galerie des galeries 20 oct. 2015 – 23 janv. 2016
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galerie des galeries 20 oct. 2015 – 23 janv. 2016
ALEX PRAGER GALERIE DES GALERIES 20 OCT. 2015 – 23 JANV. 2016 GALERIE DES GALERIES 20 OCTOBRE 2015 – 23 JANVIER 2016 OCTOBER 20, 2015 – JANUARY 23, 2016 ALEX PRAGER GALERIE DES GALERIES 1ER ÉTAGE / 1ST FLOOR GALERIES LAFAYETTE 40 BD HAUSSMANN 75009 PARIS DOSSIER DE PRESSE PRESS KIT VERNISSAGE / OPENING 19 OCTOBRE 2015 / OCTOBER 19, 2015 18H – 21H / 6PM – 9PM EXPOSITION ALEX PRAGER Du 20 octobre 2015 au 23 janvier 2016, la Galerie des Galeries invite l’artiste américaine Alex Prager pour sa première exposition personnelle en France. À cette occasion, la photographe et réalisatrice présente ses œuvres récentes, dont notamment son dernier film. From 20th October to 23rd January 2016, Galerie des Galeries hosts American artist Alex Prager for her first solo exhibition in France. On this occasion, the photographer and filmmaker will present some of her most recent works, including her latest film. Alex Prager s’est fait connaître par ses mises en scène très précises au sein desquelles elle cite l’imagerie de l’âge d’or du film dramatique hollywoodien pour mieux révéler l’étrangeté de la vie individuelle et sociale contemporaine. La ville de Los Angeles, où elle est née, est pour elle une source inépuisable d’inspiration, tant dans les sujets que l’artiste aborde : le fantasme, l’errance et la perdition ; que dans la façon dont elle s’empare de l’industrie cinématographique pour réaliser ses films et ses photographies. Nourrie par le cinéma d’Alfred Hitchcock ou de Luis Buñuel, ainsi que par les oeuvres de photographes tels que William Eggleston et Enrique Metinides, Alex Prager met également en avant son éducation peu conventionnelle pour expliquer la construction de son propre univers artistique, qui conjugue à la fois couleurs intenses, angles inattendus et éclairages spectaculaires. Alex Prager is known for intricately staged works that draw on the drama of the Golden Age of Hollywood films to explore uncanny elements of today’s individual and social life. Los Angeles, where she was born, has been a huge source of inspiration in her work, both in terms of subjectmatter – fantasy, isolation, tribulation – and in the way she utilizes the movie industry in order to create her films and photographs. Prager draws inspiration from the cinematic work of Alfred Hitchcock and Luis Buñuel and the art of such photographers as William Eggleston or Enrique Metinides, but also frequently cites the major influence her unconventional education has had on her own artistic practice, which combines the use of bold colors, unexpected angles and dramatic lighting. Exposées dans le monde entier, y compris à la National Gallery of Victoria (Melbourne, 2014) ; la Corcoran Gallery of Art de Washington (2013) et le FOAM – Musée de la Photographie d’Amsterdam (Pays-Bas, 2012), les œuvres d’Alex Prager figurent dans les collections de plusieurs grands musées dont le MoMA et le Whitney Museum of American Art, à New York. Prager’s work has been exhibited throughout the world, including at the National Gallery of Victoria, Melbourne (2014); the Corcoran Gallery of Art, Washington (2013) and the FOAM Photography Museum, Amsterdam, Netherlands (2012). Additionally, her works are included in the collection of several major museums including The Museum of Modern Art and the Whitney Museum of American Art, New York. C’est en 2010, seulement trois ans après sa première exposition personnelle Polyester, qu’Alex Prager est sélectionnée dans la prestigieuse exposition New Photography au MoMA (New York). Dès lors, sa présence sur la scène artistique internationale s’amplifie. En 2012, elle se voit décerner le Prix Paul Huf du FOAM et sa série de films In 2010, only three years after her first solo exhibit Polyester, Prager was selected for MoMA’s prestigious New Photography exhibition. Since then, Prager’s presence on the international art scene has been growing steadily. In 2012, she was recognized with the FOAM’s Paul Huf Award, as well as with an Emmy Award for her film series 2 Crowd #3 (Pelican Beach), 2013 Archival pigment print Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong courts Touch of Evil, commandée par le New York Times Magazine, mettant en scène 13 illustres acteurs dont Brad Pitt, Gary Oldman et Glenn Close, est récompensée par un Emmy Award. À seulement 36 ans, Alex Prager est considérée comme l’une des artistes les plus prometteuses de sa génération. 3 “Touch of Evil”, commissioned by The New York Times Magazine and featuring 13 renowned actors including Brad Pitt, Gary Oldman and Glenn Close. At only 36, Alex Prager is hailed as one of the most promising artists of her generation. PORTRAIT D’ALEX PRAGER Crowd #5 (Washington Square West), 2013 Archival pigment print Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong 4 J’ai découvert le travail d’Alex Prager à la FIAC en 2013. Déambulant dans les allées, je suis arrêtée par son image Crowd #5 (Washington Square West) : d’abord cette couleur : le vert ; le cadrage, la fenêtre puis enfin ces personnages. Où vont-ils ? Qui sont-ils ? 3 personnages se distinguent, un homme, les yeux ahuris, une femme blonde stoppée au milieu de la foule et enfin au centre, une femme qui observe l’intérieur de la fenêtre, qui nous cherche. I discovered Alex Prager’s work at FIAC in 2013. Strolling down the aisles, I stopped at her picture, entitled “Crowd # 5 (Washington Square West)”: first, the color: green; then the composition, the window and finally, those characters. Where are they going? Who are they? Three of them stand out: a man with bewildered eyes, a blond lady stopped in the middle of the crowd and towards the center, a woman looking into the window, looking for us. Cette dernière femme est la sœur d’Alex Prager, présente dans la majorité des séries de l’artiste. Lorsqu’en 2007, Alex Prager démarre son travail photographique, elle prend pour modèle ses proches. Inspirée par le réel et la street photographie ; elle est également baignée dans la fiction à travers Los Angeles, ville où elle est née et dans laquelle elle vit actuellement. C’est sans doute dans la richesse de ces deux inspirations antagonistes que résident la force des images de Prager. The latter character is Alex Prager’s sister, who appears in most of the artist’s series. When Alex Prager started working as a photographer in 2007, she would ask relatives to pose for her. Though inspired by street photography and reality, Prager also entertains a passion for fiction: indeed, her childhood was spent in Los Angeles, where she currently lives. Her reliance on two opposing sources of inspiration certainly goes a long way toward explaining the power behind her imagery. Son film Face in the Crowd, son travail le plus emblématique à ce jour, est réalisé selon les conditions de tournage du cinéma : studios, équipes dédiées, 350 figurants ; le scénario n’est pourtant pas écrit et les acteurs nous racontent leur histoire personnelle, habillés, maquillés et transformés en personnages par Alex Prager. Des histoires, singulières, uniques, propres à celle de chaque individualité présente dans une foule. Histoires qui nous touchent, associées à des personnages dont le physique nous trouble. Alex Prager caste la majorité de ses figurants, parmi ses proches et leurs réseaux ; elle observe en permanence les visages, épluchant trombinoscopes d’agences de casting, photos de profils sur les réseaux sociaux, ou encore anonymes qu’elle repère partout et à tout moment. L’ambiguïté du réel est ainsi au cœur des recherches d’Alex Prager. Dans d’autres séries, l’artiste puise dans la mémoire collective pour la The film “Face in the Crowd”, her most iconic work to date, was directed like a feature film: soundstages, dedicated teams, 350 extras; the script, however, had not been written out. Each actor, having been dressed, made up and turned into a character by Prager, had a personal story to tell. Singular, unique stories, specific to each individuality composing a crowd. Stories that affect us, evoked by characters of intriguing appearance. Prager casts the majority of her extras from among her relatives and their network; constantly on the lookout for new models, she sifts through casting agency portfolios, looks up profile pictures on social media or randomly scouts out interesting faces. The ambiguity of reality thus lies at the heart of Alex Prager’s artistic research. In other series, the artist stages it by resorting to our collective memory. One of the shots from her series “Compulsion” (2012) shows a woman hanging on 5 3:14pm, Pacific Ocean, 2012 Archival pigment print Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong mettre en scène. Une des images de sa série Compulsion (2012) donne à voir une femme suspendue sur un fil électrique : la scène paraît invraisemblable mais fait pourtant directement référence à une des images de la série Tragédie, prise dans les années 1970, par le photographe Enrique Metinides, devenu célèbre pour sa capacité à capter sur le vif, accidents ou scène de crimes au Mexique. Ce qui est d’autant plus surprenant chez elle, c’est sa détermination, son savoir-faire et sa technicité. Sur les tournages, elle peut surprendre ses acteurs en criant, en les aspergeant d’eau pour obtenir les expressions qu’elle attend d’eux. Ses images, aussi surréalistes qu’elles paraissent, contiennent toujours une part de réel, qu’elle n’hésite pas à capter en plongeant littéralement une voiture dans une eau noire ou en filmant l’océan depuis un hélicoptère. La précision d’Alex Prager en termes de direction artistique, son observation des foules, le lyrisme de ses projets, son empathie pour les femmes ont tout de suite résonné avec la Galerie des Galeries, espace culturel situé en plein cœur des Galeries Lafayette. Aussi, nous nous réjouissons tout particulièrement d’accueillir Alex Prager pour sa première exposition personnelle en France. to an electric wire. Implausible as it seems, it is a direct reference to one of the photographs in the “Tragedy” series, taken in the 1970s by the photographer Enrique Metinides, famous for his ability to capture live images of accidents or crimes in Mexico. Even more surprising is her determination, knowhow and technical expertise. On set, she will scare her actors by screaming or spraying water at them so as to get the kind of reaction she expects. Surreal though her shots might appear, they always capture an element of reality: for art’s sake, Prager will go to such lengths as literally plunging a car into a pool of black water or filming the ocean from a helicopter. Alex Prager’s precision as an art director and keen observation of crowds, the lyricism of her projects and her empathy for women immediately resonated with Galerie des Galeries, a cultural venue located at the heart of Galeries Lafayette. Thus we are delighted to welcome Alex Prager on her first solo exhibition in France. Elsa Janssen Directrice / Director Galerie des Galeries 6 7 BIOGRAPHIE D’ALEX PRAGER Alex Prager est née en 1979 à Los Angeles, où elle vit et travaille. À l’âge de 13 ans, alors que ses parents déménagent en Floride, elle quitte l’école et s’envole pour la Suisse où elle travaille dans une coutellerie. Adolescente, Alex Prager partage son temps entre Los Angeles, la Floride, Lucerne (en Suisse) et divers voyages à travers l’Europe. À un peu plus de vingt ans, inspirée par les photographies en couleur de William Eggleston exposées au Musée J. Paul Getty Museum de Los Angeles, Alex Prager décide d’apprendre la photographie par elle-même et fait l’acquisition de son premier appareil photo et sa première chambre noire. Six mois plus tard, elle présente ses premiers tirages dans un salon de coiffure. Encouragée par le succès de cette première rencontre avec le public, elle continue avec sagacité à expérimenter le médium de la photographie. En 2007, sa première exposition solo, Polyester, retient l’attention, et le Los Angeles Times lui consacre notamment un article. Représentant des femmes parées de perruques inspirées des années 1950, associées aux codes du glamour hollywoodien de l’époque, ses photographies révèlent des mises en scènes minutieusement construites, qui oscillent de manière troublante entre fantasme et réalité – une esthétique désormais emblématique de la pratique photographique d’Alex Prager. En 2010, à la galerie Michael Hoppen à Londres, Alex Prager présente Week-End, exposition où figure son premier film intitulé Despair (Désespoir). Alors qu’elle n’avait jamais envisagé de passer à l’image animée, Alex Prager explique « l’idée derrière [Despair] est que je voulais, l’espace de quelques minutes, faire vivre un de mes clichés ». Dès Despair, elle donne une importance majeure à la musique de ses films, qu’elle confie au compositeur et chef d’orchestre Ali Helnwein. Il composera par la suite tous les thèmes musicaux de Alex Prager portrait by Jeff Vespa © 2013 8 9 Alex Prager was born in 1979 in Los Angeles, where she lives and works. At the age of thirteen, after moving to Florida with her family, Prager left high school and moved to Switzerland, where she worked in a knife shop. Prager spent most of her time as a teenager between Los Angeles, Florida, Lucerne, in Switzerland and travelling around Europe. By her early twenties, inspired by the colour photography of William Eggleston exhibited at the J.Paul Getty Museum in Los Angeles, Prager resolved to teach herself photography and bought her first camera and darkroom equipment. Six months later she had her first exhibition held in a hair salon. Encouraged by the success of this first encounter with the public, she carried on experiencing the medium of photography with sagacity. In 2007, her first solo exhibition Polyester attracted much attention, with the Los Angeles Times, in particular, writing a review about it. Depicting women wearing 1950s-inspired wigs combined with the glamour typical of mid-centur y Hollywood movies, each of her photographs reveals an intricate mise-en-scène that hovers between reality and fantasy, aesthetics which have since become characteristic of Prager’s photographic practice. In 2010 Prager exhibited Week-End at Michael Hoppen Gallery, which included her first film work, entitled Despair. Even if she never thought being a director before, Alex Prager commented, “the idea behind [Despair] is that I wanted to bring one of my photographs to life for a few minutes”. Starting with Despair, she has placed major emphasis on her films’ music, created for her by composer and director Ali Helnwein. Since then, the latter has composed the musical scores for all of Prager’s films including her 2013 Face in the Crowd, which was first shown at the Corcoran Gallery in Washington. Untitled (Parts 1), 2014 Archival pigment print Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong ses films, dont en 2013, Face in the Crowd, qu’elle a présenté pour la première fois à la Corcoran Gallery de Washington. Réalisé en studio début 2013, Face in the Crowd est l’œuvre la plus complexe jamais créée par Alex Prager. La photographe y met en scène des centaines de comédiens, sur fond de décors de cinéma, créant ainsi d’immenses tableaux vivants au sein de divers espaces publics : halls d’aéroports ou d’immeubles, salles de cinémas… Personnages et costumes, coiffures et poses sont minutieusement choisis par l’artiste de façon à évoquer des époques allant des années 1950 à nos jours. Caractérisés par des couleurs saturées, une théâtralité puissante et un humour grinçant, les photographies et films d’Alex Prager, renvoient à une narration sous-jacente, qui maintient à la fois une certaine ambiguïté et une intensité émotionnelle singulière. Les mises en scènes d’Alex Prager puisent dans une mémoire visuelle collective dont les influences et les références vont du cinéma hollywoodien au film d’art et d’essai en passant par la pop culture et la photographie de rue. Étranges quoique familières, ses images plongent le spectateur dans un univers intemporel à michemin entre fiction et réalité. Les photographies d’Alex Prager ont été publiées dans de nombreux magazines tels que Foam, Vogue, W, Garage, Art in America ou le New York Times Magazine. En outre, ses œuvres photographiques figurent dans les collections permanentes de plusieurs grands musées, dont le Musée d’Art Moderne de New York, le Whitney Museum of American Art, le Musée d’Art Moderne de San Francisco, le Kunsthaus de Zurich, et le Moderna Museet de Stockholm, entre autres. Shot on a Los Angeles soundstage in early 2013, Face in the Crowd is Prager’s most complex work to date. The artist directed hundreds of actors on constructed sets to create portraits of large crowds at the airport terminals, lobbies, beaches, movie theaters, and other public spaces. The characters, clothing, hairstyles, and poses are carefully chosen by the artist to convey a range of time periods from mid-century to present. Characterized by deeply saturated colors, heightened drama, and dark humor, Prager’s photographs hint at narrative subtexts while maintaining a sense of ambiguity and self-contained emotional intensity. Prager’s staged scenes tap into a shared cultural memory drawing inspiration from a wide range of influences and references including Hollywood cinema, experimental films, popular culture and street photography. Her familiar yet strange images suggest a sense of timelessness while also creating a world that synthesizes fiction and reality. Prager’s work has been featured in publications such as Foam Magazine, the New York Times Magazine, American Vogue, W Magazine, and Art in America. Additionally, her photographs are in the permanent collection of several major museums, including the Museum of Modern Art, New York, the Whitney Museum of American Art, the San Francisco Museum of Modern Art, Kunsthaus Zurich, and Moderna Museet, Stockholm, among others. 10 11 SÉLECTION D’EXPOSITIONS SELECTED EXHIBITIONS EXPOSITIONS PERSONNELLES SOLO SHOWS EXPOSITIONS COLLECTIVES GROUP SHOWS Lehmann Maupin, Hong-Kong. Goss Michael Foundation, Dallas. Istanbul ’74, Beyoglu, Istanbul. Not Really, the Castle Gallery, College of New Rochelle, New York ; Landmark Atrium, Hong Kong. Open Rhapsody, Beirut Exhibition Center, Beirut. Coming into Fashion : A Century of Photography at Conde Nast, Amon Carter Museum of Art, Fort Worth. Burn with Desire : Glamour in Photography and Film, Ryerson Image Center, Toronto ; Foam Art Museum, Amsterdam. 2015 2014 National Gallery of Victoria, Melbourne. Arts Club, London. Face in the Crowd, Lehmann Maupin, New York. M+B Gallery, Los Angeles. 2013 Face in the Crowd, Corcoran Gallery of Art, Washington D.C. Mise-en-scène, SCAD Museum of Art, Savannah. 2012 Compulsion, Foam Museum, Amsterdam. M+B Gallery, Los Angeles. Yancey Richardson Gallery, New York. Michael Hoppen Gallery, London. 2010 Week-end, Michael Hoppen Gallery, London. M+B Gallery, Los Angeles. Yancey Richardson Gallery, New York. Despair, Project Gallery, Yancey Richardson Gallery, New York. 2009 The Big Valley, Yancey Richardson Gallery, New York. 2008 The Big Valley, Michael Hoppen Gallery, London. 2007 Polyester, Robert Berman Gallery, Santa Monica. 2015 2014 Melting Walls, the Ighal Ahouvi Art Collection, Tel Aviv. The Noir Effect, Skirball Cultural Center, Los Angeles. Under the Skin, Lehmann Maupin, Hong-Kong. Coming into Fashion : A Century of Photography at Conde Nast, Palais Galliera, Paris ; Museum Bellerive, Zürich ; Norton Museum of Art, West Palm Beach, FL. Total Art, National Museum of Women in the Arts, Washington D.C. 2013 Color ! American Photography Transformed, Amon Carter Museum, Fort Worth. AIPAD Photography Show, New York. 2012 State of the Art – New Contemporary Photography, NRW-Forum, Düsseldorf. 2011 No Fashion, Please : Photography between Gender and Lifestyle, Kunsthalle Wien, Vienna. Embarrassment of Riches: Picturing Global Wealth, 2000 2010, Nerman Museum of Contemporary Art, Kansas. 2010 New Photography 2010, Museum of Modern Art, New York. Embarrassment of Riches : Picturing Global Wealth, 2000 2010, Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis. A Shaded View on Fashion Film Festival, Centre Pompidou, Paris. 2009 Pro’jekt LA : Facing West, Lucie Foundation, Space 15twenty, Los Angeles. Culver City, 2014 Archival pigment print 2008 Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong 12 13 Incognito, Santa Monica Museum of Art, Santa Monica. PROGRAMMATION HORS LES MURS HORS LES MURS PROGAMME Face in the Crowd, 2013 Acrylic on canvas on panel Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong Parallèlement à l’exposition Alex Prager à la Galerie des Galeries, inaugurée au moment de la FIAC, les films d’Alex Prager seront présentés dans la programmation Hors les Murs de la foire. In conjunction with her exhibition at Galerie des Galeries, which will open during the FIAC, films by Alex Prager will be shown in the context of FIAC’s “Hors les Murs” programme. AUDITORIUM DU GRAND PALAIS GRAND PALAIS AUDITORIUM Vendredi 23 octobre 2015 de 18h30 à 20h Projection des films courts Despair (2010), La Petite Mort (2012), et Face in the Crowd (2013), suivie d’une conversation avec l’artiste. Friday October 23, 2015 from 6:30pm to 8pm. Screening of short films Despair (2010), La Petite Mort (2012), and Face in the Crowd (2013), followed by a conversation with the artist. Accès libre dans la limite des places disponibles. Adresse : Grand Palais, entrée par la Rotonde Alexandre III, 75008 Paris Free admission – Limited number of places available. Address: Grand Palais, Rotonde Alexandre III Entrance, 75008 Paris CINÉPHÉMÈRE Dans le cadre du projet Cinéphèmere qui se déroule dans le jardin des Tuileries, 2 séances de projection de films d’Alex Prager sont prévues afin de découvrir son univers. Accès : sur inscription auprès de l’hôtesse à l’entrée du Cinéphémère. Plus d’informations sur galeriedesgaleries.com Adresse : Container dans le jardin des Tuileries, entrée Concorde, 75001 Paris Pour sa 42e édition, la FIAC, évènement incontournable en faveur de la création artistique, confirme son statut de foire internationale majeure. Du 22 au 25 octobre, elle accueille au Grand Palais 174 galeries venues de 23 pays, présentant un panorama de l’art moderne, de l’art contemporain et de la création émergente. Plus d’informations sur : http://www.fiac.com/paris 14 15 CINÉPHÉMÈRE Two of Alex Prager’s films are scheduled to be shown as part of the Cinéphémère project, held in the Tuileries garden, allowing the public to discover the artist’s universe. To access theater, register with hostess at the Cinéphémère entrance. More information available at galeriedesgaleries.com. Address: freight container in the Tuileries Garden, Place de la Concorde entrance, 75001 Paris For its 42nd edition, FIAC, a major showcase for artistic creation, continues to develop, and confirms its status as a leading international art fair. From October 22nd to October 25th, FIAC at the Grand Palais features 174 galleries from 23 countries, presenting modern art, contemporary art and emerging trends. See more at: http://www.fiac.com/paris/en GALERIE DES GALERIES GALERIE DES GALERIES CONTACTS PRESSE / PRESS La Galerie des Galeries est l’espace culturel des Galeries Lafayette Haussmann. Située au 1er étage, elle a pour ambition de faire découvrir à ses visiteurs les talents d’aujourd’hui et de demain. Constituée de 4 expositions par an autour de la création française et internationale, sa programmation cherche à mettre en valeur la transversalité qui existe entre la mode, les arts plastiques et le design, disciplines qui inspirent depuis toujours les Galeries Lafayette. Galerie des Galeries is the cultural space of Galeries Lafayette in Paris. Located on the 1st floor, the space was designed to encourage visitors to discover talented young artists of today and tomorrow. The Galerie des Galeries’ program, organized around 4 annual exhibitions devoted to both French and international artists, aims to highlight the interdisciplinarity that exists between different fields of artistic endeavor which have always inspired Galeries Lafayette, including fashion, the visual arts and design. GALERIE DES GALERIES Elsa Janssen Directrice Événements culturels et Galerie des Galeries Cultural Events and Galerie des Galeries Director +33 1 42 82 81 98 FRANCE 2e BUREAU Marie-Laure Girardon [email protected] +33 1 42 33 93 18 MÉDIATION AUPRÈS DES PUBLICS Des visites seront proposées sur réservation par l’équipe de la Galerie des Galeries, et permettront au visiteur d’être accompagné dans sa découverte de l’exposition. Pour réserver et en savoir plus : [email protected] GUIDED TOURS Guided tours, available upon request, will be conducted by Galerie des Galeries’ team, allowing visitors to go further in their discovery of the exhibition. Booking and details : [email protected] Perrine Muzumdar et Patricia Falandysz Responsable Communication et chargée de communication Communication Manager and officer [email protected] [email protected] +33 1 42 82 85 38 Océane Le Corre-Féral Chargée du Multimédia et des éditions Multimedia and Editions Officer [email protected] +33 1 42 82 35 76 Marie Ferré Médiatrice culturelle Visits and cultural Mediation Officer [email protected] +33 1 42 82 87 98 INTERNATIONAL Fouchard Filippi Communications Philippe Fouchard [email protected] +33 1 53 28 87 53 GALERIE DES GALERIES 1er étage / 1st floor Galeries Lafayette 40 BD Haussmann 75009 Paris +33 1 42 82 81 98 Entrée libre / free admission Du mardi au samedi de 11h à 19h From Tuesday to Saturday 11am – 7pm Visuels presse La reproduction et la représentation des images de la sélection du dossier de presse est autorisée dans le cadre de la seule promotion du projet à la Galerie des Galeries et pendant la durée de celle-ci. Reproduction or broadcasting of images selected for the press kit is solely authorized in the context, and for the duration, of the promotion for the Galerie des Galeries project. Visuels sur demande et téléchargeables sur : Downloadable high-resolution images at : galeriedesgaleries.com Visuel de couverture : Alex Prager, Hazelwood #2 (after Steven Siegel), 2014. Archival pigment print. Courtesy the artist and Lehmann Maupin, New York and Hong Kong 16 Conception graphique : Amélie Doistau et Marlène Scharr #alexprager