Données de remboursement - Institut Des Données De Santé
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Données de remboursement - Institut Des Données De Santé
Vendredi 10 octobre 2008 N° 3330 REVUE DE PRESSE DÉMOGRAPHIE MÉDICALE: DIFFICILE NÉGOCIATION Cpage 3 agence fédérale d’information mutualiste PRIORITÉ SANTÉ MUTUALISTE : NOUVELLE VAGUE Une seconde vague de parution de la campagne de communication institutionnelle Priorité santé mutualiste démarre aujourd’hui dans la presse quotidienne des deux régions de rodage. Les trois visuels de la campagne paraîtront tout au long du mois d’octobre dans les principaux titres de Bretagne (OuestFrance, Le Télégramme de Brest) et de Languedoc-Roussillon (Midi libre, La Dépêche du Midi…), ainsi que dans leurs suppléments du week-end (Version Femina, TV Magazine). Pour en savoir plus sur le plan média : site « Communication » de Mutweb, puis « Stratégie et campagnes », « Priorité santé mutualiste ». Données de remboursement : pas de doute sur l’anonymat L’accès aux données de remboursement permettrait aux mutuelles de mieux gérer le risque. En cours d’expérimentation, celui-ci se fait dans de strictes conditions d’anonymat et de sécurisation validées par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Explication avec Daniel Lenoir, directeur général de la Mutualité française. Dans le protocole qu’elle a signé le 28 juillet avec l’Etat, la Mutualité française demande l’accès anonymisé aux données de remboursement. Qu’appellet-on précisément «données de remboursement»? Daniel Lenoir – Tout d’abord, il ne faut pas confondre données de remboursement et données de santé. Les données de santé sont des données médicales, qui figurent dans le dossier médical du patient. Ce n’est pas ce que nous demandons. Nous souhaitons l’accès aux données de remboursement, qui ne mentionnent ni l’identité du patient, ni sa pathologie. Il est seulement indiqué l’ensemble des actes remboursés: médicaments, examens complémentaires… Ces données générales, agrégées et anonymisées, sont contenues dans le Système national d’informations interrégimes de l’assurance maladie (Sniiram). Il regroupe les données de remboursement de l’ensemble des régimes obligatoires et est une véritable mine d’informations. C’est pourquoi, la Mutualité demande l’accès au Sniiram, alors qu’aujourd’hui seule l’Union nationale des organismes d’assurance maladie complémentaire (Unocam) dispose de cet accès. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), garante du respect de la confidentialité, a donné son accord et nous attendons la sortie d’un arrêté modifiant les accès au Sniiram. Ces données sont essentielles pour une meilleure gestion du risque, pour réaliser des projections et des simulations. Elles permettraient, par exemple, de mesurer les effets sur l’accès aux soins de dispositifs tels que les franchises ou le forfait de 18 euros… La Mutualité a lancé des expérimentations «Babusiaux», qui portent Aujourd’hui, une mutuelle sait qu’elle rembourse un médicament à vignette bleue ; grâce aux données détaillées, elle saura qu’elle rembourse un veinotonique, sa marque, sa forme galénique… sur un échantillon d’adhérents. La confidentialité et l’anonymat sont-ils également garantis dans ce cadre? Daniel Lenoir – Nous avons en effet lancé en 2007, avec l’accord de la Cnil, une série d’expérimentations associant quatre mutuelles et six pharmacies mutualistes, afin de recueillir des informations sur la consommation pharmaceutique des adhérents. Ces informations sont totalement anonymisées et sécurisées. Les données sont transmises aux mutuelles via un tiers de confiance, une «boîte noire» qui garantit l’anonymisation et le cryptage des données. En aucun cas, les mutuelles ne peuvent ••• VIE FÉDÉRALE ••• remonter jusqu’à leurs adhérents. Il faut savoir que ce dispositif a été audité par la direction centrale de sécurité des systèmes d’information du ministère de la Défense, qui est indiscutablement experte en matière de sécurisation des échanges informatiques. Ces expérimentations permettent de recueillir des données de remboursement plus fines que celles du Sniiram. Aujourd’hui, une mutuelle sait qu’elle rembourse un médicament à vignette bleue; grâce aux données détaillées, elle saura qu’elle rembourse un veinotonique, sa marque, sa forme galénique, etc. Nous lançons aujourd’hui une étude pour la généralisation du dispositif «Babusiaux», qui sera soumise à la Cnil. Mais, je le répète, il n’est pas question d’utiliser des informations nominatives. La Mutualité est opposée à toute levée d’anonymat, qui serait contraire à ses valeurs. L’accès à ces données permettrait donc une meilleure gestion du risque? Daniel Lenoir – Tout à fait! A l’heure actuelle, lorsqu’une mutuelle rembourse un acte, par exemple un acte de chirurgie, elle rembourse à l’aveugle, c’est-à-dire qu’elle ne sait pas de quel acte il s’agit. L’accès aux données détaillées de remboursement nous permettrait tout simplement de sortir de notre situation de payeur aveugle de construire une véritable politique de gestion du risque. C’est-à-dire? Daniel Lenoir – En accédant à ces données fines, les mutuelles seraient capables d’ajuster leurs prestations aux besoins des adhérents, et faire d’autres choix que ceux de l’assurance maladie obligatoire. Prenons un exemple: les médicaments à service médical LA MUTUALITÉ FRANÇAISE MET EN PLACE SON PROPRE SYSTÈME DE DONNÉES La loi du 13 août 2004 a créé, sur proposition de la Mutualité française après son congrès de Toulouse, un Institut des données de santé (IDS). Il garantit la disponibilité et la qualité des données de santé pour l’ensemble des acteurs du système. Pour contribuer à alimenter l’IDS, la Mutualité a décidé de se doter d’un système national de données mutualiste (SNDM), constitué par les données, codées et anonymisées, des mutuelles. Le SNDM permettra à la fois d’obtenir une vue de la consommation et des garanties de l’ensemble des mutuelles (données agrégées), et d’étudier, sur un petit échantillon d’adhérents, la consommation détaillée, par type de soins (optique, médicaments…), toujours de manière sécurisée et anonymisée. L’objectif est d’adapter les garanties aux besoins réels des adhérents. Une première évaluation du SNDM sera menée d’ici la fin 2008. S. D. rendu insuffisant (SMRI). Parce qu’elles auraient la possibilité de les identifier, les mutuelles pourraient choisir de ne plus rembourser certains médicaments à SMRI ou de rembourser certains médicaments au prix du générique. Ce sont des hypothèses que nous avons testées dans le cadre des expérimentations «Babusiaux». Une première simulation a montré que les mutuelles participant à ces expérimentations seraient susceptibles de dégager une marge de manœuvre de 6,2 % de leur ticket modérateur pharmacie, ce qui est considérable! Toutefois, le but recherché n’est pas d’abord de faire des économies mais de mieux utiliser les ressources. Ces sommes pourraient être consacrées à des prestations plus adaptées à leur population d’adhérents. Ces données sont tout simplement essentielles pour piloter la gestion du risque dans les mutuelles et maîtriser l’évolution des cotisations. Il ne s’agit en rien de pratiquer une sélection des risques! Propos recueillis Cpar Sabine Dreyfus Mutuelle Bleue: «courir pour Curie» La Mutuelle Bleue a organisé le 5 octobre, à Vincennes (Val-deMarne), une course baptisée «Odysséa, courir pour Curie», au profit de la lutte contre le cancer du sein. Elle a réuni depuis 2002 30000 participants et permis de récolter 165000 euros reversés à l’Institut Curie. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre du projet de prévention contre le cancer intitulé «Passeport pour la santé». Stéphanie Arregros: 0164713974 Matmut: partenariat avec Pasteur Imprimer cet article en format texte La Matmut a signé le 24 septembre un partenariat avec l’institut Pasteur. Dans le cadre d’une convention 2008-2009, la mutuelle apporte à cet organisme un soutien financier de 100000 euros. «Ces fonds permettront notamment de financer les travaux des centres nationaux de référence et de contribuer au Pasteurdon 2009», indique un communiqué commun. Guillaume Buiron: 0235637063 VENDREDI 10 OCTOBRE 2008 • N° 3330 • 2 REVUE DE PRESSE Démographie médicale : difficile négociation R éunis hier pour une première séance de négociations, l’assurance maladie et les syndicats de médecins n’ont pas trouvé de terrain d’entente. Mais ils ont jusqu’à la fin décembre pour s’accorder, notamment, sur les moyens d’obtenir une meilleure répartition des médecins sur le territoire. « Faute de quoi, le gouvernement reprendra la main », explique La Tribune (page 22). L’encadrement des dépassements d’honoraires devait également être à l’ordre du jour de la rencontre. Mais un report « a été demandé – et obtenu – par les complémentaires santé qui, c’est une nouveauté, ont été autorisées à participer à cette négociation », explique le quotidien économique. La création d’un secteur optionnel pourrait limiter les dépassements. Comme l’explique La Tribune, le gouvernement « estime que cela permettrait d’améliorer l’accès aux soins, les dépassements d’honoraires n’étant pas remboursés par la Sécurité sociale et intégralement remboursés par les complémentaires santé ». Dans l’ensemble, les négociateurs ne semblent toutefois pas hostiles à son principe. Ils ont seulement « du mal à s’accorder sur son périmètre » et sur son articulation avec les secteurs 1 et 2. Pour ce qui est du chantier de la démographie médicale, « il n’a guère avancé », souligne Le Figaro (page 20). Pourtant, explique le quotidien, l’assurance maladie a confirmé l’instauration de certaines mesures visant à inciter l’installation ou le maintien de médecins dans les zones sous-médicalisées. Les majorations tarifaires font partie de ces propositions. Dans le même temps, l’assurance maladie veut pénaliser les médecins qui s’installeraient dans des zones surdotées. « Elle propose en particulier une baisse de la prise en charge des cotisations sociales des médecins qui appliquent les tarifs Sécu », avertit le journal. C’est évidemment le point d’achoppement avec les médecins. Pour le secrétaire général de MG-France, Pascal Menguy, « c’est un mauvais signal, il faut au contraire consolider le secteur 1 ». Il propose la création d’un « contrat de solidarité » : les médecins en zones surmédicalisées qui refuseraient d’assurer des vacations en zones sous-médicalisées devraient par exemple payer une taxe. La CSMF et le SML sont sceptiques. SOCIAL – « La crise fait craindre un nouveau dérapage des finances publiques.» Dans son rapport sur la loi de programmation des finances publiques de 2009 à 2012, le député UMP Gilles Carrez estime qu’avec la «croissance molle» prévue pour 2010-2011, le déficit atteindrait 3 % du PIB dès 2009. La dette publique devrait donc être bloquée autour de 68 % du PIB. Les Echos page 4. – «Luxueuses fiançailles des Banques populaires et des Caisses d’épargne.» Leur rapprochement fait de cette nouvelle entité le deuxième groupe bancaire français. Il est doté de 40 milliards d’euros de fonds propres, de 480 milliards d’épargne et de dépôts, de 8200 agences et près de 100000 salariés. Le Parisien/Aujourd’hui page 4. SANTÉ – « Le vaccin antigrippe disponible. » C’est aujourd’hui qu’arrive dans les pharmacies le nouveau vaccin contre la grippe. Pour la première fois depuis quarante ans, il a entièrement été modifié avec trois nouvelles souches de virus grippaux. Le Parisien/Aujourd’hui page 11. – « Un antidouleur plus puissant que la morphine. » Une équi- QUERELLES DES TARIFS ENTRE HÔPITAUX ET CLINIQUES Alors que les parlementaires s’apprêtent à voter le budget 2009 de la Sécurité sociale, le délégué général de la Fédération hospitalière de France (FHF) leur a fait parvenir un argumentaire qui réclame «l’arrêt de la convergence des tarifs entre le public et le privé ». Comme le rappellent Les Echos (page 4), afin d’harmoniser les prix des prestations, « une loi a fixé le principe de la convergence des tarifs entre le public et le privé d’ici à 2012 ». Comme l’explique le quotidien économique, « le gouvernement a demandé en 2005 à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) de mener seize études pour analyser dans le détail les écarts de coûts entre le public et le privé ». A ce jour, trois études seulement ont été menées. Faute de données fiables, signalent Les Echos, la polémique se ranime entre ces deux catégories d’établissements. Pour la FHF, si les tarifs de l’hôpital public sont plus élevés, c’est parce que les coûts supportés ne sont pas les mêmes. En effet, les urgences sont par exemple assurées à 90 % par les hôpitaux publics. Les pathologies lourdes, «moins rentables et plus incertaines», sont également supportées par le public. Pour le délégué général de la Fédération de l’hospitalisation privée, ces éléments «n’expliquent pas la différence énorme qui existe entre le public et le privé». CFrédéric Lavignette pe de chercheurs américains vient de découvrir que la phosphatase acide prostatique (PAP), une enzyme connue depuis 1938, avait la vertu de supprimer la douleur huit fois plus longtemps que la morphine. Le Figaro page 11. – «Baxter: une approche multiforme de l’innovation.» Le groupe américain s’apprête à entamer un essai clinique de phase III dans le traitement de la maladie d’Alzheimer avec un de ses produits, commercialisé en Europe sous le nom de Kiovig®. Les Echos page 21. – «Méningite: cela reste donc un mystère.» Une fillette de 21 mois est décédée hier d’une méningite dans la région de Dieppe. Malgré une étude réalisée auprès de 3000 habitants des environs, rien n’explique l’origine de la surendémie d’infections invasives à méningocoques observées dans cette région depuis quelques années. Le Parisien/Aujourd’hui page 11. ET AUSSI ● L’assurance maladie a émis hier un avis négatif sur le projet de loi «Hôpital, patients, santé et territoires». Le Figaro page 20. ● Marie-Sophie Houis-Valletoux est nommé directrice santé et prévoyance de Maaf Assurances. Les Echos page 10. VENDREDI 10 OCTOBRE 2008 • N° 3330 • 3 L’AFIM EN PRATIQUE Réception de l'Afim. ● L’Afim vous envoie chaque jour un courriel vous signalant la mise à disposition du numéro du jour, accompagné de son sommaire. Ce message vous invite à cliquer sur un lien hypertexte. ● Si nécessaire, lancez votre navigateur Internet (Internet Explorer ou Mozilla Firefox) puis cliquez sur ce lien. Vous accédez alors un espace de téléchargement sans avoir à saisir de mot de passe. ● Le bulletin s’ouvre automatiquement à l’écran en format PDF. Pour l'enregistrer sur votre disque dur, utilisez la fonction « Enregistrer une copie » du logiciel Adobe reader. Vous pouvez aussi, dans le menu, cliquer sur la petite icône représentant une disquette. Problèmes les plus fréquents. ● Le lien vers le bulletin de l’Afim n’est pas cliquable : copiez-le directement dans la barre d'adresse de votre navigateur Internet pour accéder à l’espace de téléchargement de l’Afim. Si vous ne voulez pas quitter votre messagerie Internet, ouvrez au préalable une nouvelle fenêtre ou un nouvel onglet. ● Un message d’erreur s’affiche quand vous cliquez sur le lien : lancez votre logiciel de navigation Internet et recliquez sur le lien. ● Le fichier PDF affiche un message d’erreur ou contient des signes cabalistiques : votre version d’Adobe reader® est trop ancienne. Téléchargez gratuitement une version plus récente sur le site : www.adobe.com/fr ● L’Afim arrive avec retard dans votre boîte aux lettres : prenez contact avec votre fournisseur d’accès, qui est responsable de la délivrance de votre courrier électronique. ● La réception quotidienne s'est interrompue brutalement : avant de nous contacter, vérifiez que votre filtre « anti-spam » (courrier indésirable) ne rejette pas automatiquement le message d’envoi de l’Afim. Demandez conseil à votre service informatique. Changement d’adresse. Afin d’éviter une interruption dans votre abonnement, n’oubliez pas de nous informer si vous avez une nouvelle adresse électronique. Pour cela, rendez-vous sur Mutweb, rubrique « Inscrivez-vous » puis « Modifier mon inscription Afim ». Abonner un ami. Si vous souhaitez abonner un mutualiste, rendez-vous sur Mutweb, rubrique « Inscrivezvous » puis « Inscrire un autre mutualiste à l’Afim ». Si le nouvel abonné n’est pas un mutualiste, envoyez-nous par courriel ses coordonnées : nom, prénom, fonctions, adresse électronique, téléphone et télécopie, code postal. Contact : christelle.cochet@ mutualite.fr Transmettre une information à l’Afim. Les correspondants Afim, qui assurent l’interface entre leur groupement et la rédaction, MOTS CROISÉS N° 131 11 22 33 44 55 66 par Briac Morvan 77 88 99 10 10 11 11 I I II II IIIIII IV IV VV VI VI VII VII VIII VIII IX IX HORIZONTALEMENT: I. Alias alicament. II. Regroupé. Belle normande. III. Solide fourchette. Note. Désigné pour la charge. IV. Destination de vacanciers. Son coup sonne la reprise. Equateur en ligne. V. Maladies génétiques. VI. Grande école. Elle fend la lame. VII. Coiffure du Vatican. Clama haut et fort (s'). VIII. Nous trouvions. Val pyrénéen ou îles irlandaises. IX. Utiliseraient l'étamine. VERTICALEMENT: 1. Glandes masculines du genre féminin. 2. Rendit. 3. Tramerais. 4. Bibliothèque de l'UE sans papier. Financier hongro-américain. 5. Romains de Sicile. Feu vert. Cap pour la vedette. 6. Piaf ou Marion Cotillard (la). Strontium. 7. Fête catholique. 8. Elle fut envoyée paître. Crevassai les lèvres. 9. Relatif. Politique français ou land allemand. 10. Ouellé. Boris, chanteur. 11. Coûtant les yeux de la tête. ont leur espace réservé sur Mutweb : site « Information et communication », rubrique « Afim » puis « Réseau des correspondants ». Si vous n’êtes pas correspondant Afim mais que vous souhaitez nous faire part d’une expérience originale de votre mutuelle, adressez un courriel à la rédaction : jean-michel.molins@ mutualite.fr, [email protected], christophe.delamure@ mutualite.fr. Vous n’avez pas reçu l’Afim du jour. Première solution : aller télécharger le bulletin sur le portail d’accueil de Mutweb. Si vous n’avez pas accès à l’Extranet de la FNMF, indiquez-nous le numéro qui vous manque par courriel à l’adresse suivante : christelle.cochet@ mutualite.fr Ecrire à l’Afim. L’adresse électronique [email protected] est une boîte aux lettres qui sert à l’envoi de l’Afim mais pas à la réception de courrier. Pour nous écrire, ne cliquez donc jamais « Répondre » à notre message : votre courrier risque de ne jamais nous parvenir. Reportez-vous plutôt à la dernière page du bulletin, qui comprend tous les renseignements pour signaler une mauvaise réception ou adresser un message à la rédaction. La rubrique « L'Afim en pratique » est publiée in extenso chaque vendredi. AFIM. 255, rue de Vaugirard. 75719 Paris cedex 15. Télécopie: 01 56 08 40 04. www.mutualite.fr. FNMF, organisme régi par le Code de la Mutualité. 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