Sternfest Hit Parade

SUPERNORMAL
de la hard rock
Démarré en 2006 par Cecil (guitare, chant), Benoît (Basse) et Mathieu
(batterie), le groupe prend sa forme actuelle avec l’arrivée de Laurent
(a.k.a Fandor – ex Lemon Curd) au chant en Septembre 2007 (tandis
que Supernormal constitue le backing band de Fandor sur son album
Mon Corps est une machine) puis François (guitare) en Mars 2011.
Le groupe compte aujourd’hui une cinquantaine de concerts
principalement à Bordeaux. Et une participation au festival off de
Bourges 2008.
Supernormal s’inscrit dans un triangle indie rock avec les versants
britannique (The Stone Roses, The Smiths), US (Dinosaur Jr, le REM
des débuts, le sadcore californien) et français (Gamine, Phoenix).
Une tension narrative dans la structure, des textes à l’affût de la
poésie du quotidien et des mélodies solaires : une recherche de la
pop-song perdue en quelque sorte.
Haettenschweiler for the people
Bordeaux, Texas
2 albums auto produits dans la discographie du groupe. Sternfest Hit-Parade
(2010) comporte 14 titres. Le second LP 1989 (2013) comporte 10 titres.
Sternfest Hit Parade
Il s’agit d’une compilation de 3 eps : Nos
Vies Electroniques (2008), Sadcore Café
(2009) et Sternfest Hit Parade (2010). On
retrouve ici les différentes facettes du
groupe : pop énergique avec Where’s my
Hoodie et Would I be that Stupid, de la
ligne claire avec le Smithsien A l’océan
ou Nos Vies Electroniques, de la pop plus
mélancolique avec Fast Cars ou
Download Me, l’influence shoegaze sur
Billy-Bob ou Une Journée Américaine et
les inflexions folks du très Red House
Painters De Guerre Lasse ou Sadcore
Café.
Parfois simplement acoustique (Place de la Victoire), brutal et post-situ (Mon
Enthousiasme à la Con) ou psychédélique et dansant (Sternfest Hit Parade inspiré
par le Burning Man et en hommage aux Stone Roses) l’album reflète fidèlement
la cyclothymie mélodique du groupe.
1989
Un album qui continue le travail sur les
arrangements (cordes, synthés, guitares
qui ont écouté Foals et Phoenix) là où
Sternfest Hit-Parade les avait laissés. 10
titres traitant de près ou de loin l’année
des 20 ans de Cecil et, incidemment, de
Fandor. Toujours des pop songs
virevoltantes mais sous un jour plus
nostalgique (St Tropez, Great Slackers),
un titre de Fandor (Lula) et aussi la
marque de François le second guitariste
sur le chorus de Born Cynical et les riffs
du psychédélique Rising ou du
dyonisiaque / égomaniaque Natural Born
Jesus dans lequel le groupe a samplé
un dialogue du film The Big Lebowski.
Ici, Supernormal explore aussi de nouveaux horizons avec des échos de la grande
variété 70s dans 1989, le morceau titre, et une ballade bancale et aérienne qui
peut évoquer Radiohead ou Air avec Le Lendemain qui clôt l’album.
Vidéos
Would I be that stupid, a été réalisé par Krakage Prod
et filmé dans le studio Twinstudio à Bordeaux.
Indépendamment de cette vidéo, Supernormal a
réalisé des slide-songs de plusieurs titres. Si vous
parcourez la version électronique de ce pressbook,
cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo.
Backline
Batterie 4 fûts 3
cymbales
Ampli guitare
Peavey Classic
50W
Pied micro
Prise ligne
guitare
acoustique
Pied micro
Pied micro
Retour
Ampli basse
Ampeg SVT100
Ampli
Fender Hot
Rod 40W
Presse
Longueur d’ondes #47
http://supanormal.tumblr.com
Presse
Longueur d’ondes
Fandor & the Supernormals
En ligne
Nouvelle Vague #144
muzzart.fr
A Bordeaux, la rencontre idéale a eu lieu : entre Fandor,
artiste bricolo-pop qui a fait ses débuts dans le groupe
Lemon Curd avant de s’élancer en solo, et le groupe powerpop Supernormal ; les meilleurs espoirs de la pop indé sont
relancés.