Corrige exercices propositions subordonnees
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Corrige exercices propositions subordonnees
Corrigé : Les propositions subordonnées 1/ Soulignez, dans le texte ci-dessus, les subordonnées sujets ; marquez-les d’un des signes sub.s. ( = sujet ) ; -sub.s.r. ( = sujet réel ; dans ce cas, marquez du signe s. app. Le sujet apparent ). Il (s.app) me souvient que ma mère passait ses journées dans le petit salon (s réel) et que je jouais près d’elle , sur le tapis, avec un mouton (sr) qui n’avait que trois pieds, après en avoir eu quatre. Cela me plaisait que mon polichinelle remuât les bras désordonnément(sub.s) ; il (sa) fallait que j’eusse en ce temps-là beaucoup d’imagination (sr), car ce polichinelle et ce mouton me représentaient les personnages divers de mille drames curieux. Que mon polichinelle eût la tête de travers (sr) me remplissait d’inquiétude : il (sa) convenait, dans mon esprit, que j’en fisse part à ma mère(sr) Toujours inutilement. D’où vient que les grandes personnes ne comprennent jamais bien les explications des petits enfants ? (sub.s) 2/ Même exercice. a) 1. Quiconque ment est indigne de notre estime. 2. Cela m’étonne que tu ne m’aies pas averti. 3 . Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son. 4. Bien des hommes sont intempérants : de là vient que leur santé est précaire. 5. A beau mentir qui vient de loin. b) 1. Un mauvais fils être un bon citoyen, cela n’est pas possible. 2. Il (suj. app) semble à bien des gens qu’ils ont peu de défauts.(sub.suj.réel) 3. Que ses amis le méconnussent le remplissait d’amertume. 4. Il (suj.app) faut ici-bas que nous achetions des instants de bonheur par des sacrifices continuels. 5. Cela ne nous plaît guère qu’on nous reprenne de nos fautes. 6. Qu’ils continuent de n’être pas d’accord sur des points essentiels rend plus saisissant le point acquis du travail commun. 3/ Joignez à chaque verbe principal une subordonnée sujet : 1. Il est certain …que tu viendras 2. Peu importe …que tu sois fatigué ou non 3. D’où vient …que le temps nous paraît toujours trop court ? 4. …Qu’il ait voulu provoquer cette situation, cela ne fait pas doute. 5. C’est étrange que …que tu sois revenu aussi vite 4/ Mettez au mode convenable les verbes en gras : a/ 1. Il faut que nous ( rendre, prés. ) à chacun ce qui lui revient. rendions 2. Il convient que vous ne ( manquer, prés. ) aucune occasion de vous instruire. manquiez 3. Il est possible que vous ( devenir, prés ) riche, mais est-il sûr que vous ( être, prés. ) pour cela plus heureux ? deveniez, soyez 4. Il semble aux vieilles gens que le monde ( aller, imparf. ) mieux quand ils étaient jeunes. allait 5. Que le travail ( être, prés. ) un trésor, le laboureur de la fable le fit voir à ses enfants. soit b/ 1. N’est-il pas sûr que notre science ( être, prés.) peu de chose auprès de ce que nous ignorons ? est 2. D’où vient que nous n’( aimer, prés.) guère à descendre en nous-mêmes ? aimons 3. Ce n’est pas toujours un vrai mal que nous ( subir, prés.) un échec : il arrive que d’un mal ( sortir, prés.) un grand bien. Subissions sorte 4. Qu’on ( être puni, prés.) par où l’on a péché, la chose est bien certaine. soit 5. Il est rare que nous ( user, prés.) de la même mesure pour nous et pour les autres. usions 5/ Conjugaison : Conjuguez au présent de l’indicatif : contredire. Je contredis, tu contredis, il contredit, nous contredisons, vous contredisez, ils contredisent 6/ Soulignez, dans le texte ci-dessus, les subordonnées attributs, encadrez le mot dont elles sont les attributs. a) 1. La plupart désirent faire le bien ; le malheur est qu’ils manquent de volonté. 2. Quand vous ne discernez pas clairement votre devoir, le mieux est que vous demandiez conseil à vos parents. 3. Le pigeon de la fable échappa à différents dangers ; le pis du destin fut qu’un vautour le saisit dans ses serres. 4. Le mal, disait le savetier de la fable, est que dans l’année s’entremêlent des jours qu’il faut chômer. 5. Mon opinion est que vous feriez mieux d’attendre. 6. La continuelle crainte de ma grand-mère était que nous n’eussions pas assez à manger. b) 1. Cet homme puissant sera-t-il encore demain qui il est aujourd'hui ? 2. Ma meilleure consolation est que mes enfants sont armés pour la lutte de l’existence. 3. Votre avenir ? C’est de quoi je me préoccupe. 4. Entre le ministre et le concierge, accomplissant l’un et l’autre leur devoir, la seule différence est que leurs travaux sont d’importance inégale : le mérite moral de l’un et de l’autre est le même. 5. Le meilleur élève n’est pas qui vous croyez. 7/ Joignez aux expressions suivantes une subordonnée attribut. 1. Mon vœu est que …tu sois heureuse 2. Le souhait d’un bon fils est que …ses parents deviennent fiers de lui. 3. Vous perdez un temps précieux : le résultat sera que …vous serez perdus au dernier moment. 4. Je vous ai fait voir les avantages de la bonne humeur ; ma conclusion sera que …vous pouvez maintenant en voir les bienfaits. 5. La première condition du bonheur est qu’on le cherche. 8/ CONJUGAISON : Conjuguez au plus-que-parfait de l’indicatif, forme interrogative négative : sortir. N’étais-je pas sorti, n’étais-tu pas sorti, n’était-il pas sorti, n’étions-nous pas sorti, n’étiez vous pas sorti, n’étaient-ils pas sorti ? 9/ ANALYSE. Analysez les mots en gras : ‘ La science pénètre aujourd’hui jusqu’ (préposition) aux profondeurs de ce monde étonnant dont (pronom relatif ; antécédent : monde ) Pasteur lui (pron.perso ; COI ) a ouvert les portes : le monde (nom ; apposition à monde étonnant )des microbes. ’ 10/ Soulignez les subordonnées en apposition ; encadrez le nom ou le pronom auquel chacune d’elle est apposée. a) 1. Que pourrait-on objecter contre cette maxime que l’union fait la force ? 2. Le fait que vous vous excusez éveille l’idée que vous êtes coupable. 3. Cet homme était instruit et, qui mieux est, il était d’une parfaite honnêteté. 4. Souscrirez-vous à ce principe que la raison du plus fort est toujours la meilleure ? 5. L’enfance a cela d’admirable qu’elle ne cache pas ses sentiments. b) 1.Mon père est au bureau, qui lit. 2. Les éducateurs insistent volontiers sur ce précepte que l’on fait soi-même son avenir. 3. L’oisiveté nuit à la santé et, qui pis est, elle entraîne à toutes sortes de vices. 4. Le fat s’arrête volontiers à cette opinion qu’il est largement pourvu d’excellentes qualités. 5. Le malheur a ceci d’excellent qu’il peut nous rendre meilleurs. 6. Le printemps vient, on le sent qui souffle partout sa tiède haleine. 7. Il arriva un moment où Guillaume eut certitude que le terrain mollissait constamment. 11/ Mettez au mode convenable les verbes en gras. 1. Je veux donner à mes parents cette satisfaction que je ( comprendre, prés.) leur dévouement. comprends 2. Les philosophes ont souvent fit cette réflexion que tout ici-bas n’( être, prés.) que vanité. est 3. Le travail a cela d’utile qu’il nous ( permette, prés. ) d’échapper à l’ennui. permet 4. Chez un bon citoyen, ce souhait est naturel que sa patrie ( être, prés.) grande et prospère. soit 5. Je ne désire qu’une chose : que vous ( faire, prés.) de beaux progrès. fassiez 6. rappelez-vous ce principe que vous ( réussir, prés.) mieux si vous étiez méthodique. réussiriez 12/ VOCABULAIRE : Donnez 7 mots en –cide impliquant l’idée de ‘ tuer ’ ( lat. caedere = tuer). ( Pensez aux éléments : un père, un homme, un frère, un roi, Dieu, un insecte, soi-même ). Parricide, homicide, fratricide, régicide, déicide, insecticide, suicide. 13/ ANALYSE : Dites quelle est la fonction des mots en gras ; ‘ Va bien vite allumer (CC de but de va ) les cierges et sonner le premier coup de la messe ; car (conjonction de coordination ; pas de fonction) voilà (présentatif ; pas de fonction )que minuit est proche.’ (attribut de minuit ) 14/ Soulignez, dans le texte ci-dessus , les subordonnées compléments d’objet ; encadrez les verbes auxquels elles se rattachent. a) 1 . Le succès appartient à qui le conquiert. 2. Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es. 3. Dites-moi quels sont vos projets d’avenir. 4. Un homme sage ne s’attend pas à ce que les difficultés se résolvent d’elles-mêmes. 5. Tu te plains de ce que ton ami t’a froissé ? Demande-toi si toi-même tu ne l’as pas un peu vexé. b) 1. Peut-être aurai-je du mal à faire croire à un jeune lecteur qu’à douze ans je considérais les oranges comme un fruit prestigieux et rare. 2. Nicolas se rappela que le rez-de-chaussée était habité par des gens simples. 3. Il fallait regarder attentivement pour distinguer où se terminait la mer. 4. J’entendis marcher derrière moi, et je sentis qu’on me touchait à l’épaule. 5. Partout les rivages cédaient à la poussée montante, et l’on comprenait qu’en amont, des barrages avaient craqué. 6. Nous en étions encore à trouver incroyable, inimaginable, qu’un petit avocat de Bazas ait osé se porter, comme on dirait, contre le marquis de Lur-Saluces. 15/ Mettez dans une 1re colonne les sujets des propositions infinitives ; et dans une 2e colonne, en face de chacun d’eux, les infinitifs qui y correspondent. 1. La chèvre de M. Seguin regardait les étoiles danser dans le ciel clair. 2. Laissez dire les sots : le savoir a son prix. 3. Je me vois encore sauter sur les genoux de mon grand-père ; je l’entends encore me raconter ses histoires. 4. Il est difficile d’extirper certaines habitudes quads on les a laissées prendre racine. 5. Le chat a pris une souris ; il lui fait faire quelques pas, puis il lui plante ses griffes dans les flancs. 16/ CONJUGAISON : Conjuguez au futur simple : défaillir. Je défaillirai, tu défailliras, il défaillira, nous défaillirons, vous défaillirez, ils défailliront 17/ ANALYSE : ‘ Qui dira (principale) si jamais la campagne fut plus belle (complétive COD) que ce jour (elliptique , CC de comparaison, verbe sous-entendu ) où je vis (relative ; ct du nom jour ) les riches moissons rentrer parmi les chants (infinitive ; COD de vis )? ’ – Distinguez, dans cette phrase, les diverses propositions ( nature, fonction ). 18/ Changez la tournure des phrases suivantes en mettant en tête de la phrase la subordonnée complément d’objet : Modèle : ‘ Vous avez que le travail est un trésor.’ / Que le travail soit un trésor, vous le savez. 1. Tout homme sensé admettra qu’on doit réfléchir avant d’agir. Qu’on doive réfléchir avant d’agir… 2. Qui ne croirait que la paix vaut mieux que la guerre ? Que la paix vaille mieux que la guerre… 3. Le proverbe affirme que l’occasion fait le larron. Que l’occasion fasse le larron… 4. On a dit avec raison qu’on prend plus de mouches avec une cuillerée de miel qu’avec cent barils de vinaigre. Qu’on prenne plus de mouches avec une cuillérée de miel… 5. Tout le monde admet que la persévérance vainc beaucoup d’obstacles. Que la persévérance vainque beaucoup d’obstacles… 6. L’expérience nous enseigne qu’on est puni par où on a péché. Qu’on soit puni par où on a péché… 19/ CONJUGAISON : Conjuguez au plus-que-parfait de l’indicatif, forme interrogative négative : entrer. N’étais-je pas entré, n’étais-tu pas entré, n’était-il pas entré, n’étions-nous pas entrés, n’étiez-vous pas entrés, n’étaient-ils pas entrés ? 20/ Joignez à chacune des propositions suivantes une subordonnée complément circonstanciel de temps : a) 1. Nous mettrons nos forces au service d’une noble cause quand nous en aurons l’occasion. 2. On n’a pas le droit d’être sévère pour autrui lorsqu’on est trop indulgent avec soi-même. 3. Tout chante dans la nature lorsque le printemps revient. 4. Notre cœur est doucement ému quand nous revenons sur les lieux de notre enfance. 5. La lutte contre les maladies infectieuse est devenue efficace depuis que Flemming a inventé la pénicilline. b) 1. Nous éprouvons du remords après avoir agi sous l’emprise de la colère. 2. Le renard et le bouc songèrent à sortir du puits après qu’ils eurent bu. 3. Continuez vos efforts jusqu’à ce que vous réussissiez votre concours. 4. On se déshonore dès qu’on manque à notre éthique. 5. Le laboureur de la fable conseille à ses enfants de remuer leur champ dès que ce sera possible. 21/ Tournez les phrases suivantes de façon que chacune d’elles contienne une subordonnée complément circonstanciel de cause : 1. Comme la persévérance est une des conditions du succès ; sachez donc prolonger votre effort. 2. Mettons à profit chaque jour qui passe car le temps est court. 3. Comme je vois votre repentir : je vous pardonne. 4. Ne te fie pas aux apparences, parce qu’ elles sont souvent trompeuses. 5. Tu ne réponds pas ? tu ne m’as pas entendu ? Est-ce parce que tu ne m’as pas entendu que tu ne réponds pas ? 6. Parce que j’ai peu d’expérience,je ne jugerai pas à la légère. 22/ Tournez les phrases suivantes de telle façon que chacune d’elles contienne une subordonnée complément circonstanciel de but : 1. Si vous êtes aveugle, ne vous faites pas conduire par un autre aveugle de crainte que vous ne tombiez tous deux dans le fossé. 2. Un bon père de famille pratique l’économie afin que ses enfants ne manquent de rien plus tard. 3. Certaines gens étalent leurs connaissances pour qu’on admire leur vaste culture. 4. Approchez que je vous voie mieux. 5. Le meunier et son fils portaient, suspendu, leur âne à la foire afin que l’animal fût ainsi plus frais et de meilleur débit. 23/ Tournez les phrases suivantes de manière que chacune d’elle contienne une subordonnée complément circonstanciel de conséquence : 1. L’honneur est trop précieux pour que nous nous exposions à le perdre. 2. Votre jugement est-il sûr que vous ne vous trompiez jamais ? 3. Les fils du laboureur retournèrent si bien leur champ qu’il en rapporta davantage. 4. Il y a des gens tellement susceptibles que la moindre critique les fait bondir. 5. Une telle angoisse m’étreignait que je n’osais pas faire un mouvement. 24/ CONJUGAISON : Conjuguez au présent de l’indicatif : ‘ ne pas se départir de son devoir’. Je ne me dépars…, tu ne te dépars,…départ, départons, départez, départent. 25/ ANALYSE : Décomposez la phrase suivante en ses diverses propositions ( indiquez : nature, fonction ) : Ah ! çà, me dit-il (incidente ), je m’étonne (principale ) que vous ne sachiez pas encore (Proposition complétive COI ) que, lorsqu’un supérieur parle (CC de temps ) , on écoute (proposition complétive COD ) l’autorité s’exprimer par sa voix. (infinitive COD ) 26/ Tournez les phrases suivantes de telle façon que chacune d’elle contienne une subordonnée complément circonstanciel d’opposition : 1. On a beau être savant, on ne peut tout savoir. Quelque savant qu’on soit… 2. Vous direz ce que vous voudrez : je n’admettrai pas que la fin justifie les moyens. Quoi que vous puissiez dire… 3. Vercingétorix combattit avec courage ; pourtant il ne put résister à César. Bien qu’il eût combattu avec courage… 4. La maison de Socrate était petite ; elle lui paraissait pourtant trop grande encore pour être remplie de vrais amis. Aussi petite qu’était la maison de Socrate… 5. Réglez votre existence de la façon que vous voudrez : les gens en parleront. De quelque façon que vous régliez votre existence… 27/ Tournez les phrases suivantes de manière que chacune d’elles contienne une subordonnée complément circonstanciel de condition : 1. Tu veux qu’on t’épargne ? épargne aussi les autres. Si tu veux qu’on t’épargne… 2. Je vous pardonne, mais à une condition : promettez-moi de vous corriger. A condition que vous me promettiez… 3. L’avare s’accommode des pires choses, mais il doit conserver son trésor. Pourvu qu’il conserve son trésor. 4. Vous ne parviendrai pas à triompher de l’ennemi ; par votre union, vous y parviendrez. A moins que vous ne soyez unis. 5. Supposons que vos amis vous trahissent ; souhaiterez-vous leur malheur ? Supposé que vos amis vous trahissent… 6. On peut me blâmer, on peut me louer, je n’en ferai qu’à ma tête, dit le meunier de la fable. Qu’on me blâme, qu’on me loue…