balade batellerie
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balade batellerie
Balade dans le HAINAUT Organisation Martine et Jean-Luc Participants Jean-Michel - Sylvie Fred – Christine - Pascal Martine Jean-Luc Richard – Martine Philippe – Claudine Pascal – Corinne – Marceau – Simon – Marie Adhérents Jean-Michel - Fred – Martine - Jean-Luc - Richard – Philippe – Pascal Hébergement sauf famille MALBRUNOT Relais ECO-VELO (ancienne gare) 1, Rue Aristide Briand 59680 FERRIERE LA GRANDE 0327669065 12€ la nuit soit 36€ Vendredi 22/04/2011 Arrivée des participants suivant leurs disponibilités, Jean-Luc sera sur le site pour l’accueil. Samedi 23/04/2011 D936 N49 N40 N561 N55 N55 N55 CC FERRIERE LA GRANDE MAUBEUGE N49 X N40 SORLE SUR SAMBRE MERBES LE CHATEAU BINCHE PONT SAINT VAAST HOUDENG AIMERIES ASCENSEUR FUNICULAIRE STREPY THIEU 0 3 16 18 21 31 35 39 40 ASCENCEUR FUNICULAIRE STREPY-THIEU Commencé en 1982 et inauguré en 2002, il permet de franchir une dénivellation de 73,15 mètres. Il est actuellement le plus grand ascenseur à bateaux du monde. Il remplace désormais six ouvrages, les quatre ascenseurs à bateaux du Canal du Centre et deux écluses. Il constitue la fin d'un programme de mise au gabarit de 1350 tonnes des voies navigables belges et permet le passage de bateaux de ce gabarit entre le bassin de la Meuse et celui de l'Escaut. En 2006, il a permis une croissance du trafic fluvial sur le canal du Centre de 22.7%, ce qui porte la croissance totale depuis 2004 à 80%1. CC CC ASCENSEUR FUNICULAIRE STREPY THIEU HOUDENG AIMERIES 40 41 CC HOUDENG COEGNIES ASCENSEUR A BATEAUX DU CANAL DU CENTRE 45 ASCENSEUR A BATEAUX DU CANAL DU CENTRE Les Ascenseurs à bateaux du Canal du Centre sont quatre ascenseurs à bateaux hydrauliques construits en Belgique entre 1888 et 1917. Ils permettent de compenser ensemble une dénivellation de 66 mètres. De ces quatre ascenseurs, l'un permet de rattraper une dénivellation de 15,40 mètres, les trois autres de 16,93 mètres chacun. Les ascenseurs se trouvent sur un canal de liaison entre le bassin de la Meuse et l'Escaut, dénommé Canal du Centre, à proximité de la ville de La Louvière, dans la province du Hainaut en Région wallonne. Ces ascenseurs sont doubles, les poids des deux bacs se compensant et permettant une manipulation par la seule force hydraulique. Ce type de dispositif était cependant déjà en vigueur sur des ouvrages plus anciens et plus modestes (ex : funiculaire de Bom Jesus). Les Ascenseurs à bateaux du Canal du Centre font partie du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1998. Des huit ascenseurs à bateaux de ce type construits fin du XIXe et début du XXe siècle, les quatre du canal du Centre sont les seuls fonctionnant encore avec leur machinerie et leur mécanisme d'origine. Depuis 2002, l'usage de ces ascenseurs est limité à la navigation de plaisance. Pour le trafic de marchandise, l'Ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu est désormais opérationnel. N535 ASCENSEUR A BATEAUX DU CANAL DU CENTRE E19 LE ROEULX N534 E19 X N534 PLAN INCLINE DE RONQUIERES 45 49 58 66 PLAN INCLINE DE RONQUIERES La construction du plan incliné de Ronquières a débuté en mars 1962, sur décision du ministère des Travaux Publics, pour s'ouvrir à la navigation en 1968. En autorisant le passage de péniches de 1350 tonnes, cet ouvrage a permis la suppression de 14 anciennes écluses. De même que pour les autres ouvrages d'art hydrauliques, la Division de l'Electricité, de l'Electromécanique, de l'Informatique et des Télécommunications (D.E.E.I.T.) gère les problèmes relatifs aux équipements électromécaniques du plan incliné. N534 N59 N59 N59 N59 PLAN INCLINE DE RONQUIERES N59 X E19 N59 X E42 ANDERLUES LES BONNIERS THUIN ECOMUSEE DE LA BATELLERIE LE THUDO 66 74 82 91 96 100 ECOMUSEE DE LA BATELLERIE LE THUDO Entre Thuin et la batellerie, c'est une longue histoire d'amour qui remonte à des temps immémoriaux. Début du XXe siècle, Thuin comptait plus de 1100 chefs de famille bateliers sur une population de 5000 habitants. Devant une page d'histoire aussi importante, nous vous offrons la possibilité de vous plonger dans le monde passionnant de la batellerie. Ainsi, à bord de notre péniche-musée, vous découvrirez la vie batelière à Thuin, les différentes étapes de la construction d'époque, des maquettes, des documents sur les événements de guerre,... N559 N559 N40 N597 D936 THUIN LOBBES SARTIAU BEAUMONT COUSORLE FERRIERE LA GRANDE 100 101,5 109,5 114 122 133 Diner au gite D936 FERRIERE LA GRANDE D936 COUSORLE N40 BEAUMONT BARBENCON 133 144 152 155 DISCOTHEQUE LA LOCOMOTIV’ BARBENCON Loco à BEAUMONT une atmosphère une ambiance tout simplement N40 BARBENCON N597 BEAUMONT D936 COUSORLE FERRIERE LA GRANDE 155 158 166 177 Dimanche 24/04/2011 D27 FERRIERE LA GRANDE D962 SORLE LE CHATEAU D962 SARS-POTERIES 0 14,5 19,5 Les poteries : Les premiers potiers, sans doute au moyen âge, ont trouvé sur place terre et bois indispensable à la cuisson et surtout une variété exceptionnelle de terre à pot : poterie de terre, poterie de pierre ou de grès. Le sous sol est riche aussi en sable ce qui justifie l'implantation des nombreux ateliers de poteries qui trouvent sur place tous les matériaux nécessaires. Les plus anciennes mentions de poteries sont de 1528, 1595, 1615 et la charte des potiers du 9 Avril 1967. D'une dizaine d'ateliers à la fin du XVIIIème, on passe à environ 30, ce sont des petites entreprises familiales qui se transmettent de génération en génération auxquelles s'ajoute quelques petites fabriques de tuyaux de grès pour canalisations dont l'activité est particulièrement prospère fin du XIXème et début du XXème. Des quantités de Wagons partaient vers les villes et vers Paris. Il faut ajouter plusieurs fabriques de carreaux , tuileries, briqueteries... De nos jours, il n'existe plus que deux poteries à Sars-Poteries. Il existe encore à Sars-Poteries deux poteries artisanales : "La Faîtière " : création et réalisation en grès émaillé – porcelaine. 14 rue Jean Jaurès 59216 Sars-Poteries - Tél. : 03.27.59.33.08 « Leclercq » : création en grès au sel 35 rue du Général Leclerc - Tél. : 03.27.59.31.89 D962 SARS-POTERIES N2 LES TROIS PAVES D962 AVESNES SUR HELPE MAROILLES ACHAT MAROILLES ET BOULETTES D’AVESNES 19,5 24,5 29,5 41,5 D32 MAROILLES D33 LOCQUIGNOL D962 LE QUESNOY 41,5 49,5 57,5 JOURNEES DES VILLES FORTIFIEES – LE QUESNOY Les huitièmes journées eurorégionales des Villes Fortifiées se dérouleront les 23 et 24 avril 2011 dans une vingtaine de villes de France et de Belgique ! Le thème sera, comme en 2010, "Nature et fortifications". Ces Journées permettent chaque année à un grand nombre de visiteurs de découvrir ou redécouvrir ce patrimoine fortifié riche et varié qui compose le territoire transnational. Fondé sur le même principe que les journées européennes du patrimoine de septembre, cet évènement se compose de visites guidées des fortifications, de randonnées, de visites spectacles, d’expositions, de conférences, d’animations, de reconstitutions historiques, de spectacles inattendus… Au choix De 10h à 18h : livret-jeu aventure « choisis ton camp » RDV : Office de Tourisme Tarif : 2 € - 1,5 € - 1 € De 10h à 18h : bivouac du 18e de ligne RDV : Bastion vert (près de l’office de tourisme) Gratuit De 14h à 18h : Exposition de maquettes et dioramas sur l’histoire de la fortification RDV : Cercle Historique Quercitain (Centre Cernay) Gratuit 14h et 16h : Enquête guidée « on a tué … ! » RDV : Office de Tourisme Tarif : 4 € 15h : visite guidée en calèche RDV : Office de Tourisme Tarif : 5 €* Visite guidée à déterminer 67€/13 Environ 5€ D942 LE QUESNOY N49 BAVAY D936 MAUBEUGE FERRIERE LA GRANDE 57,5 70,5 82,5 85,5 SOUS TOTAL 259,5 Lundi 25/04/2011 D936 FERRIERE LA GRANDE MAUBEUGE 0 3 CORTEGE CARNAVALESQUE JEAN MABUSE MAUBEUGE Mais qui est il !!!!!!! La date de sa naissance est inconnue, bien qu’il soit généralement admis qu’il a vu le jour en 1478 à Maubeuge dans le Hainaut, d’où son surnom de Mabuse. Selon la coutume humaniste , il latinisa lui-même sa signature en Johannes Malbodius, mais les documents d’archives le citent successivement comme Jan de Waele, Jennin de Hainaut, Janin de Waele, Jehanin de Maubeuge et évidemment Jennin Gossart, cependant qu’Albert Dürer le cite dans son journal de route comme Johann de Abüse. Il n’a pas été établi où et par qui il reçut sa formation, mais il était déjà un maître dans son art lorsqu’il fut admis à la Gilde de Saint-Luc en 1503. Son succès était à ce point fulgurant, qu’il entra bientôt au service de Philippe de Bourgogne, amiral et évêque d’Utrecht, fils naturel de Philippe le Bon et frère consanguin de Charles le Téméraire. Il suivit son maître à Rome (1508-1509) où il entreprit l’étude des Anciens et fut très impressionné par le style de la renaissance et les théories des Humanistes. Il travailla ensuite pendant 15 années dans les villes résidentielles de son seigneur, principalement en Zélande, mais aussi à la Cour de Marguerite d’Autriche à Malines et plus tard, pour Adolphe de Bourgogne, marquis de Veere, qui avait sa Cour à Middelburg, résidence de Jean Gossaert jusqu’à sa mort en 1532. Les cours royales où il travailla étaient des centres de rayonnement culturel largement ouverts aux idées humanistes dans les domaines de la religion, de la philosophie et des arts. Mabuse vécut au tournant de deux époques. Sa foi, sincère mais sans mysticisme, sa technique parfaite, son adresse au dessin et son coloris chatoyant il les doit aux maîtres du 15e siècle. Jean van Eyck était son idéal, mais après son voyage à Rome, il abandonnera progressivement l’esprit médiéval et les formules de style gothique dans lequel son art avait atteint sa maturité. La Sainte Vierge supplante la figure du Christ. Les autres sujets bibliques cèdent le pas aux scènes mythologiques inspirées par l’Antiquité, exécutées d’après l’exemple des maîtres italiens, dans un style animé où l’anatomie et la plastique ont priorité sur l’esprit et la sensibilité. L’assurance sereine qui se dégage de ses portraits, démontre à suffisance que désormais Gossaert place l’homme au centre de la création. Il voua à Notre dame un culte auquel il consacra une grande partie de son œuvre et créa ainsi, inconsciemment un modèle qui a été largement imité de par le monde. La Vierge et l’Enfant intitulé aussi la Madone à la Grappe est à maints égards un exemple parfait de l’idéal de Mabuse, au moment où il posséda dans toute l’expression du terme « la vraie manière » (selon les paroles de Karel van Mander). Mabuse a été pour son temps un novateur, un maître génial qui, sans doute, vint au monde quelque peu en dehors de son temps Edition du 29 juin 2009 Le cortège Mabuse a animé le centre-ville de Maubeuge hier après-midi : fanfares, costumes à paillettes et oranges... sous le soleil. Il y avait tout : les fanfares venues des Pays-Bas, les majorettes en tenue colorée, les confettis bien sûr qui ont fait le bonheur des plus petits, et même les groupes maubeugeois qui ont défilé comme des pros. Le cortège Mabuse a marqué cette fin juin d'une nouvelle édition qui n'a pas démérité. D'autant que le soleil était aussi de la partie. Mais finalement un si beau temps a peut-être fait hésiter la foule : difficile de tenir en plein soleil avec cette chaleur et les coins d'ombre ont été vite occupés. Le rondeau final a permis d'apprécier une nouvelle fois chaque prestation. Mentions spéciales pour l'harmonie La Concorde (du Douaisis) et le groupe belge de porte-drapeaux Vredon. La première a fait chanter le public de la place Vauban les seconds ont reçu le plus d'applaudissements. Et comme toujours ce sont les Gilles qui ont fermé le cortège. Dimanche, ils ont encore fait beaucoup d'heureux et de chanceux : avec leurs trois kilogrammes de plumes d'autruche sur la tête, ils ont lancé trois cents kilogrammes d'oranges. Qui dit mieux ? CUMUL BALADE ALLER RETOUR TOTAL 262,5 220 220 702,5