Comment dire / Où se mettre

Transcription

Comment dire / Où se mettre
Comment dire / Où se mettre
une alternative à la claustrophobie
une proposition du VAISSEAU
mise en scène et scénographie Léa Drouet
Production du Vaisseau
Coproduction : CCAM Scène Nationale de Vandoeuvre-Lès-Nancy (FR), Théâtre de la Balsamine (BE)
Avec le soutien de l’Echangeur de Bagnolet (FR), des Ateliers Claus (FR),
de Iles /Artist Project Programme Suitcase (BE)
Avec l’aide du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre
Comment dire / Où se mettre
une alternative à la claustrophobie
Crédits
Concept, mise en scène et scénographie
Avec
Léa Drouet
Céline Begbeder, Heidi Brouzeng,
Rachel Sassi, Nicolas Patouraux
Matthieu Ferry, assistanat Noémie Crosse
Jean-Philippe Gross
Jérôme Giller
Lumières
Musique et composition
Workshop « intervention urbaine » dirigé par
Une production du Vaisseau
Coproduction
Théâtre de la Balsamine (Bruxelles), CCAM Scène Nationale de Vandoeuvre-lès-Nancy (France)
Avec le soutien de l’Echangeur de Bagnolet (Paris), des Ateliers Claus (Bruxelles),
de Iles /Artist Project Programme Suitcase (Bruxelles).
Avec l’aide du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre
*
Première et tournée
Du 26 au 29 novembre 2014 au Centre Culturel André Malraux – Scène nationale de Vandoeuvre-lès-Nancy
(FR)
Du 24 février au 4 mars 2015 au Théâtre de la Balsamine à Bruxelles
Saison 2015/2016 à l’Echangeur de Bagnolet (FR)
COMMENT DIRE…
Un homme est immobilisé au centre d’une place. Un autre observe son comportement et prend
des notes. Des personnes créent un cercle épais autour de lui et l’observent. Ils lâchent des insectes et des mollusques. Le cercle se réduit progressivement.
Danielle Collobert, poétesse française écrit en 1970 un court récit cauchemardesque exprimant un
sentiment de fatalité, de claustrophobie et de menace imminente.
Dans Comment dire/Où se mettre, ce récit est la toile de fond de l’ensemble du spectacle mais il
est aussi le point de départ d’une volonté: celle de transformer l’impasse en carrefour de possibles.
Dans Comment dire/Où se mettre, l’exploration des espaces et de leurs usages lors de la représentation est une réponse à l’étouffement: chercher une place sans être mis en boîte, échapper au
cloisonnement et à l’enfermement. Jouer avec les lieux et leurs usages, délocaliser la fiction pour
élargir le territoire habituel de la représentation. Comment dire/Où se mettre fait résistance à
l’immobilité et aux impasses en cherchant à travailler le mouvement perpétuel des corps, de la
lumière ou du son.
Quatre corps cherchent de nouveaux horizons et parcourent l'espace en tous sens. Une expérience de réappropriation du territoire.
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LEA DROUET…
Léa Drouet est une metteur en scène et scénographe française née en 1982 à Villeurbanne. Elle
est diplômée de l’Institut National Supérieur des Arts de la Scène de Bruxelles (I.N.S.A.S.). Elle est
installée et travaille à Bruxelles depuis 2010. Elle reçoit son premier soutien du Ministère de la
Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2011 et entame une série de collaborations avec
des musiciens de la scène expérimentale bruxelloise et française. Son travail se trouve à cheval
entre l’installation, qu’elle soit liée à la lumière ou au son et le théâtre. Elle fonde VAISSEAU en
2014, une structure de production qui tente de s’adapter aux projets mixtes, entre théâtre, danse,
concert, performances ou installations. La manière de produire de VAISSEAU fait partie intégrante du processus artistique.
Elle crée O& dans le cadre du Festival XS au Théâtre National de Bruxelles et aux Laboreales,
festival de formes transdisciplinaires. Elle est soutenue par le Théâtre de la Balsamine à Bruxelles.
Elle prépare actuellement DERAILMENT dont la première est prévue pour l’édition 2015 du KunstenFestivaldesarts à Bruxelles.
PAYSAGES FICTIONNELS ARCHITECTURAUX LUMINEUX ET SONORES
Dans Comment dire/Où se mettre, quatre corps entrent en relation avec l’espace imaginaire que
fabrique la fiction, avec l’espace symbolique de la scène et les espaces du bâtiment dans lequel
s’inscrit la représentation mais aussi avec les espaces éphémères et mouvants d’une installation
lumineuse et sonore.
Espace de la fiction
Dans un jeu d’aller-retour entre des incarnations brèves, des « citations » de personnages et de
mise à distance avec le récit, les acteurs voyagent entre le réel de la situation et l’imaginaire du
texte.
Certains portent un masque, d’autres un chapeau, tous adoptent des démarches étranges. Ils représentent une énigme, une recherche, se transformant soit en insectes, soit en figures poétiques,
soit en cosmonautes cherchant de nouveaux horizons et parcourant l’espace en tous sens.
Ils cherchent à habiter leur corps, le premier espace auquel personne n’échappe.
Dispositif en quadrifrontal
Les spectateurs sont installés en quadrifrontal tout au long du spectacle. Ce sont eux qui délimitent le carré de la scène. Les corps de ces regardants font partie de l’image. Ce carré de chaises
subit une transformation à la fin du spectacle. Nous invitons les spectateurs à se déplacer en modifiant la place de leurs chaises. Elles se retrouvent sur scène, face à face ou côte à côte.
L’installation habituelle qui organise le regard est bouleversée.
Espaces et architecture du bâtiment
Comment dire/Où se mettre s’adapte au lieu de chaque représentation.
A travers le mouvement des acteurs, la mise en place d’un réseau de micros à l’extérieur de la
salle de spectacle et un travail de lumière qui s’étend au-delà de la salle, il s’agit de mettre en valeur ce qui délimite la salle de spectacle mais surtout de rendre compte de l’installation de séparation qui sépare la boîte noire du reste du bâtiment.
Mais c’est aussi dans un souci de renversement et de recherche d’ouverture que Comment dire/
Où se mettre installe ce qui est dedans dehors et vice versa.
Paysages lumineux
Une installation de découpes et quatre projecteurs diapositives fabriquent une succession de
mondes immatériels et éphémères en perpétuel mouvement. Cette architecture est faite d’une
multitude de fenêtres, d’apparitions d’images figuratives de bâtiments, de ruelles, de places et de
personnages mais aussi d’images abstraites, un tableau cubiste blanc, des aplats de couleurs qui
composent des ensembles en mouvement. Cela crée un ailleurs, des failles dans la salle de spectacle par lesquelles l’imaginaire s’engage et trouve un espace où se mouvoir.
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Paysages sonores
Comment dire/Où se mettre utilise la spatialisation sonore pour sculpter l’espace et le temps.
L’intention, comme avec le reste, est de révéler l’installation de séparations qui existe dans le bâtiment du théâtre mais aussi de créer des mondes parallèles comme celui des harmoniques. Le
monde des mots est aussi présent à travers la composition d’une partition verbale diffusée en 4
points.
Démarche artistique
Dès son projet de fin d’études à l’Institut National des Arts de la Scène de Bruxelles (I.N.S.A.S.),
Léa Drouet s’écarte du théâtre académique en privilégiant le son et l’image au texte et en quittant
la salle de spectacles pour investir un des couloirs de l’école.
Les formes théâtrales qu’elle produit relient la musique à l’espace par le mouvement des corps.
Elle travaille à la combinaison de plusieurs éléments qu’elle choisit en prenant en compte leurs
particularités. Qu’il s’agisse de la pratique de ses collaborateurs, ou du lieu qu’elle investit.
L’enjeu de chaque projet est de réunir autour d’un lieu et d’un cadre conceptuel des artistes, issus
du spectacle vivant ou non. L’objectif est de développer un processus de travail qui permette de
saisir les possibilités qu’offrent ces associations.
Il s’agit de créer suffisamment de zones de frottements et de décalage entre les éléments réunis
pour qu’il soit possible de dégager de l’inconnu.
« La particularité du spectacle vivant est de réunir des personnes avec des savoir-faire différents
pour produire une chose commune inconnu de tous au départ. Pour que cet inconnu soit vraiment
un inconnu et pas une reproduction de quelque chose qui fonctionne par habitude je crée des décalages.
J’investis parfois un espace singulier, inhabituel pour un spectacle, je réunis des gens qui viennent
de pratiques différentes avec des protocoles différents.
Parfois il suffit de faire des inversions simples comme faire un concert dans une salle de spectacle, faire une exposition dans une salle de concert, faire du théâtre dans une galerie pour qu’un
espace inconnu s’ouvre. A mon avis l’inconnu peut surgir de la délocalisation et du décloisonnement des pratiques, dans de nouvelles associations de gens, de lieux et de public. Et cela vaut
pour d’autres secteurs que celui des arts ».
Léa Drouet accorde donc de l’importance à l’association des différents collaborateurs et la composition de l’équipe fait partie du processus du travail.
Proche de la scène musicale alternative bruxelloise, elle s’associe avec divers musiciens de la
scène expérimentale. Elle s’entoure aussi d’artistes à cheval entre plusieurs pratiques : acteur/danseur/performeur, plasticien/auteur etc…
« Je ne défends aucune vison précise de ce que je voudrais qu’il se passe pendant le travail. En
répétition j’essaye seulement d’encourager les propositions et de veiller à ce qu’elles ne sortent
pas trop du cadre proposé au départ. Sinon je ne suis pas interventionniste dans la forme que les
choses prennent. »
Malgré ce processus qui laisse une grande place aux personnes qui s’associent au travail, les projets portent l’empreinte d’un univers singulier, dans lequel coexistent des éléments propres à
l’incarnation au théâtre (masques, costumes, maquillage) et un rapport au plateau très direct, plus
performatif.
Matthieu Ferry, éclairagiste
Matthieu Ferry travaille l’aspect cinétique des éclairages. Il met en mouvement des espaces que
fabriquent la lumière et les couleurs mais aussi active les mises au point de la rétine que produit le
mouvement lumineux, son intensité et son rythme.
Jean Philippe Gross, musicien
Jean-Philippe Gross, musicien, mène un travail dans le milieu de la musique expérimentale et plus
particulièrement autour de l'électro-acoustique et de la noise. Il travaille entre autres autour de la
construction de différents plans sonores qui voyagent entre le macro et le micro. Très intéressé
par les possibilités du haut-parleur et de la diffusion, il crée des espaces sonores proches ou lointains, extrêmement dessinés. Il entretient un rapport profondément sensible au silence. Jouant
avec les ruptures cut, il sculpte l'espace et le temps avec énormément de précision.
Sa recherche est autant dans l'écriture et la structure de la composition que dans le rapport physique au son. Il étudie les sensations auditives (psycho acoustique) et travaille sur les phénomènes acoustiques, plus particulièrement sur les fréquences harmoniques voisines ou les battements sonores.
L’EQUIPE
MATTHIEU FERRY // LUMIERES
Né en France en 1974, Matthieu Ferry est diplômé de l’ENSATT en section lumière depuis 1999.
Dans le cadre de l’école il a travaillé avec Pierre Pradinas, François Rancillac, Michel. Raskine.
Il a travaillé notamment avec Claudia Stavisky, Joël Pommerat , Jacques Falguières, Véronique
Vidocq, Martine Waniowsky, Bérangère Vantusso, Claude Baqué, Guy Lumbroso, Philippe Labaune.
Il conçoit son premier décor avec pour un oui ou pour un non mis en scène par Emmanuelle Laborit, spectacle en langue des signes.
Il travaille au théâtre en croisant de temps en temps des expériences à l’Opéra, avec Antoine
Campo (L’Histoire du soldat), Marjorie Evesque (Lynch), Emmanuel Houzé (Agatha), Guy Lumbroso (Dom Juan, Liliom, Roberto Zucco), Florence Meier (Les Troyennes), Serge Tranvouez (Les
Elégies de Duino, Katherine Barker, Hélène) et dans diverses institutions théâtrales.
Il lie sa formation vidéo à son travail scénique dans les spectacles de Philippe Labaune (Prigent,
La Princesse blanche, Et jamais nous ne serons séparés, …) et de Claude Baqué (Bobby Fisher
vit à Passadena, Septembre Blanc, Anatole),…
Il oriente son travail de lumière vers une écriture de partition et en improvisation en direct
Il travaille avec Alexis Forestier (Purgatory Party, Divine Party) et la Cie UNTM (MC2, Minimal
Connotatif), Gaël Leveugle autour du théâtre-concert avec Noémie Carcaud (Au Plus Près) et en
danse avec Camille Mutel (Effraction de l’oubli).
Il a été éclairagiste et scénographe sur Echos/ Narcisse/Métamorphose, Quelqu'un va venir de Jon
Fosse au théâtre de la Balsamine, sur O& au Théâtre National de Bruxelles dans le cadre du festival XS puis dans le cadre des Laboréales à la Maison Folie de Mons mis en scène par Léa Drouet.
JEAN PHILIPPE GROSS MUSIQUE / COMPOSITION
Né en 1979. Formation musicale débutée en 1994 par les percussions.
En 1998 il se tourne vers l'utilisation d'outils électroniques et vers la pratique de l'improvisation
libre.
Depuis, il a multiplié les collaborations et les représentations, et présenté son travail en Europe, au
Japon et aux USA.
Du solo aux grands ensembles, il joue avec de nombreux musiciens français et internationaux,
avec entre autres Jérôme Noetinger, Xavier Charles, eRikm, Will Guthrie, Clare Cooper, Lionel
Marchetti, Franz Hautzinger, Otomo Yoshihide, Jean-Luc Guionnet, Arnaud Rivière, Pascal Battus,
John Hegre, JazKamer, Lasse Marhaug...
Il travaille pour la danse avec la chorégraphe Marie Cambois / “We killed a Cheerleader 2.2″
(2011) / “We killed a cheerleader 1.1 (2008). Pour le théâtre avec Gael Leveugle et Perrine Maurin.
Programmateur au sein de l'association «Fragment» à Metz, d'octobre 2001 à juin 2009.
NICOLAS PATOURAUX // JEU
A suivit ses études à Montpellier où il suit en parallèle le Conservatoire en formation initiation (jeux
masqués, lecture, mime, chant) et la Compagnie Maritime (chant, danse). Dans le même temps il
participe aux créations de la compagnie les Martin. Il est aussi membre fondateur de la compagnie
Falstaff avec laquelle il écrit, joue et met en scène.
En 2009, il a suivi un stage avec Ariane Mnouchkine. Au cinéma, il participe au tournage d’un
court métrage plusieurs fois primé Amock.
Il sort de l’INSAS à Bruxelles en 2013. Il joue le rôle d’Ossip dans Platonov mis en scène par Thibault Wenger. Il participe au festival XS en 2014 avec Strette une création de Nicolas Mouzet Tagawa. En 2015 il joue au Théâtre Océan Nord une pièce de Fassbinder "le bouc" mis en scène
par Ledicia Garcia.
HEIDI BROUZENG // JEU
Comédienne de formation, elle a travaillé depuis 1995 entre autre avec Stéphanie Loïk, Bernard
Bloch, Christophe Thiry, Catherine Beau, Anne-Marina Pleis...sur des textes classiques ou contemporains.
Le legs en 2005 de l’SKBL, Cie théâtrale basée à Nancy déjà fortement structurée, qu’elle dirige
aujourd’hui et avec laquelle elle a déjà créé près d’une dizaine de pièces, lui permet d’interroger sa
pratique, de creuser d’autres espaces de jeu en rapport à différentes disciplines artistiques (musique, danse, marionnettes) et en rapport à un croisement entêté de « politique et poétique ». Elle
poursuit son engagement auprès d’autres Cies - Cie Echo (54), l’Attrape théâtre (77), Cie Le
temps de Dire (13), l’ensemble Ultim’Asonata (54), Cie Théâtre 27 (13), etc. Elle s’intéresse également au rapport texte et musique, verbe et son et y cherche une forme d’expression en performances et improvisations, principalement en duo ou trio avec des musiciens (avec C. Perrin, D.
Répécaud, B. Maximin, J. Bogenschutz, Y. Herpin, Bruno F.etc.) joués dans différentes manifestations : au GRIM (Marseille), Les Instants Chavirés (Montreuil), Farniente Festival (Pornichet), Festival Musique Action (Vandœuvre), Festival In Situ - (l’Echangeur-Bagnolet), Festival PiedNu (Le
Havre), Zones Libres (Aurillac)...
RACHEL SASSI // JEU
Rachel Sassi est née à Genève en 1979. Elle vit et travaille à Bruxelles en tant que modèle, comédienne et chanteuse.
Elle a suivi une formation d'acteurs à Parallax à Bruxelles de 2001 à 2004 et suit une formation
vocale à l'académie de Forest depuis 2011.
Elle a travaillé au cinéma dans Clone Zone de Lucille Desamory, dans Gerda 85 et Fat Cat de P.
Gélise et N. Deschuyteneer.
Au théâtre elle collabore à plusieurs reprises avec Clément Laloy dans Le Camion de Marguerite
Duras, l’appartement Grand-Mère, Espadon.
Elle est la voix féminine de Pierre Normal (chanson électronique, B, F) Pierre Normal se produit
régulièrement en concert depuis 2006.
CELINE BEIGBEDER // JEU
Elle intègre le Conservatoire d’Art Dramatique de Toulouse à l’âge de 15 ans, déjà sûre de son
désir de jouer. Elle continue son parcours de comédienne dans les Conservatoires de Montpellier
puis de Tours et y fait de belles rencontres : Christophe Brault, Anne Carrière, Claire Heggen, Philippe Lebas, Christophe Maltot, Alexis Armengol ... Autant de personnalités, riches de la diversité
de leurs codes théâtraux, qui l’ont aidée à aborder le répertoire classique —Phédre, Junie, Gertrude, Antigone, Penthésilée, ...— et contemporain —Bond, Copi, Kane, Renaude, Schimmelpfennig-.
Fascinée par la pluridisciplinarité, Céline suit quotidiennement les cours de danse contemporaine
des Conservatoires en auditrice (Jean Pierre Alvarez, Sonia Onckelinx, etc...) et monte la Compagnie “La Petite Dernière” accompagnée d’une pianiste et d’une danseuse (Alice Diéval et Agnès
Dravet). Parallèlement aux spectacles de La Petite Dernière, elle travaille notamment au théâtre et
au cinéma avec Maggy Ford (Titania dans A Midsummer Night’s Dream, Ondine et The Dress), et
pour le théâtre de rue avec la Cie Off (La Grande Parade et Les Girafes) .
Après une courte visite de la Belgique, le choix s’impose et Céline entre à l’Insas en 2007 en section Mise en Scène dans un perpétuel souci de parfaire sa formation. Elle crée en 2011 Sibylle,
spectacle atypique fruit de la diversité de son parcours.
En 2012, elle joue sous la direction de Sabine Durand dans Le Banquet Dans Les Bois.
DIFFUSION
Equipe
7 personnes en tournée
Nombre d’artistes
Nombre de techniciens
4 comédiens, 1 metteur en scène
2 régisseurs
Contact diffusion
Léa Drouet +32 484 719 627 [email protected]
Contacts techniques
Lumière, et régie lumière : Matthieu Ferry
+33 6 03 45 91 26 ou +32 488 883 034 [email protected]
Son et régie son : Jean-Phillippe Gross
+33 6 87 11 97 19 [email protected]
PRIX DE CESSION
3 000 euros la première représentation, 2 500 euros les suivantes.
TECHNIQUE
Une attention particulière devra être donnée à la qualité du noir sur scène.
Jauge limitée : le dispositif est en quadrifrontal, public intégré sur un ou deux rangs selon le
nombre de représentation et les circonstances. Soit 44 places ou 88 places.
Usage de fumée (machine à vapeur d'huile), il est nécessaire de désactiver la zone incendie du
SSI.
Montage à J-1, 2 ou 3 services de 4 heures (création en cours, à confirmer)
Durée du spectacle 55 mn