la machine à explorer le temps

APRÈS LE SUCCÈS DE « 20 000 LIEUES SOUS LES MERS »
Imaginaire Théâtre et Label Saison présentent :
LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS
adaptation théâtrale du chef d’œuvre de H. G. Wells
Traduction & adaptation : Sydney Bernard
Mise en scène et conception : Sydney Bernard
Direction d’acteur : Patrick Pezin
Avec : Sydney Bernard & Maxime Coudour
Musiques originales : Chapelier Fou
www.lamachineaexplorerletemps.com
Contact diffusion
Gwénaëlle - 06 78 00 32 58 - [email protected]
La Machine à explorer le Temps
L’HISTOIRE :
Intéressé par l'invention de la Machine à
explorer le Temps du célèbre écrivain H.G.
Wells, Albert Einstein, 16 ans, décide de le
rencontrer. Au cours de leurs échanges,
Wells lui raconte alors son incroyable périple
en l'an 802 701 :
Dans ce futur inconcevable, la Terre est
habitée par les Éloïs, descendants des
hommes. Androgynes, simplets et doux, ils
passent leur temps à jouer tels des enfants
et à manger des fruits dans le grand jardin
qu’est devenue la Terre. Le monde semble
être devenu un paradis… Mais cette apparente harmonie cache un terrible secret. C’est sous terre
que vit une autre espèce descendante aussi des hommes, les Morlocks, sortes de singes blancs aux
yeux rouges qui ne supportent plus la lumière à force de vivre dans l’obscurité. La nuit, ils vont et
viennent à la surface en remontant par des puits, pour kidnapper des Éloïs dont ils se nourrissent,
devenus ainsi leur bétail à leur insu.
Wells, dont la machine à voyager dans le temps a disparu, va devoir descendre sous terre et affronter
les Morlocks, pour retourner chez lui. Au cours de son périple, il se lie avec une Éloïe, Weena, et
nous livre ses réflexions et ses alertes sur le « possible » devenir de l’humanité.
Adaptée avec humour et poésie, cette histoire est une formidable leçon d'humanisme jouée sur un
fond de décor inventif.
PUBLIC ET MEDIATION :
Ce spectacle s’adresse à un public familial, tout public à partir de 8/10 ans
Durée : 1h20
Une adaptation spéciale représentation scolaire est disponible (dossier pédagogique disponible)
Durée : 45/50 min + temps d’échange
MENTIONS :
Vidéo & décors sonores : Loïc Le Cadre
Création du décor : Patrick Chemin
Création lumières : Patrick Fischer
Maquillages : Josiane Quilivic - Structures gonflables : ATC de Vannes
Production : Imaginaire Théâtre
Avec le soutien : Le Conseil Régional de Bretagne - Le Conseil Général du Finistère - Les Villes de Plouguerneau et
Brest et St Paul de Léon - Le Quai des Rêves de Lamballe – La Cité Centre des Congrès de Nantes
Création résidence : l’Espace Kéraudy de Plougonvelin - La Maison du Théâtre de Brest - L’Astrolabe de Le RelecqKerhuon - L’Alizé de Guipavas - Théâtre de Morlaix – Festival Les Utopiales de Nantes
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Note d’intention :
Un conte futuriste pour éclairer le présent
Après 20 000 Lieues sous les mers (1869), La Machine à explorer le Temps (1898) est la deuxième œuvre qui
ouvrira la voie au genre « science-fiction ». Herbert Georges Wells est d’ailleurs appelé souvent « le Jules
Verne Anglais ».
Albert Einstein avait 15 ans quand le chef d’œuvre de Wells est publié, 10 ans plus tard le célèbre savant
publiait la théorie de la relativité restreinte, première étape de sa machine à explorer le temps « relatif ».
C’est en s’inspirant du célèbre savant et en modernisant le contexte et le texte que nous avons construit le
spectacle.
Une nouvelle fois, Imaginaire Théâtre aborde un grand mythe de la littérature d’anticipation tout en servant
l’œuvre originale.
UNE MACHINERIE INGÉNIEUSE POUR UN DÉCOR VIVANT
A partir de trois tableaux d’école, se décompose toute une machinerie. Les deux plus petits tableaux,
recouverts de formules mathématiques et d’extraits de textes de l’auteur, laissent apparaître en pivotant,
l’intérieur du bureau de Wells. Le troisième dévoile un décor fantastique fait à partir du matériau « bruzan ».
Grâce à un système de soufflerie invisible, celui-ci se développe et se transforme, permettant ainsi à Wells
d’évoluer et de se déplacer dans un monde onirique pour raconter son histoire.
Au dénouement, l’ensemble de la matière se « replie » dans le tableau, « La Machine à explorer le Temps »
aspire Wells et le système de soufflerie emporte le public.
UNE AVENTURE DANS LE FUTUR POUR UNE LEÇON D’HUMANISME
La science-fiction est un vecteur intéressant pour comprendre le présent et imaginer le futur, mais bien
souvent oublié par les analystes. Les auteurs de science-fiction sont souvent les interprètes d’une société en
mouvement. Lorsqu’une idée irréaliste est publiée dans un roman imaginaire, elle est le plus souvent
concrétisée quelques années plus tard par des chercheurs ou acteurs de la vie quotidienne.
Traduite et adaptée de l’œuvre originale avec poésie et humour, la narration de l’histoire des deux plus
importants précurseurs du genre nous propulse au cœur de leur univers imaginaire et nous amène à une
réflexion autour de notre monde, de nos habitudes, de notre conception de la vie sur Terre et de l’impact
des conséquences de nos actes sur le futur. Cette adaptation insuffle une leçon d’humanisme certaine en
abordant le sujet des parties sombres de la conscience de l’humanité.
UN ACTEUR-CONTEUR, UNE MUSIQUE-ACTEUR
On retrouve le même principe théâtral que dans 20000 lieues sous les mers, basé sur « l’écriture du roman » :
un personnage rapporte son aventure (Wells) et place la narration au cœur d’un dispositif scénique en
perpétuel mouvement.
Le spectacle est accompagné par la musique de Chapelier Fou et les décors sonores de Loïc Le Cadre. La
bande sonore éveille sans cesse l’imaginaire et le spectateur est entrainé dans l’aventure comme dans un
conte musical où la musique raconte, les mots dansent, les lumières jouent les poètes. Les projections vidéo
et la mise en lumières donnent à l’ensemble une féérie et une poésie lumineuse sans jamais faire pléonasme
sur l’histoire. C’est un spectacle complet où chaque élément théâtral est au service de l’imaginaire.
Sydney Bernard
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Extraits de presse
« Un petit délice »
Europe 1
« Une aventure à la magie de décors mouvants, traversés de rayons effervescents »
Le Monde.fr
« Avec son décor inventif formant vallons et montagnes, l’humour très british, la machinerie et la mise en
scène sortent particulièrement de l’ordinaire…»
Le Figaroscope
« Un trip sidéral doublé d'une reflexion humaniste sur le présent et le devenir de l'humanité, lunaire et
poétique. Les kids ouvrent grand les yeux. Un joli suspens et des moyens scéniques ciselés. »
À nous Paris
« Sydney Bernard un conteur hors pair pour transporter le public hors du Temps »
Direct Matin
« Nous entrons dans un jeu de rôles à l’aide d’un décor vivant »
Théâtre Passion
« Une aventure palpitante, véritable leçon d’humanisme pour éclairer nos consciences »
Théâtrorama
« Sydney Bernard est un OVNI du spectacle avec sa base spatiale, L’Imaginaire Théâtre »
La Théâtrothèque
« Un spectacle placé sous le signe de l’imagination, de la poésie et de la féerie »
Froggy’s delight
« Comment réussir à nous emmener en 802 701 sans effets spéciaux ? Sydney Bernard y réussit d’une
façon éblouissante. »
Micheline Rousselet - SNES
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« THE TIME MACHINE »
« La Machine à explorer le Temps » (titre original : The Time Machine) a été écrit par l’auteur anglais
H. G. Wells en 1895. Cette œuvre est considérée comme un classique du genre sur le voyage dans le Temps.
Elle évoque pour la première fois en littérature, « une machine » pour réaliser un voyage dans le Temps.
C’est aussi l’œuvre qui ouvre et crée un genre nouveau : la science-fiction. Dès sa parution, le roman connaît
un succès considérable et donne à son auteur une notoriété qui ne le quittera plus.
L’œuvre ne connaît pas beaucoup d’adaptations : seuls deux films, deux bandes dessinées et une seule
traduction française. Notre spectacle est la première version pour le théâtre en Europe et a occasionné une
nouvelle traduction.
L’ŒUVRE AU CINÉMA :
En 1960 George Pal réalise la plus célèbre adaptation cinématographique du
roman.
en 2002 l’arrière petit fis de Wells réalise à son tour une adaptation pour le
cinéma.
L’ŒUVRE AU THÉÂTRE :
Une comédie musicale aurait été produite aux États-Unis sans que l’on n’en
retrouve pour le moment aucune trace.
Imaginaire théâtre est en tous les cas la première compagnie en Europe à
obtenir les droits d’adaptation pour le théâtre.
Herbert George Wells
« L’histoire de l’humanité devient de plus en plus une course
entre l’éducation et la catastrophe. »
« Il n’y a pas d’intelligence là où il n’y a pas de changement »
H.G. Wells
Journaliste, sociologue et romancier britannique, maître du récit de science-fiction
et d'anticipation, H.G. Wells est né en 1866 à Bromley, dans un milieu modeste. Il
s'intéresse à la littérature en autodidacte. En 1884, il obtient une bourse et se met
à l'étude de la biologie à l'université de Londres, sous la direction du physiologiste
T.H. Huxley, ami de Darwin. En 1895, il publie son premier roman, “LA MACHINE À
EXPLORER LE TEMPS”, qui remporte un succès immédiat.
Il est l’auteur de grands romans de science-fiction, L’île du Docteur Moreau (1896),
L'Homme invisible (1897), La Guerre des Mondes (1898), Quand le dormeur
s’éveillera (1899), Les Premiers Hommes dans la lune (1901), et de nombreux
essais sur la politique ou la religion.
Dès 1903, ses idées sur la science, la politique et l'histoire, l'engagent tant au
niveau littéraire qu’au niveau politique. En 1917, il devient membre du Comité de
recherche de la Société des Nations.
H.G. Wells meurt le 13 août 1946. Il est, avec Jules Verne, l’inventeur d’un
nouveau genre : la science-fiction.
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IMAGINAIRE THEATRE
Notre compagnie est bretonne, basée à Plouguerneau un petit village cotier dans le Finistère
Nord. Nous créons des spectacles originaux à partir d’inventions, de contes, de nouvelles ou
de romans liés aux aventures imaginaires.
Notre objectif est de mettre au service de la narration et du jeu d’acteur les moyens visuels
et théâtraux souvent utilisés pour les spectacles visuels.
Nous créons des spectacles à forte théâtralité pour tous les publics. Fidèle à
l’enseignement de Charles Dullin, que Sydney Bernard a reçu par sa dernière élève,
Imaginaire Théâtre choisit des œuvres fortes, des histoires éprouvées, avec un jeu
d’acteur exigeant.
Toute une équipe d’artistes, de créateurs, de décorateurs, d’inventeurs
travaille autour de chaque projet pour en faire une œuvre théâtrale unique et
nouvelle.
PRÉCÉDENTES CRÉATIONS :
20 000 Lieues sous les mers d’après Jules Verne.
La Mouche de G. Langelaan
Les Astrobulles (théâtre de rue futuriste)
Toy (l’histoire d’un clown Extraterrestre)
Sydney Bernard
Élève de Rose Dehan-Belmas (dernière élève de Charles Dullin), il suit
une formation complète de l’acteur, histoire du théâtre, mime, clown,
chant, marionnette, mise en scène et enseignement.
Il crée et dirige la première compagnie-école de théâtre à Paris agréé
par le Ministère de la culture (la Compagnie du Théâtre de l’Ombre).
Il crée « La Cité des Augustes » en Bretagne puis la compagnie
« Imaginaire Théâtre » en 2011.
QUELQUES MISES EN SCÈNES ET ROLES D’ACTEUR :
20 000 Lieues sous les mers - D’après l’œuvre originale de Jules Verne –Festival d’Avignon - Théâtre
DEJAZET, L’ALHAMBRA de Paris, en tournée dans toute la France et l’étranger jusqu’en 2014.
Les Astrobulles – Spectacle musical et visuel de rue – tour du monde pendant 6 ans
La Mouche - Mise en scène Jean Pierre Gaillard. 3 nouvelles de science-fiction d’après G.Langelaan.
Peau de Velours - Mise en scène Patrick Pezin. Textes : Dullin, Jouvet, Diderot
Toy - au cirque d’hiver Bouglione et au Palais de l’Élysée pour François Mitterrand, puis 10 ans en tournée
dans toute la France.
1789 bis - Théâtre de rue à Prague.
Le Contre-Pitre - Texte d’Hélène Parmelin – Mise en scène Rose Belmas-Déhan - Prix du Masque d’Or – Prix
du public – Prix de la SACD – Tournée en France pendant 4 ans.
Petrouchka - D’Igor Stravinski - Chorégraphie réglée par Serge Golovine. Rétrospective Nijinsky – Mise en
scène S. Golovine avec Rudolf Noureïev, au Théâtre du Chatelet et tournée Européenne.
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Thierry Le Gad
3 ans de formation de comédien aux conservatoires du 20ème arrondissement
et dans le 1er arrondissement de Paris.
Formation de comédien aux Ateliers Dubruit à Landerneau et à Plougastel Formation à la Cité des Augustes à Plouguerneau - Cours de mime et de chants
de 1990 à 1992 au Théâtre 13 à Paris. Cours de chant au Conservatoire de
Brest.
Il devient comédien-mime à la Cité des Augustes et à Imaginaire Théâtre –
Participe aux spectacles de rues « Les COCQ », Festival d’Aurillac et tournée en
France
Il crée avec Sydney Bernard « Les Astrobulles » et joue plus de 500 dates dans
toute la France et à l’étranger (2003 à 2009)
Il est marionnettiste avec « Les Marionnettes géantes gonflables », et participe
à de nombreux événements et festivals en France (Morlaix, Chalons, Aurillac,
tournée sur l’île de la Réunion). Depuis 2006 il est comédien-mime dans
« 20 000 lieues sous les mers ».
Patrick Chemin
Diplôme d’apprentis ébéniste spécialisé dans la menuiserie de décors pour le
spectacle vivant avec de nombreuses expériences dans différentes compagnies
de théâtre. Fabrication de machinerie pour grande illusion - Objets et
accessoires pour des marionnettistes - Expositions et scénographies pour des
institutions culturelles (Le Petit Écho de la mode, Château de la Hunaudaye).
Divers décors pour la compagnie « Théâtre du Loup Blanc » (marionnettes) ;
pour la compagnie de danse « Sui Generis » à Rennes ; pour la compagnie
« Josselin Parriette ». Participation à plusieurs créations de décors et
accessoires pour la compagnie « Royal de Luxe » de Nantes. Décorateur
pendant 17 ans de la compagnie « Le Masque en Mouvement ». Multiples
créations avec la compagnie « La Cité des Augustes » et maintenant
« Imaginaire Théâtre ». Projet d'habitat insolite avec le château de Kerouartz
Finistère (bateaux retournés en châtaignier massif).
Loïc Le Cadre
Passionné de musique depuis son plus jeune âge, Loïc Le Cadre rentre dans le
milieu du spectacle en tant que musicien dans plusieurs groupes de la scène
carhaisienne et brestoise. Il choisit de suivre une formation de technicien du
son et de la vidéo à Brest. Il rencontre ensuite Sydney Bernard et travaille
comme technicien pour « La Cité des Augustes ». Il réalise décors, bandes son,
costumes, régies son et lumière pendant plus de trois ans. Puis il rentre au
Quartz, à la Carène et dans d’autres structures pour y réaliser des création et
régies vidéo et son. Il part en tournée pendant quatre ans entre 2008 et 2012
en tant que régisseur vidéo avec « Notre besoin de consolation » et « Sous les
visages » de Julie Bérès et participe à la création de Gisèle Vienne « This Is
How you will Disappear ». Parallèlement à cela, il réalise des maquettes pour
plusieurs groupes locaux et des bandes sons pour plusieurs compagnies. Il
s’épanouit donc maintenant en jonglant entre la technique pure et la création
en son et vidéo.
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UNE MUSIQUE ORIGINALE de CHAPELIER FOU
La musique est en grande partie originale. Inventive et libre, c’est une création du jeune musicien Louis
Warynski (Chapelier Fou) et les ambiances et bruitages sont de Loïc le Cadre.
La musique de Chapelier Fou donne au récit un côté onirique et fantastique. On entre dans un conte, dans
une aventure autant par le récit que par l’inventivité musicale. Rien n’est appuyé, tout est suggéré. La
musique entraine ainsi le public dans une narration musicale en parallèle à l’histoire et au jeu d’acteur.
Les décors sonores de Loïc Le Cadre, qui a déjà réalisé la bande originale de « 20 000 Lieues sous les mers »,
sont composés d’ambiances, de bruitages et de mixages qui renforcent le coté fantastique du spectacle.. Le
jeune Brestois compose avec inventivité et talent des « sons » originaux qui enrichissent la narration sans
jamais l’alourdir ni l’expliquer. C’est un soutien dramatique ou émotionnel à certaines scènes ou pour des
transitions dans la mise en scène.
La bande sonore agit ainsi comme un acteur musical, elle est omniprésente, elle accompagne les
transformations scéniques et accentue l’imprégnation dans l’histoire.
À seulement 28 ans, le messein Louis Warynski alias Chapelier Fou est à
l'origine d'un son unique et innovant, qu'il a affiné au fur et à mesure des
années et des productions. Violoniste de formation et passionné de musique
électronique (notamment les sorties du label Warp) il imposera dès la sortie
de son premier EP, « Darling darling darling », un étrange mélange d'électro
et de musique classique. Véritable artisan du son, Chapelier Fou capture les
ambiances qui l'entourent, les transforme et travaille sur ''ce qui n'est pas''
pour finalement en retirer une substance à forte teneur émotionnelle. Avec
« Invisible », son dernier album en date, Louis Warynski livre son travail le
plus abouti à ce jour.
« Louis Warynski a mis la machine à imaginaire en marche »
Le Berry Républicain
PRESSE
« Le français a décidé d’écrire la BO rassurante de votre vie : chapeau » Les Inrockuptibles
« Passionnant, déroutant, et hors des sentiers battus » Longueur d'ondes
« Extravagant et raffiné » L'Humanité
« Chapelier Fou a su créer un univers envoûtant et coloré » Direct Soir
« Ce génie en a sous son grand chapeau » 20 Minutes
DISCOGRAPHIE
2012
Invisible
2011
Al Abama
2010
613
2009
Scandale
2009
Darling, darling, darling…
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MEDIATION
Sydney Bernard est disposé à rencontrer le public après le spectacle, lors des représentations tout public ou
scolaires (présentation, médiation, discussion, présentation de la machinerie, etc.)
Un dossier pédagogique est proposé pour un travail de préparation aux représentations scolaires.
En amont, Sydney propose également un atelier autour de la naissance de la science-fiction, en s’appuyant
sur des documents, des livres, des films (ex : Le Voyage dans la lune de Méliès) et des maquettes.
C’est l’occasion de découvrir l’auteur H.G. Wells et son œuvre d’anticipation. Mais aussi d’autres auteurs
comme Arthur C. Clarke, Adamov ou Barjavel et bien d’autres.
Une réflexion sur le rapport entre la Science et la Fiction est ouverte en fin de conférence en prenant appui
sur le point de départ que représente la Théorie de l’Évolution de Darwin, jusqu’aux théories d’Hubert
Reeves qui n’exclues pas l’existence de vie ailleurs que sur la terre…
« Le 24 novembre 1859, 42 ans après la publication de Frankenstein par Mary Shelley, Charles Darwin
publie sa théorie de l’Évolution et ouvre définitivement les imaginaires en bousculant les certitudes.
L’image de l’humanité est remise en question et son impact sera beaucoup plus important sur les
consciences, les savoirs et le regard sur notre monde que toute autre révolution scientifique.
À partir de cet instant l’homme est libéré de sa tutelle divine et peut enfin voyager dans un espace de
connaissances et d’inventions sans limite… Verne arrive, Stevenson emboîte le pas et Wells
transforme les essais. La science-fiction est née ! »
Sydney Bernard démontre ainsi que
la science-fiction ne fait pas
seulement montre de la capacité à
imaginer le futur ou l’impossible,
mais elle est également un miroir
critique sur notre époque et nos
comportements.
Durée : 45 minutes d’exposé et de
présentation d’objets, suivies d’un
débat/questions selon les groupes et
la disponibilité de chacun.
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« 20 000 LIEUES SOUS LES MERS »
Extrait de la revue de presse
- « C’est l’une des meilleures adaptations que j’ai vu d’une œuvre de Jules… » (Jean
Verne – Arrière-petit-fils de Jules Verne)
- “ Un OTNI ! Objet Théâtral Non Identifié !” (DRAC Bretagne).
- “ Inventif, drôle, poétique et touchant.” (Simon Eine, comédien)
- “ Culotté et surréaliste ! ” (Catherine Zarcate, conteuse)
- “ C’est incroyable, on en veut encore !” (Daniel Pennac – écrivain)
France-Inter : Une soirée inoubliable et quelle inventivité !!!
Télérama : Interprétation magistrale de Sydney Bernard acteur bouillonnant et
généreux. Poésie, énergie imaginaire foisonnant. Une réussite !
Le Monde : Défi relevé avec brio !
France 2 : Des comédiens qui enchantent et particulièrement ingénieux. Un plongeon avec bonheur
France 3 : Un spectacle étonnant dans une très belle adaptation qui jongle avec l’humour, la poésie et les
effets spéciaux...
TF1 : Un petit Miracle ! 20 000 lieues sous les mers comme vous ne l’avez jamais vu Jules Verne serait épaté
par ce spectacle débordant d’imagination fidèle au texte.
LCI : Une histoire à rebondissements, vous aussi vous voilà matelot !
iTélé : Sur scène un étonnant bureau-machine qui se transforme à volonté – Époustouflant, un spectacle
féérique !
Europe 1 : Un spectacle formidable à ne pas manquer
Radio France International : Un voyage merveilleux et envoûtant Il fallait oser !
Le Figaro : Une fête pour les yeux. Des changements de décors époustouflants. Aventures Fantastiques
imprégnées de magie et d’humour...
Canard Enchaîné : Un bol d’oxygène - Sydney Bernard irrésistible en conteur des grands fonds, truculent et
lyrique. Des surprises de taille !
Le Parisien : Un des 5 spectacles à voir...
Le Pariscope : Ingénieuses trouvailles ! Fort drôle et émouvant - À vous couper le souffle !
À Nous Paris : Sydney Bernard nous embarque dans un univers parallèle avec sa machine à rêver... Une
maîtrise absolue et réjouissante de la narration !
Les Échos : Poulpe Fiction - Un ovni théâtral- Abysses pétillants d’humour et de poésie – Un sacré équipage
pour réaliser ce rêve !
Le Nouvel Obs : Vous succomberez à la féerie de ce spectacle enchanteur !
Le journal du Dimanche : Immersion dans le fantastique.
Le Journal des spectacles : L’attaque du poulpe géant est un grand moment ! Un bain de fraicheur et
d’intelligence
France 3 Bretagne : Une féerie éblouissante
Ouest France : Magique et Surprenant
L’Est-éclair : Du jamais vu dans une salle de spectacle
Le Télégramme : Sydney Bernard est époustouflant
La Provence : Délirant, interactif et intelligent
L’alsace : Une pure merveille artistique
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