfondie. En plus elle demande des
procédures de production spécifiques :
Ligne de préparation (lavage et triage),
tunnel
de
surgélation,
chambres
de
conservation,
machines
de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements
spéciaux
pour
fruits
(dénoyauteuse, calibreuse...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
47
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_46
Intitulé du projet
Fabrique de glace hydrique
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Produits
- Glaçons, sac de 2 à 10 Kg
- Sac en paillettes, de 10 à 20 Kg
- Bloc de glace à sculpter
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Mehdia,
Moulay Bousselham, Sidi Kacem,
Sidi Slimane
Coût global du projet
2.500.000 Dhs
Capacité de l’unité
6.000 m3 de chambre de
congélation
Besoin en superficie
3.500 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
Local
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’agriculture, l’élevage les équipements agricoles
et l’agro-industrie, constituent incontestablement
le secteur le plus prometteur de la région.
Bénéficiant de conditions naturelles exceptionnelles
par rapport aux autres régions du Maroc en termes
de ressources en eau (précipitations assez
abondantes, barrages permettant d’irriguer de
grandes superficies, infrastructures d’irrigation) et
en sols favorables et diversifiés permettant la
pratique de cultures nombreuses et à forte valeur
ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous les atouts
pour se développer et hisser la région parmi les
principales zones d’approvisionnement du Maroc en
denrées alimentaires (céréales, légumineuses,
cultures
industrielles,
produits
maraîchers,
agrumes, rosacées, produits laitiers, viandes
banches et viandes rouges, miel, etc.).
Justification du projet
La région dispose de potentialité importante dans
le domaine de la pêche maritime. D’autre part, Ces
produits sont très demandés pour les secteurs
suivants : Tourisme, Agro Alimentaire, prestataires
des compagnies aériennes, Chimie, Marée,
Industries, Stations Services, Conserveries, Grande
Distribution au niveau national, Grossistes,
Grandes manifestations sportives, culturelles et
concerts
médiatiques,
traiteurs,
cattering,
hôtellerie,
restauration,
et
maintenant
l’événementiel avec le bloc à sculpter.
Les tours et les fabriques à glace présentes au
niveau de la région ne répondent pas à la grande
demande existante et ne couvrent tout le
territoire.
Conseils techniques
La glace hydrique alimentaire doit être fabriquée
suivant des normes et dans des locaux agrées. Les
contrôles qualité sont réglementés.
Conditions d’approvisionnement
Les produits sont fabriqués à base d'eau potable
osmosée (absence de minéralité).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
48
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_47
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Secteur
Agrobusiness
Le Maroc consacre une superficie de 700.000
ha à la culture des fruits et légumes avec une
production globale de 3 millions tonnes de fruits
et 4 millions tonnes de légumes.
L’activité de conservation de légumes est la
plus importante en terme de valeur ajoutée et
surtout
en
matière
d’exportations.
Elle
comprend la conserve des olives, des
cornichons et des câpres, mais aussi le jus de
légumes.
Branche
Industrie Agroalimentaire
Justification du projet
Intitulé du projet
Unité spécialisé en production
de jus de légumes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
3.000 tonnes par an
Besoin en superficie
8.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen
est
estimée à plus de 1 million de tonnes et est
réalisée sur une superficie de prés de
35.000ha. Les principales productions dans la
région sont les agrumes, le melon, la pomme
de terre, la tomate, le poivron, l’artichaut, ainsi
que divers maraichages et primeurs. Cette
production
abondante
constitue
une
opportunité en matière de traitement et
conditionnement des fruits et légumes. La
demande pour les jus de légumes est
importante,
essentiellement
la
demande
exprimée des marchés de consommation
européens. En effet, le jus de légume est une
source importante d'aliments crus raison du
grand engouement que connaît ce produit.
Conseils techniques
Cette industrie est soumise à des conditions
d’hygiène
très
stricte
nécessitant
une
expérience et une connaissance approfondie.
En plus elle demande des procédures de
production spécifiques : Ligne de préparation
(lavage et triage), tunnel de surgélation,
chambres de conservation, machines de
conditionnement,
cuiseur
à
vapeur,
équipements
spéciaux
pour
fruits
(dénoyauteuse, calibreuse...).
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première peut
se faire au niveau de la région tout en assurant
un approvisionnement constant de légumes de
bonne qualité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
49
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_48
Intitulé du projet
Unité intégrée : Traitement du
lait & Fabrication de produits
laitiers
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie alimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mnasra, Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa
Coût global du projet
400.000.000 MAD
Capacité de production
100.000 litres par jour
Besoin en superficie
300 ha
Besoin en RH
280 personnes
Marchés potentiels
Marché national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10
ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au
contrôle de la production et de la
commercialisation du lait et produits
laitiers.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production laitière est de l’ordre de 1,2
milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est
destinée au secteur industriel. La part de la
transformation artisanale est estimée entre 20 et
30% de la production. L’autoconsommation a
tendance à régresser.
Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et
sociétés) réparties sur le territoire national et
ayant une capacité de transformation de 3
millions litres/jour, pour une production annuelle
de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent
de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Beni Hssen compte une coopérative
laitière ayant une capacité de 200 000
litres/jour.
Les principaux produits mis sur le marché sont le
lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la
poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait
(Lben), les beurres industriels et le fromage.
C’est une industrie très concentrée. Le leader
détient près de 50% du marché du lait
pasteurisé et plus de 80% de celui des produits
dérivés du lait.
L’approvisionnement des laiteries en lait frais est
assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont
situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près
de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou
améliorée), soit près de 14% de l’effectif
national.
Justification du projet
Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait
s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous
produits confondus, avec un taux de croissance
annuel de 4%. La consommation par tête est de
l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de
celle des pays de la région, même si le
coefficient budgétaire (part de la dépense en
produits laitiers par rapport à la dépense totale
des ménages) a eu tendance à croître
régulièrement. Les importations de produits
laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en
2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la
consommation nationale. La tendance s’est
toutefois renversée depuis l’interdiction des
importations de génisses européennes.
La production de lait frais dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120
millions de litres par an dont 29 millions de litres
seulement sont usinés.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
50
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
La réfrigération en vrac et le ramassage
en citerne sont deux séquences d'un
même système destiné à améliorer la
qualité du lait et à diminuer les frais.
C'est pourquoi on retrouve dans ces deux
équipements un certain nombre de
caractères
communs.
Dans
la
construction de la citerne et de ses
accessoires on s'attachera à ce qu'elle
conserve au lait sa qualité initiale par la
facilité du nettoyage, la simplicité des
circuits, l'isolation suffisante. Elle sera
conçue de manière à réduire en effort et
en temps le travail du ramasseur :
compteur à lait, accessoires pratiques,
prélèvement
automatique
des
échantillons. Enfin l'ensemble véhiculeciterne sera choisi de telle sorte qu'il
permette de réduire les frais de collecte
tout en étant adapté aux conditions
locales : état des routes, relief de la
zone, accès aux tanks, multiplicité des
fournisseurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
51
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_49
Intitulé du projet
Mini laiterie : Traitement du lait &
Fabrication de produits laitiers
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie Agroalimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi
Slimane, Ouezzane, Sidi Kacem, Souk
Tlet, Souk Larbaa
Coût global du projet
6 000 000 MAD
Capacité de production
10 000 litres par jour
Besoin en superficie
500 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (04-012001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan
1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la
production et de la commercialisation du lait
et produits laitiers.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
coopérative laitière ayant une capacité de 200 000
litres/jour.
Les principaux produits mis sur le marché sont le
lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la
poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait
(Lben), les beurres industriels et le fromage.
C’est une industrie très concentrée, le leader
détient près de 50% du marché du lait
pasteurisé et plus de 80% de celui des produits
dérivés du lait.
L’approvisionnement des laiteries en lait frais est
assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont
situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près
de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou
améliorée), soit près de 14% de l’effectif
national.
Justification du projet
Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait
s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous
produits confondus, avec un taux de croissance
annuel de 4%. La consommation par tête est de
l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de
celle des pays de la région, même si le
coefficient budgétaire (part de la dépense en
produits laitiers par rapport à la dépense totale
des ménages) a eu tendance à croître
régulièrement. Les importations de produits
laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en
2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la
consommation nationale. La tendance s’est
toutefois renversée depuis l’interdiction des
importations de génisses européennes.
La production de lait frais dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120
millions de litres par an dont 29 millions de litres
seulement sont usinés.
Données sur le secteur
Conditions d’approvisionnement
La production laitière est de l’ordre
de 1,2 milliards de litres par an (en
2002) dont 55% est destinée
au secteur industriel. La part
de
la
transformation
artisanale est estimée entre
20 et 30% de la production.
L’autoconsommation
a
tendance à régresser.
Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives
et sociétés) réparties sur le territoire
national et ayant une capacité de
transformation de 3 millions litres/jour,
pour une production annuelle de 700
millions de litres par an, soit l’équivalent
de 2,4 millions litres/jour. La région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen compte une
La réfrigération en vrac et le ramassage en
citerne sont deux séquences d'un même système
destiné à améliorer la qualité du lait et à
diminuer les frais. C'est pourquoi on retrouve
dans ces deux équipements un certain nombre
de caractères communs. Dans la construction de
la citerne et de ses accessoires on s'attachera à
ce qu'elle conserve au lait sa qualité initiale par
la facilité du nettoyage, la simplicité des circuits,
l'isolation suffisante. Elle sera conçue de manière
à réduire en effort et en temps le travail du
ramasseur : compteur à lait, accessoires
pratiques,
prélèvement
automatique
des
échantillons. Enfin l'ensemble véhicule-citerne
sera choisi de telle sorte qu'il permette de
réduire les frais de collecte tout en étant adapté
aux conditions locales : état des routes, relief de
la zone, accès aux tanks, multiplicité des
fournisseurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
52
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_50
Intitulé du projet
Laiterie : Traitement du lait
Fabrication de produits laitiers
&
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie alimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mnasra,
Larbaa
Souk
Coût global du projet
250 000 000 MAD
Capacité de production
100 000 litres par jour
Besoin en superficie
35.000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10
ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au
contrôle de la production et de la
commercialisation du lait et produits
Données sur le secteur
La production laitière est de l’ordre
de 1,2 milliards de litres par an (en
2002) dont 55% est destinée au
secteur industriel. La part de
la transformation artisanale
est estimée entre 20 et 30%
de
la
production.
L’autoconsommation
a
tendance à régresser.
Le
Maroc
compte
38
laiteries
(coopératives et sociétés) réparties sur le
territoire national et ayant une capacité
de
transformation
de
3
millions
litres/jour, pour une production annuelle
de 700 millions de litres par an, soit
l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen
compte une coopérative laitière ayant une
capacité de 200 000 litres/jour.
Les principaux produits mis sur le marché sont le
lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la
poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait
(Lben), les beurres industriels et le fromage.
C’est une industrie très concentrée, le leader
détient près de 50% du marché du lait
pasteurisé et plus de 80% de celui des produits
dérivés du lait.
L’approvisionnement des laiteries en lait frais est
assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont
situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près
de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou
améliorée), soit près de 14% de l’effectif
national.
Justification du projet
Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait
s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous
produits confondus, avec un taux de croissance
annuel de 4%. La consommation par tête est de
l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de
celle des pays de la région, même si le
coefficient budgétaire (part de la dépense en
produits laitiers par rapport à la dépense totale
des ménages) a eu tendance à croître
régulièrement. Les importations de produits
laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en
2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la
consommation nationale. La tendance s’est
toutefois renversée depuis l’interdiction des
importations de génisses européennes.
La production de lait frais dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120
millions de litres par an dont 29 millions de litres
seulement sont usinés.
Conditions d’approvisionnement
La réfrigération en vrac et le ramassage en
citerne sont deux séquences d'un même système
destiné à améliorer la qualité du lait et à
diminuer les frais. C'est pourquoi on retrouve
dans ces deux équipements un certain nombre
de caractères communs. Dans la construction de
la citerne et de ses accessoires on s'attachera à
ce qu'elle conserve au lait sa qualité initiale par
la facilité du nettoyage, la simplicité des circuits,
l'isolation suffisante. Elle sera conçue de manière
à réduire en effort et en temps le travail du
ramasseur : compteur à lait, accessoires
pratiques,
prélèvement
automatique
des
échantillons. Enfin l'ensemble véhicule-citerne
sera choisi de telle sorte qu'il permette de
réduire les frais de collecte tout en étant adapté
aux conditions locales : état des routes, relief de
la zone, accès aux tanks, multiplicité des
fournisseurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
53
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_51
Intitulé du projet
Fromage à pâte pressée type
Edam, Gruyère, Saint polain et
Fromage à pâte molle (Sicilien et
Mozzarella)
Secteur
Agrobusiness
Branche
Industrie alimentaire
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mnasra , Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa
Coût global du projet
18.700.000 MAD
Capacité de production
2 tonnes de fromage / jour
Besoin en superficie
4500 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels :
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10
ramadan 1421 (07-12-2000) relatif
au contrôle de la production et de la
commercialisation du lait et produits
laitiers.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production laitière est de l’ordre de 1,2
milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est
destinée au secteur industriel. La part de la
transformation artisanale est estimée entre 20 et
30% de la production. L’autoconsommation a
tendance à régresser.
Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et
sociétés) réparties sur le territoire national et
ayant une capacité de transformation de 3
millions litres/jour, pour une production annuelle
de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent
de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Beni Hssen compte une coopérative
laitière ayant une capacité de 200 000
litres/jour.
Justification du projet
Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait
s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous
produits confondus, avec un taux de croissance
annuel de 4%. La consommation par tête est de
l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de
celle des pays de la région, même si le
coefficient budgétaire (part de la dépense en
produits laitiers par rapport à la dépense totale
des ménages) a eu tendance à croître
régulièrement. Les importations de produits
laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en
2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la
consommation nationale. La tendance s’est
toutefois renversée depuis l’interdiction des
importations de génisses européennes.
La production de lait frais dans la région du
Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120
millions de litres par an dont 29 millions de litres
seulement sont usinés.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement des laiteries en lait frais est
assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont
situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près
de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou
améliorée), soit près de 14% de l’effectif
national.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
54
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Fiche de projet n° S_IAA_52
Intitulé du projet
Unité artisanale de production de
fromage de chèvre
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Traitement du lait & Fabrication de
produits laitiers
Lieu d’implantation proposé
L’ensemble des communes de
Région.
la
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
50 Kg / jour
Besoin en superficie
8000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels :
Local et Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10
ramadan 1421 (07-12-2000) relatif
au contrôle de la production et de la
commercialisation du lait et produits
laitiers.
La production laitière est de l’ordre de 1,2
milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est
destinée au secteur industriel. La part de la
transformation artisanale est estimée entre 20 et
30% de la production. L’autoconsommation a
tendance à régresser.
Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et
sociétés) réparties sur le territoire national et
ayant une capacité de transformation de 3
millions litres/jour, pour une production annuelle
de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent
de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Béni Hssen compte une coopérative
laitière ayant une capacité de 200 000
litres/jour.
Justification du projet
Ce produit très prisé par les consommateurs
(produit diététique) est appelé à se développer.
Les fromages de chèvre apportent en quantité
intéressante des nutriments bénéfiques pour la
forme et la santé. Ils sont sources de minéraux
variés : tout d'abord du calcium (de 80 à plus de
530 mg/100g), mais aussi du phosphore et de
l'iode, du zinc, du magnésium et du fer.
L'ensemble des vitamines du groupe B, et plus
particulièrement les vitamines B2 et B9, est
présent dans les fromages de chèvre. Ils sont
aussi une source intéressante de vitamine A. Ils
apportent également des protéines d'excellente
qualité nutritionnelle car elles contiennent tous
les acides aminés indispensables que notre
organisme ne peut synthétiser. Leur apport
énergétique est très variable, allant de 160 à
330 kcal pour 100g et ce, suivant l'affinage du
fromage : en effet, plus un fromage de chèvre
est frais et plus sa valeur énergétique sera faible
en raison d'une présence d'eau plus importante.
Une part de 30g de bûchette apporte environ 90
kcal, soit l'équivalent d'un yaourt. Enfin, leur
teneur en matière grasse se situe dans la
moyenne des autres fromages. Oscillant entre 12
et 27g pour 100g, c'est elle qui leur confère leur
typicité gustative et leur texture. Ainsi, les
fromages de chèvre, par leurs qualités
nutritionnelles et leur diversité de goûts et de
textures, constituent des aliments de choix dont
la consommation participe à un bon équilibre
alimentaire.
Conditions d’approvisionnement
La chèvre produit du lait pendant les 10 mois qui
suivent la naissance d’un chevreau et cela, à
chaque naissance. Elle ne sera pas traite durant
la phase de tarissement : les deux à quatre mois
qui précèdent la naissance.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
55
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_53
Intitulé du projet
Unité de production de fromage
de chèvre
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Traitement du lait & Fabrication de
produits laitiers
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mnasra, Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa,
Ouezzane
Coût global du projet
3.500.000 MAD
Capacité de production
300 Kg / jour
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
60 personnes
Marchés potentiels :
Local, Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10
ramadan 1421 (07-12-2000) relatif
au contrôle de la production et de la
commercialisation du lait et produits
laitiers.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production laitière est de l’ordre de 1,2
milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est
destinée au secteur industriel. La part de la
transformation artisanale est estimée entre 20 et
30% de la production. L’autoconsommation a
tendance à régresser.
Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et
sociétés) réparties sur le territoire national et
ayant une capacité de transformation de 3
millions litres/jour, pour une production annuelle
de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent
de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Béni Hssen compte une coopérative
laitière ayant une capacité de 200 000
litres/jour.
Justification du projet
Ce produit très prisé par les consommateurs
(produit diététique) est appelé à se développer.
Les fromages de chèvre apportent en quantité
intéressante des nutriments bénéfiques pour la
forme et la santé. Ils sont sources de minéraux
variés : tout d'abord du calcium (de 80 à plus de
530 mg/100g), mais aussi du phosphore et de
l'iode, du zinc, du magnésium et du fer.
L'ensemble des vitamines du groupe B, et plus
particulièrement les vitamines B2 et B9, est
présent dans les fromages de chèvre. Ils sont
aussi une source intéressante de vitamine A. Ils
apportent également des protéines d'excellente
qualité nutritionnelle car elles contiennent tous
les acides aminés indispensables que notre
organisme ne peut synthétiser. Leur apport
énergétique est très variable, allant de 160 à
330 kcal pour 100g et ce, suivant l'affinage du
fromage : en effet, plus un fromage de chèvre
est frais et plus sa valeur énergétique sera faible
en raison d'une présence d'eau plus importante.
Une part de 30g de bûchette apporte environ 90
kcal, soit l'équivalent d'un yaourt. Enfin, leur
teneur en matière grasse se situe dans la
moyenne des autres fromages. Oscillant entre 12
et 27g pour 100g, c'est elle qui leur confère leur
typicité gustative et leur texture. Ainsi, les
fromages de chèvre, par leurs qualités
nutritionnelles et leur diversité de goûts et de
textures, constituent des aliments de choix dont
la consommation participe à un bon équilibre
alimentaire.
Conditions d’approvisionnement
La chèvre produit du lait pendant les 10 mois qui
suivent la naissance d’un chevreau et cela, à
chaque naissance. Elle ne sera pas traite durant
la phase de tarissement : les deux à quatre mois
qui précèdent la naissance.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
56
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_54
Intitulé du projet
Pâtés,
Beurres
Mousses
à
Base
Sardines
Et
De
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Préparation et conserve de
poissons
Lieu d’implantation
proposé
Commune :
Kénitra,
Mehdya
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
5 millions de barquettes/an
Besoin en superficie
2 500 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels :
Marché national, l’Europe,
l’Afrique et le Moyen-Orient
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Loi n° 12-03 relative aux études
d'impact sur l'environnement
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des industries de transformation des
produits de la mer est appelé à jouer un rôle
primordial dans le développement économique
et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont
dispose le Maroc pour développer cette branche
d’activité, à savoir :
- L’existence
de
matières
premières
génératrices de produits à haute valeur
ajoutée comme les petits pélagiques
(sardine et maquereau), les thonidés
(espadon et thon) et les céphalopodes
(calamar, seiche) ;
- La proximité des marchés demandeurs des
produits à haute valeur ajoutée (le marché
européen) ;
- Un marché local à fortes potentialités.
Présentation du projet
Il s'agit d'une unité de fabrication de pâtés,
pâtés à tartiner, beurres pour toast, mousses à
bases de sardines mélangées avec d’autres
ingrédients (légumes, épices, crustacés, etc.).
La sardine peut être fraîche ou congelée.
L’unité peut utiliser d’autres types de poissons
pour la fabrication de produits identiques.
L’investissement pour la réalisation de cette
unité sera de l’ordre de 10 millions de dirhams.
Les produits se présentent sous forme de
barquettes de 500 grs de durée de vie de 42
jours. Le contenant est en plastique recouvert
d’un opercule facile à ouvrir. Les produits
subissent
préalablement
un
traitement
thermique de pasteurisation qui a pour vertu de
préserver la quasi totalité des vitamines
contenues dans les matières premières.
Conditions d’approvisionnement
Trois zones de pêche à la sardine existe au
Maroc, la première, s’étale de Tanger à El
Jadida, ses ressources en sardines ne sont pas
importantes parce qu’elles ont été, en grande
partie, épuisées. Quant la deuxième zone, qui
s’étend d’El Jadida à Laâyoune, son stock en
sardines est nettement supérieur à celui de la
première. La troisième zone, qui va de
Laâyoune jusqu’aux littoral de Boujdour, est de
loin la plus riche en poissons actuellement. Des
stratégies de partenariat et le plus souvent de
fabrication
en
sous-traitance
pour
les
distributeurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
57
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_55
Intitulé du projet
Filets de Sardines
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Préparation
poissons
et
conserve
de
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mehdya
Coût global du projet
13 millions de MAD
Capacité de production
5 millions de barquettes par an
Besoin en superficie
3000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Local, Régional et international
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le secteur des industries de transformation des
produits de la mer est appelé à jouer un rôle
primordial dans le développement économique
et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont
dispose le Maroc pour développer cette branche
d’activité, à savoir :
- L’existence
de
matières
premières
génératrices de produits à haute valeur
ajoutée comme les petits pélagiques
(sardine et maquereau), les thonidés
(espadon et thon) et les céphalopodes
(calamar, seiche) ;
- La proximité des marchés demandeurs des
produits à haute valeur ajoutée (le marché
européen) ;
- Un marché local à fortes potentialités.
Présentation du projet
Il s'agit d'une unité de fabrication de pâtés,
pâtés à tartiner, beurres pour toast, mousses à
bases de sardines mélangées avec d’autres
ingrédients (légumes, épices, crustacés, etc.).
La sardine peut être fraîche ou congelée.
L’unité peut utiliser d’autres types de poissons
pour la fabrication de produits identiques.
L’investissement pour la réalisation de cette
unité sera de l’ordre de 10 millions de dirhams.
Les produits se présentent sous forme de
barquettes de 500 grs de durée de vie de 42
jours. Le contenant est en plastique recouvert
d’un opercule facile à ouvrir. Les produits
subissent
préalablement
un
traitement
thermique de pasteurisation qui a pour vertu de
préserver la quasi totalité des vitamines
contenues dans les matières premières.
Conditions d’approvisionnement
Trois zones de pêche à la sardine existe au
Maroc, la première, s’étale de Tanger à El
Jadida, ses ressources en sardines ne sont pas
importantes parce qu’elles ont été, en grande
partie, épuisées. Quant la deuxième zone, qui
s’étend d’El Jadida à Laâyoune, son stock en
sardines est nettement supérieur à celui de la
première. La troisième zone, qui va de
Laâyoune jusqu’aux littoral de Boujdour, est de
loin la plus riche en poissons actuellement. Des
stratégies de partenariat et le plus souvent de
fabrication
en
sous-traitance
pour
les
distributeurs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
58
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_56
Intitulé du projet
Plats Cuisines A Base De
Poisson
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Préparation
poissons
et
conserve
de
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mehdya
Coût global du projet
25 millions de DH
Capacité de production
2 500 000 barquettes / an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels :
Local, régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Loi n° 12-03 relative aux études d'impact
sur l'environnement
Données sur le secteur
Le secteur des industries de transformation des
produits de la mer est appelé à jouer un rôle
primordial dans le développement économique et
social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose
le Maroc pour développer cette branche d’activité, à
savoir :
l'existence de matières premières génératrices
de produits à haute valeur ajoutée comme les
petits pélagiques (sardine et maquereau), les
thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes
(calamar, seiche) ;
la proximité des marchés demandeurs des
produits à haute valeur ajoutée (le marché
européen) ;
un marché local à fortes potentialités.
Présentation du projet
Il s'agit d'une unité de fabrication des produits
suivants :
plats à base de poisson et sauce : barquette de
500 grs ;
plats à base de poisson, sauce et garniture :
barquette de 500 grs ;
salades à base de poisson : barquette de 200
grs.
L’unité en question est spécialisée dans la cuisson et
l’assemblage des ingrédients : poisson, légumes et
sauce. Les matières premières (poissons et légumes)
seront livrées prêtes à l’utilisation sous forme de
produits congelés selon un cahier de charges bien
défini. Quant à la sauce, elle doit être préparée sur
place par un spécialiste sachant que la réussite
gastronomique des produits dépend de la qualité des
sauces. Les espèces de poissons utilisés dans la
production sont le calamar, le thon, l’espadon, la
lotte, la sole et autres poisson blanc. Le poisson est
fourni à l’usinier sous forme de médaillon ou de
darne.
Pour permettre la sécurisation de l’investissement
qui est de 25 millions de dirhams, et en cas de
manque d’approvisionnement en poisson, l’unité de
production étudiée est conçue de telle sorte qu’elle
puisse se convertir à la production des plats cuisinés
à base de viande.
Conditions d’approvisionnement
Des conventions devront être signées entre
l’unité proposée et les unités de congélation en
matière de traitement des écarts de triage
(conservation) et leurs conditions de livraison.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
59
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_57
Intitulé du projet
Plats
cuisinés et
cuisinés
semi-
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Préparation
poissons
et
conserve
de
Lieu d’implantation proposé
Commune : Mehdya, Kénitra
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
800 plats / jour
Besoin en superficie
10.000m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels :
Local 50% - Export 50%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le secteur des industries de transformation
des produits de la mer est appelé à jouer un
rôle primordial dans le développement
économique et social et ce, grâce aux atouts
majeurs dont dispose le Maroc pour
développer cette branche d’activité, à savoir :
- l'existence
de
matières
premières
génératrices de produits à haute valeur
ajoutée comme les petits pélagiques
(sardine et maquereau), les thonidés
(espadon et thon) et les céphalopodes
(calamar, seiche) ;
- la proximité des marchés demandeurs
des produits à haute valeur ajoutée (le
marché européen) ; un marché local à
fortes potentialités.
Justification du projet
Il s'agit d'une unité de fabrication des
produits L’unité en question est spécialisée
dans la cuisson et l’assemblage des
ingrédients : poisson, légumes et sauce. Les
matières premières (poissons et légumes)
seront livrées prêtes à l’utilisation sous forme
de produits congelés selon un cahier de
charges bien défini. Quant à la sauce, elle doit
être préparée sur place par un spécialiste
sachant que la réussite gastronomique des
produits dépend de la qualité des sauces. Les
espèces de poissons utilisés dans la
production sont le calamar, le thon,
l’espadon, la lotte, la sole et autres poisson
blanc. Le poisson est fourni à l’usinier sous
forme de médaillon ou de darne.
Conditions d’approvisionnement
Des conventions devront être signées entre
l’unité proposée et les unités de congélation
en matière de traitement des écarts de triage
(conservation) et leurs conditions de livraison.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
60
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IAA_58
Intitulé du projet
Unité de valorisation
écarts
de
triage
produits de la mer
des
des
- Conserve : Beurre de crevettes (20%
de crevettes)
- Conserve : Chair de crevettes (100%
de crevettes)
- Conserve : Bisque de crevettes (10%
de crevettes)
- Conserve : Fond de crevettes (20% de
crevettes)
- Frais : Salade de crevettes (42% de
crevettes)
-Frais : Cocktail de fruits de mer
- Surgelés : Noisettes de crevettes (25%
de crevettes)
- Surgelés : Queues de crevettes (100%
de crevettes)
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Préparation et conserve de
poissons
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Mehdya
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Données sur le secteur
Le secteur des industries de transformation
des produits de la mer est appelé à jouer un
rôle primordial dans le développement
économique et social et ce, grâce aux atouts
majeurs dont dispose le Maroc pour
développer cette branche d’activité, à savoir :
- L’existence
de
matières
premières
génératrices de produits à haute valeur
ajoutée comme les petits pélagiques
(sardine et maquereau), les thonidés
(espadon et thon) et les céphalopodes
(calamar, seiche) ;
- La proximité des marchés demandeurs
des produits à haute valeur ajoutée (le
marché européen) ;
- Un marché local à fortes potentialités.
Justification du projet
Il s’agit d’une unité qui va collecter les écarts
de triage et les produits endommagés (Ex :
crevette avec tête cassée) auprès des unités
de
congélation.
Ces
produits
seront
revalorisés pour fabriquer des sauces, des
pâtes,…
Conditions d’approvisionnement
Des conventions devront être signées entre
l’unité proposée et les unités de congélation
en matière de traitement des écarts de triage
(conservation) et leurs conditions de livraison.
Capacité de production
200 Tonnes/an
Besoin en superficie
5000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
61
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_59
Intitulé du projet
Unité
de
production
d’aliments composés pour
volaille et bétail
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Fabrication
animaux
d'aliments
pour
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Slimane, Sidi Kacem, Souk
Larbaa, Had Kourt
Coût global du projet
14.000.000 MAD
Capacité de production
16 000 tonnes par an
Besoin en superficie
4 000 m²
Besoin en RH
25 personnes
Marchés potentiels :
Local et Régional
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production d’aliments composés avoisine les 2
millions de tonnes par an. Les ¾ de cette
production sont destinés à l’élevage avicole, le
reste étant destiné aux ruminants.
Le secteur compte actuellement 32 unités ayant
une capacité totale de 2 millions tonnes (soit un
taux d’utilisation de 100%). En termes de
concentration, 4 entreprises détiennent plus de
40% de la capacité totale installée au niveau
national.
Justification du projet
La production des aliments composés a connu une
forte croissance à partir de 1992 grâce notamment
aux programmes de soutien du gouvernement
pour la production d’aliments composés pour
ruminants et surtout du fait de la croissance du
secteur avicole.
La nécessité d’installer des unités de production
d’aliments composés pour bétail dans la région du
Gharb-Chrarda-Béni-Hssen est justifiée par les
faits suivants :
- L’effectif du cheptel dans la région se compose
de plus de 340 mille têtes de bovins et de
1million de têtes d’ovins.
- Le développement du secteur avicole industriel
fait apparaître de bonnes perspectives pour
l’évolution du secteur des aliments composés.
- La céréaliculture occupe une place très
importante dans la région, permettant d’avoir
une matière première abondante et à bon prix.
- L’approvisionnement en mélasse ne posera pas
de difficulté grâce à la présence d’unités
sucrières dans la région.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
La faiblesse de la concurrence puisque la région du
Gharb-Chrarda-Béni-Hssen ne dispose que d’une
seule unité dont la production ne dépasse guère 3
à 4 000 tonnes par an.
Se conformer à la loi
concernant
l’impact
l’environnement.
Conditions d’approvisionnement
n°12-03
sur
Les matières premières utilisées sont d’origine
végétale ou animale auxquelles des additifs tels
que vitamines, minéraux, colorants et parfois
antibiotiques
sont
incorporés.
Les
produits
d’origine végétale comprennent notamment des
céréales, des fèves, des graines oléagineuses, des
huiles, du sucre et de la mélasse, des pulpes de
betterave, etc.
Les matières premières animales sont par exemple
des sous-produits de l’industrie du pois son, du
sang, des os, des graisses, du lait et d’autres sousproduits.
La
livraison
peut
se
faire
pour
les
conditionnements en vrac et en sac.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
62
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_60
Intitulé du projet
Unité de paille
pelletisée
mélasse
Secteur
Industrie alimentaire
Branche
Production d'aliment pour bétail
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
3 500 000 MAD
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le projet vise la production de paille
mélasse pelle tissée enrichie pour
ruminants. Les principales matières
premières à utiliser sont : l'orge, son de
blé, mélasse, paille, urée, tourteaux,
écorces d'agrumes, etc.
Justification du projet
La région totalise une superficie de
125800Ha soit 2% des forêts du pays
dont 45 914 ha de forêts naturelles
Les raisons qui expliquent le choix
sont :
• le cheptel ; est important (790 100
têtes environ)
•
la
céréaliculture
occupe
une
superficie 218 000 ha.
Capacité de production
4 800 tonnes par an
• la mélasse existe dans le Gharb en
Besoin en superficie
2 ha
Les mélasses de betterave et de canne
proviennent de 7 sucreries installées
dans le Gharb.
Besoin en RH
30 permanents
Conditions d’approvisionnement
Marchés potentiels
Le Marché Régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Se conformer à la loi n°12-03
concernant
l’impact
sur
l’environnement.
quantité très importante
La
région
offre
des
conditions
d’approvisionnement très favorable au
développement
de
l’activité.
Les
cultures céréalières, notamment les
céréales d’automne, représentent plus
de 80% de la SAU et couvrent plus de
450 000 ha. La production de paille est
estimée à plus de 1 000 000 de tonnes
par an. Les sucreries de la région
fournissent
annuellement
plus
de
70 000 tonnes de mélasse.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
63
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_61
Intitulé du projet
Entrepôt
frigorifique
fruits et légumes
pour
Secteur
Industrie agro-alimentaire
Branche
Transformation et conservation de
légumes et fruits
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Slimane,
Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal
Tazi,
Souk
Tlet,
Moulay
Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem,
Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt
Coût global du projet
11.000.000 MAD
Capacité de l’unité
2000 T réparties en 5 chambres de
400 T chacune
Besoin en superficie
5000 m2
Besoin en RH
12 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La production des fruits et légumes dans la
région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est
estimée à plus d’un million de tonnes par an ;
elle est réalisée sur une superficie de près de
35 000 hectares. Les principales productions
sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon
(près de 180 000 tonnes), la pomme de terre,
la tomate, le poivron et l’artichaut.
Ces productions disposent par ailleurs
d'opportunités réelles de croissance fondée
sur un secteur agricole performant avec des
terres irriguées et un climat favorable. Ces
productions ne sont cependant que faiblement
valorisées du fait que les capacités de
conditionnement
installées
restent
insuffisantes dans la région.
Justification du projet
Les
productions
maraîchères
dépassent
408.000 T et les produits de l'arboriculture
800.000
T,
alors
que
la
capacité
d'entreposage est de 200.000 T ce qui ne
représente que 16,5% de la production.
Le stockage et la conservation des denrées
périssables dans des conditions appropriées
ont pour but de régulariser le marché et de
préserver la qualité.
Conditions d’approvisionnement
Il faut fédérer autour de l’entreprise un
ensemble de producteurs régionaux. Ces
producteurs partenaires doivent être engagés
sur un cahier des charges commun et
partagent les objectifs de qualité et de
services clients.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
64
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAA_62
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
pâtes fraîches
Secteur
Agrobusiness
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des industries agroalimentaires est
incontestablement le secteur le mieux développé
dans la région. Les grandeurs économiques du
secteur en attestent.
On note aussi que le plan émergence privilégie
davantage les régions de Gharb, Meknès et Fès pour
la promotion du secteur d'agroalimentaire. Les
orientations stratégiques dans le domaine se
présentent ainsi :
-
•
Branche
IAA
•
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
400.000 DH
Capacité de production
35.000 Kg par an
Besoin en superficie
500 m²
Besoin en RH
8 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Développement de 8 à 10 filières en traitant
les problèmes structurels (notamment en
amont) et cela par :
•
-
L'accélération des filières existantes
(fruits/ légumes et corps gras);
L'émergence de nouvelles filières à
valeur ajoutée (bio, plats cuisinés);
Le poids des filières clés long terme
(huile d’olive, jus d’orange).
Développement de projets intégrés autour de
Pôles Agro ou Agro techniques dédiés
(Agadir, Gharb, bi-pôles Fès- Meknès,
Oriental).
Justification du projet
Certes, les pâtes sèches sont les plus utilisées et les
plus consommées par les ménages marocains. Ce
sont des aliments économique et facile à conserver
et facile à cuire aussi. Cependant, les pâtes fraiches
sont meilleures au goût et proposent un meilleur
apport nutritif. Les pâtes fraiches sont produites de
manière artisanale sans additifs ni conservant et sont
incomparables
aux
pâtes
déshydratées
et
empaquetées.
L'appellation « pâtes fraîches aux œufs frais »
suppose la réunion de trois conditions : un taux
d'humidité supérieur à 12%, une semoule de blé dur
de qualité supérieure classée, et un minimum de
140g d’œufs par kg de semoule.
Le développement urbain et des modes de
consommation alimentaire, de plus en plus exigeants
sur la qualité et l’origine des produits, en plus du
développement de la grande distribution dans la
région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen peuvent
contribuer largement à la réussite d’un tel projet.
Conseils techniques
Le procédé de fabrication des pâtes fraîches est
appelé « laminage ». Le mélange pâteux est aplati
jusqu'à l'obtention d'une fine feuille d'environ un
millimètre d'épaisseur. Ainsi, on parle souvent de
double laminage pour les raviolis dits à « quatre
coins » pour lesquels deux feuilles de pâtes sont
superposées, puis scellées, après l'injection de la
farce. À l'inverse, on parle de raviolis « coussins »
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
65
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
pour ceux fabriqués à partir d'une seule
feuille de pâte.
Il vaut mieux de s’équiper d’une machine à
pâtes avec un bol rond en acier inoxydable
idéal pour les mélanges à haute vitesse et
une daille à lasagne comprise. Cette machine
doit pouvoir produire divers types de pâtes,
courtes ou longues. Pour cela elle doit
comprendre
un
couteau
électronique
ajustable pour la coupe de pâtes courtes, un
ventilateur d'asséchage et un système de
refroidissement à l'eau de l'extrudeuse.
Toutes les parties venant en contact avec les
pâtes doivent être faites de matériaux
compatibles avec les aliments et peuvent
être
démontées
facilement
pour
un
nettoyage en profondeur facile.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un conditionnement constant en
farine de blé dur et en œufs de bonne
qualité.
Assurer un bon conditionnement pour les
produits finis pour meilleures livraison.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
66
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_01
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Tissu gabardine
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi
Coût global du projet
95.000.000 MAD
Capacité de production
9 millions de mètres linéaires
Besoin en superficie
16.500 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie du Textile et de l’Habillement
occupe une position de premier plan au
niveau du Maroc. Elle contribue à
concurrence
de
42%
et
34%
respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements opèrent
dans les ITH, soit environ 22% de
l’ensemble des unités industrielles. Elles
génèrent aussi 13% de la production,
17% de la valeur ajoutée et 14% des
investissements
du
secteur
manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous l’effet
d’un environnement international de
plus en plus concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel de
la région GCBH, et ce en considération
de toutes ces grandeurs économiques.
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant dans
ce secteur dans la région du GCBH
s’avère insuffisant pour
arriver à
répondre à la demande qui ne cesse de
croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en fil de coton auprès de producteur
nationaux et internationaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
67
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_02
Données sur le secteur
Besoin en superficie
15.000 m²
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en RH
150 personnes
Justification du projet
Intitulé du projet
Tissu denim
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi
Coût global du projet
200.000.000 MAD
Capacité de production
12 millions de mètres linéaires
à un rendement de 90%
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en fil de coton auprès de
producteur
nationaux
et
internationaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
68
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_03
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Tissus pour pantalons
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi
Coût global du projet
150.000.000 MAD
Capacité de production
9 millions mètres linéaires finis
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en fil de coton auprès de
producteur
nationaux
et
internationaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
69
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ITC_04
Données sur le secteur
Besoin en superficie
10.000 m²
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en RH
190 personnes
Justification du projet
Intitulé du projet
Tissus pour chemises
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi
Coût global du projet
125.000.000 MAD
Capacité de production
7,5 millions mètres linéaires
par an
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en fil de coton auprès de
producteur
nationaux
et
internationaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
70
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_05
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Tissu pour vêtements
travail
de
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
400.000.000 MAD
Capacité de production
11 millions mètres linéaires par
an
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en superficie
18 000 m²
Justification du projet
Besoin en RH
450 personnes
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en fil auprès de producteurs
nationaux et internationaux. Cette
activité peut se prêter à la soustraitance
auprès
d’opérateurs
étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
71
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_06
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Finissage de tissus chaîne et
trame
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
150.000.000 MAD
Capacité de production
9 millions mètres linéaires par
an
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en superficie
10.000 m²
Justification du projet
Besoin en RH
120
Marchés potentiels
Local 10% - Export 90%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en fil auprès de producteurs
nationaux et internationaux. Cette
activité peut se prêter à la soustraitance
auprès
d’opérateurs
étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
72
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_07
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Prêt-à-porter Homme
produit fini
en
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessus
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
70.000 U/an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
120 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
73
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_08
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Confection de prêt-à-porter
féminin
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessus
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
3000 articles par jour
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en superficie
6.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
74
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_09
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Pantalons sous-traitance
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage
cotonnière
de
l'industrie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
9.000.000 MAD
Capacité de production
150.000 unités par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
70 personnes
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Marchés potentiels
Export 100%
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
75
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_10
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Pantalons jeans en produit
fini
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessus
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
560 000 unités par an
Besoin en superficie
6.000 m²
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
76
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_11
Données sur le secteur
Besoin en superficie
9.000 m²
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en RH
100 personnes
Justification du projet
Intitulé du projet
Chemises en produit fini
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessus
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
13.000.000 MAD
Capacité de production
350.000 U/an
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
77
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_12
Intitulé du projet
Unité moyenne de tissage
Secteur
Industrie de Textile et Cuire (ITC)
Branche
Textile
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Kacem,
Ouezzane, Sidi Taibi, Sidi Slimane
Coût global du projet
500.000 DH
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
250 m²
Besoin en RH
20 permanents
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur ITC participe à la production industrielle
régionale à hauteur de 3% et à la production
nationale du secteur à raison de 0,7%. En effet, ce
secteur ITC a produit 175 Millions MAD, soit une
baisse de 17% contre une amélioration de 27% en
2004. Cette baisse est due à la disparition de la
branche industrie du cuir et de la chaussure, et à la
contre performance enregistrée par les deux autres
branches. La branche industrie textile représente
98% de la production du secteur.
Le Chiffre d’Affaires a connu une baisse remarquable
au niveau de toutes les branches du secteur;
principalement la branche industrie textile qui a
enregistré un recul important de 24% du CA.
Pour la VA, ce secteur concourt à la formation de la
VA industrielle de la région à hauteur de 1,6% et la
VA nationale du secteur à hauteur de 0,73%.
Toutefois, le nombre d’établissements et l’effectif
permanent restent faibles, puisqu’ils représentent
respectivement 5,5% et 3,55% par rapport aux
grandeurs de la région ; alors qu’ils contribuent
respectivement à hauteur de 0,63% et 0,16% dans
le dispositif national.
Justification du projet
Le secteur industries des textiles et du cuir se
positionne à la 4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en considération de toutes
ses grandeurs économiques. En 2005, on note l’arrêt
de l’activité relative à la branche industrie du cuir et
de la chaussure et hausse de la branche du tissage.
Ceci renseigne sur le potentiel de la région à
développer de petites et moyennes unités de tissage
dont le produit sera destiné soit aux acteurs
nationaux soir à l’export.
Conseils techniques
Le tissu est obtenu par le tissage qui est le résultat
de l'entrecroisement, dans un même plan, de fils
disposés dans le sens de la chaîne et de fils disposés,
perpendiculairement aux fils de chaîne, dans le sens
de la trame. Le liage obtenu entre ces fils de chaîne
et trame se définit par une armure.
On distingue trois grandes classes fondamentales
d'armures : Toile, sergé et satin.
Il
existe
des
armures
dérivées
des
trois
précédentes : le reps, le cannelé, le croisé, le satin à
répétition, etc.
Un tissu peut être composé de plusieurs armures
différentes et dans ce cas on parle de tissu façonné.
Conditions d’approvisionnement
En premier lieu assurer l'approvisionnement en
matières, à savoir les fils à tisser. Ensuite, c’est le
dévidage, qui consiste à transporter la matière
approvisionnée du support sur lequel elle vous est
livrée, vers un certain nombre de bobines. Puis on
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
78
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
procède au calcul des quantités de matières
nécessaire. Commence alors l’opération
d’ourdissage, qui consiste à mettre aussi
parallèlement que possible les fils sur
l'ensouple arrière. L'ensemble de ces fils
constitue la chaîne. Il existe plusieurs
techniques d'ourdissage dont certaines font
intervenir l'utilisation d'un appareil nommé
ourdissoir.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
79
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_13
Intitulé du projet
Unité
de
traditionnel
DERRAZ
Secteur
Artisanat
Branche
Tissage traditionnel
Lieu d’implantation proposé
Communes : Ouezzane, Béni
Quolla,
Sidi
Redouane,
Masmouda, Mzefroune
Coût global du projet
500.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
600 m²
Besoin en RH
15 permanents
Marchés potentiels
Le Marché local, national.
Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Etant l'un des premiers pays au monde à voir
naître sur son sol une industrie lithique très variée,
le Maroc, de par son passé, ses traditions
millénaires, la diversité de sa population et de sa
culture a su forger cette richesse et la concrétiser
dans le tapis, les costumes traditionnels, les
bijoux, la poterie, la céramique, le bois gravé, le
zellidj
ciselé,
le
plâtre
sculpté...
Le secteur de l'artisanat occupe une place de choix
dans l'économie marocaine (8% du PIB) et emploie
une main d'œuvre importante.
En effet, cette activité occupe le 2ème rang après
l'agriculture, le 5ème rang en ce qui concerne
l'apport en devises après les Ressortissants
Marocains à l'Etranger (RME), les Phosphates,
l'Agriculture et le Tourisme.
Les exportations artisanales jouent un rôle
essentiel dans le développement de la production,
la réduction du taux de chômage et l'équilibre de la
balance commerciale du Maroc.
Justification du projet
La région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen en général
et la ville d’Ouezzane
en particulier, offre de
grandes opportunités d’investissement dans le
secteur de l’artisanat, essentiellement dans les
métiers du tissage traditionnel. Ce dernier, étant
un secteur porteur eu égard au savoir-faire des
artisans
locaux,
l’abondance
des
matières
premières à l’échelle locale et la spécialisation de
la région en quelques produits spécifiques.
De plus l’investissement dans le secteur de
l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas une
technologie de pointe en comparaison avec les
autres branches d’activités économiques.
Tous ces atouts constituent une excellente
opportunité d’investissement à saisir.
Conditions d’approvisionnement
Pour les matières premières, vu l'importance du
cheptel dans la province (bovins, caprins et came
lins) les besoins en laine et poils utilisés dans
différentes sortes de tissage, sont couverts par la
production locale.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
80
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_14
Intitulé du projet
Unité de tissage de drapeaux à
base d’El kherka Ouezzania
Secteur
Artisanat
Branche
Décoration
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Ouezzane,
Béni
Quolla, Sidi Redouane, Masmouda,
Mzefroune
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
500 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
National et international
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’artisanat est un secteur d’activités important
par le chiffre d’affaires qu’il génère et par la
main d’œuvre qu’il emploi, il représente 10%
du PIB national et fait vivre le 1/5 ième de la
population.
Le tissage traditionnel, connaît un grand essor
dans la région notamment au niveau de la ville
d’Ouezzane, réputée par le tissage de « La
Kherka Ouezzania" qui connaît une tendance à
la multi utilisation des produits tissés dans
l'ameublement, et les objets vestimentaires.
Le nombre d’artisans travaillant dans ce
domaine est estimé à 400 artisans.
La commercialisation de la Kherka Ouezzania se
fait dans le souk local de la ville de Ouezzane
par la méthode de
DLALA
(vente aux
enchères) également elle
se commercialise
dans les autres parties du Maroc
Justification du projet
La région du Gharb Chrarda Beni Hssen en
général et la région d’Ouezzane en particulier,
offre de grandes opportunités et possibilités
d’investissement dans le secteur de l’artisanat,
essentiellement dans les métiers du tissage
traditionnel de la Kherka el Ouezzania étant un
secteur porteur eu égard au savoir-faire des
artisans, la prédominance des matières
premières à l’échelle locale et la spécialisation
de la région en quelques produits spécifique tel
que la Kherka el Ouezzania.
De plus l’investissement dans le secteur de
l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas
une technologie de pointe en comparaison avec
les autres branches d’activités économiques.
L’activité de tissage de drapeau est ancienne
dans la région d’Ouezzane, cependant il se doit
de la faire connaître plus et de s’intéresser aux
marchés extérieurs.
Conditions d’approvisionnement
La matière
de la Kherka el Ouezzania est
importée des régions de la ville de Moulay Driss
Zerhoun et de la région du Gharb en tant que
DEZZA ou fils ou importée de l’étranger.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
81
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_15
Intitulé du projet
Unité de tissage d’el Kharka el
Ouazzania
Secteur
Artisanat
Branche
Habillement
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Ouezzane,
Béni
Quolla, Sidi Redouane, Masmouda,
Mzefroune
Coût global du projet
4.000.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
1.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
+212.37.37.46.27
CRI-Kénitra
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’artisanat est un secteur d’activités important
par le chiffre d’affaires qu’il génère et par la main
d’œuvre qu’il emploi, il représente 10% du PIB
national et fait vivre le 1/5 ème de la population.
Le tissage traditionnel, connaît un grand essor
dans la région notamment au niveau de la ville
d’Ouezzane, réputée par le tissage de « La
Kharka Ouazzania" qui connaît une tendance à la
multi utilisation des produits tissés dans
l'ameublement, et les objets vestimentaires.
Le nombre d’artisans travaillant dans ce domaine
est estimé à 400 artisans.
La commercialisation de la Kharka Ouazzania se
fait dans le souk local de la ville de Ouezzane
par la méthode de DLALA (vente aux enchères)
également elle se commercialise dans les autres
parties du Maroc.
Justification du projet
La région du Gharb Chrarda Beni Hssen en
général et la région d’Ouezzane en particulier,
offre de grandes opportunités et possibilités
d’investissement dans le secteur de l’artisanat,
essentiellement dans les métiers du tissage
traditionnel de la Kharka el Ouazzania étant un
secteur porteur eu égard au savoir-faire des
artisans,
la
prédominance
des
matières
premières à l’échelle locale et la spécialisation de
la région en quelques produits spécifique tel que
la Kharka el Ouazzania.
De plus l’investissement dans le secteur de
l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas
une technologie de pointe en comparaison avec
les autres branches d’activités économiques.
Conditions d’approvisionnement
La matière
de la Kharka el Ouazzania est
importée des régions de la ville de Moulay Driss
Zerhoun et de la région du Gharb en tant que
DEZZA ou fils ou importée de l’étranger.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
82
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_16
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de passementerie
Secteur
Industrie textile
Branche
Tissage de l'industrie
cotonnière
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
7.000.000 MAD
Capacité de production
1.5000.000 Unités par an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
80 personnes
Marchés potentiels
National, International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une
position de premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et 34%
respectivement à l’emploi et aux exportations du
secteur
manufacturier
et
plus
de
1700
établissements opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles
génèrent aussi 13% de la production, 17% de la
valeur ajoutée et 14% des investissements du
secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au cours des
dernières années, sous l’effet d’un environnement
international de plus en plus concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la 4ème place
dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce
en
considération
de
toutes
ces
grandeurs
économiques.
Justification du projet
La passementerie est un métier et un art qui
remonte à la plus haute antiquité. Depuis que
l'homme a eu l'idée de nouer, de tresser ou de tisser
des fils sans but utilitaire, il a fait de la
passementerie sans le savoir.
Au Maroc, parmi les innombrables traditions
artisanales, la passementerie est de celles qui ont
toujours su se renouveler, s’adaptant aux modes, les
précédant parfois, discrète et pourtant indispensable.
La fabrication de passementerie est extrêmement
variée : du plus petit galon de finition de tenture
murale aux larges galons à dessins de tous styles
pour les rideaux, du cache-clous des sièges en galon
à la crête en guipure exécutée mécaniquement ou à
la main, de l'effilé bordant les rideaux.
Les salons marocains sont de grands consommateurs
de passementerie et dans toutes les familles le salon
doit être un lieu convivial et indispensable.
Conseils techniques
La passementerie est une production textile
complexe
faisant
intervenir
successivement
différentes techniques tel que le tissage Jacquard ou
à la main, le tressage et le retordage pour la
réalisation d'un seul article.
Une
fois
le
modèle
défini,
la
fabrication,
essentiellement
manuelle,
demande
un
long
cheminement qui va de l'élaboration du produit à sa
réalisation technique au travers de 8 grandes
étapes : Le choix des modèles, le réassort ou
coloration, le dévidage, l'ourdissage, la mise en carte
et le montage du métier à tisser, le tissage
mécanique ou à la main, le retord ou rouet, le travail
à l'Établi ou enjolivure.
La réalisation nécessite une grande maîtrise
technique mais également un savoir-faire. Il faut
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
83
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
aussi prévoir l’acquisition de certaines
machines dont : Bobinoirs pour rubans,
machines pour le blanchiment des rubans,
machines à imprimer les rubans, machines à
découper les rubans, machines à mesurer et
à emballer les rubans, séchoirs pour rubans,
tresses et passementeries, calandres pour
rubans, machines à apprêter rubans et
tresses, machines à tendre les rubans et la
passementerie,
toronneuses
pour
passementerie, machines pour la fabrication
de cordonnets de soie, tresseuses pour
passementerie, machines à joindre les
tresses, points visibles et cachés, machines
pour mesurer les tresses, métiers à retordre
pour passementerie, machines textiles pour
revêtement en spirale, machines à faire les
franges, pour l'industrie textile, machines
pour tissus chenilles…
Conditions d’approvisionnement
La région dispose de facteurs de production
combinant
coûts
raisonnables,
qualité,
proximité par rapport au marché européen.
Assurer un approvisionnement constant en
pure soie, en soie schappe, en bourrettes de
soie, en tresses et cordons en soie,…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
84
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Fiche de projet n° S_ITC_17
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Soutiens gorges en produit
fini
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessous
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
1.000.000 U/an
Besoin en superficie
15. 000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_18
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Vêtements de bonneterie en
produit fini
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessous
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
90.000.000 MAD
Capacité de production
5 600 000 unités par
l'équivalent de 6000 kg
tissus maille par jour
an
de
Besoin en superficie
17.000 m²
Besoin en RH
300 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Justification du projet
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
86
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_19
Données sur le secteur
Capacité de production
100.000 unités par an soit 360
pièces/jour
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en superficie
2.500 m²
Justification du projet
Intitulé du projet
Vêtements de bonneterie en
grosse
maille
(tricotage
rectiligne) en produit fini
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessous
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
13.000.000 MAD
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
87
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_20
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Finissage de vêtements de
bonneterie
Secteur
Industrie textile
Branche
Fabrication
industrielle
vêtements de dessous
de
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
60.000.000 MAD
Capacité de production
2 800 tonnes par an
10.000 kg par jour
soit
L’industrie
du
Textile
et
de
l’Habillement occupe une position de
premier plan au niveau du Maroc. Elle
contribue à concurrence de 42% et
34% respectivement à l’emploi et aux
exportations du secteur manufacturier
et plus de 1700 établissements
opèrent dans les ITH, soit environ
22% de l’ensemble des unités
industrielles. Elles génèrent aussi 13%
de la production, 17% de la valeur
ajoutée et 14% des investissements
du secteur manufacturier.
Ce secteur est en perte de vitesse au
cours des dernières années, sous
l’effet
d’un
environnement
international
de
plus
en
plus
concurrentiel.
Le secteur du textile se positionne à la
4ème place dans le paysage industriel
de la région GCBH, et ce en
considération de toutes ces grandeurs
économiques.
Besoin en superficie
18.000 m²
Justification du projet
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Export 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le nombre des entreprises opérant
dans ce secteur dans la région du
GCBH s’avère insuffisant pour arriver
à répondre à la demande qui ne cesse
de croître.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
en
tissu
auprès
de
producteurs
nationaux
et
internationaux. Cette activité peut se
prêter à la sous-traitance auprès
d’opérateurs étrangers.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
88
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_21
Intitulé du projet
Vêtements en cuir
Secteur
Artisanat
Branche
Confection d'articles en cuir
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Ouezzane
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
Sur commande
Besoin en superficie
5.000 m2
Besoin en RH
80 permanents
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'un des métiers où l'artisan marocain est
excellent, sans conteste, le travail du
cuir. La grande maîtrise de cet art par
les artisans marocains a donné lieu à une
profusion de techniques utilisées en
maroquinerie tels le cuir excisé, la
pelleterie, le cuir pigmenté, le cuir brodé
de soie, la reliure.
La branche des vêtements en cuir, qui
connaît
aujourd’hui
un
essor
considérable,
comporte
19
unités
modernes de transformation, contribue
par 6,5% de la production du secteur en
valeur. Elle emploi 3% de l'effectif total
de ce secteur cuir et exporte une valeur
de 21% Millions d’Euros soit 11% du
total des exportations des produits en
cuir.
Justification du projet
Les vêtements en cuir sont de plus en
plus à, surtout s’il y a créativité et suivi
de la mode, mais aussi l'adaptation de la
production aux exigences de et clientèle.
Conseils techniques
Marchés potentiels
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L'industrie du cuir dépend, en amont, de
l'élevage et de l'abattage pour son
approvisionnement
en
matières
premières de base, à savoir les peaux, et
de certaines industries manufacturières
pour
toutes
les
phases
de
sa
transformation. Les principales sont la
chimie et parachimie pour le traitement
des peaux (tannage), le textile, les
articles en métaux, le caoutchouc et le
plastique pour l’ornement et l’habillage
des divers produits à base de cuir, le
commerce des articles en cuir, etc.
Aussi cette industrie nécessite une veille
continue sur le monde de la mode au
niveau international.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
89
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GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_22
Intitulé du projet
Tannerie et mégisserie
Secteur
Industrie du
chaussure
cuir
et
de
la
Branche
Apprêt et tannage des cuirs
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Ouezzane
Coût global du projet
4.500.000 MAD
Capacité de production
Sur commandes
Besoin en superficie
3.000 m2
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
L'un des métiers où l'artisan marocain est
excellent, sans conteste, c’est le travail
du cuir. La grande maîtrise de cet art a
donné lieu à une profusion de techniques
utilisées dans toute la chaîne cuir.
La branche "Tannerie mégisserie" est une
de ces branches, voir la principale dans la
chaîne de l’industrie du cuir. Elle compte
plus de 55 unités modernes pour
l'essentiel de grandes tailles réalisant
prés de 23% de la production totale du
secteur en valeur et 5% des ventes à
l'étranger Ces unités ont opéré une
diversification de leur production et une
amélioration de la qualité des cuirs
tannés très Appréciées sur le marché
international.
Justification du projet
Au niveau de la région GCBH les articles
en cuir sont de plus en plus demandés,
surtout les produits artisanaux. Ceci exige
l’existence d’unités de production, mais
indispensablement des unités de tannage
et messigerie.
Conseils techniques
Le tannage dépend en amont de l'élevage
et de l'abattage, qui est abondant au
niveau de la région GCBH. En aval,
l’industrie du cuir exprime un besoin
important au niveau national.
Toutefois ce domaine est soumis à un
ensemble de normes d’hygiène et de
sécurité qu’il faut respecter.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
90
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ITC_23
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
petite maroquinerie
Secteur
Industrie du
chaussure
cuir
et
de
la
Branche
Fabrication d'articles de voyage
et de maroquinerie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Ouazzane,
Sidi Taibi
Coût global du projet
8.500.000 MAD
Capacité de production
1000 pièces/jour
Besoin en superficie
L'un des métiers où l'artisan marocain
excellent, sans conteste, le travail du
cuir. Cet art, dont les origines remontent
aux Almohades est l'apanage des villes
impériales de Fès et Marrakech.
La grande maîtrise de cet art par les
artisans marocains a donné lieu à une
profusion de techniques utilisées en
maroquinerie tels le cuir excisé, la
pelleterie, le cuir pigmenté, le cuir brodé
de soie, la reliure.
Née
de
cet
art
traditionnel,
la
Maroquinerie moderne ou industrielle
n'est pas en reste. Elle demeure surtout
centralisée à Casablanca où elle est très
florissante.
Justification du projet
Ce
projet
vise
d'une
part,
la
modernisation
du
secteur
de
la
maroquinerie notamment par l'adaptation
de la production aux exigences de la
clientèle et d'autre part l'industrialisation
du potentiel du cuir local en produits fins.
15.000 m2
Conditions d’approvisionnement
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L'industrie du cuir dépend, en amont, de
l'élevage et de l'abattage pour son
approvisionnement
en
matières
premières de base, à savoir les peaux, et
de certaines industries manufacturières
pour
toutes
les
phases
de
sa
transformation. Les principales sont la
chimie et parachimie pour le traitement
des peaux (tannage), le textile, les
articles en métaux, le caoutchouc et le
plastique pour l’ornement et l’habillage
des divers produits à base de cuir, le
commerce des articles en cuir, etc.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
91
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ITC_24
Intitulé du projet
Unité
de
confection
d'articles en cuir
Secteur
Artisanat
Branche
Confection d'articles de cuir
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Ouezzane, Sidi Taibi,
Sidi Slimane
Coût global du projet
8.000.000 MAD.
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
1.500 m2
Besoin en RH
40 permanents
Marchés potentiels
National et export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le Maroc jouit d'une grande réputation en
matière de transformation du cuir grâce à son
savoir faire traditionnel à la disponibilité d'une
main d'œuvre qualifiée et à l'utilisation des
technologies
avancées
L'exploitation
des
possibilités réelles d'intégration en amont et en
aval permet la valorisation des matières
premières et la fabrication d'articles en cuir d'une
grande diversité et d'une bonne qualité.
Le Maroc fournit au marché international une
quantité importante et diversifiée de produits en
cuir à différents stades de transformation; le
marché européen de part sa proximité
géographique constitue le principal débouché
pour les articles fabriqués.
L’industrie du cuir et du tannage couvre le
traitement de matières premières, c’est à dire la
conversion de la peau brute, un matériau
périssable, en cuir, un matériau stable, et sa
finition, de manière à l’utiliser pour fabriquer un
large éventail de produits de consommation.
Ce secteur compte près de 35O non inclus les
entreprises artisanales et offre plus de 17000
emplois directs permanents. Il a réalisé un
chiffre d’affaire de plus de 232 millions d'Euros
avec près de 187 millions d'Euros en exportation
et une valeur ajoutée de 8O millions d'Euros.
Justification du projet
La grande demande local, régional, national et
international en plus du grand potentiel du
développement de ce secteur dans la région au
vu du grand cheptel, sont les principales
justifications de ce projet.
Conditions d’approvisionnement
L'industrie du cuir dépend, en amont, de
l'élevage
et
de
l'abattage
pour
son
approvisionnement en matières premières de
base, à savoir les peaux, et de certaines
industries manufacturières pour toutes les
phases de sa transformation. Les principales sont
la chimie et parachimie pour le traitement des
peaux (tannage), le textile, les articles en
métaux, le caoutchouc et le plastique pour
l’ornement et l’habillage des divers produits à
base de cuir, le commerce des articles en cuir,
etc.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
92
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_25
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de fabrication de sac à
main
Secteur
Industrie du
chaussure
cuir
et
de
la
Branche
Fabrication d'articles de voyage
et de maroquinerie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Ouazzane,
Sidi Taibi
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
300 pièces / jour
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marché potentiels
National et International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Au niveau national, l’industrie du cuir et
de la chaussure inclut plus de 230
entreprises, en plus des entreprises
semi-industrielles et artisanales qui
couvrent environ cent millions de paires
de chaussures de toutes sortes. La
valeur est estimée à 122 millions de
dollars.
Justification du projet
L’activité de transformation de cuir est
presque inexistante dans la région. Et
ce
en
présence
d’une
demande
importante
et
évolutive
due
à
l’expansion démographique que connaît
la région.
En effet, la consommation en articles
chaussures au niveau de la région est
estimée à 1 500 000 paires par an.
Conditions d’approvisionnement
L'industrie du cuir dépend, en amont,
de l'élevage et de l'abattage pour son
approvisionnement
en
matières
premières de base, à savoir les peaux,
et
de
certaines
industries
manufacturières pour toutes les phases
de sa transformation. Les principales
sont la chimie et parachimie pour le
traitement des peaux (tannage), le
textile, les articles en métaux, le
caoutchouc
et
le
plastique
pour
l’ornement et l’habillage des divers
produits à base de cuir, le commerce
des articles en cuir, etc.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
93
ROYAUME DU MAROC
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_26
Intitulé du projet
Chaussures de ville
Secteur
Industrie du
chaussure
cuir
et
de
la
Branche
Fabrication industrielle de
chaussures modernes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahia,
Ouezzane
Coût global du projet
24.000.000 MAD
Capacité de production
2 100 paires par jour
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
210 personnes
Marchés potentiels
Local 35% - Export 65%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Au niveau national, l’industrie de la
chaussure inclut plus de 230 entreprises,
en plus des entreprises semi-industrielles
et artisanales qui couvrent environ cent
millions de paires de chaussures de toutes
sortes. La valeur est estimée à 122 millions
de dollars.
L’industrie de la chaussure concerne les
chaussures
de luxe
et
semi
luxe;
chaussures de ville; chaussures pour
dames, hommes ou enfants; chaussures de
sport; sandales; chaussures tressées;
mocassins; pantoufles; chaussures de
travail, de sécurité et spéciales; chaussures
militaire, de montagne et chaussures en
caoutchouc ou en plastique. Les types de
chaussures fabriquées se différencient,
aussi, par le procédé de fabrication dont on
cite : blake; california; cousu retourné et
cousu sandalette; cousu trépointe; injecté
plastique; mixte, Soudé et Vulcanisé.
Justification du projet
L’activité de transformation de cuir est
presque inexistante dans la région. Et ce
en présence d’une demande importante et
évolutive due à l’expansion démographique
que connaît la région.
En effet, la consommation en articles
chaussures au niveau de la région est
estimée à 1 500 000 paires par an.
Conditions d’approvisionnement
L'industrie du cuir dépend, en amont, de
l'élevage et de l'abattage pour son
approvisionnement en matières premières
de base, à savoir les peaux, et de certaines
industries manufacturières pour toutes les
phases
de
sa
transformation.
Les
principales sont la chimie et parachimie
pour le traitement des peaux (tannage), le
textile, les articles en métaux, le
caoutchouc et le plastique pour l’ornement
et l’habillage des divers produits à base de
cuir, le commerce des articles en cuir, etc.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
94
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ITC_27
Intitulé du projet
Chaussures de sécurité
Secteur
Industrie du
chaussure
cuir
et
de
la
Branche
Fabrication industrielle de
chaussures modernes
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Kacem, Sidi Yahia
Coût global du projet
18.500.000 MAD
Capacité de production
3 100 paires par jour
Besoin en superficie
6.000 m²
Besoin en RH
80 personnes
Marchés potentiels
Local 20% - Export 80%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Au niveau national, l’industrie de la
chaussure inclut plus de 230 entreprises,
en plus des entreprises semi-industrielles
et artisanales qui couvrent environ cent
millions de paires de chaussures de toutes
sortes. La valeur est estimée à 122 millions
de dollars.
L’industrie de la chaussure concerne les
chaussures
de luxe
et
semi
luxe;
chaussures de ville; chaussures pour
dames, hommes ou enfants; chaussures de
sport; sandales; chaussures tressées;
mocassins; pantoufles; chaussures de
travail, de sécurité et spéciales; chaussures
militaire, de montagne et chaussures en
caoutchouc ou en plastique. Les types de
chaussures fabriquées se différencient,
aussi, par le procédé de fabrication dont on
cite : blake; california; cousu retourné et
cousu sandalette; cousu trépointe; injecté
plastique; mixte, Soudé et Vulcanisé.
Justification du projet
L’activité de transformation de cuir est
presque inexistante dans la région. Et ce
en présence d’une demande importante et
évolutive due à l’expansion démographique
que connaît la région.
En effet, la consommation en articles
chaussures au niveau de la région est
estimée à 1 500 000 paires par an.
Conditions d’approvisionnement
L'industrie du cuir dépend, en amont, de
l'élevage et de l'abattage pour son
approvisionnement en matières premières
de base, à savoir les peaux, et de certaines
industries manufacturières pour toutes les
phases
de
sa
transformation.
Les
principales sont la chimie et parachimie
pour le traitement des peaux (tannage), le
textile, les articles en métaux, le
caoutchouc et le plastique pour l’ornement
et l’habillage des divers produits à base de
cuir, le commerce des articles en cuir, etc.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
95
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IMME_01
Intitulé du projet
Fonderie de métaux
Secteur
Industries
métallurgiques,
mécaniques,
électriques
et
électroniques (IMME)
Branche
Métallurgie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
25.000.000 MAD
Capacité de production
1000 tonne/ an
Besoin en superficie
10.000m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Le marché régional et national
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'industrie de la fonderie est très ancienne
au Maroc et a toujours constitué un
puissant facteur de développement du
pays. Elle est passée de l'état artisanal à
l'état industriel avec l'émergence de grands
ensembles industriels intégrés. Ces derniers
regroupent les activités de conception, de
fabrication de moules, de fusion, d'usinage,
de traitement thermique. Ces unités
produisent pour le compte de l'industrie, de
l'agriculture, des mines des carrières et
bien d'autres secteurs.
Justification du projet
La fonderie est une activité d’une grande
importance pour la région qui exprime de
plus en plus un besoin croissant en
matériaux et produit de fonderie.
En effet c’est une activité nécessaire dans
chaque pôle urbain et industriel du Gharb
où on ne trouve que de petites unités quasi
artisanales.
Conditions d’approvisionnement
L'approvisionnement
du
secteur
en
matières premières, il se fait à travers deux
canaux de distribution :
- Le marché local : achat de la ferraille,
des éléments d'alliages, des alliages
cuivreux et des alliages antimoine ;
- Le marché international : achat des
lingots
de
différente
provenance
notamment de France, des pays du
Benelux et d'Allemagne
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
96
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_IMME_02
Intitulé du projet
Unité de fabrication de fils
métalliques
Secteur
IMME
Branche
Métallurgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi,
Sidi Yahia, Souk Larbaa
Coût global du projet
6.000.000DH
Capacité de production
12.000.000 mètres par an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis
une place de plus en plus prépondérante dans le
tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique
de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie
nationale et de leur maintenance, il contribue
largement à la promotion de l'enseignement
technique et au renforcement de l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle
d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi
plusieurs
unités
de
production
travaillent
actuellement à 50%, et même moins de leur
capacité de production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de dégager une
production supplémentaire destinée aux marchés
extérieurs. Cette production touche aussi bien le
secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits
imprimés, diodes, électroménagers...).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande provenant de plusieurs secteurs d’activité
telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries.
Cette unité proposera une large gamme de bobines
de fils de fer, de fils de bronze et de fils d’étain.
Cependant, une unité peut éventuellement se
spécialiser dans la production d’un seul type de fils
uniquement.
Conditions d’approvisionnement
L’unité devra assurer un approvisionnement constant
en fer, en bronze et en étain. Cet approvisionnement
se fera soit sur le marché national soit à travers
l’importation.
Conseils techniques
Le Parc machine devra être composé de dresseuses,
bobineuses,
d’un équipement de traitement
thermique et de machines de pliage.
Cette unité peut produire une large gamme de fils :
Fils Clairs industriels pour articles en fils
métalliques :
Pour
pliage,
soudage,
assemblage
d'articles
comme
des
présentoirs,
grilles,
treillis,
containers,
rayonnages,
broches
de
volets
et
persiennes ;
Fils galvanisés : Pour articles de pêche,
arceaux de tunnels maraîchage, cages
d'élevage, anses de seaux, articles
industriels...
Fils torsadés pour pointes spéciales, articles
en fils, décoration ;
Fils crantés H.R ;
Fils aluminium ;
Fils de bronze ;
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
97
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fils d’étain ;
Fils de brochage et reliure ;
Fils vert, galvanisés, recuits pour
fleuristes ;
Fils
pour
Conditionnements :
Couronnes trancannées, rosaces,
touret bois, dressé – coupé
à
dimensions ;
Fils recuits pour ligaturage : Cerclage
des balles de déchets compressés sur
presse automatique équipements
pour producteurs ou transformateurs
de carton ondulé, centre de tri et
recyclage, récupérateurs de déchets
cartons, papiers, films ou bouteilles
plastiques,
PVC,
...ou
semi
automatique ;
Fil de ligature pour armatures
bâtiments, pour le cerclage et la
manutention de pièces, en particulier
pour la galvanisation à chaud,…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n° FP_S_IMME_03
Intitulé du projet
Unité de fabrication
pointes diverses
de
Secteur
IMME
Branche
Métallurgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
5.500.000DH
Capacité de production
6.000 tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis
une place de plus en plus prépondérante dans le
tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique
de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie
nationale et de leur maintenance, il contribue
largement à la promotion de l'enseignement
technique et au renforcement de l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle
d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi
plusieurs
unités
de
production
travaillent
actuellement à 50%, et même moins de leur
capacité de production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de dégager une
production supplémentaire destinée aux marchés
extérieurs. Cette production touche aussi bien le
secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits
imprimés, diodes, électroménagers...).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande provenant de plusieurs secteurs d’activité
telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries.
Cette unité proposera une large gamme de pointes
Cependant, une unité peut éventuellement se
spécialiser dans la production d’un seul type de
pointes.
Conditions d’approvisionnement
L’unité devra assurer un approvisionnement constant
en
fer,
en
cuivre,
en
inox,
etc.
Cet
approvisionnement se fera soit sur le marché
national soit à travers l’importation.
Conseils techniques
Le Parc machine devra être composé de dresseuses,
bobineuses,
d’un équipement de traitement
thermique et de machines de pliage.
Cette unité peut produire une large gamme pointes :
Pointes double tête ;
Pointes galvanisées à chaud ;
Pointes électro-zinguées ;
Pointes annelées ;
Pointes cuivres-laiton-inox ;
Pointes à béton,…
Mais aussi une gamme diversifiée de pointes à usage
différencié :
Pointes Torsadées ;
Pointes Crantées ;
Pointes Annelées ;
Pointe lisses coupe biaisée ;
Pointe lisses coupe diamant, …
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n° FP_IMME_04
Intitulé du projet
Unité de fabrication
pointes en acier
de
Secteur
IMME
Branche
Métallurgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
3.500.000DH
Capacité de production
4.000 tonnes par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis
une place de plus en plus prépondérante dans le
tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique
de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie
nationale et de leur maintenance, il contribue
largement à la promotion de l'enseignement
technique et au renforcement de l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle
d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi
plusieurs
unités
de
production
travaillent
actuellement à 50%, et même moins de leur
capacité de production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de dégager une
production supplémentaire destinée aux marchés
extérieurs. Cette production touche aussi bien le
secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits
imprimés, diodes, électroménagers...).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande provenant de plusieurs secteurs d’activité
telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries.
Cette unité proposera une gamme de pointes en
acier.
Conditions d’approvisionnement
L’unité devra assurer un approvisionnement constant
en acier qui se présente sous la forme d'une bobine
constituée d'un câble d'un diamètre voisin de celui
du clou souhaité. Cet approvisionnement se fera soit
sur le marché national soit à travers l’importation.
Conseils techniques
1ère étape : la fabrication du clou : La matière
première, l'acier, se présente sous la forme d'une
bobine constituée d'un câble d'un diamètre voisin de
celui du clou souhaité. Le choix de l'acier dépend des
caractéristiques recherchées lors de la fixation
(fixation dans du béton, du plâtre, dans un métal,
etc.), et de l'engin qui va servir à l'enfoncer. Ce
câble est entraîné dans une machine qui réalise la
fabrication du clou. Dans cette machine, le câble est
découpé en tronçons d'acier. Chaque tronçon servira
à la fabrication d'un clou. Il existe pour cela deux
méthodes, qui sont utilisées selon le type de clou
souhaité. La première de ces méthodes est la frappe,
qui consiste à déformer l'acier par des chocs
successifs pour lui donner la forme du clou. La
deuxième méthode est la découpe, qui consiste à
l'aide de deux couteaux, à supprimer la matière
superflue pour tailler la pièce souhaitée dans la
masse. Cette deuxième méthode implique donc des
pertes de matière mais elle convient mieux à la
fabrication des clous minces (3 ou 4 millimètres de
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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diamètre). La tête du clou est ensuite
réalisée par frappe à froid.
2ème étape : le traitement thermique :
Les clous ainsi fabriqués subissent ensuite un
traitement thermique. Ils passent dans un
four à 900°C à la sortie duquel ils sont
plongés dans un bain d'huile à température
ambiante. Ce trempage leur permet d'obtenir
une grande dureté, qui leur permet de ne
pas se déformer ou s'écraser sur un mur de
béton ou une plaque d'acier. Après avoir été
nettoyés, ils passent dans un second four à
la température de 200°C à la sortie duquel
ils refroidissent lentement à l'air libre. Ce
second passage permet aux clous de ne pas
être trop fragiles.
3ème étape : le traitement de surface :
Les clous, une fois refroidis, bénéficient d'un
traitement de surface destiné à les rendre
plus présentables et plus résistants à la
corrosion. Ils sont donc d'abord ébavurés par
frottement avec de la pierre ponce rugueuse,
ce qui permet de supprimer une grande
partie des imperfections et des défauts. Ils
sont ensuite pris en charge par un automate
qui déplace des lots de clous de bassin en
bassin, chaque bassin contenant une solution
spécifique à une opération. Les automates
contrôlent les variations de composition des
solutions et le temps de passage des lots de
clous en solution. Les clous sont d'abord
nettoyés et dégraissés, puis ils sont
recouverts d'une fine couche de zinc coloré
pour leur donner une couleur bleue, dorée ou
argentée. Les clous sont ensuite prêts à être
conditionnés et distribués.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n° FP_S_IMME_05
Intitulé du projet
Unité de fabrication
pièces en fils de fer
de
Secteur
IMME
Branche
Métallurgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
4.000.000DH
Capacité de production
2.000 tonnes par an
Besoin en superficie
2.500 m²
Besoin en RH
25 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis
une place de plus en plus prépondérante dans le
tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique
de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie
nationale et de leur maintenance, il contribue
largement à la promotion de l'enseignement
technique et au renforcement de l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle
d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi
plusieurs
unités
de
production
travaillent
actuellement à 50%, et même moins de leur
capacité de production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de dégager une
production supplémentaire destinée aux marchés
extérieurs. Cette production touche aussi bien le
secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits
imprimés, diodes, électroménagers...).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande provenant de plusieurs secteurs d’activité
telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries.
Cette unité proposera plusieurs pièces en fils
métalliques standards, mais aussi des produits
spécifiques sur commande.
Conditions d’approvisionnement
L’unité devra assurer un approvisionnement constant
en bobines de fils de fer. Cet approvisionnement se
fera soit sur le marché national soit à travers
l’importation.
Conseils techniques
Cette unité devra œuvrer à la fabrication de pièces
en fils à partir d'une plieuse à 2 têtes de cintrage à
partir de bobines, munie d'un système de transfert
automatique et d'une tête de soudage par
rapprochement.
Le type de pièces réalisées
concernera à titre d’exemple des :
Grillages en fils de fer ;
Du fil de fer barbelé (coupant, piquant,…) ;
Des cadres ;
Des cerces ;
Des pièces diverses fermées ou non, …
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n°S_IMME_06
Intitulé du projet
Traitement de surface
revêtement de métaux
et
Secteur
IMM
Branche
Traitement
des
mécanique générale.
métaux ;
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kenitra, Sidi Taibi,
Sidi Kacem
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
Selon la demande
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Le Marché régional et national.
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Les opérations de traitement et de revêtement
des métaux donnent à des produits métalliques
ou composites des spécificités fonctionnelles
visant à les protéger, en modifier les propriétés
physiques ou les décorer en utilisant une
multitude de techniques. Cette activité permet
d’accroître la durabilité, la protection contre la
corrosion, la conductibilité électrique ou les
caractéristiques de glissement. C’est un
passage obligé dans le processus de production
de bon nombre de pièces en métal.
Justification du projet
Les secteurs clients sont nombreux. Les plus
importants sont l’automobile, le bâtiment et les
travaux publics avec près de la moitié du chiffre
d’affaires. Viennent ensuite la fabrication de
matériel électrique et électronique et la
construction aéronautique.
Les entreprises du traitement et du revêtement
des métaux sont des entreprises de soustraitance. Les objectifs de qualité, de délais et
de prix de leurs donneurs d’ordres les
contraignent à adapter en permanence leurs
procédés, et ce en tenant compte de la
contrainte réglementaire environnementale de
plus en plus exigeante.
Toutefois
en aillant la flexibilité requise,
surtout en travaillant en flux tendu, permet à
cette industrie d’assurer un service de qualité
avec une plus grande maîtrise des coûts.
Conseils techniques
Les opérations de traitements de surfaces sont
effectuées de nos jours par une multitude de
petites entreprises sous-traitantes pour le
compte de grands groupes industriels dans les
domaines de l'automobile, des « produits
blancs », de l'aérospatiale…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n° S_IMME_07
Intitulé du projet
Unité de fabrications de
boulonnerie
visserie,
écrous, raccords, tiges
Secteur
Travail des métaux
Branche
Visserie
et
boulonnerie,
fabrication de chaines et de
ressorts
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
2.000.000 unités / an
Besoin en superficie
2.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
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Données sur le secteur
Le secteur d'activité visé concerne la
boulonnerie et la visserie spéciale
obtenue à la base de technique du
décolletage qui est une spécialité à part
entière au service d'un nombre de
secteurs consommateurs tant finaux,
qu'intermédiaires (industrie) et se
classe parmi les activités de soustraitance nécessaires dans chaque pôle
industriel.
Justification du projet
Dans le cadre de la diversification du
tissu des IMM de la région et de
l'intégration des activités industrielles
existantes, une telle unité est justifiée
pour répondre aux besoins du marché.
Conditionnement d’approvisionnement
L'approvisionnement du secteur en
matières premières, il se fait à travers
deux canaux de distribution :
-
Marchés potentiels
Marché régional
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
-
Le marché local : achat de la
ferraille, des éléments d'alliages,
des alliages cuivreux et des
alliages antimoine ;
Le marché international : achat
des
lingots
de
différente
provenance notamment de France,
des
pays
du
Benelux
et
d'Allemagne
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
104
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Fiche de projet n°S_IMME_08
Intitulé du projet
Unité
de
menuiserie
métallique
Secteur
Industrie
Mécanique
Métallique
et
Branche
Travail des métaux
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
7 000 000 MAD
Capacité de production
15 000 m² par an
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques et Mécaniques (IMM),
est au centre de tous les autres
secteurs économiques.
Actuellement il intervient pour 17,55%
dans
la
production
industrielle
nationale.
Ce secteur emploi presque 70 000
personnes dans plus de 38 métiers
différents.
Justification du projet
Le
secteur
des
IMM
recèle
d'importantes
potentialités
à
l'exportation, ainsi plusieurs unités de
production travaillent actuellement à
50%, et même moins de leur capacité
de production et seraient en mesure,
en augmentant le facteur de travail,
de
dégager
une
production
supplémentaire destinée aux marchés
extérieurs.
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Local
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004
publié au Bulletin Officiel n° 5240
du 19 août 2004
Loi 13-89 du Commerce extérieur
promulguée par le dahir n° 1-91201 du 9 novembre 1992
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
105
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Données sur le secteur
Fiche de projet n° S_IMME_09
Intitulé du projet
Unité
de
tourneurs,
fraiseurs, traitement des
métaux
Secteur
I.M.M
Branche
Traitement des métaux
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité d’acceuil
200 T par an
Besoin en superficie
2.500 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a
acquis une place de plus en plus prépondérante
dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle
stratégique
de
pourvoyeur
de
biens
d'équipement à l'économie nationale et de leur
maintenance, il contribue largement à la
promotion de l'enseignement technique et au
renforcement de l'infrastructure industrielle du
Maroc.
Parmi les métiers prometteurs, il y a le
tourneur traditionnel fabrique des pièces sur un
tour. Le fraiseur, lui aussi, fabrique des pièces
mécaniques mais sur une machine appelée
fraiseuse.
Le tourneur façonne sur une machine-outil des
pièces parfaitement lisses à des dimensions
exactes correspondant à la commande. Sur un
tour, c’est l’outil qui avance sur la pièce. Sur
une fraiseuse c’est la pièce qui avance vers
l’outil.
Sur
les
pièces
à
produire, le
fraiseur perce, fait des rainures ou toute autre
opération selon des commandes à exécuter
avec précision.
Justification du projet
Le besoin de la région en tourneurs et fraiseurs
est de plus en plus important, exprimé par les
différents secteurs qui se basent sur la
mécanique.
Il s’agit principalement des tourneurs et
fraiseurs usant des nouvelles technologies de
pointe vu la complexité de la mécanique
exploitée par les industries nouvelles.
Conseils techniques
Le métier du tourneur et fraiseur est de plus en
plus informatisé, permettant une précision
optimum et la maîtrise de la qualité
Pour les unités entièrement automatisées,
l'opérateur peut surveiller plusieurs machines
travaillant en réseau.
Aujourd’hui, La plupart des tours et fraiseuses
sont des machines automatisées à commandes
numériques. Le tourneur-fraiseur étudie, à
l’aide
de
plans
pré-établis,
les
pièces
mécaniques à fabriquer puis monte et règle les
outils nécessaires à leur production. Pendant la
fabrication, les mécaniciens tourneurs-fraiseurs
veillent sur la machine et contrôlent les pièces
usinées.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
106
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Fiche de projet n°S_IMME_10
Intitulé du projet
Fabrication de moules pour
semelles
Secteur
Industries Métalliques et
Mécaniques
Branche
Fabrication de machines et
équipements
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
30.000 unités par an
Besoin en superficie
3.500 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Le Marché local, national
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Au niveau national, l’industrie de la chaussure
inclut plus de 230 entreprises, en plus des
entreprises semi-industrielles et artisanales qui
couvrent environ cent millions de paires de
chaussures de toutes sortes. La valeur est
estimée à 122 millions de dollars.
L’industrie de la chaussure concerne les
chaussures de luxe et semi luxe ; chaussures
de ville ; chaussures pour dames, hommes ou
enfants ; chaussures de sport ; sandales ;
chaussures tressées ; mocassins ; pantoufles ;
chaussures de travail, de sécurité et spéciales ;
chaussures
militaire,
de
montagne
et
chaussures en caoutchouc ou en plastique. Les
types
de
chaussures
fabriquées
se
différencient, aussi, par le procédé de
fabrication dont on cite : blake ; california ;
cousu retourné et cousu sandalette ; cousu
trépointe ; injecté plastique ; mixte, Soudé et
Vulcanisé.
Justification du projet
Cette activité fait partie de l’industrie
mécanique (IMME) et constitue le fleuron de
l’industrie de la chaussure dont dépend
étroitement le développement du secteur cuir.
L’inexistence de cette activité constitue encore
un handicap au secteur et réduit énormément
de sa compétitivité et créativité. L’industrie
chaussure
marocaine
est
tributaire
des
importations de moules pour semelles, à raison
de 55 Millions DH en moyenne par an.
Situation
qui
offre
une
opportunité
d’investissement en matière de fabrication de
moules pour semelles et matrices pour
l’industrie cuir au Maroc, afin de se substituer
des importations massives d’une part, et de
dynamiser le secteur cuir d’autre part, pour
rehausser sa compétitivité et performance tant
au niveau national qu’international.
L’activité de transformation de cuir est presque
inexistante dans la région. Et ce en présence
d’une demande importante et évolutive due à
l’expansion démographique qu’elle connaît. En
effet, la consommation en articles de
chaussures au niveau de la région est estimée à
1 500 000 paires par an.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
107
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Fiche de projet n°S_IMME_11
Intitulé du projet
Fabrication de semoirs et
pulvérisateurs destinés à la
préparation et entretien des
récoltes
Secteur
Fabrication de machines et
équipements
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Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La région du GCBH est sans conteste
une région à fort potentiel agricole.
En effet, elle totalise 1,2% du territoire
national avec une superficie de 893 860
ha dont 68% de surface agricole utile
(7% de la SAU nationale). Un peu plus
de 20% de la SAU est aménagée et
irriguée.
Branche
Fabrication de matériel agricole
Avec 130 000 hectares irrigués, la
région du Gharb constitue le périmètre
d'irrigation le plus étendu du pays, soit
21% de la superficie nationale irriguée
en grande hydraulique.
Lieu d’implantation proposé
Commune : kénitra, Sidi Kacem
La valeur ajoutée d'un hectare équipé
est de l'ordre de 20 000 DH.
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Capacité de production
1.500 unités par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Le Marché régional et national
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Les activités agricoles occupent plus de
50% de la population de la région.
L'agriculture est appelée à alimenter un
secteur agro-industriel et un marché
très important constitué par les grands
centres de consommation : Casablanca,
Rabat, Fès et Tanger.
Justification du projet
La région du Gharb est une région à
vocation essentiellement agricole. Dans
ce sens le besoin en matériel agricole
est
important,
surtout
avec
le
développement et la diversification de la
pratique agricole qu’elle connaît.
Conseils
Recherche de partenaires étrangers ou
nationaux
pour
sous-traitance
en
matière de montage et représentation
commerciale.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
108
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Fiche de projet n° S_IMME_12
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
de
plaques
photovoltaïques à
usage domestique (énergie
solaire)
Secteur
I.M.M
Branche
Fabrication de machines et
équipements
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kenitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
10.000 m² de capteurs
Besoin en superficie
15.000 m2
Besoin en RH
50 personnes.
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
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Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le Maroc est, pour de nombreux experts
internationaux, un site potentiel pour la production
d'énergie solaire qui est capable d'assurer la
couverture des besoins mondiaux en électricité dans
les décennies à venir.
Le Maroc dispose d'un important gisement solaire.
30 % du territoire reçoit annuellement plus de 2000
kWh par m2. Avec un rendement du système Stirling
de 25 % et un taux d'occupation du sol aussi de 25
%, la mobilisation de 1 % de la surface avec le
gisement élevé permettrait de produire environ 210
TWh par an, ce qui représente plus de 15 fois la
demande nationale en l'an 2000.
Justification du projet
Le besoin en énergie se fait de plus en plus senti
dans les milieux aussi bien industriels que ceux des
ménages. Par conséquent, le recours aux nouvelles
sources d’énergie renouvelable est la tendance
actuelle et future.
L'énergie solaire vient souvent en complément d'une
autre source d'énergie (gaz, électricité, fioul). Elle
permet d'alimenter en énergie le circuit de chauffage
de la maison, d'apporter un complément pour les
équipements électriques tel que le chauffe-eau. Pour
l'eau chaude par exemple, elle représente une
économie de 40 à 80 % d'énergie.
Dans ce sens la création d’une unité de fabrication
du matérielle d’utilisation de l’énergie solaire et
photovoltaïque est une opportunité d’investissement
importante à saisir, vu le besoin croissant qui
s’exprime au niveau national et régional.
Conseils techniques
Les technologies se divisent en deux grandes
familles:
- Le silicium cristallin (qu'il soit mono ou poly) est
une technologie éprouvée, dont le rendement est de
l'ordre de 13 %.
- Silicium amorphe : Les coûts de fabrication sont
sensiblement meilleur marché que ceux du silicium
cristallin. Les cellules amorphes sont utilisées partout
où une alternative économique est recherchée, ou,
quand très peu d'électricité est nécessaire (par
exemple, alimentation des montres, calculatrices,
luminaires
de
secours).
D'autres techniques semblent gagner du terrain
aujourd'hui, ce sont les technologies en ruban et les
couches minces.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
109
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_IMME_13
Intitulé du projet
Unité d’assemblage de
matériel agricole
Secteur
Fabrication de
équipements
machines
et
Branche
Fabrication de matériel agricole
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Taibi,
Sidi Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Données sur le secteur
La région du GCBH est sans conteste une
région à fort potentiel agricole.
En effet, elle totalise 1,2% du territoire
national avec une superficie de 893 860 ha
dont 68% de surface agricole utile (7% de
la SAU nationale). Un peu plus de 20% de
la SAU est aménagée et irriguée.
Avec 130 000 hectares irrigués, la région
du Gharb constitue le périmètre d'irrigation
le plus étendu du pays, soit 21% de la
superficie nationale irriguée en grande
hydraulique.
La valeur ajoutée d'un hectare équipé est
de l'ordre de 20 000 DH.
Les activités agricoles occupent plus de
50% de la population de la région.
L'agriculture est appelée à alimenter un
secteur agro-industriel et un marché très
important constitué par les grands centres
de consommation : Casablanca, Rabat, Fès
et Tanger.
Capacité de production
150 engins par an
Justification du projet
Besoin en superficie
2.500 m²
Besoin en RH
30 personnes
La région du Gharb est une région à
vocation essentiellement agricole. Dans ce
sens le besoin en matériel agricole est
important, surtout avec le développement
et la diversification de la pratique agricole
qu’elle connaît.
Marchés potentiels
Le Marché régional et national.
Conseils techniques
Informations Utiles :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Recherche de partenaires étrangers ou
nationaux pour sous-traitance en matière
de montage et représentation commerciale.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
110
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IMME_14
Intitulé du projet
Unité de menuiserie
d’aluminium
Secteur
IMM
Branche
Menuiserie métallique
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kecm, Ouezzane, Jorf El Melha,
Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi
Yahia, Had Kourt, Souk Larbaa
Coût global du projet
250.000 DH
Capacité de production
1.000 m² par an
Besoin en superficie
150 m²
Besoin en RH
6 Permanents
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous
les autres secteurs économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement
pour 17,55% dans la production industrielle
nationale. La richesse du secteur des IMME
c'est surtout 70 000 emplois occupés dans
plus de 38 métiers différents.
Le secteur IMME comprend 11 branches
d'activités dont 4 disposent d'un fort potentiel
à l'export, à savoir : Ouvrages en métaux ;
Matériel de transport ; Matériel Electrique,
Electronique & Composants Electroniques ;
Sous-traitance électrique et électronique.
Bien que le secteur des IMM ne constitue que
7% des investissements globales de la Région
Gharb-Chrarda-Béni Hssen, il a enregistré
une progression qui dépasse les 200%. Ceci
s’explique par l’implantation de nouvelles
unités opérant dans le secteur.
Les Industries Métallurgiques et Mécaniques
(IMM) interviennent pour 17,55% dans la
production industrielle nationale. Ce secteur
emploi presque 70 000 personnes dans plus
de 38 métiers différents.
Justification du projet
La demande croissante pour les produits en
profilé d’aluminium dans la construction, tant
au niveau régional qu’au niveau national,
constitue
une
opportunité
importante
d’investissement à saisir.
Son caractère économique face à la
concurrence du bois, sa facilité d’utilisation et
l’aspect peu capitalistique du projet justifient
la pertinence de ce projet.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
matériaux travaillés : profilés en alliages
d'aluminium.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
111
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IMME_15
Intitulé du projet
Unité de menuiserie en Inox
Secteur
IMM
Branche
Menuiserie métallique
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kecm, Ouezzane, Sidi Taibi,
Sidi Slimane
Coût global du projet
500.000 DH
Capacité de production
1.000 ml par an
Besoin en superficie
500 m²
Besoin en RH
20 Permanents
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous
les autres secteurs économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement
pour 17,55% dans la production industrielle
nationale. La richesse du secteur des IMME
c'est surtout 70 000 emplois occupés dans
plus de 38 métiers différents.
Le secteur IMME comprend 11 branches
d'activités dont 4 disposent d'un fort potentiel
à l'export, à savoir : Ouvrages en métaux ;
Matériel de transport ; Matériel Electrique,
Electronique & Composants Electroniques ;
Sous-traitance électrique et électronique.
Bien que le secteur des IMM ne constitue que
7% des investissements globales de la Région
Gharb-Chrarda-Béni Hssen, il a enregistré
une progression qui dépasse les 200%. Ceci
s’explique par l’implantation de nouvelles
unités opérant dans le secteur.
Les Industries Métallurgiques et Mécaniques
(IMM) interviennent pour 17,55% dans la
production industrielle nationale. Ce secteur
emploi presque 70 000 personnes dans plus
de 38 métiers différents.
Justification du projet
La demande croissante pour les produits en
inox dans la construction, tant au niveau
régional qu’au niveau national, constitue une
opportunité importante d’investissement à
saisir.
Son caractère économique face à la
concurrence du bois, sa facilité d’utilisation et
l’aspect peu capitalistique du projet justifient
la pertinence de ce projet.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
matériaux travaillés : profilés en alliages
d'aluminium.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
112
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
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Fiche de projet n° S_IMME_16
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
profilés
en
alliage
d’aluminium
Secteur
IMME
Branche
Menuiserie métallique
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
30.000.000 MAD
Capacité de production
40.000 m² par an
Besoin en superficie
40.000 m²
Besoin en RH
200 Personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le
secteur
des
Industries
Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous les
autres secteurs économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement pour
17,55% dans la production industrielle nationale. La
richesse du secteur des IMME c'est surtout 70.000
emplois occupés dans plus de 38 métiers différents.
Le secteur IMME comprend 11 branches d'activités
dont 4 disposent d'un fort potentiel à l'export, à
savoir : Ouvrages en métaux ; Matériel de
transport ; Matériel Electrique, Electronique &
Composants
Electroniques ;
Sous-traitance
électrique et électronique.
Bien que le secteur des IMM ne constitue que 7%
des investissements globales de la Région GharbChrarda-Béni Hssen, il a enregistré une progression
qui dépasse les 200%. Ceci s’explique par
l’implantation de nouvelles unités opérant dans le
secteur.
Justification du projet
La demande croissante pour les produits en profilé
d’aluminium dans la construction, tant au niveau
régional qu’au niveau national, constitue une
opportunité importante d’investissement à saisir.
Son caractère économique face à la concurrence du
bois, sa facilité d’utilisation et son esthétique
justifient la pertinence de ce projet.
Les menuiseries aluminium doivent leur succès à la
mode des façades vitrées pour des bâtiments à
usages professionnels et d’habitat. Par ailleurs, de
nouveaux débouchés existent pour la menuiserie
mixte « Aluminium-Bois » pour l’aménagement des
espaces intérieurs.
La région du GCBH dispose d’un grand bassin
d’emploi de mains d’œuvres qualifiées ce qui est une
exigence pour un tel investissement.
Conseils techniques
La production de profilés en alliage d’aluminium
passe par plusieurs étapes. Premièrement le filage
consiste à forcer l’aluminium à s’écouler à travers
une pièce métallique appelée filière, ayant au retrait
près les dimensions du profilé à fabriquer. Celui-ci
peut rester neutre ou être soumis à un traitement de
surface par anodisation ou thermo laquage.
L’anodisation reproduit de manière industrielle le
phénomène naturel d’oxydation qui intervient
lorsque l’aluminium se combine à l'oxygène de l'air
pour former une couche d'oxyde protectrice. Le
thermo laquage consiste lui en l'application d'une
poudre polyester colorée qui se transforme après
cuisson en un film dur et résistant.
Le
parachèvement
des
profilés
en
alliage
d’aluminium est une activité de seconde œuvre qui
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
113
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
consiste à rendre un service sur-mesure
offrant des produits prêts au montage.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
alliage d’aluminium. La demande mondiale
d'aluminium a progressé de 10 millions de
tonnes en 1970 à plus de 32 millions en
2005. Les projections pour 2015 atteignent
51 millions de tonnes. Bien que l'aluminium
soit le troisième élément le plus abondant de
la croûte terrestre, le coût et l'énergie requis
pour transformer le minerai en aluminium
utilisable industriellement est très significatif.
L'aluminium, quelle que soit son origine,
peut être recyclé indéfiniment sans perdre
ses propriétés remarquables. Le recyclage de
l'aluminium ne nécessite que 5% de l'énergie
nécessaire à la production d'aluminium
primaire. Le recyclage de l'aluminium
économise
l'énergie,
sauvegarde
les
ressources fossiles, réduit les mises en
décharge et relève du bon sens économique.
L'aluminium recyclé devient une partie de
plus en plus importante de la chaîne
d'approvisionnement d'aluminium avec une
part de marché qui devrait croître de 17% en
1960 à plus de 38% de 2020.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
114
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Fiche de projet n° S_IMME_17
La chaudronnerie est une branche de l'industrie, dont
l’objet essentiel est la transformation de tous les
métaux en feuilles (tôles), par battage ou martelage,
pour en faire des appareils nécessaires à différentes
industries, et ce avec des machines, notamment les
tours à repousser et les presses à emboutir. La
chaudronnerie façonne aussi les tubes et profilés.
Les matériaux travaillés sont l’acier, l’acier
inoxydable, l’aluminium, mais aussi le cuivre, le
laiton, ou d’autres plus spécifiques à certaines
industries comme l’aéronautique ou le spatial, à base
d’alliages spéciaux.
La chaudronnerie est utilisée pour l’industrie, la
fabrication de charpentes, les coques de bateaux,
pour l'industrie nucléaire, pour l'agro-alimentaire,
pour la pétrochimie, etc.
Aujourd’hui ce métier devient aussi de plus en plus
un métier d’art, puisqu’il produit des articles et des
ouvrages avec un contenu artistique important.
Intitulé du projet
Unité moyenne de travail
d’acier, du cuivre et du fer
Secteur
IMM
Branche
Chaudronnerie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Ouezzane,
Souk Larbaa, Sidi Slimane
Justification du projet
Coût global du projet
250.000 DH
La chaudronnerie est par nature une industrie qui se
trouve en amont de plusieurs filières même non
industrielles. En effet, son output est utilisé dans des
appareils nécessaires à différentes industries, et
actuellement en tant qu’objets de décoration pour
l’usage direct des ménages.
La région GCBH, exprime le besoin des deux
produits. En effet, la vocation industrielle de la
région et le développement du secteur du BTP
génèrent une demande croissante en chaudronnerie.
De ce fait, une unité de chaudronnerie moderne
répondant aux besoins de l’industrie et des ménages
est une opportunité d’investissement importante.
Capacité de production
20 tonnes par an
Besoin en superficie
250 m²
Besoin en RH
4 personnes
Conseils techniques
Marchés potentiels
Local et Régional
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
•
La chaudronnerie se divise en deux grandes
branches : la chaudronnerie en cuivre et la
chaudronnerie en fer. C’est l’épaisseur, plutôt que la
nature du métal travaillé, qui entraîne les
spécialisations suivantes :
Ferblanterie et chaudronnerie légère. / Tôlerie, et ses
branches. / Chaudronnerie moyenne. / Grosse
chaudronnerie.
Les métiers de chaudronnier nécessitent une bonne
connaissance des métaux et le respect des normes
de sécurité.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant
matériaux travaillés : fer, cuivre et l’acier
en
Données sur le secteur
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Fiche de projet n° S_IMME_18
La chaudronnerie est une branche de l'industrie, dont
l’objet essentiel est la transformation de tous les
métaux en feuilles (tôles), par battage ou martelage,
pour en faire des appareils nécessaires à différentes
industries, et ce avec des machines, notamment les
tours à repousser et les presses à emboutir. La
chaudronnerie façonne aussi les tubes et profilés.
Les matériaux travaillés sont l’acier, l’acier
inoxydable, l’aluminium, mais aussi le cuivre, le
laiton, ou d’autres plus spécifiques à certaines
industries comme l’aéronautique ou le spatial, à base
d’alliages spéciaux.
La chaudronnerie est utilisée pour l’industrie, la
fabrication de charpentes, les coques de bateaux,
pour l'industrie nucléaire, pour l'agro-alimentaire,
pour la pétrochimie, etc.
Aujourd’hui ce métier devient aussi de plus en plus
un métier d’art, puisqu’il produit des articles et des
ouvrages avec un contenu artistique important.
Intitulé du projet
Unité
de
chaudronnerie
moderne
Secteur
IMM
Branche
Chaudronnerie
Lieu d’implantation proposé
Kénitra,
Sidi
Communes :
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Justification du projet
La chaudronnerie est par nature une industrie qui se
trouve en amont de plusieurs filières même non
industrielles. En effet, son output est utilisé dans des
appareils nécessaires à différentes industries, et
actuellement en tant qu’objets de décoration pour
l’usage direct des ménages.
La région GCBH, exprime le besoin des deux
produits. En effet, la vocation industrielle de la
région et le développement du secteur du BTP
génèrent une demande croissante en chaudronnerie.
De ce fait, une unité de chaudronnerie moderne
répondant aux besoins de l’industrie et des ménages
est une opportunité d’investissement importante.
Capacité d’accueil
150 tonnes par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
National
Conseils techniques
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
•
La chaudronnerie se divise en deux grandes
branches : la chaudronnerie en cuivre et la
chaudronnerie en fer. C’est l’épaisseur, plutôt que la
nature du métal travaillé, qui entraîne les
spécialisations suivantes :
Ferblanterie et chaudronnerie légère. / Tôlerie, et ses
branches. / Chaudronnerie moyenne. / Grosse
chaudronnerie.
Les métiers de chaudronnier nécessitent une bonne
connaissance des métaux et le respect des normes
de sécurité.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
matériaux travaillés : fer, cuivre, l’acier, l’acier
inoxydable, l’aluminium, le laiton…
Données sur le secteur
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
116
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IMME_19
Intitulé du projet
Rebobinage de moteurs
électriques
Secteur
IMM
Branche
Réparation et maintenance du
matériel électrique
Lieu d’implantation proposé
Kénitra,
Sidi
Communes :
Kacem, Souk Larbaa
Coût global du projet
3.000.000 MAD
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur d´activité électromécanique est
l´un des acteurs chef de file pour :
-
la maintenance
-
la remise en état et la réparation de
commandes et de machines électriques.
-
La remise en état
électrique des Moteurs
mécanique
et
Au niveau de la région ce secteur reste
promoteur
Justification du projet
La région du GCBH a opté pour une
stratégie pragmatique d’industrialisation en
l’occurrence
dans
l’industrie
agroalimentaire et chimique. De ce fait, le
besoin en assistance technique est de plus
en plus sentie principalement dans la
maintenance des machines et moteurs.
Capacité de production
Selon la demande
L’offre de son coté reste limitée, même
rare, ne pouvant pas suivre l’évolution
industrielle attendue par la région.
Besoin en superficie
4000 m²
Conseils techniques
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Le Marché régional et national
L’activité du rebobinage de moteurs est
une activité nécessitant des compétences
techniques de haute qualité ainsi que des
habilités spécifiques. Et impose aux
spécialistes en la matière de ce doter des
outils et des matériaux adaptés aux
intervention à réaliser.
De ce fait une telle unité exigera la
disponibilité d’un personnel de qualité que
actuellement le marché de la région n’offre
pas en nombre suffisant.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
117
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IMME_20
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur d´activité électromécanique est
l´un des acteurs chef de file pour :
Intitulé du projet
Rebobinage de moteurs
électriques
-
la maintenance
-
la remise en état et la réparation de
commandes et de machines électriques.
Secteur
IMM
-
La remise en état
électrique des Moteurs
Branche
Réparation de matériel
électrique
Lieu d’implantation proposé
Kénitra,
Sidi
Communes :
Kacem, Souk Larbaa
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
Selon la demande
Besoin en superficie
1000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Le Marché régional et national
mécanique
et
Au niveau de la région ce secteur reste
promoteur
Justification du projet
La région du GCBH à opté pour une
stratégie d’industrialisation en l’occurrence
dans
l’industrie
agroalimentaire
et
chimique et pragmatique. De ce fait, le
besoin en assistance technique est de plus
en plus sentie principalement dans la
maintenance des machines et moteurs.
L’offre de son coté reste limitée, même
rare, ne pouvant pas suivre l’évolution
industrielle attendue par la région.
Conseils techniques
L’activité du rebobinage de moteurs est
une activité nécessitant des compétences
techniques de haute qualité ainsi que des
habilités spécifiques. Et impose aux
spécialistes en la matière de ce doter des
outils et des matériaux adaptés aux
intervention à réaliser.
De ce fait une telle unité exigera la
disponibilité d’un personnel de qualité que
actuellement le marché de la région n’offre
pas en nombre suffisant.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
118
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Fiche de projet n°S_IMME_21
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Fabrication de bennes pour
tracteurs
Secteur
IMME
Branche
Industrie métallurgique
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
50 unités par an
Besoin en superficie
8.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a
acquis une place de plus en plus
prépondérante dans le tissu industriel
marocain. Outre son rôle stratégique de
pourvoyeur de biens d'équipement à
l'économie
nationale
et
de
leur
maintenance, il contribue largement à la
promotion de l'enseignement technique et
au
renforcement
de
l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME
recèle
d'importantes
potentialités
à
l'exportation, ainsi plusieurs unités de
production travaillent actuellement à 50%,
et même moins de leur capacité de
production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de
dégager une production supplémentaire
destinée aux marchés extérieurs. Cette
production touche aussi bien le secteur de
l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe
(circuits
imprimés,
diodes,
électroménagers...).
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous
les
autres
secteurs
économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement
pour 17,55% dans la production industrielle
nationale. La richesse du secteur des IMME
c'est surtout 70 000 emplois occupés dans
plus de 38 métiers différents.
Les projets actuels dans l'automobile et
dans l'aéronautique en témoignent. Le
Maroc peut abriter des plates-formes
complètes pour l'assemblage, la fabrication,
et
même
la
conception
d'éléments
de machines complexes.
La métallurgie prend également un essor
considérable grâce à des ensembles
industriels nouvellement créés, et à des
entreprises dynamiques, exportatrices et
créatrices de valeurs et d'emplois.
Justification du projet
Le Gharb est une région agricole par
excellence et concentre le plus grand
nombre de tracteurs au Maroc, c’est
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
119
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
pourquoi la demande pour
produit est potentiellement forte.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
ce
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
120
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WILAYA DE LA REGION
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Fiche de projet n°S_IMME_22
Intitulé du projet
Fabrication de bennes pour
camions
Secteur
IMME
Branche
Industrie métallurgique
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
80 unités par an
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
150 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a
acquis une place de plus en plus
prépondérante dans le tissu industriel
marocain. Outre son rôle stratégique de
pourvoyeur de biens d'équipement à
l'économie
nationale
et
de
leur
maintenance, il contribue largement à la
promotion de l'enseignement technique et
au
renforcement
de
l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME
recèle
d'importantes
potentialités
à
l'exportation, ainsi plusieurs unités de
production travaillent actuellement à 50%,
et même moins de leur capacité de
production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de
dégager une production supplémentaire
destinée aux marchés extérieurs. Cette
production touche aussi bien le secteur de
l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe
(circuits
imprimés,
diodes,
électroménagers...).
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous
les
autres
secteurs
économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement
Marchés potentiels
Local et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
pour 17,55% dans la production industrielle
nationale. La richesse du secteur des IMME
c'est surtout 70 000 emplois occupés dans
plus de 38 métiers différents.
Les projets actuels dans l'automobile et
dans l'aéronautique en témoignent. Le
Maroc peut abriter des plates-formes
complètes pour l'assemblage, la fabrication,
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
121
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
et même la conception d'éléments
de machines complexes.
La métallurgie prend également un
essor considérable grâce à des
ensembles industriels nouvellement
créés,
et
à
des
entreprises
dynamiques,
exportatrices
et
créatrices de valeurs et d'emplois.
Justification du projet
Le
secteur
du
transport
de
marchandises est très développé,
ceci s’explique par la situation
géostratégique qu’occupe la région
ce qui fait d’elle un passage obligé.
Le développement du parc de
camions au niveau de la région et
des régions avoisinantes justifie
l’importance et la pertinence d’un tel
projet.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
122
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Fiche de projet n°S_IMME_23
Intitulé du projet
Fabrication de bennes pour
camions utilitaires
Secteur
IMME
Branche
Industrie métallurgique
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
50 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
70 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques, Electriques et Electroniques a
acquis une place de plus en plus
prépondérante dans le tissu industriel
marocain. Outre son rôle stratégique de
pourvoyeur de biens d'équipement à
l'économie
nationale
et
de
leur
maintenance, il contribue largement à la
promotion de l'enseignement technique et
au
renforcement
de
l'infrastructure
industrielle du Maroc. Le secteur des IMME
recèle
d'importantes
potentialités
à
l'exportation, ainsi plusieurs unités de
production travaillent actuellement à 50%,
et même moins de leur capacité de
production et seraient en mesure, en
augmentant le facteur de travail, de
dégager une production supplémentaire
destinée aux marchés extérieurs. Cette
production touche aussi bien le secteur de
l'industrie lourde (pièces en fonte, en
acier...) que celui de l'industrie de pointe
(circuits
imprimés,
diodes,
électroménagers...).
Le secteur des Industries Métallurgiques,
Mécaniques,
Electrique,
et Electriques,
Electroniques(IMME), est au centre de tous
les
autres
secteurs
économiques.
Le secteur des IMME intervient actuellement
pour 17,55% dans la production industrielle
Marchés potentiels
Local et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
nationale. La richesse du secteur des IMME
c'est surtout 70 000 emplois occupés dans
plus de 38 métiers différents.
Les projets actuels dans l'automobile et
dans l'aéronautique en témoignent. Le
Maroc peut abriter des plates-formes
complètes pour l'assemblage, la fabrication,
et
même
la
conception
d'éléments
de machines complexes.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
123
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
La métallurgie prend également un
essor considérable grâce à des
ensembles industriels nouvellement
créés,
et
à
des
entreprises
dynamiques,
exportatrices
et
créatrices de valeurs et d'emplois.
Justification du projet
Le
secteur
du
transport
de
marchandises est très développé,
ceci s’explique par la situation
géostratégique qu’occupe la région
ce qui fait d’elle un passage obligé.
Le développement du parc de
camions au niveau de la région et
des régions avoisinantes justifie
l’importance et la pertinence d’un tel
projet.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
124
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GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_IAuto_01
Intitulé du projet
Faisceaux de câbles
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi
Coût global du projet
25.000.000 MAD
Capacité de production
1.000.000 unités par an
Besoin en superficie
20 000 m²
Besoin en RH
1000 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n°S_IAuto_02
Intitulé du projet
Tubes annelés pour
faisceaux de câbles
automobiles
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
4.000 000 mètres / an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
450 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Les tubes annelés employés pour le câblage
dans le secteur automobile garantissent la
protection de tout type d’agression (agents
atmosphériques,
substances
chimiques,
sources de chaleur) et permettent d’éliminer
les interférences. Ils sont du type isolant à
paroi simple.
Ils se distinguent par leur flexibilité, leur
adaptabilité dans les assemblages des câbles
électriques et la facilité de leur connexion
avec les différents supports du châssis.
Du fait de leur légèreté, de leur maniabilité et
surtout qu’ils peuvent être produits en grande
vitesse, les applications des tubes flexibles
annelés sont nombreuses.
Ils sont produits par extrusion de matières
plastiques tels que le polypropylène, le
polyamide ou le polyéthylène haute densité.
Les tubes ou tuyaux annelés utilisés pour la
protection
des
faisceaux
de
câbles
d’automobiles sont des éléments dont la
demande
peut
croître
d’une
manière
accélérée en rapport avec le développement
important et rapide que connaît la production
des faisceaux de câbles au Maroc en général
et dans la Région du Gharb-Chrarda-Béni
Hssen en particulier.
Le choix de la région Gharb-Chrarda-Béni
Hssen se justifie essentiellement par la
réduction des délais de débarquement et
d’expédition grâce à la proximité des ports de
Tanger et de Casablanca et aussi par la
concentration en main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
126
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Conseils techniques
La production des tubes annelés utilisés pour
la protection des faisceaux de câbles
automobiles doit obéir à des contraintes de
qualité et des normes d’utilisation strictes.
Elle a recours à l’extrusion comme procédé
de fabrication. Cette activité vit à un rythme
accéléré à l’instar du développement
technologique que connaît la fabrication des
faisceaux de câbles, activité à laquelle la
production des tubes annelés est intimement
liée.
Sachant que le projet est destiné à travailler
pour des constructeurs automobiles, le
promoteur
sera
confronté
à
des
équipementiers qui appliquent les méthodes
de gestion de la qualité totale, de la livraison
conformément au concept du juste à temps.
Les constructeurs exigent des fournisseurs
ou équipementiers « de second rang » et des
sous traitants d’appliquer eux aussi ces
mêmes méthodes.
Cette unité devra s’équiper de d’une ligne
d’extrusion, de jeux de 50+2 moules,
d’équipement pour tête, d’une coupeuse à
guillotine et d’un enrouleur.
Le procédé de fabrication du tube annelé
relève de la technologie de l’extrusion en
continu. La séquence de fabrication comporte
cinq phases.
Phase I : La préparation de la matière est
une phase critique qui commence par l’achat
et se termine par la mise au point du
mélange.
Phase II : L’extrusion est l’étape de
modelage du polymère.
Phase III La mise en profil est l’étape de
mise en forme du tube sorti de la filière
d’extrusion en profil annelé à l’aide d’une
profileuse à mouvement rotatif des moules.
Phase IV : Dans la production des tuyaux
plastiques, le calibrage représente l’étape de
refroidissement qui permet de répondre aux
exigences dimensionnelles.
Phase V : On procède à cette étape au
contrôle des tuyaux annelés. Tout au long du
cycle de production (phase II à V), la
production est contrôlée par le personnel de
production et par le Contrôleur Qualité.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Le choix de la matière première se fait en tenant
compte des facteurs suivants :
caractéristiques mécaniques,
caractéristiques électriques,
caractéristiques chimiques,
caractéristiques thermiques,
coloration,
stabilité dimensionnelle, qui dépend des
contraintes d’environnement (l’hygrométrie,
la
température,
les
contraintes
mécaniques…),
comportement au feu, qui peut varier en
fonction de la géométrie du profilé, des
additifs, du secteur visé et des conditions
d’emploi,
comportement aux agents climatiques.
Certains thermoplastiques présentent une bonne
résistance aux agents climatiques (UV, infrarouges,
brouillard salin, …).
La conception permet d’établir une liste des
caractéristiques que devra posséder le produit. On
pourra classer ces caractéristiques par ordre
hiérarchique d’importance décroissante. La matière
retenue sera celle qui satisfera le plus grand nombre
de conditions principales. Ce choix de la matière
permet de fixer définitivement les caractéristiques du
profilé (géométrie, épaisseur, tolérances,…).
Conditions d’approvisionnement
Le choix des matières premières est
déterminant
pour
la
qualité
et
les
performances d’un produit.
Les tubes annelés, selon l’usage qui en est
fait et les conditions de leur utilisation,
peuvent être extrudés à partir de diverses
matières : le Polypropylène, le polyamide ou
le PEhd.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
127
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Fiche de projet n° S_IAuto_03
Intitulé du projet
Systèmes d’échappement
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
44.500.000 MAD
Capacité de production
- Silencieux (avant et arrière)
(500 000 Unités par an)
- Catalyseurs (250 000 Unités
par an)
- Tuyaux collecteurs et
intermédiaires (140 000
unités par an)
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export 60% et Local 40%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14%
des exportations industrielles et entraîne
une grande partie de l’économie marocaine.
Cette activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des véhicules économiques, l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel
essor de productivité et d’investissement.
Sur le plan de la production, cette activité a
connu une progression notable entre 1996
et 2003 avec un taux de croissance de près
de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions
de dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les
exportations
des
composants
automobiles ont connu un trend haussier
durant la période 1997-2005, puisqu’ils
étaient de près de un milliard de dirhams en
1997 pour dépasser les 7 milliards de
dirhams en 2005. Cette tendance a été
confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers locaux qui, ayant renforcée
leur compétitivité, ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger
Med, de l’usine Renault – Nissan et
l’abondance de main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
128
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Fiche de projet n°S_IAuto_04
Intitulé du projet
Plaquettes de freins
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
11.000.000 MAD
Capacité de production
300 000 jeux par an
Besoin en superficie
5 000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local 80 % Export 20 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
129
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Fiche de projet n°S_IAuto_05
Intitulé du projet
Moule pour pièces Auto
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem et
Sidi Taibi
Coût global du projet
12.000.000 MAD
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie
automobile
marocaine
représente près de 5% du PIB industriel,
assure 14% des exportations industrielles
et entraîne une grande partie de
l’économie marocaine. Cette activité
comporte
plus
d’une
centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des
projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie automobile au Maroc a connu
un nouvel essor de productivité et
d’investissement. Sur le plan de la
production, cette activité a connu une
progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de
86% passant de 6.089 à 11.338 millions
de dirhams.
Besoin en superficie
3 000 m²
Justification du projet
Besoin en RH
15 personnes
Le plan Emergence a consacré le secteur
de l’industrie Automobile en tant que
secteur très porteur pour le Maroc.
Marchés potentiels
Local 100 %
Les
exportations
des
composants
automobiles ont connu un trend haussier
durant la période 1997-2005, puisqu’ils
étaient de près de un milliard de dirhams
en 1997 pour dépasser les 7 milliards de
dirhams en 2005. Cette tendance a été
confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers
locaux
qui,
ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer
à l’export.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région du Gharb possède plusieurs
atouts tels sa proximité de l’Europe, de
Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et
l’abondance de main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
130
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Fiche de projet n°S_IAuto_06
Intitulé du projet
Tapis autos
(Equipements d’intérieur)
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
900 000 unités par an
Besoin en superficie
25 000 m²
Besoin en RH
250 personnes
Marchés potentiels
Local 20 % - Export 80 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une grande
partie de l’économie marocaine. Cette activité
comporte plus d’une centaine d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets des
véhicules économiques, l’industrie automobile
au Maroc a connu un nouvel essor de
productivité et d’investissement. Sur le plan de
la production, cette activité a connu une
progression notable entre 1996 et 2003 avec un
taux de croissance de près de 86% passant de
6.089 à 11.338 millions de dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur très
porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7
milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a
été confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur
compétitivité, ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts tels
sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de
l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main
d’œuvre qualifiée.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du caoutchouc
réalise, à partir de matières brutes, des
mélanges crus qui seront dans un second temps
mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle
utilise de nombreuses matières premières : des
élastomères bruts, mais aussi des charges
(noirs de carbone, silice...), des huiles, du
soufre, du zinc...
Cette industrie est également une grosse
consommatrice de métal dans le cadre de la
fabrication de pièces adhérisées caoutchouc /
métal, et de textiles (rayonne, aramide,
polyester, polyamide...) pour le renfort de
certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques,
tuyaux, bandes transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
131
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Fiche de projet n° S_IAuto_07
Intitulé du projet
Soufflet de levier de vitesse
(Equipements d’intérieur)
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem et Sidi Taibi.
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
800 000 unités par an
Besoin en superficie
20 000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Local 20 % - Export 80 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une grande
partie de l’économie marocaine. Cette activité
comporte plus d’une centaine d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets des
véhicules économiques, l’industrie automobile
au Maroc a connu un nouvel essor de
productivité et d’investissement. Sur le plan de
la production, cette activité a connu une
progression notable entre 1996 et 2003 avec un
taux de croissance de près de 86% passant de
6.089 à 11.338 millions de dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur très
porteur pour le Maroc.
Les exportations des composantes automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7
milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a
été confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur
compétitivité, ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts tels
sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de
l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main
d’œuvre qualifiée.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du caoutchouc
réalise, à partir de matières brutes, des
mélanges crus qui seront dans un second temps
mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle
utilise de nombreuses matières premières : des
élastomères bruts, mais aussi des charges
(noirs de carbone, silice...), des huiles, du
soufre, du zinc...
Cette industrie est également une grosse
consommatrice de métal dans le cadre de la
fabrication de pièces adhérisées caoutchouc /
métal, et de textiles (rayonne, aramide,
polyester, polyamide...) pour le renfort de
certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques,
tuyaux, bandes transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
132
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Fiche de projet n°S_IAuto_08
Intitulé du projet
Equipements d’intérieur
(Housses pour sièges)
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem et Sidi Taibi.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Coût global du projet
70.000.000 MAD
Capacité de production
1 000 000 unités par an
Besoin en superficie
40 000 m²
Besoin en RH
300 personnes
Marchés potentiels
Local 20 % - Export 80 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les
exportations
des
composantes
automobiles ont connu un trend haussier
durant la période 1997-2005, puisqu’ils
étaient de près de un milliard de dirhams en
1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams
en 2005. Cette tendance a été confortée par
la montée en puissance des équipementiers
de 1er rang ainsi que les équipementiers
locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité,
ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
133
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_09
Intitulé du projet
Pièces en caoutchouc pour
automobile
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
60.000.000 MAD
Capacité de production
1 200 tonnes/an
Besoin en superficie
20 000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Local 60% - Export 40%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
L'industrie du caoutchouc est composée
d'entreprises qui produisent principalement
des pneus en caoutchouc, des tubes, des
tuyaux, des courroies, des rondelles et des
joints d'étanchéité, des coupe-froid, des
bandes, etc.
La fabrication des Pneumatiques et chambres
à air est une activité exercée principalement
par
des
filiales
de
grandes
firmes
multinationales qui travaillent aussi bien pour
le marché local qu'à l'export. Les exportations
ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars
américains en 2003.
Les principales destinations à l’export de cette
branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande
Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la
Tunisie 6%,…
L’industrie du pneu rechapé représente plus
de 2 milliards de dollars par an dans le
monde.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
134
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
La région du Gharb possède plusieurs
atouts tels sa proximité de l’Europe, de
Tanger Med, de l’usine Renault –
Nissan et l’abondance de main
d’œuvre qualifiée.
Conditions d’approvisionnement
Assurer
un
approvisionnement
constant en pneus usés et matières
premières tel que le caoutchouc
naturel et synthétique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
135
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_10
Intitulé du projet
Equipements d’intérieur
(Panneaux de portes)
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
60.000.000 MAD
Capacité de production
800.000 unités par an
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local 20 % - Export 80 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une grande
partie de l’économie marocaine. Cette activité
comporte plus d’une centaine d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets des
véhicules économiques, l’industrie automobile
au Maroc a connu un nouvel essor de
productivité et d’investissement. Sur le plan de
la production, cette activité a connu une
progression notable entre 1996 et 2003 avec un
taux de croissance de près de 86% passant de
6.089 à 11.338 millions de dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur très
porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7
milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a
été confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur
compétitivité, ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts tels
sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de
l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main
d’œuvre qualifiée.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du caoutchouc
réalise, à partir de matières brutes, des
mélanges crus qui seront dans un second temps
mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle
utilise de nombreuses matières premières : des
élastomères bruts, mais aussi des charges
(noirs de carbone, silice...), des huiles, du
soufre, du zinc...
Cette industrie est également une grosse
consommatrice de métal dans le cadre de la
fabrication de pièces adhérisées caoutchouc /
métal, et de textiles (rayonne, aramide,
polyester, polyamide...) pour le renfort de
certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques,
tuyaux, bandes transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
136
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_11
Intitulé du projet
Ressorts à lames
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
130.000 unités/an
Besoin en superficie
12.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export 90 % Local 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Ce projet consiste en une entreprise qui
fournira des ressorts à lames conventionnels
et paraboliques pour différents types de
véhicules et qui tiennent compte du double
rôle du produit à savoir soutenir une charge
et assurer le confort.
Conditions d’approvisionnement
L’entreprise
devra
assurer
un
approvisionnement constant essentiellement
en acier plat (Dimension : largeur : 50 à 120
mm ; épaisseur : 6 à 60 mm), patin en
caoutchouc, visserie, bagues (en bronze,
métal, caoutchouc,…), matière consommable
(peinture, grenaille, bois, huiles,…).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
137
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_11
Intitulé du projet
Ressorts à lames
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
50.000.000 MAD
Capacité de production
130.000 unités/an
Besoin en superficie
12.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export 90 % Local 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Ce projet consiste en une entreprise qui
fournira des ressorts à lames conventionnels
et paraboliques pour différents types de
véhicules et qui tiennent compte du double
rôle du produit à savoir soutenir une charge
et assurer le confort.
Conditions d’approvisionnement
L’entreprise
devra
assurer
un
approvisionnement constant essentiellement
en acier plat (Dimension : largeur : 50 à 120
mm ; épaisseur : 6 à 60 mm), patin en
caoutchouc, visserie, bagues (en bronze,
métal, caoutchouc,…), matière consommable
(peinture, grenaille, bois, huiles,…).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
138
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S-IAuto_12
Intitulé du projet
Amortisseurs
Secteur
Industrie automobile
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Coût global du projet
100.000.000 MAD
Justification du projet
Capacité de production
550 000 unités/an
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Branche
Composantes automobiles
Besoin en superficie
30 000 m²
Besoin en RH
100 Personnes
Marchés potentiels
Export 60% Local 40%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
139
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_13
Intitulé du projet
Radiateurs en aluminium
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
24.000.000 MAD
Capacité de production
50.000 unités par an
Besoin en superficie
5000 m²
Besoin en RH
50 Personnes
Marchés potentiels
Export 80% Local 20%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
140
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_14
Intitulé du projet
Durits et Joints de portes
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
26.000.000 MAD
Capacité de production
1 300 tonnes/an
Besoin en superficie
10 000 m²
Besoin en RH
80 Personnes
Marchés potentiels
Export 35 % Local 65%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
141
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_15
Intitulé du projet
Garnitures d’embrayage
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
1 500 000 unités par an
Besoin en superficie
8 000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
Local 30 % - Export 70 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
142
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_16
Intitulé du projet
Câbles électriques
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
23.000.000 MAD
Capacité de production
10 000 tonnes par an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Marchés potentiels
Local 30 % - Export 70 %
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Besoin en superficie
7 000 m²
Besoin en RH
70 personnes
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
143
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_17
Intitulé du projet
Fabrication de connectiques
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
20.000.000 MAD
-
Capacité de production
Connecteur 1 : 2 250 000 U/an
Connecteur 2 : 5 000 000 U/an
Connecteur 3 : 150 000 U/an
Connecteur 4 : 150 000 U/an
Connecteur 5 :
50 000 U/an
Besoin en superficie
15 000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
Export 80 % Local 20%
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
144
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_18
Intitulé du projet
Filtres pour véhicules
industriels
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Coût global du projet
48.000.000 MAD
Capacité de production
3 500 000 unités/an
Besoin en superficie
20 000 m²
Besoin en RH
70 Personnes
Marchés potentiels
Export 80 % Local 20%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc. Les exportations
des composants automobiles ont connu un
trend haussier durant la période 1997-2005,
puisqu’ils étaient de près de un milliard de
dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards
de dirhams en 2005. Cette tendance a été
confortée par la montée en puissance des
équipementiers de 1er rang ainsi que les
équipementiers locaux qui, ayant renforcée
leur compétitivité, ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Ce projet consiste en une entreprise de
fabrication de filtres pour véhicules légers,
poids lourds et véhicules industriels, pour la
Première Monte comme pour la Rechange
Indépendante.
Conseils techniques
Pour assurer aux filtres un haut niveau de
performance et de qualité, l’unité devra
disposer :
d'un moyen d'assemblage performant,
entièrement automatique,
et d'un contrôle unitaire qui répond aux
exigences de sécurité des produits.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
145
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_19
Intitulé du projet
Moulage à cire perdue de
pièces automobiles
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Coût global du projet
54.000.000 MAD
Capacité de production
75 tonnes/an
Besoin en superficie
8 000 m²
Besoin en RH
30 Personnes
Marchés potentiels
Export 10 % Local 90%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
146
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_20
Intitulé du projet
Décolletage de pièces
automobiles
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
23.000.000 MAD
Capacité de production
10.000.000 pièces par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Export 95% Local 5%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente près de
5% du PIB industriel, assure 14% des exportations
industrielles et entraîne une grande partie de
l’économie marocaine. Cette activité comporte plus
d’une centaine d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets des
véhicules économiques, l’industrie automobile au
Maroc a connu un nouvel essor de productivité et
d’investissement. Sur le plan de la production, cette
activité a connu une progression notable entre 1996
et 2003 avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.
Justification du projet
Les exportations des composants automobiles ont
connu un trend haussier durant la période 19972005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de
dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de
dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par
la montée en puissance des équipementiers de 1er
rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.
Ce projet consiste en un entreprise de mécanique
spécialisée dans le décolletage et l'usinage de haute
précision pour la production de pièces de révolution
en petites, en moyennes et en grandes séries pour
les industriels. Du décolletage sur commandes
numériques au décolletage traditionnel, les travaux
sont réalisés sur des pièces de différentes formes et
de différentes matières. L'usinage automatique des
matériaux complexes et des alliages est entrepris sur
des pièces en acier, en plastique, en laiton, en
aluminium, en cuivre, en nylon, en inox, en bronze,
en titane ou en fibre verre. Ces opérations sont
complétées par des services de reprise, de soudage,
d'assemblage, de traitement de surface et de
traitement thermique pour une meilleure qualité du
produit fini. Le fabricant assurera également la
confection d'articles de boulonnerie, de visserie, de
rondelles, de boulons, de goupilles et de dérivés.
Conseils techniques
Cette
unité
devra
être
équipée
de
tours
automatiques mono-broches à cannes, de tours
automatiques multibroches, de tours escomatiques
et de machines transferts à plateau rotatif travaillant
la matière en fil.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement devra s’effectuer selon les
demandes principalement en acier, en plastique, en
laiton, en aluminium, en cuivre, en nylon, en inox,
en bronze, en titane ou en fibre verre.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
147
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_21
Intitulé du projet
Unité de traitement de
surface par anodisation et
bichromatage
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, ST
Coût global du projet
45.000.000 MAD
Capacité de production
3 000 tonnes/an
Besoin en superficie
6 000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Export 5 % Local 95%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Conseils techniques
S’équiper principalement de :
Bain de liquide d’anodisation,
Générateur de courant continu,
Unité de dégraissage,
Unité de décapage,
Unité de rinçage par émersion,
Bain à base de chrome,
Machine à mesures 3D,
Laboratoire,
Outillages…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
148
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_22
Intitulé du projet
Garnitures de freins
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
et Sidi Taibi.
Coût global du projet
40.000.000 MAD
Capacité de production
150.000 unités/an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Marchés potentiels
Export 60 % - Local 40%
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
40 Personnes
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
149
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_23
Intitulé du projet
Rénovation des cardans
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem et Sidi Taibi.
Coût global du projet
35.000.000 MAD
Capacité de production
70.000 unités/an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Marchés potentiels
Export 20 % - Local 80%
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Besoin en superficie
5 000 m²
Besoin en RH
60 Personnes
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
150
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_24
Intitulé du projet
Assemblage de Minibus
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem et Sidi Taibi.
Coût global du projet
20.000.000. MAD
Capacité de production
300 unités/an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Marchés potentiels
Local
Les exportations des composants automobiles
ont connu un trend haussier durant la période
1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un
milliard de dirhams en 1997 pour dépasser
les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette
tendance a été confortée par la montée en
puissance des équipementiers de 1er rang
ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant
renforcée leur compétitivité, ont pu percer à
l’export.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Besoin en superficie
40 000 m²
Besoin en RH
60 Personnes
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
151
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_IAuto_25
Intitulé du projet
Unité
de
montage
d’assemblage d’autocars
et
Secteur
Industrie automobile
Branche
Fabrication de bus et
d’autocars
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
300.000.000 MAD
Données sur le secteur
L’industrie
automobile
marocaine
représente près de 5% du PIB industriel,
assure 14% des exportations industrielles
et entraîne une grande partie de
l’économie
marocaine.
Cette
activité
comporte plus d’une centaine d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des
projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie automobile au Maroc a connu un
nouvel
essor
de
productivité
et
d’investissement. Sur le plan de la
production, cette activité a connu une
progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Capacité de production
1000 autocars par an
Le plan Emergence a consacré le secteur
de l’industrie Automobile en tant que
secteur porteur pour le Maroc.
Besoin en superficie
80.000 m²
La région Gharb-Chrarda-Béni Hssen tend
à se positionner sur ce secteur avec
succès. L’aménagement futur du Pôle
d’Excellence Industriel Intégré spécialisé
dans l’industrie automobile et la proximité
de la région des grands centres urbains
marocains mais aussi européens sont
autant de bonnes opportunités à saisir.
Besoin en RH
250 personnes
Marchés potentiels :
National et International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
152
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_IAuto_26
Intitulé du projet
Fabrication de jantes en
aluminium pour voitures,
motos et utilitaires
Secteur
Industrie automobile
Branche
Composantes automobiles
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem et Sidi Taibi
Coût global du projet
100.000.000 MAD
Capacité de production
1.000 tonnes /an
Besoin en superficie
40.000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Local 10 % - Export 90 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie automobile marocaine représente
près de 5% du PIB industriel, assure 14% des
exportations industrielles et entraîne une
grande partie de l’économie marocaine. Cette
activité comporte plus d’une centaine
d’entreprises.
Depuis 1996, date de lancement des projets
des
véhicules
économiques,
l’industrie
automobile au Maroc a connu un nouvel essor
de productivité et d’investissement. Sur le
plan de la production, cette activité a connu
une progression notable entre 1996 et 2003
avec un taux de croissance de près de 86%
passant de 6.089 à 11.338 millions de
dirhams.
Justification du projet
Le plan Emergence a consacré le secteur de
l’industrie Automobile en tant que secteur
très porteur pour le Maroc.
Les
exportations
des
composantes
automobiles ont connu un trend haussier
durant la période 1997-2005, puisqu’ils
étaient de près de un milliard de dirhams en
1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams
en 2005. Cette tendance a été confortée par
la montée en puissance des équipementiers
de 1er rang ainsi que les équipementiers
locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité,
ont pu percer à l’export.
La région du Gharb possède plusieurs atouts
tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med,
de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de
main d’œuvre qualifiée.
Conseils techniques
La fabrication d'une jante aluminium passe
par trois étapes, la fonderie, l'usinage et le
laquage. Dans la fonderie, par un processus
complexe de moulage par dépression, sont
formées les jantes brutes. Il s'agit d'un
procédé de moulage par lequel le métal en
fusion est aspiré par le bas, au travers d'un
tuyau étroit dans la cavité du moule
(coquille).
Dans l'atelier de laquage, les jantes sont
traitées de manière entièrement automatique.
Elles reçoivent une première couche, après
elles sont laquées d'argent dans un procédé «
humide sur humide » et ensuite enduites
d'une laque transparente de protection.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
153
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
La montée du métal en fusion se fait
selon le principe de la pression du gaz.
La couche supérieure du métal liquide
produit une surpression qui pousse
doucement le métal dans le moule
surélevé. La jante brute est ensuite
ébavurée des surplus de moulage
(d'injection). Elle est ensuite passée
dans une installation de radiographie
afin de vérifier qu'aucune cavité et/ou
fissure ne se soit formée dans la jante.
Après le laquage « humide sur humide »
les modèles à voile poli sont traitées par
une machine, qui avec un diamant
industriel poli le voile de la jante jusqu'à
ce qu'il soit brillant. Ces jantes
retournent ensuite une deuxième fois à
l'atelier de laquage afin d'être protégées
par une couche de vernis transparent.
Le contrôle final est effectué par des
spécialistes formés dans le domaine de
l'assurance-qualité.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en aluminium et autres adjuvants
composants l’alliage utilisé. Mais aussi,
la peinture et le carton pour l’emballage
des produits finis.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
154
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_01
Intitulé du projet
Grande
unité
d’injection
plastique
Secteur
Industrie
Chimique
et
Para
chimique
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Capacité en production
1500 t /an
Coût global du projet
35.000.000 MAD
Besoin en superficie
4.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique
globale du Maroc, le secteur marocain de
la plasturgie se développe dans plusieurs
domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes,
etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques,
etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures,
isolation, revêtement sols et murs,
mobiliers urbains), ainsi que les sports et
les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un
secteur à forte valeur ajoutée : les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en
2005 et emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Les plastiques apparaissent aujourd’hui
comme
de
véritables
"matériaux
miracles".
L'essor constant de la production d'articles
en plastique partout dans le monde tient
directement aux qualités intrinsèques de
tels objets.
Marchés potentiels
Local et export
Les plastiques ont éclipsé d'autres
matériaux dans de nombreuses branches.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Ils
concurrencent
les
matériaux
traditionnels
dans
l'emballage,
la
construction, l'industrie automobile et
dans de nombreuses autres branches de
l'industrie.
Le Maroc dispose d'une grande expérience
dans ce secteur, il produit différents
ouvrages en matière plastique.
La production d'articles en plastique est
très
variée
:
emballages
et
conditionnements, chaussures, articles de
ménage, appareils paramédicaux, produits
industriels (tuyauteries, cableries).
Elle compte 251 unités de production avec
un effectif de 10756 personnes. les
exportations ont été de 20,1 MUS $ en
2003. Les principales destinations sont la
France (43%), la Libye (5%), l'Espagne
(5%).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
155
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les
raffineries de façon à le séparer par
distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille
et de forme différentes. On obtient
des fractions principales qui sont
des gaz, des essences, des
naphtas, des fiouls et kérosènes et
des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta
est transformé en un mélange
d’hydrocarbures plus légers qui
entrent dans la composition des
plastiques (éthylène, propylène,
butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du
plastique souhaité, l’éthylène par
exemple.
Pour
fabriquer
les
macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il
s’agit d’ouvrir la double liaison
entre les deux atomes de carbone
composant la molécule d’éthylène
afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons
entre
eux
(dites
liaisons
covalentes).
La
résine
ainsi
obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à
assurer une livraison en résine et
poudre de résine servant à
fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
156
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_02
Données sur le secteur
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Accompagnant la croissance économique
globale du Maroc, le secteur marocain de
la plasturgie se développe dans plusieurs
domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes,
etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques,
etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures,
isolation, revêtement sols et murs,
mobiliers urbains), ainsi que les sports et
les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un
secteur à forte valeur ajoutée : les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en
2005 et emploie 10 534 personnes.
Capacité en production
750 t /an
Justification du projet
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Les plastiques apparaissent aujourd’hui
comme
de
véritables
"matériaux
miracles".
Intitulé du projet
Unité
moyenne
plastique
Secteur
Industrie
chimique
d’injection
Chimique
et
Para
Branche
Plasturgie
Besoin en superficie
2.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Local et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
L'essor constant de la production d'articles
en plastique partout dans le monde tient
directement aux qualités intrinsèques de
tels objets.
Les plastiques ont éclipsé d'autres
matériaux dans de nombreuses branches.
Ils
concurrencent
les
matériaux
traditionnels
dans
l'emballage,
la
construction, l'industrie automobile et
dans de nombreuses autres branches de
l'industrie.
Le Maroc dispose d'une grande expérience
dans ce secteur, il produit différents
ouvrages en matière plastique.
La production d'articles en plastique est
très
variée
:
emballages
et
conditionnements, chaussures, articles de
ménage, appareils paramédicaux, produits
industriels (tuyauteries, câbleries).
Elle compte 251 unités de production avec
un effectif de 10756 personnes. les
exportations ont été de 20,1 MUS $ en
2003. Les principales destinations sont la
France (43%), la Libye (5%), l'Espagne
(5%).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
157
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les
raffineries de façon à le séparer par
distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille
et de forme différentes. On obtient
des fractions principales qui sont
des gaz, des essences, des
naphtas, des fiouls et kérosènes et
des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta
est transformé en un mélange
d’hydrocarbures plus légers qui
entrent dans la composition des
plastiques (éthylène, propylène,
butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du
plastique souhaité, l’éthylène par
exemple.
Pour
fabriquer
les
macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il
s’agit d’ouvrir la double liaison
entre les deux atomes de carbone
composant la molécule d’éthylène
afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons
entre
eux
(dites
liaisons
covalentes).
La
résine
ainsi
obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à
assurer une livraison en résine et
poudre de résine servant à
fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
158
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_03
Intitulé du projet
Unité
d’extrusion
plastiques
Secteur
Industrie
chimique
Chimique
des
et
Para
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane
Capacité en production
5 000 tonnes/an
Coût global du projet
18.000.000 MAD
Besoin en superficie
5000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Local 80% - Export 20%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique
globale du Maroc, le secteur marocain de
la plasturgie se développe dans plusieurs
domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes,
etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques,
etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures,
isolation, revêtement sols et murs,
mobiliers urbains), ainsi que les sports et
les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un
secteur à forte valeur ajoutée : les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en
2005 et emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Les plastiques apparaissent aujourd’hui
comme
de
véritables
"matériaux
miracles".
L'essor constant de la production d'articles
en plastique partout dans le monde tient
directement aux qualités intrinsèques de
tels objets.
Les plastiques ont éclipsé d'autres
matériaux dans de nombreuses branches.
Ils
concurrencent
les
matériaux
traditionnels
dans
l'emballage,
la
construction, l'industrie automobile et
dans de nombreuses autres branches de
l'industrie.
Le Maroc dispose d'une grande expérience
dans ce secteur, il produit différents
ouvrages en matière plastique.
La production d'articles en plastique est
très
variée
:
emballages
et
conditionnements, chaussures, articles de
ménage, appareils paramédicaux, produits
industriels (tuyauteries, câbleries).
Elle compte 251 unités de production avec
un effectif de 10756 personnes. Les
exportations ont été de 20,1 MUS $ en
2003. Les principales destinations sont la
France (43%), la Libye (5%), l'Espagne
(5%).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
159
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les
raffineries de façon à le séparer par
distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille
et de forme différentes. On obtient
des fractions principales qui sont
des gaz, des essences, des
naphtas, des fiouls et kérosènes et
des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta
est transformé en un mélange
d’hydrocarbures plus légers qui
entrent dans la composition des
plastiques (éthylène, propylène,
butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du
plastique souhaité, l’éthylène par
exemple.
Pour
fabriquer
les
macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il
s’agit d’ouvrir la double liaison
entre les deux atomes de carbone
composant la molécule d’éthylène
afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons
entre
eux
(dites
liaisons
covalentes).
La
résine
ainsi
obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à
assurer une livraison en résine et
poudre de résine servant à
fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
160
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_04
Intitulé du projet
Unité de production de
tuyaux
en
PVC
pour
bâtiment
Secteur
Industrie Chimique et Para
Chimique.
Branche
Industrie du Caoutchouc et du
plastique
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
2.500.000 mètre linéaire / an
Besoin en superficie
20.000 m2
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Marché National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’usage du plastique dans le bâtiment est devenu
plus
courant
ces
dernières
années,
il intervient aussi bien dans les gros œuvres que
dans les seconds œuvres.
L’utilisation importante du plastique dans l’habitat
est devenue possible grâce aux caractéristiques
physiques et chimiques du produit, notamment : la
propreté, la commodité, la légèreté et le prix
compétitif.
En 2003, le secteur employé près de 359 personnes
(dont 289 femmes). La production a généré une
valeur de 97 805 000 DH. Les investissements ont
atteint 11 340 000 DH et le chiffre d’affaires est
estimé à 100 672 000 Dh.
Justification du projet
L’industrie du plastique dispose encore d’un potentiel
sous-exploité et des perspectives prometteuses au
Maroc. En effet, la consommation des produits à
base de plastique est appelée à croître dans les
années à venir, avec en particulier l’adduction de
l’eau potable et le programme national d’irrigation.
D’autant plus que le taux de substitution du
plastique à certains matériaux tel que le bois et
l’acier a connu ces derniers temps un accroissement
important.
Au niveau de la région GCBH, le besoin exprimé par
le secteur du BTP est croissant, aussi bien dans le
gros œuvre que dans le second, et ce œuvre pour les
mêmes raisons.
Conseils techniques
La matière première plastique à transformer est
formée
généralement
de
poudre,
de granulés, de grumeaux ou de pastilles.
A cette matière pure s’ajoute des produits
auxiliaires.
Les procédés de fabrication sont divers et
comprennent essentiellement:
Montage par compression;
Montage par injection;
Extrusion à l’aide d’une boudineuse;
Calandrage pour la production des feuilles.
L’innovation et la créativité sont importantes dans ce
secteur.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le
séparer par distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille et de forme
différentes. On obtient des fractions principales qui
sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls
et kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est transformé en
un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent
dans la composition des plastiques (éthylène,
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
161
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
propylène, butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
162
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_05
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’équipements routiers en
plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
250.000 pièces par an
Besoin en superficie
10.000 m2
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Accompagnant la croissance économique
globale du Maroc, le secteur marocain de la
plasturgie se développe dans plusieurs
domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.),
l’automobile (carrosseries, planches de bord,
pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains),
ainsi que les sports et les loisirs (chaussures,
jeux, jouets, planches à voiles, etc…), et aussi
un secteur à forte valeur ajoutée : les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques
favorables, la plasturgie au Maroc doit faire
preuve d’innovation pour améliorer la
compétitivité et la qualité de ses prestations,
pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité
est en effet encore souvent loin de répondre
aux exigences de normes et de créativité
exigées à l’international.
Ceci représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du GharbChrarda-Béni Hssen
Conseils techniques
National et International
Il existe 2 grands principes de mise en
œuvre :
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
- Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semi-finis
(plaques, films). Un apport de calories par
chauffage ou frottement fait passer la matière
de l'état solide à l'état plastique, la mise en
forme est alors possible dans un moule ou
une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il est
possible de changer ultérieurement la forme
ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
163
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
- Pour les thermodurcissables : Pour
les
THERMODURCISSABLES,
les
produits de base sont livrés à la
transformation
à
l'état
de
polymérisation
partielle.
Celle-ci
s'achève dans le moule - alors que la
matière est déjà mise en forme - sous
l'action de catalyseurs, mais aussi
d'accélérateurs,
voire
même
de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque
la polymérisation est assez avancée
pour que le produit présente les
propriétés requises.
La mise en
irréversible.
forme
définitive
est
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
164
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_06
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’articles
en
matières
plastiques pour l'agriculture
et l'élevage
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
15.000.000 DH
Capacité de production
500 tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ce projet proposera différents produits en plastique
à usage agricole tel que : les serres et grands abris,
semi-forçage, bâche à plat, culture hors-sol, paillage,
micro
irrigation,
plastiques
pour
ensilage,
enrubannage et protection des fourrages, ficelles
agricoles en polypropylène, matières premières
plastiques pour les applications agricoles, sacs de
pollinisation en matière plastique, matériel en
matières plastiques pour l'élevage, etc.
Ce
projet
représente
plusieurs
opportunités
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen au vu de son grand potentiel agricole
d’une part et de sa position stratégique d’autre part.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
165
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
166
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_07
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
bonbonnes en plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
8.000 000 DH
Capacité de production
5.000.000 unités par an
Besoin en superficie
8.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Ce projet proposera des bonbonnes fabriquées sous
des normes bien précises. La large ouverture des
bonbonnes permettra l'écoulement de produits épais
(diam 80 mm). Ces bonbonnes proposeront une
fermeture par bouchon inviolable et une poignée de
préhension amovible avec une capacité de 6 /10 / 12
litres.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
167
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour
que le produit présente les propriétés
requises.
La mise en forme définitive est
irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
168
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_08
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
sceaux en plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
10.000 000 DH
Capacité de production
6.000.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
75 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Ce projet proposera une gamme complète de seaux
et pots en matière synthétique pour diverses
applications.
Seaux
coniques
ou
seaux
rectangulaires, seaux avec ou sans anse, anse
métallique ou en matière synthétique selon le
modèle, avec ou sans couvercle, volumes de 0,5 à
32 litres. Fabrication en polypropylène et de qualité
alimentaire. Idéal pour le conditionnement de
produits en vrac, liquides et produits alimentaires.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
169
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
mais aussi d'accélérateurs, voire
même de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque la polymérisation est assez
avancée pour que le produit présente
les propriétés requises.
La mise en forme définitive est
irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
170
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_09
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
bloc – tiroir en plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
10.000 000 DH
Capacité de production
50.000 unités par an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
75 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le
séparer par distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille et de forme
différentes. On obtient des fractions principales qui
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
171
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
sont des gaz, des essences, des naphtas, des
fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un
procédé thermique, le craquage, le naphta
est
transformé
en
un
mélange
d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans
la composition des plastiques (éthylène,
propylène, butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
172
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_10
Intitulé du projet
Unité de fabrication de bacs
alimentaires en
polypropylène
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
7.500 000 DH
Capacité de production
5.000.000 unités par an
Besoin en superficie
8.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Ce projet proposera des une large gamme de bacs
fabriqués sous des normes bien précises.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le
séparer par distillation en plusieurs fractions
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
173
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
composées de molécules de taille et de
forme différentes. On obtient des fractions
principales qui sont des gaz, des essences,
des naphtas, des fiouls et kérosènes et des
bitumes. Par un procédé thermique, le
craquage, le naphta est transformé en un
mélange d’hydrocarbures plus légers qui
entrent dans la composition des plastiques
(éthylène, propylène, butylène, etc.). En
suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base
du
plastique
souhaité,
l’éthylène
par
exemple. Pour fabriquer les macromolécules
on procède à la polymérisation des
monomères. Il s’agit d’ouvrir la double
liaison entre les deux atomes de carbone
composant la molécule d’éthylène afin que
les carbones de différents monomères
établissent des liaisons entre eux (dites
liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue
sert à fabriquer les divers objets en
plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_11
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
jouets en plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
5.000 000 DH
Capacité de production
75.000 unités par an
Besoin en superficie
6.000 m²
Besoin en RH
45 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le
séparer par distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille et de forme
différentes. On obtient des fractions principales qui
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
175
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
sont des gaz, des essences, des naphtas, des
fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un
procédé thermique, le craquage, le naphta
est
transformé
en
un
mélange
d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans
la composition des plastiques (éthylène,
propylène, butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
176
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_12
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’emballage en plastique
pour produits alimentaires
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi,
Had Kourt, Ouezzane, Moulay
Bousselham,
Souk
Larbaa,
Souk Tlet
Coût global du projet
5.000.000 DH
Capacité de production
2.500.000 unités par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est
devenu un élément essentiel pour la conservation, la
traçabilité, la communication ou l’innovation des
produits de grande consommation comme des
produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux
besoins et contraintes techniques des industriels.
L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une
conservation optimisée du produit transformé ce qui
nécessite une conception de l’emballage prise en
compte dès la conception du produit à conditionner.
Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs
d’usage, il
doit
satisfaire les attentes du
consommateur de l’acte d’achat à la consommation.
Par ailleurs, le développement d’emballage est
soumis à des contraintes législatives, de plus en plus
fortes, en termes de sécurité du consommateur ou
de protection de l’environnement que l’industriel doit
prendre en compte dès la conception. L’emballage et
le conditionnement constituent une opération
transversale dans l’industrie qui doit donc allier les
différents services de l’entreprise.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
178
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_13
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’emballage en plastique
pour produits agricoles
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi,
Had Kourt, Ouezzane, Moulay
Bousselham,
Souk
Larbaa,
Souk Tlet
Coût global du projet
6.000.000 DH
Capacité de production
3.000.000 unités par an
Besoin en superficie
8.500 m²
Besoin en RH
60 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est
devenu un élément essentiel pour la conservation, la
traçabilité, la communication ou l’innovation des
produits de grande consommation comme des
produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux
besoins et contraintes techniques des industriels.
L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une
conservation optimisée du produit transformé ce qui
nécessite une conception de l’emballage prise en
compte dès la conception du produit à conditionner.
Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs
d’usage, il
doit
satisfaire les attentes du
consommateur de l’acte d’achat à la consommation.
Par ailleurs, le développement d’emballage est
soumis à des contraintes législatives, de plus en plus
fortes, en termes de sécurité du consommateur ou
de protection de l’environnement que l’industriel doit
prendre en compte dès la conception. L’emballage et
le conditionnement constituent une opération
transversale dans l’industrie qui doit donc allier les
différents services de l’entreprise.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
179
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_14
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pots
et bouteilles en plastique à
usage biologique et médical
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
7.000.000 DH
Capacité de production
5.000.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est
devenu un élément essentiel pour la conservation, la
traçabilité, la communication ou l’innovation des
produits de grande consommation comme des
produits à usage biologique ou/et médical.
L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes
techniques des utilisateurs.
Ce projet proposera des pots et des bouteilles pour
le portionnement, les prélèvements d'échantillons,
les contrôles-qualité, les applications dans les
laboratoires,
les
secteurs
alimentaires,
pharmaceutiques, cosmétique, etc.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
181
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WILAYA DE LA REGION
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire
même de chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
182
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_15
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
produits
et
outils
en
plastique à usage médical
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
8.000.000 DH
Capacité de production
5.000.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
70 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est
devenu un élément essentiel pour la conservation, la
traçabilité, la communication ou l’innovation des
produits de grande consommation comme des
produits à usage biologique ou/et médical.
L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes
techniques des utilisateurs.
Ce projet proposera des seringues jetables en
plastique, bock à lavement plastique, bassin de lit
en plastique, connecteurs push-pull avec le corps
entièrement en plastique, crachoirs à usage unique
en plastique, cuvette haricot en plastique, inhalateur
plastique autoclavable, pissette col de cygne en
plastique, urinal homme et femme en plastique, etc.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière… L'objet est ensuite figé
dans la forme voulue par un système de
refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de
la pièce. Le processus est réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
183
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
de polymérisation partielle. Celle-ci
s'achève dans le moule - alors que la
matière est déjà mise en forme sous l'action de catalyseurs, mais
aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur. Le démoulage n'intervient
que lorsque la polymérisation est
assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises. La
mise
en
forme
définitive
est
irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_16
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
pièces automobiles en
plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Oulad Slama
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
1.000.000 unités par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
National et international
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
La Plasturgie, au niveau mondial, c'est 29 milliards
d'euros pour un effectif de 155.732 salariés. Le
secteur des pièces techniques représente plus du 1/3
de l'industrie de la transformation des polymères. Le
secteur des pièces plastiques travaille à plus de 60%
pour l'industrie automobile.
Les statistiques mondiales indiquent que le secteur
automobile utilise environ 1,7 million de tonnes de
matières plastiques fabriquées à partir de 3,25
millions de tonnes de pétrole. Mais l'allègement des
véhicules dû aux équipements plastiques induit une
économie de carburant de 12 millions de tonnes,
évitant l'émission d'environ 300 millions de tonnes
de CO2.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen qui a fait de l’industrie des équipements
automobiles une priorité stratégique.
Ce projet concerne une unité qui effectuera le
moulage et finition de pièces en SMC, la peinture et
l’assemblage.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_17
Intitulé du projet
Emballage pour produits
alimentaires en plastique
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi,
Had Kourt, Ouezzane, Moulay
Bousselham,
Souk
Larbaa,
Souk Tlet
Coût global du projet
5.000.000 DH
Capacité de production
2.500.000 unités par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est
devenu un élément essentiel pour la conservation, la
traçabilité, la communication ou l’innovation des
produits de grande consommation comme des
produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux
besoins et contraintes techniques des industriels.
L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une
conservation optimisée du produit transformé ce qui
nécessite une conception de l’emballage prise en
compte dès la conception du produit à conditionner.
Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs
d’usage, il
doit
satisfaire les attentes du
consommateur de l’acte d’achat à la consommation.
Par ailleurs, le développement d’emballage est
soumis à des contraintes législatives, de plus en plus
fortes, en termes de sécurité du consommateur ou
de protection de l’environnement que l’industriel doit
prendre en compte dès la conception. L’emballage et
le conditionnement constituent une opération
transversale dans l’industrie qui doit donc allier les
différents services de l’entreprise.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
changer ultérieurement la forme ou l'état de
la pièce. Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_18
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
meubles en plastic
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem
Coût global du projet
7.000.000 DH
Capacité de production
25.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
65 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ce projet proposera des meubles et du mobilier de
jardin en plastique ou/et en PVC tel que des tables et
chaises de jardin, des tables à manger, du mobilier
de bureau, etc.
Ce projet représente une bonne opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_19
Intitulé du projet
Unité de mise en sac de
sable de mer
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kenitra, Medhdya,
Sidi Taibi
Coût global du projet
3.000.000 MAD
Capacité de production
100.000 sacs de 15 Kg par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
30 Permanents
Marchés potentiels
National et export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ce projet proposera des sacs de sable de jeux. Sable
de mer fin pour bac à sable, coloris blanc, lavé et
séché, dans un sac de poids : 15 kg.
La disponibilité du sable de mer, dans la périphérie
de la ville de Kénitra, en grande quantité et avec une
bonne qualité, en plus de la grande demande
exprimée par les marchés européens constituent une
bonne opportunité d’investissement pour la région du
Gharb-Chrarda-Béni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
191
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_20
Intitulé du projet
Unité de production
sacs en polypropylène
des
Secteur
Industrie Chimique
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Slimane
Coût global du projet
8 000.000 DH
Capacité de production
500 à 750 T/an
Besoin en superficie
1500 m²
Besoin en RH
8 Personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale
du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes,
etc.),
l’automobile
(carrosseries,
planches de bord, pare-chocs, pièces techniques,
etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures,
isolation, revêtement sols et murs, mobiliers
urbains), ainsi que les sports et les loisirs
(chaussures, jeux, jouets, planches à voiles,
etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée :
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Les sacs tissés de grande contenance en
polypropylène sont utilisés dans l'emballage des
produits alimentaires (farine, riz, légumineuses,
etc..) des céréales et plusieurs autres produits.
Les sacs en polypropylène tissés présentent
plusieurs avantages tels que la résistance aux
différentes manipulations, la légèreté et la
propreté.
Actuellement, la fabrication des sacs tissés est
assurée par une dizaine de sources dont la
capacité n'arrive pas à satisfaire toute la
demande des différents utilisateurs.
Conditionnement d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon
à le séparer par distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille et de forme
différentes. On obtient des fractions principales
qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des
fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un
procédé thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures plus
légers qui entrent dans la composition des
plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.).
En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base
du plastique souhaité, l’éthylène par exemple.
Pour fabriquer les macromolécules on procède à
la polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes
de carbone composant la molécule d’éthylène
afin que les carbones de différents monomères
établissent des liaisons entre eux (dites liaisons
covalentes). La résine ainsi obtenue sert à
fabriquer les divers objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer une
livraison en résine et poudre de résine servant à
fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
192
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_21
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pots
alimentaires en
polypropylène
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
5.000 000 DH
Capacité de production
10.000.000 pots par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de
poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques,
films). Un apport de calories par chauffage ou
frottement fait passer la matière de l'état solide à
l'état plastique, la mise en forme est alors possible
dans un moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un
système de refroidissement. Mais il est possible de
changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce.
Le processus est réversible.
- Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de base sont
livrés à la transformation à l'état de polymérisation
partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que
la matière est déjà mise en forme - sous l'action de
catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même
de chaleur.
Le
démoulage
n'intervient
que
lorsque
la
polymérisation est assez avancée pour que le produit
présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le
séparer par distillation en plusieurs fractions
composées de molécules de taille et de forme
différentes. On obtient des fractions principales qui
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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ROYAUME DU MAROC
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
sont des gaz, des essences, des naphtas, des
fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un
procédé thermique, le craquage, le naphta
est
transformé
en
un
mélange
d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans
la composition des plastiques (éthylène,
propylène, butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
194
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_22
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
barils alimentaires en
polyéthylène
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
6.000.000 DH
Capacité de production
135.000 barils par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
La mise en forme définitive est irréversible.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
196
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_23
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pots
de crème en polypropylène
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
6.500 000 MAD
Capacité de production
7.500.000 pots par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Ce projet proposera une ligne de pots de crème de
beauté prêts à être signés Disponible en dimension
standard contenance 50ml : Ø 63 x 50 mm. Coloris :
tous coloris disponibles sur demande (transparent,
opaque, iridescent, métallisé..).
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour que le
produit présente les propriétés requises.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
197
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
La mise en
irréversible.
forme
définitive
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
est
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
198
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_24
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pots
cosmétiques pour crème et
maquillage
Secteur
ICPC
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia,
Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
6.500 000 DH
Capacité de production
7.500.000 pots par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 permanents
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique globale du
Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se
développe dans plusieurs domaines : l’emballage
(cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs,
palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le
bâtiment
(fenêtres,
couvertures,
isolation,
revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi
que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte
valeur
ajoutée
:
les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et
emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
Au-delà de ces perspectives économiques favorables,
la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation
pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses
prestations, pour profiter des opportunités offertes à
l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en
effet encore souvent loin de répondre aux exigences
de normes et de créativité exigées à l’international.
Ceci
représente
une
bonne
opportunité
d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.
Ce projet proposera une gamme de pots
cosmétiques pour les crèmes et le maquillage. Ces
pots auront une capacité de 30ml, 50ml, 100ml,
150ml et 200ml. Différents matériaux seront utilisés
: PP, SAN, PMMA... selon le pot. Des sérigraphies
sont naturellement possibles ainsi que des
métallisations, des effets laque, etc.
Conseils techniques
Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :
Pour les thermoplastiques : la fabrication
part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories
par chauffage ou frottement fait passer la
matière de l'état solide à l'état plastique, la
mise en forme est alors possible dans un
moule ou une filière…
L'objet est ensuite figé dans la forme voulue
par un système de refroidissement. Mais il
est possible de changer ultérieurement la
forme ou l'état de la pièce. Le processus est
réversible.
Pour les thermodurcissables : Pour les
THERMODURCISSABLES, les produits de
base sont livrés à la transformation à l'état
de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève
dans le moule - alors que la matière est déjà
mise en forme - sous l'action de catalyseurs,
mais aussi d'accélérateurs, voire même de
chaleur.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
199
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Le démoulage n'intervient que lorsque la
polymérisation est assez avancée pour
que le produit présente les propriétés
requises.
La mise en forme définitive est
irréversible.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en plusieurs
fractions composées de molécules de taille et
de forme différentes. On obtient des
fractions principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
transformé en un mélange d’hydrocarbures
plus légers qui entrent dans la composition
des
plastiques
(éthylène,
propylène,
butylène,
etc.).
En
suite,
on
isole
l’hydrocarbure qui est la base du plastique
souhaité, l’éthylène par exemple. Pour
fabriquer les macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il s’agit
d’ouvrir la double liaison entre les deux
atomes de carbone composant la molécule
d’éthylène afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons entre
eux (dites liaisons covalentes). La résine
ainsi obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à assurer
une livraison en résine et poudre de résine
servant à fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
200
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_25
Intitulé du projet
Fabrication de meubles
marocains en bois
Secteur
ICPC
Branche
Bois et ouvrages en bois
Lieu d’implantation proposé
Province : Kénitra, Ouezzane,
Sidi Kacem
Coût global du projet
2.000.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
1.500 m²
Besoin en RH
30 permanents
Marchés potentiels
Le Marché nationale
Informations utiles :
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Favorisé par l'abondance et la variété
de ses essences sylvestres : cèdres de
l'Atlas, thuyas, chênes, noyers, acacias,
citronniers,
ébène
du
sous
qui
fournissent une bonne et riche matière
première
pour
la
charpente,
la
menuiserie,
l'ébénisterie
et
la
boissellerie, le Maroc a développé des
siècles durant un artisanat de bois de
haute qualité.
Le secteur du bois comprend tous les
arts du bois utilisés aussi bien comme
éléments architecturaux des palais,
villas, mosquées, plafonds, coupoles…
que d'objets transportables, tables,
cendriers, et objets de décoration :
coffrets en thuyas, en cèdre…etc.
Justification du projet
Ce projet se justifie par l'existence au
niveau de la région d'une main d'œuvre
qualifiée, l'abondance de la matière
première ainsi que la demande de
produits de haute qualité exprimée
surtout au niveau du marché national.
Conditions d’approvisionnement
Achat du bois local et aussi l’unité
pourra importer le bois de pays
étranger
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
201
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_26
Intitulé du projet
Unité de production de bois
pour bâtiment
Secteur
ICPC
Branche
Travail du bois et fabrication
d’articles en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem,
Ouezzane,
Sidi
Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
870.000 m3
Besoin en superficie
20.000 m2
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités
d’utilisation en fonction des différents aspects :
massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux
de particules,... etc.
Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres
matériaux de construction, d’autant plus que le bois
résiste aux effets mécaniques et possède des
propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé
dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et
la construction elle-même.
En tant que matériau de construction, le bois est
solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton
et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la
durée de vie des constructions en bois, elle dépend
de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa
protection chimique.
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces
végétales ligneuses classées en deux grandes
familles :
- Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin
sylvestre, douglas, etc ;
- Les feuillus : subdivisés en deux groupes :
*
feuillus
métropolitaines
(Châtaigner,
Chêne, Hêtre, etc.,) ;
* feuillus tropicales ou exotiques : à savoir
l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé,
etc.
Actuellement, le nombre de sociétés opérant dans le
secteur de l’industrie du bois a évolué, passant de
302 en 2000 à 349 sociétés en 2003. L’effectif
employé en 2003 s’élève à 4218 personnes.
La production du bois a été de 562 millions de
dirhams.
Justification du projet
La production du bois assure une couverture des
besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à
hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an.
Les principaux produits exportés sont les panneaux
de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en
bois.
Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux
de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois
reste un secteur d'activité des plus dynamiques au
Maroc.
Les potentialités forestières de la région du GCBH
promettent
des
opportunités
d’investissement
importantes dans le secteur du bois destinés à la
construction. Surtout que le secteur du BTP en
générale connaît une croissance non négligeable.
Conseils techniques
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces. Plus
de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où
75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et
25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
202
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
production ligneuse couvre principalement, le
bois d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et
de service, les souches, le liège et l’alfa.
Trois types d'activité caractérisent la
production du liège :
• La préparation du liège de reproduction
(préparé en planche) ;
• La bouchonnerie (en liège naturel) ;
• La fabrication du liège aggloméré destinée
à l'isolation : agglomérés expansés purs
et agglomérés blancs.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
203
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_27
Intitulé du projet
Unité de production de
portes et d’éléments en bois
pour
bâtiment :
Portes
d’intérieur et d’extérieur,
fenêtres,…
Secteur
ICPC
Branche
Travail du bois et fabrication
d’articles en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem,
Ouezzane,
Sidi
Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
7.000.000 MAD.
Capacité de production
7.000 Unités par an
Besoin en superficie
10.000 m2
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités
d’utilisation en fonction des différents aspects :
massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux
de particules,... etc.
Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres
matériaux de construction, d’autant plus que le bois
résiste aux effets mécaniques et possède des
propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé
dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et
la construction elle-même.
En tant que matériau de construction, le bois est
solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton
et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la
durée de vie des constructions en bois, elle dépend
de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa
protection chimique.
Les portes et autres éléments en bois font partie des
ouvrages de second œuvre assurant une fonction de
communication soit entre deux pièces à l’intérieur
d’un bâtiment soit entre un logement et une partie
abritée des intempéries soit commune soit privative.
Accessoirement, les portes intérieures peuvent
assurer une fonction esthétique.
Justification du projet
La production du bois assure une couverture des
besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à
hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an.
Les principaux produits exportés sont les panneaux
de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en
bois.
Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux
de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois
reste un secteur d'activité des plus dynamiques au
Maroc.
Les potentialités au niveau de la région du GCBH et
sur le plan national offertes par le boom immobilier
présentent
des
opportunités
d’investissement
importantes à saisir dans le secteur du bois destinés
à la construction.
Conseils techniques
Sur le plan fabrication, une distinction radicale doit
être faite entre les vantaux de portes planes et les
portes menuisées et les huisseries.
Portes planes :
Les points clés sont
•
le séchage et le calibrage, en épaisseur, des
pièces du cadre
•
le collage (on utilise surtout des colles urée –
formol)
•
la prise en compte et la mise en œuvre des
éléments nécessaires à la stabilité dans le plan
qui est critique par rapport à la performance
thermique et surtout acoustique
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
204
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
•
choisir des panneaux de fibres des parois
avec une forte cohésion interne, surtout
la mise en œuvre d’un stratifié est
prévue. Ainsi, les valeurs de résistance
en traction perpendiculaire prévue par la
norme NF EN 622-5 pour les panneaux
de fibres sont-elles insuffisantes pour cet
usage lorsque l’humidité relative des
locaux est faible sur de longues périodes.
Portes menuisées et huisseries :
Les points clés sont
•
le séchage des bois afin d’éviter les
retraits, chutes de nez associées et
déformation (flèche, voile)
•
la qualité d’exécution des assemblages
•
la maîtrise des retraits transversaux des
panneaux de remplissage (soit partition
des panneaux en bois massif soit mise en
œuvre de panneaux dérivés du bois) et
corrélativement l’adaptation des jeux
périphériques des panneaux
•
la maîtrise de la chute de nez par un
calage approprié des panneaux de
remplissage
•
la préservation insecticide si le bois est
sensible à l’attaque (essentiellement
lyctus pour les feuillus, capricorne pour
les résineux). Si les porters sont en
classe d’emploi 2 (portes palières sur
coursives), un traitement fongicide
d’emploi 2 est à prévoir.
•
maîtrise de la rectitude du fil (elle
conditionne la stabilité des vantaux).
•
maîtrise
du
calage
d’assise
des
remplissages, surtout s’ils sont lourds
(vitrages) afin que leur poids induisent
les couples de déformation les plus
faibles possible.
Il existe des portes menuisées dans
lesquelles le bois est remplacé par un
panneau dérivé du bois (panneaux de
particules ou MDF) et un placage d’essence
fine.
Le processus de fabrication est similaire à
celles des portes en bois massif mais il
convient d’apporter une vigilance particulière
à la résistance des assemblages (souvent à
tourillons).
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces
végétales ligneuses classées en deux grandes
familles :
- Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin
sylvestre, douglas, etc.
- Les feuillus : subdivisés en deux groupes :
*
feuillus
métropolitaines
(Châtaigner,
Chène, Hêtre, etc.,) ;
* feuillus tropicales ou exotiques : à savoir
l’Acajou
d’Afrique,
Angélique,
Iroko,
Okoumé, etc.
Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où
75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et
25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la
production ligneuse couvre principalement, le bois
d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les
souches, le liège et l’alfa.
Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au
Maroc sous différentes catégories, entre autres :
- Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux
nobles et aux sculptures;
- Le cèdre employé pour les poutres ;
- Le cèdre destiné à être peint.
Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui
servent dans la menuiserie du bâtiment. En général,
tous ces bois sont principalement utilisés pour : les
linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les
plafonds et les patios plafonnés.
Humidité :
Utilisation de bois secs soit au plus 12 %
selon le DTU 36.1 mais dans les faits, il faut
plutôt viser un taux de 6-8 %. On doit
rappeler que les bois feuillus sont nettement
plus longs à sécher que les bois résineux.
Les panneaux dérivés du bois n’ont, en
général pas de difficulté à respecter une
teneur en eau aussi basse.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
205
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_28
Intitulé du projet
Unité de production de
portes
traditionnelles
marocaines en bois
Secteur
ICPC
Branche
Travail du bois et fabrication
d’articles en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem,
Ouezzane,
Sidi
Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
7.000.000 MAD.
Capacité de production
7.000 Unités par an
Besoin en superficie
10.000 m2
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités
d’utilisation en fonction des différents aspects :
massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux
de particules,... etc.
Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres
matériaux de construction, d’autant plus que le bois
résiste aux effets mécaniques et possède des
propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé
dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et
la construction elle-même.
En tant que matériau de construction, le bois est
solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton
et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la
durée de vie des constructions en bois, elle dépend
de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa
protection chimique.
Les portes et autres éléments en bois font partie des
ouvrages de second œuvre assurant une fonction de
communication soit entre deux pièces à l’intérieur
d’un bâtiment soit entre un logement et une partie
abritée des intempéries soit commune soit privative.
Accessoirement, les portes intérieures peuvent
assurer une fonction esthétique.
Justification du projet
La production du bois assure une couverture des
besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à
hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an.
Les principaux produits exportés sont les panneaux
de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en
bois.
Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux
de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois
reste un secteur d'activité des plus dynamiques au
Maroc.
Les potentialités au niveau de la région du GCBH et
sur le plan national offertes par le boom immobilier
présentent
des
opportunités
d’investissement
importantes à saisir dans le secteur du bois destinés
à la construction.
Conseils techniques
Sur le plan fabrication, une distinction radicale doit
être faite entre les vantaux de portes planes et les
portes menuisées et les huisseries.
Portes planes :
Les points clés sont
•
le séchage et le calibrage, en épaisseur, des
pièces du cadre
•
le collage (on utilise surtout des colles urée –
formol)
•
la prise en compte et la mise en œuvre des
éléments nécessaires à la stabilité dans le plan
qui est critique par rapport à la performance
thermique et surtout acoustique
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
206
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
•
choisir des panneaux de fibres des parois
avec une forte cohésion interne, surtout
la mise en œuvre d’un stratifié est
prévue. Ainsi, les valeurs de résistance
en traction perpendiculaire prévue par la
norme NF EN 622-5 pour les panneaux
de fibres sont-elles insuffisantes pour cet
usage lorsque l’humidité relative des
locaux est faible sur de longues périodes.
Portes menuisées et huisseries :
Les points clés sont
•
le séchage des bois afin d’éviter les
retraits, chutes de nez associées et
déformation (flèche, voile)
•
la qualité d’exécution des assemblages
•
la maîtrise des retraits transversaux des
panneaux de remplissage (soit partition
des panneaux en bois massif soit mise en
œuvre de panneaux dérivés du bois) et
corrélativement l’adaptation des jeux
périphériques des panneaux
•
la maîtrise de la chute de nez par un
calage approprié des panneaux de
remplissage
•
la préservation insecticide si le bois est
sensible à l’attaque (essentiellement
lyctus pour les feuillus, capricorne pour
les résineux). Si les porters sont en
classe d’emploi 2 (portes palières sur
coursives), un traitement fongicide
d’emploi 2 est à prévoir.
•
maîtrise de la rectitude du fil (elle
conditionne la stabilité des vantaux).
•
maîtrise
du
calage
d’assise
des
remplissages, surtout s’ils sont lourds
(vitrages) afin que leur poids induisent
les couples de déformation les plus
faibles possible.
Il existe des portes menuisées dans
lesquelles le bois est remplacé par un
panneau dérivé du bois (panneaux de
particules ou MDF) et un placage d’essence
fine.
Le processus de fabrication est similaire à
celles des portes en bois massif mais il
convient d’apporter une vigilance particulière
à la résistance des assemblages (souvent à
tourillons).
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces
végétales ligneuses classées en deux grandes
familles :
- Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin
sylvestre, douglas, etc.
- Les feuillus : subdivisés en deux groupes :
*
feuillus
métropolitaines
(Châtaigner,
Chène, Hêtre, etc.,) ;
* feuillus tropicales ou exotiques : à savoir
l’Acajou
d’Afrique,
Angélique,
Iroko,
Okoumé, etc.
Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où
75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et
25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la
production ligneuse couvre principalement, le bois d’
d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les
souches, le liège et l’alfa.
Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au
Maroc sous différentes catégories, entre autres :
- Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux
nobles et aux sculptures;
- Le cèdre employé pour les poutres ;
- Le cèdre destiné à être peint.
Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui
servent dans la menuiserie du bâtiment. En général,
tous ces bois sont principalement utilisés pour : les
linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les
plafonds et les patios plafonnés.
Humidité :
Utilisation de bois secs soit au plus 12 %
selon le DTU 36.1 mais dans les faits, il faut
plutôt viser un taux de 6-8 %. On doit
rappeler que les bois feuillus sont nettement
plus longs à sécher que les bois résineux.
Les panneaux dérivés du bois n’ont, en
général pas de difficulté à respecter une
teneur en eau aussi basse.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
207
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_29
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de réparation
de
bateaux de pêche en bois
Secteur
ICPC
Branche
Bois et ouvrages en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kenitra, Mehdya
Coût global du projet
2.000.000 MAD
Besoin en superficie
25.000 m2
Besoin en RH
40 personnes
Les pêches maritimes marocaines peuvent se
subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche
thonière,
la
pêche
hauturière
aux
céphalopodes, la pêche côtière pélagique et
demersale au chalut et enfin la pêche dite
artisanale ou aux petits métiers. Ce dernier
sous-secteur a été longtemps mal connu en
raison de sa dispersion géographique, de la
diversité des ses structures, d'une absence
d'organisation et de représentation socioéconomique et enfin par l'impossibilité de
contrôler la grande partie de la production.
Cependant, l’effort de pêche principal est
exercé par une flotte de pêche côtière qui a
connu une croissance soutenue en nombre et
en capacité. En effet, elle est passée de 1.829
navires en 1985 avec un tonnage de 50.211 Tjb
à 2.823 unités en 2004, pour un tonnage global
de 82.761 Tjb. Cette flotte est constituée de
765 chalutiers, 397 senneurs, 971 palangriers,
286 chalutiers - senneurs, 214 palangriers senneurs, 87 chalutiers - palangriers, et 103
autres.
Justification du projet
Marchés potentiels
Local, Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La région GCBH, dispose d’une côte de 140Km
avec un plateau très riche en ressources
halieutiques et possède aussi plusieurs ports de
pêche et de bateaux.
Ainsi, et avec l’effort de mise à niveau de la
flottille de pêche côtière, les besoins en unités
spécialisées dans la réparation des bateaux de
pêche constitue une excellente opportunité à
saisir pour la fabrication de chalutiers dans la
région Gharb-Chrarda-Béni Hssen.
A ajouter que la situation géographique de la
région offre une opportunité importante pour la
localisation d’une telle unité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
208
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_30
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
barques en bois pour pêche
artisanale
Secteur
I.C.PC
Branche
Travail du bois et fabrication
d’articles en bois.
Lieu d’implantation proposé
Communes : Mehdya, Kénitra,
Ben Mansour, Mnasra, Moulay
Bousselham
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
40 unités par an
Besoin en superficie
2500 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Les pêches maritimes marocaines peuvent se
subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche thonière,
la pêche hauturière aux céphalopodes, la pêche
côtière pélagique et demersale au chalut et enfin la
pêche dite artisanale ou aux petits métiers. Ce
dernier sous-secteur a été longtemps mal connu en
raison de sa dispersion géographique, de la diversité
des ses structures, d'une absence d'organisation et
de représentation socio-économique et enfin par
l'impossibilité de contrôler la grande partie de la
production.
La pêche artisanale marocaine a fait l'objet d'actions
relevant de programmes de développement et de
recherche technique: plusieurs opérations ont été
réalisées par l'ONP : motorisation des barques, des
coopératives de production dotées de bateaux en
polyester et en bois et engins de pêche
La pêche artisanale aux petits métiers regroupe
l'activité de 5,000 barques (Floukas) opérant à partir
des plages et des ports, 800 palangriers opérant a
partir des plages et une centaine de petits senneurs
(chbeiks) opérant à partir des plages. Ce soussecteur compte quelque 16,000 emplois directs qui
représentent environ 1,3% de la population active du
secteur de la pêche. Les débarquements de la pêche
artisanale contribuent à 40% en poids à la
production nationale. L'importance économique de
cette pêche se justifie dans la valeur de sa
production et sa participation au développement
national.
Justification du projet
La région dispose d’une côte de 140Km avec un
plateau très riche en ressources halieutiques et
possède plusieurs ports de pêche.
En plus, la situation géographique de la région offre
une opportunité pour la commercialisation des
barques sur un large marché.
L’usage des barques en bois et aujourd’hui de plus
en plus utilisé aussi dans les activités de tourisme.
Conseils techniques
Respecter les normes de la construction des barques,
l’innovation et la créativité sont un plus à mettre en
valeur.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en bois de
bonne qualité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
209
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_31
Intitulé du projet
Chantier
naval
pour
fabrication de chalutiers en
bois
Secteur
I.C.PC
Branche
Travail du bois et
d’articles en bois.
fabrication
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra et Mehdya
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
35 unités par an.
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les pêches maritimes marocaines peuvent se
subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche
thonière,
la
pêche
hauturière
aux
céphalopodes, la pêche côtière pélagique et
demersale au chalut et enfin la pêche dite
artisanale ou aux petits métiers.
Cependant, l’effort de pêche principal est
exercé par une flotte de pêche côtière qui a
connu une croissance soutenue en nombre et
en capacité. En effet, elle est passée de 1.829
navires en 1985 avec un tonnage de 50.211 Tjb
à 2.823 unités en 2004, pour un tonnage global
de 82.761 Tjb. Cette flotte est constituée de
765 chalutiers, 397 senneurs, 971 palangriers,
286 chalutiers - senneurs, 214 palangriers senneurs, 87 chalutiers - palangriers, et 103
autres.
Les chalutiers côtiers, en raison du mode de
conservation de leurs captures (sous glace) et
de leur autonomie, effectuent des marées ne
dépassant pas une semaine et exploitent les
fonds peu profonds du littoral national. Ils
approvisionnent particulièrement le marché
national en poissons frais et dans une faible
mesure le marché de l'export.
Justification du projet
L’abondance des ressources halieutiques dans
les côtes marocaines, l’effort de mise à niveau
de la flottille de pêche côtière, les demandes
extérieures de chalutiers en bois constituent
une excellente opportunité à saisir pour la
fabrication de chalutiers dans la région GharbChrarda-Béni Hssen.
Conseils techniques
Respecter les normes de la construction des
barques, l’innovation et la créativité sont un
plus à mettre en valeur.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en bois
de bonne qualité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
210
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_32
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Secteur
ICPC
La branche des industries du bois et des articles
compte 404 entreprises, ce secteur emploie un
effectif de 9251 personnes et a exporté pour
une valeur de 25,1 Millions de US$ en 2003.
Les principaux produits exportés sont les
panneaux de bois, la charpente menuiserie, les
objets divers en bois. Les principaux débouchés
à l'export pour le bois sont : la France, Pays
Bas, Italie, Espagne.
Branche
Bois et ouvrages en bois
Justification du projet
Intitulé du projet
Menuiserie moderne
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kacem, Ouezzane, Sidi
Slimane, Sidi Taibi, Souk
Larbaa, Souk Tlet, Mechra
Belksiri, Jorf El Melha, Sidi Allal
Tazi, Had Kourt
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
150.000 m3 par an
Besoin en superficie
750 m²
Besoin en RH
8 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La production du bois assure une couverture
des besoins du pays en bois d’œuvre et
d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000
m3/an.
Les principaux produits exportés sont les
panneaux de bois, la charpente menuiserie, les
objets divers en bois.
Ainsi, et même avec la concurrence des
matériaux de substitution (aluminium, PVC,
métal...), le bois reste un secteur d'activité des
plus dynamiques au Maroc.
Les potentialités au niveau de la région du
GCBH et sur le plan national offertes par le
boom immobilier présentent des opportunités
d’investissement importantes à saisir dans le
secteur du bois destinés à la construction.
Conditions d’approvisionnement
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces
végétales ligneuses classées en deux grandes
familles :
- Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin
sylvestre, douglas, etc.
- Les feuillus : subdivisés en deux groupes :
*
feuillus
métropolitaines
(Châtaigner,
Chêne, Hêtre, etc.,) ;
* feuillus tropicales ou exotiques : à savoir
l’Acajou
d’Afrique,
Angélique,
Iroko,
Okoumé, etc.
Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où
75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et
25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la
production ligneuse couvre principalement, le bois
d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les
souches, le liège et l’alfa.
Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au
Maroc sous différentes catégories, entre autres :
- Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux
nobles et aux sculptures;
- Le cèdre employé pour les poutres ;
- Le cèdre destiné à être peint.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
211
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Le Maroc importe d’autres espèces de bois
qui servent dans la menuiserie du bâtiment.
En général, tous ces bois sont principalement
utilisés pour : les linteaux, les portes, les
fenêtres, les balustrades, les plafonds et les
patios plafonnés.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_33
Intitulé du projet
Unité de menuiserie de bois
Secteur
ICPC
Branche
Bois et Ouvrages en bois
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi
Kecm, Ouezzane, Jorf El Melha,
Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi
Yahia, Had Kourt, Souk Larbaa
Coût global du projet
250.000 DH
Capacité de production
1.000 m² par an
Besoin en superficie
150 m²
Besoin en RH
8 Permanents
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les industries chimiques et para chimiques occupent
une place importante dans l'industrie marocaine.
Avec 2168 établissements (32% de la population des
établissements
industriels),
ces
industries
contribuent à 32% de la production industrielle, à
33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif
total et drainent 41% des investissements.
La branche des industries du bois et des articles
compte plus de 404 entreprises, ce secteur emploie
un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une
valeur de 25,1 Millions de US$ en 2003. Les
principaux produits exportés sont les panneaux de
bois, la charpente menuiserie, les objets divers en
bois.
Justification du projet
La demande croissante pour les produits en bois
dans la construction, tant au niveau régional qu’au
niveau
national,
constitue
une
opportunité
importante d’investissement à saisir.
Le
caractère
économique
et
l’aspect
peu
capitalistique du projet et sa facilité d’utilisation
justifient la pertinence de ce projet.
Conditions d’approvisionnement
Il existe dans le monde près de 30 000 espèces
végétales ligneuses classées en deux grandes
familles :
- Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin
sylvestre, douglas, etc.
- Les feuillus : subdivisés en deux groupes :
*
feuillus
métropolitaines
(Châtaigner,
Chêne, Hêtre, etc.,) ;
* feuillus tropicales ou exotiques : à savoir
l’Acajou
d’Afrique,
Angélique,
Iroko,
Okoumé, etc.
Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où
75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et
25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la
production ligneuse couvre principalement, le bois
d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les
souches, le liège et l’alfa.
Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au
Maroc sous différentes catégories, entre autres :
- Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux
nobles et aux sculptures;
- Le cèdre employé pour les poutres ;
- Le cèdre destiné à être peint.
Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui
servent dans la menuiserie du bâtiment. En général,
tous ces bois sont principalement utilisés pour : les
linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les
plafonds et les patios plafonnés.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
213
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°FP_S_ICPC_34
Intitulé du projet
Unité
moyenne
fabrication de caisses
bois
de
en
Secteur
ICPC
Branche
Industrie du bois et ouvrages
en bois
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahya,
Sidi
Slimane, Ameur seflia, Oulad
Slama, Sidi Taibi, Ouezzane,
Mechra
Bel
Ksiri,
Moulay
Bousselham, Arbaoua, Souk
Larbaa, Souk Tlet
Coût global du projet
800.000 DH
Capacité de production
Selon la commande
Besoin en superficie
1.500 m²
Données sur le secteur
La branche des industries du bois et des articles
compte 404 entreprises, ce secteur emploie un
effectif de 9251 personnes et a exporté pour
une valeur de 25,1 Millions de US $ en 2003.
Les principaux produits exportés sont les
panneaux de bois, la charpente menuiserie, les
objets divers en bois. Les principaux débouchés
à l'export pour le bois sont la France avec 30%,
les Pays Bas avec 21%, l’Italie pour 13% et
l’Espagne avec 12%.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande pour les caisses en bois utilisées dans
le conditionnement et le transport de produits
agricoles tant au niveau de la Région GharbChrarda-Béni Hssen qu’au niveau national.
La grande productivité agricole de la région et
sa position géographique au centre du pays en
plus du caractère peu capitalistique constituent
une excellente opportunité à saisir.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en bois
et en chutes de bois auprès des grandes
scieries et des grands marchands de bois.
Conseils techniques
Equiper l’atelier avec tout le matériel de
menuiserie nécessaire à cette activité tel que :
une ponceuse, une scie électrique, un outillage
de serrage, etc.
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_35
Intitulé du projet
Unité de fabrication
caisseries en bois
de
Secteur
ICPC
Branche
Industrie du bois et ouvrages
en bois
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahya,
Sidi
Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
2.500.000 DH
Capacité de production
Selon la commande
Besoin en superficie
2.000 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
La branche des industries du bois et des articles
compte 404 entreprises, ce secteur emploie un
effectif de 9251 personnes et a exporté pour
une valeur de 25,1 Millions de US $ en 2003.
Les principaux produits exportés sont les
panneaux de bois, la charpente menuiserie, les
objets divers en bois. Les principaux débouchés
à l'export pour le bois sont la France avec 30%,
les Pays Bas avec 21%, l’Italie pour 13% et
l’Espagne avec 12%.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la grande
demande pour les caisses en bois utilisées dans
le conditionnement et le transport de produits
agricoles mais aussi pour les différents besoins
industriels exprimés tant au niveau de la
Région Gharb-Chrarda-Béni Hssen qu’au niveau
national.
La dynamique industrielle et économique de la
région et sa position géographique au centre du
pays constituent une excellente opportunité à
saisir.
Ce projet proposera une gamme de caisserie en
bois répondant à des besoins et exigences
multisectorielles. Plusieurs types de fabrication
peuvent être proposés :
Les palettes en bois
La caisse bois ou contreplaqué pour
expéditions
maritimes,
aériennes,
terrestres.
La caisse navette bois ou contreplaqué
pour emballer et déballer facilement le
matériel qui est à l’intérieur (salon,
transfert).
Des produits faits sur mesure.
Conseils techniques
Equiper l’atelier avec tout le matériel de menuiserie
nécessaire à cette activité tel que : une ponceuse,
une scie électrique, un outillage de serrage, etc.
En plus, prévoir des ponts roulants de 3,5 tonnes et
d’un chariot élévateur 2,5 tonnes
pour le
chargement/déchargement.
Il faut également intégrer la fonction de traitement
du bois avant transport à travers la fumigation au
bromure de méthyle et le traitement a haute
température.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
215
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WILAYA DE LA REGION
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en bois essentiellement du pin maritime
à partir de grumes sélectionnées.
Intégré verticalement, de la forêt à la
palette.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
216
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Intitulé du projet
Industrie du liège
Secteur
ICPC
Branche
Liège et ouvrages en liège
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Yahya, Sidi Taibi, Sidi Slimane
Coût global du projet
15 000 000 MAD
Capacité de production
5 000 tonnes par an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels :
National et export
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
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Fiche de projet n° S_ICPC_36
Concernant la sous branche liège et ouvrages en
liège, le Maroc est l'un des principaux pays
producteurs et exportateurs du Monde.
Les exportations de liège en 2003 ont été de
13,6 Millions US $. L'implantation de l'industrie
du liège au Maroc remonte aux années 30.
Aujourd'hui, c'est une industrie très diversifiée
qui touche plusieurs domaines d'utilisation
(isolation, décoration...).
Avec près de 40 000 hectares, le chêne liège
constitue l’une des plus grandes richesses
forestières de la région du Gharb-Chrarda-Beni
Hssen, tant sur le plan écologique que socioéconomique. Au Maroc, la vente du liège procure
des recettes très importantes qui se sont élevées
en moyenne à 640 millions de DH pour les cinq
dernières années (1997-2001).
La majorité des entreprises industrielles de liège
est concentrée dans l’axe Kenitra-Casa à
l’exception de l’entreprise SOCOTA qui est
installée à Tanger. L’abondance des subéraies,
source d’approvisionnement des industries de
liège dans la région Nord Ouest (79%) avec
l’immense subéraie de la Mâmora et ses
satellites qui assurent plus de 75% du volume
produit
annuellement,
était
un
facteur
prépondérant
dans
l’installation
de
ces
industries.
Justification du projet
Les propriétés très particulières du liège lui
permettent d’être le matériau le plus utilisé dans
de nombreuses applications depuis des centaines
d’années. Le tissu subéreux est utilisé sous deux
formes principales : liège en planches et liège
trituré. Avec le premier, on fabrique toute une
série d’objets (les bouchons, les rondelles, les
tapis, les revêtements du sol et du mur,…). Alors
que par le processus de trituration, on obtient à
partir des déchets de l’industrie du bouchon et
de liège de moindre qualité (rebut) les granulés
de liège. Ces derniers sont employés pour la
fabrication d’agglomérés qui se prêtent aux
applications les plus variées et presque
illimitées : les chaussures, l’industrie automobile
et aéronautique, la construction de bâtiment
(comme isolant thermique et acoustique).
Conditions d’approvisionnement
La récolte de la forêt constitue une source de
matières
première
abondant
qu’il
s’agit
d’exploiter tout en respectant la durabilité de la
forêt.
Données sur le secteur
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
217
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Fiche de projet n°S_ICPC_37
Intitulé du projet
Fabrication des meubles de
l’intérieur ensérie
Secteur
ICPC
Branche
Bois et ouvrages en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Ouezzane
Coût global du projet
15.500.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
180 personnes
Marchés potentiels
Local 30 % - Export 70 %
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
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Données sur le secteur
Favorisé par l'abondance et la
variété de ses essences sylvestres :
cèdres de l'Atlas, thuyas, chênes,
noyers, acacias, citronniers, ébène
du sous qui fournissent une bonne et
riche matière première pour la
charpente,
la
menuiserie,
l'ébénisterie et la boissellerie, le
Maroc a développé des siècles
durant un artisanat de bois de haute
qualité.
Le secteur du bois comprend tous les
arts du bois utilisés aussi bien
comme éléments architecturaux des
palais, villas, mosquées, plafonds,
coupoles…
que
d'objets
transportables, tables, cendriers, et
objets de décoration : coffrets en
thuyas, en cèdre…etc.
Justification du projet
Ce projet se justifie par l'existence
au niveau de la région d'une main
d'œuvre qualifiée, l'abondance de la
matière première ainsi que la
demande de produits de haute
qualité exprimée surtout au niveau
du marché national.
Conditions d’approvisionnement
Achat du bois local et aussi l’unité
pourra importer le bois de pays
étranger.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
218
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Fiche de projet n° S_ICPC_38
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
meubles d’intérieur
modulaires
Secteur
ICPC
Branche
Travail du bois et fabrication
d’articles en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
5.000 unités par an
Besoin en superficie
6.000 m2
Besoin en RH
80 personnes
Marchés potentiels
Local 30% Export 70%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités
d’utilisation en fonction des différents aspects :
massif,
contre-plaqués,
bois
lamellé
collé,
panneaux de particules,... etc.
Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres
matériaux de construction, d’autant plus que le
bois résiste aux effets mécaniques et possède des
propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé
dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries
et la construction elle-même.
En tant que matériau de construction, le bois est
solide, très résistant, ne fissure pas comme le
béton et ne se rouille pas comme les métaux.
Quant à la durée de vie des constructions en bois,
elle dépend de sa mise en œuvre, de son
traitement et de sa protection chimique.
Les portes et autres éléments en bois font partie
des ouvrages de second œuvre assurant une
fonction de communication soit entre deux pièces à
l’intérieur d’un bâtiment soit entre un logement et
une partie abritée des intempéries soit commune
soit privative.
Accessoirement, les portes intérieures peuvent
assurer une fonction esthétique.
Justification du projet
La production du bois assure une couverture des
besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à
hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an.
Les principaux produits exportés sont les panneaux
de bois, la charpente menuiserie, les objets divers
en bois.
Les potentialités au niveau de la région du GCBH
et sur le plan national offertes par le boom
immobilier
présentent
des
opportunités
d’investissement importantes à saisir.
Cette unité aura pour objet la fabrication de
meublants modulaires et articles de rangement en
bois massif et en panneaux.
Conseils techniques
Cette unité devra s’équiper principalement de :
Raboteuse, moulinière quatre faces 4 ou 6 têtes,
cadreuse verticale, mortaiseuse à chaînes,
mortaiseuse à mèche, tour à bois à copieur,
tenonneuse, toupies, ponceuse en forme, ponceuse
calibreuse
à
large
bande,
perceuse
pour
assemblage par tourillons (S32), machine à
encoller les tourillons, cadreuse volumétrique
2mx2m, scie à panneaux à commandes numérique
et à alimentation automatisée, perceuse multiple à
commande numérique, plaqueuse de chant, ligne
de peinture.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
219
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_39
Intitulé du projet
Unité de fabrication
meubles de bureaux
panneaux
de
en
Secteur
ICPC
Branche
Bois et ouvrages en bois
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
4.000.000 MAD
Capacité de production
7.000 unités par an
Besoin en superficie
5.000 m2
Besoin en RH
90 personnes
Marchés potentiels
Local 30% Export 70%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités
d’utilisation en fonction des différents aspects :
massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux
de particules,... etc. La branche des industries du
bois et des articles en bois compte 404
entreprises, ce secteur emploie un effectif de
9251 personnes et a exporté pour une valeur
de 25,1 Millions de US$ en 2003. Les principaux
produits exportés sont les panneaux de bois, la
charpente menuiserie, les objets divers en bois.
Les principaux débouchés à l'export pour le bois
sont la France, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Italie.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification dans la
proximité de la Région Gharb-Chrarda-Béni
Hssen des grands marchés d’écoulement du
mobilier de bureau.
Cette unité aura pour objet la fabrication de
meubles et articles de rangement en panneaux.
Conseils techniques
Cette unité devra s’équiper principalement de :
Scie à panneaux à commande numérique et à
alimentation automatisée, plaqueuse de chants
au défilé (1 chant ou une alaise 8 mm),
plaqueuse de chants pour arrondis, perceuse
multiple à commande numérique (S32),
perceuse spéciale (S32 + charnière + tourillons
+ cadreuse à tiroir), machines à tourillons,
machine à encoller et poser les tourillons,
cadreuse verticale, cadreuse volumétrique 2x2
m/m, ruban dédoubleur de diamètre 700 mm,
scie
circulaire
à
format,
toupies,
dégauchisseuse, raboteuse.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
panneaux de bois. Cet approvisionnement peut
intéresser différents forme de panneaux de
bois : Panneaux de particules bruts et
mélaminés, panneaux techniques, panneaux
prédébits, co-traitance, panneaux techniques,
panneaux usinés,…
Pour optimiser l’approvisionnement dans les
meilleures conditions, il est conseillé d’établir
des cahiers de charge précis concernant le
conditionnement. En effet plusieurs type de
conditionnement sont possible : emballage sous
film, emballage mixte carton + film, emballage
carton + cerclage...
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
220
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_40
Intitulé du projet
Unité de production de béton
prêt à l’emploi
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
5.500.00 MAD
Capacité de production
10.000 m3 par an
Besoin en superficie
8.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Local 90% Régional 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’usage du béton prêt à l’emploi au Maroc est
récent, son
initiation
date de
1971 et
principalement dans la ville de Rabat.
Actuellement, la production couvre la grande
majorité des villes, elle est assurée par les grands
cimentiers. Cette ouverture du béton prêt à
l’emploi sur le marché national est due surtout
aux
qualités
que
possède
ce
matériau
notamment :
La rapidité de mise en œuvre grâce au
système de pompe adapté aux constructions
à plusieurs niveaux ;
Le meilleur dosage d’agrégats suivant des
normes étudiées ;
La réduction de la main d’œuvre ;
La suppression des pertes occasionnées à la fois
par la préparation manuelle du béton sur chantier
et sa mise en œuvre.
La production est assurée par une trentaine de
centrales à béton. Cependant, les principaux
opérateurs sont au nombre de huit parmi lesquels
figurent quatre filiales de groupes cimentiers.
Justification du projet
Avec un niveau de consommation par tête évoluant
avec un rythme équivalent à celui observé pour le
ciment durant les dernières années.
Les besoins globaux en ces matériaux sont, en outre,
engendrés par le croît démographique en milieu
urbain ; ce dernier est établi sur la base des
résultats du dernier recensement 2004. Or, la
consommation de ciment rapportée à la population
urbaine a augmenté de 2,4% par an en moyen entre
1997 et 2004. C’est ce taux qui est retenu pour le
béton et dérivés de béton.
La consommation devra atteindre, à l’horizon 2020,
plus de 1.184.000 m3.
Conseils Techniques
Le béton prêt à l’emploi est obtenu suivant un
certain dosage à partir d’un mélange de ciment,
de sable et de graviers auxquels s’ajoutent des
adjuvants divers (fluidifiants, accélérateurs ou
retardateurs de prise, hydrofuges, etc.).
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
221
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_41
Intitulé du projet
Unité
industrielle
de
fabrication des agglomérés et
hourdis
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem
Coût global du projet
3.500.000 Dhs
Capacité de production
2.500.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
25 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317 sociétés
réparties sur tout le territoire national et employant
un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids important
dans la construction.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
222
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Fiche de projet n°S_ICPC_42
Intitulé du projet
Unité
industrielle
de
fabrication des carreaux en
bétons
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem,
Sidi
Slimane,
Sidi
Taibi,
Ouezzane
Coût global du projet
3.000.000 Dhs
Capacité de production
250.000 m² par an
Besoin en superficie
8500 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317 sociétés
réparties sur tout le territoire national et employant
un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids important
dans la construction.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Conseils techniques
Le procédé de fabrication de carreaux en béton
commence en coupant un bloc d'un mélange de
béton, caractérisé en ce que ledit bloc est soumis à
une cuisson préliminaire à température et pression
ambiante pendant au moins 24 heures (ou à un
traitement à la vapeur à basse pression à une
température inférieure à 100 degrés C) jusqu'à ce
que la résistance à la compression atteigne une
valeur d'au-moins 20 MPa et à un second traitement
à la vapeur dans un autoclave. Les carreaux en
béton ainsi obtenus peuvent être fixés au sol en
utilisant une couche de ciment normal servant de
liaison sans aucun problème de descellement.
La distribution est assurée par un nombre important
d’unités réparties sur l’ensemble du territoire.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
223
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_43
Intitulé du projet
Unité
industrielle
fabrication de tuyaux
béton et en béton armé
de
en
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem,
Mechra Bel Ksiri
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
70.000 mètre linéaire par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317 sociétés
réparties sur tout le territoire national et employant
un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids important
dans la construction.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
224
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_44
Intitulé du projet
Unité
industrielle
fabrication des buses
béton pour puits
de
en
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem,
Mechra Bel Ksiri, Sidi Slimane
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
70.000 mètre linéaire par an
Besoin en superficie
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne.
Elle
nécessite
une
technologie
facilement accessible et des équipements de
production moins onéreux. Cette activité
regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis,
buses, carreaux en ciment, blocs en béton,
éléments préfabriqués, plinthes, bordures de
trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317
sociétés réparties sur tout le territoire national et
employant un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
Le secteur de fabrication des agglomérés et
articles en ciment est appelé à jouer un rôle
important dans la réalisation des grands
programmes d'habitat social et de résorption de
l'habitat insalubre mais aussi dans la réalisation
des grands projets d’infrastructures; il devra
également connaître une évolution favorable du
fait des programmes engagés. Les perspectives
de développement de cette industrie sont
favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids
important dans la construction.
10.000 m²
Conditions d’approvisionnement
Besoin en RH
Assurer un approvisionnement constant en
ciment en vrac à travers un contrat avec un
cimentier.
30 personnes
Marchés potentiels
Assurer un approvisionnement régulier
agrégats et granulats de bonnes qualités.
en
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
225
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_45
Intitulé du projet
Unité de production de
verre plat pour bâtiment
Secteur
Industrie Chimique
Chimique.
et
Para
Branche
Fabrication de verre
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
80.000 m² par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
70 personnes
Marchés potentiels
Marché National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie du verre est en perpétuel changement,
cette révolution coïncide avec le changement dans le
mode de construction qui a incorporé le verre
comme matériau de construction et de design.
Actuellement, le secteur du bâtiment prend en
considération l’introduction du verre dans la
construction, alors qu’auparavant le verre ne prenait
que 1,2% dans les bâtiments traditionnels et 10 %
dans les constructions des murs avec rideaux. Malgré
ce faible taux de représentativité du vitrage dans les
constructions, le verre joue un rôle primordial dans
la qualité de l’habitat.
En 2003 l’industrie du verre regroupait 32
établissements et employait 706 personnes. Soit une
progression de 12 établissements par rapport à
2002. Quant à l’effectif employé, il a augmenté de
près des 2/3 de celui enregistré en 2000.
Pour la même année 2003, la valeur de la production
du verre pour le bâtiment s’est établie à 183 millions
de dirhams. Les types de verre obtenus sont :
- Les verres creux, utilisés pour l’emballage des
liquides ;
- Les verres plats, utilisés dans le bâtiment ;
- Les fibres de verre : utilisées comme matériau
pour l’isolation thermique des bâtiments.
Justification du projet
Les estimations réalisées sur le secteur, montrent
que les besoins en ce matériau vont croître à des
rythmes importants. Et ce à cause d’une part de
l’augmentation de la consommation qui est
conséquence de l’extension de l’urbain. Et d’autre
part à cause de l’augmentation de l’usage du verre
dans la construction.
Conseils techniques
Le verre est fabriqué par fusion vers 1500°C d’un
mélange de sables siliceux, de carbonate et sulfate
de sodium et de carbonate de calcium auquel
d’autres ingrédients mineurs sont ajoutés.
Les principaux éléments entrant dans la fabrication
du verre sont :
• Un corps vitrifiant, la silice, introduit sous forme de
sable 71 à 72 %, avec une température de fusion
avoisinant les 1800 °C.
• Un fondant, la soude 14 à 15 % de soude sous
forme de carbonate et sulfate
(le fondant
baisse la température de fusion).
• Un stabilisant, la chaux 9 % sous forme de calcaire
qui agit comme stabilisateur en donnant au verre
sa résistance chimique.
• Divers oxydes tels que magnésie, alumine qui
améliorent les propriétés physiques du verre et,
notamment, sa résistance à l’action des agents
atmosphériques.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
226
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_46
Intitulé du projet
Unité de fabrication du
plâtre : Sac de plâtre de 40
Kg
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d'autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
15.000 tonnes par an
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
65 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le Plâtre est un matériau des plus anciens. Il
est le produit de la cuisson à une température
peu élevée du gypse, qui, réduit en poudre
possède la propriété de former avec l’eau une
pâte capable de durcir à l’air dans un temps
relativement rapide.
La facilité de fabrication et de mise en œuvre
du plâtre, la contribution qu’il apporte à
l’isolation et au confort, ont donné à ce
matériau un vaste domaine d’application dans
le bâtiment.
Au Maroc, l’industrie de fabrication du plâtre est
représentée en 2003 par 8 unités, employant
134 personnes dont 11 femmes.
La valeur de la production en 2003 était de plus
de 48 millions de dirhams, le chiffre d’affaire
réalisé par le secteur a atteint 88 millions de
Dh. Quant à l’investissement, il est estimé à 10
millions de dirhams.
Justification du projet
La demande croissante pour ce produit dans la
construction, tant au niveau régional qu’au
niveau national, constitue une opportunité
importante d’investissement à saisir.
Conseils techniques
Le plâtre est obtenu par la déshydratation du
gypse ou sulfate de calcium déshydraté. Il
correspond en poids à 79 % de sulfate de
calcium associé à environ 20 % d’eau.
Sous l’effet de la chaleur, il a la propriété de
pouvoir se recombiner à l’eau pour donner une
pâte pouvant faire prise assez rapidement.
La fabrication industrielle du plâtre passe par
trois étapes principales : L’extraction et la
préparation du gypse ; la cuisson; le mélange,
la distribution et le contrôle.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement
gypse ou sulfate de calcium.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
constant
en
227
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_47
Intitulé du projet
Unité de production
pavés en béton
de
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
500.000 m² par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
60 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront
encore des milliers d'années sans être altéré
par les atteintes du temps. Leur couleur restera
et leur aspect se bonifiera. Les pavés en pierres
malgré
leurs
origines,
ils
rendent
l'aménagement urbain et des espaces très
contemporains.
Les pavés en béton offrent un rapport
qualité/prix sans égal. Le grand choix de style,
de forme, de couleur, d'épaisseur, d'aspect,...
permet de créer des aménagements de qualité
et durable dans le temps. La qualité du béton
employé dans ces produits a des performances
techniques
très
élevés
et
quasiment
comparable à la pierre naturelle.
Justification du projet
L’aménagement paysager de la région demande
l’usage de techniques et de matériaux
apportant la beauté et le design espéré.
Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique
assurant un tel objectif, vu la place dont il a au
niveau international en tant que
produit
assurant en même temps sécurité et beauté.
Sur un autre niveau le pavé est largement
utilisé dans les maisons.
Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent
un produit demandé, nécessitant la création
d’unités spécifiques à sa production et à son
installation.
Conseils techniques
Les dimensions des pavés selon les normes
sont :
L'épaisseur
- 5cm pour les trottoirs et les patios seulement
- 6cm pour les trottoirs, les patios et les
entrées résidentielles
- 7cm pour les entrées résidentielles et les
patios
- 8cm et + pour les charges lourdes des
entrées commerciales et des villes
Les dimensions : Chaque manufacturier a ses
propres dimensions du même modèle de pavés.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
ciment et autres agrégats entrant dans la
composition du béton en signant des contrats
d’approvisionnement.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
228
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_48
Intitulé du projet
Unité de production
bordures en béton
de
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
Sur commande
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
25 personnes.
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Les bordures de béton stabilisent les matériaux
de chaque côté et donnent un aspect fini et
durable à tout aménagement paysager. Leur
durée de vie est très grande au jardin et elle
dépasse souvent celle des occupants des
lieux...
Il y a des bordures pour les usages résidentiels
et les bordures commerciales pour les bords de
routes et les terrains de stationnement
Elles ont des normes de fabrication sévères afin
de prolonger leur vie et augmenter leur
résistance.
Il se fabrique aussi des bordures de routes en
granit. Elles sont beaucoup plus dispendieuses
que celles en béton mais peuvent durer
plusieurs siècles.
Justification du projet
L’aménagement paysager de la région demande
l’usage de techniques et de matériaux
apportant la beauté et le design espéré.
Dans ce sens l’usage des bordures est une
pratique assurant un tel objectif, en tant que
produit assurant en même temps sécurité et
beauté.
Sur un autre niveau les bordures sont
largement utilisées dans les jardins des
maisons.
Toutes ces caractéristiques rendent la bordure
un produit demandé, nécessitant la création
d’unités spécifiques à sa production et à son
installation.
Conseils techniques
La fabrication des bordures est soumise à un
ensemble de normes de qualité et de sécurité
qu’il faut en tenir compte.
D’un point de vue technique, la fabrication des
bordures peut aussi se faire sur place (in situ)
avec une machine à mouler.
La forme et la taille des bordures dépendent de
la demande, mais aussi de la créativité du
producteur.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
ciment en vrac à travers un contrat avec un
cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en
agrégats et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
229
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_49
Intitulé du projet
Unité de fabrication d'éléments
de
plancher
en
béton
précontraint et béton armé,
murs
et
éléments
de
structure :
-
poutrelles précontraintes
poutres PSR
prélinteaux
prédalles en précontraint
dalles alvéolées précontraintes
poutres précontraintes
composants de charpente béton
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication
d’autres
produits
numériques non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kenitra, Sidi Kacem.
Coût global du projet
30.000.000 MAD
Capacité de production
3.500.000 unités par an
Besoin en superficie
50.000 m2
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux.
Cette
activité
regroupe
la
fabrication
des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
La fabrication des matériaux en ciment compte
actuellement 317 unités employant un effectif de
près de 12 000 personnes. La structure de la
production n’est pas stable du fait du mouvement
d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La
production a atteint
2,5 milliards de DH en 2003.
Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé
les 4 milliards de dirhams en 2003.
Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions
de dirhams
Justification du projet
Le secteur du BTP est soumit aujourd’hui à des
normes de sécurité, qui assurent aux œuvres réalisés
la robustesse nécessaire à leur pérennité.
Dans ce contexte, la région de GCBH, qui connaît un
essor du secteur BTP et de l’immobilier, présente une
demande en béton dans tous ses états en
l’occurrence le béton précontraint, dont les
caractéristiques sont importantes.
Conseils techniques
Parfois, les sollicitations prévisibles sont telles que
l'élasticité propre de l'acier ne suffit pas à assurer la
sécurité de l'ouvrage en béton. De ce fait, on a
recours à des techniques spécifiques d'armature
conduisant au béton précontraint.
Il s'agit de techniques qui consistent à tendre
(comme des ressorts) les aciers constituant les
armatures du béton, et donc à comprimer, au repos,
ce dernier. Ainsi, lorsque la structure est sollicitée,
ces armatures s'allongent et le béton a tendance à
se décompresser sans toutefois se mettre en
traction, puisqu'il était déjà en partie comprimé.
La précontrainte est à l’origine de progrès
considérable pour l’utilisation du béton dans les
ouvrages d’art et les structures coulées en place ou
réalisées à partir d’éléments préfabriqués.
La précontrainte est appliquée au béton grâce à des
câbles de précontrainte en acier. Ces câbles sont
tendus
par
des
vérins
de
précontrainte.
Lorsque l’on tend les câbles, ils vont par réaction
appliquer un effort de compression au béton (voir
fiche jointe : principe du béton précontraint).
La précontrainte peut être appliquée au béton :
soit par PRE-TENSION (mise en tension des aciers
avant coulage du béton) - (voir fiche "La prétension") ;
soit par POST-TENSION (mise en tension de
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
230
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
câbles après durcissement du béton) - (voir
fiche "La post-tension").
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
ciment en vrac à travers un contrat avec
cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier
agrégats et granulats de bonnes qualités.
Assurer un approvisionnement constant
acier pour câbles de précontrainte.
en
un
en
en
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
231
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_50
Intitulé du projet
Unité de fabrication de poteaux
en béton pour lignes
électriques
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux.
Cette
activité
regroupe
la
fabrication
des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
La fabrication des matériaux en ciment compte
actuellement 317 unités employant un effectif de
près de 12 000 personnes. La structure de la
production n’est pas stable du fait du mouvement
d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La
production a atteint
2,5 milliards de DH en 2003.
Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé
les 4 milliards de dirhams en 2003.
Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions
de dirhams
Justification du projet
Coût global du projet
8.000.000 MAD
Capacité de production
7.000 unités par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
65 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional et National
Informations utiles
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les programmes d’électrification rurale sont aussi
une opportunité à saisir pour la production de
poteaux en béton pour lignes électriques.
Conseils techniques
Les poteaux sont fabriqués dans des moules mis en
rotation, après configuration, le moule est soumis à
la vapeur (pour une durée de 3 heures). Le
démoulage se fait par séparation des coquilles.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
232
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_51
Intitulé du projet
Unité de fabrication de regards
en béton
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi
Slimane
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
35.000 unités par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
80 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional et National
Informations utiles
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux.
Cette
activité
regroupe
la
fabrication
des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
La fabrication des matériaux en ciment compte
actuellement 317 unités employant un effectif de
près de 12 000 personnes. La structure de la
production n’est pas stable du fait du mouvement
d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La
production a atteint
2,5 milliards de DH en 2003.
Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé
les 4 milliards de dirhams en 2003.
Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions
de dirhams
Justification du projet
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids important
dans la construction.
Conseils techniques
Les regards sont fabriqués dans des moules mis en
rotation, après configuration, le moule est soumis à
la vapeur (pour une durée de 3 heures). Le
démoulage se fait par séparation des coquilles.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
233
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_52
Intitulé du projet
Unité de fabrication de sacs
ciment
Secteur
ICPC
Branche
Industrie papier et carton
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahya,
Sidi
Slimane, Ameur seflia, Oulad
Slama, Sidi Taibi
Coût global du projet
10.000.000 DH
Capacité de production
1.500.000 sacs par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la demande
exprimée par les cimentiers et essentiellement le
futur cimentier installé dans la Région du GharbChrarda-Béni Hssen.
En plus la région présente l’avantage de proximité
par rapport aux marchés cibles mais aussi par
rapport au site de production de matière première à
savoir la pâte à papier.
Marchés potentiels
Régional, National
Justification du projet
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
S’équiper de machine qui assure le façonnage,
pliage, découpage, agrafage, collage, étiquetage,
massicotage etc et diverses impression tel que :
offset,
typographie,
pelliculage,
vernissage,
gaufrage,
dorure
à
chaud
contre
collage,
décorticage, perçage, lissage
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
234
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_53
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité de fabrication de produits
sanitaires en céramique
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
300.000.000 MAD
Capacité de production
300.000 pièces par an
Besoin en superficie
30.000 m²
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le Maroc possède une longue tradition de
fabrication d’objets en céramique d’art.
Toutefois, cette vocation est restée pendant
longtemps au stade artisanal et les articles en
céramique à usage industriel ou domestique
étaient couverts essentiellement par des
importations.
L’activité
industrielle
des
matériaux
de
construction en céramique n’est pas très
ancienne puisque les premières unités datent
des années 1970. Elle a connu une réelle
expansion depuis le début de la décennie 80.
Durant les années 90, cette activité a bénéficié
d’un second souffle suite au lancement du
programme 200.000 logements. En effet,
durant
cette
période,
plusieurs
unités
industrielles de fabrication de carreaux de
revêtement en faïence ou de carreaux de sol
ont été créées.
Il est à rappeler que cette branche d’activité
comporte les différents types de carreaux
utilisés pour le revêtement des sols et des
murs, les carreaux en grès, en semi-grés, de
faïence, et les produits sanitaires.
La production sanitaire est estimée à 2,5
millions d’articles produits, soit 0,9% de la
production mondiale.
L’industrie de fabrication des articles sanitaires
en céramique emploie plus de 1300 personnes.
La capacité de production installée équivaut à
près de quatre fois la demande intérieure, les
produits sont ainsi en grande partie exportés.
Justification du projet
Aujourd’hui, le marché marocain connaît une
forte demande des produis en céramique. Les
riads, les mosquées, les villas, les banques, les
hammams, les immeubles de moyen et haut
standing,…. sont les principaux débouchés de
ce type de matériaux de construction.
Conseils techniques
Les produits céramiques sont obtenus par
cuisson d’une pâte qui se transforme en
«biscuit» ayant des caractéristiques liées à la
nature des minéraux constituant la matière
première.
Celle-ci est formée soit par des argiles
particulières appelées « kaolins » qui donnent
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
235
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
des produits de teinte claire, soit par des
argiles ordinaires.
- Les faïences communes : Elles sont
constituées par une pâte blanche
(réfractaires, kaolins, silice et fondants)
cuite à une température de 1200°C. Le
biscuit rouge obtenu est recouvert par la
suite d’un émail déposé par trempage et
passé au four à 1000°C.
- Les faïences fines : Elles sont
différentes des précédentes par le fait
que le biscuit est blanc après cuisson.
Elles ne sont utilisées que pour la
fabrication des carreaux de revêtement
muraux, vu leur faible résistance à
l’usure.
- Les grès : Ils sont produits soit à partir
d’une argile naturelle « grésante »,
contenant une forte proportion de mica
fin qui joue le rôle de fondant et
engendre la vitrification, soit à partir
d’argiles peu vitrifiables auxquelles on
ajoute des matières fusibles et des
dégraissants. Ils peuvent être utilisés
pour le revêtement du sol ainsi que pour
les articles sanitaires du fait de leur
grande résistance mécanique.
Quelques exemples : lavabos, vasques,
W.C., bidets, receveur de douche, lavemains,
accessoires
(porte-savon,
tablette), baignoires, sièges à la turque,
éviers, collectivités (cuve laboratoire,
cuve simple, bac à laver, lavabo,
urinoir).
- Porcelaine : Elle est obtenue par la
cuisson d’une pâte, à base de Kaolin,
sable, et craie, jusqu’à vitrification.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en matière d’argiles ordinaires, kaolins
et silice.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
236
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_54
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
carreaux en céramique
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
400.000.000 MAD
Capacité de production
2.500.000 m² par an
Besoin en superficie
50.000 m²
Besoin en RH
250 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le Maroc possède une longue tradition de
fabrication d’objets en céramique d’art.
Toutefois, cette vocation est restée pendant
longtemps au stade artisanal et les articles en
céramique à usage industriel ou domestique
étaient couverts essentiellement par des
importations.
L’activité
industrielle
des
matériaux
de
construction en céramique n’est pas très
ancienne puisque les premières unités datent
des années 1970. Elle a connu une réelle
expansion depuis le début de la décennie 80.
Durant les années 90, cette activité a bénéficié
d’un second souffle suite au lancement du
programme 200.000 logements. En effet,
durant
cette
période,
plusieurs
unités
industrielles de fabrication de carreaux de
revêtement en faïence ou de carreaux de sol
ont été créées.
Il est à rappeler que cette branche d’activité
comporte les différents types de carreaux
utilisés pour le revêtement des sols et des
murs, les carreaux en grès, en semi-grés, de
faïence, et les produits sanitaires.
L’industrie de fabrication des articles en
céramique est représentée principalement par
l’activité de fabrication des carreaux de
revêtements en céramique. Cette industrie
emploie près de 5000 personnes et produit 30
millions de m² de carreaux par an pour une
consommation estimée à 33 millions de m². Le
complément est assuré par des importations,
essentiellement haut de gamme.
Le développement de cette activité a valu au
Maroc d’occuper en 2002 la 23ème position au
niveau mondial dans la production de carreaux,
avec 37 millions de m3, soit 0,7% de la
production mondiale.
Justification du projet
Aujourd’hui, le marché marocain connaît une
forte demande des produis en céramique. Les
riads, les mosquées, les villas, les banques, les
hammams, les immeubles de moyen et haut
standing,…. sont les principaux débouchés de
ce type de matériaux de construction.
Conseils techniques
Les produits céramiques sont obtenus par
cuisson d’une pâte qui se transforme en
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
237
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
«biscuit» ayant des caractéristiques liées
à la nature des minéraux constituant la
matière première.
Celle-ci est formée soit par des argiles
particulières appelées « kaolins » qui
donnent des produits de teinte claire,
soit par des argiles ordinaires.
- Les faïences communes : Elles sont
constituées par une pâte blanche
(réfractaires, kaolins, silice et fondants)
cuite à une température de 1200°C. Le
biscuit rouge obtenu est recouvert par la
suite d’un émail déposé par trempage et
passé au four à 1000°C.
- Les faïences fines : Elles sont
différentes des précédentes par le fait
que le biscuit est blanc après cuisson.
Elles ne sont utilisées que pour la
fabrication des carreaux de revêtement
muraux, vu leur faible résistance à
l’usure.
- Les grès : Ils sont produits soit à partir
d’une argile naturelle « grésante »,
contenant une forte proportion de mica
fin qui joue le rôle de fondant et
engendre la vitrification, soit à partir
d’argiles peu vitrifiables auxquelles on
ajoute des matières fusibles et des
dégraissants. Ils peuvent être utilisés
pour le revêtement du sol ainsi que pour
les articles sanitaires du fait de leur
grande résistance mécanique.
Quelques exemples : lavabos, vasques,
W.C., bidets, receveur de douche, lavemains,
accessoires
(porte-savon,
tablette), baignoires, sièges à la turque,
éviers, collectivités (cuve laboratoire,
cuve simple, bac à laver, lavabo,
urinoir).
- Porcelaine : Elle est obtenue par la
cuisson d’une pâte, à base de Kaolin,
sable, et craie, jusqu’à vitrification.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en matière d’argiles ordinaires, kaolins
et silice.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
238
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_55
Intitulé du projet
Unité industrielle de fabrication
de carreaux de mosaïque
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi kacem,
Sidi Taibi, Sidi Slimane.
Coût global du projet
8.000.000 Dhs
Capacité de production
20.000 m² par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie
facilement accessible et des équipements de
production moins onéreux. Cette activité
regroupe la fabrication des agglomérés,
hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en
béton,
éléments
préfabriqués,
plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317
sociétés réparties sur tout le territoire national
et employant un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
La résorption du déficit actuel en logements et
la satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement des différents secteurs,
notamment celui de la fabrication des
matériaux de construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et
articles en ciment est appelé à jouer un rôle
important dans la réalisation des grands
programmes d'habitat social et de résorption de
l'habitat insalubre ; il devra également
connaître une évolution favorable du fait des
programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans
bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau
national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100
000 unités par an à court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie
sont
favorables,
du
fait
de
l’impossibilité de substitution de ces matériaux
et leur poids important dans la construction.
Conditions d’approvisionnement
Les carreaux de mosaïque sont Fabriqués avec
le mélange de ciment et d’une gravette de
marbre. Après la prise du mélange, la surface
visible du carreau est polie.
Il faudra assurer un approvisionnement
constant en ciment en vrac à travers un contrat
avec
un
cimentier,
et
garantir
un
approvisionnement régulier en gravettes de
marbre de bonnes qualités.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
239
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_56
Intitulé du projet
Fabrication de carreaux en
céramique
pour
le
revêtement du mur
Secteur
Industrie chimique
Branche
Fabrication d'autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
80 000 000 MAD
Capacité de production
1 500 000 m² par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local et exportation
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le marché local de la céramique fait
l’objet d’une compétition vive.
Les industriels du secteur céramique
marocains, ont investi plus de 2,5
milliards de Dirhams et ont ainsi
contribué à l’industrialisation du pays
en développant un secteur vital à
l’économie nationale, qui emploie
directement et indirectement 10.000
postes et qui font économiser à l’Etat
plus de 1,5 milliard de dirhams en
devises.
Justification du projet
Le secteur céramique a réalisé des
investissements en technologie très
moderne, qui n’a rien à envier à celle
des pays industrialisés, pour produire
une panoplie de produits céramiques
diversifiés répondant aux standards
européens et à tous les besoins du
marché national marocain (haute et
moyenne gammes).
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement
en
matière
première peut se faire aussi bien de la
région que des régions avoisinante.
A titre d’illustration, des investisseurs
étrangers en bâtiment ont utilisé les
produits céramiques marocains dans
leurs projets.
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004
publié au Bulletin Officiel n° 5240 du
19 août 2004
Loi 13-89 du Commerce extérieur
promulguée par le dahir n° 1-91-201
du 9 novembre 1992
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
240
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_57
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
produits finis à base
marbre
de
de
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d'autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
7.000.000 MAD
Capacité de production
25.000 m² par an
Besoin en superficie
7.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
L’activité marbrière au Maroc concerne aussi
bien l’extraction des blocs que les réalisations
des produits finis à base de marbre.
En terme de production, le Maroc occupe une
place minime, il intervient seulement pour
0,37% de la production mondiale évaluée à 55
millions de tonnes.
Le nombre d’entreprises opérant dans le
secteur de la fabrication du marbre est de 141
unités en 2003, avec un effectif de 2320
personnes.
En 2003, la production a connu une légère
baisse, atteignant 384 Millions de Dhs.
Justification du projet
Le Maroc dispose d'abondants gisements de
marbre qui se caractérisent par un large
éventail de variétés, dont notamment :
travertins, onyx, marbre fossilisé, calcaire
serpentinisé vert, rose et noir, gris-rose;
marbre blanc laiteux, gris fleuri, noir veiné,
violet - mauresque, rouge.
Les investissements effectués par les unités de
production progressent de 20% depuis l’an
2000,
en
raison
des
opportunités
d’investissement
que
le
secteur
offre
notamment, en matière de valorisation du
produit (coupe, polissage, production de
carreaux etc..). La région peut bénéficier de ces
investissements, surtout que la demande
croissante de ce produit connaît un essor avec
le développement du secteur BTP.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
marbre, les gisements les plus exploités sont :
• Le Maroc central : Boujaâd, Aguelmous,
Khénifra et Kasbat-Tadla.
• La Méséta côtière : entre Casablanca et
Rabat.
• L’anti-Atals occidental et le Souss : province
de Tiznit.
La proximité géographique de la région de
gisements important permet une gestion
efficace
des
coûts
en
matière
d’approvisionnement.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
241
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_58
Intitulé du projet
Unité pour le travail
marbre
Secteur
Industrie
chimique
chimique
et
Données sur le secteur
de
para
Branche
Fabrication d'autres produits
minéraux non métalliques
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
3.000.000 MAD
Capacité de production
15.000 m² par an
Besoin en superficie
5.000 m²
La production nationale de marbre,
répartie entre plus de 146 unités de
production et générant quelque 2.500
emplois directs, est estimée à 448
millions de dirhams.
Le secteur de la pierre naturelle est
loin d'atteindre son apogée par
rapport à d'autres secteurs de la
production industrielle, et ce malgré le
potentiel de ressources marbrières
dont regorge le sous-sol du pays.
Justification du projet
Le secteur est dominé par des sociétés
de petite taille qui sont pour la plupart
familiales, héritant d'une tradition
d'artisans du marbre. Elles sont de ce
fait diversifiées et répondent ainsi aux
besoins d'un marché intérieur limité.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement
en
matière
première peut se faire aussi bien de la
région que des régions avoisinante.
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Local et Régional
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Bases légales :
- Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié
au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août
2004
- Loi 13-89 du Commerce extérieur
promulguée par le dahir n° 1-91-201 du 9
novembre 1992
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
242
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_59
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Traitement de blocs de
granite : Granit en carreaux
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
44.000.000 MAD
Capacité de production
15 000 m² par an
Besoin en superficie
8.500 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
Marché régional et national
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Le secteur du bâtiment et travaux
publics (BTP) constitue un maillon
essentiel et un vecteur de la
croissance économique. Il contribue
dans l’économie nationale à raison de
4,5% du PIB et occupe plus de
500.000 emplois, ce qui lui confère un
rôle non négligeable dans l’élaboration
de toute stratégie nationale de
développement économique et social.
Justification du projet
Le granit sert principalement comme
pierre
dimensionnelle
pour
la
production
de
panneaux
dimensionnés, de tranches et de tuiles
minces. Parmi les autres usages,
mentionnons la pierre à monument, la
pierre ornementale, la pierre de
bordures et la pierre d’aménagement
paysager.
Cette filière s'est considérablement
développée ces derniers temps, mais
elle reste toujours soumise à de fortes
contraintes dues aux évolutions de la
demande des consommateurs et aux
importations en provenance de pays
comme la Chine et l'Inde.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement
en
matière
première peut se faire aussi bien de la
région que des régions avoisinante.
Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au
Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
243
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_60
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Traitement de blocs de
granite : granit en dalles
Secteur
ICPC
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
44.400.000 MAD
Capacité de production
35 000 m² par an
Besoin en superficie
13.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004
publié au Bulletin Officiel n° 5240
du 19 août 2004
Le secteur du bâtiment et travaux
publics (BTP) constitue un maillon
essentiel et un vecteur de la
croissance économique. Il contribue
dans l’économie nationale à raison de
4,5% du PIB et occupe plus de
500.000 emplois, ce qui lui confère un
rôle non négligeable dans l’élaboration
de toute stratégie nationale de
développement économique et social.
Justification du projet
Le granit sert principalement comme
pierre
dimensionnelle
pour
la
production
de
panneaux
dimensionnés, de tranches et de tuiles
minces. Parmi les autres usages,
mentionnons la pierre à monument, la
pierre ornementale, la pierre de
bordures et la pierre d’aménagement
paysager.
Cette filière s'est considérablement
développée ces derniers temps, mais
elle reste toujours soumise à de fortes
contraintes dues aux évolutions de la
demande des consommateurs et aux
importations en provenance de pays
comme la Chine et l'Inde.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement
en
matière
première peut se faire aussi bien de la
région que des régions avoisinante
(Province de Khémisset, Province de
Ben Slimane…).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
244
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_61
Intitulé du projet
Unité de production de
pavés en pierre naturelle
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
100.000 m² par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
35 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront
encore des milliers d'années sans être altéré
par les atteintes du temps. Leur couleur restera
et leur aspect se bonifiera. Les pavés en pierres
malgré
leurs
origines,
ils
rendent
l'aménagement urbain et des espaces très
contemporains.
Un pavé est un bloc de forme cubique ou
parallélépipédique en pierre, en terre cuite ou
en béton. Il est utilisé pour le revêtement de la
chaussée.
Les pavés sont utilisés dans le domaine de la
construction pour le revêtement de sols ou de
chaussées par pavage.
Justification du projet
L’aménagement paysager de la région demande
l’usage de techniques et de matériaux
apportant la beauté et le design espéré.
Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique
assurant un tel objectif, vu la place dont il a au
niveau international en tant que
produit
assurant en même temps sécurité et beauté.
Sur un autre niveau le pavé est largement
utilisé dans les maisons.
Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent
un produit demandé, nécessitant la création
d’unités spécifiques à sa production et à son
installation.
Conseils techniques
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Les dimensions des pavés selon les normes
sont :
L'épaisseur
- 5cm pour les trottoirs et les patios seulement
- 6cm pour les trottoirs, les patios et les
entrées résidentielles
- 7cm pour les entrées résidentielles et les
patios
- 8cm et + pour les charges lourdes des
entrées commerciales et des villes
Les dimensions : Chaque manufacturier a ses
propres dimensions du même modèle de pavés.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
granit et autres pierres naturelles en signant
des contrats d’approvisionnement avec des
carrières de pierres.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
245
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_62
Intitulé du projet
Industrie de l’eucalyptus : pâte
à papier
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de papier et carton
Lieu d’implantation proposé
Commune : Sidi Yahia, Laksibia,
Ameur Sflia et Sidi Slimane
Coût global du projet
150 000 000 MAD
Capacité de production
40 000 tonnes par an
Besoin en superficie
60.000 m²
Besoin en RH
250 permanents
Marchés potentiels
Régional, National, Fabricants de
papier et carton
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Textes juridiques :
Dahir du 13 Octobre 1933 portant
réglementation
des
établissements
insalubres, incommodes ou dangereux, tel
qu’il a été modifié et complété.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Au Maroc, vers la fin des années 20, la région de
Sidi-Yahia du Gharb a connu les premières
plantations
d'eucalyptus.
Les
eucalyptus
couvrent actuellement une superficie de 192 526
hectares dont la majorité est concentrée autour
de la plaine du Gharb. Malgré sa superficie qui ne
présente que près de 5% de la surface
forestière, la production du bois d’eucalyptus
couvre environ 55% des besoins en bois rond et
7% des besoins en bois de feu. Elle offre
annuellement presque un million d'hommesjours de travail et une recette annuelle moyenne
d'environ 125 Millions de Dirhams.
Les différents produits de l'exploitation des
eucalyptus ont une importance économique
variable: depuis la production de la pâte
cellulosique dont la majeure partie est exportée
et rapporte des devises au pays, jusqu'au
charbon de bois d'un faible intérêt économique,
mais élément nécessaire du budget familial des
populations riveraines qui vivent encore au
dépend des forêts. Dans les conditions actuelles,
la production nationale en bois d’eucalyptus
dépend largement du développement des
industries de transformation.
Justification du projet
La production marocaine en pâte à papier se
limite à celles à fibres courtes impropre à la
fabrication du papier d'emballage. Elle est
utilisée surtout en mélange avec de la pâte à
fibres longues pour la fabrication du papier
d'impression et d'écriture. Le Maroc se voit
contraint d'importer de la pâte à fibres longues
pour la fabrication du papier d'impression et
d'écriture et du papier d'emballage. Les
principales usines utilisatrices de cette pâte sont
: l'usine papetière de Tétouan, la C.M.C.P. de
Kenitra, la Papeterie du Nord à Fès, SIPAT,
SAFRIPAC et Carton de Casablanca.
Conditions d’approvisionnement
Données sur le secteur
Les exportations de la pâte d'eucalyptus à
fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003,
destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la
Turquie (14%). La branche Industrie du
papier et carton emploie 7674 personnes
dans 95 établissements au niveau du Maroc.
La pâte à papier à fibres courtes d'eucalyptus,
produite par l'usine de Sidi-Yahia du Gharb
constitue le poste le plus important dans nos
exportations forestières. La quantité moyenne
exportée durant les douze dernières années est
d’environ 70 000 tonnes pour une valeur de 260
Millions de dirhams.
Les capacités de transformation industrielle
existantes peuvent être étendues de concert
avec une extension des superficies plantées à
base de cette espèce en profitant des progrès de
la sélection génétique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
246
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_63
Intitulé du projet
Unité de fabrication des
cahiers scolaires et de
fournitures de bureau à
base de papier
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de cahiers scolaires
et Papeterie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Yahia, Sidi Slimane, Ameur
Seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi
Coût global du projet
35.000.000 MAD
Capacité de production
16.000 tonnes de papier et de
carton transformés par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
300 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la disponibilité,
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
de la matière première à savoir la pâte à papier,
mais aussi une main d’œuvre abondante et une
proximité des grands marchés de distribution.
Ce projet constitue donc une bonne opportunité
d’investissement à saisir.
Conseils techniques
Cette unité se doit d’être dotée des outils de
production ultra modernes avec un contrôle
informatique des machines à cahiers complètement
automatisées.
Prévoir une plate forme logistique avec une capacité
de stockage - avec un système de rayonnage - de
6000 palettes (environ 3.500 tonnes).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
247
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_64
Intitulé du projet
Unité moyenne de
traitement et récupération
des déchets papier
Secteur
ICPC
Branche
Récupération et traitement des
déchets industriels non ferreux
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahyia,
Sidi
Slimane,
Sidi
taibi,
oulad
Slama, Ameur Seflia.
Coût global du projet
1.500.000 DH
Capacité de production
75 tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
20 Personnes
Marchés potentiels
Local et Régional
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur du traitement des déchets industriels est
un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par
une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des
filières de traitement des produits chimiques et
industriels permet de mettre en place une logistique
adaptée à chaque déchet et d'en assurer le
traitement adéquat. Traçabilité et transparence
doivent être garanties pour chaque prestation.
En effet, l’industrie marocaine produit environ 1
million de tonnes par an de déchets industriels dont
120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les
secteurs hospitaliers produisent environ 35000
tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ
12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces
déchets sont très souvent éliminés dans des
décharges sauvages ou encore dans des points noirs
et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni
contrôle, ce qui engendre de graves conséquences
aussi bien pour la santé publique et l’environnement
que pour l’avenir des activités socio-économiques.
Justification du projet
Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une
augmentation de la quantité de ses déchets qui ne
cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine
non seulement la croissance régulière du nombre
d’habitants, mais également l’amélioration du niveau
de vie, et concerne des déchets de nature très
variée.
Les choix industriels de la région lui imposent de se
doter d’unité de traitement des déchets de toutes
sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème,
et de sa vocation agricole.
Dans ce sens la mise en place d’unités de traitement
des déchets de papier est nécessaire.
Conseils techniques
La préparation s’effectue généralement en trois
phases principales :
Le pulpage et le défibrage : Les produits papier
cartons usagés sont d’abord placés dans un pulpeur.
Ce brassage dans de l’eau permet de rompre les
liaisons entre les fibres de cellulose et de les séparer
des produits résiduels qu’ils pourraient contenir.
L’épuration : elle sépare les fibres des éléments qui
leur sont associés : colles, vernis, agrafes, etc.
Le désencrage : Il est nécessaire simplement pour
la fabrication de pâte blanche, et le procédé est
essentiellement utilisé dans le cas du recyclage des
journaux-magazines.
Les fibres rejoignent alors le procédé habituel de
fabrication du papier-carton. Elles sont déposées sur
une toile en mouvement où elles s’égouttent pour
former une feuille qui sera pressée et séchée sur des
cylindres chauffés à la vapeur. Une nouvelle feuille
de papier ou de carton est ainsi fabriquée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
248
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Les déchets à traiter sont les produits de
l’industrie de la région, il s'agit :
des chutes de transformation
(récupérées
auprès
des
imprimeries et des fabricants
d'emballages) ;
des
emballages
en
papier
carton ;
des papiers de bureau ;
des journaux et des magazines.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
249
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_65
Intitulé du projet
Unité de récupération et
traitement
des
déchets
papier-carton
Secteur
ICPC
Branche
Récupération et traitement des
déchets industriels non ferreux
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Kacem,
Sidi
Yahyia,
Sidi
Slimane,
Sidi
taibi,
oulad
Slama, Ameur Seflia.
Coût global du projet
6.500.000 MAD
Capacité de production
300 tonnes par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
45 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur du traitement des déchets industriels est
un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par
une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des
filières de traitement des produits chimiques et
industriels permet de mettre en place une logistique
adaptée à chaque déchet et d'en assurer le
traitement adéquat. Traçabilité et transparence
doivent être garanties pour chaque prestation.
En effet, l’industrie marocaine produit environ 1
million de tonnes par an de déchets industriels dont
120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les
secteurs hospitaliers produisent environ 35000
tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ
12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces
déchets sont très souvent éliminés dans des
décharges sauvages ou encore dans des points noirs
et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni
contrôle, ce qui engendre de graves conséquences
aussi bien pour la santé publique et l’environnement
que pour l’avenir des activités socio-économiques.
Justification du projet
Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une
augmentation de la quantité de ses déchets qui ne
cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine
non seulement la croissance régulière du nombre
d’habitants, mais également l’amélioration du niveau
de vie, et concerne des déchets de nature très
variée.
Les choix industriels de la région lui imposent de se
doter d’unité de traitement des déchets de toutes
sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème,
et de sa vocation agricole.
Dans ce sens la mise en place d’unités de traitement
des déchets de papier est nécessaire.
Conseils techniques
La préparation s’effectue généralement en trois
phases principales :
Le pulpage et le défibrage : Les produits papiercartons usagés sont d’abord placés dans un pulpeur.
Ce brassage dans de l’eau permet de rompre les
liaisons entre les fibres de cellulose et de les séparer
des produits résiduels qu’ils pourraient contenir.
L’épuration : elle sépare les fibres des éléments qui
leur sont associés : colles, vernis, agrafes, etc.
Le désencrage : Il est nécessaire simplement pour
la fabrication de pâte blanche, et le procédé est
essentiellement utilisé dans le cas du recyclage des
journaux-magazines.
Les fibres rejoignent alors le procédé habituel de
fabrication du papier-carton. Elles sont déposées sur
une toile en mouvement où elles s’égouttent pour
former une feuille qui sera pressée et séchée sur des
cylindres chauffés à la vapeur. Une nouvelle feuille
de papier ou de carton est ainsi fabriquée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
250
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Les déchets à traiter sont les produits de
l’industrie de la région, il s'agit :
des chutes de transformation
(récupérées
auprès
des
imprimeries et des fabricants
d'emballages) ;
des
emballages
en
papier
carton ;
des papiers de bureau ;
des journaux et des magazines.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
251
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
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Fiche de projet n° S_ICPC_66
Intitulé du projet
Unité de fabrication du
carton ondulé
Secteur
ICPC
Branche
Papeterie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Yahya, Sidi Slimane, Ameur
seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi
Coût global du projet
250.000.000 MAD
Capacité de production
15.000 tonnes par an
Besoin en superficie
45.000 m²
Besoin en RH
120 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la disponibilité,
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
de la matière première à savoir la pâte à papier et
carton, mais aussi une main d’œuvre abondante et
une proximité des grands marchés de distribution.
Le carton ondulé est un matériau biodégradable et
totalement recyclable, donc non polluant pour
l’environnement. L’emballage en carton ondulé est
entrain de se substituer aux emballages à base
d’autres matériaux notamment le plastique. En
outre, compte-tenu de la croissance industrielle et
agricole et des exigences normatives en matière
d’emballage, les besoins du marché local connaîtront
une évolution accélérée estimée à 10 % par an.
Actuellement, la consommation locale en carton
ondulé dépasse les 4 Kg par habitant. Soit un
marché de plus de 140.000 tonnes par an réparti
entre 4 grandes unités.
Ce projet constitue donc une excellente opportunité
d’investissement à saisir.
Conseils techniques
La fabrication du carton ondulé consiste à assembler
3
papiers
:
Un
papier
cannelure,
ondulé
mécaniquement, une couverture extérieure et une
couverture intérieure.
Il existe 4 grandes sortes de carton ondulé :
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
252
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Le simple face est constitué d'une
cannelure collée à une seule couverture.
Le double face est constitué d'une
cannelure collée à une couverture extérieure
et à une couverture intérieure.
Le double double est constitué d'un carton
double face collé à un simple face. Il compte
donc 2 cannelures et 3 couvertures (une
extérieure,
une
intermédiaire
et
une
intérieure).
Le carton ondulé triple cannelure est
constitué de 3 cannelures.
L'onduleuse est la machine qui fabrique le
carton ondulé en thermoformant un papier
cannelure qu'elle colle dans le groupe simple
face à une couverture (une feuille de papier
plane). Le carton simple face ainsi obtenu
collé à une couverture extérieure donne un
carton
double
face.
On fabrique du carton " double double " (2
cannelures, 3 couvertures) en mettant en
action 2 groupes simples faces en série.
La nappe de carton est acheminée vers la
table chauffante qui va sécher la colle et
éliminer l'humidité. La plaque rigidifiée
atteint ensuite la partie sèche de l'onduleuse
: à cette étape la plaque est coupée
longitudinalement, transversalement puis
palettisée.
La plaque de carton ainsi mise à format est
acheminée par transbordeurs aux quais
d'enlèvement
(pour
livraisons
à
des
transformateurs) ou transformée sur place.
Les machines mises en œuvres sont des
combinés,
également
appelés
slotters,
servant à fabriquer des caisses américaines,
également appelées caisses à rabat. En
revanche, on utilise des presses à découper
(à plat ou rotatives) pour produire des
packagings, des calages, des présentoirs… de
forme de découpe différente des caisses à
rabat.
La découpe d'emballage sur presses peut
nécessiter un passage ultérieur en plieuse
colleuse. Cet équipement à pour but de
mettre en forme (pliage) et de coller les
emballages découpés sur une presse qui,
contrairement au combiné, n'intègre pas
cette fonction " pliage collage ".
Le passage sur plieuse colleuse n'est pas
systématique : certains emballages manuels
comme
certains
systèmes
de
conditionnement automatiques incluant cette
fonction collage, ne nécessitent pas ce
passage machine.
Collés ou pas, les emballages sont palettisés
à plat.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conditions d’approvisionnement
Dans les papiers utilisés pour la fabrication du carton
ondulé, 70 % proviennent du Maroc. La production
marocaine de papiers pour le carton ondulé utilise
près de 70 % de papiers recyclés. Par ailleurs, les
emballages en carton ondulé usagés sont récupérés
à près de 60 %. Cependant, il faut assurer un
approvisionnement constant en :
Bobines de papier (papier pour couverture et
papier pour cannelure).
Amidon de maïs pour la fabrication de la
colle utilisée sur l’onduleuse.
Encre à base d’eau pour imprimer le carton
ondulé selon le procédé “flexographique“.
Ces matières ne présentent aucun risque ni
pour l’environnement ni pour la santé du
consommateur, elles sont biodégradables.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
253
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_67
Intitulé du projet
Unité d’impression numérique,
gravure et flashage
Secteur
ICPC
Branche
Imprimerie et Papeterie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Besoin en superficie
750 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la forte demande
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
mais aussi au niveau des régions à forte expansion
économique. Ceci constitue une proximité des grands
marchés pour un tel projet.
Ce projet proposera l’impression de flyers, de flyers
pelliculés, brochures, dépliants d'impression en
numérique et offset en 90g, 135g, 250g ou 350g, de
cartes de visite, cartes commerciales pelliculées,
brochures, plaquettes, dépliants, papiers entête,
affiches, etc.
Conseils techniques
Disposer
de
machines
performantes
pour
l'impression numérique en grand format.
Disposer
de tous les logiciels nécessaires à
l'impression de vos documents
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
254
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_68
Intitulé du projet
Unité d’édition de
scolaires
livres
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de cahiers scolaires
et Papeterie
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kenitra,
Sidi
Yahia, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
750.000 unités par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
60 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la disponibilité,
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
de la matière première à savoir la pâte à papier,
mais aussi une main d’œuvre abondante et une
proximité des grands marchés de distribution.
Ce projet constitue donc une bonne opportunité
d’investissement à saisir.
Conseils techniques
Cette unité se doit d’être dotée des outils de
production ultra modernes avec un contrôle
informatique des machines à cahiers complètement
automatisées.
Prévoir une plate forme logistique avec une capacité
de stockage - avec un système de rayonnage - de
2000 palettes (environ 1.500 tonnes).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
255
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_69
Intitulé du projet
Imprimerie
Secteur
ICPC
Branche
Industrie papier et carton
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
1.000 m²
Besoin en RH
30 Permanents
Marchés potentiels
Régional, National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la forte demande
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
mais aussi au niveau des régions à forte expansion
économique. Ceci constitue une proximité des grands
marchés pour un tel projet.
L'imprimerie est un ensemble de technologies
permettant de reproduire des écrits et des
illustrations en grande quantité sur des supports
plans, généralement du papier, et pouvoir ainsi les
distribuer à grande échelle. Les techniques vont de la
composition des textes au façonnage (reliure,
pliure…) en passant par l'impression et la relecture.
Conseils techniques
Il existe deux types de procédés d’impression :
Les
procédés
traditionnels
(avec
forme
imprimante) :
L'offset
L'héliogravure
La flexographie
La sérigraphie
La tampographie
Le stencil ou cyclostyle
Les
procédés
numériques
(sans
forme
imprimante) :
Jet d'encre
Électrophotographie ou xérographie
Impression thermique
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
256
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_70
Intitulé du projet
Fabrication
de
celloderme
plaques
Secteur
Industries Chimiques &
Parachimiques
Branche
L’industrie du papier et carton
Lieu d’implantation proposé
Commune: Sidi Yahia El Gharb
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
100 T par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
15 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La branche Industrie du papier et carton
emploie
7674
personnes
dans
95
établissements au niveau du Maroc.
L'industrie de la fabrication du papier et
carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une
part au marché local et d'autre part à
l'exportation des produits agricoles et agroalimentaires. Les pays d'Europe et du
Maghreb
constituent
les
principaux
débouchés du secteur.
Justification du projet
Le Celloderme est un carton dur haut
densité
fabriqué
en
feuilles
par
enroulement de couches à l'état humide
fortement pressées puis séchées dans un
four.
Le Celloderme est un matériau rigide, non
cassant, il a une bonne aptitude au pliage
et peut être thermo formable.
Le celloderme est utilisé comme Input en
plusieurs
secteurs,
entre
autres :
Chaussures, Automobile, Ameublement,
Maroquinerie, Textile, Emballage industriel,
Papeterie…
Marchés potentiels
Le Marché régional et national
Conditions d’approvisionnement
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
La
Matières
Premières
utilisées
est
principalement les fibres cellulosiques de
récupération.
La région du GCBH dispose de potentialités
importantes en la matière, qui assurent à
cette activité une maîtrise des coûts pour
une
meilleure
compétitivité
et
une
diversification de la production.
Il faut assurer un approvisionnement
constant en la matière de bonne qualité.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
257
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_71
Intitulé du projet
Unité de production artisanale
des huiles essentielles
Secteur
Industrie chimique et para
chimique
Branche
Fabrication d'huiles essentielles
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Ensembles
des
communes de la Région
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur des industries chimiques et para
chimiques occupe le second rang dans le
paysage industriel de la région GCBH.
La production industrielle de ce secteur en
2005 a atteint 2,27 Milliards MAD en réalisant
une hausse de 2,72% contre 3,06% en 2004.
Cette situation est principalement due aux
fluctuations observées dans quatre branches.
L’industrie du papier et du carton a baissé de
9%, la fabrication d’autres produits minéraux
non métalliques a augmenté de 16%,
l’industrie du caoutchouc et des plastiques a
enregistré un essor de 223% et la
cokéfaction, raffinage et industries nucléaires
a connu une hausse de 73%.
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Justification du projet
Capacité de l’unité
Le Maroc possède un fort potentiel en
agriculture
biologique.
La
filière
huile
essentielle représente une valeur non
négligeable pour l'économie marocaine. Le
Maroc exporte en moyenne 970 tonnes des
huiles essentielles et d'extraits divers pour
une valeur de 150 millions de Dirhams. La
filière est male organisée pour confronter la
concurrence internationale. L'encadrement
technique et la connaissance des opportunités
du marché national et international sont
indispensables. L'usage de la majorité des
plantes est encore artisanal ou traditionnel.
Les huiles essentielles sont essentiellement
destinées à l'export et à des clients de plus en
plus exigeants sur la qualité qui doit répondre
aux normes et standards internationaux. Les
secteurs
suivants
sont
les
principaux
consommateurs des huiles essentielles :
parfumerie
technique
(savons,
détergents) ;
alimentation ;
cosmétique ;
médecine
(médecine
douce
et
pharmaceutique).
100 litres par an
Besoin en superficie
1000 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
Export 90% National 10%
Informations utiles
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Conditions d’approvisionnement
La proximité de la matière première ;
45 974 ha de forêts naturelles ;
150 ha de la réserve biologique de Sidi
Boughaba ;
possibilité de domiciliation des plantes au
niveau de terrains non valorisés ;
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
258
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
un marché à haut potentiel de
développement ;
proximité
des
instituts
de
recherches et développement
proximité du marché européen et
du
Maghreb
et
opportunités
d'exportation
vers
les
pays
européens, vers les Etats Unies
d'Amérique et vers les pays du
Maghreb et du moyen orient ;
opportunité du marché local : les
industries
des
détergents,
pharmaceutiques,
consommation
particulière et touristique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
259
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_72
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
et
impression
d’étiquette
adhésives
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de pate a papier, de
papier et de carton
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kenitra, Sidi Taibi
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
10.000.000 m² par an
Besoin en superficie
5.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National et international
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la disponibilité,
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
de la matière première à savoir la pâte à papier,
mais aussi une main d’œuvre abondante et une
proximité des grands marchés de distribution.
Ce projet aura pour objet l’impression et
manipulation d’étiquettes sur matériaux à support
adhésif. Ces étiquettes seront destinées à tout type
de production locale pour l’exportation ou de
production à l’étranger où la qualité du produit
conseille l’utilisation d’étiquettes qui mettent en
valeur
cette
qualité,
c’est-à-dire,
l’utilisation
d’étiquettes auto adhésives en couleurs.
Conseils techniques
Cette unité devra s’équiper d’imprimantes 6 couleurs
(200 m/m laize), d’imprimantes typographiques 7
couleurs 230 mm2, d’imprimante 7 couleurs 280
m/m laize, d’imprimante 8 couleurs 280 m/m laize,
d’outils d’estampage et de gaufrage, d’une machine
d’impression estampage en continu, d’outils de
coupe, de coupe au format et d’inspection.
S’équiper, également, de layout des machines
adapté, d’outils de standardisation des produits, de
logiciels GPAO (Gestion de la production Assistée par
Ordinateur) et CAO (Conception Assistée par
Ordinateur).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
260
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_73
Intitulé du projet
Unité de nettoyage, tri,
classement et mise en bales
de vieux papier et carton
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de pate a papier, de
papier et de carton
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kenitra, Sidi Taibi,
Sidi Slimane, Sidi Kacem, Sidi
Yahia
Coût global du projet
2.500.000 MAD
Capacité de production
285.000 tonnes par an
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
50 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674
personnes. Elle est représentée en trois sousbranches :
Pâte à papier: Les exportations de la pâte
d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en
2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%),
la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie
(14%).
Papier et carton: L'industrie de la fabrication du
papier et carton s'est développée à partir des
industries de l'emballage, destinée d'une part au
marché local et d'autre part à l'exportation des
produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays
d'Europe et du Maghreb constituent les principaux
débouchés du secteur.
Produits de la transformation du Papier et Carton :
L'industrie de transformation du papier et carton au
Maroc se compose des activités de fabrication des
articles en papier tels que les fournitures scolaires,
les enveloppes, les produits hygiéniques comme les
couches bébés, les mouchoirs et des articles
spéciaux comme les papiers carbone, les pelures.
Les exportations de cette industrie sont destinées
surtout à l'Europe pour les produits d'emballage
(caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et
l'Afrique pour différents articles en papier.
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification par la disponibilité,
au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen,
de la matière première à savoir la pâte à papier,
mais aussi une main d’œuvre abondante et une
proximité des grands marchés de distribution.
Ce projet aura pour objet la récupération de vieux
papier et carton dans le but de les préparer à
réutilisation pour la fabrication de pâte à papier.
Conseils techniques
Cette unité devra s’équiper des principaux
équipements suivants : Convoyeur 122 cm ; Finger
screen ; Séparateur parties ferriques début de ligne ;
Séparateur parties non ferriques « Eddie curent
separator » ; Déchiqueteuse ; Machine pour mise en
balles ; Rayonnages lourds ; Rayonnages légers ;
Armoires de rangement ; Bureaux ; Armoire de
vestiaire ; Chaises bureaux ; Transpalette manuel ;
Chariot élévateur ; Poste informatique réseau +
périphériques
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
261
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_74
Intitulé du projet
Unité de saponification
froid
à
Secteur
ICPC
Branche
Cosmétique,
parfumerie
huiles essentielles
et
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Ouezzane
Coût global du projet
500.000 MAD
Capacité de production
750.000 unités
Besoin en superficie
300 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Les industries chimiques et para chimiques occupent
une place importante dans l'industrie marocaine.
Avec 2168 établissements (32% de la population des
établissements
industriels),
ces
industries
contribuent à 32% de la production industrielle, à
33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif
total et drainent 41% des investissements.
Les unités de la branche cosmétique se répartissent
entre les savonneries, les producteurs de détergents
et les sociétés de parfums et cosmétiques.
Au nombre de 41entreprises, les sociétés de la
parfumerie et de la cosmétique emploient 2700
personnes et ont exporté pour 5,2 millions en 2003.
La production des cosmétiques et parfums est très
diversifiée et comporte une gamme de produits
assez étendue.
Justification du projet
Le savon fait main est bien plus doux que le savon
fabriqué industriellement. En effet, lors de la réaction
de saponification, les graisses et la soude se
combinent pour donner du savon et de la glycérine.
Dans les procédés industriels, la glycérine, un
produit hydratant ayant de la valeur par lui-même,
est extrait du savon et vendue séparément. Dans le
savon fait main, la glycérine reste présente et le
rend plus doux.
Conseils techniques
Le savon (au sens « sels d'acide gras ») est un
produit biodégradable. Par contre, les additifs
chimiques (de couleur, texture et parfum) que
contiennent la plupart des pains de savons du
commerce ne le sont pas.
Le procédé dit de saponification à froid est un très
faible consommateur d’énergie.
La saponification à froid conserve les propriétés
intrinsèques des huiles et celles de la glycérine.
L'énergie principale employée est l'huile de coude de
la savonnière qui saponifie au fouet à main.
Le séchage-affinage de plusieurs semaines se fait lui
aussi naturellement. Le découpage et l'étiquetage
sont manuels. L’emballage utilisé est recyclable.
Conditions d’approvisionnement
Le savon fabriqué à froid, peut être fabriqué à base
de l'huile de noix de coco, huile de palme, huile
d'olive, aussi l'huile d'argan qui lui donne un pouvoir
réhydratant, restructurant.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
262
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_75
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L'escargot fait aujourd'hui l'objet
Intitulé du projet
Crème à base d’extraits
d’escargots
Secteur
Industrie
chimique
Chimique
et
Para-
Branche
Parapharmacie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
400.000 l par an
Besoin en superficie
2.000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Export 80%, National 20%
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
d'un
commerce intense. Il est très apprécié
dans l'alimentation et constitue une source
importante de protéine animale et rentre
également dans la pharmacopée où il est
utilisé entre autre pour le traitement de
l'asthme et l'hémorroïde. En outre, sa
coquille sert d'emballage pour les antipoisons et les antivenimeux et est aussi
utilisée pour amender les sols acides et
dans l'alimentation de la volaille.
De
nos
jours,
l'expansion
de
l'aménagement des terres hydro morphes
qui sont leurs habitats de prédilection et le
prélèvement intense occasionnent une
raréfaction de l'escargot et menacent
dangereusement la survie de l'espèce.
Justification du projet
La région offre les conditions propices
réalisation d’un tel projet vu
écosystème adapté et la disponibilité
matériaux nécessaires à l’élevage
escargots.
à la
son
des
des
Le produit est demandé au niveau
international, en l’occurrence en Europe.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement
auprès d’éleveurs régionaux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
constant
263
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_76
Intitulé du projet
Fabrication
de
produits
dérivés du Ghassoul
Secteur
ICPC
Branche
Cosmétique,
parfumerie
huiles essentielles
et
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
50 tonnes par an
Besoin en superficie
1500 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Les industries chimiques et para chimiques occupent
une place importante dans l'industrie marocaine.
Avec 2168 établissements (32% de la population des
établissements
industriels),
ces
industries
contribuent à 32% de la production industrielle, à
33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif
total et drainent 41% des investissements.
Les unités de la branche cosmétique se répartissent
entre les savonneries, les producteurs de détergents
et les sociétés de parfums et cosmétiques.
Au nombre de 41entreprises, les sociétés de la
parfumerie et de la cosmétique emploient 2700
personnes et ont exporté pour 5,2 millions en 2003.
La production des cosmétiques et parfums est très
diversifiée et comporte une gamme de produits
assez étendue.
Le Ghassoul est une roche de formation sédimentaire
d’âge tertiaire et d’origine lacustre. On attribue ce
gisement au Jurassique. Son origine géologique
provient de l’altération de roches volcaniques
instables. Le nom de cette roche provient de la
toponymie originelle du gisement du Djebel Ghassoul
en exploitation au Maroc, situé à une vingtaine de
kilomètres au nord est de El-Ksabi.
Le Ghassoul contient de nombreux minéraux comme
le magnésium, le fer, le sodium, le zinc, le
phosphore et le potassium ainsi que des
provitamines, autant de composants aux propriétés
extrêmement bénéfiques pour la peau et la
chevelure. Le Ghassoul possède une teneur élevée
en
minéraux
aux
propriétés
hydrophiles
exceptionnelles qui permettent de capturer et
éliminer les impuretés.
Justification du projet
L’engouement des consommateurs pour les produits
du terroir naturels et biologiques constitue une
excellente opportunité à saisir.
Différents produits dérivés du Ghassoul sont
demandés sur le marché tel que des shampoings,
des gels de bains, des savons et des crèmes contre
l’acné.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en motte de
Ghassoul depuis les gisements au nord-est du Maroc.
Ces gisements qui s’étendent sur une superficie de
près de 27.000 ha produisent environ 2700 tonnes
en moyenne par an de Ghassoul et assurent la
totalité de la consommation nationale.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
264
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_77
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’emballage en verre
Secteur
ICPC
Branche
Industrie du verre
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
20.000.000 unités par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les industries chimiques et para chimiques
occupent une place importante dans l'industrie
marocaine. Avec 2168 établissements (32% de
la population des établissements industriels),
ces industries contribuent à 32% de la
production industrielle, à 33% du PIB industriel
et emploient 23% de l'effectif total et drainent
41% des investissements. Les établissements
industriels opérant dans ce secteur ont réalisé
en 2000 des performances peu satisfaisantes. A
part les exportations et l'emploi qui ont
régressé respectivement de 1% chacun, la
production, l'investissement et la valeur ajoutée
ont progressé respectivement de 1%, 13% et
3%.
Le travail du verre est un métier très vieux. Le
verre évolue sans cesse pour se prêter aux
applications les plus nouvelles et concurrencer
les autres matériaux (céramique, fer blanc,
papier... et surtout plastique) dans les
domaines les plus divers : verre plat (vitres,
miroiterie pour le bâtiment et l'automobile),
verre
creux
(bouteilles,
gobeleterie,
flaconnage... pour la pharmacie, la parfumerie
et l'alimentation), verre technique (tubes de
TV, optique, verres spéciaux pour l'aérospatiale
et même la chirurgie au laser), fibres de verre
(isolation,
plastique
armé
textile,
ameublement).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification dans le fait que
les consommateurs préfèrent toujours les
emballages en verre creux. En effet, les
consommateurs savent que le verre est un
emballage qui constitue un label de qualité
supérieur dans le domaine alimentaire. Ils font
confiance au verre et à ses qualités. Ils
préfèrent son esthétisme sa présentation et les
valeurs
d'authenticité
qu'il
dégage.
Sa
naturalité lui permet d'être plus sain que tous
les autres emballages. Les consommateurs sont
aussi très sensibles au fait que le recyclage du
verre permet de préserver l'environnement.
Ce projet proposera une large gamme
d’emballages en verre tel que : Pots, bocaux
(conserves sous verre), petits pots bébé,
flacons (dont parfums), bouteilles et tout autre
emballage en verre ayant contenu des solides
ou des liquides.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
265
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Conseils techniques
Les fabrications de masse sont obtenues
dans de grands fours à bassin
fonctionnant en continu, 24 heures sur
24, pendant une durée de 10 à 12 ans.
La capacité de production d’un four peut
atteindre 450 à 480 tonnes par jour. Les
matières premières : silice, soude,
calcaire,
affinants,
colorants,
sont
introduites en continu dans le four et
portées 1 550° C. A sa sortie, la pâte en
fusion dans le four s’écoule dans des
canaux chauffés qui la maintiennent à
haute température. Une goutte de verre
en fusion est coupée à l’extrémité des
canaux, dont la température et la forme,
varient selon l’emballage à fabriquer.
Cette goutte de verre, la paraison, passe
successivement
dans
un
moule
ébaucheur puis dans un moule finisseur
où elle est soufflée pour former
l’emballage. Le verre doit être refroidi
dans des conditions spéciales pour éviter
les écarts de température qui rendraient
l'emballage fragile : c'est le "recuit ".
Les emballages sont ensuite soumis à
des traitements pour renforcer leurs
qualités.
Un
contrôle
qualité,
extrêmement
rigoureux,
s’opère
à
chaque stade de la fabrication. Les
verriers répondent ainsi - et souvent
devancent - les exigences croissantes de
leurs clients, eux-mêmes soumis aux
nouvelles exigences des consommateurs
en matière de sécurité alimentaire.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en sable, calcaire, soude, divers entrent
dans la composition du verre. Ces
composants peuvent être remplacés par
du calcin - verre récupéré après
utilisation et broyé. Les matières
premières sont mélangées dans l’atelier
de composition, selon des proportions
soigneusement définies. Le mélange est
ensuite déversé dans le four.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
266
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° FP_S_ICPC_78
Intitulé du projet
Unité de fabrication de
verre
pour
l’industrie
automobile
Secteur
ICPC
Branche
Industrie du verre
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
150.000 unités par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
National et Export
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les industries chimiques et para chimiques
occupent une place importante dans l'industrie
marocaine. Avec 2168 établissements (32% de
la population des établissements industriels),
ces industries contribuent à 32% de la
production industrielle, à 33% du PIB industriel
et emploient 23% de l'effectif total et drainent
41% des investissements. Les établissements
industriels opérant dans ce secteur ont réalisé
en 2000 des performances peu satisfaisantes. A
part les exportations et l'emploi qui ont
régressé respectivement de 1% chacun, la
production, l'investissement et la valeur ajoutée
ont progressé respectivement de 1%, 13% et
3%.
Le travail du verre est un métier très vieux. Le
verre évolue sans cesse pour se prêter aux
applications les plus nouvelles et concurrencer
les autres matériaux (céramique, fer blanc,
papier... et surtout plastique) dans les
domaines les plus divers : verre plat (vitres,
miroiterie pour le bâtiment et l'automobile),
verre
creux
(bouteilles,
gobeleterie,
flaconnage... pour la pharmacie, la parfumerie
et l'alimentation), verre technique (tubes de
TV, optique, verres spéciaux pour l'aérospatiale
et même la chirurgie au laser), fibres de verre
(isolation,
plastique
armé
textile,
ameublement).
Justification du projet
Ce projet trouve sa justification dans le fait que
les consommateurs préfèrent toujours les
emballages en verre creux. En effet, les
consommateurs savent que le verre est un
emballage qui constitue un label de qualité
supérieur dans le domaine alimentaire. Ils font
confiance au verre et à ses qualités. Ils
préfèrent son esthétisme sa présentation et les
valeurs
d'authenticité
qu'il
dégage.
Sa
naturalité lui permet d'être plus sain que tous
les autres emballages. Les consommateurs sont
aussi très sensibles au fait que le recyclage du
verre permet de préserver l'environnement.
Ce projet proposera une large gamme de vitres
latérales, lunettes arrière, déflecteurs et pare-brise.
Mais aussi des pare-brises panoramiques, vitres
latérales de grandes dimensions pour les véhicules
industriels et utilitaires.
Ce projet devra également assurer la réalisation de
lunettes arrière, bombées et trempées, qui sont
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
267
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
dotées de réseaux chauffants, conformément
aux exigences des grands constructeurs.
Conseils techniques
Les fabrications de masse sont obtenues
dans de grands fours à bassin
fonctionnant en continu, 24 heures sur
24, pendant une durée de 10 à 12 ans.
La capacité de production d’un four peut
atteindre 450 à 480 tonnes par jour. Les
matières premières : silice, soude,
calcaire,
affinants,
colorants,
sont
introduites en continu dans le four et
portées 1 550° C. A sa sortie, la pâte en
fusion dans le four s’écoule dans des
canaux chauffés qui la maintiennent à
haute température.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant
en sable, calcaire, soude, divers entrent
dans la composition du verre. Ces
composants peuvent être remplacés par
du calcin - verre récupéré après
utilisation et broyé. Les matières
premières sont mélangées dans l’atelier
de composition, selon des proportions
soigneusement définies. Le mélange est
ensuite déversé dans le four.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
268
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_79
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pièces
en
caoutchouc
moulé
travaillées à partir de matières
premières naturelles ou de
synthèse comme les silicones,
les nitriles…
Secteur
I.C.P.C
Branche
Industrie du caoutchouc et du
plastique.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
20.000.000 MAD
Capacité de production
Selon les commandes
Besoin en superficie
15.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
National et Exportation
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au Maroc
est l’une des industries les plus importante et
les plus développée du continent africain.
Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de
6,5% à la formation du PIB, et un volume de
production de 83,4 milliards de dirhams.
Il draine près de 1,6% de la population active
urbaine et a enregistré en 2005 une
augmentation de 5,5% du nombre d’emplois.
Ainsi, à fin 2005, le secteur employait près de
102.456 personnes;
Selon les statistiques du Ministère de
l’Industrie, le secteur compte 2.230 sociétés
opérant dans l’industrie chimique et para
chimique réalisant un chiffre d’affaires global de
90,6 milliards de dirhams.
La fabrication des Pneumatiques et chambres à
air est une activité exercée principalement par
des filiales de grandes firmes multinationales
qui travaillent aussi bien pour le marché local
qu'à l'export. Les exportations ont été de
l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en
2003.
Les principales destinations à l’export de cette
branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande
Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la
Tunisie 6%,…
Justification du projet
Selon les besoins identifiés, il existe une forte
demande latente pour des produits différents à
base de caoutchouc et de silicone. Ce sont
essentiellement l’injection et conditionnement
sous flux laminaire, joints et garnitures
d'étanchéité,
capuchons,
membranes,
manchons,
bouchons,
pièces
d'isolation
électrique et pour application médicale.
En maîtrisant les techniques de fabrication les
plus innovantes, on peut répondre aussi aux
exigences de secteurs d’activité de pointe tels
que
l’automobile,
la
bureautique,
l’informatique, l’aéronautique, le bâtiment,
l’agroalimentaire et l’électromécanique.
Conseils techniques
La réglementation du secteur de la chimie et de
la parachimie porte essentiellement sur le volet
sécuritaire des établissements concernés et sur
la protection de l’environnement. Au niveau
national, une panoplie de textes législatifs
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
269
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
cadre le secteur. Et ce à côté d’un
ensemble d’exigences internationales à
respecter.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du
caoutchouc réalise, à partir de matières
brutes, des mélanges crus qui seront
dans un second temps mis en forme et
vulcanisés. De ce fait, elle utilise de
nombreuses matières premières : des
élastomères bruts, mais aussi des
charges (noirs de carbone, silice...), des
huiles, du soufre, du zinc...
Cette industrie est également une
grosse consommatrice de métal dans le
cadre de la fabrication de pièces
adhérisées caoutchouc / métal, et de
textiles (rayonne, aramide, polyester,
polyamide...)
pour
le
renfort
de
certaines
pièces
en
caoutchouc
(pneumatiques,
tuyaux,
bandes
transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
270
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Fiche de projet n°S_ICPC_80
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Besoin en superficie
20.000 m²
L’industrie chimique et para chimique au Maroc est
l’une des industries les plus importante et les plus
développée
du
continent
africain.
Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à
la formation du PIB, et un volume de production de
83,4 milliards de dirhams.
Il draine près de 1,6% de la population active
urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le
secteur employait près de 102.456 personnes;
Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le
secteur compte 2.230 sociétés opérant dans
l’industrie chimique et para chimique réalisant un
chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams.
La fabrication des Pneumatiques et chambres à air
est une activité exercée principalement par des
filiales de grandes firmes multinationales qui
travaillent aussi bien pour le marché local qu'à
l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5
millions de dollars américains en 2003.
Les principales destinations à l’export de cette
branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne
11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…
L’industrie du pneu rechapé représente plus de 2
milliards de dollars par an dans le monde.
Besoin en RH
50 personnes
Justification du projet
Intitulé du projet
Unité de fabrication de pneus
rechapés
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication de pneumatique
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kenitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
40.000 pneus par an
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Cette industrie est boostée par le développement
important drainé par la croissance du parc
automobile
marocain
et
par
les
demandes
extérieures
Cette branche, complémentaire avec la fabrication
des équipements automobiles, constitue une priorité
pour la région au vu de l’importance accordée à
l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence.
Les pneus rechapés revêtent un grand intérêt au vu
de l’importance du respect de l‘environnement qu’ils
assurent. En effet, le rechapage des pneus assurent
la réutilisation des anciens pneus usés et permettent
leur recyclage. Enfin, le gros avantage d'un pneu
rechapé est son prix. Ils sont commercialisés jusqu'à
40 % de moins par rapport au neuf.
Conseils techniques
Le rechapage n'est pas une technique nouvelle. Il a
longtemps été utilisé dans le milieu du poids lourds
et des engins de travaux publics. Grâce à ce procédé
de recyclage et de valorisation, certains pneus ont
parcouru des millions de kilomètres. Dans le cas des
véhicules de tourisme, ce procédé est très
économique.
Le rechapage consiste à remplacer la bande de
roulement et les flancs d'un pneumatique lorsque ce
dernier a atteint sa limite d'usure. Il peut y avoir un
premier
rechapage,
généralement
chez
le
manufacturier plus un second, voir un troisième dans
certaines utilisations (travaux publics). La bande de
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
271
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
roulement usée est enlevée par râpage. La
première opération consiste à supprimer
avec
une
machine-outil,
les
parties
détériorées sur la carcasse par une action de
nettoyage. C'est ce qu'on appelle le
brossage. La seconde manipulation consiste
à remplacer la partie supprimée par de la
gomme neuve, des renforts et une nouvelle
nappe. Après que la gomme neuve ait été
déposée sur le pneu, ce dernier est introduit
dans un moule à haute température qui va
sculpter le dessin du pneu et assurer la
liaison entre la bande de roulement et le
support. Ce procédé de fabrication, très
répandu pour les poids lourds et les engins
de travaux publics, est identique à celui du
pneu neuf. L'avantage réside dans son prix.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
pneus usés et matières premières tel que le
caoutchouc naturel et synthétique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
272
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GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_81
Intitulé du projet
Unité de Fabrication
Pneu
de
Secteur
ICPC
Branche
Produits en caoutchouc
Lieu d’implantation proposé
Province de Kenitra et Sidi
Kacem
Coût global du projet
25.000.000 MAD
Capacité de production
1.000.000 unités par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
National et International
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au Maroc est
l’une des industries les plus importante et les plus
développée
du
continent
africain.
Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à
la formation du PIB, et un volume de production de
83,4 milliards de dirhams.
Il draine près de 1,6% de la population active
urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le
secteur employait près de 102.456 personnes;
Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le
secteur compte 2.230 sociétés opérant dans
l’industrie chimique et para chimique réalisant un
chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams.
La fabrication des Pneumatiques et chambres à air
est une activité exercée principalement par des
filiales de grandes firmes multinationales qui
travaillent aussi bien pour le marché local qu'à
l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5
millions de dollars américains en 2003.
Les principales destinations à l’export de cette
branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne
11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…
Justification du projet
Cette industrie est boostée par le développement
important drainé par la croissance du parc
automobile
marocain
et
par
les
demandes
extérieures
Cette branche, complémentaire avec la fabrication
des équipements automobiles, constitue une priorité
pour la région au vu de l’importance accordée à
l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence.
Conseils techniques
La fabrication d’un pneu commence avec un certain
nombre de matériaux bruts : pigments, produits
chimiques, environ 30 types de caoutchouc, des
câblés de carcasse, de tringle de talon, etc.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du caoutchouc
réalise, à partir de matières brutes, des mélanges
crus qui seront dans un second temps mis en forme
et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses
matières premières : des élastomères bruts, mais
aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des
huiles, du soufre, du zinc...
Cette
industrie
est
également
une
grosse
consommatrice de métal dans le cadre de la
fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal,
et de textiles (rayonne, aramide, polyester,
polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en
caoutchouc
(pneumatiques,
tuyaux,
bandes
transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
273
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n° S_ICPC_82
Intitulé du projet
Unité de Fabrication
chambres à air
de
Secteur
I.C.P.C
Branche
Produits en
plastique
caoutchouc
et
Lieu d’implantation proposé
Communes : Kenitra et Sidi
Kacem
Coût global du projet
15.000.000 MAD
Capacité de production
1.200.000 unités par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
60 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.2
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au Maroc est
l’une des industries les plus importante et les plus
développée
du
continent
africain.
Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à
la formation du PIB, et un volume de production de
83,4 milliards de dirhams.
Il draine près de 1,6% de la population active
urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le
secteur employait près de 102.456 personnes;
Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le
secteur compte 2.230 sociétés opérant dans
l’industrie chimique et para chimique réalisant un
chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams.
La fabrication des Pneumatiques et chambres à air
est une activité exercée principalement par des
filiales de grandes firmes multinationales qui
travaillent aussi bien pour le marché local qu'à
l'export.
Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions
de dollars américains en 2003.
Les principales destinations à l’export de cette
branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne
11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…
Justification du projet
Cette industrie est boostée par le développement
important drainé par la croissance du parc
automobile
marocain
et
par
les
demandes
extérieures
Cette branche, complémentaire avec la fabrication
des équipements automobiles, constitue une priorité
pour la région au vu de l’importance accordée à
l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence.
Conditions d’approvisionnement
L’industrie de la transformation du caoutchouc
réalise, à partir de matières brutes, des mélanges
crus qui seront dans un second temps mis en forme
et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses
matières premières : des élastomères bruts, mais
aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des
huiles, du soufre, du zinc...
Cette
industrie
est
également
une
grosse
consommatrice de métal dans le cadre de la
fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal,
et de textiles (rayonne, aramide, polyester,
polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en
caoutchouc
(pneumatiques,
tuyaux,
bandes
transporteuses...).
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
274
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_83
Intitulé du projet
Détergent liquide
tout usage
Secteur
Industrie
chimique
concentré
Chimique
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au
Maroc est l’une des industries les plus
importantes et les plus développées du
continent africain.
En effet, le secteur de l’industrie chimique
et para chimique au Maroc est caractérisé
par les indicateurs suivants :
et
Para
Branche
Fabrication de savons, détergents
et produits d'entretien
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Capacité en production
750 Tonnes par an
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Besoin en superficie
2 000 m²
Besoin en RH
25 personnes
Marchés potentiels
Local 80% - Export 20 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
-
le secteur de l’industrie chimique et
para chimique a contribué au titre de
l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans
la formation du Produit Intérieur Brut
marocain ;
-
le secteur draine près de 1,6% de la
population active urbaine et a
enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi,
à fin 2005, le secteur a employé près
de 102 456 personnes contre 97 141
personnes en 2004 ;
Justification du projet
Les détergents se présentent sous la
forme de poudres à diluer (lessive), de
liquides pour les surfaces dures (vaisselle,
vitre, sol) et des récurant liquides (émail,
inox).
Les détergents liquides pour le lavage du
linge n’ont pas encore pris leur essor. Les
quantités produites et commercialisées
sont faibles. Par contre, les détergents
liquides pour le lavage de la vaisselle à la
main sont bien en place sur le marché et
les perspectives de développement sont
importantes.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
275
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_84
Intitulé du projet
Unité de fabrication d’Eau de
javel détergente concentrée
Secteur
Industrie Chimique et Para chimique
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au
Maroc est l’une des industries les plus
importantes et les plus développées du
continent africain.
En effet, le secteur de l’industrie chimique
et para chimique au Maroc est caractérisé
par les indicateurs suivants :
-
le secteur de l’industrie chimique et
para chimique a contribué au titre de
l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans
la formation du Produit Intérieur Brut
marocain ;
-
le secteur draine près de 1,6% de la
population active urbaine et a
enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi,
à fin 2005, le secteur a employé près
de 102 456 personnes contre 97 141
personnes en 2004 ;
Branche
Fabrication de savons, détergents et
produits d'entretien
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, saknia et Sidi
Kacem
Capacité en production
800 tonnes/an
Coût global du projet
3.000.000 MAD
Besoin en superficie
1.000 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Local 80% - Export 20 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra
+212.37.37.46.27
Justification du projet
L'eau de Javel est un produit d’usage
courant au Maroc. L’eau de javel
détergente concentrée est un produit de
niche ayant une spécificité autre que
basique, à savoir la conjonction de :
-
la DESINFECTION qui doit rester la
fonction de base du produit ;
-
la DETERGENCE qui doit représenter
l'élément additionnel et innovateur ;
-
Et
la
élément
d'achat.
CONCENTRATION
comme
d'attraction
pour l'acte
Conseils techniques
L'Eau de Javel est obtenue par dilution de
solutions industrielles d'hypochlorite de
sodium.
Les solutions d’hypochlorite de sodium
sont fabriquées par barbotage de chlore
(gaz) dans de la soude caustique diluée.
Le chlore et la soude utilisés sont obtenus
par électrolyse du sel.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
276
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_85
Intitulé du projet
Unité
de
fabrication
d’assouplissant concentré pour
textile
Secteur
Industrie Chimique et Para chimique
Branche
Fabrication de savons, détergents et
produits d'entretien
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Capacité en production
425 tonnes/an
Coût global du projet
3.500.000 MAD
Besoin en superficie
1 500 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Local 80% - Export 20 %
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie chimique et para chimique au
Maroc est l’une des industries les plus
importantes et les plus développées du
continent africain.
En effet, le secteur de l’industrie chimique
et para chimique au Maroc est caractérisé
par les indicateurs suivants :
-
le secteur de l’industrie chimique et
para chimique a contribué au titre de
l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans
la formation du Produit Intérieur Brut
marocain ;
-
le secteur draine près de 1,6% de la
population active urbaine et a
enregistré en 2005 une augmentation
de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi,
à fin 2005, le secteur a employé près
de 102 456 personnes contre 97 141
personnes en 2004 ;
Justification du projet
L'ASSOUPLISSANT TEXTILE, répertorié
généralement dans la catégorie des
produits de détergence pour linge de type
cationique, très bien introduit en Europe,
se définit comme un conditionneur des
textiles APRÈS lavage. C’est le produit de
soin des textiles lavés et le confort d’avoir
sur la peau un textile souple et soyeux
agréable à porter.
L'utilisation
de
l'assouplissant
pour
textiles,
dénommé
également
ADOUCISSANT,
intervient
en
phase
immédiatement complémentaire après
l'étape de lavage avec tout produit de
détergence, qu'il soit liquide ou poudre, en
machine ou à la main.
Le marché des produits adoucissants
concentrés est pratiquement un marché
naissant du point de vue volume,
comparativement aux pays développés. Le
marché a été fourni, jusqu'à présent, en
produits assouplissants de formulation
basique et fabriqués localement.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
277
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_86
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Petite unité de traitement
de déchets industriels non
ferreux
Secteur
ICPC
Branche
Récupération et traitement de
déchets industriels
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
3.000 tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
10 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le secteur du traitement des déchets industriels
est un secteur embryonnaire mais qui se
caractérise par une très grande dynamique. En
fait, La maîtrise des filières de traitement des
produits chimiques et industriels permet de
mettre en place une logistique adaptée à
chaque déchet et d'en assurer le traitement
adéquat. Traçabilité et transparence doivent
être garanties pour chaque prestation.
Ce secteur englobe :
traitement
des
déchets
des
- Le
entreprises,
- la récupération et le traitement du
papier et carton
- la récupération et le traitement des
métaux ferreux et non ferreux
- la récupération et le traitement des
Matières plastiques
- la récupération et le traitement des
déchets textiles
- la récupération et le traitement des
huiles et graisses industrielles
- la récupération et le traitement des
déchets de l'agriculture et agroalimentaires
- la récupération et le traitement des
déchets hospitaliers
- la récupération et le traitement des
déchets métaux précieux
- et enfin, la récupération et le traitement
des
déchets
ménagers
ou
pharmaceutiques
Justification du projet
Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une
augmentation de la quantité de ses déchets qui ne
cesse de s’accentuer. Cette situation a pour
origine non seulement la croissance régulière du
nombre
d’habitants,
mais
également
l’amélioration du niveau de vie, et concerne des
déchets de nature très variée. Vient se rajouter à
cela une certaine évolution de la composition de
ces déchets qui est directement liée au mode de
vie de la population et à la diversité des activités
socio-économiques.
En effet, l’industrie marocaine produit environ 1
million de tonnes par an de déchets industriels
dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux,
et les secteurs hospitaliers produisent environ
35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
environ 12000 tonnes sont des déchets
dangereux. Ces déchets sont très souvent
éliminés dans des décharges sauvages ou
encore dans des points noirs et dans les
cours d’eau sans aucun traitement ni
contrôle, ce qui engendre de graves
conséquences aussi bien pour la santé
publique et l’environnement que pour
l’avenir des activités socio-économiques.
Les choix industriels de la région lui
imposent de se doter d’unité de traitement
des déchets de toute sortes, pour assurer
la pérennité de son écosystème, et de sa
vocation agricole.
Dans ce sens la mise en place d’unité de
traitement des déchets non ferreux qui
constituent les principaux déchets de
l’industrie du GCBH.
La proximité géographique des pôles
industriels constitue des opportunités à
saisir.
Conseils techniques
Les déchets à traiter (plastique et papier)
sont les produits de l’industrie de la
région,
Pour le papier, il s'agit :
- des
chutes
de
transformation
(récupérées auprès des imprimeries et
des fabricants d'emballages),
- des emballages en papier-carton,
- des papiers de bureau,
- des journaux et des magazines.
Pour le plastique on distingue deux
grandes familles : Thermoplastiques et
Thermodurcissables.
Le secteur est soumit à un ensemble de
normes et obligation réglementaires.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_87
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité
moyenne
de
traitement
de
déchets
industriels non ferreux
Secteur
ICPC
Branche
Assainissement,
voirie
gestion des déchets
et
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
3.000.000 MAD
Capacité de production
10.000 tonnes par an
Besoin en superficie
50.000 m²
Besoin en RH
75 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Le secteur du traitement des déchets industriels
est un secteur embryonnaire mais qui se
caractérise par une très grande dynamique. En
fait, La maîtrise des filières de traitement des
produits chimiques et industriels permet de
mettre en place une logistique adaptée à
chaque déchet et d'en assurer le traitement
adéquat. Traçabilité et transparence doivent
être garanties pour chaque prestation.
Ce secteur englobe :
- Le traitement des déchets des entreprises,
- la récupération et le traitement du papier
et carton
- la récupération et le traitement des
métaux ferreux et non ferreux
- la récupération et le traitement des
Matières plastiques
- la récupération et le traitement des
déchets textiles
- la récupération et le traitement des huiles
et graisses industrielles
- la récupération et le traitement des
déchets
de
l'agriculture
et
agroalimentaires
- la récupération et le traitement des
déchets hospitaliers
- la récupération et le traitement des
déchets métaux précieux
- et enfin, la récupération et le traitement
des
déchets
ménagers
ou
pharmaceutiques
Justification du projet
Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une
augmentation de la quantité de ses déchets qui ne
cesse de s’accentuer. Cette situation a pour
origine non seulement la croissance régulière du
nombre
d’habitants,
mais
également
l’amélioration du niveau de vie, et concerne des
déchets de nature très variée. Vient se rajouter à
cela une certaine évolution de la composition de
ces déchets qui est directement liée au mode de
vie de la population et à la diversité des activités
socio-économiques.
En effet, l’industrie marocaine produit environ 1
million de tonnes par an de déchets industriels
dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux,
et les secteurs hospitaliers produisent environ
35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont
environ
12000 tonnes sont
des
déchets
dangereux. Ces déchets sont très souvent
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
éliminés dans des décharges sauvages ou
encore dans des points noirs et dans les
cours d’eau sans aucun traitement ni
contrôle, ce qui engendre de graves
conséquences aussi bien pour la santé
publique et l’environnement que pour
l’avenir des activités socio-économiques.
Les choix industriels de la région lui
imposent de se doter d’unité de traitement
des déchets de toutes sortes, pour assurer
la pérennité de son écosystème, et de sa
vocation agricole.
Dans ce sens la mise en place d’unité de
traitement des déchets non ferreux qui
constituent les principaux déchets de
l’industrie du GCBH.
La proximité géographique des pôles
industriels constitue des opportunités à
saisir.
Conseils techniques
Les déchets à traiter (plastique et papier)
sont les produits de l’industrie de la
région,
Pour le papier, il s'agit :
- des chutes de transformation
(récupérées auprès des imprimeries et
des fabricants d'emballages),
- des emballages en papier-carton,
- des papiers de bureau,
- des journaux et des magazines.
Pour le plastique on distingue deux
grandes familles : Thermoplastiques et
Thermodurcissables.
Le secteur est soumit à un ensemble de
normes et obligation réglementaires.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_ICPC_88
Intitulé du projet
Grande unité de traitement
de déchets industriels non
ferreux
Secteur
ICPC
Branche
Récupération et traitement de
déchets industriels
Lieu d’implantation proposé
Communes :
Kénitra,
Sidi
Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
30.000 tonnes par an
Besoin en superficie
80.000 m²
Besoin en RH
100 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Le secteur du traitement des déchets industriels
est un secteur embryonnaire mais qui se
caractérise par une très grande dynamique. En
fait, La maîtrise des filières de traitement des
produits chimiques et industriels permet de
mettre en place une logistique adaptée à
chaque déchet et d'en assurer le traitement
adéquat. Traçabilité et transparence doivent
être garanties pour chaque prestation.
Ce secteur englobe :
traitement
des
déchets
des
- Le
entreprises,
- la récupération et le traitement du
papier et carton
- la récupération et le traitement des
métaux ferreux et non ferreux
- la récupération et le traitement des
Matières plastiques
- la récupération et le traitement des
déchets textiles
- la récupération et le traitement des
huiles et graisses industrielles
- la récupération et le traitement des
déchets de l'agriculture et agroalimentaires
- la récupération et le traitement des
déchets hospitaliers
- la récupération et le traitement des
déchets métaux précieux
- et enfin, la récupération et le traitement
des
déchets
ménagers
ou
pharmaceutiques
Justification du projet
Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une
augmentation de la quantité de ses déchets qui ne
cesse de s’accentuer. Cette situation a pour
origine non seulement la croissance régulière du
nombre
d’habitants,
mais
également
l’amélioration du niveau de vie, et concerne des
déchets de nature très variée. Vient se rajouter à
cela une certaine évolution de la composition de
ces déchets qui est directement liée au mode de
vie de la population et à la diversité des activités
socio-économiques.
En effet, l’industrie marocaine produit environ 1
million de tonnes par an de déchets industriels
dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux,
et les secteurs hospitaliers produisent environ
35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont
environ
12000 tonnes sont
des
déchets
dangereux. Ces déchets sont très souvent
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
éliminés dans des décharges sauvages ou
encore dans des points noirs et dans les
cours d’eau sans aucun traitement ni
contrôle, ce qui engendre de graves
conséquences aussi bien pour la santé
publique et l’environnement que pour
l’avenir des activités socio-économiques.
Les choix industriels de la région lui
imposent de se doter d’unité de traitement
des déchets de toute sortes, pour assurer
la pérennité de son écosystème, et de sa
vocation agricole.
Dans ce sens la mise en place d’unité de
traitement des déchets non ferreux qui
constituent les principaux déchets de
l’industrie du GCBH.
La proximité géographique des pôles
industriels constitue des opportunités à
saisir.
Conseils techniques
Les déchets à traiter (plastique et papier)
sont les produits de l’industrie de la
région,
Pour le papier, il s'agit :
- des
chutes
de
transformation
(récupérées auprès des imprimeries et
des fabricants d'emballages),
- des emballages en papier-carton,
- des papiers de bureau,
- des journaux et des magazines.
Pour le plastique on distingue deux
grandes familles : Thermoplastiques et
Thermodurcissables.
Le secteur est soumit à un ensemble de
normes et obligation réglementaires.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_ICPC_89
Intitulé du projet
Unité de production de
canaux
d’irrigation
pour
agriculture
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Mechra Bel Ksiri, Sidi
Slimane, Souk Larbaa, Souk
Tlet.
Coût global du projet
6.000.000 MAD
Capacité de production
50.000 ml par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
30 personnes
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Depuis la mise en place de la politique d’irrigation, la
mise en valeur dans les périmètres irrigués a
enregistré
des
progrès
notoires
grâce
à
l’intensification et à la diversification des cultures
sous irrigation. Les impacts les plus remarquables
ont concerné : les cultures sucrières, l’arboriculture
fruitière et le maraîchage, les produits laitiers…
Le canal d'irrigation a pour but de détourner une
partie de l'eau d'une rivière de son cours normal
pour des besoins d'irrigation et d'eau potable.
Aujourd’hui la superficie équipée au niveau de la
région Gharb-Chrarda-Béni Hssen est de 144.000 ha.
L’objectif étant d’arriver à 250.000 ha.
Justification du projet
Dans le cadre de sa stratégie de rationalisation de
l’exploitation des eaux en irrigation, et dans le cadre
de sa politique de lutte contre la désertification. Le
Maroc donne une importance aux canaux d’irrigation
en tant qu’outil et solution pour de telles stratégies.
En effet, les canaux d’irrigation sont les outils d’une
gestion rationnelle des ressources hydriques.
La région de GCBH, est appelé à connaître un fort
investissement en matière d’équipement d’irrigation.
En effet, au niveau du Plan Maroc Vert, il est prévu
d’allouer une enveloppe de 5 milliards de dirhams à
la maintenance et la mise à niveau des réseaux
existants en plus de l’élargissement du réseau
actuel.
Conseils techniques
Les techniques d’irrigation sont multiples, et sont
soumises à des contraintes multiples, ce qui impose
aux
canaux
d’irrigation
d’être
adaptés
techniquement.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
vrac à travers un contrat avec un cimentier.
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_90
Intitulé du projet
Matériaux composites
Secteur
Industrie
chimique
Chimique
et
Para
Branche
Plasturgie
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Sidi Slimane
Capacité en production
200 tonnes par an
Coût global du projet
11.000.000 MAD
Besoin en superficie
1500 m²
Besoin en RH
20 personnes
Marchés potentiels
Local 90% - Export 10%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Accompagnant la croissance économique
globale du Maroc, le secteur marocain de
la plasturgie se développe dans plusieurs
domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes,
etc.), l’automobile (carrosseries, planches
de bord, pare-chocs, pièces techniques,
etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures,
isolation, revêtement sols et murs,
mobiliers urbains), ainsi que les sports et
les loisirs (chaussures, jeux, jouets,
planches à voiles, etc.), et aussi un
secteur à forte valeur ajoutée : les
composites.
Le secteur compte 270 entreprises en
2005 et emploie 10 534 personnes.
Justification du projet
La variété des matières transformées et
des types de produits réalisés permet de
citer des applications diverses à partir des
composites. Ainsi, il est possible de
produire des plaques de couverture, des
couvertures et des bardages en polyester
verre. Dans l’électronique on cite les
connecteurs et pièces exposées à des
températures élevées. Dans la chimie et
l’aéronautique
il
existe
plusieurs
applications anticorrosion et de résistance
à la chaleur. En médecine, on pense aux
applications liées à la stérilisation.
Dans les équipements de sport et de
loisirs, les principaux développements
futurs
viendront
des
matériaux
composites à hautes performances tels
que les époxy-renforcés de fibres de verre
de grade E ou de fibres de carbone, plutôt
que des plastiques techniques.
Conditions d’approvisionnement
Le pétrole est traité dans les raffineries de
façon à le séparer par distillation en
plusieurs
fractions
composées
de
molécules
de
taille
et
de
forme
différentes. On obtient des fractions
principales qui sont des gaz, des
essences, des naphtas, des fiouls et
kérosènes et des bitumes. Par un procédé
thermique, le craquage, le naphta est
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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WILAYA DE LA REGION
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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
transformé
en
un
mélange
d’hydrocarbures plus légers qui
entrent dans la composition des
plastiques (éthylène, propylène,
butylène, etc.). En suite, on isole
l’hydrocarbure qui est la base du
plastique souhaité, l’éthylène par
exemple.
Pour
fabriquer
les
macromolécules on procède à la
polymérisation des monomères. Il
s’agit d’ouvrir la double liaison
entre les deux atomes de carbone
composant la molécule d’éthylène
afin que les carbones de différents
monomères établissent des liaisons
entre
eux
(dites
liaisons
covalentes).
La
résine
ainsi
obtenue sert à fabriquer les divers
objets en plastique.
L’approvisionnement consistera à
assurer une livraison en résine et
poudre de résine servant à
fabriquer les produits en plastique.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
286
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Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_ICPC_91
Intitulé du projet
Unité de production
peinture pour bâtiment
de
Secteur
Industrie Chimique et Para
Chimique
Branche
Fabrication de peinture et de
vernie pour bâtiment
Lieu d’implantation proposé
Commune :Kénitra, Sidi
Kacem,
Coût global du projet
35.000.000 MAD
Capacité de production
5.000.000 Kg / an
Besoin en superficie
30.000 m2
Besoin en RH
150 personnes
Marchés potentiels
Marché National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
La peinture est un produit constitué d’une
suspension de poudres dans du liquide, donnant par
application en couches minces, une feuille opaque
dotée de qualités protectrices et décoratives. Elle
peut être blanche, noir ou de couleur. Elle peut être
également brillante ou mate.
L’industrie de la peinture compte près de 37
sociétés.
La production réalisée en 2003 a atteint 1.827.154
000 Dhs. La valeur générée par la production a
connu une baisse par rapport à celle enregistrée en
1998 et qui se situait à 1.989.365.000 Dhs.
Le chiffre d’affaire réalisé en 2003 par les unités de
production est de 1.915.727.000 de Dhs.
Quant aux investissements effectués par le secteur,
ils ont atteint 34.843.000 DH.
Concernant les effectifs employés, le secteur emploie
2134 personnes dont 289 femmes, contre 2543
personnes en 1998.
Le circuit de distribution est assuré par quelques
unités de production et un nombre important de
distributeurs localisés au niveau des différentes
villes.
Justification du projet
Les estimations réalisées sur le secteur, montrent
que les besoins en cette matière vont croître à des
rythmes importants. Et ce à cause d’une part de
l’augmentation de l’augmentation de consommation,
conséquence de l’extension de l’urbain. Et d’autre
part à cause de l’augmentation de l’usage du verre
dans la construction.
Puisque la région du GCBH connaît un essor du
secteur BTP, la demande est de plus en plus
croissante,
nécessitent
une
proximité
de
l’approvisionnement en cette matière.
Conseils techniques
Les peintures sont des mélanges de nombreux
composants:
- Les pigments : il s’agit de poudres très fines,
insolubles dans les milieux organiques et qui donnent
à la peinture son pouvoir opacifiant, la brillance et la
teinte et la dureté.
Les
adjuvants,
catalyseurs,
antioxydants,
fongicides et charges diverses : ce sont des produits
chimiques liquides ou solides qui confèrent à la
peinture certaines qualités.
- Les liants : il s’agit de polymères qui fixent les
parties pulvérulentes de la peinture, créent
l’adhérence au support.
- Les solvants : ce sont des liquides organiques qui
permettent d’obtenir une peinture fluide et donc
applicable par les moyens classiques.
- Les diluants : ils permettent de fluidifier la
peinture.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
287
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Centre Régional d’Investissement
La quasi-totalité de ces composants est
actuellement importée.
Une fois, tous ces éléments réunis la
peinture est fabriquée en trois stades
différents :
- L’empâtage : c’est l’opération au cours de
laquelle les éléments solides (pigments,
charges et adjuvants) sont dispersés dans
une partie du liant et des solvants ;
- Le broyage : les éléments solides résultants
de l’empâtage sont éclatés à des petites
dimensions pour rendre le mélange affiné.
- La finition : la formule de composition de la
peinture est complétée, la teinte ajustée et
la peinture amenée aux caractéristiques
désirées.
La qualité et créativité sont les éléments
essentiels de différentiation dans cette
industrie.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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Fiche de projet n° S_ICPC_92
Intitulé du projet
Unité de production
pavés en terre cuite
de
Secteur
ICPC
Branche
Fabrication d’autres produits
minéraux non métalliques.
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Taibi
Coût global du projet
5.000.000 MAD
Capacité de production
100.000 m² par an
Besoin en superficie
20.000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront
encore des milliers d'années sans être altéré par les
atteintes du temps. Leur couleur restera et leur
aspect se bonifiera. Les pavés en pierres malgré
leurs origines, ils rendent l'aménagement urbain et
des espaces très contemporains.
Le pavé de terre cuite constitue une alternative
idéale pour embellir les villes. Ils répondent
parfaitement aux spécifications les plus courantes y
compris pour des zones très circulées. Les pavés en
terre cuite offrent un choix étendu de couleurs et de
formats.
L'origine 100% naturelle de ces matériaux et la
qualité de la cuisson créent des produits
parfaitement adaptés pour l'extérieur tout en
respectant l'environnement. Leur couleur restera au
cours des années et le produit se patinera en
améliorant la qualité esthétique de l'aménagement.
Les modules proposés offrent une grande facilité de
pose.
Justification du projet
L’aménagement paysager de la région demande
l’usage de techniques et de matériaux apportant la
beauté et le design espéré.
Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique
assurant un tel objectif, vu la place dont il a au
niveau international en tant que produit assurant en
même temps sécurité et beauté.
Sur un autre niveau le pavé est largement utilisé
dans les maisons.
Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent un
produit demandé, nécessitant la création d’unités
spécifiques à sa production et à son installation.
Conseils techniques
Les dimensions des pavés selon les normes sont :
L'épaisseur
- 5cm pour les trottoirs et les patios seulement
- 6cm pour les trottoirs, les patios et les entrées
résidentielles
- 7cm pour les entrées résidentielles et les patios
- 8cm et + pour les charges lourdes des entrées
commerciales et des villes
Les dimensions : Chaque manufacturier a ses
propres dimensions du même modèle de pavés.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de
l’abondance des terrains argileux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
289
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Fiche de projet n° S_ICPC_93
Intitulé du projet
Unité
de
produits
d’étanchéité :
- bitume
- carton bitumé
Secteur
ICPC
Branche
ETANCHEITE
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Kénitra,
Sidi
Kacem, Sidi Slimane
Coût global du projet
15.0000.000 MAD
Capacité de production
2.000.000 m² par an
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’étanchéité consiste à assurer le « couvert » d’un
bâtiment en le protégeant de tous les désordres et
dégradations éventuelles assurant une durabilité et
pérennité de la construction.
Il existe deux catégories de produits d’étanchéité :
• Les produits noirs classiques : utilisés à chaud et
en multicouches horizontales pour les terrasses
et verticales pour les cuvelages.
• Les produits plus récents : ils s’appliquent
généralement à froid et en monocouches.
Justification du projet
La demande des produits d’étanchéité connaît une
croissance importante, suite au développement que
connaissent les secteurs du BTP et l’immobilier tant
au niveau national qu’au niveau régional.
La production reste limitée même avec le réseau de
distribution important qui existe.
Aujourd’hui, ce secteur est
de plus en plus
demandé, et ce face à une offre limité. En effet, la
production des matériaux d’étanchéité est assurée
par un nombre limité de producteurs localisés dans
la région du Grand Casablanca. Et la distribution par
contre est assurée par un nombre important d’unités
localisées dans les différentes villes du royaume. Il y
a lieu de noter que les grossistes les plus importants
sont localisés dans les villes de Casablanca,
Marrakech, Rabat, Fès et Kénitra.
Besoin en superficie
30.000 m²
Conseils techniques
Besoin en RH
75 personnes
- Asphalte
Mastic d’asphalte : matériau de base pour le
revêtement d’étanchéité, il est fabriqué à partir
d’asphalte naturel et refondu avec du bitume. Le
mastic est livré sous forme de pain contenant de 11
à 17 % de bitume pur.
- A base de bitume
• Bitume : hydrocarbure lourd obtenu sous formes
naturelles, extraits de l’asphalte naturel, ou
produit de la distillation du pétrole.
• Bitume armé et feutre bitumé : Bitume armé de
type 30, 40 et 50 armatures en toile ou feutre
autoprotection par granulé minéral, ou sur
armature toile seulement par feuille de cuivre ou
d’aluminium.
• Feutre bitumé : type 27S, 36S, et 45S autoprotégé et granulé-minéral.
• Enduits d’application à chaud (E.A.C) : Ils sont à
base de bitume (environ 70% de leur poids), et
employé par fusion pour collage et le
recouvrement
superficiel
des
éléments
d’étanchéité multicouche.
• Enduit d’application à froid (E.A.F) : solution
liquide de produits bitumineux dans un solvant
Marchés potentiels
Régional et National
Informations utiles
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Il existe trois procédés de fabrication pour les
différents produits d’étanchéité :
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
290
ROYAUME DU MAROC
MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
volatil, utilisé comme couche ou pour le
collage à froid, teneur minimum en
bitume 50%.
- Matériau à base de goudron de houille
• Goudron de houille : Produits de la
distillation de la houille.
• Brais de houille : Obtenu à partir de la
distillation du goudron de houille. On y
fabrique des feutres goudronnés, des
produits
pâteux,
et
des
enduits
d’application à froid ayant des propriétés
analogues à ceux obtenus à base de
bitume.
• Ciment volcanique : Mélange à chaud de
brai de houille, de souffre et de résines,
utilisé pour coller des feuilles de feutres
goudronnés, pour réaliser un revêtement
multicouche.
Conditions d’approvisionnement
Assurer un approvisionnement constant en
bitume auprès de la raffinerie SAMIR ou en
importer de l’étranger.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
291
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_BTP_01
Intitulé du projet
Cimenterie
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune :
Sidi
Kacem,
Zeggouta
Coût global du projet
2 milliards MAD
Capacité de production
1.000.000 T par an
Besoin en superficie
20 ha
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le secteur du bâtiment et travaux
publics (BTP) constitue un maillon
essentiel et un vecteur de la croissance
économique.
Il
contribue
dans
l’économie nationale à raison de 4,5%
du PIB et occupe plus de 500.000
emplois, ce qui lui confère un rôle non
négligeable dans l’élaboration de toute
stratégie nationale de développement
économique et social.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Justification du projet
Au Maroc, l’industrie cimentière est ancienne, la
première unité de production fût ouverte en
1913 à Casablanca.
L’industrie cimentière est l’une des activités
industrielles les mieux structurées et les mieux
réparties sur le territoire national. Elle se
caractérise aussi par la modernité de ses
installations et par l’ouverture de son capital à
l’investissement privé national et étranger.
En effet, elle réalise près de 45% de la valeur
de la production et près de 50% de la valeur
ajoutée
du
secteur
des
matériaux
de
construction ;
alors
qu’elle
représente
seulement 1% des établissements industriels
intervenant dans le secteur et le taux
d’embauche ne dépasse guère 1%.
Actuellement, le secteur cimentier marocain
compte 4 grandes sociétés, filiales de
multinationales, disposant de 10 unités
industrielles de production couvrant l’ensemble
du territoire national, dont une est spécialisée
dans l’importation du ciment blanc.
La capacité de production du ciment est
évaluée à 10,55 millions de tonnes et la
capacité de broyage du clinker est de 12,13
millions de tonnes.
Conseils
Il existe deux modes de fabrication de ciment :
par voie sèche
et
par voie humide.
Les unités de production procèdent à la
fabrication par voie sèche, plus économe
en énergie.
En général, le ciment est fabriqué dans des
unités classiques équipées d’un four tournant.
Le processus de fabrication de ciment comporte
trois étapes :
1. Fabrication du clinker: cette phase comprend
l’extraction, le transport, le broyage et
l’homogénéisation des matières premières :
carbonate de calcium, silice, alumine, oxyde
ferrique, elle aboutit à l’élaboration d’une
poudre de composition chimique précise ;
2. Cuisson : le mélange obtenu est introduit
dans des fours rotatifs chauffés au voisinage
de 1450°, provoquant la combinaison du
calcaire et de l’argile : le clinker qui est
refroidi et stocké ;
3. Fabrication du ciment : le clinker est repris et
finement broyé à l’aide de broyeurs
à boulets. Suivant le broyage, une faible
quantité de gypse (environ 5 %) et adjuvants
est incorporée.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
292
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WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_BTP_02
Intitulé du projet
Usine de production d’acier
pour gros œuvre
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
200.000.000 MAD
Capacité de production
100.000 T / an
Besoin en superficie
100.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
Le secteur du bâtiment et travaux publics
(BTP) constitue un maillon essentiel et un
vecteur de la croissance économique. Il
contribue dans l’économie nationale à
raison de 4,5% du PIB et occupe plus de
500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle
non négligeable dans l’élaboration de toute
stratégie nationale de développement
économique et social.
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Justification du projet
La
production
de
l’acier
est
concentrée
principalement dans deux villes : Nador qui
s’accapare la majorité de la production et
Casablanca.
En
effet,
la
ville
de
Nador
assure
l’approvisionnement presque exclusif du fer à
béton lisse, et fourni 88% du fer à béton tor. La
ville dispose des principaux gisements du minerai
de fer.
La ville de Casablanca intervient également dans
la production et assure la distribution d’une partie
quoique limitée du fer à béton (5% du fer à béton
lisse et 12% du fer à béton tor).
Quant à la distribution, elle est assurée
localement par un nombre important d’unités
opérant dans le secteur. L’approvisionnement est
assuré par des unités localisées essentiellement
dans les villes de : Nador (lieu de l’extraction du
minerai de fer), Casablanca et Agadir. Une part
faible de fer à béton provient des
villes de
Meknès, Rabat, Fès, Safi et Oujda.
La consommation nationale est passée de
463.500 tonnes en 1991 à 457.500 tonnes en
1994. En 2004, la consommation d’acier a
enregistré une faible hausse de 1,4% par rapport
à 2003. Les importations restent nécessaires pour
satisfaire la demande. Les principaux fournisseurs
du Maroc sont le Brésil, l’Espagne, l’Italie et les
Pays-Bas.
Conseils
Tenant compte de leur composition, les aciers se
divisent en deux classes : Les aciers alliés et les
aciers non alliés.
Les aciers alliés ou aciers spéciaux contiennent :
chrome, cuivre et nickel. Ils sont utilisés dans le
bâtiment essentiellement en décoration et en
agencement ;
Les aciers non alliés sont les aciers les plus
employés en construction métallique, dits
« acier au carbone » ils ont une teneur en
carbone entre 0,15 % (acier doux) et 0,65 %
(acier extra dur).
Les différents types de produits qui se présentent
sur le marché sont :
Les ronds lisses, obtenus par laminage d’un
acier doux;
Les armatures à haute adhérence, Fer à béton
Tor ;
Les treillis soudés constitués de fils croisés
perpendiculairement
et
soudés
à
leur
intersection.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
293
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_BTP_03
Intitulé du projet
Usine de production d’acier
pour seconds œuvres
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra
Coût global du projet
1,5 milliard MAD
Capacité de production
700.000 t par an
Besoin en superficie
1.000.000 m²
Besoin en RH
200 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
vecteur de la croissance économique. Il contribue
dans l’économie nationale à raison de 4,5% du
PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui
confère un rôle non négligeable dans l’élaboration
de toute stratégie nationale de développement
économique et social.
Justification du projet
La
production
de
l’acier
est
concentrée
principalement dans deux villes : Nador qui
s’accapare la majorité de la production et
Casablanca.
En
effet,
la
ville
de
Nador
assure
l’approvisionnement presque exclusif du fer à
béton lisse, et fourni 88% du fer à béton tor. La
ville dispose des principaux gisements du minerai
de fer.
La ville de Casablanca intervient également dans
la production et assure la distribution d’une partie
quoique limitée du fer à béton (5% du fer à béton
lisse et 12% du fer à béton tor).
Quant à la distribution, elle est assurée
localement par un nombre important d’unités
opérant dans le secteur. L’approvisionnement est
assuré par des unités localisées essentiellement
dans les villes de : Nador (lieu de l’extraction du
minerai de fer), Casablanca et Agadir. Une part
faible de fer à béton provient des
villes de
Meknès, Rabat, Fès, Safi et Oujda.
La consommation nationale est passée de
463.500 tonnes en 1991 à 457.500 tonnes en
1994. En 2004, la consommation d’acier a
enregistré une faible hausse de 1,4% par rapport
à 2003. Les importations restent nécessaires pour
satisfaire la demande. Les principaux fournisseurs
du Maroc sont le Brésil, l’Espagne, l’Italie et les
Pays-Bas.
Conseils
Tenant compte de leur composition, les aciers se
divisent en deux classes : Les aciers alliés et les
aciers non alliés.
Les aciers alliés ou aciers spéciaux contiennent :
chrome, cuivre et nickel. Ils sont utilisés dans le
bâtiment essentiellement en décoration et en
agencement ;
Les aciers non alliés sont les aciers les plus
employés en construction métallique, dits
« acier au carbone » ils ont une teneur en
carbone entre 0,15 % (acier doux) et 0,65 %
(acier extra dur).
Les différents types de produits qui se présentent
sur le marché sont utilisés :
dans la plomberie (acier galvanisé) ;
dans la ferronnerie (tôle, fer plat, tube rond,
Données sur le secteur
tube carré).
Le secteur du bâtiment et travaux publics
(BTP) constitue un maillon essentiel et un
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
294
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_BTP_04
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Intitulé du projet
Unité
traditionnelle
de
production de matériaux de
construction en terre cuite :
- Les briques creuses :
Les matériaux de construction en terre cuite sont
usités depuis plusieurs siècles dans la construction.
Au Maroc, l’activité date des années 40, ou les
premières unités de fabrication du matériau furent
construites.
Le secteur a accompagné l’évolution de la
construction en général. Son adaptation est aussi
bien technique, esthétiques que culturels, dans les
domaines traditionnels et industriels.
6 T 7 x 15 x 28
8T 11 x 15 x 28
12 T 15 x 15 x 28
- les briques réfractaires
- les tuiles artisanales
Le secteur compte actuellement 86 briqueteries
dont une dizaine d’unités modernes et bien
structurées, le reste étant réparti entre des
entreprises traditionnelles équipées de four de
type Hoffman et des unités artisanales.
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Ouezzane.
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
1.500.000 d’unité par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
35 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Justification du projet
La situation du secteur de la construction en terre
cuite est étroitement liée à l’évolution de la
conjoncture économique et en particulier à celle du
secteur du bâtiment constatée depuis 1986.
Durant la période 1998 à 2003, la production a
connu une croissance soutenue, à l’exception de
l’année 2001, qui a marqué une légère baisse.
La production des matériaux en terre cuite est
appelée à connaître un essor encore plus soutenu du
fait de la relance du secteur de l’habitat, notamment
sous l'impulsion donnée par les pouvoirs publics dans
le cadre des programmes de promotion de l’habitat
social.
Conseils Techniques
La méthode traditionnelle de fabrication de la
brique :
L’argile sèche est mélangée avec de l’eau dans un
bassin
circulaire.
Après
24
heures,
le mélange est malaxé ensuite la pâte est battue
avant de la façonner. La pâte est mise dans des
moules qui lui donne la forme de la brique.
Après le séchage au soleil, la brique est transportée
au four où elle est cuite à une température de plus
de 700°C.
L’approvisionnement des différentes villes se fait soit
directement auprès des unités de production, soit
par l’intermédiaire d’un réseau de distribution local.
Il y a lieu de noter que l’industrie de fabrication des
matériaux en terre cuite pour le bâtiment est une
activité qui revêt un caractère régional, en raison
notamment du faible coût de la brique, de son
volume par rapport à son poids, du risque de casse
lié au transport de celle-ci et du coût élevé du
transport.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de
l’abondance des terrains argileux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
295
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n° S_BTP_05
Intitulé du projet
Briqueterie moderne
- Les briques creuses ;
- les briques réfractaires ;
- les tuiles.
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem
Coût global du projet
10.000.000 MAD
Capacité de production
150.000 m² par an
Besoin en superficie
25.000 m²
Besoin en RH
90 personnes
Marchés potentiels
Local, Régional et National
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
Les matériaux de construction en terre cuite sont
usités depuis plusieurs siècles dans la construction.
Au Maroc, l’activité date des années 40, ou les
premières unités de fabrication du matériau furent
construites.
Le secteur a accompagné l’évolution de la
construction en général. Son adaptation est aussi
bien technique, esthétiques que culturels, dans les
domaines traditionnels et industriels.
Le secteur compte actuellement 86 briqueteries
dont une dizaine d’unités modernes et bien
structurées, le reste étant réparti entre des
entreprises traditionnelles équipées de four de
type Hoffman et des unités artisanales.
Justification du projet
La situation du secteur de la construction en terre
cuite est étroitement liée à l’évolution de la
conjoncture économique et en particulier à celle du
secteur du bâtiment constatée depuis 1986.
Durant la période 1998 à 2003, la production a
connu une croissance soutenue, à l’exception de
l’année 2001, qui a marqué une légère baisse.
La production des matériaux en terre cuite est
appelée à connaître un essor encore plus soutenu du
fait de la relance du secteur de l’habitat, notamment
sous l'impulsion donnée par les pouvoirs publics dans
le cadre des programmes de promotion de l’habitat
social.
Conseils Techniques
La méthode industrielle de fabrication de la
brique comporte 4 étapes, à savoir :
La préparation de la pâte : Elle consiste à broyer
l’argile brute, à éliminer les impuretés, à doser
les différents constituants et à homogénéiser et
humidifier le tout.
Le façonnage des produits : Cette phase
consiste à donner au mélange une forme par
pressage.
Le séchage : Dans les unités industrielles,
l’opération de séchage se fait dans un
séchoir statique ou tunnel, le séchage peut se
faire aussi à l’air. Cette opération consiste à
évacuer l’eau contenue dans le mélange.
La cuisson qui donne au produit sa forme
définitive.
Il y a lieu de noter que l’industrie de fabrication
des matériaux en terre cuite pour le bâtiment est
une activité qui revêt un caractère régional.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de
l’abondance des terrains argileux.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
296
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_BTP_06
Intitulé du projet
Unité Industrielle Moyenne de
fabrication de la chaux
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Ouezzane.
Coût global du projet
3.000.000 MAD
Capacité de production
1500 tonnes par an
Besoin en superficie
10.000 m²
Besoin en RH
40 personnes
Marchés potentiels
Local 80% National 20%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
La chaux a existé depuis longtemps au Maroc ;
elle est utilisée aussi bien comme matériau de
construction (mortier et enduit) que comme
composant routier. Elle intervient aussi dans la
fabrication d’autres matériaux de construction.
Justification du projet
La production de la chaux est assurée
simultanément par des entreprises industrielles,
et des unités traditionnelles équipées de fours à
chaux artisanaux. La production pour le secteur
BTP reste limité à quelques unités à Casablanca et
Tétouan.
Elle est utilisée généralement comme :
Mortier pour la réfection d’ouvrages anciens.
Badigeon dans les habitations où elle à
l’avantage d’offrir une solution très bon marché
pour traiter les murs et les cloisons.
Conseils Techniques
La chaux s’obtient par simple calcination d’un
calcaire à une température supérieure à 900 °C;
le carbonate de calcium se dissocie pour donner
de l’oxyde de calcium, la chaux vive.
La chaux vive est éteinte par système d’arrosage
ou de blutage afin d’obtenir une poudre.
Les variétés de chaux obtenues :
La chaux "grasse " : obtenue par la calcination
d’un calcaire très pur, appelée grasse à cause
de l’onctuosité qu’elle donne au mortier
La chaux "maigre": obtenue par la calcination
d’un calcaire moins pur.
Utilisées en construction chaux grasse et chaux
maigre font prise en se recarbonatant au contact
du gaz carbonique contenu dans l’air.
La chaux est fabriquée également à partir de
calcaires qui contiennent 15 à 20 % d’argile. Dans
ce cas, il se forme au cours de la calcination des
silicates et des aluminates de calcium en quantité
suffisante pour donner à ces chaux la propriété de
faire prise sous l’eau. Elles sont dites chaux
"hydrauliques".
La distribution de la chaux est assurée par un
réseau important localisé dans les différentes
villes
du
royaume
et
particulièrement
à
Casablanca qui assure la distribution de plus de la
moitié de la production.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en calcaire peut se faire dans la
région ou dans les régions avoisinantes.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
297
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Fiche de projet n°S_BTP_07
Intitulé du projet
Unité
traditionnelle
fabrication de la chaux
de
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Ouezzane, Sidi Slimane.
Coût global du projet
1.000.000 MAD
Capacité de production
650 tonnes par an
Besoin en superficie
6000 m²
Besoin en RH
15 personnes
Marchés potentiels
Local 100%
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Données sur le secteur
La chaux a existé depuis longtemps au Maroc ;
elle est utilisée aussi bien comme matériau de
construction (mortier et enduit) que comme
composant routier. Elle intervient aussi dans la
fabrication d’autres matériaux de construction.
Justification du projet
La production de la chaux est assurée
simultanément par des entreprises industrielles,
et des unités traditionnelles équipées de fours à
chaux artisanaux. La production pour le secteur
BTP reste limité à quelques unités à Casablanca et
Tétouan.
Elle est utilisée généralement comme :
Mortier pour la réfection d’ouvrages anciens.
Badigeon dans les habitations où elle à
l’avantage d’offrir une solution très bon marché
pour traiter les murs et les cloisons.
Conseils techniques
La chaux s’obtient par simple calcination d’un
calcaire à une température supérieure à 900 °C;
le carbonate de calcium se dissocie pour donner
de l’oxyde de calcium, la chaux vive.
La chaux vive est éteinte par système d’arrosage
ou de blutage afin d’obtenir une poudre.
Les variétés de chaux obtenues :
La chaux "grasse " : obtenue par la calcination
d’un calcaire très pur, appelée grasse à cause
de l’onctuosité qu’elle donne au mortier
La chaux "maigre": obtenue par la calcination
d’un calcaire moins pur.
Utilisées en construction chaux grasse et chaux
maigre font prise en se recarbonatant au contact
du gaz carbonique contenu dans l’air.
La chaux est fabriquée également à partir de
calcaires qui contiennent 15 à 20 % d’argile. Dans
ce cas, il se forme au cours de la calcination des
silicates et des aluminates de calcium en quantité
suffisante pour donner à ces chaux la propriété de
faire prise sous l’eau. Elles sont dites chaux
"hydrauliques".
La distribution de la chaux est assurée par un
réseau important localisé dans les différentes
villes
du
royaume
et
particulièrement
à
Casablanca (qui assure la distribution de plus de
la moitié de la production), Safi, Marrakech,
Agadir et Tétouan.
Conditions d’approvisionnement
L’approvisionnement en calcaire peut se faire dans la
région ou dans les régions avoisinantes.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
298
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MINISTERE DE L’INTERIEUR
WILAYA DE LA REGION
GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN
Fiche de projet n°S_BTP_08
Intitulé du projet
Unité
industrielle
de
fabrication des carreaux en
ciment
traditionnels
et
contemporains
Secteur
BTP
Branche
Matériaux de construction
‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬
Centre Régional d’Investissement
Données sur le secteur
L’industrie de fabrication des matériaux de
construction en ciment est une activité très
ancienne. Elle nécessite une technologie facilement
accessible et des équipements de production moins
onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des
agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment,
blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes,
bordures de trottoir et articles à usages divers.
Le secteur de la fabrication des agglomérés et
articles en ciment est représenté par 317 sociétés
réparties sur tout le territoire national et employant
un effectif de 11.995 personnes.
Justification du projet
15 personnes
La résorption du déficit actuel en logements et la
satisfaction des besoins accumulés et futurs
nécessitent une mobilisation générale et un
accompagnement
des
différents
secteurs,
notamment celui de la fabrication des matériaux de
construction.
Le secteur de fabrication des agglomérés et articles
en ciment est appelé à jouer un rôle important dans
la réalisation des grands programmes d'habitat social
et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra
également connaître une évolution favorable du fait
des programmes engagés, notamment, les 200 000
logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’
à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que
l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à
court terme.
Les perspectives de développement de cette
industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de
substitution de ces matériaux et leur poids important
dans la construction.
Marchés potentiels
Conditions d’approvisionnement
Régional 70% National 30%
Assurer un approvisionnement constant en ciment en
sac.
Lieu d’implantation proposé
Commune : Kénitra, Sidi Kacem,
Ouezzane, Sidi Slimane
Coût global du projet
1.500.000 MAD
Capacité de production
100.000 m² par an
Besoin en superficie
5000 m²
Besoin en RH
Informations utiles :
Contacts :
CRI-Kénitra +212.37.37.46.27
Assurer un approvisionnement régulier en agrégats
et granulats de bonnes qualités.
Conseils techniques
Les carreaux en ciment sont fabriqués avec le
mélange de ciment et d’une gravette de marbre.
Après la prise du mélange, la surface visible du
carreau est polie.
Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.
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