dossier presse ARC Rennes 27 mai

Dossier de presse
27 mai 2008
TRAITEMENT DES CANCERS DU FOIE :
LES AVANCEES PROMETTEUSES D’UNE EQUIPE
RENNAISE SOUTENUE PAR L’ARC
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27 mai 2008
SOMMAIRE
Communiqué de presse ................................................................
................................................................................................
..........................................................................
.......................................... 3
Le projet de recherche de l’équipe du Professeur Etienne Garin .........................................
......................................... 4
Le Centre Régional de Lutte Contre le Cancer Eugène Marquis
Marquis ............................................
............................................ 6
L'Association pour la Recherche sur le Cancer ................................................................
......................................................................
...................................... 8
L’Association pour la Recherche sur le Cancer à Rennes et en Bretagne ........................... 10
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27 mai 2008
COMMUNIQUE DE PRESSE
CANCERS DU FOIE : DES CHERCHEURS RENNAIS SOUTENUS PAR L’ARC AMELIORENT LES TRAITEMENTS
A l'occasion de la venue à Rennes, mardi 27 mai, au Centre Régional de Lutte Contre le Cancer Eugène Marquis, de
Jean-Claude JOUSSET, Administrateur et Secrétaire de l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC) et en
présence du Professeur Patrick BOURGUET, Directeur Général du Centre, et de représentants du Conseil Général
d’Ille et Vilaine, de Rennes Métropole et du Cancéropôle Grand Ouest, l’équipe du Professeur Etienne GARIN a
présenté les avancées de ses travaux de recherche soutenus par l'ARC.
Ces travaux permettent des avancées prometteuses dans la mise au point d’une nouvelle forme de traitement par
radiothérapie des cancers primitifs du foie. Ces cancers, appelés carcinomes hépatocellulaires, sont très difficiles à
traiter et en augmentation, avec près de 7 000 nouveaux cas chaque année en France. Le carcinome
hépatocellulaire est au niveau mondial le 5ème cancer le plus fréquent.
En 2006, l’ARC avait choisi de soutenir financièrement les travaux de l'équipe rennaise en lui allouant une
subvention d’un montant de 100 000€ pour 2 ans, pour permettre l’acquisition et l’installation d’un équipement de
recherche de pointe indispensable à la poursuite du projet. Cet équipement, une enceinte blindée pour la
manipulation de produits radioactifs, est opérationnel depuis le mois de mars 2007. Il a permis à l’équipe du
Professeur GARIN de poursuivre ses avancées pour la mise au point d’une nouvelle stratégie thérapeutique, plus
efficace et moins contraignante pour les patients, pour lutter contre les cancers primitifs du foie. Un essai clinique
sera lancé mi 2009 sur un panel de 12 à 24 patients pour tester l’efficacité de la technique et déterminer les
meilleurs dosages.
Les recherches sur les cancers du foie, dont les carcinomes hépatocellulaires font partie, sont nombreuses en
France et l’ARC a financé ces 5 dernières années 268 projets de recherche sur cette thématique pour un montant
global de 9 millions d’euros.
Plusieurs laboratoires et structures de recherches sont également financés par l’ARC à Rennes pour des projets de
cancérologie : en 2007 à Rennes, 11 projets ont été choisis pour être financés par l’association pour un montant
global de plus de 357 000 euros. Depuis 10 ans, ce sont à Rennes plus de 150 projets qui ont été financés pour un
montant de plus de 4,7 millions d’euros.
En région Bretagne, depuis 10 ans, ce sont au total 185 projets de recherche qui ont été financés par l’ARC pour un
montant total de plus de 5,6 millions d’euros.
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27 mai 2008
LE PROJET DE RECHERCHE PILOTE PAR LE PROFESSEUR ETIENNE
GARIN AVEC LE SOUTIEN DE L'ARC : DESCRIPTION, ENJEUX ET
PERSPECTIVES.
TITRE DU PROJET DE RECHERCHE
RECHERCHE
Optimisation de la radiothérapie métabolique des carcinomes hépatocellulaires au 188Re-SSS lipiodol.
RAPPEL DU CONTEXTE
Le cancer primitif du foie (CHC) est un cancer assez fréquent et difficile à traiter. Même avec l’introduction en 2007
du traitement par sorafénib, molécule antiangiogénique visant à réduire la vascularisation de la tumeur, le pronostic
de ce cancer reste très péjoratif avec une survie médiane de seulement 10,7 mois sous traitement, lorsqu’une
intervention ne peut pas être réalisée.
DESCRIPTION DU PROJET
Le traitement du carcinome hépatocellulaire repose sur la chirurgie en première intention . Pour les patients qui ne
peuvent pas être opérés, d’autres traitements peuvent être proposés
En particulier un traitement par radiothérapie interne vectorisée en utilisant comme vecteur du lipiodol marqué à
l'iode 131 (131I-lipiodol), peut être réalisé. Ce traitement a été développé par l’équipe du Professeur Bourguet il y a
maintenant 20 ans, il est efficace chez certains patients et bien toléré. Cependant l’utilisation comme élément
radioactif de l’iode 131 rend l’utilisation de ce traitement délicate. En effet l’iode 131 est responsable non
seulement d’une irradiation de la tumeur, et c’est le but recherché, mais également de l’entourage du patient et ce
sur une durée d’au moins 8 jours. Pour cette raison les patients traités par 131I-lipiodol doivent être hospitalisés
dans une chambre radioprotégée pour une durée de huit jours. Le nombre de chambres radioprotégées étant peu
important (seulement 6 dans le service de médecine nucléaire du Centre Eugène Marquis pour le département d’Ille
et Vilaine) cela limite de façon importante les possibilités d’utilisation de ce traitement.
La chimioembolisation peut également être utilisée mais elle présente, pour la même efficacité thérapeutique que
l’131I-lipiodol, beaucoup plus d’effets secondaires majeurs.
Pour favoriser l’utilisation de la radiothérapie métabolique au lipiodol radiomarqué, l’équipe du Professeur Garin a
développé un marquage, avec de faibles quantités de radioactivité, du lipiodol avec un autre élément radioactif, le
rhénium 188, plus facile à utiliser que l’iode 131. En effet, le rhénium 188 est responsable d’une irradiation faible
et de courte durée de l’entourage permettant de réduire la durée de l’hospitalisation de 8 jours à 24 heures.
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ENJEUX ET PERSPECTIVES
PERSPECTIVES DU PROJET DANS LA LUTTE CONTRE LE CANCER
CANCER
Ce nouveau traitement pourra constituer une avancée importante dans la prise en charge de ce cancer difficile à
traiter. Il pourra être utilisé en association avec d’autres traitements, en particulier les molécules antiangiogéniques,
afin d’être encore plus efficace.
Ce nouveau traitement devrait donc permettre à terme :
•
•
•
•
de limiter la durée d’hospitalisation à 24 heures et donc d’améliorer le confort des patients ;
de traiter ainsi un plus grand nombre de patients ;
d’être plus efficace en favorisant son utilisation avec d’autres molécules ;
de réduire les coûts principalement liés à la durée du séjour hospitalier.
L’équipe du Professeur Garin prévoit de réaliser, dans le cadre d’un essai clinique, les premières administrations de
ce nouveau traitement à des patients atteints de cancers primitifs du foie non opérables d’ici à mi-2009.
APPORT DU FINANCEMENT DE L’ARC
Financement de : 100 000 € alloué en juin 2006 pour deux ans.
Grâce à la subvention de l’ARC, l’équipe du Professeur Garin a pu acquérir
une enceinte de manipulation radioprotégée permettant de travailler dans
des conditions satisfaisantes de sécurité pour développer le marquage du
lipiodol avec de fortes quantités de radioactivité.
Grâce à cette enceinte, l’équipe du Professeur Garin vient de développer le
marquage à forte activité du lipiodol par le rhénium 188 ainsi que
l’automatisation de cette synthèse.
AUTRES SOUTIENS
Ces travaux ont été réalisés en collaboration entre le Centre Régional de Lutte Contre le Cancer Eugène Marquis de
Rennes, unité INSERM U522 – EA MDC (Pr Etienne Garin, Dr Nicolas Lepareur, Dr Valérie Ardisson, Service de
Médecine Nucléaire) et l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Rennes CNRS UMR 6226 (Pr Nicolas Noiret). Ils
ont par ailleurs été soutenus par l’Université de Rennes 1, la Région Bretagne, Rennes Métropole, la Ligue contre le
Cancer et la Cancéropôle Grand Ouest.
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27 mai 2008
LE CENTRE REGIONAL DE LUTTE CONTRE LE CANCER EUGENE
MARQUIS DE RENNES
Fondé en 1923, Le Centre Eugène Marquis de Rennes (CEM) est devenu l’un des 20 centres de lutte contre le
cancer créés par l’ordonnance de 1945, et regroupés depuis au sein de la Fédération Nationale des Centres de
Lutte contre le cancer (FNCLCC) ; Il a été admis à participer au Service public hospitalier en 1977. Fondation
reconnue d’utilité publique en 1929, le CEM est un établissement de soins privé à but non lucratif et a été admis à
participer au service public en 1977. Entièrement financé par des fonds publics, il est habilité à recevoir des dons et
legs. Il est situé à Rennes sur le campus hospitalo-universitaire de Pontchaillou, rue Bataille Flandres-Dunkerque.
Le CEM a fondé avec le CHU et la Clinique Mutualiste la Sagesse de Rennes l’Institut de Cancérologie de Rennes,
communauté d’établissements agréée par l’Agence Régionale de l’Hospitalisation (A.R.H.) de Bretagne, pour
constituer un pôle régional de référence en cancérologie.
Par convention avec le CHU et la Faculté de Médecine, il accueille les disciplines universitaires d’oncologie
médicale, de radiothérapie et de médecine nucléaire. Il assure des missions de soins, de recours, d’enseignement
et de recherche.
SOINS
Plus de 2300 nouveaux patients atteints de cancer chaque année, une équipe de spécialistes, un laboratoire
d’analyses biologiques et un plateau technique performant pour :
•
•
•
•
•
le traitement complet des tumeurs du sein y compris chirurgical ;
la radiothérapie de tout type d’affections, y compris hématologiques et pédiatriques ;
la chimiothérapie des tumeurs solides de l’adulte ;
le traitement radioactif des cancers de la tyroïde après la chirurgie ;
la plupart des modalités d’imagerie médicale : scanner, IRM, angiographie et la tomographie par émission
de positons (TEP).
·
ENSEIGNEMENT
Formation initiale et continue des médecins et des paramédicaux, en collaboration avec la faculté de médecine et
les écoles paramédicales :
• le CEM accueille les disciplines hospitalo-universitaires d’Oncologie médicale, de Radiothérapie et de
Médecine nucléaire (Convention tripartite CHU-CEM-Université) ;
• le CEM dispose d’un Institut de Formation (IFOREM) organisant des formations en cancérologie aux
professionnels hospitaliers et libéraux, médicaux et paramédicaux.
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27 mai 2008
RECHERCHE
Le CEM met en place de nombreux essais cliniques, diagnostiques et thérapeutiques (80 essais et 300 patients
inclus en moyenne chaque année). Le CEM dispose d’un Bureau d’Etudes Cliniques associé à la Société BIOTRIAL et
à la Fédération Nationale des CLCC.
Le Laboratoire de Biologie est associé au Groupement d’Intérêt Scientifique de Thérapie Cellulaire avec le CHU,
l’INSERM, l’EFS et l’Université.
L’UPRES du Service de Médecine nucléaire est intégrée dans un Institut Fédératif de Recherche (IFR) « Imagerie
métabolique et modélisation » avec l’INSERM, l’INRA et deux autres UPRES.
Le CEM est partenaire du Cancéropôle « Grand-Ouest » créé autour des 4 régions (Bretagne, Pays de Loire, Centre et
Poitou-Charentes) dans le cadre du Plan Cancer.
L E C E N T R E E UG E N E M A R Q U I S E N Q UE L Q UE S C H I F F R E S
- 18 000 patients différents vus chaque année, dont 2 200 en hospitalisation
- 350 salariés, dont 50 praticiens
- 89 lits ou places, dont 15 en hôpital de jour et 4 places de chirurgie ambulatoire :
4.000 entrées et 14.000 journées en hospitalisation complète, 5 400 venues en hôpital de jour et 500
journées de chirurgie ambulatoire
- 4 appareils de radiothérapie, 35 000 séances, 1 400 patients, curiethérapie haut et bas débit, curiethérapie
de prostate
- 6 chambres radioprotégées pour le traitement des cancers de la thyroïde et les carcinomes hépatocellulaires
- 5 gamma – caméras et un TEP (Tomographe à émission de positons) : 13 000 examens
- 2 scanners et une angiographie numérisée (8 600 examens)
- Laboratoire de biologie : 140 000 examens, 3 200 000 B
- 3 salles opératoires – 1 300 interventions
- Chimiothérapie : 2.000 lignes, 7.000 cycles et 17.000 préparations
Centre Eugène Marquis
Rue Bataille Flandres – Dunkerque – CS 44229
35042 RENNES CEDEX
Tél : 02.99.25.30.00 Fax : 02.99.25.32.50
E-mail : [email protected]
Site internet : www.fnclcc.fr
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L'ASSOCI ATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER
Créée en 1962, l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC) est aujourd'hui l'un des tout premiers
contributeurs privés à la recherche en France. Une recherche qui a fortement contribué à faire progresser la lutte
contre le cancer.
L'Association pour la Recherche sur le Cancer a apporte en moyenne chaque année 28 millions d’euros* pour
soutenir environ 800 projets de recherche en cancérologie. Des financements reposant exclusivement sur l'apport
de donateurs privés, à l'exclusion de toute donation publique.
En renouvelant ses structures de direction, en mettant en place des procédures de sélection et de contrôle
particulièrement rigoureuses, et en étant reconnue récemment comme exemplaire par la Cour des comptes,
l'Association pour la Recherche sur le Cancer a su reconquérir la confiance de ses donateurs et en élargir l'assise.
Elle consacre aujourd’hui plus de 75% de ses ressources au financement d'équipes de recherche dédiées à la lutte
contre le cancer.
L’Association pour la Recherche sur le Cancer est présidée depuis juin 2005 par Jacques Raynaud, scientifique
nourri d'une longue expérience dans la recherche industrielle et publique.
L’Association pour la Recherche sur le Cancer a défini 5 axes de recherche prioritaires :
1 - Comprendre les causes et les mécanismes d'apparition du cancer.
2 - Améliorer le diagnostic précoce grâce aux nouvelles techniques.
3 - Améliorer les traitements existants.
4 - Découvrir de nouveaux traitements.
5 - Accélérer les progrès pour la prévention du cancer.
Ces 5 axes sont en parfaite cohérence avec les politiques de santé publique et en particulier celles définies dans le
Plan Cancer lancé en 2003. Ils intègrent les évolutions générées dans le contexte de l’Institut National du Cancer
(INCa).
* moyenne calculée sur les 10 dernières années
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L’ORGANISAT ION
Le Conseil d’administration :
Comme toute association régie par les dispositions de la loi de 1901, l'Association pour la Recherche sur le Cancer
est administrée par un Conseil d'administration élu par l'Assemblée Générale. Le Conseil comprend 20 membres
bénévoles et un membre désigné par le Comité d'Entreprise. Il élit chaque année au scrutin secret un Bureau
composé de 6 à 8 membres. Le Conseil associe des représentants de la communauté scientifique, du monde
médical et de la société civile.
Le Conseil scientifique :
Le Conseil scientifique a pour rôle de proposer au Conseil d'administration les grandes orientations de la politique
de soutien à la recherche. Il organise l'expertise et la sélection des projets de recherches qui sont soumis au Conseil
d'administration pour attribution de financements. Il est présidé par le Professeur Jean-Marc Egly, Directeur de
recherche à l'Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire à Illkirch (Alsace). Le Conseil scientifique
est composé de 12 membres..
L’ARC EN QUELQUES CHIFFRES
CHIFFRES
En moyenne chaque année* :
− 800 projets de recherches soutenus
− un financement de 28 millions d’euros
En 2007 :
− 220 000 donateurs fidèles
− Plus de 42 millions d’euros collectés via les dons, les legs, les donations et les assurances vie
− Plus de 75% des ressources consacrés au financement des projets de recherche sur le cancer
* moyenne calculée sur les 10 dernières années
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L'ASSOCI ATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER A RENNES ET
EN REGION BRETAGNE
En 2007, l'Association pour la Recherche sur le Cancer a soutenu 11 projets de recherche à Rennes pour un
montant de plus de 357 000 euros. En 10 ans, plus de 150 projets ont été soutenus dans cette ville pour un
montant total de plus de 4,7 millions d’euros.
En région Bretagne depuis 10 ans, ce sont au total 185 projets de recherche qui ont été financés par l’ARC pour un
montant total de plus de 5,6 millions d’euros.
D E T A I L D E S F I N A N C E M E N T S A R C A R EN NE S E T D A N S L A R E G I O N B R ET AG NE :
Année 2007
aides individuelles
jeunes chercheurs
RENNES
BRETAGNE
Equipements
Subventions
Total projets ARC
Nombre
6
8
Montant
115 408 €
149 150 €
Nombre
1
1
Montant
42 000 €
42 000 €
Nombre
4
4
Montant
200 000 €
200 000 €
Nombre
11
13
Montant
357 408 €
391 150 €
364
13,3M€
40
1,7M€
167
10,3
571
25,3M€
Total France
De 1998 à 2007
aides individuelles
jeunes chercheurs
RENNES
BRETAGNE
Total France
Equipements
Nombre
78
93
Montant
1 312 555 €
1 652 240 €
Nombre
25
27
4412
85,6 M€
674
Subventions
Montant
Nombre
1 250 335 €
53
1 293 021 €
65
30,3 M€
3108
Total projets ARC
Montant
2 220 576 €
2 713 097 €
Nombre
156
185
Montant
4 783 466 €
5 658 358 €
151,9M€
8194
272 M€
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L E S I N S T I T U T S E T L A B O R A T O I R E S D E R E C H E R C H E F I N A N C E S P A R L ’ AR C E N B R E TA GN E
Nombre de projets
financés en 2007
Ville
Nombre de projets
financés de 1998 à 2007
Institut
BREST
CENTRE DE TRANSFUSION SANGUINE
1
CENTRE HOSPITALIER REGIONAL ET
UNIVERSITAIRE
FACULTE DE MEDECINE
1
4
6
Total BREST
CONCARNEAU
STATION DE BIOLOGIE MARINE
1
Total CONCARNEAU
1
RENNES
CENTRE EUGENE MARQUIS
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DE CHIMIE
FACULTE DE MEDECINE
FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE
FACULTE DE PHARMACIE
FACULTE DES SCIENCES
HOPITAL DE PONTCHAILLOU
UFR D'ODONTOLOGIE
UNIVERSITE RENNES I
Total RENNES
ROSCOFF
CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE
6
1
11
1
52
1
22
29
28
2
15
156
2
3
2
1
18
22
13
185
7
1
1
1
OBSERVATOIRE OCEANOLOGIQUE
STATION BIOLOGIQUE
Total ROSCOFF
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