INFO RÉSEAU PARIS No 23
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INFO RÉSEAU PARIS No 23
������������ N o 23 � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � �h�t�t� p� :� /� /� d� a� f� c� o� .� �s �c �o �l �a �. �a �c �- �p�a�r�i�s�.�f�r Édito Chaque printemps, la publication des comptes financiers des GRETA permet de dresser un bilan précis de l’activité conduite au cours de l’année civile antérieure. Et les chiffres de l’année 2005 confortent l’optimisme relatif des bilans que nous avons tracés récemment pour la période 2001-2004. Personne n’a oublié pourtant les difficultés auxquelles le réseau est confronté depuis deux ans, et les craintes que nous formulions d’une forte baisse d’activité, notamment du fait de la disparition des contrats de qualification. Pourtant, la baisse d’activité se révèle finalement modérée, sensiblement inférieure à nos prévisions, et le bilan 2005 peut donc être qualifié d’encourageant. Ainsi la conjugaison d’une politique académique explicite et ses plans d’action, d’une forte mobilisation des acteurs, et peut-être d’un contexte moins défavorable que dans d’autres académies aura-t-elle permis une fois encore de traverser les turbulences sans trop de dommages. Par-delà ces motifs de satisfaction, je voudrais mettre ici l’accent sur un axe de progrès souhaitable. Nos collègues des régions envient le contexte professionnel parisien qui offre un ensemble d’atouts indéniables : proximité géographique des C.F.C., spécialisation des GRETA et leur appui sur des établissements prestigieux, possibilités accrues de travail en réseau, facilité à valoriser l’offre globale de formation… Attachons-nous à tirer un profit meilleur de ces atouts de proximité, et à mutualiser plus efficacement nos ressources et nos efforts : ce sera une manière aussi de mieux progresser, ensemble, vers nos objectifs communs. Contact : Michel DUBOEUF Délégué académique à la formation continue T 01 44 62 39 02 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 1 44, rue Alphonse Penaud Actualité Compte rendu de la journée ERIF Montpellier - 6 avril 2006 Thème de la rencontre : « L’ingénierie du service global aux clients : pourquoi, comment et avec quelles incidences sur nos organisations internes » Cette rencontre a permis d’échanger sur les expériences menées et les actions mises en oeuvre par les académies de Lille et Grenoble pour répondre au nouveau contexte de la réforme (législation, mutation de la formation, évolution des marchés). Dans les deux cas présentés il s’agissait de mettre en place des démarches pour rendre plus lisible l’offre de formation dans les domaines de l’orientation, du bilan et du conseil aux entreprises en matière de mobilité professionnelle et d’accompagnement des parcours professionnels. Pour faire face aux nouvelles exigences des prestataires les deux académies ont établi les constats suivants : Construire des parcours de professionnalisation suppose ❖ une expertise en matière d’ingénierie de formation ❖ une capacité à inventer des solutions innovantes, à mobiliser et à adapter des réalisations qui ont fait la preuve de leur efficacité ❖ une capacité à revoir régulièrement son offre de service en fonction des évolutions du contexte ❖ une réactivité dans la construction des réponses. Ces conditions préalables sont requises pour répondre aux demandes émergentes des entreprises qui s’orientent de plus en plus vers des prestations globales incluant le bilan, l’évaluation, l ‘accompagnement VAE et la formation. Pour rester positionnés sur le marché de la formation, les GRETA doivent dorénavant être capables de construire une réponse globale qui vise à optimiser et individualiser les parcours, à mettre en cohérence les différentes prestations et à réduire les parcours et les coûts. Pour ce faire, sont nécessaires une restructuration des activités, et une adaptation importante pour faire évoluer les organisations sur le plan pédagogique, RH, commercial, financier et partenarial. Pour répondre à ces nouvelles données, la stratégie adoptée par les deux académies a été de rentrer dans une logique de réseau pour pouvoir présenter un éventail de prestations complémentaires et articulables : bilanorientation, positionnement, VAE, formation, certification, aide à l’insertion ou maintien dans l’emploi. Ces prestations ont été coordonnées dans un souci d’efficacité pour les financeurs et les personnes. L’objectif était de se situer dans une perspective de service global ou à la carte grâce à un potentiel de ressources humaines spécialisées clairement repéré sur le réseau. L’ensemble des interventions de cette rencontre est disponible sur le site académique du réseau http://dafco.scola.ac-paris.fr / espace GRETA / vie du réseau. Contact : Laurence de LAVAU T 01 44 62 39 04 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 2 44, rue Alphonse Penaud Cinq Validations du B2i dans le réseau des GRETA de Paris ! D a n s l e cadre du plan de for ma ti on GRETA / DAFCO / GIP-FCIP, ils ont validé leurs compétences de base en informatique et internet : Martine BLANC-RAMEAU, CFC au GIP-FCIP Laurence DEDET, responsable du Pôle ressources du GRETA des Arts Appliqués Bruno FEBVAY, coordonnateur au GRETA GEPS Marie-José PAILLOUX, CFC à GMH Frédéric PERRIN, CFC à la DAFCO Leur formation s’est déroulée au Lycée JeanBaptiste SAY, site bureautique du GRETA TOP, opérateur du B2i. Félicitations à vous cinq ! Pour rappel : vous avez tous la possibilité de valider le B2i ! Contact : Françoise LENICE T 01 44 62 39 64 [email protected] Concrétisation d’une convention de partenariat avec l’OPCAREG Dans le cadre de la convention de partenariat signée le 23 février dernier entre l’OPCAREG et les trois DAFCO d’Ile-de-France, l’OPCAREG propose d’organiser le 30 juin prochain, au titre de la professionnalisation dans les domaines transversaux – tertiaires principalement - une rencontre avec les entreprises adhérentes et des entreprises déjà partenaires des GRETA. Cette manifestation prendra la forme d’un petit déjeuner animé par l’OPCAREG et les GRETA sur le thème des nouveaux dispositifs de la professionnalisation. L’OPCAREG présentera ses modalités de prise en charge de la professionnalisation, les GRETA exposeront leurs missions et démarches pédagogiques ainsi que des exemples de parcours de professionnalisation. Une première rencontre a eu lieu le 15 mai dernier avec un CFC représentant chaque académie – moi-même pour Paris -, le responsable Ressources et Développement et la nouvelle chargée de relation avec les organismes de formation. À cette occasion les GRETA ont pu présenter leur offre globale et l’OPCA ses priorités en terme de professionnalisation pour enfin de décider de l’organisation et du déroulement de l’événement du 30 juin. Dans notre académie l’OPCAREG finance principalement des formations dans les GRETA TOP et GRETA Tertiaire Centre avec lesquels nous réfléchissons à la meilleure présentation de nos parcours de professionnalisation. L’OPCAREG avait adopté la même démarche l’an dernier avec l’AFPA. Dix entreprises avaient participé au petit-déjeuner. Contact : Françoise LENICE T 01 44 62 39 64 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 3 44, rue Alphonse Penaud Les TPE face à l’emploi et la réforme de la formation professionnelle en Ile-de-France formation, la connaissance et la mise en œuvre des nouveaux dispositifs, ainsi que sur les besoins d’accompagnement des TPE. Synthèse Le contexte Dix-huit mois après la mise en place de la réforme de la formation tout au long de la vie, l’AGEFOS PME ILE DE FRANCE a souhaité savoir comment ses adhérents employant moins de dix salariés, avaient intégré dans leurs pratiques, les nouveaux dispositifs, introduits par la loi et les accords : le Droit Individuel à la Formation, les contrats et périodes de professionnalisation, les entretiens professionnels... Plusieurs études ont montré que le degré de connaissance et de mise en œuvre de la réforme dépend étroitement de la taille et de l’activité des entreprises. Il est donc intéressant de pouvoir apprécier le sentiment des TPE adhérentes à l’AGEFOS PME ILE DE FRANCE, qui représentent à elles seules 85 % du portefeuille de l’OPCA. Au-delà de la prise de connaissance sur le degré d’appropriation de la réforme, cette enquête réalisée sur tout le territoire national permettra à l’AGEFOS PME d’adapter son offre de services. La méthode Le diagnostic a été réalisé auprès de 4000 entreprises employant moins de dix salariés, adhérentes à AGEFOS PME, et situées en Ilede-France. Elles ont été interrogées entre la mi-décembre 2005 et la fin février 2006, par téléphone, sur le lieu de travail. Ces entreprises relèvent du domaine interprofessionnel (commerce, services...) ou de branches professionnelles dont la gestion de la formation est confiée à l’AGEFOS PME. L’enquête réalisée a permis d’appréhender le sentiment des TPE face aux perspectives économiques et de mettre en exergue leurs attentes et besoins dans le cadre de l’appropriation des nouveaux dispositifs de la réforme. Depuis l’accord interprofessionnel de 2004, l’AGEFOS PME ILE DE FRANCE s’est appliquée à communiquer auprès de ses entreprises en multipliant les plaquettes sur les nouveaux dispositifs et les réunions d’information. Les résultats de cette enquête démontrent la nécessité de poursuivre cet effort. Moins de la moitié des entreprises, disposent d’un bon niveau de connaissance des dispositifs. Ce chiffre est légèrement supérieur pour le DIF, dispositif le plus médiatisé qui impose par ailleurs de communiquer aux salariés un relevé annuel des heures acquises. La mise en œuvre demeure très faible, avec moins de 20 % des répondants qui ont réellement engagé le processus au sein de leurs entreprises. À noter l’existence d’une pratique significative des entretiens annuels, qui peuvent cependant s’avérer différents, dans leur forme et leur objectif, de l’entretien professionnel prévu par les accords. De manière générale, les attentes d’accompagnement des TPE de l’Ile-de-France sont fortes et variées. L’étude porte sur l’évolution des effectifs, la pratique de recrutement, la politique de INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 4 44, rue Alphonse Penaud La réponse de l’AGEFOS PME aux attentes des TPE AGEFOS PME ILE DE FRANCE s’engage à répondre aux souhaits d’accompagnement des entreprises en renforçant ses services au bénéfice des TPE, dans trois directions. Les supports d’informations ❖ des plaquettes d’information sur l’ensemble des mesures liées à la réforme et leurs modalités concrètes de mise en œuvre. ❖ un site Web pour avoir accès aux services, informations et actions qui leur sont spécifiquement dédiés. Les actions de formations AGEFOS PME ILE DE FRANCE met en place et prend en charge partiellement des actions collectives qui répondent : ❖ aux demandes de formations liées à l’exercice du métier (branches professionnelles de l’immobilier, froid et connexes, par exemple...). ❖ aux nécessaires apprentissages de savoirs transversaux notamment en bureautique, informatique et langues. Dans ce cadre les AGEFOS PME de Nord-Picardie, Haute-Normandie, Basse-Normandie, Bretagne et Ile-deFrance ont créé l’@ccès FORMATION : un nouveau service de relation directe entre les TPE et les organismes de formation. Ce service en ligne est accessible à tous les organismes de formation labellisés (suite à un appel d’offre) par l’une des cinq AGEFOS PME régionales nommées ci-dessus. Par ailleurs, afin de rendre pleinement actrices les entreprises dans la gestion de leur politique RH, il est également proposé des actions collectives relatives à : ❖ la conduite de l’entretien professionnel avec la mise à disposition d’un guide d’entretien pour l’encadrement et le salarié, ❖ la formation des tuteurs, ❖ ainsi que d’autres départementales. actions L’aide au financement AGEFOS PME ILE DE FRANCE fait appel au concours des Fonds Publics pour développer l’accès à la formation du plus grand nombre de salariés des entreprises de moins de dix salariés. Contact : Françoise LENICE T 01 44 62 39 64 [email protected] Réforme de la formation continue : un premier bilan Le 16 mai dernier a eu lieu un séminaire organisé par Algoé Consultants pour un premier bilan à deux ans sur la mise en place de la réforme de la formation professionnelle dans les entreprises. Une enquête a été réalisée auprès d’une dizaine d’entreprises avec pour objectif de comparer, de façon approfondie, leurs pratiques et leur état d’avancement dans la mise en œuvre de la réforme. INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 5 44, rue Alphonse Penaud Les constats de cette étude ont montré qu’à ce jour, la réforme et les dispositifs ne sont que partiellement mis en place. Les options retenues pour le DIF, sont en majorité hors temps de travail ou sur des solutions mixant STT/HTT. ü Le DIF ü La période de professionnalisation La plupart des entreprises ont catégorisé leur plan de formation en majorité sur des actions de catégorie 1. Dans certains cas, les accords de branche et les entreprises se sont employés à rendre éligibles au DIF et à la période de professionnalisation les actions C 2 et C3 du plan de formation. Les entreprises qui ont enregistré le plus de demandes de DIF en 2005 sont celles qui ont fait le choix de proposer le DIF aux salariés et celles qui ont le plus informé les salariés sur la réforme. Cette politique de communication leur a permis de maîtriser la demande de formation. Seulement 40% des entreprises ne l’ont pas mis en place car ce dispositif nécessite une ré-ingénierie pédagogique que certaines entreprises n’ont pas initiée. Les formations proposées sont celles initialement prévues dans le plan de formation de l’entreprise et se font majoritairement sur le temps de travail, sauf pour les formations diplômantes suivies en partie hors temps de travail. Dans les formations éligibles au titre de la période de professionnalisation on retrouve les formations longues de type BTS, Master, MBA , les formations métier et management . On constate que les pratiques des entreprises reposent sur 2 démarches. Il s’agit d’une part de rendre toutes les formations C2 et C3 du plan de formation éligibles au DIF et d’autre part de proposer une offre DIF qui associe les formations diffables avec le raisonnement suivant : proposer une offre globale en cohérence avec la situation professionnelle, les besoins de l’entreprise sans pour autant transformer cette offre DIF en catalogue. Lorsque les formations C2 et C3 ne sont pas diffables, l’offre DIF se fait sur les domaines suivants : langues, développement personnel, bureautique, préparation de projet professionnel, remise à niveau des connaissances générales et techniques, formations longues diplômantes et qualifiantes. L’acceptation du DIF dans ces entreprises repose à la fois sur les critères de cohérence avec l’activité de l’entreprise, les enjeux RH et la politique de formation, le coût des formations et sur le référencement des actions de formation par l’entreprise. ü L’entretien professionnel Il est considéré par les entreprises comme le dispositif clé pour fixer un cadre au dialogue entre le salarié et le manager mais seulement 40% des entreprises l’ont déjà mis en place en 2005. Pour sa mise en œuvre les entreprises souhaitent au préalable former les managers et privilégier un seul entretien (d’évaluation et professionnel). ü Les contrats de professionnalisation et d’apprentissage Les entreprises ont continué de recruter les jeunes sur ces dispositifs. Dans la typologie des entreprises on observe cinq orientations : ❖ celles ignorant toujours de quoi il est question ❖ 20% adoptant une attitude d’évitement ❖ 25% assimilant le DIF au plan de formation, rendant diffables les INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 6 44, rue Alphonse Penaud formations C1et C2 et cherchant à articuler l’ensemble ❖ celles mettant en place une ingénierie qui articule le DIF avec la VAE, le bilan et la période de professionnalisation : c’est le cas de la SNCF. ❖ les dernières, les moins nombreuses, essayant d’aller vers une véritable gestion individualisée de la formation. La conclusion de cette enquête conduit à penser que dans l’ensemble les entreprises ont besoin de temps pour mettre en place la réforme car elle touche à des questions de stratégie interne en terme de politique de formation et de politique RH. La réussite de la réforme passe par l’implication des acteurs de l’entreprise. Elle ne se limite pas au redéploiement des dispositifs mais bien à la réorientation de la politique de développement RH et à son articulation avec la formation. La lenteur dans sa mise en oeuvre traduit aussi le reflet du dialogue social au sein des entreprises. L’état actuel du marché de l’emploi et le chômage conditionnent fortement les projets des salariés qui mettent en doute l’efficacité sociale de la formation. Ces données ne favorisent pas l’appétence pour la formation. La réforme parviendra-t-elle à déstabiliser ce qui se passe depuis 30 ans en réduisant l’écart entre les plus et les moins formés ? Trouvera-t-elle des réponses pour raccrocher les moins qualifiés et diminuer la fracture entre les catégories professionnelles en matière de formation ? L’objectif de la réforme de la formation professionnelle est de maintenir et développer l’employabilité des salariés et de contribuer par la formation à la performance des entreprises. Mais dans ce domaine il y a encore du chemin à faire. Si les entreprises n’assument pas leur rôle en matière de maintien de l’employabilité et ne soutiennent pas l’effort d’investissement de formation pour les moins qualifiés, les services publics de l’emploi ne pourront pas être les seuls à assumer cette mission. La région devient un acteur incontournable aujourd’hui, la notion « territoriale » va dominer dans l’avenir, il faut donc construire des partenariats forts et produire des accords interprofessionnels sur les territoires pour réussir. Pour les organismes de formation la réforme a mis en évidence l’inadaptation de l’appareil de formation actuel. Elle a révélé la fragmentation croissante de l’offre, la fragilisation identitaire des formateurs, l’inadaptation de leur formation, la défaillance des ingénieries de formation et l’absence d‘une évaluation pour mesurer l’efficacité de la formation. Face à la recomposition du travail, qui passe par le ré-agencement des fonctions et des compétences, l’entreprise devient de plus en plus auto-formatrice dans ses métiers de base. On assiste à une décomposition de l’appareil de formation. C’est la raison pour laquelle les organismes de formation doivent prendre en compte ces nouveaux enjeux pour répondre de façon plus efficace et s’adapter aux besoins des salariés et des entreprises. Les entreprises attendent des propositions de parcours articulés sur les dispositifs de la réforme. A ce titre les GRETA ont été cités comme étant capables, aujourd’hui grâce à la mise en place de la modularisation des diplômes, de proposer une offre construite et pertinente pour les salariés dans le cadre du DIF. Contact : Laurence de LAVAU T 01 44 62 39 04 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 7 44, rue Alphonse Penaud Le mardi 27 juin, de 9h30 à 12h30, le GIP-FCIP de Paris vous propose une matinée de rencontre-débat avec Monique BENAILY, présidente du GARF – Groupement des Acteurs et Responsables de Formation. Elle sera accompagnée dans ses propos par les témoignages de responsables d’entreprise adhérents du GARF. du réseau des GRETA de Paris feront état d’expériences représentatives de mise en œuvre dans ce cadre. mardi 27 juin 2006 – de 9h30 à 12h30 Ecole Nationale de Chimie-Physique-Biologie - ENCPB 12 rue Pirandello 75013 Paris Contact : Les entreprises et la réforme de la loi sur la formation professionnelle : Quelles stratégies de formation développer ? Cette question sera éclairée différents angles, en particulier : Michèle OUERD T 01 44 62 39 58 [email protected] sous ❖ Redéfinition et précision du concept de « professionnalisation », ❖ Rôle des principaux acteurs engagés dans la mise en oeuvre de la réforme : responsables RH, de formation, organismes financeurs et prestataires de formation sont invités à nouer de nouveaux dialogues autour des solutions de professionnalisation à trouver. ❖ Conditions d’une nouvelle ingénierie de la professionnalisation ; elle a été largement définie par les travaux de G. Le BOTERF cette dernière décennie ; mais le nouveau cadre législatif incite à la systématiser au travers des parcours et des actes professionnalisants que les prestataires sont amenés à développer avec et dans les entreprises. En contrepoint aux interventions des responsables d’entreprise, des collègues INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 8 44, rue Alphonse Penaud GIP-FCIP La modularisation de l’offre de formation des GRETA parisiens Le 10 mai 2006, à l’Ecole de la Chimie, a eu lieu sous la responsabilité de Monsieur DUBOEUF, Délégué Académique à la Formation Continue, et de Sylvie KORB, Directrice du GIP-FCIP, la présentation de deux produits d’actions de professionnalisation à l’ensemble des acteurs du réseau ayant participé à leur concrétisation : la Consigne en formation et en entreprise et la Modularisation de l’offre de formation. © GIP-FCIP PARIC mai 05-06 De même, un référent modularisation sera identifié dans chaque GRETA et facilitera les actions de modularisation auprès de ses collègues. Les référents se réuniront régulièrement pour mutualiser les expériences, réguler les difficultés et concrétiser l’action académique de professionnalisation. Les conceptions et productions liées à la modularisation avant leur mise en œuvre seront validées par le chef du projet académique qui continuera de superviser l’ensemble du projet modularisation. Contact : © GIP-FCIP PARIC mai 05-06 Il s’agissait là d’un point d’étape dans le développement de la professionnalisation dans l’Académie de Paris : tout d’abord les remercier chaleureusement pour leur investissement dans le projet modularisation notamment, mais aussi annoncer les modalités de déploiement de l’accompagnement dans les GRETA. Julia GEROSA T 01 44 62 39 01 [email protected] Dès septembre, deux journées de prise en main du CD Rom modularisation seront proposées dans chaque GRETA, afin de permettre à chacun de développer des compétences de conduite de projet en autonomie. INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 9 44, rue Alphonse Penaud Carrefour-Proximité adopte la modularisation En 2005, le service de formation CarrefourProximité a sollicité notre collaboration pour faire évoluer son dispositif de formation à destination des responsables de magasins de proximité et de leurs salariés. Ce dispositif créé en 2000, piloté par cinq directeurs Formation-Recrutement régionaux avait permis de mobiliser 40 conseillers-métiers et de formaliser une formathèque (modules de contenus théoriques dispensés sur une journée en magasin-école, suivis d’applications pratiques en magasin). Or, en 2005, deux constats étaient faits : d’une part les conseillers-métiers experts dans leur métier d’origine, avaient besoin de développer des compétences de formateurs, d’autre part, les salariés venant en formation rencontraient des difficultés pour transférer dans l’exercice de leur métier en magasin ce qu’ils avaient abordé en formation. L’entreprise continuait de pointer des écarts voire des manques de performance et en conséquence des manques de résultats ! Les directeurs de Formation ont donc conçu un outil diagnostic pour évaluer les écarts de performance constatés en magasin et souhaité mettre en place des parcours de formation plus individualisés. C’est un travail complet en ingénieries de formation, pédagogique et didactique que j’ai pu mener dès 2005 et que je poursuis en 2006. Les Directeurs de formation ont suivi un séminaire de deux jours au cours duquel nous avons « repensé » leur dispositif de formation. L’outil diagnostic a été enrichi de l’approche « Compétence en situation professionnelle ». Aujourd’hui celui-ci ne relève plus les manques de performance mais révèle les compétences professionnelles, les savoir-faire maîtrisés, puis les savoir-faire précis devant faire l’objet d’une formation. Fin 2005, les quarante conseillers-métiers ont été formés à la pédagogie des adultes. Depuis janvier 2006, c’est toute l’ingénierie pédagogique qui est remise à plat. Les compétences propres à chaque filière métier et tous les savoirs, savoir-faire inhérents sont identifiés et constituent des modules (36 modules sont en cours d’achèvement). La formalisation des approches pédagogiques diversifiées et des supports de formation structurent les interventions de formation : c’est un investissement important de la part des conseillers-métiers formateurs conscients du développement de leur propre professionnalisme. Dès septembre, le dispositif de formation proposera, à l’issue du diagnostic individuel, des parcours personnalisés permettant de développer des compétences précises dans une mise en œuvre favorisant la reconnaissance des acquis et le transfert en situation professionnelle, le tout aboutissant enfin à plus de performance. La modularisation de l’offre de formation suscite un réel intérêt auprès des services formation des entreprises ! Contact : Julia GEROSA T 01 44 62 39 01 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 10 44, rue Alphonse Penaud Les formations du GIP-FCIP proposées dans le guide des formations 2006 Septembre et octobre 2006 ● Mille et un liens... Pour cliquer utile animée par, Marie Noëlle FONTENAT et Sylvie SAUVE Le 20 septembre 2006 ● La connaissance du réseau des GRETA et la réglementation de la formation continue animée par Jean Robert SCHWARTZ, Marie Noëlle FONTENAT et Sylvie SAUVE Le 28 septembre 2006 ● Êtes-vous hors la loi ? animée par Edith PERRINET et Charles RECIO Le 10 octobre 2006 ● Comprendre la réforme de la formation professionnelle pour informer animée par Michèle OUERD Le 12 octobre 2006 ● Formaliser et animer une formation modularisée animée par Julia GEROSA Les 28 septembre, 10 octobre et 8 novembre 2006 Inscription auprès de Édith PECHER, assistante du GIP T 01 44 62 39 50 Contact : Michèle BAUM T 01 44 62 39 53 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 11 44, rue Alphonse Penaud Qualité Partenariat Qualité Académie de Paris- FONGECIF Le partenariat Qualité engagé entre les trois Académies de Paris, Créteil et Versailles et le FONGECIF Ile-de-France se poursuit, pour l’instant, toujours sous de bons augures. Une nouvelle réunion d’échanges de pratiques et de bilan sur la phase expérimentale de ce partenariat s’est tenue, fin mars, entre les Services Qualité du FONGECIF et des trois Académies. L’objet principal portait notamment sur l’analyse des fiches individuelles de suivi intermédiaire réalisées à l’issue des trois premiers mois de formation. A la date de la réunion, un panel de 217 fiches (pour les trois académies) avait été examiné. Sur les 217 fiches, 7 faisaient état d’un « niveau de formation inadapté ». Le faible taux d’insatisfaction constaté à trois mois du démarrage des formations, laisse à penser, à ce stade de l’expérimentation, que la procédure d’entretien individuel préalable au dépôt d’une demande de formation, mise en place dans le cadre du partenariat, joue son rôle et que la formation suivie est bien la réponse adaptée au projet du salarié. Le FONGECIF va néanmoins procéder à une étude approfondie des 7 fiches « niveau de formation inadapté », afin d’analyser les causes objectives de ce dysfonctionnement. Il ressort de l’analyse des 200 autres fiches une grande richesse des informations recueillies. Les commentaires, remplis soit par le stagiaire, soit par le GRETA, sont généralement assez précis pour permettre d’envisager, le cas échéant, les mesures de remédiations aux éventuels dysfonctionnements constatés. Il convient enfin de signaler que la procédure d’entretien intermédiaire est plébiscitée par les stagiaires qui apprécient cette modalité de suivi, leur donnant ainsi l’occasion de faire le point sur leur progression. Avec la mise en place du nouveau système informatique de traitement des données du FONGECIF, toutes les fiches seront systématiquement prises en compte. Dans cet esprit, et dans le souci d’un meilleur suivi, une nouvelle fiche sera éditée, accompagnée d’ une notice explicative, comme cela avait été décidé à l’issue du premier bilan portant sur l’analyse des « fiches d’entretien préalables » (cf. INFOS Réseau n° 22). Ces fiches sont à ce jour réactualisées et ont été transmises aux CFC en charge des actions relevant de l’expérimentation. Dans un souci de mutualisation des ressources et en vue d’une extension du Partenariat Qualité à d’autres GRETA, ces modèles de fiches seront, à brève échéance, disponibles sur le site académique, en remplacement de celles reproduites l’an passé, avec l’accord de notre partenaire. En marge des questions relatives aux évaluations intermédiaires, un certain nombre de sujets ont été évoqués, portant notamment sur : ❖ les coûts : une étude sur les écarts entre actions sera effectuée, INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 12 44, rue Alphonse Penaud ❖ une « plus grande implication du GRETA » dans l’information donnée sur les chances du candidat à voir son dossier retenu en fonction des priorités du FONGECIF (CDD – CIF – CDI). Une nouvelle réunion des Responsables Qualité des trois Académies et du FONGECIF se tiendra début juillet pour dresser un premier bilan des « Questionnaires de fin de formation ». Dans la même logique de bilan, une réunion académique des CFC, impliqués dans l’expérimentation, est d’ores et déjà prévue en septembre 2006 afin de tirer les enseignements de cette première année de partenariat et d’envisager les conditions d’une extension à d’autres actions, voire d’une généralisation du dispositif à l’ensemble des GRETA. Contact : Patrick BLANCHARD T 01 44 62 39 22 [email protected] Le Net du Réseau Rénovation du site du GRETA PMS Le GRETA PMS a sollicité l’appui du pôle ressources FTLV pour l’accompagner dans la rénovation de son site Internet. Après six mois de travail, ce chantier a progressé. http://www.greta-pms.fr/ Plusieurs points méritent d’être soulignés : Comme pour le GRETA des métiers de l’Hôtellerie, la recherche d’une formation s’effectue en utilisant tout le potentiel de la base de données académique de l’offre de formation. À l’automne, il est prévu que le GRETA entreprenne de saisir lui-même en ligne ses formations directement sur la base de données académique et effectue ainsi, en temps réel, les ajouts, les modifications et les suppressions qui s’inscriront à la fois sur le site de PMS et dans la base académique. Au préalable, le SIO aura formé les personnels concernés à la saisie en ligne selon une procédure codifiée qui permette de respecter l’intégrité de l’ensemble de la base. Un formulaire de demande d’information à remplir par l’internaute intègre une série de renseignements qui permettent un traitement plus rapide et plus ciblé par les services du GRETA. De plus, il est en lien avec la base de données académique de l’offre de formation. Une zone d’actualités figure sur la page d’accueil du site. Cet espace est alimenté et mis à jour de façon autonome par les CFC du GRETA. Ce procédé est déjà expérimenté par le INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 13 44, rue Alphonse Penaud GRETA des Métiers de l’Hôtellerie. http://gretahotelier.scola.ac-paris.fr/Index.php Toujours plus d’interactivité Cette expérience des zones d’actualités sur lesquelles les GRETA ont la maîtrise a été transférée à d’autres applications. Les responsables de pôles ressources mettent en ligne eux-mêmes des parcours-découverte qu’ils ont mis au point, les modifient ou les suppriment. http://prfc.scola.ac-paris.fr/OL/OL_Preparer_ BTS.php#Decouvrir Au CIBC, le pôle ressources met à disposition des bénéficiaires de bilan un Mémo électronique que l’intéressé alimente lui-même. Afin d’améliorer l’information mise à disposition sur les recrutements immédiats dans les GRETA, un système d’alerte automatique a été installé sur la page d’accueil du site de l’ensemble du réseau pour signaler les formations dont le recrutement est en cours. Ce système fonctionne automatiquement depuis la base de données académique de l’offre de formation. Boîte à Outils Egalité professionnelle L’Observatoire de la responsabilité sociale des entreprises (ORSE), en partenariat avec Entreprise et personnel et l’ANDCP, répertorie et publie sur son site les 57 accords sur l’égalité professionnelle signés à ce jour : Accords d’entreprises http://www.egaliteprofessionnelle.org/ ?im=dis&sim=ace&la=fr Accords de branches : http://www.egaliteprofessionnelle.org/ ?im=dis&sim=acb&la=fr Offre de formation - Un tout nouveau moteur de recherche des formations dans l’enseignement supérieur http://www.etudiant.gouv.fr/ Une offre de formation « chartée » - Pour rechercher l’offre concurrente des GRETA A signaler deux moteurs de recherche : L’affichage des fiches de formation à partir de la base de données académique a été modifié afin d’être conforme à la charte académique. http://www.intercarif.org/jsp/recherche_ formation.jsp http://pro.kelformation.com/ Contacts : Contacts : Marie-Noëlle FONTENAT T 01 44 62 39 57 marie-noë[email protected] Marie-Noëlle FONTENAT T 01 44 62 39 57 marie-noë[email protected] Sylvie SAUVE T 01 44 62 39 12 [email protected] Sylvie SAUVE T 01 44 62 39 12 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 14 44, rue Alphonse Penaud EUROPE Rencontre transnationale à Pise du 5 au 9 février 2006 Programme GRUNDTVIG 2 : Échanges de pratiques dans les maisons de retraite en Europe (Italie, Suède, France) Véronique DALLES, CFC, coordinatrice du projet du GRETA Paramédical et Social a fait participer six personnes pour la rencontre en Italie (coordinatrice, stagiaires du GRETA en formation, formatrice). ❖ L’Association, Publica Assistenza, nous a décrit ses activités nombreuses basées sur le bénévolat. Chaque partenaire a ensuite présenté la situation des personnes âgées et la place des maisons de retraite dans son pays (France, Roumanie, Suède, Italie). ❖ Une discussion s’est engagée, en anglais entre tous les participants. ❖ La visite à Pietrasanta d’une maison de retraite dirigée par des bénévoles a été très intéressante. Ces bénévoles emploient des professionnels et nous avons pu échanger et comparer l’organisation de cette maison avec les nôtres. trois physiothérapistes appelés à la demande. Toutes les chambres sont à deux lits et la maison de retraite a la certification ISO qualité. Six bénévoles viennent régulièrement pour animer des ateliers, d’autres viennent de l’église ou d’associations locales. Beaucoup d’échanges ont eu lieu et les stagiaires français ont pu participer, observer et repartir avec beaucoup d’informations détaillées sur la vie des résidents, le personnel et les bénévoles. Cette rencontre a montré les points forts et les points faibles dans chaque structure. Les stagiaires français sont reparties en pensant que la France offre de bonnes conditions de travail mais aussi que les formations pour s’occuper des personnes âgées sont en France bien adaptées et bien ciblées pour ce public. La prochaine rencontre se fera en Suède en Juin. Véronique DALLES a déjà quatre nouvelles stagiaires qui, à leur tour, bénéficient du fonds social européen pour observer des approches différentes et échanger avec des professionnels de leur secteur. Contact : Michèle DUBOIS T 01 53 68 06 90 [email protected] Le président de cette association, ainsi que le directeur et un psychologue nous ont présenté les activités proposées aux résidents et les formations pour le personnel. Pour quarante-quatre résidents il y a quarante-deux membres du personnel, six professionnels : psychologue, neurologue, INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 15 Ils et elles font le réseau PMS Élargir les possibilités de recrutement de CIF Afin de favoriser les salariés qui souhaitent déposer une demande de Congé Individuel de Formation sans pour autant répondre aux prérequis de niveau d’entrée en formation, l’APP du GRETA PMS à l’espace Crimée propose une remise à niveau de 30 heures par semaine en amont de la formation visée. Comment procéder ? ❖ Gladys BOISSERON, coordonnatrice de l’APP, réalise le positionnement initial du salarié. ❖ Un plan individuel de formation est élaboré par la suite. Sa durée, variable, se fonde sur une durée moyenne hebdomadaire de 30 heures. ❖ Enfin, les modalités de remise à niveau, adjointes à celles du programme global de formation sont intégrées dans la demande de CIF. À ce jour vingt formations de remise à niveau ont été réalisées par PMS dans le secteur du sanitaire, et trois sont susceptibles d’être proposées par le GEPS (CAP Installateur sanitaire). Contact : Sarah DE NADAI T 01 55 26 94 74 [email protected] Mise en place d’un pôle VAE « Sanitaire et social » Conscient de l’accroissement sensible de la VAE comme voie d’accès aux certifications du champ sanitaire et social ainsi que des besoins en recrutement de personnels qualifiés, le GRETA paramédical et Social de Paris a ouvert depuis plusieurs mois un pôle VAE spécialisé dans ce secteur d’activité. Bénéficiant d’un soutien du FSE, ce pôle a deux missions principales : ❖ informer le public s’adressant au GRETA des possibilités offertes par la VAE, de façon très précise, c’est-àdire en intégrant les spécificités des différents certificateurs, ainsi que les financements possibles selon le statut ou la branche professionnelle pour les salariés ; ❖ accompagner les équipes des écoles rattachées au lycée Rabelais (école de puériculture, école de travail social) à intégrer la dimension VAE dans leurs pratiques pédagogiques. L’implantation de ce pôle VAE, au cœur du lycée Rabelais, permet d’ores et déjà, l’implication des équipes pédagogiques du GRETA et des écoles rattachées au lycée, dans une démarche globale de recherche - développement . Le GRETA PMS se prépare ainsi à absorber une activité VAE qui s’annonce croissante. Contact : Véronique DALLES T 01 44 92 33 05 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 16 Ils et elles font le réseau Nouveauté à l’Espace AISP L’espace AISP demande l’agrément auprès de la DRASS pour organiser la formation d’Aide Médico Psychologique (AMP). Dans ce secteur les perspectives d’emploi sont favorables, en raison de l’augmentation des besoins d’AMP dans les établissements spécialisés accueillant des personnes handicapées et / ou dépendantes. Contact : Anne VERGER T 01 53 68 06 92 [email protected] Création d’une passerelle entreprise Une passerelle entreprise, avec le groupe EUREST, financée par le CRIF, a été mise en place à l’EREA CRONSTADT. Cette formation de cinq mois sera validée par l’obtention d’unités professionnelles du CAP Agent polyvalent de restauration qui est organisé en CCF. Contact : Maryse LE MOËL [email protected] L’école des adultes Le point sur la convention FSE / AGEFIPH / GRETA de Paris Rappel : à partir de Septembre 2005, 6000 heures / stagiaires à 11€40 pouvaient financer des modules qualifiants d’environ 200 heures, proposés par les GRETA de Paris, pour des personnes handicapées. L’école des adultes de l’espace VILLON, située au 16 de l’avenue Marc Sangnier dans le XIVème art. s’adresse aux personnes qui n’ont pas eu l’occasion de suivre une scolarité jusqu’à son terme. L’absence de culture générale peut au mieux être vécue comme une frustration. Au pire, elle est synonyme d’exclusion sociale. À ce jour 31 stagiaires ont bénéficié de 4396 heures / stagiaires de formation dans quatre GRETA : GITA – Réseau Graphique – TOP Formation et GEPS. Le GRETA PMS propose aux personnes en difficulté une formation diversifiée : expression écrite, expression artistique, raisonnement logique, mathématique et découverte. Pour les GRETA, pour les personnes handicapées, pour les CAP EMPLOI, l’expérience est suffisamment concluante pour que l’AGEFIPH envisage de renouveler ce financement pour tous les GRETA d’Ile-de-France. L’école des adultes repose sur plusieurs principes : À vous de prendre la balle au bond ! Contact : Anne VERGER T 01 53 68 06 92 [email protected] ❖ Organisation participative pour l’élaboration des règles de fonctionnement, de gestion du travail et la répartition des responsabilités ❖ Organisation souple en terme d’horaires et de contenus permettant de prendre le temps… ❖ Fonctionnement permettant d’alterner des ateliers fondamentaux, des INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 17 Ils et elles font le réseau plages horaires réservées à l’approfondissement d’un travail et la mise en place d’un projet… Actuellement l’école accueille en permanence 2 ou 3 groupes de 12 personnes. Les modalités de la formation sont les suivantes : 420 heures en centre et 120 heures en entreprise. Contact : Armand COHEN T 01 44 92 00 06 [email protected] Le GRETA Paramédical et Social de Paris a monté un projet de territoire financé par le CRIF. Dans ce cadre, 15 personnes résidant dans le sud de la capitale bénéficient d’une remise à niveau linguistique et d’un parcours qualifiant et certifiant au CQP « Assistante de Vie » de l’Institut FEPEM. Collaborent à ce projet l’équipe d’insertion locale et une association prestataire et mandataire du sud de Paris qui accueille les stagiaires pour la période du stage en entreprise. L’objectif affiché du projet est de faire se rencontrer sur un même territoire les besoins grandissant d’aide au domicile des personnes âgées et de nombreuses demandeuses d’emploi intéréssées par un débouché professionnel relatif au secteur du particulier employeur. Contact : Sarah DE NADAI T 01 55 26 94 74 [email protected] GMH Le domaine des Fontaines est une propriété de Cap Gemini. Edifié à Gouvieux par le baron James Nathan de Rothschild à la fin du XIX ème siècle, au cœur de la forêt de Chantilly, le domaine organise séminaires, réunions et tout autre événement d’entreprise pour une clientèle d’affaires issue de sociétés internationales de renommée mondiale. A la suite d’un audit réalisé par MKG, cabinet spécialisé dans la mesure de la qualité des prestations dans l’hôtellerie - restauration, le domaine des Fontaines a souhaité repositionner son niveau de prestations afin de le mettre en adéquation avec la notoriété, l’image et le prestige du site. Salles de réunions et de conférences, auditoriums, bungalows, espaces modulaires, bar, salles de restaurant… mais aussi salle de billard, espace dédié au sport, thermes avec sauna, hammam, piscine… tout a été réaménagé pour faciliter le déroulement des événements à la fois politiques et stratégiques qui rythment la vie des grandes entreprises. En parallèle de cette réorganisation des locaux, il est apparu à l’issue de l’audit que l’accueil de la clientèle tout comme le service en salle et au bar n’avaient pas fait l’objet d’une notation satisfaisante. Aussi la direction de Cap Gemini a-t-elle désiré une reprise en main de l’équipe en place, soit 13 personnes oeuvrant sur le site aux fonctions de chef de rang, serveur/euse, barmen et hôtesses d’accueil. Bien que n’ « étant pas réputé pour faire ce type d’interventions » d’après le directeur du site, GMH a été contacté, « à tout hasard… » INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 18 Ils et elles font le réseau et notre proposition a été retenue. L’action de formation s’est déroulée courant avril et les objectifs de formation ont été jugés atteints, en premier lieu par le personnel formé, puis par la direction. Une synthèse réalisée conjointement avec les stagiaires et l’encadrement a mis en évidence d’autres besoins en formation, notamment en anglais. Affaire à suivre, donc… Contacts : Marie-José PAILLOUX T 01 58 60 32 29 [email protected] Frédéric PERRIN T 01 44 62 39 31 [email protected] ARTS APPLIQUÉS Formation Administrateur de spectacle vivant Obtention du titre de niveau II « Administrateur de spectacle vivant » délivré par le GRETA des Arts Appliqués : 2 voies possibles : ❖ le suivi de la formation de 734 heures, ❖ la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) La demande officielle de certification au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), a débuté en juin 2003, sur l’initiative de Geneviève ABEL, à l’occasion du prolongement de l’homologation du titre « Administrateur de spectacle vivant » au niveau III, valable jusqu’au 31 décembre 2003 puis prorogé jusqu’au 31 décembre 2005. Quelques éléments retraçant l’historique : ❑Novembre 2003 : envoi de dossiers justifiant du niveau II demandé auprès de la Préfecture de Région, de la DRTEFP, du Secrétariat général de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle (CNCP), du Ministère de la Culture, du Rectorat et du Secrétariat général des Commissions Paritaires Consultatives de la DESCO A5 ; ❑Avril 2004 : entretiens menés par l’instructeur de la DRTEFP auprès des anciens stagiaires, ❑ Octobre 2005 : argumentaire devant la commission de la CPNEFSV (Commission Paritaire Nationale Emploi-Formation Spectacle Vivant) ; ❑ Aide du FSE et contribution du DAVA (Bernard POIRIER et Bruno TERASSE) ainsi que du CAFOC du GIP-FCIP (Julia GEROSA et Charles RECIO), qui, grâce à une équipe de formateurs très impliqués, coordonnée par Clara ROUSSEAU, ont constitué dès 2005, un groupe de travail qui s’est attaché à définir un nouveau référentiel d’activités et de compétences, reflétant l’exercice actuel du métier d’Administrateur de spectacle vivant, et répondant aux nouvelles exigences de la VAE. A la suite de ces démarches, le titre « Administrateur de spectacle vivant » (code NSF 323p) a été enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles au niveau II, par arrêté du 21/12/05, publié au Journal Officiel du 31/01/06. Le niveau de compétences visé respecte ainsi les termes de la convention du Syndicat des entreprises artistiques et culturelles (SYNDEAC). Les supports de contrôle des acquis en relation avec le référentiel de compétences et d’activités sont eux aussi conformes au niveau II. La nature du travail demandé, l’implication du candidat dans les prises de décision pour le traiter en attestent. INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 19 Ils et elles font le réseau L’obtention du titre, désormais possible par 2 voies : - Le suivi de la formation « Administrateur de spectacle vivant » dans sa globalité. Construite en 1993 de façon innovante, à partir d’un référentiel professionnel du métier et en fonction du rapport à l’employabilité, cette formation se déroule chaque année entre janvier et juin sur une durée de 734 heures, dont 140 heures de stage pratique en entreprise. Les contenus de formation découlent de quatre grands groupes de compétences dégagés (managériales, techniques, d’organisation et de veille) et sont organisés en sept modules par rapport à la logique de la fonction et du référentiel d’activités. L’évaluation des compétences se fait à partir de la rédaction de deux dossiers (rapport de stage en entreprise et étude de cas articulant les contenus et plaçant les stagiaires en situation de simulation professionnelle) et de leur soutenance devant un jury composé de professionnels du spectacle vivant privé et subventionné et de représentants du Ministère de l’Education nationale et de la Culture. À partir de la cession de 2006, le jury se base sur le référentiel d’activités et de compétences déposé pour l’inscription au RNCP. La validation par « tout ou rien » fait place à une validation modulaire pour les non détenteurs du titre. L’obtention de la validation complète exige que tous les modules soient validés. entretien individuel obligatoire et gratuit d’une durée de 90 minutes, mené par un spécialiste du titre, de la constitution et du dépôt du Livret 1 puis de la décision de recevabilité rendue par le GRETA des Arts Appliqués, les candidats à la VAE, pourront, s’ils le souhaitent, bénéficier de 13 heures d’accompagnement à la rédaction des livrets et de préparation au passage devant le jury. Chaque année, le GRETA des Arts Appliqués proposera deux périodes d’entrée dans une démarche de VAE : l’une au printemps, l’autre en hiver. Pour chaque démarche entamée, deux rythmes seront proposés. A partir de la décision de recevabilité, pour la constitution du Livret 2 et l’entretien avec le jury, chaque candidat pourra bénéficier d’un parcours sur 5 mois et demi ou sur un an. Dans le même temps, le mode de certification a également changé pour la formation de « costumier(e) », jusqu’alors sanctionnée par un titre homologué de niveau IV, dorénavant enregistrée en RNCP au niveau III (code NSF 242v, arrêté du 21/12/05, publié au Journal Officiel du 31/01/06). Contact : Martine LAPEYRERE T 01 43 46 72 56 [email protected] La Validation des Acquis de l’Expérience : La validation se fait sur la base de : ❖ l’examen des informations fournies dans 2 dossiers : les livrets 1 et 2. ❖ l’entretien de 45 à 60 minutes devant un jury. Les étapes du dispositif : A l’issue d’une réunion d’information, d’un Une nouvelle formation : techniques de broderie Le GRETA des Arts Appliqués programmera dès l’automne 2006, au sein de son département Spectacle, une formation « Techniques de broderie : broderie aiguille sur métier, broderie INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 20 Ils et elles font le réseau perlée et pailletée de Lunéville » d’une durée de 140 heures. Aucune connaissance particulière ne sera requise. Cette technique, qui a connu son apogée dans les années folles, connaît un engouement particulier en haute couture, dans le milieu du spectacle et pour tout un chacun. La conception de la formation est confiée à Nadja BERRUYER, créatrice des broderies du film « Brodeuse » réalisé par Eléonore FAUCHER. Programme complet de la formation sur www.greta-artsappliques.org à la rubrique « spectacle » puis « costumes ». Contact : Martine LAPEYRERE T 01 43 46 72 56 [email protected] MODE La formation « Responsable de collections 2006 » Depuis deux ans le GRETA de la MODE propose une formation financée par la Région Ilede-France : Responsable de collections et Coordinateur de mode. Cette formation de 720 heures comprend un stage en entreprise. En voici : ❖ les conditions d’entrée : niveau Bac+2 et au moins trois années de pratique professionnelle dans les métiers de la Mode. ❖ les publics visés : demandeurs d’emploi, salariés en CIF, salariés dans le cadre du plan de formation, tous acteurs du secteur de l’habillement (modéliste, designer, styliste, merchandiseur, chef de produits, sourceur ou commercial) . La formation a commencé en février 2006. Elle prend en compte les mutations du secteur professionnel et de son marché. Celui-ci, depuis cinq ans , d’européen et occidental, est devenu mondial pour l’ensemble des produits de mode : vêtements, accessoires, cosmétiques et linge de maison . Les métiers, les niveaux de qualification, la nature des emplois ne peuvent rester inchangés dans un secteur d’activité qui bouge à une telle vitesse et qui se « tertiarise ». Des besoins nouveaux en ressources humaines apparaissent et des compétences complémentaires, voire la polyvalence des compétences, sont recherchées. Voici désormais les domaines dans lesquels un responsable de collection doit intervenir, et qui sont couverts par les contenus de formation proposés par le GRETA de la Mode dans le cadre de cette action. ❖ compétences en marketing : définition de la politique générale et commerciale ainsi que de l’image de l’ entreprise et du groupe, que le responsable soit confectionneur, distributeur ou, comme par exemple Zara, les deux à la fois. ❖ définition des politiques d’achat ❖ compétences en merchandising : présentation des collections aux commerciaux et présentations des produits en magasins INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 21 Ils et elles font le réseau ❖ compétences en sourcing : identification des meilleures sources d’approvisionnement en tissus comme en produits finis à la politique d’achat, au marketing et au merchandising leur permettent de concrétiser cet objectif. ❖ collectionning : plannings de travail : 3 saisons travaillées simultanément, mise en place des collections à l’intérieur de la saison, connaissances des tendances coloristiques 18 mois avant la saison, connaissance parfaite des tissus, de leur évolution et surtout de leur utilisation. Contact : ❖ ciblage de clientèle et de son évolution par tranche de 3 à 5 ans. ❖ idéale maîtrise de 3 ou 4 langues étrangères dont l’anglais parfaitement. ❖ capacité à manager plusieurs équipes. L’équipe pédagogique dédiée à cette formation se compose de trois enseignants et de sept professionnels du secteur de la mode (chefs d’entreprise, ingénieur textile, plasticien et directeur de bureau de style ). Cette répartition garantit une relation formation / emploi très étroite. A l’issue de la formation, validée par un jury de professionnels du secteur et d’enseignants, les stagiaires sont intégrés sur des postes de coordination dans un groupe en qualité de chef de produit, sourceur ou merchandiseur. Les entreprises intéressées par ces profils se composent de distributeurs, de confectionneurs ayant leur propre distribution ou leur propre confection, de groupes de cosmétiques, d’entreprises de linge de maison, de tissus de décoration ou d’accessoires… Quelques stagiaires sont intéressés par la création de leur entreprise. Les enseignements consacrés au sourcing, Liliane GIBAULT T 01 47 00 19 27 [email protected] GITA Le 19 mai 2006, le Greta GITA a participé au premier « FORUM des Métiers et Emplois de la CAO ». Quarante-six entreprises dont AIRBUS, EXPECTRA, IDESTYLE (Design Automobile), RANDSTAD,…, partageaient l’espace de communication avec onze centres de formation. Le GRETA GITA a mis à la disposition de nombreux publics des outils de formation tels que AUTOCAD 2006, CATIA V5, 3D STUDIO MAX 8. Les entreprises présentes ont apprécié les démonstrations proposées par les formateurs sur la base d’animations d’images virtuelles en 3D avec 3D MAX 8 ou de modélisations filaires, surfaciques et volumiques avec CATIA V5. De nombreux visiteurs et partenaires ont tissé avec le GITA des liens fructueux dont certains ont abouti à ce jour. Contact : Patrice PERROTIN T 01 42 02 06 30 [email protected] INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 22 Ils et elles font le réseau RÉSEAU GRAPHIQUE L’OCDE : L’OCDE regroupe 30 pays membres, tous attachés à la démocratie et l’économie de marché. Elle développe des relations de travail avec plus de 70 autres pays, des ONG et la société civile, ce qui lui confère une envergure mondiale. L’OCDE est renommée pour ses publications et ses statistiques. Ses travaux couvrent tout le champ économique et social, de la macroéconomie aux échanges, à l’enseignement, au développement, et à la science et à l’innovation. LE CONTEXTE : L’OCDE possède pour ses publications une imprimerie intégrée. Plus précisément elle abrite un service d’imprimerie OFFSET (technique traditionnelle) et un service d’imprimerie numérique. Le parc de machines OFFSET est vieillissant. Enfin, plusieurs questions techniques se posent : une synergie entre les techniques d’impression OFFSET et numérique est-elle possible ou souhaitable ? Et comment cet équilibre pourrait être mis en place en fonction des éléments techniques des deux imprimeries ? LA MISSION DU GRETA RÉSEAU GRAPHIQUE AUPRÈS DE L’OCDE: Cette étude, réalisée de juin à décembre 2005 s’est organisée autour de trois axes. Il s’agissait d’abord de comparer les coûts de production interne de l’OCDE avec un panel de 30 autres imprimeries, françaises et étrangères. Dans un second temps, d’effectuer une analyse comparative des coûts d’impression OFFSET et numérique. Enfin, une étude de l’organisation des capacités internes de production OFFSET a été réalisée. LES PROPOSITIONS DU GRETA RÉSEAU GRAPHIQUE : Nous avons argumenté sur le maintien du service d’imprimerie OFFSET en privilégiant l’externalisation et la sous-traitance de certaines activités. Le projet étant d’optimiser la synergie OFFSET / numérique en réunifiant les deux technologies. Cette optimisation pourra être accompagnée d’un investissement dans de nouvelles technologies d’impression plus productives. Contact : Catherine LION T 01 44 08 87 71 [email protected] Dans ce contexte, sous la responsabilité de Catherine LION, CFC chef de projet, une mission de conseil a été commanditée au GRETA Réseau Graphique par le bureau des auditeurs internes de l’OCDE. Trois experts ont été sollicités, parmi lesquels deux professeurs de l’Ecole Estienne et un formateur du GRETA Réseau Graphique. INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 23 Service d’Information et d’Orientation Réalisation d’un questionnaire d’enquête En décembre 2005, l’espace Crimée du GRETA PMS a sollicité le SIO afin de réaliser une enquête auprès du public qui s’adresse à la permanence téléphonique de renseignement du réseau. Le GRETA souhaitait obtenir plusieurs informations concernant les demandes de formation aux préparations aux concours de catégorie B. Il voulait connaître le volume réel de la demande, le profil et les aspirations des clients éventuels. Le GRETA et le SIO ont élaboré une grille d’interrogation adaptée à ces demandes. Le SIO a ensuite conduit les entretiens en respectant cette grille pendant 6 mois (de décembre à mai). Cette enquête a confirmé qu’il existe un public pour cette formation : nous avons eu 18 demandes spécifiques de préparations concours de catégorie B. Ce public est constitué pour moitié de salariés qui veulent dans leur majorité suivre la formation durant leur temps de travail. Nous avons pu transmettre à PMS tous les éléments nécessaires pour l’éventuelle mise en place d’une formation aux préparations aux concours de catégorie B. Si certains GRETA souhaitent réaliser ce type d’enquête à la fois quantitative et qualitative, nous sommes à votre disposition pour répondre à vos besoins. Contacts : Ludovic LABBE et Catherine VIGNAL T 01 44 62 39 07/09 [email protected] Statistiques générales concernant le site académique http://dafco.scola.ac-paris.fr Période : 1er septembre 2005 au 31 mai 2006 Total des sessions servies pendant la période : 143 520 Top 10 du total des liens d’origine : scola.ac-paris.fr 38 852 soit 45,05% education.gouv.fr 29 269 soit 31,16% google.fr 12 756 soit 13,37% ac-paris.fr 2 998 soit 1,75% search.yahoo.com 1 318 soit 1,35% ke.voila.fr 1 028 soit 0,83% google.com 890 soit 1,02% msn.fr 617 soit 0,58% fongecif-idf.fr 210 soit 0,20% 67 soit 0,10% net-guidance.com INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 24 Service d’Information et d’Orientation ● Nombre de personnes renvoyées vers les GRETA de Paris lors de la permanence téléphonique Période : septembre 2005 à mai 2006 Top Formation Tertiaire Centre PMS GITA GEPS Arts Appliqués GMH Mode Réseau Graphique ChimieBiologie 548 440 435 241 161 92 80 55 55 10 ● Nombre d’internautes renvoyés du site académique http://dafco.scola.ac-paris.fr vers les sites des GRETA de Paris Période : septembre 2005 à mai 2006 PMS TOP GITA Tertiaire Centre Arts Appliqués GMH Réseau graphique GEPS Mode Chimie-Biologie Total sept oct nov déc janv févr mars avr mai Total 232 310 229 202 87 6 97 109 54 7 1 333 281 260 182 174 87 122 92 83 46 27 1 354 268 236 160 136 80 85 74 56 21 9 1 125 199 154 110 93 62 56 41 50 25 17 807 318 244 204 168 135 141 108 81 60 20 1 479 248 205 140 133 106 126 56 65 37 17 1 133 338 288 142 167 141 159 69 50 53 30 1 437 291 205 119 129 135 104 71 71 61 18 1 204 484 205 132 123 110 137 80 77 47 18 1 413 2 659 2 107 1 418 1 325 943 936 688 642 404 163 11 285 INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 25 Service d’Information et d’Orientation ● Nombre de mails renvoyés du site académique http://dafco.scola.ac-paris.fr vers les mails des GRETA Période : septembre 2005 à mai 2006 sept oct nov déc janv févr mars avr mai Total PMS 43 48 38 26 41 38 68 47 74 423 TOP 50 42 34 18 33 31 39 31 39 317 Tertiaire Centre 26 32 17 8 24 24 29 27 20 207 GITA 25 12 9 8 16 15 8 13 22 128 GMH 15 23 6 6 13 20 20 9 12 124 Arts Appliqués 7 11 13 3 14 19 15 12 19 113 GEPS 6 6 7 6 6 5 8 4 13 61 Réseau graphique 7 6 2 11 6 6 3 7 3 51 Mode 8 13 1 1 2 6 5 7 5 48 Chimie-Biologie 0 0 1 3 2 0 0 0 3 9 Total 187 193 128 90 157 164 195 157 210 1481 INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 26 Service d’Information et d’Orientation ● Le top 10 des mots clés utilisés par les internautes : Période : septembre 2005 à mai 2006 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 « informatique » « anglais » « comptabilité » « tourisme » « secrétariat » « secrétaire » « communication » « immobilier » « ressources humaines » « petite enfance » 734 693 611 363 344 257 243 230 224 216 Contacts : Ludovic LABBE et Catherine VIGNAL T 01 44 62 39 07/09 [email protected] Frédéric PERRIN T 01 44 62 39 31 [email protected] INFOS Réseau - Trimestriel ●Directeur de la publication : Michel DUBŒUF, Délégué académique à la formation continue ●Conception éditoriale / coordination : Frédéric PERRIN ●Conception graphique / mise en page : RÉAXION ●Publication : DAFCO de Paris / Rectorat de Paris - 94 avenue Gambetta - 75984 Paris cedex 20 INFOS Réseau N o 23 ● Juin 2006 ● Page 27