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COUVERTURE PRESSE Suite au Communiqué de Presse de la Banque de France « Signature d’un Memorandum of Understanding entre la Banque Populaire de Chine et la Banque de France » du 29 juin 2014 MAJ le 30/06/2014 ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------L'AGEFI Quotidien - 30/06/2014 - Edition de 7H LES ECHOS - 30/06/2014 Bientôt, en France, une chambre de compensation pour le yuan La Banque de France a signé samedi un protocole d’accord avec la Banque populaire de Chine pour établir « à brève échéance » un système de paiement en monnaie chinoise à Paris. La France accroît encore son rôle dans l’internationalisation du renminbi. La Banque de France a signé samedi un protocole d’accord avec la Banque populaire de Chine (PBOC) pour établir « à brève échéance » un système de paiement en monnaie chinoise à Paris. Cette signature est « une première étape » vers la création d’une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en RMB, indique la Banque de France dans un communiqué publié aujourd’hui. Le système s’appuiera sur une banque de règlement désignée par la PBOC, précise-t-elle, expliquant que « ce projet […] doit permettre de régler les paiements en RMB de façon sûre et efficace, au sein d’un système ouvert traitant les opérations tant de la zone euro que des régions avoisinantes ». La plate-forme opérationnelle avant la fin de l’année « L’objectif est que la plate-forme soit opérationnelle avant la fin de l’année », explique Arnaud de Bresson, le délégué général de Paris Europlace, soulignant que « sa mise en place résulte de la mobilisation collective des acteurs de la place de Paris autour de la Banque de France, y compris les banques françaises et chinoises présentes en France. » Cette signature fait suite à l’accord de devises signé en novembre entre la Banque centrale européenne (BCE) et la banque centrale chinoise, ainsi qu’à l’attribution par les autorités chinoises d’un quota de « renminbi qualified foreign institutional investors » (RQFII) de 80 milliards de renminbis aux investisseurs institutionnels français, qui va leur permettre d’« investir directement sur le marché financier domestique chinois et [de] développer leurs activités en Chine », enseigne la Banque de France. 10 % du commerce franco-chinois déjà libellé en yuan La concurrence est vive entre les grandes places financières en Europe pour attirer les transactions en devise chinoise. Ce week-end, la Chine a également signé un accord similaire avec le Luxembourg. En mars, elle s’était déjà entendue avec Francfort et Londres pour l’ouverture prochaine de chambres de compensation. Paris est le grand pôle d’Europe continentale pour les dépôts bancaires en renminbi qui atteignent 20 milliards de yuans, et dont une partie provient de transactions entre la Chine et l’Afrique. « Paris talonne Londres, insiste Arnaud de Bresson. D’ores et déjà, 10 % du commerce franco-chinois est libellé en monnaie chinoise. » La City traite aujourd’hui 60 % des transactions off-shore en yuans en dehors de Hong Kong. Dans une tribune parue fin janvier dans « Les Echos », le directeur général de Bank of China France soulignait alors que, « si la France se dotait d’une chambre de compensation, […] cela ferait de la place de Paris une destination privilégiée des flux financiers chinois. » FINANCIAL TIMES | 29.06.2014 THE WALL STREET JOURNAL | 29.06.2014 à 10/02 am ET China to Set Yuan Clearing Banks in Luxembourg, Paris Financial Centers Are Jostling for Share of Business in Yuan Transactions By LAURENCE NORMAN and LINGLING WEI CONNECT The headquarters of the People's Bank of China. The PBOC has signed a memorandum of understanding with the Bank of France to set up a yuan payment system in Paris. Reuters In its continued push to make the yuan a global currency, China's central bank said Sunday it plans to designate clearing banks for its currency in Paris and Luxembourg, as the two financial centers battle with London to become the leading European offshore yuan-trading city. The People's Bank of China announced the move in two separate statements Sunday. It didn't say when it would designate the clearing banks. The French and Luxembourg central banks said Sunday they had signed agreements with PBOC allowing for greater cooperation in the oversight of their domestic yuan market. The weekend moves are the latest salvos in the race to win a major share of business in crossborder transactions in the Chinese currency. Singapore and Sydney are also vying for a significant share of the global yuan market, which is expected to expand rapidly along with China's fast-growing economy. On June 18, the PBOC appointed China Construction Bank Co., one of the country's top-four state-owned banks, to clear yuan-related transactions in London. It became the first yuan clearing bank in a European country. Opening a clearing bank is a critical step in developing an offshore yuan-based business. The designated banks will be able to supply yuan liquidity in case of a shortage by directly accessing China's onshore currency market. The Chinese central bank said that setting up the clearing banks will benefit Chinese, French and Luxembourg "businesses and financial institutions in using the renminbi [yuan] for crossborder transactions and in further promoting trade and investment." French authorities have openly pushed for Paris to become a center for yuan transactions. In March, China also granted 80 billion yuan ($12.9 billion) of quotas to French financial institutions that enable direct investment in the Chinese domestic financial market. The Bank of France said Sunday the latest decisions by the PBOC "confirm the prominent role of the French market place" in cross-border use of the currency. Luxembourg, home to a powerful asset-management industry, has built strong ties with Chinese investors in recent years and currently hosts the European headquarters of China's three leading banks. Last year, former Luxembourg Finance Minister Luc Frieden cited figures showing that the country was the leading center for yuan business in the euro zone, with some 40 billion yuan in deposits, 62 billion yuan in loans from Luxembourg banks and 220 billion yuan under management in the fund industry. For China, the move to allow the yuan to be used more freely abroad aims to boost demand for the currency and reduce the amount of dollars entering the country. China still maintains a tight grip on the yuan's value, with its trading strictly controlled in the mainland market. A surge in foreign-currency capital inflows in the past several years has contributed to a property bubble in China and excess liquidity in the country's financial system. For the long term, China wants to turn the yuan into a global reserve currency that is used for investment, trade and loans, as are the dollar and euro. A widely accepted yuan could help Chinese companies alleviate foreign-exchange risks. In addition to designating a clearing back in London earlier this month, the PBOC also announced on June 18 that the yuan can now be exchanged directly for British pounds in Shanghai's foreign-exchange market. Previously, traders have had to exchange the currencies through the U.S. dollar, which added to transaction costs. In 2013, yuan foreign-exchange trading in London reached $25.3 billion a day, up 50% compared with 2012, according to data released earlier this month. China's currency has become increasingly popular in settling total trade. In the first three months, 18% of China's total trade, or 1.09 trillion yuan, was paid for in yuan, up from 14% in the fourth quarter of last year, according to Bank of China. That compares with just 1% of China's total cross-border trade five years ago. —William Horobin in Paris and Tommy Stubbington in London contributed to this article. L'AGEFI SUISSE - 30/06/2014 La nouvelle étape vers l’internationalisation Yuan. Le Luxembourg et Paris vont accueillir une chambre de compensation issue d’une banque chinoise. Le Luxembourg va accueillir une chambre de compensation issue d’une banque chinoise, a annoncé hier la Banque centrale du Luxembourg (BCL) dans un communiqué. Par ailleurs, un protocole d’accord a été signé entre les banques centrales française et chinoise. Un protocole d’accord a été signé samedi à Bâle, en marge de l’assemblée générale de la Banque des règlements internationaux (BRI) entre le gouverneur de la BCL, Gaston Reinesch, et son homologue de la Banque populaire de Chine (PBoC), Xiaochuan Zhou. Le texte «vise à établir une coopération entre les deux institutions en termes de surveillance, d’échange d’informations et d’évaluation concernant le marché en renminbi en vue d’une désignation prochaine, par la PBoC, d’une banque de compensation en renminbi au Luxembourg». «Dans ce cadre, la BCL fera le suivi du marché en renminbi au Luxembourg et partagera les données pertinentes avec la PBOC», selon le communiqué. Le Luxembourg est le troisième pays européen, après l’Allemagne et la Grande-Bretagne, à avoir été choisi par la Chine pour accueillir une chambre de règlement et de compensation pour le yuan et permettre le dénouement d’opérations commerciales et d’investissements libellés dans la monnaie chinoise. Concrètement, la Banque populaire de Chine doit désigner «dans un proche avenir», selon une source proche du dossier, une banque qui jouera le rôle de «banque de clearing». Ce sera forcément une banque chinoise déjà présente au Luxembourg ou en passe de s’y implanter. Cet accord entre la BCL et la PBOC intervient alors que le ministre luxembourgeois des Finances, Pierre Gramegna, entame ce dimanche une mission de promotion de la place financière luxembourgeoise en Chine. Dans une interview donnée samedi à l’agence chinoise Xinhua, il a indiqué que le Luxembourg jouait un rôle «relativement important» dans l’internationalisation du renminbi. «Trois banques chinoises sont présentes à Luxembourg, et 46 obligations (Dim Sum bonds) sont cotées à la Bourse de Luxembourg», a expliqué le ministre. Il a ajouté que «plus de 260 milliards de RMB sont implantés à travers les fonds d’investissement au Luxembourg». Pierre Gramegna a par ailleurs laissé entendre que parallèlement aux discussions sur la chambre de compensation, le Luxembourg menait des négociations avec les autorités chinoises «pour avoir le statut de QFI (Qualified Foreign Investors)». C’est-à-dire d’investisseur qualifié pour être plus présent dans le domaine des obligations et aussi dans le domaine des investissements directs en Chine. Les trois banques chinoises présentes au Luxembourg sont Bank of China, ICBC et China Construction Bank. Des discussions sont engagées, selon Dirk Dewitte, le président de la Chambre de commerce sino-luxembourgeoise, avec la Shanghai Pudong et China Merchants Bank. Les gouverneurs de la Banque de France et de la Banque populaire de Chine ont signé samedi un protocole d’accord pour établir «à brève échéance» un système de paiement en monnaie chinoise à Paris Ce «memorandum of understanding» est une première étape vers la création d’une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en renminbi (yuan) à Paris, précise dimanche la Banque de France dans un communiqué. Il intervient au moment où la Chine multiplie les accords pour développer le rôle international de sa monnaie. La Chine a récemment attribué un quota de 80 milliards de renminbis aux investisseurs institutionnels français, qui leur permet d’investir directement sur le marché financier chinois. C’est le premier et le seul quota de ce type accordé pour l’instant en zone euro, souligne la Banque de France.n French.china.org.cn - 30/06/2014 La France va accueillir une chambre de compensation pour le yuan Par : Li Zhijian La Banque de France a annoncé dimanche la signature d'un protocole d'accord avec la Banque populaire de Chine (PBOC) sur la mise en place d'un système de paiement en yuan RMB à Paris. « Ce protocole d'accord est une première étape vers la création d'une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en yuan RMB à Paris », indiquait dimanche la Banque de France dans un communiqué. La concurrence est rude entre les principaux centres financiers européens pour attirer les transactions en devise chinoise. Francfort et le Luxembourg rivalisent dans ce domaine avec Londres, favorite selon de nombreux analystes, tandis que la Suisse tente d'entrer de force dans la compétition. Le système de paiement s'appuiera sur une banque de règlement désignée par la PBOC, précise le communiqué. La Chine intensifie ses efforts pour développer le rôle international de sa monnaie depuis la signature d'un accord de swap entre le yuan RMB et l'euro par la Banque centrale européenne (BCE) et la PBOC. Xinhua - 30/06/2014 - 08h30 La banque centrale signe deux MoUs avec des banques centrales européennes La Banque populaire de Chine (BPC) a déclaré dimanche avoir signé deux mémorandums d'entente (MoU en anglais) avec les banques centrales luxembourgeoise et française. Selon un communiqué publié sur le site Internet de la banque centrale chinoise, Zhou Xiaochuan, gouverneur de la BPC, et Gaston Reinesch, gouverneur de la Banque centrale du Luxembourg (BCL), ont signé samedi en Suisse un MoU en marge de l'Assemblée générale de la Banque des Règlements internationaux. Le MoU vise à établir une coopération entre les deux institutions en matière de surveillance, d'échange d'informations et d'évaluation concernant le marché en renminbi (Yuan chinois) en vue d'une désignation prochaine, par la BPC, d'une banque de compensation en renminbi au Luxembourg. La BCL fera le suivi du marché en renminbi au Luxembourg et partagera les données pertinentes avec la BPC. M. Zhou et Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, ont signé samedi un MoU afin d'établir bientôt un système de paiement en renminbi à Paris. La signature de ce MoU est une première étape vers la création d'une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en renminbi à Paris. Ce système de paiement s'appuiera sur une banque de règlement désignée par la BPC, a indiqué la Banque centrale de France sur son site Internet. REUTERS - 29/06/2014 - 12h56 Protocole d'accord entre banques centrales française et chinoise PARIS (Reuters) - Les gouverneurs de la Banque de France et de la Banque populaire de Chine ont signé samedi un protocole d'accord pour établir "à brève échéance" un système de paiement en monnaie chinoise à Paris. Ce "memorandum of understanding" est une première étape vers la création d'une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en renminbi (yuan) à Paris, précise dimanche la Banque de France dans un communiqué. Il intervient au moment où la Chine multiplie les accords pour développer le rôle international de sa monnaie. La Chine a récemment attribué un quota de 80 milliards de renminbis aux investisseurs institutionnels français, qui leur permet d'investir directement sur le marché financier chinois. C'est le premier et le seul quota de ce type accordé pour l'instant en zone euro, souligne la Banque de France. (Jean-Baptiste Vey) L'AGEFI - 29/06/2014 - 21:59 La nouvelle étape vers l’internationalisation Yuan. Le Luxembourg et Paris vont accueillir une chambre de compensation issue d’une banque chinoise. Le Luxembourg va accueillir une chambre de compensation issue d’une banque chinoise, a annoncé hier la Banque centrale du Luxembourg (BCL) dans un communiqué. Par ailleurs, un protocole d’accord a été signé entre les banques centrales française et chinoise. Un protocole d’accord a été signé samedi à Bâle, en marge de l’assemblée générale de la Banque des règlements internationaux (BRI) entre le gouverneur de la BCL, Gaston Reinesch, et son homologue de la Banque populaire de Chine (PBoC), Xiaochuan Zhou. Le texte «vise à établir une coopération entre les deux institutions en termes de surveillance, d’échange d’informations et d’évaluation concernant le marché en renminbi en vue d’une désignation prochaine, par la PBoC, d’une banque de compensation en renminbi au Luxembourg». «Dans ce cadre, la BCL fera le suivi du marché en renminbi au Luxembourg et partagera les données pertinentes avec la PBOC», selon le communiqué. Le Luxembourg est le troisième pays européen, après l’Allemagne et la Grande-Bretagne, à avoir été choisi par la Chine pour accueillir une chambre de règlement et de compensation pour le yuan et permettre le dénouement d’opérations commerciales et d’investissements libellés dans la monnaie chinoise. Concrètement, la Banque populaire de Chine doit désigner «dans un proche avenir», selon une source proche du dossier, une banque qui jouera le rôle de «banque de clearing». Ce sera forcément une banque chinoise déjà présente au Luxembourg ou en passe de s’y implanter. Cet accord entre la BCL et la PBOC intervient alors que le ministre luxembourgeois des Finances, Pierre Gramegna, entame ce dimanche une mission de promotion de la place financière luxembourgeoise en Chine. Dans une interview donnée samedi à l’agence chinoise Xinhua, il a indiqué que le Luxembourg jouait un rôle «relativement important» dans l’internationalisation du renminbi. «Trois banques chinoises sont présentes à Luxembourg, et 46 obligations (Dim Sum bonds) sont cotées à la Bourse de Luxembourg», a expliqué le ministre. Il a ajouté que «plus de 260 milliards de RMB sont implantés à travers les fonds d’investissement au Luxembourg». Pierre Gramegna a par ailleurs laissé entendre que parallèlement aux discussions sur la chambre de compensation, le Luxembourg menait des négociations avec les autorités chinoises «pour avoir le statut de QFI (Qualified Foreign Investors)». C’est-à-dire d’investisseur qualifié pour être plus présent dans le domaine des obligations et aussi dans le domaine des investissements directs en Chine. Les trois banques chinoises présentes au Luxembourg sont Bank of China, ICBC et China Construction Bank. Des discussions sont engagées, selon Dirk Dewitte, le président de la Chambre de commerce sino-luxembourgeoise, avec la Shanghai Pudong et China Merchants Bank. Les gouverneurs de la Banque de France et de la Banque populaire de Chine ont signé samedi un protocole d’accord pour établir «à brève échéance» un système de paiement en monnaie chinoise à Paris Ce «memorandum of understanding» est une première étape vers la création d’une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en renminbi (yuan) à Paris, précise dimanche la Banque de France dans un communiqué. Il intervient au moment où la Chine multiplie les accords pour développer le rôle international de sa monnaie. La Chine a récemment attribué un quota de 80 milliards de renminbis aux investisseurs institutionnels français, qui leur permet d’investir directement sur le marché financier chinois. C’est le premier et le seul quota de ce type accordé pour l’instant en zone euro, souligne la Banque de France. AFP - 29/06/2014 - 14h12 La France va accueillir une chambre de compensation issue d'une banque chinoise La France va accueillir une chambre de compensation issue d'une banque chinoise, a annoncé dimanche la Banque de France dans un communiqué. Zhou Xiaochuan, Gouverneur de la Banque Populaire de Chine (PBOC), et Christian Noyer, Gouverneur de la Banque de France, ont signé samedi un protocole d'accord « afin d'établir à brève échéance à Paris un système de paiement en renminbi (RMB) ». Ce système de paiement s'appuiera sur une banque de règlement désignée par la PBOC. La signature de cet accord par les deux banques centrales « est une première étape vers la création d'une infrastructure de compensation et de règlement des transactions en RMB à Paris », selon le texte. La France est le troisième pays européen, après le Luxembourg, l'Allemagne et la GrandeBretagne, à avoir été choisi par la Chine pour accueillir une chambre de règlement et de compensation pour le yuan et permettre le dénouement d'opérations commerciales et d'investissements libellés dans la monnaie chinoise. La signature de cet accord intervient après « l'attribution par les autorités chinoises d'un quota RQFII (Renminbi Qualified Foreign Institutionnal Investors) de 80 milliards de renminbi aux investisseurs institutionnels français ». « Il s'agit de permettre aux sociétés d'assurance, banques, sociétés de gestion et fonds d'investissement français d'investir directement sur le marché financier domestique chinois et de développer ainsi leurs activités en Chine », explique le texte. « C'est le premier et le seul quota RQFII accordé pour l'instant en zone euro », assure la Banque de France.