Pas de Venture Capital mais une introduction en bourse directe

Pas de Venture Capital mais une introduction en bourse directe
Louis THANNBERGER Fondateur d’Europe Finance et Industrie
21st Century Business Herald
Le 19 Juillet 2008
Par XIAO Shi
(extraits)
“Ce n’est plus la peine de chercher capital risqueur et broker, mais une introduction
directe en bourse”, lançait-il dès qu’il avait vu les journalistes, Monsieur Louis
Thannberger – est « le père du Second Marché » d’Euronext. Depuis 20 ans, il a
créé sa propre Investment Bank « Europe Finance et Industrie », a introduit avec
succès 400 entreprises en bourse sur Euronext dans des différents compartiments :
Eurolist, Alternext et Marché Libre. Le montant total de la capitalisation boursière de
ces 400 introductions en bourse dépasse 10 milliards d’euros.
« Maintenant nous concentrons nos efforts sur les entreprises chinoises » , LOUIS ne
cache pas son objectif . Le 7 Juillet dernier, cet introducteur a reçu au Palais de
l’Elysée à l’initiative de Nicolas Sarkozy, Président de la République Française, la
médaille de la Légion d’Honneur. Cette récompense a été créée en 1802 par
Napoléon 1er pour remercier tous ceux qui ont apporté contribution à la patrie.
En avril dernier, LOUIS était à ShenZhen et avait participé à une conférence, lors du
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rachat par la Société chinoise DeLin de Parchin Aeroport allemand. Il a rencontré le
PDG de la société chinoise et s’est entretenu avec lui sur une double cotation à Paris
/ Franckfort. Selon LOUIS, l’exception des groupes tel que DeLin qui développe des
affaires en Europe, les petites et moyennes entreprises chinoises ont une réelle
chance de se développer en Europe. En particulier des entreprises privées, des
entreprises de propriétaire, dans les secteurs de l’environnement, de l’énergie, de son
renouvellement , etc. Elles pourront être introduites d’abord sur le Marché Libre à
Euronext,
pour procéder par étape pour des levées de fonds.
Une IPO “libre”
LOUIS a des mots assez durs pour parler des « capital risqueur » et de certaines
opérations boursières qui n’ont pour objectif que de récupérer leurs commissions au
lieu de penser au développement propre de l’ entreprise.
De la peur à l’initiative
En réalité, depuis 2007, EFI a déjà introduit 4 sociétés chinoises en bourse. Mais
l’ambition d’EFI ne s’arrêtera pas là.
« Il y a cinq ans, les Français avaient peur du développement de la Chine, mais
maintenant une fois la peur passée, nous voulons saisir l’opportunité qu’offre le
marché chinois pour en introduire toujours plus. » A confié LOUIS aux journalistes.
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