1) Le mode démo 2) Le mode contributeur

Transcription

1) Le mode démo 2) Le mode contributeur
Quels sont les modes d’utilisation de Serena sans
licence ?
(vous pouvez également demander une licence provisoire pour tester le logiciel dans son
intégralité)
1) Le mode démo
En quelques mots …
C’est le mode « démonstration » de Serena, qui permet de se faire une idée des fonctionnalités et des
potentialités du logiciel.
Contraintes
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Pas de date limite
Observations et autres données principales (sites, sources, relevés …) : 10 créations au
maximum.
Pas de possibilités d’exportation, ni d’importation.
Pas de services WEB (ni bases réparties ni envois vers la COBS)
2) Le mode contributeur
En quelques mots …
Pour ceux qui connaissent déjà les bases réparties et les pages Web de saisie simplifiée d’où l’on
peut envoyer des observations vers une base maîtresse : le principe est analogue, mais la saisie
s’effectue de façon plus aisée et plus rapide sur Serena – même sans licence – à condition bien sûr
de disposer d’un PC Windows et d’y avoir installé Serena …
Principe
Application locale conçue pour fonctionner sur un PC, Serena s’adresse avant tout aux utilisateurs qui
privilégient l’approche scientifique et l’étude de données détaillées adaptées à leurs propres besoins.
En complément, les bases de données réparties Serena ont été introduites pour permettre de
répliquer sur une base maîtresse locale des données saisies « au fil de l’eau » sur des bases
subordonnées distantes, également locales, les communications s’effectuant automatiquement via
Internet.
Ce système a été complété récemment par la base Centrale d’OBServations (COBS), qui centralise
sur le serveur Web de Serena, sous une forme simplifiée et harmonisée, les données des bases
locales que leurs propriétaires souhaitent mettre à disposition des utilisateurs qui le demandent –
moyennant autorisation (clés d’accès). Ces données ne sont visibles qu’à partir de Serena,
éventuellement sans licence (visionneuse COBS).
Pour les contributeurs distants et occasionnels qui ne désirent pas se lancer dès le départ dans
Serena, mais simplement saisir des données pour le compte d’un organisme, il existe depuis quelques
années les pages Web de saisie simplifiée (PWSS), sortes de formulaires Internet jouant chacun le
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rôle d’une base subordonnée virtuelle et alimentant également une base maîtresse. A l’usage,
certains ont reproché aux PWSS leur manque d’ergonomie et une saisie parfois lente ou laborieuse.
Le nouveau mode contributeur de Serena permet une saisie analogue aux pages Web, mais cette
fois-ci à partir du logiciel Serena standard, avec les contraintes de ce dernier (Windows nécessaire,
installation du logiciel) mais aussi des avantages (jeu de données encore plus complet, modules
TAXONS, GEOPORTAIL et GOOGLE MAPS, vues en tableau exportables, interface style PC, plus
agile et plus réactive). Et comme les PWSS, le mode contributeur est disponible sans licence.
Le mode contributeur utilise le même environnement technique que les PWSS, donc les mêmes
bases virtuelles (par exemple ASTERSWEB, CPNSWEB, SEPNB_INV etc.) et les identifiants
mnémoniques et mots de passe des utilisateurs sont communs aux deux systèmes.
Création de la base contributeur
Lorsque l’on lance Serena, l’application ouvre la dernière base locale ouverte, ou – au départ – la
base exemple. Pour passer en mode contributeur et court-circuiter les avertissements causés par le
fonctionnement sans licence, il faut lancer un signal au logiciel, et en pratique ceci s’effectue en
ouvrant une base locale particulière où vont s’accumuler des copies des observations créées (ou
modifiées) pour la base virtuelle à l’intention de la base maîtresse : c’est la base contributeur. Toutes
les bases contributeur sont simplement des zones de transit et n’ont pas d’identifiant. Toutes celles
relatives à la même base virtuelle ont le même nom standard : Base_Contributeur(XXXXXX).mdb, où
XXXXXX est l’identifiant de la base virtuelle : par exemple Base_Contributeur(ASTERSWEB).mdb.
Rassurons les utilisateurs : leur création est entièrement automatique, via le menu : Créer une base
contributeur.
La séquence des opérations est donc la suivante :
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installer Serena - avec ou sans licence
lancer Serena, qui va ouvrir la dernière base ouverte ou la base exemple
cliquer dans la page d’accueil (celle qui apparaît à l‘ouverture) sur le menu « Modes sans
licence » puis sur le sous-menu « Créer une base contributeur »
introduire l’identifiant de la base virtuelle en respectant la casse
Serena crée alors automatiquement la base contributeur et s’y connecte. Cette base est placée dans
le dossier C:\SerenaData et va être utilisée pour transmettre les données saisies à la base maîtresse
de l’organisme, et également pour stocker localement les données transmises, permettre de les
examiner, les corriger, les exporter etc.
Par la suite, chaque fois que l’on voudra utiliser ce mode, il suffira d’ouvrir la base contributeur
correspondant à la base virtuelle choisie.
Inscription
Comme dans le cas des PWSS, certains organismes acceptent l’auto-inscription, d’autres préfèrent
inscrire eux-mêmes les nouveaux utilisateurs et leur communiquent identifiant et mot de passe. Le
bouton « S’inscrire » apparaît ou non sur la page d’accueil suivant ce choix, qui est défini au niveau
des paramètres de la base virtuelle par l’administrateur de la base maîtresse.
Formulaire de saisie
Il s’agit du formulaire simplifié de Serena, c’est à dire réduit et sans pseudo-champs. Un avantage
par rapport aux PWSS est de pouvoir faire apparaître TOUS les champs (mais pas les pseudochamps) en cliquant sur le bouton « vers champs tous visibles et non déplacés ». Citons également
un grand nombre de possibilités non disponibles sur les PWSS, à savoir :
- utilisation du module TAXONS pour une saisie mieux informée
- modules CARTES, GOOGLE MAPS et GEOPORTAIL utilisables
- vue en tableau et tout ce qu’elle permet.
mais comme pour les PWSS, l’importation des observations à partir de tableaux n’est pas
possible, il faut une licence et une base subordonnée classique avec le logiciel standard.
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A qui d’adresse le mode contributeur ?
Avant tout aux simples pourvoyeurs occasionnels de données, non spécialement intéressés par
une exploitation plus approfondie de leurs données, et pour ces raisons ne souhaitant pas investir
dans une licence.
Bien évidemment, l’utilisateur ayant acquis une licence a tout intérêt à recourir à une base
subordonnée classique.
Plus de détails
Notamment sur l’organisation des tables, l’architecture des données et les paramètres au niveau de la
base maîtresse : consulter l’aide de Serena, chapitre des bases réparties.
Attention : ce mode ne fonctionne correctement que si la connexion Internet existe et est active, et si
une déconnexion survient en cours de traitement, les blocages et les lenteurs qui se produisent
empêchent ou découragent toute utilisation pertinente. Il faut alors se résoudre à « tuer » l’application
via le Gestionnaire de Programmes.
3) Le mode visionneuse COBS
En quelques mots …
La COBS (base Centrale d’OBServations) est une base de données mutualisée de grande capacité
placée sur le serveur de Serena, fondée sur un jeu de données d’observations simplifié commun à
toutes les bases Serena et adaptable à d’autres sources de données (VISIONATURE etc.). Cette
base est alimentée automatiquement à partir des bases locales ayant fait le choix de rendre leurs
données simplifiées accessibles à des tiers – des restrictions étant possibles. Le module COBS a été
ajouté au logiciel pour interroger cette base, accumuler des données extraites, puis les manipuler. Le
mode visionneuse COBS s’adresse en priorité aux utilisateurs sans licence mais ayant obtenu une clé
d’accès pour un ou plusieurs jeux de données, et leur permet d’utiliser le module COBS en liaison
avec le module TAXONS et les modules cartographiques de Serena.
Principe
Le système de bases de données réparties Serena a été complété récemment par la base Centrale
d’OBServations (COBS), qui centralise sur le serveur Web de Serena, sous une forme simplifiée et
harmonisée, les données des bases locales que leurs propriétaires souhaitent mettre à disposition des
utilisateurs qui le demandent – moyennant autorisation (clés d’accès).
Pour les utilisateurs distants et occasionnels qui ne désirent pas se lancer dès le départ dans Serena,
mais simplement télécharger, manipuler ou cartographier les données d’un organisme, la visionneuse
COBS offre une version réduite du logiciel, disposant cependant des outils adaptés à ces opérations –
sous réserve que ces utilisateurs aient pu au préalable obtenir les clés d’accès nécessaires.
Création préalable de la base de données
Pour faire fonctionner le mode visionneuse COBS – comme tout autre mode de Serena – il faut une
base de données contenant notamment la table COBS qui recevra les données récupérées du
serveur et que l’on pourra manipuler. Le nom de cette base et son emplacement peuvent être
quelconques : la solution la plus simple est de créer au préalable une base exemple, appelée par
exemple « MaVisionneuse.mdb ». La séquence des opérations est la suivante :
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installer Serena - avec ou sans licence
lancer Serena, qui va ouvrir la dernière base ouverte ou la base exemple
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cliquer dans la page d’accueil (celle qui apparaît à l‘ouverture) sur le menu « Créer une
nouvelle base… » puis sur le sous-menu « … de données exemple et l’ouvrir »
créer la base voulue sous le nom choisi (comme « MaVisionneuse.mdb »), Serena s’y
connecte
la liste déroulante « Formulaire » est positionnée sur « complet », sélectionner « visionneuse
COBS », ce qui aura pour effet d’adapter Serena tout en court-circuitant les avertissements
causés par le fonctionnement sans licence
A qui s’adresse le mode visionneuse COBS ?
Avant tout aux utilisateurs occasionnels désirant télécharger, manipuler ou cartographier les
données d’un organisme, et non intéressés par l’exploitation de leurs propres données, et pour ces
raisons ne souhaitant pas investir dans une licence.
Plus de détails
Le fonctionnement du module COBS est décrit en détail dans l’aide de Serena, dans la partie
décrivant les différents modules.
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