Problèmes des Pattes chez les Vaches Laitières
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Problèmes des Pattes chez les Vaches Laitières
Problèmes des Pattes chez les Vaches Laitières-Révision de la littérature et essais préliminaires conduits avec le drySTART™ pour le bain des pattes Pedro Nogueira, MSc, Nutritionniste des Ruminants et Lucie Rosca, Spécialiste du Bétail, Kenpal Farm Products Inc. Introduction: Pedro Nogueira, MSc Nutritionniste des Ruminants Les chercheurs du département de médecine préventive vétérinaire de l’université de l’Ohio1, affirment que “La boiterie est commun dans les fermes laitières aux États-Unis et que la prévalence est de 22%. Durant l’année 1995, il était estimé que 47% des troupeaux avaient la dermatite digitale (également connue comme verrues poilues des talons ou dermatite digitale papillonneuse) et que 11.9% de la population des vaches laitières avaient la DD (Dermatite Digitale) (USDA, 1997). Des rapports plus récents nous indiquent que la prévalence de la dermatite digitale a augmentée. (USDA, 2002).” L’Université de la Pennsylvanie, dans leur Bulletin de Vulgarisation Agricole “Prévention et Contrôle des Problèmes des Pattes chez les Vaches Laitières2”, fait mention que “La santé des pattes et les boiteries sont un souci majeur pour les producteurs laitiers dû à sa fréquence élevée et aux pertes économiques importantes pour les producteurs. La prévention et le traitement de façon rapide, peuvent minimiser les pertes, améliorer la période de convalescence et réduire la souffrance chez l’animal. Les pertes économiques sont principalement dues aux problèmes même des pattes et non aux coûts du traitement en tant que tel. Les pertes sont souvent subtiles, toutefois dépendamment de la sévérité, les points suivants peuvent être observés; perte de poids corporel ainsi que des diminutions de la production laitière, de l’ingestion de matière sèche, de la longévité du troupeau et de l’efficacité de la reproduction. Les implications économiques associées aux problèmes des pattes peuvent être d’un minimum de $90.00- $100.00 par cas. Dépendamment du type de problème, les couts peuvent être supérieures.” Une publication de l’Agriculture du Manitoba nous indique que le Canada a une incidence de 35% pour les boiteries3. Genres de Boiteries Typiquement, les boiteries sont de deux catégories différentes; infectieuses et non infectieuses3. Infectieuses Verrues des talons Dermatite digitale et interdigitale (piétin d’étable) Piétin (Foot Rot) Non infectieuses Laminite Maladie de la ligne blanche Ulcère de sole Trauma/déformité du haut de la jambe et des articulations Selon une publication de l’Université de la Pennsylvanie2, il existe plusieurs genres de problèmes des pattes. Certains sont clairement reliés aux conditions humides: • Pattes Dures et Moles – “Les infections des pattes, les abcès ou les ulcères de la sole peuvent être une conséquence des fractures qui arrivent quand les pattes sont trop molles ou dures. Les pattes excessivement molles se produisent plus souvent dans les systèmes de stabulation libre, à cause que l’animal est debout dans les urines et selles. Ceci peut engendrer des craquements des talons et du dessous des pattes qui permet, aux ulcères, aux abcès et aux infections de se développer.” • Piétin – “une infection nauséabonde des pattes, souvent entre les griffes et les orteils, qui se nomme patte pourrie. Le contrôle de la patte pourrie est important à cause de sa contagion, afin de minimiser les impacts économiques dans le troupeau. Ceci est causé principalement par une infection bactérienne à Fusiformes necrophorus. Cet organisme peut se développer autour des granges, dans les endroits d’exercice, dans les troues de boue et dans les pâturages. Certains chercheurs des Universités de la Floride et du Tennessee, associent également les conditions environnementales à ce problème4: “Les facteurs environnementaux associés avec ces désordres, incluent les conditions de logement qui requièrent que les vaches marchent ou restent debout sur le fumier pendant de longues périodes. Dû au fait que nous croyions que l’organisme en cause dans ce problème, origine dans le système gastro-intestinal des vaches, il est raisonnable de croire que la gestion du fumier pourra aider dans la diminution de l’incidence de cette maladie. Le fait d’enlever les débris des endroits de marche, pour éviter les lésions inter digitales et également de garder les logements au sec le plus possible, pourra prévenir les problèmes des pattes pourries.” Traitement des Sabots Les traitements consistent à la coupe corrective des sabots, aux pédiluves et/ou des applications topiques. Les pédiluves sont les plus communément utilisés en tant que prévention/traitement. L’utilisation adéquate des pédiluves peut aider à diminuer l’incidence des boiteries infectieuses, tel que les pattes pourries, la dermatite digitale et les verrues aux talons. Les bains des pattes effectués avec l’utilisation d’un produit chimique convenable, remplira deux fonctions8: 1. Détruit la bactérie qui cause la maladie 2. Durcit la corne du sabot, ce qui l’endommage beaucoup moins facilement Selon Bill Epperson et Lowell Midla1 “Les pédiluves peuvent enlever les débris des pattes et/ou appliquer un désinfectant (ou antibiotique) aux pattes. Aux États-Unis, les pédiluves sont utilisés largement en tant que stratégie de prévention et incluent des désinfectants. Les désinfectants les plus communs sont le formol (2-5% de concentration) et le sulfate de cuivre (5-10% de concentration)”. En contre partie1 “Le sulfate de cuivre semble être le choix de la majorité, en tant que désinfectant pour pédiluves et ce, à cause de sa disponibilité ainsi que de son usage facile. Également, le sulfate de cuivre a démontré son efficacité dans la réduction des lésions de Dermatites Digitales. Le sulfate de cuivre est bactériostatique par sa réaction du cuivre (Cu++) avec le groupe thiol des protéines des organismes ciblés.” Les chercheurs de l’Université de la Pennsylvanie, en plus des pédiluves, recommandent les bains secs pour les pattes2. “Lorsque les pattes sont trop molles, évitez de permettre aux vaches de marcher sur un gazon humide, pendant des périodes extensives. Permettez aux vaches de se tenir dans des endroits de terre sèche ou de sable, même si cela veut dire de mettre du sable sur le ciment afin qu’elles se lèvent dessus. De façon routinière, utilisez un mélange minéral sec dans une boite placée dans une zone de passage des animaux. La pierre à chaux de grange ou du super phosphate peuvent être utilisés sur les corridors de marche.” Ils recommandent plusieurs choses dans la gestion des piétin, entre autres “Les animaux affectés doivent être séparés du troupeau et isolés, afin de prévenir la contagion du microbe. Il a été démontré que l’isolation des vaches individuellement, ainsi que l’aspect sanitaire rigide dans les endroits de haute densité et l’utilisation de pédiluves sont des bonnes pratiques pour la prévention de la propagation du piétin. Le pédiluve devrait contenir cinq pourcent de sulfate de cuivre. La profondeur de la solution devrait être d’au moins quatre pouces (10.2 cm). Le pédiluve devrait être dans un endroit où les vaches y passent plusieurs fois dans la journée. Une alternative au pédiluve est le bain sec contenant une partie de sulfate de cuivre pour neuf parties de chaux hydraté.” Dans une autre publication de l’Université de l’État de la Pennsylvanie5, l’auteur fait référence au contrôle du piétin chez les moutons avec l’utilisation d’un bain sec: “Le sulfate de zinc (sec) peut être déposé dans une boîte qui est placée dans un endroit où les moutons doivent y passer au travers. Ceci ne traitera pas les animaux infectés mais, va aider pour la diminution de la propagation de la maladie. La chaux, des désinfectants ou de agents qui assèchent, peuvent être utilisés autour des abreuvoirs ou des mangeoires afin de réduire l’humidité et la propagation de la maladie.” Principaux problèmes avec les pédiluves, l’environnement et la santé Aux dires de l’Université de Cornell6, le Sulfate de Cuivre, qui est utilisé le plus souvent dans les pédiluves afin de prévenir les problèmes de pattes chez les vaches laitières, “pourrait non seulement réduire les récoltes mais pourrait également contribuer à l’accumulation du cuivre dans les champs des fermes”… “le sulfate de cuivre est le traitement le plus efficace (coût-bénéfice) pour le contrôle chez les vaches laitières. Toutefois, beaucoup de sulfate de cuivre utilisé dans les pédiluves est finalement déversé dans le fumier qui est ensuite appliqué dans les champs des fermes. Une recherche faite par l’Institut de l’Agriculture William H. Miner à New York et au Vermont affirme que certaines fermes auraient appliquées entre 4 et 16 livres de sulfate de cuivre par acre, par année, dans les champs. Vue que le Département de la Conservation et de l’Environnement de l’État de New York a décrété une limite de charge du sulfate de cuivre pour un champ, à 74 livres par acre. Un champ pourrait donc atteindre sa charge limite en cuivre entre 4.5 et 19 années.” Bill Epperson1 fait mention que “La solution de sulfate de cuivre est typiquement considérée comme étant effective pour150 à 300 vaches qui passent dedans. Les solutions qui ont été utilisée, sont par la suite mélangées avec le fumier et étendues sur la terre. Les entités régulatrices dans plusieurs états, sont préoccupées car le cuivre peut atteindre des niveaux dangereux pour la santé et ont établie des limites maximales (pour la vie) de déposition de cuivre dans le sol. Un bain de pattes de 8 pieds par 2.5 pieds par 5 pouces (2.4 m x 0.76 m x 0.13 m) pourrait contenir environ 62 gallons US (235 l) d’eau et 26 livres (11.8 kg) de sulfate de cuivre (à une concentration de 5%). Puisque le sulfate de cuivre est 25% du cuivre, chaque fois que nous vidons le pédiluve, il y a 6.5 livres (2.94 kg) de cuivre qui est jeté. L’effet sur l’environnement dépend du volume de la solution de cuivre jeté (en fonction du nombre de vaches et de l’utilisation du pédiluve), de la concentration du sulfate de cuivre et de la surface d’application. Les producteurs laitiers pourraient excéder la limite de charge du cuivre au sol s’ils ne sont prudents, et ce dans un court laps de temps (entre 5 et 30 ans). Les plantes requièrent très peu de cuivre, les taux annuels d’utilisation sont de moins de 0.5 lbs/acre (0.227kg) pour les récoltes typiques de grains et de fourrage.” Le formaldéhyde, même s’il est considéré comme étant un désinfectant puissant, cause également des soucis, surtout pour celui qui l’utilise. Bill Epperson1 indique que “Le formaldéhyde est un irritant tant pour les voies respiratoires que pour tout contact de peau avec et est considéré comme ayant un potentiel carcinogène. Le souci numéro un avec la formaline est le danger que cela pose pour les travaillants dans les fermes et cela est en relation directe avec la concentration de cette solution.” Parfois, il y a des antibiotiques qui sont utilisés dans les pédiluves. Ils sont utilisés dans le but de guérir et non pour la prévention. Ils sont généralement efficaces mais posent également certains soucis : ils sont dispendieux, c’est toujours une utilisation hors étiquette, il existe alors la possibilité que les bactéries développent de la résistance et ils sont plus efficace lorsque dilués avec de l’eau distillée. Il y a aussi le souci, manifesté dans un journal de l’Université du Minnesota7, que parfois la raison pour laquelle la contamination du lait avec les antibiotiques existe, est que “Les vaches boivent à partir de la solution du pédiluve.” Références: 1. “Copper Sulphate for Footbaths – Issues and Alternatives”. Bill Epperson and Lowell Midla. Ohio State University. Proceedings of the Tri-State Dairy Nutrition Conference, 2007. 2. “Prevention and Control of Foot Problems in Dairy Cows”. V. Ishler, D. Wolfgang, D. Griswold. Extension Bulletin, 2007. 3. Manitoba Agriculture, Food and Rural Initiatives -Dairy herd health-Nov 2005. 4. “Lameness in Dairy Cattle” J.K. Shearer DVM, MS., Dairy Extension Veterinarian University of Florida and S. Van Amstel DVM, MS., Associate Professor University of Tennessee, Proceedings from 2000 Kentucky Dairy Conference 5. “Livestock Notes”. Dustin D. Heeter. Pennsylvania State University (May/June 2008), Extension Educator/Livestock. 6. “Study probes how cow foot baths reduce crops and contribute to fields’ copper loads”. Kara Dunn, Chronicle Online, July 2007. 7. “Ten Common Reasons Antibiotic Contamination Occurs in Bulk Tank Milk”. University of Minnesota. 8 . “J.K. Shearer DVM, MS, Dairy Extension Veterinarian, University of Florida, S. Van Amstel DVM, MS, Associate Professor, University of Tennessee-Lameness in Dairy cattle. Essaies sur les Fermes (Luci Rosca, Spécialiste du Bétail) Méthodes et Matériel: Un essai fut conduit dans deux fermes laitières en utilisant le drySTART™ dans le pédiluve. Ces essais avaient comme buts de vérifier dans un premier abord: • La meilleure grandeur pour la boîte du pédiluve, • De déterminer la quantité nécessaire du drySTART™ • De jauger la perception générale du fermier en regard de l’efficacité du pédiluve avec le drySTART™, puisque c’était la première fois que le produit fut utilisé dans ce but. Nous avons considéré que si la bande coronaire était couverte avec le produit, ceci était une bonne couverture. Afin de réduire la quantité du produit utilisé et d’augmenter le volume du produit dans le pédiluve, le drySTART™ fut mélangé avec de la ripe de bois au taux de 1:2 ou bien 1:1. PREMIÈRE ÉTABLE Ceci est une ferme de 98 vaches laitières. Il y a deux bain de pattes d’installés à chaque sortie de la salle de traite. Les dimensions des pédiluves sont de 6 pieds (1.8 m) de longueur, 32 pouces (81 cm) de largeur et de 6 pouces (15 cm) de profondeur. Dans cette ferme en particulier, les pédiluves ne sont pas utilisé de façon régulière pour la prévention, ni pour le traitement des boiteries. Les propriétaires considèrent que les bains de pattes avec antibiotiques ne sont pas sécuritaires, car les vaches pourraient boire la solution préparée et ainsi avoir des résidus dans leur lait. En plus, la solution préparée est dispendieuse et doit être changée souvent à cause de la contamination rapide par le fumier. Ces coûts en surplus font que cette alternative est une, qui est dispendieuse. Les propriétaires ne veulent pas utiliser le formaldéhyde ni le sulfate de cuivre dans les pédiluves, à cause de leur effets potentiellement dangereux et des soucis pour l’environnement. La plupart du temps, ils appliquent du Linco-Spectinomicyne en solution en pulvérisateur et ce, au besoin. ESSAIE drySTART™ PREMIÈRE ETABLE Pour chaque pédiluve sec, deux sacs de ripe de bois fine avec 0.046 m3 (1.63pd3) (ceci est le volume du sac comprimé), étaient mélangés avec un sac de 25 kg (55lbs) de drySTART™. Ce bain sec devrait durer pour la journée, (pour le matin et l’après-midi) et pour les deux prochains jours, une autre moitié d’un sac de drySTART™ était utilisée afin de compléter les pertes. L’enregistrement du nombre de vache fut fait lors du temps de la traite, enregistrant celles qui boitaient. Des photos ont été prises avant l’utilisation du drySTART™ et par la suite, un mois après son utilisation. DEUXIÈME GRANGE Il s’agit d’une grange avec 45 vaches laitières et il y a un bain de patte à la sortie de l’endroit de la traite. Les dimensions de la boîte sont de 8 pieds (2.44 m) de longueur, 32 pouces (81 cm) de largeur et de 8 pouces (20.5 cm) de profondeur. Cette ferme a ces propres protocoles pour bain de pattes, comme suit: # de jours Semaine 1 2 1 2 2 Substance # de jours Formaline Tétracycline Semaine 2 Sulfate de cuivre Aucune 2 1 2 2 Substance Formaline Aucune Sulfate de cuivre Aucune Les propriétaires aimeraient faire l’essai de quelque chose de différent, de plus propre pour l’environnement et également moins intensif en termes de travail. Le protocole régulier fut discontinué et le suivant fut implanté: Le lundi; un bain avec savon dégraissant et de l’eau. Le mardi; drySTART™ avec de la ripe de bois. Pour chaque bain de patte, un sac de ripe de bois grossière de 0.092 m3 (3.25 pd3), était mélangé avec deux sacs de drySTART™ de 25 kg (55lbs). Le bain doit durer pendant une journée en passant dedans matin et après-midi. Nous avons observé le nombre de vache qui boitait lors de la traite. Des photos ont été prises des pattes affectées et aussi le niveau de couverture des lésions des pattes fut enregistré. Dessin du Pédiluve Couverture des Pieds Discussion PREMIÈRE ETABLE Dans la première grange, il y avait 15 vaches d’identifiées avec de l’inflammation au niveau de la bande coronaire ainsi que dans l’espace interdigitale. Nous avons supposé que ceci était la dermatite interdigitale et donc, on s’attendait à ce que le drySTART™ aiderait en réduisant l’humidité car ceci est le facteur de risque premier dans ce genre d’infection. Le bain de patte était préparé juste avant la traite et les vaches y passaient dedans immédiatement après la traite. La couverture du sabot n’était pas acceptable à cause des dimensions du bain. En plus, les sabots étaient sales et remplis de fumier. Les résultats ne sont pas possibles si le drySTART™ ne touche pas directement les parois du sabot. Les pattes doivent être les plus propres possible (devons voir les parois) afin de maximiser le contact des agents du bain de patte avec la peau et les tissus dures. Le fait d’ajouter un bain au préalable avec des agents nettoyants est bénéfique. Nous avons considéré l’utilisation d’une solution de savon comme bain au préalable afin de nettoyer les pattes avant le pédiluve avec drySTART™ mais le propriétaire a décidé de simplement nettoyer les pattes avec de l’eau après que chaque vache a été à la traite. À la suite de ceci, le pédiluve fut installé pendant un mois. Les vaches passaient au travers du bain de pattes avec le drySTART™ pendant deux jours consécutifs, à chaque semaine. Le fermier a décidé d’utiliser drySTART™ sur une base hebdomadaire et il a également commencé à en appliquer sur le dessus des litières des stalles, à tous les jours en utilisant un sac de produit par mois, pour 98 vaches. DEUXIÈME ETABLE La situation était différente à la deuxième ferme laitière, parce qu’il y avait déjà un protocole en place pour le pédiluve et donc seulement quelques vaches boitaient. Également les dimensions de la boîte pour bain des pattes était différente, plus convenable et donnait donc plus de couverture des pattes. Lorsque les vaches passaient dans le bain, leurs pattes étaient couvertes avec le drySTART™ et ce, bien au dessus de la bande coronaire. Le fermier a apprécié le nouveau bain de pattes et a ainsi implanté ce nouveau protocole: • Le lundi; un bain avec savon et eau pour nettoyer les sabots. • Le mardi; deux sacs de drySTART™ avec de la ripe de bois. • L’essai sera en place pour les prochains trois mois. Les résultats seront enregistrés à chaque mois. Prochaines considérations • La recommandation générale pour les dimensions de la boîte pour le pédiluve sec est de: 8 pieds (2.44 m) de longueur, 32 pouces (81 cm) de largeur et 8 pouces (20.5 cm) de profondeur. • La quantité de drySTART™ qui doit être utilisée varie avec la dimension du pédiluve et du nombre de vache qui passe dans le bain. Pour un bain sec pour les pattes, avec les dimensions mentionnées ci-haut, cela requiert deux sacs de 25 kg de drySTART™ avec un sac de 19 kg de ripe de bois (0.092 m3 ou 3.25 pi3). Ce bain sera suffisant pour 150 vaches, pour deux traitements jouraliers (matin et après-midi). • Le plus possible, les pattes doivent être propres (devons voir les murs) afin de maximiser le contact du bain sec des pattes avec la peau et les tissus de corne. Le fait d’ajouter un bain au préalable, avec du savon et de l’eau, pourrait être bénéfique. Si ce pré-bain est non disponible, considérez le nettoyage des pattes avec de l’eau à pression après que chaque vache soit tirée et par la suite, utilisez le bain des pattes avec le drySTART™. • le pédiluve sec des pattes avec le drySTART™, doit être utilisé de façon routinière afin d’évaluer les impacts sur la productivité. Important à Noter Ces deux études devraient être révisées, en tant qu’études préliminaires afin de déterminer la meilleure façon d’application du produit, plutôt que les effets bénéfiques dans le contrôle des problèmes de pattes. Des études plus longues avec des vétérinaires et/ou des pareurs de sabots devraient être conduites, à cet effet. Copyright © 01/2010 Kenpal Farm Products Inc. drySTART and the drySTART logomark are trademarks of Kenpal Farm Products Inc. the Kenpal Farm Product, 69819 London Rd, Centralia, ON N0M 1K0 www.drySTART.com [email protected] Sans Frai1-866-810-1286 line TM