galerie des galeries 20 oct. 2015 – 23 janv. 2016

Transcription

galerie des galeries 20 oct. 2015 – 23 janv. 2016
ALEX
PRAGER
GALERIE DES GALERIES
20 OCT. 2015 – 23 JANV. 2016
GALERIE DES GALERIES
20 OCTOBRE 2015 – 23 JANVIER 2016
OCTOBER 20, 2015 – JANUARY 23, 2016
ALEX PRAGER
GALERIE DES GALERIES
1ER ÉTAGE / 1ST FLOOR
GALERIES LAFAYETTE
40 BD HAUSSMANN 75009 PARIS
DOSSIER DE PRESSE
PRESS KIT
VERNISSAGE / OPENING
19 OCTOBRE 2015 / OCTOBER 19, 2015
18H – 21H / 6PM – 9PM
EXPOSITION ALEX PRAGER
Du 20 octobre 2015 au 23 janvier 2016, la Galerie
des Galeries invite l’artiste américaine Alex Prager
pour sa première exposition personnelle en
France. À cette occasion, la photographe et réalisatrice présente ses œuvres récentes, dont
notamment son dernier film.
From 20th October to 23rd January 2016, Galerie
des Galeries hosts American artist Alex Prager
for her first solo exhibition in France. On this occasion, the photographer and filmmaker will present some of her most recent works, including her
latest film.
Alex Prager s’est fait connaître par ses mises en
scène très précises au sein desquelles elle cite l’imagerie de l’âge d’or du film dramatique hollywoodien
pour mieux révéler l’étrangeté de la vie individuelle
et sociale contemporaine. La ville de Los Angeles,
où elle est née, est pour elle une source inépuisable
d’inspiration, tant dans les sujets que l’artiste
aborde : le fantasme, l’errance et la perdition ; que
dans la façon dont elle s’empare de l’industrie cinématographique pour réaliser ses films et ses photographies. Nourrie par le cinéma d’Alfred Hitchcock
ou de Luis Buñuel, ainsi que par les oeuvres de
photographes tels que William Eggleston et Enrique
Metinides, Alex Prager met également en avant son
éducation peu conventionnelle pour expliquer la
construction de son propre univers artistique, qui
conjugue à la fois couleurs intenses, angles inattendus et éclairages spectaculaires.
Alex Prager is known for intricately staged works
that draw on the drama of the Golden Age of
Hollywood films to explore uncanny elements of
today’s individual and social life. Los Angeles,
where she was born, has been a huge source of
inspiration in her work, both in terms of subjectmatter – fantasy, isolation, tribulation – and in
the way she utilizes the movie industry in order
to create her films and photographs. Prager
draws inspiration from the cinematic work of
Alfred Hitchcock and Luis Buñuel and the art of
such photographers as William Eggleston or
Enrique Metinides, but also frequently cites the
major influence her unconventional education
has had on her own artistic practice, which combines the use of bold colors, unexpected angles
and dramatic lighting.
Exposées dans le monde entier, y compris à la
National Gallery of Victoria (Melbourne, 2014) ; la
Corcoran Gallery of Art de Washington (2013) et
le FOAM – Musée de la Photographie d’Amsterdam (Pays-Bas, 2012), les œuvres d’Alex Prager
figurent dans les collections de plusieurs grands
musées dont le MoMA et le Whitney Museum of
American Art, à New York.
Prager’s work has been exhibited throughout the
world, including at the National Gallery of
Victoria, Melbourne (2014); the Corcoran Gallery
of Art, Washington (2013) and the FOAM
Photography Museum, Amsterdam, Netherlands
(2012). Additionally, her works are included in the
collection of several major museums including
The Museum of Modern Art and the Whitney
Museum of American Art, New York.
C’est en 2010, seulement trois ans après sa première exposition personnelle Polyester, qu’Alex
Prager est sélectionnée dans la prestigieuse exposition New Photography au MoMA (New York). Dès
lors, sa présence sur la scène artistique internationale s’amplifie. En 2012, elle se voit décerner
le Prix Paul Huf du FOAM et sa série de films
In 2010, only three years after her first solo exhibit Polyester, Prager was selected for MoMA’s
prestigious New Photography exhibition. Since
then, Prager’s presence on the international art
scene has been growing steadily. In 2012, she was
recognized with the FOAM’s Paul Huf Award, as
well as with an Emmy Award for her film series
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Crowd #3 (Pelican Beach), 2013
Archival pigment print
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
courts Touch of Evil, commandée par le New York
Times Magazine, mettant en scène 13 illustres
acteurs dont Brad Pitt, Gary Oldman et Glenn
Close, est récompensée par un Emmy Award.
À seulement 36 ans, Alex Prager est considérée
comme l’une des artistes les plus prometteuses
de sa génération.
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“Touch of Evil”, commissioned by The New York
Times Magazine and featuring 13 renowned actors
including Brad Pitt, Gary Oldman and Glenn Close.
At only 36, Alex Prager is hailed as one of the
most promising artists of her generation.
PORTRAIT D’ALEX PRAGER
Crowd #5 (Washington Square West), 2013
Archival pigment print
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
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J’ai découvert le travail d’Alex Prager à la FIAC
en 2013. Déambulant dans les allées, je suis arrêtée par son image Crowd #5 (Washington Square
West) : d’abord cette couleur : le vert ; le cadrage,
la fenêtre puis enfin ces personnages. Où vont-ils ?
Qui sont-ils ? 3 personnages se distinguent, un
homme, les yeux ahuris, une femme blonde stoppée au milieu de la foule et enfin au centre, une
femme qui observe l’intérieur de la fenêtre, qui
nous cherche.
I discovered Alex Prager’s work at FIAC in 2013.
Strolling down the aisles, I stopped at her picture,
entitled “Crowd # 5 (Washington Square West)”:
first, the color: green; then the composition, the
window and finally, those characters. Where are
they going? Who are they? Three of them stand
out: a man with bewildered eyes, a blond lady
stopped in the middle of the crowd and towards
the center, a woman looking into the window,
looking for us.
Cette dernière femme est la sœur d’Alex Prager,
présente dans la majorité des séries de l’artiste.
Lorsqu’en 2007, Alex Prager démarre son travail
photographique, elle prend pour modèle ses
proches. Inspirée par le réel et la street photographie ; elle est également baignée dans la fiction
à travers Los Angeles, ville où elle est née et dans
laquelle elle vit actuellement. C’est sans doute
dans la richesse de ces deux inspirations antagonistes que résident la force des images de Prager.
The latter character is Alex Prager’s sister, who
appears in most of the artist’s series. When Alex
Prager started working as a photographer in
2007, she would ask relatives to pose for her.
Though inspired by street photography and reality,
Prager also entertains a passion for fiction: indeed,
her childhood was spent in Los Angeles, where she
currently lives. Her reliance on two opposing
sources of inspiration certainly goes a long way
toward explaining the power behind her imagery.
Son film Face in the Crowd, son travail le plus
emblématique à ce jour, est réalisé selon les
conditions de tournage du cinéma : studios,
équipes dédiées, 350 figurants ; le scénario n’est
pourtant pas écrit et les acteurs nous racontent
leur histoire personnelle, habillés, maquillés et
transformés en personnages par Alex Prager. Des
histoires, singulières, uniques, propres à celle de
chaque individualité présente dans une foule.
Histoires qui nous touchent, associées à des personnages dont le physique nous trouble. Alex
Prager caste la majorité de ses figurants, parmi
ses proches et leurs réseaux ; elle observe en
permanence les visages, épluchant trombinoscopes d’agences de casting, photos de profils sur
les réseaux sociaux, ou encore anonymes qu’elle
repère partout et à tout moment.
L’ambiguïté du réel est ainsi au cœur des
recherches d’Alex Prager. Dans d’autres séries,
l’artiste puise dans la mémoire collective pour la
The film “Face in the Crowd”, her most iconic work
to date, was directed like a feature film: soundstages, dedicated teams, 350 extras; the script,
however, had not been written out. Each actor,
having been dressed, made up and turned into
a character by Prager, had a personal story to
tell. Singular, unique stories, specific to each individuality composing a crowd. Stories that affect
us, evoked by characters of intriguing appearance. Prager casts the majority of her extras
from among her relatives and their network;
constantly on the lookout for new models, she
sifts through casting agency portfolios, looks up
profile pictures on social media or randomly
scouts out interesting faces.
The ambiguity of reality thus lies at the heart of
Alex Prager’s artistic research. In other series, the
artist stages it by resorting to our collective
memory. One of the shots from her series
“Compulsion” (2012) shows a woman hanging on
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3:14pm, Pacific Ocean, 2012
Archival pigment print
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
mettre en scène. Une des images de sa série
Compulsion (2012) donne à voir une femme suspendue sur un fil électrique : la scène paraît invraisemblable mais fait pourtant directement référence à une des images de la série Tragédie, prise
dans les années 1970, par le photographe Enrique
Metinides, devenu célèbre pour sa capacité à
capter sur le vif, accidents ou scène de crimes au
Mexique.
Ce qui est d’autant plus surprenant chez elle, c’est
sa détermination, son savoir-faire et sa technicité.
Sur les tournages, elle peut surprendre ses acteurs
en criant, en les aspergeant d’eau pour obtenir
les expressions qu’elle attend d’eux. Ses images,
aussi surréalistes qu’elles paraissent, contiennent
toujours une part de réel, qu’elle n’hésite pas à
capter en plongeant littéralement une voiture
dans une eau noire ou en filmant l’océan depuis
un hélicoptère.
La précision d’Alex Prager en termes de direction
artistique, son observation des foules, le lyrisme
de ses projets, son empathie pour les femmes ont
tout de suite résonné avec la Galerie des Galeries,
espace culturel situé en plein cœur des Galeries
Lafayette. Aussi, nous nous réjouissons tout particulièrement d’accueillir Alex Prager pour sa première exposition personnelle en France.
to an electric wire. Implausible as it seems, it is a
direct reference to one of the photographs in the
“Tragedy” series, taken in the 1970s by the photographer Enrique Metinides, famous for his ability to capture live images of accidents or crimes
in Mexico.
Even more surprising is her determination, knowhow and technical expertise. On set, she will scare
her actors by screaming or spraying water at
them so as to get the kind of reaction she
expects. Surreal though her shots might appear,
they always capture an element of reality: for
art’s sake, Prager will go to such lengths as literally plunging a car into a pool of black water or
filming the ocean from a helicopter.
Alex Prager’s precision as an art director and
keen observation of crowds, the lyricism of her
projects and her empathy for women immediately resonated with Galerie des Galeries, a cultural venue located at the heart of Galeries
Lafayette. Thus we are delighted to welcome Alex
Prager on her first solo exhibition in France.
Elsa Janssen
Directrice / Director Galerie des Galeries
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BIOGRAPHIE D’ALEX PRAGER
Alex Prager est née en 1979 à Los Angeles, où elle
vit et travaille. À l’âge de 13 ans, alors que ses
parents déménagent en Floride, elle quitte l’école
et s’envole pour la Suisse où elle travaille dans
une coutellerie. Adolescente, Alex Prager partage
son temps entre Los Angeles, la Floride, Lucerne
(en Suisse) et divers voyages à travers l’Europe. À
un peu plus de vingt ans, inspirée par les photographies en couleur de William Eggleston exposées au Musée J. Paul Getty Museum de Los
Angeles, Alex Prager décide d’apprendre la photographie par elle-même et fait l’acquisition de
son premier appareil photo et sa première
chambre noire. Six mois plus tard, elle présente
ses premiers tirages dans un salon de coiffure.
Encouragée par le succès de cette première rencontre avec le public, elle continue avec sagacité
à expérimenter le médium de la photographie.
En 2007, sa première exposition solo, Polyester,
retient l’attention, et le Los Angeles Times lui
consacre notamment un article. Représentant des
femmes parées de perruques inspirées des
années 1950, associées aux codes du glamour
hollywoodien de l’époque, ses photographies
révèlent des mises en scènes minutieusement
construites, qui oscillent de manière troublante
entre fantasme et réalité – une esthétique désormais emblématique de la pratique photographique d’Alex Prager.
En 2010, à la galerie Michael Hoppen à Londres,
Alex Prager présente Week-End, exposition où
figure son premier film intitulé Despair (Désespoir).
Alors qu’elle n’avait jamais envisagé de passer à
l’image animée, Alex Prager explique « l’idée derrière [Despair] est que je voulais, l’espace de
quelques minutes, faire vivre un de mes clichés ».
Dès Despair, elle donne une importance majeure
à la musique de ses films, qu’elle confie au compositeur et chef d’orchestre Ali Helnwein. Il composera par la suite tous les thèmes musicaux de
Alex Prager portrait
by Jeff Vespa © 2013
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Alex Prager was born in 1979 in Los Angeles,
where she lives and works. At the age of thirteen,
after moving to Florida with her family, Prager left
high school and moved to Switzerland, where she
worked in a knife shop. Prager spent most of her
time as a teenager between Los Angeles, Florida,
Lucerne, in Switzerland and travelling around
Europe. By her early twenties, inspired by the
colour photography of William Eggleston exhibited at the J.Paul Getty Museum in Los Angeles,
Prager resolved to teach herself photography
and bought her first camera and darkroom
equipment. Six months later she had her first
exhibition held in a hair salon. Encouraged by
the success of this first encounter with the public,
she carried on experiencing the medium of photography with sagacity.
In 2007, her first solo exhibition Polyester attracted much attention, with the Los Angeles Times,
in particular, writing a review about it. Depicting
women wearing 1950s-inspired wigs combined
with the glamour typical of mid-centur y
Hollywood movies, each of her photographs
reveals an intricate mise-en-scène that hovers
between reality and fantasy, aesthetics which
have since become characteristic of Prager’s
photographic practice.
In 2010 Prager exhibited Week-End at Michael
Hoppen Gallery, which included her first film
work, entitled Despair. Even if she never thought
being a director before, Alex Prager commented,
“the idea behind [Despair] is that I wanted to
bring one of my photographs to life for a few
minutes”. Starting with Despair, she has placed
major emphasis on her films’ music, created for
her by composer and director Ali Helnwein. Since
then, the latter has composed the musical scores
for all of Prager’s films including her 2013 Face
in the Crowd, which was first shown at the
Corcoran Gallery in Washington.
Untitled (Parts 1), 2014
Archival pigment print
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
ses films, dont en 2013, Face in the Crowd, qu’elle
a présenté pour la première fois à la Corcoran
Gallery de Washington.
Réalisé en studio début 2013, Face in the Crowd
est l’œuvre la plus complexe jamais créée par Alex
Prager. La photographe y met en scène des centaines de comédiens, sur fond de décors de
cinéma, créant ainsi d’immenses tableaux vivants
au sein de divers espaces publics : halls d’aéroports
ou d’immeubles, salles de cinémas… Personnages
et costumes, coiffures et poses sont minutieusement choisis par l’artiste de façon à évoquer des
époques allant des années 1950 à nos jours.
Caractérisés par des couleurs saturées, une théâtralité puissante et un humour grinçant, les photographies et films d’Alex Prager, renvoient à une
narration sous-jacente, qui maintient à la fois une
certaine ambiguïté et une intensité émotionnelle
singulière. Les mises en scènes d’Alex Prager
puisent dans une mémoire visuelle collective dont
les influences et les références vont du cinéma
hollywoodien au film d’art et d’essai en passant
par la pop culture et la photographie de rue.
Étranges quoique familières, ses images plongent
le spectateur dans un univers intemporel à michemin entre fiction et réalité.
Les photographies d’Alex Prager ont été publiées
dans de nombreux magazines tels que Foam,
Vogue, W, Garage, Art in America ou le New York
Times Magazine. En outre, ses œuvres photographiques figurent dans les collections permanentes
de plusieurs grands musées, dont le Musée d’Art
Moderne de New York, le Whitney Museum of
American Art, le Musée d’Art Moderne de San
Francisco, le Kunsthaus de Zurich, et le Moderna
Museet de Stockholm, entre autres.
Shot on a Los Angeles soundstage in early 2013,
Face in the Crowd is Prager’s most complex work
to date. The artist directed hundreds of actors
on constructed sets to create portraits of large
crowds at the airport terminals, lobbies, beaches,
movie theaters, and other public spaces. The
characters, clothing, hairstyles, and poses are
carefully chosen by the artist to convey a range
of time periods from mid-century to present.
Characterized by deeply saturated colors, heightened drama, and dark humor, Prager’s photographs hint at narrative subtexts while maintaining a sense of ambiguity and self-contained
emotional intensity. Prager’s staged scenes tap
into a shared cultural memory drawing inspiration
from a wide range of influences and references
including Hollywood cinema, experimental films,
popular culture and street photography. Her familiar yet strange images suggest a sense of timelessness while also creating a world that synthesizes
fiction and reality.
Prager’s work has been featured in publications
such as Foam Magazine, the New York Times
Magazine, American Vogue, W Magazine, and
Art in America. Additionally, her photographs are
in the permanent collection of several major
museums, including the Museum of Modern Art,
New York, the Whitney Museum of American Art,
the San Francisco Museum of Modern Art,
Kunsthaus Zurich, and Moderna Museet,
Stockholm, among others.
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SÉLECTION D’EXPOSITIONS
SELECTED EXHIBITIONS
EXPOSITIONS PERSONNELLES
SOLO SHOWS
EXPOSITIONS COLLECTIVES
GROUP SHOWS
Lehmann Maupin, Hong-Kong.
Goss Michael Foundation, Dallas.
Istanbul ’74, Beyoglu, Istanbul.
Not Really, the Castle Gallery, College of New Rochelle,
New York ; Landmark Atrium, Hong Kong.
Open Rhapsody, Beirut Exhibition Center, Beirut.
Coming into Fashion : A Century of Photography at
Conde Nast, Amon Carter Museum of Art, Fort Worth.
Burn with Desire : Glamour in Photography and Film,
Ryerson Image Center, Toronto ; Foam Art Museum,
Amsterdam.
2015
2014
National Gallery of Victoria, Melbourne.
Arts Club, London.
Face in the Crowd, Lehmann Maupin, New York.
M+B Gallery, Los Angeles.
2013
Face in the Crowd, Corcoran Gallery of Art,
Washington D.C.
Mise-en-scène, SCAD Museum of Art, Savannah.
2012
Compulsion, Foam Museum, Amsterdam.
M+B Gallery, Los Angeles.
Yancey Richardson Gallery, New York.
Michael Hoppen Gallery, London.
2010
Week-end, Michael Hoppen Gallery, London.
M+B Gallery, Los Angeles.
Yancey Richardson Gallery, New York.
Despair, Project Gallery, Yancey Richardson Gallery,
New York.
2009
The Big Valley, Yancey Richardson Gallery, New York.
2008
The Big Valley, Michael Hoppen Gallery, London.
2007
Polyester, Robert Berman Gallery, Santa Monica.
2015
2014
Melting Walls, the Ighal Ahouvi Art Collection, Tel Aviv.
The Noir Effect, Skirball Cultural Center, Los Angeles.
Under the Skin, Lehmann Maupin, Hong-Kong.
Coming into Fashion : A Century of Photography
at Conde Nast, Palais Galliera, Paris ; Museum Bellerive,
Zürich ; Norton Museum of Art, West Palm Beach, FL.
Total Art, National Museum of Women in the Arts,
Washington D.C.
2013
Color ! American Photography Transformed,
Amon Carter Museum, Fort Worth.
AIPAD Photography Show, New York.
2012
State of the Art – New Contemporary Photography,
NRW-Forum, Düsseldorf.
2011
No Fashion, Please : Photography between Gender
and Lifestyle, Kunsthalle Wien, Vienna.
Embarrassment of Riches: Picturing Global Wealth,
2000 2010, Nerman Museum of Contemporary Art,
Kansas.
2010
New Photography 2010, Museum of Modern Art,
New York.
Embarrassment of Riches : Picturing Global Wealth,
2000 2010, Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis.
A Shaded View on Fashion Film Festival,
Centre Pompidou, Paris.
2009
Pro’jekt LA : Facing West, Lucie Foundation, Space
15twenty, Los Angeles.
Culver City, 2014
Archival pigment print
2008
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
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Incognito, Santa Monica Museum of Art, Santa Monica.
PROGRAMMATION HORS LES MURS
HORS LES MURS PROGAMME
Face in the Crowd, 2013
Acrylic on canvas on panel
Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
Parallèlement à l’exposition Alex Prager
à la Galerie des Galeries, inaugurée au moment
de la FIAC, les films d’Alex Prager seront présentés
dans la programmation Hors les Murs de la foire.
In conjunction with her exhibition at Galerie
des Galeries, which will open during the FIAC,
films by Alex Prager will be shown in the context
of FIAC’s “Hors les Murs” programme.
AUDITORIUM DU GRAND PALAIS
GRAND PALAIS AUDITORIUM
Vendredi 23 octobre 2015
de 18h30 à 20h
Projection des films courts Despair (2010),
La Petite Mort (2012), et Face in the Crowd (2013),
suivie d’une conversation avec l’artiste.
Friday October 23, 2015
from 6:30pm to 8pm.
Screening of short films Despair (2010),
La Petite Mort (2012), and Face in the Crowd (2013),
followed by a conversation with the artist.
Accès libre dans la limite des places disponibles.
Adresse : Grand Palais, entrée par la Rotonde
Alexandre III, 75008 Paris
Free admission – Limited number of places
available.
Address: Grand Palais, Rotonde Alexandre III
Entrance, 75008 Paris
CINÉPHÉMÈRE
Dans le cadre du projet Cinéphèmere qui
se déroule dans le jardin des Tuileries, 2 séances
de projection de films d’Alex Prager sont prévues
afin de découvrir son univers.
Accès : sur inscription auprès de l’hôtesse
à l’entrée du Cinéphémère.
Plus d’informations sur galeriedesgaleries.com
Adresse : Container dans le jardin des Tuileries,
entrée Concorde, 75001 Paris
Pour sa 42e édition, la FIAC, évènement
incontournable en faveur de la création
artistique, confirme son statut de foire
internationale majeure. Du 22 au 25 octobre,
elle accueille au Grand Palais 174 galeries venues
de 23 pays, présentant un panorama de l’art
moderne, de l’art contemporain et de la création
émergente. Plus d’informations sur :
http://www.fiac.com/paris
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CINÉPHÉMÈRE
Two of Alex Prager’s films are scheduled to be
shown as part of the Cinéphémère project, held
in the Tuileries garden, allowing the public to
discover the artist’s universe.
To access theater, register with hostess
at the Cinéphémère entrance. More information
available at galeriedesgaleries.com.
Address: freight container in the Tuileries Garden,
Place de la Concorde entrance, 75001 Paris
For its 42nd edition, FIAC, a major showcase
for artistic creation, continues to develop,
and confirms its status as a leading international
art fair. From October 22nd to October 25th,
FIAC at the Grand Palais features 174 galleries
from 23 countries, presenting modern art,
contemporary art and emerging trends.
See more at: http://www.fiac.com/paris/en
GALERIE DES GALERIES
GALERIE DES GALERIES
CONTACTS
PRESSE / PRESS
La Galerie des Galeries est l’espace culturel des
Galeries Lafayette Haussmann. Située au 1er étage,
elle a pour ambition de faire découvrir à ses visiteurs les talents d’aujourd’hui et de demain.
Constituée de 4 expositions par an autour de la
création française et internationale, sa programmation cherche à mettre en valeur la transversalité qui existe entre la mode, les arts plastiques et
le design, disciplines qui inspirent depuis toujours
les Galeries Lafayette.
Galerie des Galeries is the cultural space of
Galeries Lafayette in Paris. Located on the 1st floor,
the space was designed to encourage visitors to
discover talented young artists of today and
tomorrow. The Galerie des Galeries’ program,
organized around 4 annual exhibitions devoted
to both French and international artists, aims to
highlight the interdisciplinarity that exists
between different fields of artistic endeavor
which have always inspired Galeries Lafayette,
including fashion, the visual arts and design.
GALERIE DES GALERIES
Elsa Janssen
Directrice Événements culturels
et Galerie des Galeries
Cultural Events and Galerie des Galeries Director
+33 1 42 82 81 98
FRANCE
2e BUREAU
Marie-Laure Girardon
[email protected]
+33 1 42 33 93 18
MÉDIATION AUPRÈS DES PUBLICS
Des visites seront proposées sur réservation par
l’équipe de la Galerie des Galeries, et permettront
au visiteur d’être accompagné dans sa découverte de l’exposition. Pour réserver et en savoir
plus : [email protected]
GUIDED TOURS
Guided tours, available upon request, will be
conducted by Galerie des Galeries’ team,
allowing visitors to go further in their discovery
of the exhibition. Booking and details :
[email protected]
Perrine Muzumdar et Patricia Falandysz
Responsable Communication et chargée
de communication
Communication Manager and officer
[email protected]
[email protected]
+33 1 42 82 85 38
Océane Le Corre-Féral
Chargée du Multimédia et des éditions
Multimedia and Editions Officer
[email protected]
+33 1 42 82 35 76
Marie Ferré
Médiatrice culturelle
Visits and cultural Mediation Officer
[email protected]
+33 1 42 82 87 98
INTERNATIONAL
Fouchard Filippi Communications
Philippe Fouchard
[email protected]
+33 1 53 28 87 53
GALERIE DES GALERIES
1er étage / 1st floor
Galeries Lafayette
40 BD Haussmann 75009 Paris
+33 1 42 82 81 98
Entrée libre / free admission
Du mardi au samedi de 11h à 19h
From Tuesday to Saturday 11am – 7pm
Visuels presse
La reproduction et la représentation des images
de la sélection du dossier de presse est autorisée
dans le cadre de la seule promotion du projet
à la Galerie des Galeries et pendant la durée de celle-ci.
Reproduction or broadcasting of images selected
for the press kit is solely authorized in the context,
and for the duration, of the promotion for the
Galerie des Galeries project.
Visuels sur demande et téléchargeables sur :
Downloadable high-resolution images at :
galeriedesgaleries.com
Visuel de couverture : Alex Prager, Hazelwood #2 (after Steven Siegel),
2014. Archival pigment print. Courtesy the artist and Lehmann Maupin,
New York and Hong Kong
16
Conception graphique : Amélie Doistau et Marlène Scharr
#alexprager