Dossier de presse Cendrillon
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Dossier de presse Cendrillon
OPÉRA-CONTE CENDRILLON D’après Jules Massenet Mise en scène : Jean-Philippe Amy Dès 6 ans www.patadome.com COMMUNICATION— DIFFUSION Carine Lefort 04 78 51 48 87 06 85 28 34 55 [email protected] PATA’DÔME THÉÂTRE 62 route d’Yvours 69540 Irigny 04 78 51 48 87 www.patadome.com Cendrillon Pour tous, dès 6 ans Opéra-conte D’après Jules Massenet Livret Henri Cain d’après Charles Perrault Transcription musicale Gilbert Amy Gilles Alonso Mise en scène et narration : Jean-Philippe Amy Chant Elisabeth Colombani Sonia Findling Emmanuelle Fruchard Bardassar Ohanian Quatuor instrumental Quatuor Léonis Costumes Claude Murgia Création Lumières Bruno Sourbier Création : 2007 Durée : 1 h Un quai, un quatuor faisant la manche, un voyageur perdu dans son journal, une fin de journée comme les autres puis une rencontre... □ Note de mise en scène JEAN-PHILIPPE AMY Prenant pour point de départ un espace public souterrain, le métro, ce parcours dans Cendrillon de Jules Massenet s’évertue à faire ressortir l’humanité comique et simplement belle de cette œuvre. Cet opéra-conte, ascenseur des émotions collectives, met à jour les angoisses ancestrales. La pièce se déroule autour d’un petit podium central mobile représentant le désir ultime des personnages mus par de fortes ambitions sociales : la mère, ses deux filles et Pandolfe. Au moment de la scène centrale de l’opéra, soit à l’occasion du bal, ce podium ne supportera que le Prince et Cendrillon, les deux personnages se trouvant dans un véritable état d’élévation amoureuse dépouillé de toute autre inspiration. Les entités symboliques, si propres au conte, amènent les acteurs-chanteurs à incarner successivement plusieurs personnages. Le changement de peau est là pour affirmer cette nécessité enfantine de fuir les ambitions assujettissantes des adultes. Car ici réside sans aucun doute la thématique principale de ce conte-opéra : le bonheur des enfants sacrifiés sur l’autel de l’ambition □ JULES MASSENET Compositeur Jules Massenet entre au Conservatoire de Paris où il étudie le piano, le solfège, le contrepoint et la composition (classe d'Henri Reber). Il obtient un premier prix de piano en 1859 et un premier prix de contrepoint en 1863. Admis à la villa Médicis grâce aux conseils d'Ambroise Thomas, il remporte le grand prix de Rome en 1863 grâce à sa cantate David Rizzio. Il rencontre à cette occasion Franz Liszt qui lui demande de le seconder dans ses tâches d'enseignement. Il regagne Paris et y connaît ses premiers succès avec la suite symphonique Pompéia et les opéras La Grand' Tante, Don César de Bazan, Marie-Magdeleine et Le Roi de Lahore. En 1878, il est nommé professeur au Conservatoire et compte Gustave Charpentier, Ernest Chausson, Georges Enesco, Henry Février, Reynaldo Hahn, Charles Koechlin, Albéric Magnard, Max d'Ollone, Gabriel Pierné, Henri Rabaud et Florent Schmitt parmi ses élèves. En 1884 est créé à Pont-de-l'Arche un de ses opéras les plus populaires, Manon, d'après le roman Manon Lescaut de l'abbé Prévost. Parmi ses autres œuvres célèbres, Don Quichotte, Hérodiade, Le Cid, Le Jongleur de Notre-Dame et plus encore, Werther composé en 1892, d'après Les Souffrances du jeune Werther de Goethe. Thaïs ne connut le succès qu'une décennie après sa création en raison de son sujet sulfureux, malgré sa Méditation religieuse pour violon solo au deuxième acte, connue sous le nom de Méditation de Thaïs. Jules Massenet a laissé une œuvre essentiellement lyrique (vingtcinq opéras) mais aussi pianistique et symphonique. Très sensible aux sujets religieux, il a souvent été considéré comme l'héritier de Charles Gounod. L'influence de Massenet se ressentira chez de nombreux compositeurs tels Ruggero Leoncavallo, Pietro Mascagni, Giacomo Puccini ou Claude Debussy dans son Pelléas et Mélisande. □ GILBERT AMY Transcription - Compositeur Né en 1936 à Paris, Gilbert Amy entreprend des études musicales au Conservatoire de Paris où il sera l'élève de Simone Plé-Caussade, Henriette Puig-Roger, Darius Milhaud et Olivier Messiaen. Quelques années plus tard, il fait la connaissance de Pierre Boulez qui lui commande Mouvements. Dès lors ses œuvres seront exécutées dans tous les hauts lieux de la création musicale : Donaueschingen, Darmstadt, Venise, Royan, Berlin, Varsovie... C’est en 1967 qu'il succède à Pierre Boulez à la direction des concerts du Domaine musical. Parallèlement, Gilbert Amy a poursuivi une carrière de chef d'orchestre en France et à l'étranger, dirigeant un répertoire très étendu. Il a entre autres dirigé l'Orchestre de Paris, l'Orchestre national de France, l'Orchestre de l'Opéra de Paris, l'Orchestre symphonique de la BBC, l'Orchestre de la radio de Hambourg, l'Orchestre de la radio Bavaroise, l'Orchestre de Chicago, l'Orchestre de la Suisse romande etc. En 1976, Gilbert Amy fonde le Nouvel orchestre philharmonique de Radio-France. En 1982, il enseigne la composition et l'analyse musicale à l'université américaine de Yale. Il est directeur du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon depuis 1984. Gilbert Amy a reçu en 1979 le Grand Prix national de la musique, en 1983 le Grand Prix de la Sacem, en 1986 le Grand Prix Musical de la Ville de Paris, en 1987 le Prix du Disque de l'Académie Charles-Cros et le Prix de la Critique Musicale pour la Missa cum jubilo. □ GILLES ALONZO Transcription Parallèlement à ses études pianistiques au Conservatoire National de Région de Marseille, Gilles Alonzo compose depuis l’âge de onze ans, ce qui lui permet de présenter un catalogue de plus de soixante œuvres. Son style est particulièrement influencé par le répertoire romantique. Lorsqu’il intègre la classe de composition du Conservatoire National de Région de Marseille il découvre et approfondit tout un pan de la musique moderne et contemporaine, affine son goût et ses choix esthétiques et décide de laisser de côté le piano et privilégie l’écriture symphonique. Reçu en 1999 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, dans la classe de piano de Roger Muraro. il obtient en juin 2003 son Premier Prix de piano avec mention très bien, et une semaine après, donne la création d’une musique originale sur le film Charlot Policeman de Charlie Chaplin, pour petit ensemble (onze musiciens). Dés lors, il ne séparera plus sa vie de pianiste de celle de compositeur trop intimement liées à ses yeux. Le 15 mai 2006, il dirige la création du Cabinet du Docteur Caligari, musique originale pour orchestre de soliste, sur le film de Robert WIENE du même nom. Enfin, en mai 2007, il obtient son prix de musique à l’image Mention Très Bien. Il poursuit en 2008 sa collaboration avec l'Ensemble de Basse-Normandie qui lui commande une musique originale sur le film de Louis Feuillade Juve contre Fantomas dont la création eu lieu le 29 juin 2008 au Théâtre de la Renaissance à Mondeville qui lui vaudra de nombreux prix. □ JEAN-PHILIPPE AMY Mise en scène et narration Fondateur et directeur du Pata’Dôme Théâtre, il est à l’origine de nombreuses créations telles que La Symphonie Ubuesque à deux voix, Citizen Faust Komédie, Le Millième Cierge, Le Menteur et enfin Cendrillon, récemment repris à l’Opéra-Comique de Paris. Egalement responsable de la formation en art dramatique des étudiants chanteurs du CNSMD, il y met en scène plus de vingt opéras de Mozart, Monteverdi, Ravel, Menotti etc.. Il a été pendant deux ans metteur en scène invité à l’Opéra National de Paris Bastille dans le cadre du Centre de Formation Lyrique où il monte entre autres La Flûte enchantée et Le Directeur de Théâtre de Mozart, Didon et Enée de Purcell. Plus récemment il a été récitant à l’Opéra de Lyon dans L’Histoire du Soldat et Hänsel und Gretel. □ ELISABETH COLOMBANI Soprano Noémie et Le Prince Après de brillantes études au conservatoire de Lyon où elle obtient une médaille d'or et un prix de perfectionnement de chant ainsi que de nombreux diplômes (musique ancienne et musique de chambre, flûte à bec, ...) et bourses d'études (Bullukian, Bavoilleau), Elisabeth Colombani se perfectionne au cours de master-classes avec J. Van Dam, A. Miltcheva, M. Honig et L. Nubar. Elle suit actuellement l'enseignement du baryton néerlandais M. Koningsberger. Elle suit parallèlement une formation d'art dramatique. Son tempérament scénique lui permet de jouer des personnages intrépides comme les rôles-titre de Clairette dans La Fille de Madame Angot de Lecocq et du Chat dans l'opéra pour enfants le Chat botté de S. Freyermuth ainsi que différents rôles de soubrettes : Vannella dans Lo Frate n'amorato de Pergolèse, Barberine dans Les Noces de Figaro, Clara dans L'Auberge du cheval blanc, Berginella et Ninetta dans La Périchole d'Offenbach ou bien encore des rôles de travestis comme Cupidon dans Orphée aux enfers d'Offenbach, le berger dans Mireille de Gounod et bientôt Siebel dans Faust de Gounod à Lyon. Elle s'illustre également grâce à son aisance stylistique dans les opéras baroques : Euridice de Peri (una ninfa), La Gerra de los gigantes de Duron (Hercules) donnés avec l'Opéra-studio de Genève ou encore Didon et Enée de Purcell (Belinda). Elle interprète le rôle délicat de Cendrillon de Massenet, exploite tout le brillant et la virtuosité de sa voix de soprano lyrique léger colorature en interprétant le rôle-titre de Minette dans La Chatte métamorphosée en femme d'Offenbach et s'oriente vers cette typologie vocale lors de ses récitals d'opéra. Elisabeth Colombani est invitée à se produire dans des récitals aux styles variés en interprétant des grands airs italiens (Bellini, Donizetti), des airs et duos d'opérettes, ou des mélodies de Poulenc. En musique ancienne, on a pu l'entendre dans des récitals d'airs et de cantates de Lully, Rameau et Montéclair, mais aussi dans des motets de Bach, Schütz et Schein à Genève. Parmi ses concerts, on retiendra La Missa romana de Pergolèse donné sous la baguette de R. Alessandrini au festival d'Ambronay, au théâtre du Capitole de Toulouse, ainsi qu'à l'auditorium de Lyon. Elle a chanté plusieurs fois Le Requiem de Fauré et a interprété la Messe du couronnement et Le Regina coeli de Mozart dirigés par N. Porte. □ SONIA FINDLING Mezzo Soprano Madame De La Haltière Dôtée d'une licence en Sciences du Langage et d'une licence d'Anglais, Sonia Findling part en Grande-Bretagne après ses études universitaires pour se former au Jazz, à la comédie musicale et au chant lyrique auprès de Jean Allister. Elle joue alors dans Summer Song de Antonin Dvorak au Grand theatre de Leeds, monté par Robert Tebb dans une version comédie musicale. Elle entre ensuite au CNR de Strasbourg et poursuit sa formation au CNIPAL de Marseille. Elle obtient sa médaille d’or au Conservatoire Hector Berlioz de Bourgouin-Jallieu en chant et en musique de chambre en 2001 dans la classe de Jan-Marc Bruin. Elle se perfectionne ensuite auprès de Noëlle Barker et Gary Magby, puis travaille l'interprétation avec Alain Garichot, Laurent Pelly et André Fornier, directeur de l’OpéraThéâtre à Lyon. Elle joue dans les comédies musicales Totoche & partners (le rôle de la poupée) Michel Beatrix et dans Mayflower à Lyon (le rôle de Jenny) mise en scène de Gilles Ducloux. Elle fait ses premières expériences scéniques en lyrique avec le Chœur de l’Opéra National de Lyon. Elle chante dans le Choeur des Musiciens du Louvre (Marc Minkowski) et le Chœur du Châtelet. Elle se produit comme soliste dans un répertoire de Lieder (Mendelssohn, Schumann, Brahms), de mélodies françaises (Debussy, Duparc, Fauré) et d’oratorios, notamment dans des œuvres de Huygens, Purcell, Bach (Passion selon St-Jean), Pergolèse (Stabat Mater), Mozart (Requiem), Duruflé (Requiem), etc. Elle crée à Strasbourg La Missa Solemnis de Serge Lancen. Elle chante avec la Compagnie Barbaroque dans diverses productions dont Le Bourgeois Gentilhomme mis en scène par Viviane Théophilidès aux Fêtes Nocturnes du Château de Grignan. En 2007, elle présente des œuvres de Florence Duchêne avec Le Concert Arcadien. Elle se voit proposer des rôles, tels que Charlotte dans La Grande Duchesse de Gerolstein (mise en scène de Bernard Pisani), le rôle-titre dans La Belle Hélène d’Offenbach, Mme Donnadieu dans l’opéra pour enfants Martin Squelette d’Isabelle Aboulker et, dans la mise en scène de J-P Amy de Cendrillon de Massenet à l'Opéra Comique, Mme de La Haltière. Elle joue également dans Candide de Bernstein, mise en scène Robert Carsen avec Lambert Wilson au théâtre du Chatelet. Elle enseigne en 2009-10, la technique vocale de la comédie musicale à l’AICOM-Lyon (Académie Internationale de Comédie Musicale) dont elle est responsable pédagogique. Elle crée en 2010 l'ensemble «Vocalescence» avec la chanteuse-auteur-compositeur Florence Duchène et Zdenka Ostadalova au claviers (clavecin, piano, orgue). Toujours en recherche, Sonia perfectionne encore aujourd'hui sa technique auprès de Pierre-Yves Duchesne et Laurence Cohen. □ EMMANUELLE FRUCHARD Mezzo-Soprano Dorothée et Cendrillon Emmanuelle Fruchard commence ses études musicales à la maîtrise de Radio France et étudie également le piano et le violon . Elle complète sa formation musicale auprès de Lorraine Nubar, Dalton Baldwin, Marten Königsberger et Margreet Honig, auprès de qui elle se perfectionne désormais. En parallèle, elle obtient une maîtrise de musicologie à la Sorbonne (Paris IV). Lauréate en 1998 du concours international Henry Sauguet (France), elle est engagée la même année l'Opéra National de Lyon. Durant 2 saisons, elle chante sous la direction de chefs dont L. Langrée (La tasse dans L'enfant et les sortilèges de Ravel), D. Robertson (Le pivert dans La petite renarde rusée de Janacek) L. Gay (Jenny le chat dans Pinocchio de Menozzi) N. Beardmoore (une furie dans L'ivrogne corrigé de Gluck) et participe à la création mondiale de L'Oracle de voyage dirigée par P. A. Jaffrenou (Gaêlle). Elle donne également des récitals (lieder, mélodies, airs d'opéra), préparés par R. Lifschitz et H. Lucas, accompagnée au piano par P. Longo. En 2000, elle obtient le deuxième grand prix "femme" au concours international de Vivonne (France) et part en tournée avec la compagnie "Opéra - Théâtre" dans le rôle de Chérubin (Les Noces de Figaro de Mozart) qu'elle chantera pour les deux saisons à venir. En 2001, Elle chante Junon (Cadmus et Hermione de Lully) sous la direction de C. Rousset lors d'une tournée européenne, et incarne à la salle Molière de Lyon Ascanio, rôle titre de l'Opéra bouffe de Pergolese Lo Frate 'nnamorato, avec l'ensemble baroque "cancionero". En 2002, elle est Flora (La Traviata de Verdi) à Genève, sous la direction musicale de J.M Curti ainsi que le pivert dans La petite renarde rusée de Janacek au théâtre des champs Elysées à Paris, dirigé par J. Darlington. En 2004, elle est la ninfa dans L'Orfeo de Monteverdi à l'Opéra National de Lyon, dirigé par P. Pickett, puis Aldébarane, dans l'Opéra contemporain l'Enfant dans l'ombre de D. Puntos, dirigé par lui-même à Lyon, Peeh Booh dans Le Mikado de Sullivan, mis en scène par J. Duparc et dirigé par D. Benetti, puis Garcia dans Don Quichotte de Massenet, mis en scène par D. Ory et dirigé par F.X Bilger, tous deux à l'opéra d'Avignon. Emmanuelle Fruchard consacre également une partie de son activité à la musique Sacrée (Stabat mater, messes), baroque (madrigaux de Monteverdi, récitals Vivaldi, Caccini, … en airs de cours ou d'opéra) et contemporaine (créations), lors de concerts et récitals, notamment avec le Parlement de musique dirigé par M. Gester, les Concerts de L'hostel Dieu dirigés par F. E. Comte, l'ensemble instrumental baroque "Cancionero" dirigé par P. Loeillet, ou l'ensemble "Résonnance Contemporaine" dirigé par A. Goudard. En août 2004, elle a participé au festival Berlioz, avec l'ensemble de soliste " temps relatif " dirigé par L. Denoux, interprêtant des duos, quatuors et sextuors de Brahms, Schumann, et Schönberg, et en sept oct 2004 elle a chanté La messe en lab maj de Shubert avec l'orchestre des pays de Savoie, sous la direction de G. Contratto. Elle vient de donner des récitals Mozart à Lyon avec l'ensemble baroque " Les nouveaux caractères " dirigé par S. D'Hérin. □ BARDASSAR OHANIAN Baryton Pandolfe Natif de Valence, il se tourne vers le chant après avoir commencé ses études musicales par le piano. En 1987, il couronne son cursus en obtenant la Médaille d’Or et le Prix d’Excellence à l’ENM de Romans. Par la suite, il a été lauréat de nombreux concours (Deuxième Prix du Concours Milhaud à Marseille, Prix d’opéra à Marmande, Prix UFAM d’Honneur, Prix d’Honneur du Concours Léopold Belland à Paris, Finaliste du Concours International Lyrique Colzani de Budrio (Italie) et Finaliste de Concours d’Opéra Mezzo TV Opéra Bastille et à Szeged (Hongrie)). Depuis 1990, Bardassar poursuit sa carrière de chanteur en participant à de nombreuses productions d’opéra. En 1993 il est remarqué par le violoncelliste Mstislav Rostropovitch, il participe, sous sa direction, à la création d’un opéra russe, où il tient un des premiers rôles - le Divo - dans une mise en scène de M. Pokrovsy. En 1994 il interprète son premier Figaro dans la tournée nationale du Le Barbier de Séville de Rossini avec l’Opéra de chambre de Paris dirigé par A. du Clauzel tandis qu’en 1995 c’est au tour du Comte Almaviva dans Les Noces de Figaro de Mozart, mis en scène par M. Mary avec l’Orchestre de l’Opéra de Prague. Il retrouve Figaro du Barbier à l’Opéra-Théâtre de Lyon en 1997 puis au Festival d’Avignon, dans une mise en scène d’A. Fornier associant Commedia Dell’Arte, texte de Beaumarchais et musique de Rossini. En 1999 il chante son 100ème Figaro de Rossini à l’Amphithéâtre de L’Opéra-Bastille de Paris en mars de la même année, il aborde le rôle-titre du Don Giovanni de Mozart sous la direction de Mr Siranossian. En 2004 : l’Opéra-Studio de Genève l’engage pour interpréter le rôle du Comte Almaviva des Noces de Figaro de Mozart sous la direction de J-M. Curti. La Scène Nationale de Villefranche l’invite à chanter le personnage fabuleux de Noé dans Noé et le Déluge de B. Britten, en version originale. Le Théâtre National d’Erevan (Arménie) lui offre l’opportunité de chanter le rôle de Germont dans La Traviata de Verdi, avec une mise en scène du ténor G. Grigorian et une direction de M. Assadrian. En 2005 une expérience originale lui échoit : la création musicale et théâtrale pour soliste baryton sur le film inachevé d’Orson Welles, Don Quichotte. Le texte est de J-C. Carrière et la direction d’orchestre de R. Tricarri. On a pu voir ce spectacle au Printemps des Comédiens à Montpellier, à Nîmes, à la Comédie de Valence, à la Coursive de La Rochelle et à l’Opéra de Nantes. 2007-08 : création à Lyon d’un spectacle mêlant chant, danse, comédie et magie, Les Folies d’Offenbach, mis en scène par J. Lacornerie et dirigé par B. Tétu avec les Percussions de Lyon. Ce spectacle bénéficie d’une longue tournée nationale et internationale. □ LE QUATUOR LÉONIS Formé en 2004 de jeunes musiciens diplômés du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, le quatuor Leonis se distingue lors de prestigieux concours internationaux : Concours international du Forum de Normandie (2005), Concours européen de musique de chambre de Paris, prix SPEDIDAM-FNAPEC (2005) et 3e prix du Concours international de Genève (2006). Il se perfectionne auprès de grands maîtres du quatuor : les quatuors Ravel et Ysaÿe , Gábor Takács-Nagy à la Haute École de musique de Genève et le quatuor de Tokyo à l'Académie de musique de chambre de l'université de Yale (États-Unis) en 2005. Il suit également le programme de formation professionnelle Proquartet-CEMC, à cette occasion, il travaille notamment avec Eberhardt Feltz et les musiciens des quatuors Berg, Hagen, LaSalle et Fine Arts. Le quatuor Leonis s’est produit lors de nombreux festivals et dans de prestigieuses salles de concert en France et à l’étranger : Festival de l’Épau, Festival de l’orangerie de Sceaux, Festival Berlioz de La Côte-Saint-André, Fêtes musicales de Corbigny, Festival d’Hix en Cerdagne, Festival de musique en Artois, Académie de Villecroze, International Chamber Music Festival de Trondheim (Norvège), Norfolk Chamber Music Festival (États-Unis), Encuentro Musical de Santander (Espagne), Festival d’Orlando (Pays-Bas), Tournée AJAM (Allemagne), festival Archipel de Genève, Théâtre du Châtelet, salle Pleyel, Arsenal de Metz, salle Molière à Lyon, salle Cortot, auditorium de la Sacem à Paris, GMEM de Marseille, auditorium Maurice-Ravel à SaintJean-de-Luz, Centre culturel de Belgrade ou encore à Tokyo. Le quatuor compte comme partenaires des interprètes de renom tels que Claire Désert, Philippe Berrod, David Grimal, Michèle Scharapan, Isabelle Moretti et Jörg Demus. En 2007, il entame une collaboration avec Jean-François Zygel et participe à l'émission « La Boîte à musique » sur France 2, à « La Leçon de musique » au Théâtre du Châtelet et au « Cabaret classique » sur France-Musique. Depuis 2008, le quatuor Leonis travaille avec le clarinettiste Florent Charpentier autour d'un répertoire de musiques d’Europe de l’Est, qui a fait l’objet d’un disque dans la collection « Jeunes solistes » de la Fondation Meyer (2009). Désireux d’élargir son champ artistique, le quatuor Leonis s’engage avec des compositeurs de notre temps pour la création d’œuvres et participe à des projets alliant création musicale, mise en espace et dispositif électronique en temps réel. Depuis 2008, il est partenaire du dramaturge et metteur en scène Olivier Py. □ LA COMPAGNIE PATA’DÔME THÉÂTRE Créée en 2001 par Jean-Philippe Amy, la Compagnie Pata’Dôme Théâtre explore le vaste champs de la création théâtrale. Du classique musicalisé (L’Avare de Molière) à l’opéra reformaté (Cendrillon de Jules Massenet), en passant par le conte «mélodramatisé» (Le Millième cierge de Claude Seignolle) ou encore la farce opératique déjantée et interactive (Citizen Faust Komédie de JeanPhilippe Amy et François Jacquet, Symphonie Ubuesque d’après Alfred Jarry), tout ou presque est propice aux adaptations et aux innovations. □ LE PATA’DÔME THÉÂTRE Le Pata’Dôme Théâtre a été conçu par Jean-Philippe Amy comme moyen de réinventer l’espace de représentation théâtrale. Plus question de rester prisonnier des bonnes conventions théâtrales qui amènent traditionnellement à un rapport frontal avec le public. A chaque nouveau spectacle, grâce à son dôme en bois : un nouveau rapport au public, histoire de rafraîchir les yeux et les oreilles des spectateurs avec des mises en scène : bi-frontales, à 360°, intégrées ou intégrales. FICHE TECHNIQUE □ Plateau : - ouverture minimale : 7 m - profondeur : 5 m - hauteur sous perche minimum : 3 m Lumières : voir plan de feu □ Conditions tarifaires 6000€ H.T une séance 4000€ H.T la 2e séance Frais de déplacement : trajet aller-retour véhicule léger départ Lyon tarif SYNDEAC + hébergement éventuel Scolaires : à négocier