Août - Sustainable Business Associates

THE
DelTAreview
an SBA Publication
Year 2, Issue 16, August 2005
INDUSTRY • ENVIRONMENT • MEDITERRANEAN
Chères lectrices, chers lecteurs,
CONTENTS/SOMMAIRE
ECONOMY
La Tunisie crée sa zone économique exclusive - p. 2
POLITICS
Mediterranean Strategy for Sustainable Development - p. 3
INDUSTRY
Biodiversity guidelines for mining sector touted - p. 4
Les Nations Unies ont déclaré 2005 l'année internationale du
Microcrédit. L'idée principale derrière les Objectifs du
Millénaire pour le Développement est l'amélioration de la
qualité de vie de milliards de personnes pauvres dans le
monde. Parmil les 8 objectifs approuvés, tels que l'éradication
de la pauvreté, l'éducation universelle, la promotion de l'égalité des sexes et de l'autonomisation des femmes, un des
moyens pour approcher ces buts est l'accessibilité au microcrédit. La
première 'banque pour les pauvres', la Grameen Bank, a été créée dans
les années 1970. Le succès a été immédiat et a ainsi aidé des personnes, qui n'ont normalement pas accès à des crédits, de démarrer une
activité économique. Les femmes sont les plus nombreuses et les plus
fiables bénéficiaires.
Actuellement, nous pouvons compter plus de 50 millions de bénéficiares et des prêts pour plus de 500 millions de dollars US. Mais, quelque
soit la somme prêtée, la spirale du crédit peut devenir infernale et contreproductive. Pour plus d'informations, je vous encourage à consulter
les pages Internet de la Grameen Bank: http://www.grameeninfo.org/mcredit/; ou d'autres sites officiels: http://www.yearofmicrocredit.org/; www.microcreditsummit.org/mearms/2004/index.html.
CLEANER PRODUCTION
Labels et bon sens - p. 5
TECHNOLOGY
Saving water in carwashes - p. 6
Dear Readers,
ENERGY
L'échange des quotas enfin expliqué aux industriels - p. 7
The United Nations declared 2005 the International Year of
Microcredit. The main idea behind the Millenium Development Goals
is the improvement of the quality life of billiards of poor people
around the world. Among the 8 goals approved, such as eradication of
extreme poverty, universal education, promotion of gender equality,
women empowerment, one of the means to approach those objectives are the accessibility to microcredit. The first 'bank for the poors',
the Grameen Bank, was created in Bangladesh in the last 1970s. The
success was immediate and helped people, who usually don't have
access to credits, to start building a business. Women are the biggest
and most reliable beneficiaries.
There are currently more than 50 millions of beneficiaries and 500 millions of US dollars lent. But, however big is the loan, the spiral of credit
can be vicious and counterproductive. For more information, I suggest
you to read the words of the founder of the Grameen Bank,
Muhammad Yunus: http://www.grameen-info.org/mcredit/; or other
official web sites: http://www.yearofmicrocredit.org/; www.microcreditsummit.org/mearms/2004/index.html
ENVIRONMENT
The Biosafety Clearing House for Lebanon national platform
for information sharing - p. 8
La protection de l'environnement peut éviter des coûts - p. 9
OTHER NEWS AND UPCOMING EVENTS
Call for proposals for LIFE Third Countries 2005-2006 - p. 10
WITH THE SUPPORT OF:
-1-
Economy
La Tunisie crée sa zone économique exclusive
FEMIP Bureau in Morocco
TUNISIE, Après le Maroc, l'Espagne, la France, la Croatie, la Libye, l'Algérie,
l'Egypte et Chypre, la Tunisie crée sa zone de protection en matière d'environnement ou de pêche, ou zone économique exclusive. Selon le texte du projet,
examiné dernièrement par l'Assemblée nationale, la zone économique
exclusive est une zone qui va au-delà des eaux territoriales de l'Etat mais que ce
dernier peut y exercer sa juridiction nationale, en interdisant, par exemple, l'accès à cette zone de certains navires vétustes ou polluants. A la seule condition
bien entendu de posséder les moyens de surveillance, car la Tunisie dispose de
plus 1300 Km de côtes, ce qui n'est évidemment pas facile à surveiller.
Rappelons que la zone économique exclusive étant limitrophe des eaux
internationales, le pays concerné peut y entreprendre plusieurs activités, telles
que la prospection des richesses halieutiques et énergétiques et la protection
de l'environnement.
Source : Web manager centre 28/06/05
MOROCCO, The President of the European
Investment Bank (EIB) and the Vice-President in
charge of the Facility for Euro-Mediterranean
Investment and Partnership (FEMIP), inaugurated
last 17 June 2005 FEMIP's Representative Office in
Rabat, in the presence of Morocco's Minister for
Finance and Privatisation. FEMIP is meeting the
expectations of both the EU and the Mediterranean
Partner Countries (MPCs). It is well known that
loans in MPCs are granted under the FEMIP. This
focuses primarily on nurturing the private sector
and financing the social and economic infrastructure underpinning its development. In 2004, FEMIP
lent a record E 2.2 billion in the Mediterranean
Countries, of which E 241 million in Morocco. In
addition, the aid provided under its Technical
Assistance Fund totalled E 13.8 million.
For further details: click here
Source: EMWIS Flash n°25, July 2005
Crédit grandissant
Plus de 10000 institutions, 60 millions de bénéficiaires, entre 500 millions et
1 milliard de dollars de prêts annuels. L'accès des plus démunis aux services
financiers n'est plus un vœu pieux. Ces dernières années, l'accès aux services
financiers est devenu une composante importante des stratégies de lutte
contre la pauvreté. Pourtant, jusqu'au milieu des années 1970, l'idée de prêter
directement aux " pauvres " était jugée trop risquée ou impraticable. Seules
quelques ONG s'y aventuraient. Jusqu'à ce qu'un jeune professeur d'économie,
Muhammad Yunus, torde le cou à ces préjugés. Constatant qu'une somme
minime d'argent est souvent suffisante pour démarrer une petite activité
économique et engendrer un cercle vertueux de développement, il crée une
banque indépendante, la Grameen Bank, et milite pour que l'accès au crédit soit
reconnu comme un droit universel. Le succès est immédiat et ne se dément pas.
L'impact sur l'amélioration des conditions de vie est palpable. Au Bangladesh,
selon la Banque mondiale, 48 % des ménages les plus pauvres ayant accès au
microcrédit sont sortis de l'indigence. Les femmes, premières clientes, ont gagné
en autonomie et vu leur statut s'améliorer.
Aujourd'hui, le potentiel est gigantesque : la moitié de la population mondiale,
soit environ 3 milliards de personnes, est exclue du système bancaire traditionnel. Si la microfinance réussit là où d'autres ont échoué, ou ne se sont tout
simplement pas aventurés, c'est parce qu'elle utilise des mécanismes flexibles et
créatifs. Les IMF quelles qu'elles soient se fondent essentiellement sur la
proximité de la clientèle et inventent des méthodes, des critères et des garanties
qui correspondent aux réalités locales.
Source : L'Intelligent.com 12/06/2005
Strategies for Developing Countries in the WTO Negotiations
on Agriculture
WTO, Agriculture lies at the heart of the Doha
Round agenda. As during the Uruguay
Round, success of the broader negotiations
will hinge on the results obtained in this area.
There are some critical issues for developing
countries that need to be addressed.
Developing countries want better market
access and higher prices for their farm exports, while at the same time ensuring
that their own agriculture is not exposed to undue risks, and the livelihood of
farmers is not endangered. This paper attempts to formulate the position that
would be in the best interests of these countries to adopt in the negotiations.
For full article : www.ictsd.org
Source : Bridges No.2-3, February-March 2005
-2-
La zone arabe a besoin de création de 100
millions d'emplois durant les 20 prochaines
années
La
croissance
économique que
connaît la zone
du Proche-Orient
et Afrique du
Nord, grâce à
l'augmentation
des
recettes
pétrolières, reste insuffisant pour faire face aux
grands défis imposés par le développement,
notamment la création de nouveaux postes
d'emploi à long terme, a affirmé mardi la banque
Mondiale. Selon un rapport de la BM, publié mardi
au Caire, dans les 20 prochaines années toute la
zone sera confrontée à la création impérative de
100 millions d'emplois afin d'absorber les
nouveaux demandeurs sur le marché du travail
ainsi que les chômeurs actuels.
Source : APS (Algérie) 09/08/05
FEMIP Ministerial Meeting
MOROCCO, Hosted by the Prime Minister of
Morocco, The 5th Ministerial Meeting of EIB's
Facility for Euro-Mediterranean Investment and
Partnership (FEMIP) took place in Skhirat (Morocco)
on 20 June 2005. The Meeting reviewed the policy
issues confronting Mediterranean Partner
Countries in their quest for sustained and sustainable growth and development. Ministers in particular focused on water and sanitation issues and the
development of the region's transport and banking
and financial sectors. FEMIP's 5th Ministerial
Meeting reaffirmed the strong commitment of 35
European and Mediterranean Finance and
Economy Ministers to forge a closer economic and
financial partnership and greeted with satisfaction
FEMIP's results.
For further details: click here
Source: EMWIS Flash n°25, July 2005
Politics
Environment and Development Thirty Years After Stockholm
It is ironical that present-day environmentalists nostalgically
look back to the 1992 Rio Earth Summit as a landmark event,
whereas at the time it was already regarded by many as a
compromise between the high ideals of the 1972 Stockholm
Conference on the Human Environment and the mercantile
interests of the rich countries. Since Stockholm, business has
triumphed in the battle between marketeers and the environmental idealists
who sought to create a world where nature and humanity intertwined in
harmony. The idealists reached their nadir at the 2002 World Summit for
Sustainable Development in Johannesburg, where private-public partnerships
reigned supreme and environmentalists were pointedly ignored and
marginalised. There is little doubt that between Stockholm in 1972 and
Johannesburg in 2002, the tables were turned against the environmentalists'
vision. We are back to before Stockholm, back to the unmitigated, even callous,
exploitation of nature to satisfy the profit drive of corporations, and the greed
of the rich consumers.The neo-liberal ideology is globally triumphant (for now).
It has put the global market at the centre of all things - trade, finance, development, water, health, education, energy consumption, the atmosphere, the
hydrosphere, the biosphere and the environment generally. The globalised
market, however, does not function on its own. There are powerful interests
behind it.This is the empire of the transnationals backed by the power of the US,
Europe and Japan, and by institutions such as the World Bank, the IMF and the
WTO. They pay lip service to development and the environment. However, all is
not lost. For example, the Kyoto Protocol on Climate Change is a significant gain,
even if in the short run it is unlikely to change the pattern of consumption and
commodification of energy. But things look the worst in times of change.
Matters are congealing at the global level for a backlash against the empire.This
is a slow process. In the meantime, what can be done? Without a radical shift in
the pattern of consumption and production, humanity is heading for an
environmental catastrophe.That message must be made part of the vocabulary
of the masses of people. The link between the environment and development
movements must be also further consolidated. Joint campaigns against the
inequity of the global system are still too few and too weak.
Source: Bridges No.4 April 2005
Transformer le PNUE en agence spécialisée des Nations unies
pour l'environnement
Les ministres français, allemand et espagnol de l'Environnement ont à nouveau
plaidé en faveur de la création d'une agence spécialisée des Nations unies pour
l'environnement (ONUE). Une initiative Européenne à laquelle s'oppose encore
les USA. La France vise à proposer le renforcement du mandat et des moyens
d'action de l'actuel Programme des Nations Unies pour l'environnement
(PNUE), en vue de contribuer à une amélioration de la gouvernance mondiale
de l'environnement. Son budget pourrait être alimenté par des contributions
obligatoires. La création d'une telle Organisation des Nations Unies pour
l'Environnement permettrait une meilleure visibilité et une plus grande force
politique à l'action internationale dans le domaine environnemental, estime le
ministère. Elle pourrait travailler à l'édification d'un code des règles environnementales donnant une plus grande cohérence au droit environnemental et
instaurer des relations plus équilibrées avec les autres grandes institutions internationales (OMS, OMC, OMPI, etc.).
Source :Actu environnement 01/06/2005
-3-
Dispositif commun sur la responsabilité
environnementale
EUROPE, La directive sur la "responsabilité environnementale en ce qui concerne la prévention et
la réparation des dommages environnementaux"
devra être transposée dans les législations
nationales d'ici le 30 avril 2007. C'est le premier
dispositif européen d'envergure visant à l'établissement d'un cadre commun pour la prévention
et la réparation des dommages environnementaux. La responsabilité en cas d'atteinte à la diversité biologique est une notion qu'aucun Etat
membre n'a prévu dans sa législation. Certaines
questions restent en suspens pour ce qui a trait
aux risques qu'encourent par exemple les entreprises chimiques ou les entreprises travaillant les
métaux ou les minéraux.
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/lvb/l28120.htm
Source : Business Network Switzerland Newsletter
20/07/2005
Mediterranean Strategy for Sustainable
Development
MED, The "Mediterranean Strategy for Sustainable
Development" was validated on 22 June in Athens
by the Mediterranean Commission for Sustainable
Development, the
advisory body for the
Mediterranean
Action Plan, a UN
programme falling
within the Barcelona
Convention for the
Protection of the
Mediterranean Sea against Pollution. Twenty-one
countries and the EU are parties to the
Convention, which was signed in 1975. The new
Mediterranean Strategy is structured around
economic, social, environmental, and political
objectives, as well as specific prioriaties. Indicators
(including 5 related to water issues) are provided
to assess progress made from 2010 to 2025. The
strategy is to be adopted by the Contracting
parties at their next meeting to be held in
Portoroz, Slovenia (8-11 November 2005).
See www.unepmap.org
Source: EMWIS Flash n°25, July 2005
Government "satisfied" with UN human
rights report
SYRIA, The Syrian government has declared itself
"satisfied" with points highlighted by the United
Nations Human Rights Committee last week,
accentuating the positive in the committee's
conclusions about progress on civil and political
rights. The committee, which monitors 154
countries signed up to the International Covenant
on Civil and Political Rights, received Syria's
periodic report in early July. After discussion and
debate throughout the month, it published its
conclusions and recommendations last week.
More info: Syria country report
Source: IRIN News 07/08/2005
Industry
Journées Nationales de l'Industrie Minérale
MAROC, La Fédération de l'Industrie Minérale
organise, sous l'égide du Ministère de l'Energie et
des Mines, les Journées Nationales de l'Industrie
Minérale les 23, 24 et 25 novembre 2005 sous le
thème: "Le secteur minier: Développement, promotion et Perspectives". L'organisation de ces journées
a pour but de faire le point sur les derniers
développements intervenus dans les techniques d'exploration, d'exploitation et
de valorisation des substances minérales. Elle offrira également l'occasion pour
des échanges d'expériences entre les professionnels et les experts aussi bien
nationaux qu'étrangers. Les thèmes proposés sont les suivants : Evolution et
perspective de l'industrie minérale mondiale ; Expériences et nouvelles techniques développées en matière de recherche, d'exploitation et de valorisation
des substances minérales; Coopération et partenariat dans le secteur minier;
Mine et développement durable.
Site Internet: www.fdim.ma
Biodiversity guidelines for mining sector touted
The mining industry must acknowledge the importance of biodiversity and learn to manage it effectively, according to a draft
version of new guidelines drawn up by the International Council on Mining &
Metals (ICMM) and the World Conservation Union (IUCN). The guidelines, which
were released for consultation mid June, provide best practice advice on incorporating biodiversity into environmental impact assessment, environmental
management systems and mine site restoration. Biodiversity is an increasingly
pressing issue as mining operations in remote, undeveloped locations intensify,
populations grow and public awareness rises, say the guidelines.They warn that
poor management of biodiversity by mining companies is likely to result in loss
of access to exploration opportunities, delays in project approval, increased
exposure to environmental risks, such as landslides, and increasing clean-up
costs. It could also affect companies' reputations and lead to a higher cost of
capital. ICMM and the IUCN suggestions include: planning for closure from the
outset of a project; protecting areas of high conservation value; and engaging
local communities in discussions about biodiversity.
The guidelines: www.icmm.com/news/632gpgbio_draft.pdf
Source: WBCSD 24/06/2005
Notre climat l'intéresse
HSBC, La banque britannique entend intégralement compenser ses émissions
de CO2 d'ici à 2006. HSBC entend d'ici à la fin de 2006 intégralement compenser
ses émissions mondiales de gaz carbonique (550'000 tonnes en 2003). Tout
d'abord, améliorer l'efficacité énergétique des locaux de la banque. Dans les
pays où cela est possible et rentable, bien sûr, les représentations locales se
fournissent en électricité produite par des modes de production utilisant les
énergies renouvelables. Dernier outil de la panoplie : les mécanismes de flexibilité. La banque de Sir Bond parie sur les mécanismes de développement propre,
notamment en Chine et en Inde. Quelle est la facture de la politique climatique
de HSBC ? Officiellement, 7 millions de dollars pour la première année (2005). Un
investissement raisonnable pour une banque dont le résultat net a dépassé les
31 milliards de dollars, l'an passé.
Source : L'Usine à GES n°11, avril 2005
-4-
Companies step up the pressure for
greener business travel
It is no longer enough for airlines and hotel groups
simply to dangle discount fares and room upgrades
to secure the loyalty of corporate clients. Now
customers are also beginning to demand sustainability. Flights that produce the lowest possible
greenhouse gas emissions, use solar energy, have
efficient waste management and show sensitive
handling of local employment have all entered the
equation when companies negotiate deals with
preferred travel suppliers. Large travel management companies are already monitoring flights
booked on behalf of corporate clients in order to
provide them with reports on the environmental
impact. Such awareness in the business travel
sector is relatively recent. Some travellers are being
asked to travel by rail where possible, and the use of
video conferencing as a substitute for face-to-face
meetings is also being encouraged.
Source: Financial Times 06/07/2005
Carmakers under pressure to speed up
CO2 cuts
EU, The average new car in the EU-15 was releasing
almost 12% less CO2 in 2003 than it did in 1995,
according to a Commission report. But pressure is
growing, especially from Berlin, to push automakers
to make further cuts. To steer clear of the threat of
EU legislation, European, Japanese and Korean car
makers have committed to reduce CO2 emissions
from new passenger cars to an average of 140
grams per kilometre (g/km) in 2008. The ultimate
objective is to reduce emissions to 120 g/km in
2012.The figures in the report- which apply for year
2003 - show European manufacturers were polluting the least with 163 g/km. Japanese cars emitted
an average of 172 g/km and Korean 179 g/km.
Source: Euractiv.com 24/06/2005
Dell Pledges 50% Increase in Product
Recovery Rate
USA, Dell has expanded its global
environmental goals for recycling, environmental design, and energy efficiency,
including a 50% product recovery increase. Dell last
year committed to increase product recovery from
customers by 50% as measured by weight recovered. Strong growth of Dell's Asset Recovery
Services in the United States helped the company
recover more than 11 million kilograms of used
product from customers, a 234% increase over
fiscal year 2004 results. Worldwide, Dell recovered
nearly 30 million kilograms of product during the
period. While expecting more modest growth rates
over time, Dell remains committed to increasing
product recovery rates, as reflected by its goal of
another 50% product recovery increase during the
company's fiscal year 2006.
http://www.dell.com/environment
Source: GreenBiz.com 13/06/2005
Cleaner Production
Business makes progress on SD reporting
More than half of the worlds biggest companies issues reports on corporate
social responsibility, says a recent KPMG survey. Moreover, there has been a
dramatic change from the purely environmental reporting
that dominated up until 1999, to the wider type of sustainability reporting that is seen in 2005, encompassing economic, environmental and social issues.The survey analyses trends
in Corporate Responsibility reporting of the world's largest
corporations.With this vast coverage of 1600+ companies, the
survey provides a truly global picture of how reporting trends
have developed over the last ten years. The KPMG survey
found that 64% of the Global Fortune 250 companies
reported on CSR either in their Annual Reports or separate CSR reports, up from
45% in 2002. Almost 70% of the reports were published as Sustainable
Development (SD) reports, while in 2002 more than 70% were labelled
Environment, Health and Safety (EHS) reports. Why actually do companies
report? While the most common driver for sustainability is "economic reasons"
(74%), more than 50% of the companies reported that their CR behavior is
motivated by ethics, values and the codes of conduct guiding their business
operations. Download the survey (1.4 MB)
Source : WBCSD 09/08/2005
Labels et bon sens
SUISSE, De plus en plus, le consommateur peut s'appuyer sur une multitude de
labels pour effectuer des choix écologiquement et socialement responsables.
En ce qui concerne les voitures, la Suisse dispose depuis 3 ans d'une"
étiquetteEnergie ". A y regarder de plus près, le classement mis sur pied par
l'Office fédéral de l'énergie et les importateurs réserve quelques surprises pour
le profane. Le défaut de la Renault est d'être trop légère. Pour
l'" étiquetteEnergie ", la meilleure voiture n'est en effet pas celle qui déplace le
plus écologiquement un certain nombre de personnes ou une certaine quantité de marchandises, mais celle qui consomme le moins de carburant pour
déplacer un kilogramme de son propre poids. En d'autres termes, si une petite
Audi A2 de 950 kg qui consomme 3.2 litres aux 100km obtient la note A, une
Saab 9-5 de 1900 kg obtient la même note en consommant plus du double. Le
service rendu par la seconde n'est pourtant pas deux fois supérieur à celui
rendu par la première.
La méthode utilisée pénalise clairement les petites voitures. Le poids est certes
un handicap important pour la consommation de carburant, lors des démarrages et des montées, mais il ne gêne plus dans les autres situations comme le
plat, les descentes et les phases de ralentissement. Pas étonnant dès lors que
très peu de petites voitures sobres et peu polluantes obtiennent une note
favorable alors que quiconque consulte le classement est frappé du très grand
nombre de véhicules de catégorie supérieure bien classés.
Le consommateur privé se voit ainsi confronté à ce qu'il faut bien appeler une
escroquerie intellectuelle et il lui faut exercer toute sa vigilance pour ne pas
être induit à acheter un véhicule plus polluant en croyant bien faire. Mais
lorsque certaines administrations et entreprises se donnent comme règle de se
fournir exclusivement dans les catégories A et B, cela en devient scandaleux. Par
une application aveugle d'une mauvaise norme, on privilégiera dans bien des
cas une solution moins économique et plus polluante pour la même utilisation.
Les labels, c'est bien, mais le bon sens, c'est mieux.
Roby Tschopp, NEST fondation collective
Source : 24 heures (Suisse) 27/06/2005
-5-
New Report Links Industrial Business
Performance, Environmental Compliance
USA, Local economies benefit when manufacturers
efficiently manage their energy use and their
industrial waste, according to a new report by the
Environment
and
Business
Roundtable.
Environmental Strategies for Industrial Development asserts that industrial competitiveness can be
improved by boosting waste management capabilities that also make it easier for companies to comply with environmental regulations. When applied
at the state level, as the report recommends, this
strategy becomes a foundation for economic
development. The Roundtable's economic development strategy can be applied in any state, with
potential benefits for a wide variety of stakeholders
including manufacturers, their suppliers, related
businesses, regulatory agencies, energy and water
distribution utilities, and taxpayers. A state or
region that implements the Roundtable's waste
management discipline, according to the report,
should be better able to retain, attract, and expand
industries that contribute to local economic
growth.
Report: online.
Source: GreenBiz.com 29/07/2005
Blowing in the wind: Producing wind turbine blades without VOC emissions
EU, A world-wide company that produces wind
turbine blades used a
LIFE-Environment grant
to develop a new moulding technique, which
reduces the emission of
styrene into the atmosphere by 95%.
The principle of the new technique is that the glass
fibre is placed in the mould, a plastic sheet is placed
over it and then all the air is sucked out, leaving the
glass fibre in a vacuum.The polyester is sucked into
the glass fibre through tubes and is then hardened.
The whole process goes on in a closed mould without any evaporation of styrene. When the plastic
sheet is removed from the hardened polyester
there is an insignificant evaporation from the hardened glass fibre. This project showed that vacuum
infusion technology is a step in the right direction
when producing fibre reinforced polyester. But all
things considered, vacuum infusion technology is
now a realistic option in the choice of production
methods.
Website: www.lm.dk
Source: LIFE FOCUS / The air we breathe : LIFE and the
European Union clean air policy, 2004
Technology
"Samsung" partenaire principal pour l'organisation du SMSI à Tunis
Energie solaire
TUNISIE, Une convention de partenariat a été signée entre le Comité d'organisation
du Sommet mondial sur la société de l'information et la société
''Samsung'', en vertu de laquelle cette société sera le partenaire
officiel dans cette importante manifestation onusienne
qu'abritera la Tunisie en novembre prochain. Cette convention
comporte une contribution de la société d'une valeur de
300'000 dollars, soit l'équivalent de 200'000 dinars tunisiens
dont des équipements électroniques et technologiques sophistiqués pour un coût de
150'000 dollars.Elle permet de faire la publicité de la société durant le déroulement du
sommet et présenter ses dernières créations et produits pour la première fois dans le
monde lors de cette manifestation.
Source : Infotunisie 09/08/05
DANEMARK, Des chercheurs danois ont annoncé
hier avoir construit un nouveau type de cellule
solaire en plastique dont la durée de vie est beaucoup plus longue que les modèles précédents, une
innovation qui pourrait ouvrir la voie à une énergie
solaire bon marché.
Source : 24 heures (Suisse) 16/07/05
Voiture " propre "
Treatment of domestic wastewater
TURKEY, The use of soil aquifer treatment
(SAT) systems is becoming common practice
in arid and semi-arid regions as a means of
achieving both additional water treatment
benefits, and storage of water to meet the
growing water demand by reusing wastewater
for non-potable purposes.During SAT, treated wastewater is intermittently ponded in
the surface-spreading basins to recharge groundwater. The ponded wastewater
percolates through an unsaturated soil or vadose zone to an underlying, unconfined
aquifer for storage. Then the recharged water is available for reuse through recovery
wells. Studies have indicated that the performance of SAT systems is primarily
controlled by soil type,effluent pretreatment and wet and dry cycle times.Depending
on these factors,significant improvements in water quality can be obtained.The major
water quality concerns associated with reuse of wastewater subjected to SAT include
dissolved organics, nitrogen species, and pathogens. These contaminants present in
the wastewater effluent are removed or transformed by physical, chemical and/or
biological processes in the vadose zone primarily, and subsequently in the aquifer.
Source: EEP Newsletter n°89 20/07/05
Saving water in carwashes
NETHERLANDS, A new invention has made car-washing more economical.Billions of
litres of drinking-quality water are poured down the drains of lorry-, bus- and carwashes every year.No-one uses rain water for this purpose,nor is rinsing water reused.
This could change with the introduction of a car-wash which uses only 5% of the normal amount of water. If all traditional washes were replaced with the BROW system
(Bio-recycling-Omni-Water), between 5.5 and 5.7 million cubic metres of water could
be saved in the Netherlands alone, with its population of 16 million inhabitants. The
system reduces water usage by at least 95%. "It works in two ways," explains Mike
Voesten of Afvaltechnik Natuurbeton Milieu."We use rain and groundwater,and water
used for washing is purified biologically to the extent that it can be passed on to the
supply. In this way, as well as water we save about 30% on detergents. After washing,
the water goes down the drain and into a sedimentation tank, where the sediment is
retained. Then the water passes through an oil separator for suspended pollutants,
and several treatment tanks. Natuurbeton Milieu has also designed systems for using
rain water, which form part of the BROW system. These automatic systems filter rain
water and store it in underground reservoirs. The water is then pumped to the carwash where it is used for final rinsing. If there is no rain water, an osmosis system is
used to supply the necessary additional water.
[email protected]
Source: EEP Newsletter n°89 20/07/05
-6-
UE, Le seul développement possible du secteur
automobile passe par la voiture " propre ", a affirmé
la Commission européenne. Elle a présenté hier les
nouvelles limites d'émission " Euros 5 " qui
devraient entrer en vigueur à mi-2008. Pour les
voitures équipées d'un moteur diesel, les émissions
de particules devront être réduites de 80% et celles
d'oxydes d'azote (NOx) de 20%. Les véhicules
devront être munis d'un filtre à particules. Les
voitures à essence devront elles aussi réduire leurs
niveaux de pollution. Pour les émissions de NOx et
des hydrocarbures, la baisse sera de 25%.
Source : 24 heures (Suisse) 16/07/05
Lancement d'une nouvelle radio privée en
Tunisie
TUNISIE Une deuxième radio privée, "Radio
Jawhara", a vu le jour en Tunisie, un an et demi environ après le lancement de la première station du
genre "Radio Mosaïque" qui, selon les sondages, se
situe depuis en tête de l'audimat. La première
chaîne de télévision privée "Hannibal TV" a pour sa
part vu le jour il y a six mois, après la décision des
autorités tunisiennes d'ouvrir le paysage médiatique au secteur privé. Outre ces jeunes radios
privées, la Tunisie compte sept stations publiques:
une radio nationale, une autre destinée aux jeunes
et cinq radios régionales.
Source : edicom.ch (Suisse) 25/07/05
Des responsables libyens reçus à La Kasbah
LIBYE-TUNISIE, Le premier ministre tunisien a reçu
au palais du gouvernement à La Kasbah le secrétaire du Conseil libyen de la Planification générale
et gouverneur de la Banque centrale libyenne. M.
Zlitni a affirmé que la visite de la délégation
libyenne en Tunisie a pour objectif d'examiner les
moyens de renforcer la coopération bilatérale et les
stratégies d'avenir visant à assurer la complémentarité entre la Tunisie et la Libye dans les domaines
scientifique et technique. Il a évoqué les projets de
partenariat que supervise la haute commission de
suivi dans les différents domaines, notamment, le
pétrole, le gaz naturel, le commerce et les
autoroutes, précisant qu'un plan d'action sera mis
en œuvre dans le but de promouvoir davantage ces
projets et de développer la coopération bilatérale.
Source : La Presse (Tunisie) 07/08/05
Energy
Lumière sur le soleil
Green energy will never meet needs, says
Exxon
SUISSE, Le 20 juin, Genève a mis partiellement en service la plus grande centrale
solaire de Suisse. Une innovation qui fait suite à l'inauguration, le 5 mai, d'une
centrale photovoltaïque sur le nouveau
stade du Wankdorf. Mais les choses ont beau
bouger, les défenseurs des énergies renouvelables tirent la sonnette d'alarme: la Suisse
reste en retard. Des ouvriers installent sur
leurs socles en bois les derniers panneaux
photovoltaïques du complexe SIG Solar III.
Derrière eux, à quelques centaines de
mètres, se dressent les cheminées de l'usine
hydroélectrique de Verbois, dans le canton
de Genève. Cette ancêtre de la famille des
énergies renouvelables est cent fois plus
puissante que la dernière-née. Et si à Verbois, les panneaux couvrent une surface
égale à deux terrains de football, huit cents stades seraient nécessaires pour
couvrir les besoins de tous les ménages du canton.
Cette nouvelle installation permettra de répondre à la demande des consommateurs en énergie certifiée verte. Mais le but est aussi de favoriser les développements technologiques, et donc de baisser les prix. A la production, le solaire coûte
actuellement 80 centimes par kilowattheure. A Verbois, il passera à 60 centimes et
l'ambition est d'atteindre, à terme, 40 centimes. A titre de comparaison, l'énergie
nucléaire coûte, à la production, environ 4 centimes.
Source: 24 heures (Suisse) 21/06/05
ExxonMobil, has dismissed solar and wind energy
as "inconsequential" and urges politicians to
concentrate on sources that would continue to provide 99% of future energy needs. Lee Raymond, the
chairman and chief executive, also argues that
areas such as the Arctic National Wildlife Refuge in
Alaska should be opened to exploratory drilling. Mr
Raymond has infuriated green groups and will
worry G8 leaders encouraging George Bush to do
more to fight global warming. Exxon is seen as a
significant influence on presidential energy
policies. He said: "There are many alternative forms
of energy that people talk about that may be interesting. But they are not consequential on the scale
that will be needed and they may never have a
significant impact on the energy balance.
He argues that even if alternative energy had
double-digit growth rates they would only supply
1% of the world's energy needs in 25 years' time. "I
am more interested in staying focused on the 99%,"
he said. Nick Rau, a campaigner at Friends of the
Earth, said: "His refusal to accept the need for
renewables is consistent with an inability to accept
climate change is happening."
Source: The Guardian (London) 07/07/05
Hybrid magic for trucks
L'échange des quotas enfin expliqué aux
industriels
Crawl behind a delivery van for a mile or two, and you quickly figure out that its
stop-and-start progress consumes an enormous amount of fuel and produces
clouds of noxious exhaust. That makes such trucks ideal candidates for hybrid
technology that uses an emission-free electric battery instead of its gasoline or
diesel motor to propel the vehicle at slow speeds, and that transforms the energy
created in braking into more electric power that can be used in the next driving
cycle. The first truck operator to try to exploit this opportunity in a big way is
FedEx Express, which put a fleet of 18 diesel-electric hybrid delivery trucks on the
road more than a year ago. FedEx delivery trucks are real stop-and-go junkies:
Each one typically makes about 100 stops per day and travels an average of 1,500
miles per month. In testing, the hybrids got 42% to 56% better mileage than
conventional FedEx trucks. A large part of the gain comes from exhaust filters
fitted to the four-cylinder Mercedes diesel engines, but hybridization can help
reduce diesel emissions in other ways too.
Source: WBCSD 25/07/2005
U.N. Global Compact Participants Report Progress So Far
The United Nations Global Compact Office has announced the results of the first
phase of a policy requiring corporate participants to disclose to their stakeholders progress in implementing the Global Compact's ten principles. The so-called
Communication on Progress policy requires that participants -- in order to avoid
being identified as inactive on the Global Compact Web site -- develop an annual
disclosure to their stakeholders on implementation actions within two years of
joining the Global Compact initiative. In joining the Global Compact, companies
commit to embrace and act upon 10 principles in the areas of human rights, labor
standards, environmental stewardship and anti-corruption.
Source: GreenBiz.com 19/07/05
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Pas facile de s'y retrouver lorsqu'on exploite l'une
des 1200 installations françaises devant participer
au marché des quotas d'émissions (raffineries, centrales électriques, verrerie, gazier, fabricant de coke,
de céramique, de chaux de tuile, de pâte à papier,
de céramique ou lorsqu'on exploite une installation
de combustion de plus de 20 MW). Le ministère de
l'Ecologie et du Développement Durable, la Mission
interministérielle de l'effet de serre (MIES), l'ADEME,
la Caisse des Dépôts et Energograd (l'un des deux
co-éditeurs de L'Usine à GES avec
O2 France) ont conçu un guide
plus pédagogique. En moins de
trente pages - illustrées, s'il vous
plaît- les experts et les rédacteurs
des cinq institutions rappellent les
grands enjeux de la lutte contre le
changement climatique, l'implication des industriels, le contexte réglementaire et surtout… le
fonctionnement concret du marché français des
quotas d'émissions.
Le Guide pratique du marché des quotas d'émissions de CO2 est également disponible auprès des
délégations régionales de l'ADEME et sur les sites
internet de la MIES et d'Energograd. A vos claviers!
Source : L'Usine à GES n°12, mai-juin 2005
Environment
The Biosafety Clearing House for Lebanon national platform
for information sharing
LEBANON The Biosafety Clearing-House (BCH) is an information exchange
mechanism established by the Cartagena Protocol on Biosafety to assist Parties
to implement its provisions and to facilitate sharing of information on, and
experience with, living modified organisms (LMOs). The BCH is essential for the
successful implementation of the protocol. For example, it provides a "onestop
shop" where users can readily access or contribute relevant biosafety-related
information. At this last phase of the NBF project, IBSAR and Netways in collaboration with UNEPGEF, the Ministry of Environment (MOE) and the United Nations
Development Programme (UNDP) are working on the development of the BCH
for Lebanon. The Lebanese Biosafety Clearing House, will be established as part
of the Clearing-House Mechanism of the Convention on Biological Diversity
accessible online at: http://bch.biodiv.org/about/default.shtml.
Through its BCH, Lebanon will ensure the transparency and promote the information sharing process, which are both vital to a dynamic and effective global
biosafety system. The BCH will be hosted at the Ministry of Environment (MOE)
and accessible to the public. The purpose of the LBCH is therefore to provide a
database of information and facilitate the exchange of scientific, technical, environmental and legal information on GMOs and assist the concerned authorities
in the implementation of the Protocol.
Source : Bulletin of the Lebanese biosafety framework project, issue 5, 31/04/05
Les Palestiniens accusent les colons israéliens de polluer les
champs et les couches aquifères
PALESTINE, Les colonies israéliennes donnant sur la ville de
Nablus pompent les eaux d'égout dans les champs autour de
la ville palestinienne et polluent la terre et l'eau, selon les
autorités palestiniennes. Amjad Jabr, directeur de l'Autorité
de la Qualité Environnementale (EQA) à Nablus, estime que
les colonies israéliennes regorgent d'usines qui produisent
de l'aluminium, du plastique, de la fibre de verre, des
détergents chimiques, de la peinture, des pesticides, des
produits militaires et des teintures, rejetant ainsi des
éléments polluants lourds tels que le chrome, le mercure et le
plomb. Jabr estime que "on ne peut rien faire d'autre que d'entrer en contact
avec les organisations internationales et les observatoires de l'environnement,
afin d'exercer des pressions sur Israël, pour qu'il s'abstienne de faire de telles
actions". Dr Tareef Ashour, représentant du Parti des Verts à Nablus soutient que
les organisations internationales ont constaté que les déchets des colonies
contenaient 200 types de poisons comme le chlorure, le tétrachlorure, le chlorure
de benzène et l'arsenic phénylique, qui polluent les couches aquifères.
Source : Sources Nouvelles No. 34, 01/07/05
Banking and environment
MAGHREB, The development of environmental and social safeguards for the
banking sector in three MENA countries, Egypt, Morocco and Tunisia is commencing following the award of the contract to ERM. This assignment involves
developing a set of environmental and social standards for lending and investment that can be adopted by financial sector institutions in the three countries,
and that would be supported by the central bank and environment ministry in
each country. The standards will establish environmental and social requirements that financial institutions would use to decide the terms on which they
would lend to their clients.The standards would be based on World Bank, IFC, and
national standards of the selected countries, and would address transactions in
project finance, corporate finance, SME lending, and trade finance.
Source : METAP Newsletter July 2005
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Des tonnes de produits pétrochimiques
dans la mer
ALGERIE, Des photos
transmises par les satellites algériens Sat I et II
ont démontré la présence
de plaques importantes
de produits pétrochimiques tout le long de la côte au large des pôles
industriels d'Arzew et de Béthioua, entraînant des
effets néfastes sur la faune et la flore marines. En
effet, des quantités estimées à plus de 20'000
tonnes de produits pétrochimiques sont déversées
illégalement par les pétroliers et les méthaniers
étrangers dans les eaux de ces deux ports reliés au
complexe pétrochimique d'Arzew. Selon le
directeur de l'environnement de la wilaya d'Oran,
des opérations de ballastage sont régulièrement
effectuées par les pétroliers et les navires étrangers
qui s'approvisionnent au terminal d'Arzew.
Pourtant interdites par la législation algérienne et
le droit maritime international, les opérations de
ballastage ont fini par entraîner dans leur sillage
des catastrophes écologiques perceptibles au
niveau des ports de Béthioua, de Mersat El-Hadjadj
et d'Arzew. Dans ce contexte, 24 624 tonnes de produits pétrochimiques ont été déversées dans la
mer au cours du 1er semestre de l'année en cours,
un chiffre qui donne le tournis.
Source : La liberté (Algérie) 19/07/2005
Solid waste management
MAGHREB, To develop capacity building and training, the RSWMP organized Country workshops in 8
beneficiary countries for 200 experts; Training
workshops for training local and national SW managers in Lebanon (130 attendees) and Syria (70
attendees) with a focus on the Integrated SWM
issues; and Using an "On the Job Training"
approach, the RSWMP are working with established
working groups on the application of 1-2 regional
guidelines. This has been initiated in Tunisia,
Lebanon, Syria, Morocco and Jordan. Under the
technical assistance and advisory services component, the RSWMP has mobilized national or regional experts to carry out A study on the development
of institutional options at the local level in Algeria;
an Analysis and recommendations on cost recovery
systems in Syria; and a Design of an Integrated Solid
Waste Management investment project in Tunisia,
coupled with the Carbon Finance Operation. As a
result of this project, the Government of Tunisia has
requested a US$20 million loan for integrated solid
waste management.
Source : METAP Newsletter July 2005
Environment
Europe 2005: The ecological footprint
EU, At the European Parliament today, WWF and
Global Footprint Network launched EUROPE
2005: The Ecological Footprint, a report showing
that Europe uses 20% of the biosphere's services
to serve 7% of the world's population - a
resource demand that has risen nearly 70% since
1961. José Manuel Barroso, President of the
European Commission, has endorsed the report,
which will be used to inform a larger EU effort to
craft a sustainable development strategy for the
region. Europe 2005: The Ecological Footprint is
based on Global Footprint Network's National
Footprint Accounts and presents case study and
time trend data for France, Germany, Greece,
Poland, and the United Kingdom as well as a comparison of the Footprint of 25
European nations. The report marks the first time Europe has ever tracked and
studied its ecological spending in relation to planetary limits, only to find that its
use of ecosystem services - such as food, fibre, energy, and land - has created an
ecological deficit for the entire region. The result: Europe's consumption levels
can continue to grow only by importing more natural resources, such as wood,
metals or fish, from other countries and dumping more of its CO2 waste into the
global atmosphere.
With a footprint more than double its own
biological capacity, Europe's well-being depends
on ecological capacity from elsewhere. As long
as its ecological deficit is unaddressed, Europe is
loosing its room to manoeuvre. Hence reducing
its Ecological Footprint is essential for Europe's competitiveness. The resource
crunch may not be felt yet in Europe where resource consumption is still increasing, but many of the 5.2 billion people living in low and middle income countries
- large numbers of whom struggle to meet their basic material needs - have been
facing an involuntary decline in their quality of life. Addressing these growing
social discrepancies will be critical to global security and all people's economic
prosperity.
Source: Footprint Network June 2005
Les ONG accusent la CSD-13 d'avoir des aspirations vagues
Un groupe d'Organisations Internationales Non Gouvernementales (OING) a
accusé les gouvernements à la Commission des Nations Unies pour le
Développement Durable (CSD) d'avoir des "aspirations vagues" plutôt que des
engagements pour agir. La 13ème réunion de la CSD, tenue du 11 au 22 avril
2005 à New York, a été la dernière à se concentrer sur l'eau. Un consortium
d'OING, dont Birdlife International, Tearfund, WaterAid et WWF, ont exprimé leur
frustration à propos des effets directs. David Redhouse, le chargé de politique de
WaterAid, a déclaré que les gouvernements ont refusé d'aller au-delà de leur
zone de confort et de prendre des engagements par rapport à un plan d'action.
Jo Phillips de BirdLife International a déclaré qu'il n'y a pas eu d'engagement
pour protéger les zones humides ou les bassins de forêts. "Sans une reconnaissance totale de la valeur et de l'importance des écosystèmes naturels et sans allocation de ressources et des efforts concertés pour les protéger et les gérer, le
développement durable et l'approvisionnement en eau resteront à long terme
un rêve merveilleux."
CSD-13: www.un.org/esa/sustdev/csd/csd13/csd13.htm
WaterAid: www.wateraid.org.uk/documents/consortiumstatement.doc
Source: WWF, avril 05 www.panda.org/downloads/freshwater/keyasks11april.pdf
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La protection de l'environnement peut
éviter des coûts
SUISSE, La protection de l'environnement est
bénéfique pour l'économie suisse. Tout effort pour
préserver la nature peut notamment éviter des
coûts. C'est la conclusion de six études mandatées
par l'Office fédéral de l'environnement (OFEFP).
Entre 1970 et 2002, on a ainsi économisé en Suisse
près de 16 milliards de francs de frais de santé
qu'aurait induits la pollution. La valeur ajoutée par
les particuliers et les entreprises dans la protection
de l'environnement atteint en Suisse quelque 6,7
milliards de francs, ce qui représente 1,6% du produit intérieur brut (PIB). Quelque 61'000 places de
travail à plein temps y sont liées. La Suisse exporte
en outre annuellement pour 1,4 milliard de
marchandises en rapport avec ce secteur.
Source : edicom.ch (Suisse) 12/08/05
Cost of environmental degradation
MOROCCO, A new breakthrough in METAP's Cost
of environmental degradation (COED) work is that
the COED studies are being used by the private sector as a decision making tool. The President of the
Association of Mediterranean Chambers of
Commerce in Barcelona used the COED country
profiles as background documents for the opening
session. The conference was attended by the environmental ministers of Spain and Catalonia, and
the COED findings were quoted by Government
representatives from Jordan and Morocco. The
Morocco Cost of Environmental Degradation
report has been translated into English and will be
available shortly on the METAP website.
Source : METAP Newsletter July 2005
Assainissement des eaux:
Marrakech, ville pilote
MAROC, L'activité globale de Marrakech - habitants et touristes - représentera bientôt 190'000 m3
d'eaux usées déversées chaque jour dans l'oued
Tensift, qui descend des montagnes de l'Atlas.
Marrakech ne dispose pas encore d'un système
d'assainissement des effluents. Ce sera chose faite
au début de 2007, date prévue de l'entrée en service d'une usine de retraitement fournie à la Régie
autonome des eaux et de l'électricité de Marrakech
par le groupe français Degrémont, filiale de Suez
Environnement. D'un coût total de 20 millions d'euros, cette installation est financée par la Banque
européenne d'investissement (BEI). Degrémont a
choisi un système de traitement simple et efficace,
sans chercher à imposer une installation aux
normes européennes ou américaines, qui peut
coûter jusqu'à vingt fois plus cher. Fort de ce premier contrat, le groupe espère en signer bientôt
avec d'autres villes africaines.
Source : L'intelligent/Jeune Afrique 19/06/2005
Other news & upcoming events
MENA Water
The Middle East and North Africa Region Water Resources and
Wastewater Network has just been launched on July 18th, 2005.
MENA Water represents an ongoing virtual network and moderated discussion forum. The aim of MENA Water is to provide a
platform for researchers, experts, practitioners and other stakeholder communities to openly discuss water issues of relevance
in the MENA region, with an overall goal of promoting
sustainable water management practices and collaboration
among the countries of the MENA Region.
To join: www.dgroups.org/groups/worldbank/MENA-Water/
Source: EMWIS Flash n°25, July 2005
Sommet du Millénaire + 5
Du 14 au 16 septembre 2005 se tiendra à New York (Etats-Unis) la
session spéciale de l'Assemblée générale des Nations unies
(AGNU) en vue d'évaluer l'avancement de la mise en oeuvre des
objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Le
Sommet du Millénaire +5 prendra la forme d'une plénière de
haut niveau de trois jours et de tables rondes interactives sur le
même modèle que celles tenues lors du Sommet du Millénaire.
Une réunion distincte sur le financement du développement se
tiendra le 14 septembre. Le sommet sera présidé conjointement
par le chef d'Etat du pays présidant la 59e session et l'AGNU (le
Gabon) et celui de la 60e session (la Suède). Les délégués des
grands groupes de la société civile ne seront pas invités à
participer au Sommet du Millénaire+5 pour des raisons d'espace
et de sécurité au siège de l'ONU. Des consultations avec les
groupes se tiendront plutôt les 23 et 24 juin 2005. Des consultations avec les groupes se tiendront plutôt les 23 et 24 juin 2005.
Source : Objectif Terre Vol 7 n°2, juin 2005
Base de Données sur les réalisations dans le
domaine de l'Environnement et le Développement
durable au Maroc
MAROC, le Secrétariat d'Etat chargé de
l'Environnement a initié un projet relatif à la "
Mise en place d'une Base de Données sur les
réalisations dans le domaine de
l'Environnement et le Développement durable au Maroc."
L'objectif de cette base de données est de doter le Secrétariat
d'Etat chargé de l'Environnement, ainsi que tous les partenaires
nationaux et internationaux dans le domaine de l'Environnement
et du Développement Durable, d'une base informationnelle,
dynamique et interactive leur permettant de mieux gérer les
ressources humaines et financières du pays.
Base de données :
http://www.minenv.gov.ma/onem/Projet/inventaires_etudes.htm
Source : Mediaterre, avril 05
Mediterranean Network on water resources
UNESCO, the city of Cannes, the United Nations
University and the University of Nice-Sophia
Antipolis have created the Mediterranean Network
UNITWIN / UNESCO CHAIRS on Water Resources,
Sustainable Development and Peace: with the
participation of universities, cities and economic players. Many
economic partners, cities and universities interested in subjects
involving water in the Mediterranean Basin have joined this
Network and these UNESCO Chairs. The main objectives of this
Network and these Chairs place water as a Development and
Peace vector in the world. This Network participates in the 7th
International Cannes Water Symposium which is held every year.
www.symposium-h2o.com/english/interface_eng/prix/prix.html
Call for proposals for LIFE Third Countries 2005-2006
The call for proposals for LIFE 2005-2006 has been published in the EC Official Journal on the 21 June 2005 (OJ 149 of 21.06.2005).
The EC invites organizations legally constituted in the eligible Third Countries, to present proposals for the LIFE selection round 20052006. The deadline of submission to the national competent authorities is 31 October 2005. On the other hand, the deadline of submission by the national competent authorities to the EC is: 30 November 2005.
http://www.europa.eu.int/comm/environment/life/funding/life-tc_call2006/index.htm
Source: EMWIS Flash n°25, July 2005
2nd Regional Training Workshop for Municipalities on Environmental Management,
14-18 November 2005, Beirut, Lebanon
The main purpose of the workshop is to transfer the know-how to municipal cadres in order to empower them with the right tools for
addressing properly the environmental needs of their communities. The workshop addresses environmental questions of global and
regional importance. It presents, as well, the latest techniques and methodologies used for managing environmental problems. The
topics covered in the workshop include: solid waste management, water and wastewater issues, socio-environmental conflicts, energy efficiency, climate change, environmental planning and many other themes.
More details: http://www.mectat.com.lb/
The DELTA Review, SBA's monthly e-newsletter,
compiles and reports recent news and events in the
fields of economy, politics, new technologies, cleaner
production. The information contained in this
newsletter is for information purposes only.SBA does
not represent or endorse the accuracy or reliability of
any advice, opinion, statement or other information
contained in this review.
Sustainable Business Associates (SBA) is an international NGO based in Switzerland. It cooperates with
enterprises within the context of sustainable
development, to encourage their participation in
environmental action, in order to simultaneously
improve their economic efficiency and reduce their
ecological impacts.
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Compiled by:
Sustainable Business Associates
60, Ch. du Petit-Flon
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