DP La Saisie du modèle
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DP La Saisie du modèle
SOMMAIRE Contact Presse Claudine Colin Communication Ingrid Cadoret Eva Astaburuaga Dalla Venezia T. +33 (0)1 42 72 60 01 [email protected] [email protected] Communiqué de presse p. 2 Introduction de Dominique Viéville Conservateur général du patrimoine Directeur du musée Rodin et commissaire général de l’exposition p. 3 Les dessins d’après nature (1890-1917) De Nadine Lehni Conservateur en chef du patrimoine et commissaire de l’exposition p. 4 Parcours de l’exposition en 15 sections de Dominique Viéville et Nadine Lehni p. 5 Liste complète des œuvres p. 9 Offre éducative et culturelle La médiation Les journées d’étude les 8 et 9 mars 2012 p. 27 Édition Catalogue de l’exposition La boutique du musée Rodin p. 28 Événement en lien avec l’exposition Exposition « Artémis et ses nymphes » Dessins de Paul-Armand Gette p. 30 Autre actualité Résidence d’écrivain au musée Rodin, Jean-Christophe Bailly p. 31 Le musée Rodin p. 32 Informations pratiques p. 33 Visuels disponibles pour la presse p. 34 1 On connaît Rodin sculpteur, mais connaît-on Rodin dessinateur ? Cette exposition rassemble de façon spectaculaire 300 dessins des trente dernières années. C’est dans la dernière partie de sa vie, la forme d’expression prépondérante de l’artiste. À plus de 60 ans, Rodin entame une véritable carrière de dessinateur. Il a toujours dessiné mais ses dessins postérieurs à 1890 peuvent être considérés comme la dernière manifestation de son génie. Dessinant tous les jours d’après le modèle vivant, sa passion aboutit à une collection de près de 7 000 feuillets rassemblée presque dans sa totalité au musée Rodin. Plusieurs expositions exclusivement dédiées à son œuvre dessiné furent organisées à partir de 1903. L’ambition du musée Rodin est de renouer avec la richesse et l’ampleur de ces expositions permettant au public de découvrir cet aspect peu connu de son talent. À travers la reconstitution de grandes séries identifiables (les petits dessins à l’encre et à l’aquarelle de 1890-1895, les dessins au trait et au lavis faits autour de 1900, les Psychés, les Femmes aux peignoirs, les Danseuses Cambodgiennes, les dessins modelés et estompés autour de 1910, les derniers dessins envahis de couleurs…), certains thèmes et certaines caractéristiques du dessin de l’artiste sont explorés : la pratique du dessin et les enjeux de la forme reprise, corrigée, raturée, découpée, dédoublée…; la maîtrise du trait continu et synthétique ; le rapport des corps à l’espace ; enfin la femme fatale ou les corps sexués. Femme nue agenouillée, de dos, le vêtement relevé jusqu'à la taille Crayon au graphite et aquarelle © musée Rodin, Paris Torture Crayon au graphite et aquarelle © musée Rodin, Paris Le parcours proposé aboutira aux dessins ultimes de Rodin qui permettent de saisir l’extraordinaire tension introduite par l’artiste entre le naturalisme d’un dessin, captant un geste, un mouvement dans toute son immédiateté, et l’indépendance grandissante du trait et de la couleur. La liberté du dessin rodinien a contribué à ouvrir un espace immense aux artistes du XXe siècle. Rendre sensible cette liberté est le véritable propos de l’exposition. À l’occasion de cette exposition, le musée présentera au premier étage de l’hôtel Biron une sélection d’œuvres dessinées de l’artiste Paul-Armand Gette dont la thématique autour du corps féminin entre en résonance avec les dessins de Rodin. Commissaire général de l’exposition : Dominique Viéville, Conservateur général du patrimoine, directeur du musée Rodin Commissaire de l’exposition : Nadine Lehni, Conservateur en chef du patrimoine au musée Rodin Catalogue Rodin 300 dessins 1890-1917 en coédition avec les Editions Nicolas Chaudun, 280 p., 39 euros Petit journal en français et en anglais, visite conférence tous les dimanches à 15h Formation pour les enseignants Journées d’études jeudi 8 mars et vendredi 9 mars 2012 Femme debout au vêtement entrouvert tel un pyjama Crayon au graphite et aquarelle © musée Rodin, Paris Contact Presse Claudine Colin Communication Ingrid Cadoret [email protected] Eva Astaburuaga Dalla Venezia [email protected] Tél : 01 42 72 60 01 Musée Rodin 79, rue de Varenne 75007 Paris M° Varenne Du mardi au dimanche de 10h à 17h45 Programmation et billetterie www.musee-rodin.fr 2 introduction À partir de la fin des années 1880, Rodin réalise, de façon indépendante de ses sculptures, des dessins qu’il exécute d’après le modèle vivant, un nouveau mode pour lui de création, auquel il va consacrer, au cours des années 1890 mais surtout au-delà, une part croissante de son activité. De façon significative, il les fait figurer en nombre, chaque fois que l’occasion lui en est donnée, dans les expositions à caractère rétrospectif qu’il organise à partir de la fin du siècle dans les grandes capitales européennes : Bruxelles, Rotterdam, Amsterdam, La Haye en 1899, Paris en 1900, Prague en 1902, Düsseldorf en 1904… Par deux fois, en 1903, dans le cadre de la 8e exposition de la Sécession de Berlin consacrée aux arts graphiques, puis en 1907 à Paris, à la galerie Bernheim-Jeune, Rodin expose plus de trois cents dessins. Il manifestait alors, par là même, l’importance qu’il accordait à ce second œuvre qui recoupe quasiment les trente dernières années de sa production, un ensemble considérable que l’on estime, pour la période envisagée, à quelque 6 000 dessins dont 4 300 environ sont conservés au musée Rodin. C’est le projet de cette exposition que de présenter un corpus rétrospectif et représentatif de cette exceptionnelle collection pour les années 1890-1917, non sans en ignorer toutefois les difficultés ; à quelques rares exceptions, aucun dessin n’est daté et, malgré les recherches conduites depuis le début des années 1970 sur l’œuvre graphique du sculpteur ainsi que sur les expositions et les publications dans lesquelles des dessins ont figuré du vivant de Rodin, bien des interrogations demeurent à propos des caractères stylistiques qui permettent d’identifier les différents ensembles constitutifs de cette production mais aussi leur chronologie, notamment au-delà de 1900. L’adoption, dans cette exposition, d’un classement des dessins en quinze sections d’inégale importance correspond à l’état de la connaissance que nous pouvons en avoir. Plusieurs des regroupements proposés sont susceptibles d’être assez précisément datés par des témoignages contemporains, des faits biographiques ou des expositions commentées par la critique ; tel est le cas en particulier des « dessins d’après nature » pour les années 1890-1896, « Les dessins autour de 1900 » que le sculpteur présente à l’occasion de l’exposition qu’il organise au pavillon de l’Alma lors de l’Exposition universelle de 1900, « Les danseuses cambodgiennes », une série réalisée en 1906-1907, « Les portraits », assez rares et peu nombreux, datés de ses rencontres avec les modèles. D’autres œuvres ont donné lieu à des regroupements thématiques, stylistiques ou iconographiques, certains d’entre eux ayant été identifiés comme tels du vivant de Rodin, à l’occasion d’expositions ou de publications comme les « femmespyjamas » qui figurent dans la section des « Thèmes et variations » et les « Psyché ». D’une autre manière, les dessins réunis dans la section « Estomper » présentent des caractères graphiques communs propres à cette technique tout en ayant été rattachés à un seul et unique modèle de Rodin, une danseuse acrobate du nom d’Alda Moreno qui, sur la foi de la correspondance qu’elle entretient avec le sculpteur et de ses agendas, pose pour lui à partir de 1910. Mais les dessins d’après le modèle vivant que Rodin réalise après 1890 se caractérisent également par le mode d’élaboration technique que le sculpteur met progressivement au point au cours des années 18901900. La présence du modèle éprouvée de longue date par l’artiste comme une nécessité pour le modelage de ses figures s’impose désormais à lui, de la même manière, pour le dessin. À la volonté clairement exprimée par Rodin de bannir toute pose figée mais surtout apprise de la part du modèle correspond dorénavant de sa part le désir de saisir par le dessin les « mouvements naturels » qu’il en attend. De ce processus auquel s’astreint le sculpteur résulte un mode graphique particulier en rupture avec son œuvre graphique antérieure. Dès lors, les méthodes et les techniques pratiquées par Rodin telles qu’il va en user et les enrichir aboutissent à un nouveau mode de traitement de la figure tandis qu’elles se développent sous l’impulsion du trait et par l’usage particulier de la couleur en un puissant moyen de transgression de l’image traditionnelle, de sa lisibilité jusqu’à la dissolution de la forme. Ainsi, la pratique du « dessin instantané » puis la synthèse formelle à laquelle l’artiste procède, l’utilisation de découpages et d’assemblages de certaines de ces figures transformées en autant d’éléments d’un langage plastique enrichis de rehauts, de taches et de lavis d’aquarelle sont autant de moyens dont Rodin expérimente les possibilités pendant plus de deux décennies en les mettant au service d’une nouvelle vision plastique. Dominique Viéville Conservateur général du patrimoine Directeur du musée Rodin 3 Les dessins d’après nature (1890–1896) Rodin a toujours dessiné, mais en fonction de sa vie plus ou moins absorbante de sculpteur, de son succès grandissant, de l’abondance de ses commandes de monuments et de portraits sculptés, il confère à son dessin une place différente. Il dessine beaucoup (académies et copies) durant ses années d’apprentissage, il prend d’incessantes esquisses dans de petits carnets lors de son voyage en Italie en 1876-1877, il dessine passionnément à l’époque de la gestation de La Porte de l’Enfer et de sa collaboration avec la Manufacture de Sèvres. Puis, à partir semble-t-il de 1885, sa production graphique devient beaucoup moins abondante, jusqu’à ce qu’au contraire, au cours des deux dernières décennies de sa vie, le sculpteur ne mette presque toute son énergie créatrice dans son œuvre de dessinateur. Les années 1890, années prises en étau entre la grande production, dans les années 1880, des dessins inspirés de Dante et l’épanouissement du « nouveau dessin » de Rodin à partir de 1900, sont souvent considérées comme une période où l’artiste aurait peu dessiné, absorbé par ses nombreuses et impressionnantes commandes de sculptures. À la suite des dessins « noirs », dessins d’imagination, à l’encre et à la gouache, au sujet desquels Rodin avoue avoir « vécu toute une année avec Dante, à dessiner les huit cercles de son Enfer », l’artiste aurait jugé, si l’on en croit ses propres dires, que ses dessins n’étaient pas assez proches de la réalité, concluant : « Et j’ai recommencé d’après nature, travaillant avec mes modèles… J’abandonnai alors mes dessins d’après Dante ». Entre 1890 et 1896, Rodin aborde donc le dessin d’après modèles. Ce sont des dessins de nus qui ne posent pas, qui ne se posent pas. Sous le dessin de l’un d’entre eux représenté dans trois positions (de profil, de dos, de face), Rodin a d’ailleurs écrit : « très beau modèle égyptien qui ne semble jamais posé ». L’artiste semble avoir approché lentement le corps de ses modèles, s’attardant à plaisir sur les moments qui précèdent la révélation du nu, jouant avec d’infinies variations du passage du caché au dévoilé. Sous son regard, les modèles procèdent à une sorte d’effeuillage, se dévêtant, ouvrant les pans de longues chemises flottantes, faisant glisser une jupe le long de leurs jambes, ou passer une tunique par-dessus leur tête. Mais ce que Rodin approche surtout, avec précaution, c’est un nouveau dessin, où seraient oubliés tous les savoir-faire académiques, où seraient retrouvées une simplicité, une sorte d’enfance de l’art. En abordant cette pratique du dessin de modèle en atelier, l’artiste ne fait preuve d’aucune virtuosité, mais montre au contraire une sorte de raideur (de timidité ?). Dans son rejet de tout académisme, il revient volontairement à une sorte d’archaïsme, il expérimente et teste une nouvelle figure des corps, figure presque schématique, parente des kouroï de l’Antiquité grecque, donnée par un simple contour continu et simplifié, et que submergent parfois des couleurs vives et acidulées. Se désintéressant de tous les traits distinctifs ou expressifs de son modèle, Rodin ne s’attache qu’à la justesse naturelle d’un geste. Durant cette période, cohabitent des styles très différents. On trouve des dessins linéaires de corps effilés, simplement suggérés par un contour très sommaire; on trouve aussi des dessins schématiques construits de façon presque géométrique, où les corps sont masqués d’un drapé blanc rectangulaire, et des dessins au crayon, à la plume et à l’encre de femmes ôtant leur chemise, dans lesquels joue le contraste du blanc du vêtement laissé en réserve ou recouvert de gouache blanche, et du corps voilé de lavis. De nombreux dessins de cette période se singularisent par un coloris intense, par des encres ou gouaches aux teintes acidulées (où dominent jaune strident et rose magenta) recouvrant des figures traitées de façon simplifiée ou des danseuses drapées de voiles. Puis le geste s’affirme, devient plus vif, plus rapide, le dessin « s’essayant », cherchant à produire une forme en devenir, qui s’esquisse, se reprend, se rature. Enfin, l’artiste abandonne l’encre au profit du crayon et de l’aquarelle, abandonne aussi voiles et chemises pour aborder les plaisirs du nu féminin ou pour modeler doucement à l’estompe de magnifiques nus comme « poudrés », qui gagnent en volupté et en taille, et occupent progressivement tout l’espace de la feuille. Par-delà leur diversité d’approches et de styles, les dessins de cette époque (dont le musée Rodin conserve un ensemble conséquent de près de deux cents pièces) ont pour dénominateurs communs d’être des dessins de modèles féminins, pris sur le vif, d’être souvent tracés à l’encre sur des feuillets de papier vergé de petit format (mesurant le plus souvent de 15/17 cm x 10/11 cm) et d’introduire avec audace une couleur vive et arbitraire. Certains de ces dessins d’après modèles ont été publiés, dès 1899, dans La Revue des Beaux-Arts et des Lettres. L’un a servi de frontispice au Jardin des supplices d’Octave Mirbeau publié en 1899 par Ambroise Vollard. Un petit nombre, enfin, a dû être exposé au pavillon de l’Alma en 1900, avant de l’être à Berlin en novembre 1903. Ces dessins d’après nature de 1890-1896 font preuve d’une audace étonnante et toute nouvelle et témoignent de la proximité de l’artiste avec ses modèles, fixés dans des attitudes intimes et quotidiennes. Nombre d’entre ces feuillets participent d’ailleurs à des séries qui se développent plus tard dans des dessins au crayon de plus grand format et certains annoncent, par leur absence totale d’inhibition face au nu féminin, la liberté des dessins franchement érotiques de l’artiste. Ces dessins de 1890-1896 sont, sans conteste, les premières manifestations du « nouveau dessin » de Rodin qui connut, à leur suite, un développement considérable. Nadine Lehni Conservateur en chef du patrimoine Commissaire de l’exposition 4 Parcours de l’exposition en 15 sections Les dessins d’après nature C’est à partir des années 1890 que Rodin commence à dessiner d’après nature. Il ne s’agit plus d’œuvres d’imagination, inspirées de textes littéraires, mais de dessins tirés directement de l’observation de la réalité qui nous introduisent dans un monde naturel et quotidien où évolue librement la femme nue. Rodin révèle, pour la première fois dans ses dessins, la fascination qu’il éprouve face aux comportements intimes d’un modèle dénudé (coiffant sa chevelure, se dévêtant, se lavant, se caressant…). Dès que les nus envahissent ses dessins, l’artiste élabore un style simplifié, schématique, où les figures, presque rigides, sont parfois simplement cernées d’un trait de contour. Rodin se départit de tout savoir-faire académique pour parvenir à un langage plus personnel et nouveau. Dans ses dessins de 1891-1896, l’artiste ne se contente pas d’engager une nouvelle façon d’appréhender la réalité ; il introduit la couleur, acidulée, vive et arbitraire, faite de roses, issus du mélange de l’encre rouge et de la gouache blanche, de jaunes et d’orangés. Le dessin instantané Vers la fin de l’été 1896, Rodin entreprend une série de dessins saisis sur le vif d’après le modèle vivant. Sans quitter des yeux ses modèles qu’il ne veux pas astreindre aux exercices d’une pose classique, Rodin dessine rapidement sans jamais poser son regard sur la feuille de papier. « Ce premier jet acquis, Rodin reprend son œuvre, parfois la corrige d’un coup de crayon rouge, mais le plus souvent, c’est en la calquant qu’il la rectifie », écrit le critique d’art Clément-Janin en 1903. Pareille méthode au cours des années 1890 paraît spécifique et expérimentale. Deux caractères s’imposent alors : d’une part l’aspect sommaire, approximatif, déformé de ces dessins que le sculpteur réalise sans regarder sa feuille de papier, et d’autre part le caractère rapide et immédiat de leur exécution. Ces « dessins instantanés » recèlent un nombre considérable d’attitudes, de qualités physiques et expressives mais aussi de morphotypes des corps que l’artiste soumet à ces exercices de pose spontanée. Synthétiser Rodin retravaille souvent ses « dessins instantanés » dans la solitude de l’atelier. Ils les calque sur une autre feuille, les reprend, les modifie, tout en conservant les traits et qualités essentiels de sa saisie de premier jet, pour aboutir à une forme débarrassée de toute redondance ou de toute disproportion. Puis, pour élargir le volume d’une figure ainsi cernée, et pour lui conférer une « masse » sur le blanc de la feuille, Rodin, d’un seul geste, balaye la forme d’une couleur rose pâle posée en aplat, ou d’une coulée de terre de Sienne. En élaborant ces figures simplifiées, Rodin passe d’une vision naturaliste à une appréhension plus synthétiste des formes. Ces œuvres résultent de la quête de Rodin d’une forme pure, débarrassée de toute maladresse, accident ou trace d’effort. Découper et assembler La « destruction » d’un dessin achevé par le découpage de la figure est, chez Rodin, générateur d’une œuvre nouvelle. Dès ses jeunes années, l’artiste procède au découpage de dessins et de croquis qu’il colle les uns à côté des autres. Puis, entre 1900 et 1910, Rodin découpe une centaine de dessins de nus aquarellés qu’il manipule comme de libres petites marionnettes ; en découpant ses figures dessinées, il se donne la possibilité de les projeter dans l’espace de multiples façons et de les 5 réorienter, leur faisant souvent subir une rotation de 180°. Dans une autre catégorie d’œuvres, Rodin réalise à partir de ses figures découpées, de véritables assemblages qu’il fixe lui-même sur un nouveau support, faisant passer, par exemple, les bras d’un personnage découpé par-dessus les jambes d’un autre. Par l’audace de leur procédé et le dynamisme des silhouettes découpées, les découpages et assemblages de Rodin annoncent les développements de l’un des modes d’expression les plus novateurs du XXe siècle. Combiner Le dessin découpé ou l’assemblage de deux dessins découpés devient pour Rodin une matrice qui peut être calquée puis reportée sur une ou plusieurs feuilles, permettant ainsi la déclinaison d’un même sujet. Rodin, fidèle à lui-même, reprend là un procédé emblématique de son art de sculpteur. « Formé dans des ateliers d’ornemanistes », rappelle Aline Magnien, « Rodin pratique d’abondance l’association d’éléments au sein de combinaisons et d’assemblages, et maîtrise le procédé qui consiste à fabriquer des œuvres nouvelles par l’association de pièces antérieures. » Le calque, technique de transition par excellence, permet à Rodin de répéter une même figure autant qu’il le désire et de la décliner en la combinant avec d’autres formes. l’exposition qu’il organise au Pavillon de l’Alma à l’occasion de l’Exposition universelle de 1900 où il en réunit plus de 120. Rodin déclarait alors qu’il montrait « des instantanés variant entre le grec et le japonais ». Cette équivalence instaurée par l’artiste est partagée par la critique pour qui les Japonais et les Grecs disposeraient de moyens et de conceptions plastiques similaires (la ligne, le contour et une même méthode d’attention à la nature vivante) ainsi qu’une même méthode de dessin (« l’emploi de teintes plates et la juxtaposition de tons unis sans modelé »). Thèmes et variations Rodin choisit souvent d’exposer côte à côte des dessins correspondant à de multiples variations sur un même thème. La répétition d’un même motif s’accompagne en général de l’adoption d’un langage plastique identique, de la mobilisation de matériaux semblables et de l’utilisation de feuillets de nature et de dimensions similaires. Ainsi, retrouve-t-on dans l’exposition les séries de la « femme-vase », des « femmes en pyjama » ou encore un ensemble de « femmes à la tunique bleue ». Dans un tout autre style, Rodin, passionné par l’architecture, s’est plu à transformer des dessins de moulures de bases et de piliers en profils de nus, conférant un caractère organique à la moulure comme métaphore à elle seule de l’édifice tout entier. Un dernier ensemble de dessins, sur des supports de petites dimensions, sont des croquis linéaires, à l’encre ou au crayon, dont l’écriture agitée, griffée, tourbillonne autour de la figure qui émerge difficilement de hachures et d’entrelacs multiples. Les dessins autour de 1900 Les « dessins instantanés » fournissent à Rodin un immense répertoire de gestes, de mouvements, d’attitudes que l’artiste élabore par un travail de synthèse graphique en de multiples motifs qu’il décalque, reproduit afin d’en restituer la forme par un trait continu. Il présente pour la première fois ces nouveaux dessins lors de ses premières grandes expositions rétrospectives à Bruxelles, Rotterdam, Amsterdam et La Haye en 1899, mais surtout, lors de 6 Les figures dans l’espace Réalisés par la copie ou par le calque à partir des « dessins instantanés », les dessins aquarellés proposent une recherche de synthèse des formes auxquelles la couleur confère non seulement une forte unité mais aussi, souvent, la complexité d’une œuvre picturale. Si la figure dépourvue d’accessoires - sinon parfois, un vêtement, un drapé - demeure isolée sur le blanc du papier sans aucune référence réaliste à l’atelier, elle est néanmoins soumise à divers procédés d’interprétation qui la transforment en un motif autonome auquel l’artiste confère des qualités plastiques particulières. C’est donc une nouvelle syntaxe graphique échappant aux conventions esthétiques qu’invente Rodin, une nouvelle manière de représenter la figure nue fondée sur l’économie du trait et sur la relation plastique que la figure réduite à son seul contour entretient avec l’espace de la feuille. Mythes et métamorphoses C’est en 1907, dans l’exposition de Rodin chez Bernheim-Jeune, qu’apparaissent pour la première fois en public des dessins aux titres symboliques où l’imagination, la fantaisie, s’oppose à la virtuosité mimétique, à la représentation de ce qui est vu. Féru des grands récits mythologiques, en particulier de la Genèse, des Métamorphoses d’Apulée ou de celles d’Ovide, mais usant de ces répertoires avec une totale liberté, l’artiste, transforme ses nus en autant de Minerve, Médée, Icare, Eve, Cupidon ou Naissance de Vénus. Renonçant à tout accessoire ou à toute anecdote, il ne fait que « convoquer » ces figures mythiques en précisant d’un titre ou d’une annotation, au crayon, la vision que son dessin lui a inspirée a posteriori. Rodin ne se contente pas de transformer des nus en figures mythiques, il érige la métamorphose en principe de style : il se laisse guider par le hasard des taches et des auréoles d’aquarelle pour attiser son pouvoir visionnaire et reprendre, transformer, ses figures dessinées d’après nature. Psyché Dénués de tout symbole, de tout détail, ces nombreux dessins titrés « Psyché » sont réduits à un unique personnage féminin, flottant librement dans l’espace de la feuille. Ils sont en revanche souvent chargés d’érotisme. Dans leur sommeil, les « belles endormies », offrent à la contemplation leur corps voluptueux à moitié dénudé, leur sexe dévoilé. Pour Rodin, Psyché est avant tout une créature de désir ; elle représente la femme découvrant l'amour. Rodin confie à Rainer Maria Rilke en 1907 : « J’ai fait [de Psyché] des dessins qui m’entrainent au-delà de tout. C’est l’histoire si délicieuse de la femme et de son entrée dans la vie […] ». L’artiste manifestement avait le désir de consacrer à ce personnage légendaire une série de dessins et d’aquarelles qu’il comptait publier avec un texte de Rilke, mais ce projet ne put se concrétiser. Les figures de l’indécence Les dessins érotiques sont nombreux dans l’œuvre de Rodin. Laisser au modèle toute sa liberté, saisir sur le vif des mouvements sans les imposer, sont pour l’artiste, à l’encontre de toutes les règles d’atelier et de tous les poncifs académiques, autant de conditions susceptibles de lui permettre d’atteindre la vérité attendue. Saisir la tension des corps, l’indécence des gestes et des attitudes, la diversité des expressions, aboutit aux figures d’un répertoire dans lequel alternent les contorsions, le repli, l’écartèlement et parfois le repos, le songe. Ces dessins proposent un innombrable répertoire de motifs que Rodin compare à « des images d’insectes, d’oiseaux, de poissons », c’est-à-dire à un index sur lequel il peut exercer sa capacité à extraire de nouvelles formes qu’il élabore en autant de métaphores de la figure humaine comme sujet d’expérimentations plastiques également partagées par d’autres artistes des premières décennies du XXe siècle. 7 Les danseuses cambodgiennes Au crépuscule de sa vie, Rodin confie au critique d’art Louis Vauxcelles son éblouissement devant les danseuses khmères dont il découvre l’esthétique à l’occasion de la visite officielle en France du roi du Cambodge, Sisowath, en juillet 1906 : « Je les ai contemplées en extase… Quel vide elles m’ont laissé ! Quand elles partirent, je fus dans l’ombre et dans le froid, je crus qu’elles emportaient la beauté du monde… » Cette fascination donne lieu dans un laps de temps très bref, à la réalisation au crayon au graphite ou à l’encre d’environ cent cinquante dessins retravaillés ensuite à l’aquarelle et à la gouache. La beauté du vêtement, le sampot (culotte-pantalon), la légèreté de la soie, le côté religieux et exotique de la danse lui semblent d’une authenticité et d’une nouveauté qui le bouleversent. Avec les Cambodgiennes, Rodin cible les parties les plus signifiantes du mouvement, les bras et les pieds, qui mettent en évidence des usages corporels résolument différents de ceux de la danse occidentale. Les portraits L’ensemble des dessins conservés au musée Rodin comporte assez peu de portraits de la main de l’artiste. On y retrouve cinq dessins de Séverine (nom de plume de Caroline Rémy), première femme journaliste de profession, secrétaire de Jules Vallès et polémiste redoutable, dont Rodin représente en 1894 le visage expressif au regard éloquent. Certaines feuilles de la section ont été réalisées vers 1906 lors de la rencontre avec les danseuses cambodgiennes. Rodin parvient à prendre au vol une dizaine de portraits du roi du Cambodge, Sisowath, et des membres de sa suite. Cette même année, Rodin découvre l’actrice et danseuse japonaise Hanako dont il trace le portrait au crayon au graphite rehaussé d’aquarelle. Dans le beau portait de la comtesse Nourye Rohozinsha, cette fille d’une Géorgienne et d’un diplomate en poste à Istanbul apparaît dans la tenue traditionnelle circassienne et voilée, ce qui permet à Rodin de marquer et révéler tout à la fois, les traits du visage, par un jeu subtil de gouache plus ou moins opaque. Estomper Dès les années 1890, Rodin utilise l’estompe comme moyen complémentaire aux autres techniques dont il use dans ses dessins et aquarelles. L’emploi qu’il en fait contribue le plus souvent à des effets de modelé parfois très délicats et d’une grande douceur. Il l’associe au pastel dans une série de nus qui semble conclure ses premiers essais de retour au modèle vivant. De façon plus traditionnelle, l’estompe est également utilisée dans des dessins où des hachures viennent renforcer des contrastes d’ombre et de lumière. La série des nus estompés postérieurs à 1909 sont, par l’emploi à la fois exclusif et quasi pictural que Rodin fait de l’estompe, d’une toute autre nature. Ils ont été rattachés à un seul et unique modèle de l’artiste, la danseuse et acrobate Alda Moreno. Alda Moreno propose à Rodin des postures originales qui confèrent une surprenante fluidité aux nus pour lesquels elle pose. Formes et couleurs Au sein des quelque 4 300 dessins de la maturité de l’artiste conservés au musée Rodin, un ensemble exceptionnel d’environ deux cents pièces témoigne d’un art audacieux et arbitraire de la couleur. Certaines de ces œuvres sont d’excellents exemples du goût de Rodin pour la manipulation de ses propres dessins. Dans les œuvres de ce corpus, la reprise de dessins antérieurs se manifeste par un important travail à la gouache et à l’aquarelle, soulignant ou recouvrant le dessin initial. L’artiste parfois entoure le dessin au crayon de gouache et d’aquarelle, la couleur arbitraire et vive ayant pour but de dialoguer avec la figure, de la mettre en valeur. Dans une autre catégorie de dessins, la couleur n’entoure plus la figure mais rivalise avec le trait de contour, avec la capture du corps en mouvement. Les teintes arbitraires se superposent en transparence, se répandent librement, laissant visibles les traces du pinceau, les traces de coulures et d’accidents dues au hasard du travail. a couleur, ici, n’a rien de naturaliste. Bien au contraire, elle transforme des dessins issus d’une observation intense de la réalité en visions oniriques. Avertissement Certaines sections de l’exposition sont susceptibles de heurter la sensibilité du jeune public. 8 Liste complète des œuvres Les dessins d’après nature Femme dansant dans ses voiles Vers 1889 Encre noire (plume et lavis) et gouache sur papier vergé filigrané 17,7 x 11,5 cm Femme de profil dans un mouvement de danse Vers 1889 Encre noire (plume), encre brune (plume et lavis), gouache (lavis) et crayon au graphite (trait) sur papier vergé 17,7 x 11,5 cm Modèle égyptien 1892-1896 Encre brune (plume), gouache, crayon au graphite (trait) et encre rouge (lavis) sur papier d’enveloppe 12 x 9,5 cm Annoté à la plume et encre brune, en haut : très beau modèle égyptien qui ne m’a jamais posé Au verso, à la plume et encre brune : Femme, avec annotation : dansant la tarentelle-Bourrée Femme passant un vêtement par le haut 1892-1896 Encre brune (plume et tache), encre rouge (trait), gouache et aquarelle sur papier vergé 17,5 x 10,9 cm Femme debout à mi-cuisse passant un vêtement par la tête 1892-1896 Encre noire (plume), encre rouge (plume et lavis), gouache et aquarelle (traces) sur papier vergé 17,4 x 11 cm Femme nue inclinée auprès d’une femme debout aux cheveux dénoués 1892-1896 Encre noire (plume), crayon au graphite (trait), gouache et aquarelle sur papier vergé filigrané 17,8 x 11,3 cm Femme passant un vêtement 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encre noire (plume), encre rouge (plume), gouache sur papier vergé filigrané 17,8 x 11,5 cm Femme à demi-nue inclinée vers la droite 1892-1896 Crayon au graphite (trait) et encre rouge (plume) sur papier vergé filigrané 15,8 x 10 cm Femme inclinée vers une autre femme à la longue chevelure 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encre rouge (plume), aquarelle et gouache sur papier vergé filigrané 17,8 x 11,3 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : en travers Deux femmes ; l’une aidant l’autre à passer un vêtement 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encre rouge (plume et lavis), aquarelle et gouache sur papier vergé 17,8 x 11,7 cm Annoté en long sur le côté gauche, au crayon au graphite : Mercure de France 15 rue de l’Échaudé St Germain P. Fort… Femme nue dans le mouvement de ses voiles 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encres noire et rouge (plume et lavis), aquarelle et gouache sur papier vergé filigrané 17,5 x 11 cm Femme nue dans ses vêtements ouverts 1892-1896 Encre noire (plume et lavis), encre rouge (plume), gouache, aquarelle et rehauts de crayon sur papier vergé 17,5 x 11 cm Femme nue dans ses voiles 1892-1896 Encres noire et rouge (plume), gouache et aquarelle sur papier vergé filigrané 15,8 x 10 cm Femme nue, le visage caché par la chevelure 1892-1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin filigrané 27,3 x 21 cm Femme nue debout de profil, un vêtement à la main 1892-1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vergé filigrané 20,1 x 12,8 cm Femme nue assise, un pied posé de haut sur un genou 1892-1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 17,3 x 11 cm Au verso, au crayon au graphite et à l’aquarelle : Femme nue debout sans tête, aux jambes écartées Deux femmes nues, à la jambe levée 1892-1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 17,3 x 22 cm Le dessin instantané Femme nue assise, de face, jambes croisées, les mains à un pied Après 1905 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,1 x 19,9 cm Femme nue courant vers la droite Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31 x 20 cm 9 Femme nue sur le ventre, vers la droite, dressée sur les mains, jambes pliées Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle (tache) sur papier vélin 20,1 x 31 cm Femme nue, les bras vers la gauche, une jambe vers la droite, d’après Hanako ? Danseuse japonaise (18681945) Vers 1907 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 30,9 x 19,5 cm Femme debout au torse drapé Après 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin filigrané 31 x 20,4 cm Femme nue assise, penchée vers la droite, bras tendu Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) et encre rose (tache) sur papier vélin 31,5 x 23,2 cm Femme nue penchée en avant vers la gauche, un bras à la cheville et l’autre à la hanche Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) et encre brune (plume) sur papier vélin 31 x 20,1 cm Annoté à la plume et encre brune, sur la droite et en travers : bas Deux femmes nues allongées l’une sur l’autre Avant 1906 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 19,8 cm Femme nue assise, de face, les mains derrière la tête Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 19,9 cm Femme assise, la poitrine dénudée Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 20,5 cm Femme nue debout, reins cambrés, mains à la nuque Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31 x 20,7 cm Femme nue allongée, une jambe posée sur une cuisse Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 30,7 x 20,1 cm Au verso, au crayon au graphite : Femme nue allongée maintenant sa jambe droite contre elle Femme nue assise, un pied sous le menton Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,2 x 20,4 cm Femme nue assise de profil, le corps plié jusqu’au sol Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 19,6 x 30,4 cm Femme nue dans un mouvement de danse vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 30,9 x 19,7 cm Femme nue à la jambe gauche écartée 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encre brune (plume), pastel rouge (trait) et aquarelle (tache) sur papier vergé filigrané 20,2 x 12,7 cm Femme nue assise en tailleur Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 31,3 x 20 cm Femme nue assise, vue de dos, une jambe haute Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 22,5 x 34,9 cm Synthétiser Femme nue renversée, de profil à droite, les coudes hauts Avant 1903 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31 x 20 cm Femme nue renversée vers la gauche, coudes levés Avant 190 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,2 x 20,7 cm Torture Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin filigrané 32 x 25,4 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : torture – Rodin Femme nue de profil à gauche, un genou en terre Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 20,2 cm Profil de femme nue, un genou en terre Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 32,7 x 25 cm Femme nue couchée sur le côté, une main sur la hanche Avant 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin filigrané 30,7 x 20,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin 10 Sculpture Femme nue étendue sur le côté Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 24,7 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Nu de dos, aux jambes fléchies Vers 1900 ? Encre brune (plume) sur papier vélin 30,9 x 20,2 cm Femme accroupie vue de dos, un vêtement sur les épaules Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,5 cm Signé au crayon au graphite, en bas à gauche : Rodin Femme nue assise, de face, une main sous la cuisse droite Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,1 x 40,4 cm Femme nue assise, aux jambes écartées une main sous la cuisse Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 32,5 x 50,2 cm Découper et assembler Couple féminin Après 1896 Assemblage d’un papier vélin découpé et d’un dessin sur papier vélin Crayon au graphite (trait) et aquarelle 33,5 x 27,7 cm Femme nue de profil, assise sur les talons Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), encre brune (lavis) et aquarelle sur papier vélin découpé 27,5 x 16,5 cm Couple saphique allongé Après 1896 Assemblage de deux papiers vélin découpés et collés sur un papier vélin plus fin Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle 36 x 18 cm Femme nue à demi-allongée et dressée sur les bras Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin découpé 18,7 x 34,5 cm Deux femmes nues à demiallongées Après 1896 Assemblage de deux papiers vélin découpés et collés sur un papier de même nature Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle 22,8 x 29 cm Femme nue agenouillée Après 1896 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin découpé 30,2 x 14,2 cm Deux femmes nues de profil dont l’une est agenouillée Après 1896 Assemblage de deux papiers vélin découpés et collés sur un papier vélin plus fin Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle 32,5 x 18 cm Trois femmes enlacées Après 1896 Assemblage de deux papiers vélin découpés Crayon au graphite (trait) et aquarelle 36 x 18 cm Deux femmes enlacées Après 1896 Assemblage de deux papiers vélin découpés et collés sur un papier de même nature Crayon au graphite (trait) et aquarelle 34,1 x 15 cm Femme nue allongée, aux jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin découpé 22,5 x 23,7 cm Femme nue de profil et cambrée Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin découpé 27,2 x 23,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : bas Femme nue étendue sur le côté, bras et jambes repliés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 18,1 x 29 cm Femme nue agenouillée et renversée en arrière Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 25,3 x 17 cm Femme nue aux longs cheveux, renversée en arrière Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 27,5 x 21,4 cm Femme nue de face, renversée sur le dos et jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 31 x 20 cm 11 Femme nue renversée sur le dos, de face et les jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 21,5 x 25 cm Femme nue à quatre pattes et de profil Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 26,6 x 45,2 cm Femme nue à demi-allongée, une jambe repliée contre elle Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 23,2 x 49,5 cm Femme nue dans un mouvement de course Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 36,5 x 24 cm Combiner Allée Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle (tache) sur papier vélin 31 x 19,9 cm Annoté au crayon au graphite en bas, à gauche : allee Femme nue de profil, accoudée vers l’arrière Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) aquarelle sur papier découpé 32,5 x 10 cm Femme nue assise vers la droite, une main repliée dans le dos Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,5 cm Éros : bas-relief Jeune corps s’étirant, coudes hauts contre une femme nue assise Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 50,6 x 32,5 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Eros – bas-relief : A. Rodin Bilitis Jeune corps s’étirant, coudes hauts contre une femme assise Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 50,5 x 32,5 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Bilitis. A Rodin Éros. Deux figures Femme nue agenouillée contre un corps allongé Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 32,6 x 38,8 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. R. Éros et une femme Couple Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50,2 x 32,5 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. R. D. 5705 Éros et une femme Deux femmes nues, allongées l’une près de l’autre Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50,3 x 32,4 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. R. Constellation – âme et corps Femme nue agenouillée près d’un corps étendu Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 49,5 x 31,8 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Constellation – âme et corps Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin Femme nue penchée sur une femme agenouillée vue de dos Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur deux papiers découpés 34,5 x 15 cm Couple saphique Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier-calque 37 x 23,7 cm Couple saphique Après 1896 Crayon bleu (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 48,3 x 31,5 cm Psychée L’amour Femme nue de profil, debout et appuyée contre une femme agenouillée Après 1896 Crayon au graphite et crayon bleu (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 48,4 x 31,5 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : Psychée L’amour, et en bas : Psyché Psychée Deux femmes nues ; l’une est agenouillée contre l’autre qui se tient derrière elle Après 1896 Crayon au graphite et crayon bleu (trait) et aquarelle sur papier vélin 48,2 x 31,4 cm Annoté au crayon au graphite, en haut : PSYCHÉE, et en bas : Psychée 12 Les dessins autour de 1900 Femme nue, une main à la chevelure Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 24,9 cm Bénédiction qui plane Femme nue de face à quatre pattes Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 32,2 x 25,2 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Bénédiction qui plane. A Rodin Brutal despotisme Femme nue à califourchon sur le dos d’une femme à quatre pattes Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : brutal despotisme. Signé au crayon au graphite, en haut à droite : A. R. Homme nu, une main et un genou en terre Avant 1899 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25 cm Figure accroupie Femme nue assise vers la droite, une main entre les jambes écartées Avant 1900 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier collé en plein sur carton 25,2 x 32,5 cm Signé à la mine de plomb, en bas à droite : A. R. Femme nue de face, penchée en avant Avant 1899 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Marguerite Femme nue debout et de face Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50,7 x 32,2 cm Signé au crayon au graphite, en haut à droite : A. Rodin Beau torse de femme Femme nue de face, un genou en terre et les bras ouverts Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 49,5 x 32,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. R. Torse de femme, dos Femme nue assise et de dos Avant 1900 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50,5 x 32,4 cm Signé au crayon au graphite, en haut à droite : A. Rodin Baigneuse Femme nue penchée en avant, un pied soulevé Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50,5 x 32,4 cm Signé au crayon au graphite, en haut à gauche : A. Rodin Nu de femme qui se penche vers la gauche Vers 1896-1897 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 31,5 x 24 cm Annoté à l’encre sur le montage : Rodin. / Dessin donné par M. le Sénateur Georges Clémenceau / par la suite Premier Ministre, au peintre Henri Evenpoel. Acquis par le musée en vente publique en 1998 Marguerite Femme nue assise, un vêtement sur les cuisses Avant 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle, encre noire (lavis) et gouache sur papier vélin collé en plein sur carton 49,5 x 32,5 cm Signé au crayon au graphite (à peine visible), en bas à droite : A. R. Sirène sortant de l’eau, la tête en avant Femme nue de face, agenouillée et les bras écartés Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 25,1 x 32,6 cm Signé au crayon au graphite, en bas à gauche : A. R. Demande et défend Femme nue aux mains jointes et aux paumes ouvertes Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 31,9 x 24,4 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : demande et défend – égyptien. Rodin 13 Carmen Nu aux mains pressées sur la poitrine Avant 1900 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 50 x 33 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Rodin Acquis par le musée en vente publique en 2002 Femme debout au vêtement entrouvert tel un pyjama Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre brune (lavis) et aquarelle sur papier vélin 45,2 x 30,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Femme au pyjama entrouvert Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin filigrané 44,1 x 28,4 cm Thèmes et variations Femme debout et drapée, le vêtement relevé jusqu’à la ceinture Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25,3 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Rodin La Servante accorte Femme drapée et allongée Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : la servante accorte Femme à la robe retroussée jusqu’à la taille Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Femme assise, un vêtement sur les épaules et sur les bras Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,8 x 25,1 cm Femme de face, au vêtement ouvert sur les jambes écartées Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 25 cm Au verso, au crayon au graphite : Visage de femme Femme en marche, aux vêtements entrouverts, une main au visage Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25 cm Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? († 1919) Vers 1912 Crayon au graphite (trait) sur papier vergé filigrané 17,3 x 11,1 cm Au verso, au crayon au graphite (trait) et encre noire (plume) : Femme drapée assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? († 1919) Vers 1912 Crayon au graphite (trait) sur papier vergé filigrané 17,9 x 11,3 cm Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? († 1919) Vers 1912 Crayon au graphite (trait) et encre noire (plume) sur papier à en-tête imprimée : 77, rue de Varenne (VIIe) 17,8 x 11,1 cm Au verso, dessin au crayon au graphite (trait) : Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? († 1919) Vers 1912 Crayon au graphite (trait) et encre noire (plume) sur papier vélin filigrané 17,7 x 11,2 cm Femme drapée, assise, d’après la duchesse de Choiseul malade ? († 1919) Vers 1912 Crayon au graphite (trait) et encre noire (plume) sur papier vélin filigrané 17,7 x 11,2 cm Femme nue, agenouillée, de face, les mains au dos Vers 1902 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 33 x 25,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Brume du soir Femme nue agenouillée de face et les mains dans le dos Avant mai 1902, repris à une date ultérieure Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 49,3 x 31 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : brume du soir et signé en bas à droite : A. Rodin 14 Femme nue agenouillée, de face, mains au dos et tête renversée Avant 1899 ? Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 34 x 23,5 cm Femme à genoux et la tête renversée en arrière Vers 1902 ? Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin filigrané 32,2 x 24,7 cm Signé au crayon au graphite, en haut à gauche : A. Rodin Femme telle un vase Vers 1902 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 49,2 x 32,3 cm Profil de moulures Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 32,2 x 24,3 cm Au verso, au crayon au graphite : Profil de moulures Femme nue debout, une main à l’épaule Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,4 x 20,1 cm Femme nue tournée vers la droite, en équilibre sur la jambe gauche, la droite repliée, un bras tendu Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,2 x 19,6 cm Femme nue de profil sur fond de moulures Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,2 x 20,2 cm Au verso, au crayon au graphite : Femme nue debout, de dos vers la gauche Deux visages de profil inscrits dans des moulures Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) sur papier vélin réglé 27,8 x 21,8 cm Au verso, au crayon au graphite : Visage de profil Nuage Femme nue allongée sur le côté, et accoudée sur le sol Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 24,9 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, au centre à droite : nuage Les figures dans l’espace Très beau coucher de soleil Vue en perspective d’une femme nue, étendue sur le côté droit et tournant le dos Après 1896 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : Mirbeau ; en bas à gauche : très beau / coucher de soleil ; au centre : bas ; au milieu de la tache d’aquarelle : rouge Roulées dans la mer Femme nue sur le ventre se redressant Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à gauche et sur le côté : roulées dans la mer Arc-en-ciel Femme à mi-corps, étendue en diagonale vers la gauche Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 25 cm Au verso, annoté au crayon au graphite : rêve Les Nuages – coucher de soleil Femme nue étendue, jambes écartées de face et repliées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 24,8 x 32,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas au centre : Les nuages – coucher de soleil Uranie – arc-en-ciel Femme nue allongée maintenant, étendue, une de ses jambes Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25 x 33,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : uranie – arc en ciel L’Orage Femme nue faisant le pont Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier transparent 31 x 19,8 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : l’orage Le Glacier Femme nue aux longs cheveux de profil à droite Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, à droite : bas – le glacier – montagne Femme nue allongée sous l’eau, le vêtement relevé jusqu’à la taille Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin Annoté au crayon au graphite, sur la droite : Demi teinte – bas – blanc 15 Femme nue de dos, allongée sur le ventre Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,6 cm Signé au crayon au graphite, en haut à droite : A. R. Femme nue allongée sur le côté, les coudes au sol Après 1896 et avant 1903 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,4 x 32,4 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Rodin Soleil couchant rouge Femme nue couchée sur le ventre et dressée sur les mains Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à l’envers : nomadesbas, et en bas à droite : soleil couchant rouge Au verso, au crayon au graphite : Siroco-tempête Femme nue allongée sur le ventre, vue de face et dressée sur les bras Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 32,6 x 25,3 cm Signé au crayon au graphite, en haut à droite : A. R. Femme nue accroupie, un bras tendu vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,2 x 32,4 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. R. L’Aurore Femme nue à quatre pattes Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,4 x 32,4 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : l’aurore – lac tranquille – protecteur – arc-enciel ; en haut à droite : l’amour ; à gauche et à l’envers : basondine Le Soleil couchant Femme allongée sur le côté, le vêtement relevé jusqu’à la taille Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin filigrané 25,2 x 32,5 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas sur la droite : le soleil couchant – Rodin Annonciation En diagonale dans la page, la femme nue lève le bras droit Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,2 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas : beau mouvement – annonciation – ange Femme nue allongée, aux jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25 x 32,5 cm La Bonne Planète Femme nue à demi-allongée, les jambes repliées sous elle Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin filigrané 31,3 x 48,3 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : la bonne planète ; en bas : soleil couchant (barré) d’après-midi – fleur penchée Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin Faunesse Femme nue, à demi-allongée, un bras au-dessus du visage Avant mai 1902 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 24,2 x 32,2 cm Annoté et signé au crayon au graphite, sur la droite : bas – faunesse. Aug. Rodin Tempête Femme nue sur le dos, un pied sur un genou Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 24,7 x 32,3 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : tempête La Lune Croupe de femme nue aux pieds croisés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à gauche : lune De l’amour Femme nue accroupie, une jambe au-dessus du front 1909-1912 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 23,3 x 36,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : il l’a blessé elle se roule de douleur – de l’amour – très beau Michel Ange Mythes et métamorphoses Serpent et Ève Femme nue de dos, agenouillée et la tête renversée Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32 x 24,8 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Serpent et Ève – rocher –, et en haut : Salambo – Flaubert 16 Le Masque d’argent lune Femme nue allongée de face, les mains à sa chevelure Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, en haut : attaché le masque d’argent lune Médée Femme nue de face, penchée en avant, un serpent aux pieds Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,2 x 25,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Médée Rocher Homme faisant le grand écart, un bras dressé Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : rocher – salut – le soleil Prométhée Homme nu, jambe et bras droits levés vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : prométhée – soleil – aurore Icare Femme nue vue de dos Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : vol ; au milieu à droite : ondine – icare –, et en haut à gauche à l’envers : dans l’air Déméter Femme nue assise, les mains aux cheveux Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : Déméter Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Cerbère Femme nue à demi-allongée, aux trois têtes Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 25 x 32,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : cerbère Femme nue assise de dos, les bras levés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 49,1 cm Danaé Femme sur le dos, aux vêtements retroussés sur des jambes écartées et repliées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 24,8 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : danaé – danaé Naissance de Vénus Femme nue sur le dos, bras et jambes relevés et écartés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas : naissance de Vénus Nyphéa – Naissance de Vénus Femme nue sur le dos, bras et jambes levés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Nyphéa / naissance de / Vénus Au verso, dessin au crayon au graphite, annoté au crayon au graphite : très beau Femme de Loth changée en statue de sel Femme nue de profil vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 24,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : femme de Loth changée / en statue de sel et / légende antique Ange ou Ariel Femme ailée agenouillée et les bras croisés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : ange – ariel, et en bas à gauche : 39 – 44 Signé au crayon au graphite, sur la gauche : A. R. Métamorphose Femme nue agenouillée et penchée jusqu’au sol Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 24,7 x 32,7 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Métamorphose – Aug. Rodin, et en bas à gauche : 14 17 Minerve Femme nue debout, le visage caché dans les bras Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 31,7 x 24,8 cm Annoté au crayon graphite, en bas à droite : Minerve – rocher – rouge ? Psyché Psychée Femme nue assise vers la droite, les mains jointes sur une cuisse Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,7 x 20 cm Annoté au crayon au graphite, en bas : Psychée Psyché Femme drapée assise vers la gauche Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31 x 20,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Psyché Psyché Femme assise, de face, les genoux drapés Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31 x 20,2 cm Au verso, annoté : Psyché – réservé Psyché Femme allongée sur le flanc gauche, le vêtement relevé jusqu’à la taille Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 19,9 x 30,9 cm Au verso, annoté : Psyché – réservé La Vieille racontant l’histoire de Psyché Femme drapée assise, les jambes repliées contre elle Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 30,8 x 19,7 cm Au verso, annoté : La vieille racontant l’histoire de Psyché – réservé Psyché Femme assise de face, le vêtement relevé sur les jambes écartées Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin Au verso, annoté : Psyché – réservé Tristesse ou Égarement de Psyché Femme drapée assise vers la gauche, en appui sur une main, une jambe allongée Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 20 x 31 cm Annoté au crayon graphite, en bas à droite : tristesse Au verso, annoté : Égarement de Psyché – réservé Douleur de Psyché Femme drapée, debout, de face, jambes croisées, mains au ventre Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31 x 20,1 cm Au verso, annoté : Douleur de Psyché – réservé Psychée Femme drapée, couchée sur le flanc gauche Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 20,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Psychée Douleur de Psyché Femme drapée assise, un genou serré contre elle Avant 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31 x 20,5 cm Au verso, annoté : Douleur de Psyché Petite Psyché Femme drapée assise sur les talons, les mains aux hanches Avant 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31 x 20,6 cm Au verso, annoté : Petite Psyché Psyché – le palais s’écroule Femme sur le dos, jambes relevées, bras tendus au-dessus du visage Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20 x 31 cm Au verso, annoté : Psyché – le palais s’écroule Psyché Femme nue assise ramenant ses jambes repliées contre elle Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle sur papier vélin 32,7 x 24,9 cm Psyché En diagonale, femme drapée Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,5 x 25,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : Psyché Psyché Femme à demi-allongée sur le flanc Avant 1908 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,6 x 25,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : Psyché – bas 18 Amour et Psyché sortant d’un lotus Femmes enlacées Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,5 x 25 cm Au verso, annoté : Amour et Psyché sortant d’un lotus Psyché transportée au ciel Femme nue, sur le dos et de face, maintenant ses jambes haut levées Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin contrecollé sur un autre papier 32,4 x 25,2 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Psyché transporté au ciel figure d’homme en dessous. Rodin Psyché Femme allongée sur le côté, le vêtement relevé jusqu’à la taille Avant 1908 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,2 x 32,5 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Rodin Les figures de l’indécence Femme nue accroupie, bras et jambes tendus Anciennement dénommé : Femme nue, sur le dos, de face, bras et jambes levés et écartés Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 20 x 30,5 cm Femme nue allongée, une main passée sous une jambe relevée Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin transparent 21,5 x 31 cm Femme nue allongée, vue par la croupe Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20,3 x 31,1 cm La Pieuvre Femme nue de face, et sur le dos, jambes écartées et bras repliés sous la nuque Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : la pieuvre, et en haut et à l’envers : bas Sexe de femme Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,2 x 19,9 cm 179/ Psyché Femme nue allongée relevant ses vêtements jusqu’au visage Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,9 x 20,1 cm Au verso, annoté : Psyché Femme nue sur le dos et de face, maintenant ses jambes soulevées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,2 x 20 cm Femme nue allongée maintenant une cuisse serrée contre la poitrine Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20,1 x 31 cm Femme nue agenouillée, de dos, le vêtement relevé jusqu’à la taille Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,6 x 25,2 cm Femme nue aux jambes écartées Anciennement dénommé : Femme nue sur le dos, aux jambes levées Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 25,3 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : bas A. R. Messaline Femme nue allongée, aux jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20,1 x 31,1 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin Annoté au crayon, en haut à gauche : Messaline Couple allongé et enlacé, dit lutte amoureuse Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 20,1 x 31,2 cm Femme nue sur le ventre, coudes et genoux au sol, de trois quarts vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,2 x 20 cm Femme sur le dos, de face aux jambes soulevées et écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31 x 25 cm Femme nue debout, une main entre les cuisses Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,9 x 20 cm Démeter la profonde Femme nue sur le dos et de face, cuisses levées et écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 32,5 x 25,3 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : démeter / la profonde / la souteraine 19 Coquille Femme nue, une jambe près du visage Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 21 x 31,1 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : coquille Main sur un sexe Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin transparent 31 x 19,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : bas Femme nue sur le dos, de face, les mains au sexe et les jambes soulevées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20 x 31,1 cm Courtisane Femme sur le dos aux vêtements retroussés sur des jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 25,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : courtisane Femme nue sur le dos, de face, une main retenant un pied et l’autre sur le sexe Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,1 x 32,4 cm Mains sur un sexe Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 25,2 x 32,8 cm Avant la création Femme nue sur le dos, de face et les jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 25 x 32,5 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : avant la création Bacchante Femme nue assise de profil vers la droite Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin filigrané 44,9 x 31,7 cm Annoté au crayon au graphite, en haut : manque ; en bas à gauche : bas – bacchante ; à droite : bas Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Les danseuses cambodgiennes Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,4 x 24,8 cm Danseuse cambodgienne assise, au bras droit levé 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,3 x 19,8 cm Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 30 x 20 cm Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32 x 24,3 cm Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin transparent 30 x 19,9 cm Signé en bas au centre : Aug. Rodin Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 34,8 x 26,7 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,6 x 24,5 cm Annoté au crayon au graphite au centre : vert Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 29,8 x 19,9 cm Étude de main de danseuse cambodgienne 1906 Crayon au graphite (trait), encre noire (plume), aquarelle et gouache sur papier vélin 31 x 20 cm Danseuse cambodgienne de profil vers la droite 1906 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 29,7 x 19,9 cm Cambodgienne pour servir de gloire Danseuse cambodgienne de profil vers la gauche 1906 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin transparent 29,9 x 20,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Cambodgienne pour / servir de gloire 20 Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), encre noire (plume), aquarelle et gouache sur papier vélin 30,5 x 20,4 cm Cambodgienne pour servir de gloire Danseuse cambodgienne de face tenant une victoire 1906-1907 ? Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31 x 19,5 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Cambodgienne pour / servir de gloire Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), encre brune (plume), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,2 x 19,7 cm Danseuse cambodgienne de trois quarts vers la gauche 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,1 x 20,6 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Cambodgienne pour servir de gloire Danseuse cambodgienne 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,2 x 19,5 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : Cambodgienne pour / servir de gloire. / Aug. Rodin Danseuse cambodgienne 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin Cambodgienne pour servir de gloire Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 30 x 19,8 cm Annoté au crayon, en bas à droite : Cambodgienne pour servir / de gloire Portrait du roi Sisowath 1906 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 35,5 x 26,7 cm Les portraits Portrait du roi Sisowath 1906 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 35,4 x 26,9 cm Portrait de Séverine (18551929) 1894 Fusain (trait et estompe) sur papier vergé 31,6 x 23,6 cm Portrait d’Hanako Entre 1906 et 1907 Crayon au graphite (trait), fusain (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,3 x 24,5 cm Portrait de Séverine (18551929) 1894 Fusain (trait et estompe), crayon au graphite (trait) et encre noire (lavis) sur papier vélin filigrané 32 x 24,7 cm Signé et dédicacé au fusain, en bas à droite : A. Rodin son amie Séverine Portrait de Cambodgien, de trois quarts vers la gauche 1906 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32 x 24,1 cm Portrait de femme d’après la duchesse de Choiseul ? († 1919) Entre 1907 et 1912 ? Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 17,7 x 19,9 cm Femme en buste qui ronfle Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,7 x 19,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : ronfle Portrait de la comtesse Nourye Rohozinska, née Blosset de Châteauneuf 1906 ou 1907 ? Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin filigrané 32,5 x 25,1 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Trois têtes de femme (Nathalie de Goloubeff ?) Anciennement dénommé : Trois têtes de danseuses cambodgiennes Vers 1906 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 35 x 25,2 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Portrait de Séverine 1894 Fusain (trait et estompe) sur papier vélin 32 x 24,7 cm Signé au fusain sur la droite : A. R. Estomper Femme nue en équilibre sur la jambe gauche Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,2 x 23,7 cm 21 Femme nue de face, une jambe levée Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,4 x 23,7 cm Au verso, dessin au crayon de femme debout, annoté à l’envers : Architecture Femme nue de dos, faisant le grand écart Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 22,9 x 36,2 cm Torse de femme nue, de profil à droite, les bras dressés audessus de la tête Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,2 x 23,8 cm Femme nue assise de profil, recourbée sur elle-même, la tête contre le mollet d’après la danseuse Alda Moreno ? 1909-1912 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin filigrané 23,5 x 38,3 cm Annoté au crayon au graphite, en haut, à gauche et à l’envers : bas Comme l’Égypte Femme nue couchée, repliée sur elle-même Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin transparent 20 x 30,9 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : dessin à faire / dans la pierre / comme l’Égypte, et en haut à gauche : bas Femme nue, le visage caché par le triangle Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20,9 x 31,9 cm Femme nue étendue, les jambes repliées vers le haut du corps Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 23,4 x 38,2 cm Annoté au crayon au graphite sur la droite : St. Paul, et en haut à gauche : beau Femme nue assise en torsion vers la gauche Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,9 x 23,5 cm Elle se dresse Femme nue assise vers la gauche, jambes repliées, bras tendus au sol Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin transparent 20,2 x 30,6 cm Au verso, annoté au crayon au graphite : elle se dresse, et à l’envers : le sphyx – le sphing – Femme nue de profil, les mains aux fesses Après 1909 Crayon au graphite (trait) et fusain (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,3 x 24,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : mille paliers coins brisés / ou qui / tiennent en l’air / en équilibre / sans bases Femme nue faisant le grand écart Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin filigrané 38,3 x 24 cm Au verso, au crayon au graphite et à l’estompe : Femme nue faisant le grand écart Torse de femme nue allongée, une main sur la poitrine Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin transparent 24,2 x 32 cm Femme nue de dos passant une jambe par-dessus l’épaule Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,2 x 23,3 cm Femme nue maintenant une jambe haut levée du bras droit Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 30,9 x 19,7 cm Torse de femme nue et allongée Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 20,2 x 31,1 cm Salambô Femme nue sur le dos, bras et jambes repliées Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin transparent 20,4 x 31 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : Salambo, et à droite : St Antoine Femme nue de dos, accroupie vers la droite Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 47,2 x 38,2 cm 22 Femme allongée aux vêtements entrouverts 1909-1910 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 31,7 x 21,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : à Monsieur / André Hallays / mon ami et / l’ami des Monuments / de France. Aug Rodin / 1910 Acquis par le musée en 1934 de Madame Hallays Femme nue penchée sur une jambe repliée et l’autre tendue vers l’arrière Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vélin 22,8 x 35,2 cm Annoté et signé au crayon au graphite, en bas : bas – Rodin D. 7181 Acquis par le musée en février 1960 à la succession Judith Cladel Femme nue debout, tournée vers la droite, les bras derrière la tête 1909-1914 Crayon au graphite (trait et estompe) sur une double feuille pliée de papier vélin 44 x 58,5 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : Assunta Petricca via foltaca 29 ; en bas à droite, signé et dédicacé : A mon ami J. Marshall / Auguste Rodin ; en bas à gauche : Ristorante Latour / Xmas 1914 Au verso, au crayon au graphite : Femme de profil dans un mouvement de danse Acquis par le musée en mars 1989 de Monsieur Csaba Morocz Formes et couleurs Le Soir Femme nue agenouillée et de dos Après 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 50,1 x 32,3 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à droite : le soir Femme allongée, un bras replié vers le visage Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin découpé 32,3 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, sur le côté droit : bas Femme nue dans l’eau et de dos Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32 x 24,6 cm Femme nue allongée et de profil Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre rouge (lavis) et aquarelle sur papier vélin 24,6 x 32 cm Femme nue aux jambes écartées Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,6 x 25 cm Femme nue allongée vue de dos et en perspective Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), encre rouge (lavis) et aquarelle sur papier vélin 24,8 x 32,1 cm Annoté au crayon au graphite, en haut et à l’envers : bas vole Femme à demi nue, allongée, les bras au-dessus du visage Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 33 x 25 cm Départ de l’amour Homme nu de profil, une jambe haut levée Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre brune (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, à droite et au centre : départ de / l’amour, et en bas : Théâtre / japonais Femme nue allongée en diagonale Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,6 x 25,2 cm Naissance de Vénus Femme nue, une main entre les cuisses Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre brune (plume et lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Au verso, annoté au crayon au graphite, en bas à droite : naissance de Vénus Femme nue allongée Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 25,1 x 32,6 cm Laocoon Femme nue assise de profil, en torsion vers la gauche Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre brune (lavis), aquarelle et gouache sur papier vélin 49,1 x 31 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Laocoon Femme drapée, mains aux épaules, vue en diagonale Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,5 x 25,4 cm 23 La Folle Femme allongée Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), encre rouge (lavis) et aquarelle sur papier vélin 25,3 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : La folle Lune Femme nue sur le dos, les jambes relevées et écartées Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,8 x 25,1 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Lune Vulcain Homme nu agenouillé et renversé en arrière Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,5 x 24,8 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche : Vulcain, à droite : le soleil couchant –, et en haut inversé : Icare – bas Résurrection Deux femmes nues, l’une allongée sur le ventre et dressée sur les mains ; l’autre agenouillée et renversée en arrière Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 49,5 x 31,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : résurrection Andromède Femme nue adossée à un rocher Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre brune (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 50 x 32,4 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Ariane / Andromède, et en haut à droite : boucher cela Salambô Femme nue, les mains derrière la nuque Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre rouge (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 50,2 x 32,6 cm Annoté au crayon graphite, en bas à droite : Salambô Femme nue de profil, une jambe levée Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,2 x 24,8 cm Ariane Femme nue allongée, de profil vers la gauche Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 50,2 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : lit-rose / ariane / jardin des supplices Architecture-sculpture Femme nue, une jambe levée Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,5 x 49,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : archit / sculp Femme nue debout, les mains aux hanches Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 49,1 x 31,7 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : A. Rodin Femme nue maintenant une jambe dressée au-dessus d’elle Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 23,4 x 36,2 cm Femme nue sur le dos, de face et les jambes écartées Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), fusain (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Satyre Femme nue aux jambes pliées, un bras tendu à la verticale Après 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 32,6 x 24,7 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : satyre et sur le bord droit : à faire – bas / Bourdelle Le Chaos Femme nue allongée Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin filigrané 32,5 x 49,3 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : le cahos, sur le côté droit : belle teinte, en bas à gauche : nébuleuse Le Présage Femme nue debout, la tête appuyée sur un bras Vers 1898-1900 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 50,2 x 32,4 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : le présage, et en haut : Cheramy Niobé Femme nue aux cheveux dénoués Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en haut vers la droite : fils Niobé / verte 24 Cléopâtre Femme nue debout, les mains sur les seins Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 49,3 x 32 cm Rocher sous-marin Femme nue assise de face Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 48,5 x 32 cm Annoté au crayon au graphite, en haut à gauche : rocher / sousmarin Annoté et signé au crayon au graphite, en bas à droite : soleil se couche / paysage / route / Aug. Rodin Jardin des supplices Femme nue sur le dos, une main passée sous une cuisse écartée Vers 1898-1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,8 x 50 cm Annoté au crayon au graphite, en bas : Jardin des supplices Couple enlacé debout, de profil Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 49,8 x 33 cm Femme nue debout, une main à la chevelure Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,8 x 24,8 cm Chimère ou Monade Femme nue de face, les jambes écartées Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25,2 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Chimère / Monade / avant la création Femme nue de profil et penchée en avant Après 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 33 x 24,9 cm Homme nu renversé Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre rouge (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,3 x 24,8 cm Femme nue debout, une jambe levée devant l’autre Après 1900 Crayon au graphite (trait), encres rouge et noire (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,5 x 25 cm Femme nue assise de trois quarts sur un bras Après 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 25 x 32,5 cm Femme nue debout Après 1900 Crayon au graphite (trait), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : Rocher ? Femme nue assise, une jambe levée jusqu’au visage Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin et aquarelle sur papier filigrané 32,9 x 25,1 cm Apothéose Femme nue étendue, bras et jambes repliés et écartés Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 32,6 x 25 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : ganimède ( ?) / Apothéose Femme nue de profil, une jambe soulevée, et dans un mouvement de torsion Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis), aquarelle et rehauts de crayon sur papier vélin 32,5 x 24,7 cm Femme nue assise de profil, jambes allongées et main au front Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,3 x 33 cm Japonaise Femme drapée, les mains près du cou Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25,3 cm Signé au crayon au graphite, en bas à gauche : A. Rodin, et annoté en bas à droite : Japonaise Femme nue allongée, maintenant les jambes pliées et dressées Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 25 cm Femme nue allongée de face et jambes ouvertes Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), fusain (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Table porphyre Femme nue allongée, de face, aux jambes repliées et écartées Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,9 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à droite : table-porphyre 25 Femme nue debout une main sous un sein Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), encre rouge (lavis), aquarelle et gouache sur papier vélin 48 x 31,3 cm Signé au crayon au graphite, en bas à droite : Aug. Rodin Le Monde ou Triangle Femme nue de profil vers la gauche et penchée en avant Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 25,2 x 32,3 cm Annoté au crayon au graphite, en bas vers la droite : le monde / triangle Femme nue de face et penchée en avant Après 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 50,3 x 32,6 cm Annoté au crayon au graphite, en bas à gauche et à l’envers : haut Femme nue à mi-corps Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle, gouache et rehauts de crayon sur papier vélin 32,5 x 24,7 cm 26 offre éducative Et culturelle Visiteurs individuels Adultes visites conférences tous les dimanches à 15h et une visite exceptionnelle en présence du commissaire de l’exposition le mercredi 18 janvier, de 13h à 14h. Familles visites les mercredis à 15h, 4 janvier, 11 janvier, 18 janvier, 25 janvier, 1er février, 8 février, 15 février, 22 février, 29 février. Enfants durant les vacances scolaires visites à 10h et à 14h, 21 février, 23 février, 24 février, 28 février. Visites réservées pour les enseignants Les journées d’étude les 8 et 9 mars 2012 En lien avec l’exposition temporaire et la présence de Paul-Armand Gette, le musée propose une journée et demie d’étude. Programme et informations à venir sur www.musee-rodin.fr Direction et coordination Hélène Pinet, chef du service de la recherche, de la documentation, de la bibliothèque et des archives et Annie-Claude Demagny, chargée des colloques Co-organisation Nadine Lehni, conservateur en chef du patrimoine, chargée des dessins et peintures au musée Rodin À l’auditorium Entrée libre dans la limite des places disponibles Réservation recommandée Les enseignants accueillis au musée s’informent sur la conception de l’exposition et approfondissent leurs connaissances sur les œuvres. En collaboration avec eux, des axes de réflexion sont proposés pour un travail préparatoire à une visite avec leur classe. Niveau Primaire mercredi 7 décembre 2011 de 14h à 16h Niveau Secondaire mercredi 14 décembre 2011 de 14h à 16h Visites avec les classes Écoles à partir du CP, collèges, lycées. Un dossier pédagogique est téléchargeable sur le site du musée Rodin à la rubrique « Professionnels » à partir de l’ouverture de l’exposition Visite autonome les enseignants conduisent seuls la visite Visite conférence un conférencier conduit une visite interactive avec les élèves (tarif 50 €) Visite préparée à deux voix la visite est préparée conjointement et accompagnée par les chargés d’activité du musée Rodin. Renseignement au 01 44 18 61 49. Inscription Pour toutes ces activités, inscription par téléphone uniquement du lundi au vendredi de 10h à 16h au 01 44 18 61 24. Audioguide en français et en anglais Petit journal de l’exposition (versions française et anglaise) offert 27 éditions Catalogue de l’exposition Sommaire du catalogue Rodin. 300 dessins Introduction de Dominique Viéville Héritage critique et nouvelles perspectives par Nadine Lehni L’Invention du dessin de Rodin par Claudine Grammont Le lieu géométique (Du dessin et du langage) par Claudine Mitchell La modernité de Rodin : les dessins tardifs et leur accueil aux États-Unis par John Zarobell L’exposition des dessins de Rodin : ce que nous apprend la photographie par Maéva Abillard Catalogue des œuvres 15 sections avec textes introductifs Chronologie et bibliographie 280 p., 22 x 28 cm, 350 ill. coul., 39 € Éditions Nicolas Chaudun / Éditions du musée Rodin Présentation « C’est bien simple, mes dessins sont la clef de mon œuvre », confiait Rodin à l’écrivain René Benjamin, en 1910. Ultime manifestation de son génie, les dessins postérieurs à 1896 que rassemble l’exposition présentée au musée Rodin à partir du mois de novembre permettent de saisir l’extraordinaire tension introduite par l’artiste entre le naturalisme d’un dessin, captant un geste, un mouvement dans toute son immédiateté et sa justesse, et l’indépendance grandissante du trait et de la couleur. Avec plus de 300 dessins reproduits en couleur, la plupart inédits, cet ouvrage éclaire la liberté et l’époustouflante inventivité du maître, ainsi posé en précurseur des grandes révolutions du XXe siècle. Auteurs Maeva Abillard est attaché de conservation au musée Rodin, chargée des dessins et des photographies. Elle a été responsable du château-musée de Nemours de 2006 à 2009. En 2010, elle a contribué au catalogue Rétrospective Rodin. La main de dieu (Séoul) et en 2011 à Rodin. Le plaisir infini du dessin (musée du Cateau-Cambrésis). Claudine Grammont, docteur en Histoire de l’art à l’Université de Paris IV, a enseigné à l’Université d’Amiens et collaboré à de nombreux catalogues d’expositions sur Matisse et son entourage, ainsi qu'au catalogue raisonné des Matisse de la Barnes Foundation à paraître à Yale University Press. Elle a co-dirigé en 2004 Marquet, vues de Paris et de l’Île-de-France, aux éditions Paris Musées et en 2002 le catalogue Le dessin fauve, 1900-1908 (exposition au musée Cantini) paru aux Éditions de la Réunion des musées nationaux. Elle a co-signé, entre autres, un ABCdaire du fauvisme chez Flammarion (1999) et prépare actuellement un Dictionnaire Matisse aux Éditions Laffont. et Gravures puis conservateur du musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg avant de rejoindre l’Inspection générale des musées. Au fil de ce parcours, elle a participé, en tant que commissaire d’exposition, à l’organisation d’un nombre important d’événements touchant à l’art des XIXe et XXe siècles. Elle a, en particulier, été le commissaire de l’exposition « MatisseRodin », en 2009, et est l’auteur de plusieurs essais sur le dessin de Rodin. Claudine Mitchell est Professeur nommée Honorary Fellow à l’Université de Leeds, Royaume-Uni. Spécialiste de la relation entre les arts visuels, le langage et l’Histoire, ses travaux portent notamment sur la position des femmes : Camille Claudel (Art History, 1989 et Musée Rodin, 2008), On the Brink? (LUP, 1992), Madeleine Pelletier (Feminist Review, 1989), les Femmes Sculpteurs et la Grande Guerre (Ashgate, 2000), Jane Poupelet (Art History, 2002 et Gallimard, 2005). Ses publications sur l’art et la politique comprennent des études sur Antoine Bourdelle (Oxford Art Journal, 1990), les représentations de la Révolution française en Angleterre (Routledge, 1993) et J. L. Gérôme (Getty Publication, 2010). Elle a collaboré au catalogue de l’exposition Rodin: les figures d’Éros (Musée Rodin, 2006). Elle remet en question les idées reçues sur Rodin avec son étude « Metaphor and Metamorphosis : Rodin in the circle of Mallarmé » (Stanford University Press, 2005) et son livre Rodin: The Zola of Sculpture (Ashgate, 2004). Dominique Viéville est conservateur général du patrimoine et directeur du musée Rodin. Il est spécialiste de l’art monumental et de la sculpture de la seconde moitié du XIXe et du XXe siècle ainsi que de l’histoire de l’art contemporain depuis 1945. Auteur d’articles, de catalogues et de publications qui portent essentiellement sur Auguste Rodin, Puvis de Chavannes, la sculpture française de la fin du XIXe siècle, il s’est en particulier intéressé, à travers ses travaux et son activité professionnelle, à l’histoire des musées en liaison avec leur architecture et leur décor. Il a assuré le commissariat de nombreuses expositions d’art contemporain consacrées à Jean Dubuffet, Christian Boltanski, Joseph Beuys… En 2011, il est co-commissaire de l’exposition « L’Invention de l’œuvre. Rodin et les ambassadeurs ». John Zarobell est docteur en Histoire de l’art de l’université de Californie à Berkeley et conservateur de peinture et sculpture au musée d’Art moderne de San Francisco. Il a été conservateur en peinture et sculpture européennes au musée des Beaux-Arts ainsi qu’au musée Rodin de Philadelphie. Contribuant régulièrement à des catalogues d’exposition, il a publié de nombreux articles dans les revues Art History, Nineteenth-Century Art Worldwide ou encore Berkeley Review of LatinAmericain Study. Son dernier livre, Empire of Landscape, Space and Ideology in French Colonial Algeria, est paru en 2010 chez Pennsylvania State University Press. Nadine Lehni est conservateur en chef du patrimoine au musée Rodin, chargée des dessins et des peintures. Elle a été, de 1973 à 1996, conservateur du cabinet des Dessins 28 La boutique du musée Rodin Reproductions de dessins Un coffret luxe contenant une reproduction d'un dessin inédit et le catalogue de l'exposition « La saisie du modèle. Rodin 300 dessins 1890-1917 » sera édité en série limitée de 100 exemplaires numérotés. Le musée éditera la huitième série de trois reproductions de dessins en édition limitée à 200 exemplaires, imprimées sur papier Arches 250 gr., 30 x 40 cm. Chaque planche est numérotée au dos et tamponnée à sec. L’ensemble est présenté dans une enveloppe rouge. Seront également proposés un large choix de reproductions de dessins sur papier Arches, des nouveaux cahiers, de nouvelles cartes postales et un coffret original de 12 cartes format 14x20 cm reproduisant une sélection de dessins de l'exposition. Livres En lien avec l'exposition, la librairie-boutique propose une sélection de classiques, d'essais ainsi que des livres d'art sur le thème du dessin, de l'érotisme et du nu. Le corps, la beauté et l'identité se confrontent également dans des catalogues d'artistes contemporains. Produits dérivés Des objets et des accessoires créés pour l’occasion seront également en vente ainsi qu’une nouvelle gamme de pièces en porcelaine sur le thème de l'art de la table. En partenariat avec la manufacture italienne Richard Ginori, une assiette de collection carrée, en édition limitée avec un dessin sérigraphié sera spécialement éditée. Cette pièce unique sera vendue en exclusivité à la boutique du musée Rodin. 29 En liaison avec l’exposition La saisie du modèle. Rodin 300 dessins 1890-1917 qui se déroulera au musée Rodin du 18 novembre 2011 au 1er avril 2012, une sélection d’une trentaine de dessins de Paul-Armand Gette sera présentée au premier étage de l’hôtel Biron. Depuis 1970, Paul-Armand Gette construit une œuvre singulière, nourrie d’une obsession constante pour deux thèmes : celui du paysage et de l’idée de nature, et celui de l’étude du modèle. Leur articulation se fait autour du corps féminin et de ses possibles métamorphoses, trouvant son incarnation parfaite dans la figure de la nymphe, cette femme-nature que l’artiste emprunte très librement à la mythologie grecque et romaine. Paul-Armand Gette a ainsi bâti au fil des années un univers hédoniste et paganiste peuplé de ses déesses favorites : Artémis, Aphrodite et leurs nymphes. « Enfin Nymphe ou déesse d’un rang supérieur, les deux me conviennent très bien et me procurent des sujets d’une grande variété, qu’ils soient d’ordre plastique ou du côté de la réflexion, d’autant que je suis amoureux de tous les sens que peut prendre le mot nymphe. Des divinités qui hantent les lieux les plus plaisants aux petites lèvres du sexe féminin en passant par l’état intermédiaire entre la larve et l’imago, puis la belle fleur habitante des eaux dormantes chère (…) à Claude Monet, je vais pouvoir les associer, et même glisser de l’une à l’autre, en somme pratiquer l’art du débordement ». Chantilly noire, motif à répéter Encre de chine sur papier Collection Paul-Armand Gette Projet : étude et conséquences de la mécanique des fluides Craie noire et peinture acrylique sur toile Collection Paul-Armand Gette C’est cette relation au modèle et au corps féminins - préoccupation également partagée par Rodin - à travers les figures mythologiques d'Artémis et ses nymphes, qui sera le fil conducteur de cette exposition. Commissaire général de l’exposition : Dominique Viéville, Conservateur général du patrimoine, directeur du musée Rodin Commissaires de l’exposition : Noëlle Chabert, Conservateur en chef du patrimoine, responsable du service du développement Amélie Lavin, Conservateur du patrimoine, en charge de la coordination des expositions et de l’art contemporain. Production et coordination des expositions : service du développement Petit journal en français et en anglais Dessin à la confiture pour une nymphe Confiture sur papier Collection Paul-Armand Gette Contact Presse Claudine Colin Communication Ingrid Cadoret [email protected] Eva Astaburuaga Dalla Venezia [email protected] Tél : 01 42 72 60 01 Musée Rodin 79, rue de Varenne 75007 Paris M° Varenne Du mardi au dimanche de 10h à 17h45 30 Programmation et billetterie www.musee-rodin.fr En 2011, le musée Rodin invite Jean-Christophe Bailly. Cette résidence s’articule autour d’une série de projets dont l’écriture d’un chapitre du livre Dépaysement, voyages en France paru aux éditions du Seuil en avril 2011. À l’occasion de l’exposition La saisie du modèle. Rodin 300 dessins 1890-1917, Jean-Christophe Bailly tiendra une conférence à l’auditorium du musée le 19 novembre sur le thème de « l’atelier exégétique ». Ce dernier repose sur la conviction que l’interprétation des œuvres n’est jamais close et que son caractère collectif et non hiérarchisé – toutes les approches ayant une légitimité – est un enrichissement. Enfin, comme une signature de son passage au musée, Jean-Christophe Bailly proposera une « vitrine » intitulée Un tout petit rapt, composée d’objets pris dans les collections de Rodin et dans les réserves du musée, autour d’une réflexion sur le format, la dimension et l’espace, la capacité de l’œuvre à fabriquer de l’espace. Située à l’étage de l’hôtel Biron, dans la salle des Bourgeois de Calais, la vitrine sera visible simultanément à l’exposition La saisie du modèle. Rodin 300 dessins 1890-1917. Jean-Christophe Bailly est né à Paris le 3 mai 1949. Écrivain, poète et dramaturge, il est l’auteur d’une vingtaine de livres. On lui doit des textes consacrés, entre autres, à Jacques Monory, Marcel Duchamp, Kowalski, Gilles Aillaud, Kurt Schwitters, Dorothea Tanning et aux portraits du Fayoum, ainsi qu’un livre d'initiation à la peinture, L’atelier infini (2007 Hazan). Il est l’auteur d’une importante anthologie, La Légende dispersée, anthologie du romantisme allemand (rééd. Bourgois, 2000). Docteur en philosophie, il enseigne à l’École nationale supérieure de la nature et du paysage de Blois, dont il dirige la publication Les Cahiers de l’École de Blois depuis 2003. De plus, il donne également des séminaires réguliers à l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. Il a fondé et dirigé les revues Fin de siècle (4 numéros, 1974-1976) et Aléa (9 numéros, 19811989). Il a également dirigé les collections « Détroits » chez Christian Bourgois (avec Michel Deutsch et Philippe Lacoue-Labarthe) et aux Éditions Hazan la collection 35/37, qui publie de grands titres de l'histoire de l'art. Parmi ses livres de poésie, on citera, L’Oiseau Nyiro, La Dogana, 1991 ; Basse continue, Seuil, 2000. Il est également l’auteur d’essais sur la littérature, l’art et la photographie, notamment, Le 20 janvier, Bourgois, 1980 ; La Fin de l’hymne, Bourgois, 1991 ; Rimbaud parti, avec Jacqueline Salmon, Marval, 2006 ; Le Versant animal, Bayard, 2007 ; L’atelier infini. 30000 ans de peinture, Hazan, 2007 ; L’Instant et son ombre, Paris, Seuil, 2008. Conférence à l’Auditorium Samedi 19 novembre 2011, de 10h30 à 12h. Entrée libre dans la limite des places disponibles. Réservation recommandée au 01 44 18 61 24, de 10h à 16h, du lundi au vendredi Contact Presse Claudine Colin Communication Ingrid Cadoret [email protected] Eva Astaburuaga Dalla Venezia [email protected] Tél : 01 42 72 60 01 Musée Rodin 79, rue de Varenne 75007 Paris M° Varenne Du mardi au dimanche de 10h à 17h45 Programmation et billetterie www.musee-rodin.fr 31 Le musée rodin Un musée prestigieux Musée monographique, le musée Rodin réunit la plus importante collection d’œuvres du sculpteur sur deux sites à Paris à l’hôtel Biron, et à Meudon, site de l’ancien atelier, des réserves et de son ancien lieu de vie. Créé en 1916, grâce à la donation par Auguste Rodin de ses œuvres et de ses collections à l’Etat français, il a été ouvert en 1919. La renommée internationale de l’artiste, auteur de sculptures universellement connues contribue à la notoriété des lieux. Un cadre exceptionnel L’hôtel Biron constitue un joyau de l’architecture rocaille parisienne avec son parc de presque trois hectares, qui en renforce l’attrait et explique le taux très élevé de fréquentation du musée : au total plus de 700 000 visiteurs sont accueillis chaque année. D’importants travaux d’entretien et de rénovation de la muséographie sont prévus à partir de janvier 2012. Un musée national qui s’auto-finance Sous tutelle du ministère de la Culture, le musée Rodin est ainsi le seul établissement public à s’autofinancer. Détenteur du droit moral, voué à la sauvegarde, l’étude, la mise en valeur et la diffusion de l’œuvre et de ses collections, le musée assume parallèlement ses missions de service public à l’égal des autres musées : gratuité pour tous les moins de 18 ans et les jeunes de la communauté européenne jusqu’à 25 ans, gratuité pour les enseignants de l’éducation nationale et pour tous chaque 1er dimanche du mois. Une offre culturelle renouvelée Le musée affirme aujourd’hui son ambition dans ce domaine. En complément de la présentation des collections permanentes, le musée programme deux grandes expositions temporaires par an ayant pour thèmes l’œuvre de Rodin, des aspects méconnus de sa collection (dessins, photos, antiques, …) ou des rapprochements avec de grandes figures de la pensée, de l’art et principalement de la sculpture, de l’époque de Rodin à nos jours. collections léguées, permettre une meilleure compréhension de la sculpture, et travailler ainsi à l’élargissement de la vision que le public peut avoir de l’artiste font partie de l’ambition du musée pour les années à venir. Une médiation et des activités de qualité accompagnent chaque exposition : journées d’étude, petit journal en français et en anglais, carnet de jeu pour les enfants, audio-guides, modules sonores téléchargeables, visites-conférence... Un contexte privilégié pour l’art contemporain Le musée Rodin est enfin un lieu d’excellence pour la présentation de la sculpture dans toutes ses dimensions, y compris la vidéo, comme l’ont montré les présentations de vidéo-performances Le Corps comme sculpture 1 et 2. Des artistes sont depuis 2005 régulièrement invités à investir différents espaces du musée : la cour d’honneur, le parc ou l’hôtel Biron, en relation aux collections ou à la thématique des expositions temporaires. On compte notamment, parmi les derniers invités du musée Rodin, l’artiste Gillian Wearing, Wim Delvoye ainsi que Urs Fischer. 2012, les travaux de l’Hôtel Biron Fin 2005, l’architecte Pierre Louis Faloci terminait la restauration du bâtiment de la chapelle permettant la réouverture d’une salle d’exposition temporaire, d’un auditorium, d’une boutique et d’un hall d’accueil ouvert sur la rue, ainsi que des bureaux. Le musée Rodin poursuit son plan de restauration du patrimoine en réhabilitant son édifice principal, l’hôtel Biron, ainsi que son parc. La restauration de cet ensemble classé s’échelonnera sur deux ans, de 2012 à 2014. Il prévoit la rénovation des salles d’exposition, les mises aux normes d’accessibilité et de sécurité de l’ensemble de l’édifice, l’ouverture de nouveaux espaces de visite, le renouvellement complet du parcours muséographique et la préservation du patrimoine architectural, minéral et végétal. Trois priorités Trois axes de recherche méritent ici d’être soulignés : la place de Rodin dans l’histoire de la sculpture du XIXe siècle, son rôle dans le dépassement de l’académisme et l’instauration de la modernité, enfin la prise en compte de la diversité des regards portés sur son œuvre. Témoigner de la richesse des 32 informations pratiques Musée Rodin 79 rue de Varenne 75007 Paris Métro Varenne ou Invalides Du mardi au dimanche de 10h à 17h45 Fermé le lundi A partir du 4 janvier 2012, nocturnes tous les mercredis jusqu’à 21h (dernier billet 20h15) Tarifs _ Plein tarif exposition : 7€ _ Plein tarif musée : 6€ _ Billet jumelé musée + exposition : 10€ _ Billet famille musée + exposition : 2 adultes et au moins un enfant de moins de 18 ans : 10€ _ Jeunes de 18 à 25 ans et enseignants : expo 5€ _ Gratuit jusqu’à 18 ans Billetterie www.muse-rodin.fr Éditions Catalogue en coédition avec les Editions Nicolas Chaudun 280 p., 22 x 28 cm, 350 ill. coul., 39€ Commissariat général Dominique Viéville, Conservateur général du patrimoine Directeur du musée Rodin Commissariat Nadine Lehni Conservateur en chef du patrimoine, Chargée des dessins et des peintures En collaboration avec Maéva Abillard Attachée de conservation Mise en œuvre et coordination de l’exposition Service du développement Scénographie Agence Zérosixdix : Jasmin Oezcevi , Franck Vincot Contact presse Claudine Colin Communication Ingrid Cadoret [email protected] Eva Astaburuaga Dalla Venezia [email protected] T. +33 (0)1 42 72 60 01 33 Visuels DISPONIBLES pour la presse Le dessin d’après nature Femme nue inclinée auprès d'une femme debout aux cheveux dénoués 1892-1896 Encre noire (plume), crayon au graphite (trait), gouache et aquarelle sur papier vergé filigrané 17,8 x 11,3 cm Femme nue assise, un pied posé de haut sur un genou ; Femme nue debout sans tête 1892-1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 17,3 x 11 cm Synthétiser Le dessin instantané Femme nue à la jambe gauche écartée 1892-1896 Crayon au graphite (trait), encre brune (plume), pastel rouge (trait) et aquarelle (tache) sur papier vergé filigrané 20,2 x 12,7 cm Femme nue dans ses voiles 1892-1896 Encres noire et rouge (plume), gouache et aquarelle sur papier vergé filigrané 15,8 x 10 cm Femme nue assise de face, les mains derrière la tête Après 1896 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin 31,1 x 19,9 cm Femme nue étendue sur le côté dite Sculpture Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 24,7 cm Femme accroupie vue de dos, un vêtement sur les épaules Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,5 cm 34 Combiner Découper et assembler Femme nue aux longs cheveux, renversée en arrière Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin découpé 27,5 x 21,4 cm Couple féminin Après 1896 Assemblage d’un papier vélin découpé et d’un dessin sur papier vélin Crayon au graphite (trait) et aquarelle 33,5 x 27,7 cm Eros : bas-relief Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 50,6 x 32,5 cm Femme nue penchée sur une femme agenouillée vue de dos Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur deux papiers découpés 34,5 x 15 cm Thèmes et variations Les dessins autour de 1900 Bénédiction qui plane Avant 1900 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin collé en plein sur carton 32,2 x 25,2 cm Brutal despotisme Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,5 x 24,9 cm Brume du soir Femme nue agenouillée de face et les mains dans le dos Avant mai 1902, repris à une date ultérieure Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 49,3 x 31 cm Femme assise, un vêtement sur les épaules et sur les bras Avant 1901 Crayon au graphite (trait), encre noire (lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,8 x 25,1 cm 35 Les figures dans l’espace Femme nue de dos, allongée sur le ventre Avant novembre 1903 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,4 x 24,6 cm Nuage Femme nue allongée sur le côté, et accoudée sur le sol Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 24,9 x 32,6 cm Mythes et métamorphoses Ange ou Ariel Femme ailée agenouillée et les bras croisés Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Cerbère Femme nue à demi-allongée, aux trois têtes Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe) et aquarelle sur papier vélin 25 x 32,7 cm Psyché Psyché Femme assise de face, le vêtement relevé sur les jambes écartées Avant janvier 1908 Crayon au graphite (trait) sur papier vélin Les figures de l’indécence Psyché En diagonale, femme drapée Vers 1900 ? Crayon au graphite (trait et estompe), encre noire (lavis), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,5 x 25,2 cm Femme nue agenouillée, de dos, le vêtement relevé jusqu’à la taille Après 1896 Crayon au graphite (trait et estompe), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,6 x 25,2 cm Femme nue aux jambes écartées Après 1896 Crayon au graphite (trait) et aquarelle sur papier vélin 32,3 x 25,3 cm 36 Les danseuses cambodgiennes Danseuse cambodgienne assise, au bras droit levé 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 31,3 x 19,8 cm Les portraits Danseuse cambodgienne de face 1906 Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32 x 24,3 cm Estomper Torse de femme nue, de profil à droite, les bras dressés audessus de la tête Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,2 x 23,8 cm Portrait de la comtesse Nourye Rohozinska, née Blosset de Châteauneuf 1906 ou 1907 ? Crayon au graphite (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin filigrané 32,5 x 25,1 cm Portrait d'Hanako Entre 1906 et 1907 Crayon au graphite (trait), fusain (trait), aquarelle et gouache sur papier vélin 32,3 x 24,5 cm Formes et couleurs Femme nue de face, une jambe levée Après 1909 Crayon au graphite (trait et estompe) sur papier vergé filigrané 38,4 x 23,7 cm Naissance de Vénus Femme nue, une main entre les cuisses Après 1900 Crayon au graphite (trait), encre brune (plume et lavis) et aquarelle sur papier vélin 32,7 x 25 cm Femme nue allongée vue de dos et en perspective Après 1900 Crayon au graphite (trait et estompe), encre rouge (lavis) et aquarelle sur papier vélin 24,8 x 32,1 cm 37