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Les vagues d’Elliott
Principe des vagues d'Elliott
Ce document fera l’objet de mises à jour pour
intégrer les canaux techniques d’elliott et les
composantes fibonacci des vagues.
Il s’agit actuellement de la version 1.1
Vous pouvez compléter cette
lecture par le visionnage de nos
vidéos sur elliott
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3)
- Version 1.0 par gamer
- Version 1.1 révision et complétion par elderise
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4)
Introduction a Elliott 1/2
Introduction à Elliott 2/2
Modéliser les vagues
d’elliott à partir des
tendances canalisées
(accès bronze)
Elliott et ratios fibonacci
(accès VIP)
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et de connaissances. N’hésitez pas à consulter et liker notre page Facebook
2
Qui sommes nous ?
Introduction
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ainsi que des analyses techniques basées sur une approche chartiste et elliotiste.
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et notre club VIP.
INTRODUCTION
La théorie des vagues d'Elliott est intéressante à plus d'un titre.
En effet :
 Elle permet d'identifier la tendance puisqu'elle reprend les principes de la
loi de Dow.
 Elle permet d'identifier les retracements au sein d'une tendance plus large.
 Elle permet de déterminer la maturité de la tendance. On peut en effet
savoir où on en est du mouvement actuel (début, milieu ou fin de
tendance).
 Elle permet de déterminer des points d'entrée, des objectifs de profit et des
niveaux d'invalidation (stops).
4
STRUCTURE D'UN CYCLE DE MARCHE
Un cycle peut être décomposé en
deux phases :
 Une vague d'impulsion dans le
sens de la tendance, composée de
5 sous-vagues. Ces 5 sous-vagues
sont numérotées de 1 à 5.
 Une vague de correction dans le
sens contraire, composée de 3
sous-vagues. Ces 3 sous-vagues
sont numérotées de A à C.
Les vagues d'Elliott se retrouvent de manière fractale sur les différentes unités de
temps. Autrement dit, chaque vague est composée de sous-vagues et chacune de ces
sous-vagues se compose de sous-sous-vagues,...etc. On peut donc repérer et
numéroter ces vagues selon une nomenclature particulière en naviguant dans les
différentes unités de temps.
5
STRUCTURE D'UN CYCLE DE MARCHE
Le cycle ci-contre représente un
marché haussier. La vague
d'impulsion I contient elle-même
trois sous-vagues d'impulsion 1, 3
et 5 et deux sous-vagues de
correction 2 et 4. La vague de
correction contient deux sousvagues d'impulsion « A » et « C »
(l'impulsion va alors dans le sens
de la correction) et une sousvague de correction « B ». Dans
un marché baissier, il faudrait tout
inverser. L'impulsion serait alors
baissière
et
la
correction
haussière. Les sous-sous-vagues
sont aussi représentées.
Cycles de marché: vague d’impulsion et vague de correction
Les vagues sont construites selon différents patterns
regroupés en figures. On en trouvera certaines dans
les phases d'impulsion et d'autres dans les phases
de correction. Ces figures sont soumises à certaines
règles strictes qui doivent être respectées pour que
le décompte soit validé.
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Règles 1/2
Règles
Les vagues d'impulsion 1,3 et 5 sont toujours
subdivisées en 5 vagues
La vague 1 doit être une impulsion ou une
diagonale d'initialisation
La vague 2 ne doit jamais enfoncer le début de la
vague 1
La vague 3 n'est jamais la vague d'impulsion plus
courte
La vague 3 doit être une impulsion
La vague 4 ne doit jamais enfoncer la fin de la
vague 1
La vague 5 doit être une impulsion ou une
diagonale de fin
Les vagues 1,3 et 5 ne peuvent jamais être toutes
étendues
Lignes directrices
Quelquefois la vague 5 ne dépasse pas la fin de la vague 3,
on parle de vague tronquée
Souvent la vague 5 se termine ou dépasse légèrement une ligne
de tendance tracée sur le sommet de la vague 3 et parrallèle à
une ligne de tendance rejoignant les fins de vague 2 et 4
La vague 1, 3 ou 5 est habituellement étendue lorsque les vagues
de correction sont petites comparées aux vagues d'impulsions
La vague 3 est habituellement la plus forte et la plus longue des
vagues
Habituellement, ou bien la vague 3 ou bien la vague 5 est étendue
La vague 4 se termine habituellement dans le voisinage de la sous
vague 4 de la vague 3
Les pourcentages de fibonacci (retracements) sont utilisés pour
calculer les retracements des vagues 2 et 4
Les ratios de Fibonacci sont utilisés pour déterminer les cibles de
fin des vagues 3 et 5
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Règles 2/2
Diagonales
Règles
Une diagonale est subdivisée en 5 vagues
Une diagonale d'innitialisation se produit en vague 1
d'une impulsion ou en vague A d'une correction en
ABC
Une diagonale de fin comprend toujours 5 vagues
subdivisées chacune en 3 vagues
Une diagonale de fin se produit dans une vague 5
d'impulsion ou dans une vague C d'une correction en
ABC
La vague 2 n'enfonce jamais l'origine de la vague 1
La vague 3 n'enfonce jamais la fin de la vague 1
La vague 4 et la vague 1 se recouvrent
La vague 5 se termine toujours au dessus de la fin de la
vague 3 dans une diagonale d'innitialisation
Dans une diagonale convergente, les vagues 1,3 et 5 et
les vagues 2 et 4 décroissent en taille au fur et à
mesure
Dans une diagonale divergente, les vagues 1,3 et 5 et
les vagues 2 et 4 croissent en taille au fur et à mesure
Lignes directrices
Une diagonale d'innitialisation est habituellement subdivisée en 53535 pour
les vagues respectives 1,2,3,4 et 5 mais parfois peut être subdivisée en
33333
Si la vague 1 est une diagonale d'innitialisation alors la vague 3 est
habituellement étendue
Si la vague 5 est une diagonale de fin, alors la vague 3 est habituellement
étendue
Une diagonale convergente peut avoir une vague 5 tronquée
Dans une diagonale convergente, la vague 5 se termine habituellement ou
dépasse légèrement une ligne de tendance qui passe par les sommets des
vagues 1 et 3
Dans une diagonale divergente, la vague 5 se termine habituellement
légèrement avant la ligne de tendance qui passe par les sommets des
vagues 1 et 3.
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Typologie des vagues
Comme on l'a dit, les vagues peuvent prendre
différents aspects selon qu'elles sont d'impulsion ou
de correction.
Ces figures sont présentées sur les pages suivantes :
9
LES FIGURES D'IMPULSION
On a vu qu'une vague d'impulsion peut se décomposer en 5 sous-vagues.
Parmi les trois sous-vagues 1, 3 et 5, deux sont équivalentes en amplitude et une autre est
en extension, c'est-à-dire qu'elle est beaucoup plus grande que les autres. Il arrive rarement
que deux de ces sous-vagues soient en extension. Cela peut par exemple arriver si 3 est en
extension et qu'elle est suivie d'une poussée en vague 4. Dans ce cas, 5 pourra aussi être en
extension.
La sous-vague 3 est souvent la plus pentue. Parfois, c'est la sous-vague 1. Jamais la 5.
La durée de la sous-vague 4 ne peut JAMAIS dépasser la durée de la sous-vague 3.
On a souvent des rapports d'amplitude de 0.5, 1 ou 2 entre les sous-vagues 2 et 4.
On distingue quatre sortes de figures d'impulsion :
Impulsion standard en 1,2,3,4 et 5
La troncature en 1,2,3,4 et 5
Extension en 9 (voire 13)
La diagonale d'initialisation (en vague 1) ou terminale (en vague 5), en 1,2,3,4 et 5. Les sousvagues sont en 3-3-3-3-3 ou en 5-3-5-3-5.
10
Elle est très fréquente. C'est en fait le cas
« classique ». Elle se décompose en cinq sousvagues
possédant
chacune
certaines
caractéristiques :
Sous-vague 1 : de type impulsion standard ou,
rarement diagonale d'initialisation .
Sous-vague 2 : correction de tout type (sauf
triangle) qui retrace partiellement la sous-vague 1.
Ce retracement ne doit pas excéder 100%.
Sous-vague 3 : de type impulsion standard. Elle
doit être plus grande qu'au moins une des deux
autres sous-vagues d'impulsion 1 ou 5 (voir règle
N°6).
Sous-vague 4 : correction de tout type dont
l'extrémité ne doit pas enfoncer celle de la sousvague 1 (voir règle N°5)
Sous-vague 5 : de type impulsion standard ou
triangle terminal
L'IMPULSION STANDARD
11
Les extensions sont des vagues d'impulsion
élongées avec des subdivisions en nombre exagéré.
Les extensions peuvent apparaître dans n'importe
quelle vague d'impulsion (1,3 ou 5) mais
l'extension en vague 3 est la plus commune.
L'EXTENSION (1/2)
L'extension se situe le plus souvent en sous-vague
3, parfois en 5, rarement en 1. La sous-vague en
extension se compose elle-même de 5 vagues mais
dont les amplitudes sont équivalentes aux autres
sous-vagues de la vague d'impulsion. Il ne s'agit
donc pas de sous-sous-vagues mais bien d'une
extension des vagues 1, 3 ou 5. Au final, on se
retrouve avec une vague d'impulsion que l'on peut
décomposer en 9 sous-vagues C'est ce qui
caractérise l'extension. A noter qu'il est possible
d'avoir une extension dans une extension.
La vague 3 en extension comprend ainsi 9 vagues
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L'EXTENSION (2/2)
On peut voir apparaître deux
extensions au sein d'une vague 3.
On a ainsi 13 vagues successives
La taille d'une extension est généralement
de 161.8% ou 200% de la taille des deux
autres vagues d'impulsion.
Une extension en sous-vague 3 est
généralement suivie d'un zigzag en 4.
Une extension fait TOUJOURS suite à une
poussée. On en trouve aussi régulièrement
après un flat rarement après un zigzag.
13
Diagonale d'initialisation divergente :
LA DIAGONALE D'INITIALISATION
Elle apparaît sur la sous-vague 1 (parfois en A).
Structure en 3-3-3-3-3 dans laquelle les trend
lines vont en s'écartant. Elle apparaît en général
après un point haut ou bas majeur du marché.
Diagonale d'initialisation convergente :
Type I : la plus fréquente. Structure en 3-3-3-3-3
dans laquelle les trend lines vont en se
rapprochant.
Type II : structure en 5-3-5-3-5 dans laquelle les
trend lines vont en se rapprochant.
A nouveau, dans tous les cas, la sous-vague 3
n'est jamais la plus petite parmi les vagues 1, 3
et 5. D'autre part, la sous-vague 4 enfonce
souvent le sommet de 1, ce qui est la seule
exception à la règle N°5.
14
LA DIAGONALE TERMINALE
Peu fréquente, on la trouve sur la sous-vague 5
(rarement sur la sous-vague C), notamment si
la sous-vague 3 a été particulièrement efficace.
Elle indique un essoufflement de la tendance
de fond. Ses caractéristiques sont :
Structure en 3-3-3-3-3.
Le retracement qui suit la cassure du biseau
est en général assez profond. On s'attend à ce
qu'il aille au moins jusqu'à l'origine du biseau,
au début de la sous-vague 1.
La sous-vague 4 enfonce souvent le sommet de
1 (exception à la règle N°5)
A noter que comme pour les diagonales
d’initialisation, les diagonales terminales
peuvent être divergentes.
15
LES FIGURES DE CORRECTION
Une vague de correction se décompose en 3 sous-vagues A, B et C. Les objectifs de correction
sont fonction des ratios de Fibonacci : 23, 38, 50, 62, 76, ou 100% de l'amplitude de la vague
d'impulsion précédente.
On distingue quatre sortes de figures de correction:
 Zigzag : structure interne en 5-3-5. Le zigzag peut être de trois sortes (Simple, Double,
Triple)
 Correction à plat (flat) : structure interne en 3-3-5. Le flat peut être de trois sortes: Régulier
(flat courant), en expansion, Dynamique (poussée)
 Triangle : figure en 5 sous-vagues de structure interne 3-3-3-3-3. Le triangle peut
être Convergent (ou symétrique), Convergent dynamique; Divergent (ou inversé), Barrage
(descendant ou ascendant)
 Combinaison : structure combinant les figures ci-dessus, Double, Triple
16
LE ZIGZAG
Très fréquent, le zigzag est en
3 sous-vagues A, B et C
subdivisées en 5-3-5. C'est
une figure de correction : on
le trouve en vagues 2 ou 4.
C'est aussi une vague « x »
dans les combinaisons.
Le zigzag possède quelques caractéristiques notables :
Le rapport des amplitudes des sous-vagues A et C peut-être
de 0.618, 1 ou 1.618.
Placé en vague 2, le zigzag corrige souvent de 62% la vague
1.
Placé en vague 4, il peut retracer jusqu'au sommet de la
vague 1, mais pas plus loin.
Généralement, la vague d'impulsion qui suit le zigazag n'est
pas en extension.
Enfin, si la vague 2 est un flat, alors on a 80% de chances
d'avoir un zigzag en vague 4.
La sous-vague A est une
impulsion standard
La sous-vague B est une figure
de correction. Elle corrige
généralement A d'environ
50%, donc assez faiblement.
La sous-vague C est une
impulsion standard ou une
diagonale terminale
17
LA CORRECTION A PLAT REGULIERE (FLAT COURANT)
La correction à plat précède
habituellement une vague en
extension, c'est-à-dire
d'amplitude supérieure
(161%) aux autres vagues
d'impulsion.
De structure interne 3-3-5, le flat courant est assez
fréquent. Ses trois sous-vagues A, B et C sont d'amplitudes
à peu près équivalentes. Ainsi :
La sous-vague A prend souvent la forme d'un zigzag.
La sous-vague B sera souvent un zigzag également. Elle
retrace A entre 62 et 100%.
La sous-vague C est de type impulsion standard et retrace B
entre 62 et 100%.
Cela sous-entend que les sous-vagues A et C arrivent
généralement au même niveau, plus ou moins 38%.
Comme on la vu pour le
zigzag, si la vague 2 est une
correction à plat, alors il y a
de grandes probabilités pour
que la vague 4 soit un zig zag,
et inversement (voir le
principe de l'alternance pour
plus de détails).
18
LA CORRECTION A PLAT EN EXPANSION (ou irrégulière)
De structure interne 3-3-5, la correction à plat en expansion
est très fréquente. Elle se distingue de la correction à plat
régulière par le fait que :
le sommet de la sous-vague B se situe au-delà de l'origine
de A. Autrement dit, B corrige A de plus de 100%.
L'extrêmité de C peut arriver au-delà de celle de A.
19
LA CORRECTION A PLAT DYNAMIQUE (ou poussée = running flat))
De structure interne 3-3-5, la correction à plat dynamique
est plus rare. Elle se distingue de la correction à plat
régulière par les caractéristiques suivantes :
La sous-vague B retrace la sous vague A de plus de 100%
(comme pour la correction en expansion).
La sous-vague C est de type impulsion standard. Elle ne
parvient pas à aller jusqu'à l'extrémité de A.
Souvent, la sous-vague C ne parvient même pas à casser
l'extrémité de la vague d'impulsion précédente (par
exemple la vague 1, si la correction à plat apparaît en vague
2). Le mouvement qui suit est souvent violent. La sousvague C ne retrace donc B que très partiellement.
20
Les règles associées aux zig-zags et aux corrections à plat figurent ci-dessous :
Règles relatives aux zig zags
Un zig zag se décline en 3 vagues :
> La vague A est subdivisée en une vague
d'impulsion ou une diagonale d'initialisation
> La vague B est subdivisée en un zig zag, une
correction à plat, un triangle ou une combinaison
> La vague C est subdivisée en une vague
d'impulsion ou une diagonale de fin
La vague B n'enfonce jamais le début de la vague A
La structure interne est composée d'une vague
d'impulsion puis de correction et d'impulsion
Règles relatives aux corrections à plat
Une correction à plat se décline en 3 vagues
> La vague A n'est jamais un triangle
> La vague C est subdivisée en une vague
d'impulsion ou une diagonale de fin
> La vague B retrace toujours au moins 90% de la
vague A
La structure interne est composée d'une vague de
correction puis de correction et d'impulsion
21
LES TRIANGLES
Le triangle est une figure de correction que l'on retrouve souvent avant un dernier
mouvement d'impulsion sur le degré supérieur. On l'aura donc le plus souvent en
vague 4 ou B. Il reflète un équilibre entre les forces d'achat et de vente, une indécision
et un besoin de repos du marché. La correction en triangle est souvent comprise entre
38 et 50% de la vague d'impulsion précédente
Il existe deux formes de triangle, les triangles convergents et les triangles divergents
22
LE TRIANGLE CONVERGENT
Le triangle convergent
dynamique
Le triangle convergent est formé de 5 sous-vagues de
structure interne 3-3-3-3-3. Les sous-sous-vagues
prennent en général la forme de zigzags. Les trend
lines sont convergentes ce qui implique que
l'amplitude des sous-vagues va en diminuant. Dans le
triangle convergent, la sous-vague A commence sur
une trend line et se termine sur l'autre.
La différence avec le triangle
convergent vu à gauche est que
le départ de A ne se fait pas sur
une trend line du triangle mais
à l'intérieur de celui-ci.
L'amplitude de la sous-vague A
est donc plus petite que dans le
cas du triangle convergent
« simple ».
23
LE TRIANGLE BARRAGE
Une des trend lines est horizontale. L'autre est
convergente. Le triangle barrage peut être :
Ascendant si la trend line du haut fait
résistance horizontale.
Descendant si c'est la trend line du bas.
LE TRIANGLE DIVERGENT
Les trend lines du triangle divergent
vont en s'écartant. Les sous-sousvagues sont généralement des
zigzags.
24
LES COMBINAISONS
Les combinaisons sont constituées de deux ou trois motifs correctifs notés
« w », « y » et éventuellement « z » si il y en a trois. Ces motifs sont reliés entre
eux par une vague appelée « x » qui est généralement un zigzag, mais pas
toujours. Cela peut aussi être un flat ou un triangle. On distingue les
combinaisons simples dans lesquelles les motifs successifs sont identiques, et
les combinaisons doubles où les motifs successifs sont différents.
Une correction qui semble s'éterniser dans le temps est probablement une
combinaison. Généralement, les combinaisons peuvent aussi être encadrées
par un canal. Une cassure de ce dernier marque la fin de la correction en
combinaison. Les combinaisons sont appelées corrections complexes.
25
Exemple de combinaisons simples : les doubles et triples zigzags
Il s'agit de deux ou trois zigzags successifs entrecoupés à chaque fois d'une correction
« x » en trois sous-vagues. Plus simplement, on peut aussi considérer l'ensemble comme
une vaste correction en A, B et C.
Le double zigzag a donc une structure en
(5-3-5)-3-(5-3-5).
Le triple zigzag se construit selon le même
principe.
26
Les combinaisons doubles
Il y en a de plusieurs sortes : Exemple : Zigzag + Correction à plat
Il existe donc d’autres
exemples de combinaison
double, parmi lesquelles
nous trouvons:
- Correction à plat + Triangle
- Correction à plat + Zigzag
- Zigzag + Triangle
27
Les combinaisons triples
Exemple : Zigzag + Correction à plat + Triangle
Les différentes combinaisons sont synthétisées dans le tableau ci-dessous :
Type
Zig zag
Combinaison double
Zig Zag x Zig Zag
Zig Zag x Correction à plat
Zig Zag x Triangle
Correction à plat x Correction à
plat
Correction à plat x Zig Zag
Correction à plat
Correction à plat x Triangle
Combinaison triple
Zig Zag x Zig Zag x Zig Zag
Zig Zag x Correction à plat x Correction à plat
Zig Zag x Correction à plat x Triangle
Correction à plat x Correction à plat x Correction à
plat
Correction à plat x Correction à plat x Zig Zag
Correction à plat x Correction à plat x Triangle
Correction à plat x Zig Zag x Correction à plat
Correction à plat x Zig Zag x Triangle
28
A noter que le triangle est toujours dans la dernière vague d'une combinaison double
ou triple. Il n'y a jamais plus d'un triangle dans une combinaison. Il apparaît
également dans une vague 4 avant la vague 5 d'impulsion ou dans une vague B d'une
correction en ABC. Il peut apparaître également au sein de la vague E d'un triangle
qui sera alors composé de 9 sous vagues.
Règles relatives aux triangles
Un triangle est toujours subdivisé en 5 vagues
Les règles
relatives aux
triangles et
aux
combinaisons
figurent cicontre
Règles relatives aux combinaisons
Les combinaisons doubles ou triples comprennent une
vague de connection X qui est dans la direction
opposée à la structure formée par WXY pour la
combinaison double ou WXYXZ pour la combinaison
triple
Au moins 4 des vagues ABCDE se déclinent en un zig zag Un double ou triple zig zag consiste en 2 ou 3 zig zags
ou une combinaison de zig zag
connectés par une vague X.
La ligne qui fait rejoindre les sommets des vagues B et D Une combinaison double sera l'association d'un zig zag
converge avec la ligne qui fait rejoindre les sommets des avec une correction à plat ou d'une correction à plat
vagues A et C
avec un zig zag, ou d'une correction à plat avec une
correction à plat ou d'un zig zag avec un triangle ou
d'une correction à plat avec un triangle
Un triangle n'a jamais plus d'une sous vague complexe Une combinaison double ou triple prend la place des
corrections à plats et des traingles
La sous vague complexe est toujours une combinaison
de zig zags ou un triangle
29
Le principe de l’alternance
LE PRINCIPE DE L'ALTERNANCE
On distingue trois familles de corrections :
 Les corrections simples aigues :
Zigzags
 Les corrections simples latérales
Corrections à plat
Corrections à plat dynamique
Corrections à plat en expansion
Triangles
 Les corrections complexes :
Combinaisons doubles
Combinaisons triples
La règle de l'alternance stipule qu'une
correction simple aiguë en vague 2 sera suivie
d'une correction de type simple latérale ou
complexe en vague 4. De même, une
correction simple latérale en vague 2 sera
suivie d'une correction simple aigue ou
complexe en vague 4.
Par exemple, on pourra avoir :
Un zigzag en 2, puis un triangle en 4.
Une combinaison en 2, puis une correction à
plat en 4
30
Cette règle de l'alternance s'applique aussi à la nature des sous-vagues qui constituent
une vague de correction. Ainsi, si A est un flat, alors B sera un zigzag, et inversement. A
noter que B est effectivement un zigzag le plus souvent.
D'une manière générale, on n'aura jamais deux figures identiques qui se suivent. Par
exemple, on n'aura pas de zigzag en 2 puis en 4.
La règle de l'alternance s'applique
aussi au sein d'une vague de
correction.
Par exemple, si la correction forme
un zig zag en 535, la vague B
formée par trois sous vagues peut
être une correction à plat, un
triangle ou une combinaison
double ou triple.
31
Ci-dessous les différentes combinaisons
relatives au principe de l'alternance :
Principe de l'alternance dans les vagues correctives
Impulsion en 12345 Correction à plat ABC
Impulsion en 12345 Triangle en ABCDE
Zig Zag en ABC
Correction à plat ABC
Zig Zag en ABC
Triangle en ABCDE
Correction à plat
ABC
Zig Zag en ABC
Combinaison double (correction à plat et triangle WXY)
L'alternance peut se produire au sein du triangle luimême
La vague X peut aussi être une correction à plat, un zig
Impulsion en 12345 zag et triangles
Vague A
Vague B
Impulsion en 12345
Impulsion en 12345
Impulsion en 12345
Impulsion en 12345
Impulsion en 12345
Impulsion en 12345
Vague C
32
La règle de la profondeur
LA REGLE DE LA PROFONDEUR
On peut déterminer assez bien jusqu'où va retracer une vague de correction en
pourcentage de l'amplitude de la vague d'impulsion qui précède. Ainsi :
Si la vague 2 retrace profondément, alors la vague 4 retrace peu.
En général, la vague 2 retrace la vague 1 à hauteur de 50, 62 ou 78%
Si la vague 4 retrace profondément, alors la vague 2 retrace peu.
En général, la vague 4 retrace la vague 3 à hauteur des sous-vagues 3 et 4 de la
vague 3.
Si la première sous-vague de la vague d'impulsion qui précède est en extension,
alors la correction est profonde. On retracera dans ce cas jusqu'à la sous-vague 2 de
la vague d'impulsion. Par exemple, si la vague 3 démarre par une extension, alors 4
retrace jusqu'au niveau de la sous-vague 2 de la vague 3.
33
Nomenclature des vagues
NOMENCLATURE des vagues
Le time frame est l'unité de temps à utiliser
sur votre plateforme pour visualiser le
cycle correspondant.
34
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