mermonte - Les Tontons Tourneurs

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mermonte - Les Tontons Tourneurs
MERMONTE
Titres en écoute, vidéos et concerts sur :
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http://www.facebook.com/mermonte
http://mermonte.com/
« Le premier album de Mermonte frisait déjà la perfection, Audiorama se conjugue au
plus que parfait » ALTER1FO
« On avait déjà l’intime conviction que le potentiel de Mermonte était énorme. On sait
désormais que les Rennais font partie des formations les plus passionnantes de
l’Hexagone à l’heure actuelle. » INDIEROCKMAG
« Mermonte fait figure désormais de fierté hexagonale » PINKUSHION
« On l’écoute depuis quelques semaines, on l’écoutera encore sans doute quelques
années.» LES INROCKS
« La ville, terre de rock et d’expérimentations en tout genre, voit émerger une nouvelle
génération de touche-à-tout ce qui peut faire du bon son. Si Niagara ou Marquis de
Sade en étaient les incontournables dans les années 80, Candie Prune ou Billy the Kick
dans les 90′s, elle est aujourd’hui représentée par Manceau, Juveniles, ou encore
Montgomery.» DU SON LA JOIE
« Audiorama est un disque qui s’annonce d’ores et déjà comme l’un des albums les
plus forts de la scène française cette année et qui confirme sans peine tous les espoirs
placés en Mermonte. » JEAN PAUL TARTE
Audiorama
LP / digital - mai 2014 - Clapping Music
TV
France 3 Régions – 17 juin 2014
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/06/17/mermonte-la-voix-commeinstrument-497607.html
CONTACTS
BOOKING :
AMC & Les Tontons tourneurs
François Levalet 02 31 94 29 70
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www.lestontonstourneurs.com
LABEL :
Clapping Music
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PRESSE
LES INROCKS
4 JUIN 2014 - CHRONIQUE
WEB
MOWNO
16 JUIN 2014 - INTERVIEW
http://www.mowno.com/articles/interviews/interview-mermonte-la-pop-autrement/
LONGUEUR D’ONDES
12 JUIN 2014 – CHRONIQUE
http://www.longueurdondes.com/2014/06/12/mermonte/?utm_source=rss
CHANSON FRANÇAISE
6 JUIN 2014 – CHRONIQUE
Pour baptiser les dix morceaux de son dernier disque, "Audiorama", Mermonte a choisi
une technique étonnante, donner le nom de membres du collectif rennais ou de
proches. Evidemment, c'est plus facile quand on navigue essentiellement dans des
compositions sans texte, mais tout de même, il fallait oser. Le single, "Karel
Fracapane", sort ainsi de l'anonymat le frangin du leader de la formation, Ghislain,
Mayennais exilé en Bretagne. Le procédé traduit bien l'originalité de cet orchestre rock,
dont les guitares cristallines emmènent une cavalerie qui sait très proprement faire
monter la sauce, à la manière d'un autre Breton, Yann Tiersen, mais avec une patte
bien à elle. Les nappes vaporeuses et le calme puissant de Mermonte déploient une
belle capacité à fédérer. Il parait que leurs concerts sont enthousiasmants, avec une
dizaine d'instrumentistes pour porter l'envolée. La performance a fait fondre les Inrocks.
Avec sa formation expérimentale Fago Sepia, Ghislain Fracapane a cartonné au Japon,
un pays où l'on aime les Français qui détonnent. Il faut désormais espérer que
Mermonte intéressera des scènes plus grand public.
http://chansonfrancaise.blogs.sudouest.fr/tag/mermonte
RENNES A COUP DE CŒUR
5 JUIN 2014 – CHRONIQUE
http://www.rennesacoupdecoeur.fr/2014/06/mermonte-audiorama/
PLAY LIST SOCIETY
4 JUIN 2014 - CHRONIQUE
Audiorama, le second album en question, propose un son à la fois lointain et proche, où
la personnalité du groupe s’étoffe au point que l’on devienne capable de reconnaître sa
pâte à tous les coups. Toujours à géométrie variable, Mermonte tourne aujourd’hui
avec une dizaine de musiciens, permettant le recours à un spectre d’instruments
encore plus large où l’on retrouve désormais clarinettes, flûtes, vibraphone, cordes et
cuivres. Pour résumer, les morceaux continuent de générer le plaisir d’écoute de titres
comme Grain sur le premier album, mais offrent simultanément une nouvelle
complexité, s’ornant d’arrangements fouillés, pour un résultat « plus » à tous les
niveaux : plus exigeant, plus énergique, plus intéressant.
http://www.playlistsociety.fr/2014/06/mermonte-collectif-contemporain/118769/
BLOG RICARD SA LIVE MUSIC
2 JUIN 2014 - CHRONIQUE
C'est l'histoire d'un type qui fait de la musique dans sa chambre, seul dans son coin,
avec son ordinateur, sa guitare, des percussions et un micro. Ses proches
l’encouragent, lui disent qu’il devrait jouer ses morceaux en live. Alors il se lance et,
persuadé que sa musique ne sortira jamais de sa petite ville, il prend, en écho au
succès dont il restera écarté, le patronyme d'un jazzman décédé que la reconnaissance
aura également soigneusement évité. Quelques années plus tard, après un premier
disque déjà pertinent, le voilà qui se retrouve à publier un ambitieux album de postrock, peut-être un des meilleurs dans le genre entendu en France ces dernières
années. Et comme s’il avait conjuré le mauvais sort, tout porte à croire que son nom
marquera finalement bien les esprits. Ce type, c'est Ghislain Fracapane et son projet se
nomme Mermonte, en hommage à Gustave Mermonte (pianiste de jazz français des
années 50/60 qui a joué avec Miles et Coltrane). Audiorama, le second album en
question, propose un son à la fois lointain et proche, où la personnalité du groupe
s’étoffe au point que l’on devienne capable de reconnaître sa pâte à tous les coups.
Toujours à géométrie variable, Mermonte tourne aujourd’hui avec une dizaine de
musiciens, permettant le recours à un spectre d’instruments encore plus large où l’on
retrouve désormais clarinettes, flûtes, vibraphone, cordes et cuivres. Pour résumer, les
morceaux continuent de générer le plaisir d’écoute de titres comme Grain sur le premier
album, mais offrent simultanément une nouvelle complexité, s’ornant d’arrangements
fouillés, pour un résultat « plus » à tous les niveaux : plus exigeant, plus énergique, plus
intéressant. Mermonte y défend ainsi un goût pour les mélodies et les arrangements
fouillés qui coulent pourtant de source. Les rythmiques se superposent, tout se
compose et se décompose, et on n’arrive plus à décompter les influences du groupe.
C’est assez flagrant sur Gaetan Heuzé où deux batteries se superposent, une caisse
claire quasi punk d’un côté, des rythmiques jazzy de l’autre. Cerise sur le gâteau, dans
sa capacité à faire décoller les morceaux de manière chevaleresque, Mermonte
rappelle aussi bien la fraîcheur d’Arcade Fire que celle de l’indie canadien en général
(Karkwa sur Fanny Giroud par exemple). Audiorama est ainsi un très grand disque.
Riche, profond et varié qui en appelle au fameux Music for 18 Musicians de Steve
Reich. Autant vous dire que ça n’arrive pas tous les jours.
http://blog.ricardsa-livemusic.com/2014/06/mermonte-chronique-du-nouvel-albumd%E2%80%99un-des-laureats-du-fair-2014/
JE NE SUIS PAS UNE FILLE
01 JUIN 2014 – CHRONIQUE
Audiorama marque une vraie évolution par rapport au premier album éponyme. D’abord
par un son moins frontal et immédiat, très orienté folk et jazz, à la fois riche mais rêche.
Audiorama, comme son titre l’indique, revendique une ambition certaine, les sons se
font plus amples, plus travaillés, la production et les effets de guitare troquent le
minimalisme pour un effet de masse saisissant. Les détours se font plus nombreux, un
soin particulier est apporté à la belle introduction Jérôme Bessout. De l’amusant postrock orchestral sur Cédric Achenza, de la cavalcade pop sous amphétamine
sur Angélique Beaulieu, de la musique de film maritime avec batterie sur Florian
Jamelot, de l’interlude acoustique auprès du feu de bois pour Mathieu Rouet, il y en a
visiblement pour tous et pour tout le monde dans ce sympathique hommage aux gens
et aux musiques qui ont façonné l’univers de Mermonte et de Ghislain Fracapane, son
compositeur principal. S’il fallait retenir un morceau, on choisirait sans doute Karel
Fracapane, single évident porté par son riff aérien. Dynamique et pourtant en
déséquilibre par sa signature rythmique, irrésistiblement joyeux et pourtant emprunt
d’une mélancolie, marque de fabrique du groupe (même si le très beau titre Cécile
Arendarsky fait très fort dans cette veine également et mérite qu’on l’évoque ici). Avant
toute chose, Audiorama est un grand tournoiement pop, qui transforme, envoûte et
fascine à la croisée d’univers que tout opposent, et qu’on retrouvent pourtant unis dans
un album de pop forcenée, désarmante de simplicité et pourtant diablement exigeante.
http://www.jenesuispasunefille.com/2014/05/mermonte-equation-pop.html
FOUTRAQUE
01 JUIN 2014 – CHRONIQUE
Mermonte est le projet du compositeur rennais et multi-instrumentiste Ghislain
Fracapane. Après avoir réalisé à la maison un premier album, notre breton a fait appel
à 10 amis instrumentistes pour présenter en live son album artisanal cousu à la main.
Ces prestations ont été salués par le public et les médias, gagnant par la même
occasion en 2012 le concours Les Inrocks Lab et le tremplin des Jeunes Charrues. Les
« vieilles » ce sera pour plus tard, quand les cheveux gris feront leurs apparitions.
Pour la réalisation de son 2ème album, Ghislain a fait appel à une vingtaine d’amis (et
contacts de Facebook) musiciens. Des amis chère à son cœur jusqu’à nommer les
titres des compos de son album du nom de ses potes: Jérôme Besout, Fanny Giroud,
Cécile Arendarsky, Florian Jamelot… Mermonte fait une musique (principalement
instrumentale) à la fois solaire, lumineuse et très orchestrale. Ici il y a beaucoup de
couches harmoniques à transporter notre cœur dans un état de « bien être » des plus
savoureuses, où seul e une mauvaise nouvelle (l e résultat des européennes 2014 ?)
peut nous nous perturber. On se sent bien dans l’espace mélodique d’Audiorama,
remplit de saveurs seines et agréable. Entre A Silver Mt. Zion, Arcade Fire, Mogwai,
Philip Glass et une sonate deRavel, la musique de Mermonte ne descend jamais. Au
contraire, elle reste à une température stable. Ici pas besoin de tsunami pour se faire
des frayeurs, juste le grand large, mais sans tomber dans Le Grand Bleu.
Avec Mermonte, attention à la marré bretonne !
http://www.foutraque.com/chronique_disque.php?id=4597
NO DRESS CODE
28 MAI 2014 - CHRONIQUE
Ce qui frappe le plus à la première écoute d'Audiorama, c'est l'incroyable confiance que
dégage désormais le collectif rennais. Les parties un peu fébriles parsemées sur leur
premier album éponyme ont fait place à une précision chirurgicale, autant dans
l'architecture des morceaux que dans leur enchaînement. Qu'elles soient électriques ou
acoustiques, les guitares balancent des sons d'une sensibilité hors du commun,
porteurs de mélodies irréelles. Frappées avec brio, les percussions apportent une
densité nouvelle aux pistes de Mermonte, qui se veulent plus appuyées, plus directes.
Mais qui savent aussi s'apaiser, pour nous offrir des pauses salutaires. Et évidemment,
les cordes, cuivres, piano, xylophones et autres réjouissances sont de la partie, chacun
trouvant sa place dans un environnement homogène. Mais nullement linéaire. Et
puis, Audiorama ne serait rien sans ces parties vocales si atypiques, chantées en
choeur, sans qu'aucune voix ne prenne le pas sur l'autre. Mermonte affiche une unité et
un équilibre tel dans ses compositions qu'il est difficile ne pas frissonner au moindre
changement de rythme, à la moindre apparition d'un son nouveau. Groupe atypique par
excellence, Mermonte est plus proche de la grande famille que de la formation
classique. Les titres des morceaux en sont la preuve flagrante, ramenant tous à des
prénoms de gens proches du groupe. Qu'on imagine tour à tour complexe, dynamique,
espiègle, introverti, rêveur, élégant. Auxquels on s'attache immédiatement. Et pourtant,
ce n'est "que" de la musique. Avec Audiorama, Mermonte (en)chante à l'unisson,
portant ses compositions d'une seule et même voix. Mélodieuse, raffinée, équilibrée,
quelques fois énervée, toujours contrôlée. Oui, Audiorama est une pièce majeure de
l'univers sonore hexagonal. Non, les compliments qui ne cessent de pleuvoir ne sont
pas usurpés. En tous cas pas selon mes oreilles.
http://www.nodresscode.org/chroniques/mermonte-audiorama-543.html
INDIEROCKMAG
27 MAI 2014 - CHRONIQUE
Emmené par leur leader Ghislain Fracapane, qui a dédié chacun des dix morceaux du
disque à l’un de ses amis au point de les baptiser en leur nom,Mermonte a su mettre à
profit ces deux années pour hisser encore plus haut la qualité de ses compositions.
Forme orchestrale aux confins de la première phase discographique de Yann Tiersen et
d’Andrew Bird, le combo Rennais distille un post-rock à tendance kraut-pop saisissant
et suffisamment varié pour ne jamais sombrer dans l’emphase gratuite ou la
grandiloquence. Si la patte du groupe est (déjà) aisément identifiable sur certaines
compositions, parmi lesquelles Andre Luddou l’envoûtant - et pas loin d’être le sommet
du disque - Cécile Arendarsky, des sonorités émanant de divers horizons, comme
autant de cordes à l’arc de Ghislain Fracapane, viennent bonifier l’ensemble.
Parmi celles-ci, on repérera l’introductif Jérôme Bessout qui aurait pu être composé par
le Trent Reznor devenu coutumier des BOs destinées à illustrer les films de David
Fincher. Fanny Giroud, pour sa part, évoque clairement le Sufjan Stevens mélodique
d’Illinoise tandis que quelques sonorités évoquant Beirut s’installent sur Florian
Jamelot. Curieusement, aucune de ces influences n’est revendiquée par le compositeur
qui cite volontiers Alice Coltrane,Nick Drake ou les Beatles. De nombreuses influences
variées et un son tout personnel déjà identifiable dès le second album ? On avait déjà
l’intime conviction que le potentiel de Mermonte était énorme. On sait désormais que
les Rennais font partie des formations les plus passionnantes de l’Hexagone à l’heure
actuelle.
http://www.indierockmag.com/article24689.html
NEXT LIBERATION
27 MAI 2014 – CHRONIQUE
Ils sont quatre ou onze ou sept, et ils sont Bretons. Mermonte a trouvé un joli nom pour
emmailloter sa musique venue du large, une folk qui ménage des ambiances paisibles
et cinématographiques pour mieux laisser le vent de leurs mélodies les emporter. On
pense aux Canadiens d'Arcade Fire première époque (Funeral) pour les accélérations
conquérantes cheveux au vent, mais surtout aux Danois d'Efterklang pour l'art délicat
des chœurs et du bruitisme enfantin. En ajoutant à cette pop sinueuse un
petit twist minimaliste à la Philipp Glass, Mermonte est prêt à prendre les festivals
d'assaut avec son deuxième album Audiorama (Clapping Music), après un premier
succès lors des dernières Transmusicales de Rennes.
http://next.liberation.fr/musique/2014/05/27/decouvrez-le-nouveau-clip-de-mermonteen-exclu_1028134
MOWNO
27 MAI 2014 – CHRONIQUE
http://www.mowno.com/features-disques/mermonte-audiorama/
PINKUSHION
27 MAI 2014 – CHRONIQUE
C’est peu dire qu’Audiorama fait franchir un cap au collectif rennais : plus fort, plus
électrique, plus expérimenté et audacieux, ce second album est une réussite sur bien
des plans. Il faut dire qu’entretemps, le collectif s’est agrandit au fil des concerts et
compte désormais onze musiciens, contribuant de ce fait a considérablement élargir sa
palette sonore. Les guitares acoustiques et le xylophone solitaire des débuts sont
rejoints par une kyrielle de nouveaux instruments : mellotron, vibraphone, instruments à
vent (clarinettes, flûtes), cordes, saxophone, trompette… un tourbillon d’arrangements
méticuleux. Forcément, la section rythmique est obligée de suivre et s’affirme pour
supporter cette fanfare hors-norme, comme si Mermonte s’était doté d’un moteur lui
offrant d’élargir et accélérer ses mouvements.
http://pinkushion.com/Mermonte-Audiorama
ALTER1FO
21 MAI 2014 – REPORT
Puis vient le tour de Mermonte. Rarement on aura attendu un concert avec autant
d’excitation. Et la dérouillée monumentale qui va suivre est proportionnelle à l’attente. Il
faut dire que tous les éléments étaient réunis pour assister à un concert d’exception :
Il y a tout d’abord ce nouvel album, Audiorama, que nous avons pu écouter quelques
jours avant le concert. Le premier album de Mermonte frisait déjà la
perfection, Audiorama se conjugue au plus que parfait : on a pu enfin acheter l’album
lors de la soirée, et il n’a pas quitté notre platine depuis. Leur pop orchestrale solaire
fait d’astucieux détours vers d’autres styles musicaux : cet album est un écrin
remarquable, qui renferme autant de pépites que de titres. Des arrangements
somptueux, des compositions qui fourmillent d’idées, une palette instrumentale élargie,
avec, entre autres, la présence de cuivres (on notera la présence exceptionnelle de
Mériadec à la trompette), et des choeurs toujours aussi réjouissants. Et le tracklisting
de l’album est un modèle du genre, parfaitement équilibré : un soin particulier a été
apporté aux transitions entre les titres, ce qui donne au final un album au sens propre
du terme. Une histoire que l’on écoute d’une traite et que l’on réécoute avec jubilation. Il
y a aussi la nouvelle disposition scénique : la section rythmique est maintenant installée
à gauche, libérant l’espace central de la scène. Les musiciens nous confiaient avoir
modifié cette organisation pour des raisons acoustiques. Une disposition qui permet
d’admirer le ballet permanent des multi-instrumentistes épatants qui jonglent d’un
instrument à l’autre. Une disposition qui a aussi le mérite de positionner Ghislain au
centre de la scène, tel un chef d’orchestre qui semble prendre plaisir à échanger avec
le public.
http://alter1fo.com/mermonte-ses-invites-illuminent-lantipode-81759
JE NE SUIS PAS UNE FILLE
20 MAI 2014 – REPORT
En clôture, et devant une salle quasi-comble, les rennais de Mermonte font leur entrée,
au grand complet (quelques instrumentistes rejoignent même la bande pour l’occasion).
On découvre une bande ravie d’être présente et de retrouver enfin le chemin du live.
“On a pas joué depuis 6 mois, et on avait clairement faim de scène !”. Savant
maëlstrom de musique pointue et accessible, de doux rêve éveillé et de doubles parties
de batterie, de dynamique rythmique et de grande complexité dans les arrangements,
on ne retiendra qu’une seule chose : on a écouté le deuxième album en studio et donc
aussi en live à présent, et il est merveilleux, on vous en reparle au plus vite. Côté
énergie, un quatuor dynamique, c’est toujours impressionnant, mais quand 14
musiciens aussi coordonnés et aussi ravis d’être présent se déchaînent en chœur d’une
aussi belle manière, c’est quand même extrêmement difficile de résister à la bonne
humeur ambiante. Tout une dynamique se crée autour des stops millimétrés, des
batteries entêtantes et rythmées, mais aussi autour des parties de guitare qui lient les
compositions et autour des moments de repos (ces belles parties de violon ou de
xylophone qui font aussi grandement le charme de Mermonte). Petite surprise du soir,
Dad Rocks! rejoint la troupe pour entamer une reprise d’un de ses morceaux, reprise
mariant bien le style folk mélodique de l’Islandais et la richesse orchestrale de
Mermonte. Petite habitude, le groupe joue ensuite un inédit tout en montagnes russes,
en compagnie d’amis qui se positionnent de chaque côté du public et tambourine sur
des toms pour donner une autre dimension au morceau. Côté gauche ou côté droit,
chacun choisit son camp dans la salle et profite du double spectacle : un pré-final
sympathique à l’image d’une soirée chaleureuse et conviviale où chacun se déchaîne,
mais en rythme ! Nourris de bis, Mermonte entonne Monte en second rappel (plus
impromptu ?), et repart comme il est arrivé, ce groupe impressionnant de simplicité pour
un projet aussi fou. On peut légitimement penser qu’il n’y a rien qui ressemble à
Mermonte dans la scène musicale actuelle, et que c’est une très bonne chose que leur
musique soit aussi géniale et jouissive.
http://www.jenesuispasunefille.com/2014/05/mermonte-audiorama-release-party.html
JEAN PAUL TARTE
15 MAI 2014 - CHRONIQUE
http://actu.net/redirect.php?url=http://jeanpaultarte.fr/2014/05/album-mermonteaudiorama/
DU SON LA JOIE
15 MAI 2014 - CHRONIQUE
Un drôle de nom pour appeler son groupe. Comme si des potes se lançaient un jour
dans la musique en se nommant "Soleilcouche" ou "Ventsouffle". Au fond, peu importe.
Ce qui compte là, tout de suite, c’est que Mermonte a mis en écoute le très
alléchant Audiorama, deuxième album des Rennais. Le disque est même commenté,
chanson par chanson, par la tête pensante du collectif: Ghislain Fracapane sur le site
des Inrocks.Un album époustouflant, orchestré de main de maître par le Fracapane à
tout faire, mis en valeur sur scène par la crème des musiciens de Rennes. La ville,
terre de rock et d’expérimentations en tout genre, voit émerger une nouvelle génération
de touche-à-tout ce qui peut faire du bon son. Si Niagara ou Marquis de Sade en
étaient les incontournables dans les années 80, Candie Prune ou Billy the Kick dans les
90′s, elle est aujourd’hui représentée par Manceau, Juveniles, ou encore Montgomery.
On pense d’ailleurs à ces derniers sur les plages de chant étirées des morceaux à texte
de Mermonte. Une sorte de marmite que chacun ferait bouillir en amenant
régulièrement du petit feu. Avec Audiorama, Mermonte nous enflamme carrément la
platine. Ses morceaux rappellent Sufjan Stevens (sur Cédric Achenza) ou la structure
des productions de Mogwaï (Gaëtan Heuzé). Oui, chaque morceau de l’album porte le
nom d’une personne. Mais en est-on vraiment à une bizarrerie nominative près?
http://dusonlajoie.wordpress.com/2014/05/15/mermonte-le-son/
LES INROCKS
14 MAI 2014 - CHRONIQUE
http://www.lesinrocks.com/2014/05/14/musique/mermonte-album-en-ecoute-enpremiere-commentee-11503990/
LES INROCKS
11 MARS 2014 – CHRONIQUE
« Il y a un peu moins de deux ans se mettait à souffler, de Rennes, une glorieuse
brise : Mermonte, large troupe de musiciens du cru, sortait son premier album
éponyme. Entre Sufjan Stevens, Tortoise et Steve Reich, entre les rondeurs et les
angles, Mermonte fut et reste, increvable arc-en-ciel, une merveille de pop solaire,
une cathédrale pointilliste de post-rock stellaire, arrangée dans l’opulence de mille
soies et jouée dans une joie contagieuse -ceux qui les ont vu sur scène aimeraient
pouvoir se blottir, à jamais, dans les arabesques magiques que dessinent les
Rennais. 2014, la brise bretonne pourrait se transformer en tempête. Celle qu’a
allumé dans les cœurs, il y a quelques mois, le magnifique single Fanny Giroud.
Celle, plus forte encore, électrique et électrisante, de Karel Fracapane, nouveau
morceau et véritable tube dévoilé il y a quelques jours sur la plantureuse
compilation de leur nouveau label, Clapping Music. Audiorama, deuxième album à
venir en mai, confirme l’immensité du groupe. De météorologie plus variable
que Mermonte, en montagnes russes enivrantes, plus électrique et rageur souvent
que son aîné, presque Godspeedien parfois, Audiorama est une tornade folle qui
emporte tout et tout le monde sur son passage, puis emmène tout et tout le monde au
portes du paradis. »
http://www.lesinrocks.com/2014/03/11/musique/cinq-bons-albums-venir-mermontehollie-cook-sisyphus-11486952/