Propreté des bovins à l`abattoir: le Comité Directeur Syndical

Transcription

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20 juillet 2006
DEPOT : BRUXELLES X
EDITO
Propreté des bovins à l’abattoir:
le Comité Directeur Syndical répond présent...
Grand merci au Comité Directeur de la FWA
qui avait répondu présent au grand
complet ce lundi 10 juillet à un groupe de
travail de l’AFSCA dont le thème était «la
propreté des cuirs des bovins» lors de
l’entrée à l’abattoir.
Yves Somville
Pour rappel, ce règlement
européen, entré en vigueur
au 1er janvier de cette année,
impose une catégorisation
des animaux vivants à leur
entrée à l’abattoir, selon l’état de propreté de leur cuir.
Plusieurs articles dans Plein
champ ont déjà expliqué le
contenu de cette législation.
La FWA a décidé de réagir directement au caractère
ubuesque de celle-ci. Où va
s’arrêter l’inventivité des
fonctionnaires de plus en
Pages
11 à 14
plus coupés des réalités?
Pour la FWA, la position
est claire et nous l’avons rappelé une fois de plus aux
responsables de l’AFSCA ainsi que lors du point presse organisé à l’issue de la réunion.
Retenons:
la moindre des choses, est
qu’une fois pour toute nous
soyons associés aux négociations dès le départ afin que
l’on puisse faire entendre raison aux décideurs fonctionnaires et relayer quelques
considérations pratiques objectives lors des discussions;
nous refusons de considérer
que les responsables européens soient totalement hermétiques à une argumentation solide;
nous refusons de la catégorisation telle qu’elle est
présentée dans le règlement
et surtout nous refusons à ce
qu’un animal considéré comme très sale soit envoyé au
clos (dans quel monde de
nantis vivent ces «pondeurs»
de réglementation.);
Avant la concrétisation de
ces nouvelles dispositions, la
logique voudrait qu’ au minimum on dispose de preuves
irréfutables du lien entre la
présence de Coli dans la
viande et l’état de propreté
de la peau, et actuellement
ce n’est pas le cas;de plus selon une étude réalisée entre
1999 et 2003, la Belgique se
trouve avec le taux de contamination «coli» le plus bas
de l’espace européen, au
même niveau que le
Danemark, avec 0,73%,
contre une moyenne européenne de 7,1% et de
87%(et oui!) pour les USA
,mais dans ce pays, les carcasses sont traitées globalement à la sortie de la chaîne
d’abattage par ionisation ou
un autre procédé; est-ce cela
que veulent nos consommateurs?
Le caractère subjectif d’une telle catégorisation est inadmissible, il faut mettre en
place un mécanisme de recours!
Et enfin, lorsqu’un animal
quitte la ferme,l’éleveur n’est
plus responsable de l’évolution de la propreté du cuir
lors du transport ultérieur....Quid en effet lorsqu’un animal quitte la ferme
dans la nuit du dimanche au
lundi pour être abattu le mardi matin?
D’autres éléments furent
mis en exergue également,
comme la race BBB et le caractère plus diversifié du
cheptel belge.
Et que les fonctionnaires
de l’AFSCA arrêtent une fois
pour toute leur litanie classique de reporter tout sur l’échelon européen! L’Europe,
c’est nous tous et pas les autres; si nous le voulons, nous
pouvons agir à ce niveau
également! D’autant plus
que les chiffres repris ci-avant
indiquent clairement que la
situation est très différente
d’un Etat membre à un autre
et que dans ce cas précis, la
Belgique est plutôt bon élève.
Et puis, l’application d’un règlement est parfois bien différente d’un pays à l’autre.La
FWA s’est renseignée sur ce
point et a reçu des confirmations à ce qu’elle supposait:
dans d’autres pays, il y a encore une volonté de certains
groupes de citoyens à faire
en sorte que l’économie
tourne, tout le monde étant
finalement bénéficiaire du
mouvement......En Belgique,
il y a loin entre les discours et
la réalité, malheureusement....
Certains ont évoqué la
possibilité de laver les animaux trop sales. Ces
conseilleurs ont-ils déjà mis
leur main sous le jet d’un kärcher domestique? Non? Et
que dire des appareils industriels? Dans ce cas,il est étonnant que l’on n’évoque plus
subitement la nécessité de
tenir compte du bien être animal! Pourtant passer un animal au kärcher risque très
certainement d’être préjudiciable en termes de bien-être,
de stress, voire de séquelles
sur la viande.......
Nous nous arrêterons ici
car il faut reconnaître que
c’est un sujet qui fâche.
Précisons toutefois encore
que nos propos ne visent per-
sonne, ni une administration
en particulier, car in fine, la
responsabilité relève du politique. Mais l’AFSCA doit aussi accepter la critique, surtout
quand elle se veut constructive!
Par sa réaction de lundi
dernier, la FWA souhaite simplement que le bon sens reprenne sa place dans les négociations au «plus haut niveau».
A un moment où on n’arrête pas de nous seriner les
oreilles avec les termes
«compétitivité.....croissance
économique.....stratégie de
Lisbonne......une Europe forte dans le monde.....» il est
grand temps que TOUS nous
travaillons en vue d’atteindre
le même objectif. Car la FWA
n’acceptera jamais de contribuer à la mise en place d’un
désert économique agricole....
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I N T E R N AT I O N A L
Zone à hauts risques pour les négociations agricoles
Les choses ont très mal évolué à l’OMC
depuis la dernière conférence ministérielle
qui s’est tenue à Genève du 29 juin au 1er
juillet.
Richard Cydzik
En effet, les Commissaires
européens au Commerce et à
l’Agriculture, respectivement
Peter Mandelson et Mariann
Fischer-Boel, ont pris l’initiative d’ouvrir considérablement,
et davantage que le mandat
qui leur avait été accordé, les
marchés européens aux produits agricoles des pays tiers.
En l’occurrence,ils ont proposé de baisser non plus de
39% mais de 54% les droits
de douane sur les produits
agricoles importés. En fait,
l’Union européenne rapproche clairement de la sorte sa
position de celle du groupe
des pays émergents dits du «
G20 » qui sont emmenés par
le Brésil.
Il s’est agi apparemment
d’une initiative unilatérale
sans qu’aucune contrepartie
ne soit offerte par les partenaires de l’UE : ni par les pays
du G20 en ce qui concerne
l’ouverture de leurs marchés
de produits industriels et de
2
services, ni par les Etats-Unis,
en ce qui concerne les subventions internes à leur agriculture.
Autrement dit, une fois de
plus, l’Union est prête à ces
concessions sur sa politique
agricole. Et pas des moindres
: comme on le lira dans le
communiqué du Copa que
nous reproduisons ci-dessous, la diminution des droits
de douane de 54% acceptée
par les Commissaires
Mandelson et Fischer Boel risquerait de décimer les principaux secteurs agricoles européens : viandes bovine, porcine, de volaille, produits laitiers, céréales et fruits et
légumes.
Une véritable vision d’horreur ajoute justement le
Copa. Et comme le disent
nombre d’organisations agricoles nationales auxquelles
nous nous associons,il est impératif d’arrêter le massacre.
Plusieurs ministres comp-
tent soulever le problème du
dépassement de leur mandat
par les Commissaires
Mandelson et Fischer Boel
lors du Conseil agricole du 18
juillet à Bruxelles.
Il est cependant à craindre
que les Ministres de l’agriculture ne pèsent d’un poids insuffisant face aux pressions
qui vont être exercées au plus
haut sommet des Etats membres par la coalition des pays
émergents et autres EtatsUnis. C’est donc un appel vigoureux à résister qu’il nous
incombe de leur lancer, tant il
s’agit d’un enjeu vital pour
l’ensemble de nos sociétés,
d’autant que le gain d’un accord pour l’économie mondiale.
L’Agence Agra-Presse rapporte que le gain en tonnes
de revenu réel mondial d’un
accord serait de 0,23%.Dans
ces conditions, il est logique
de se poser la question de savoir si le jeu vaut vraiment la
chandelle de sacrifier l’agriculture européenne pour un
bénéfice aussi dérisoire.
Une nouvelle réunion à
haut niveau de l’OMC serait
prévue pour les 26 et 27
juillet. D’ici là, la plus extrême
vigilance reste de mise.
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20 juillet 2006
Genève a t-il sonné le glas des frontières agricoles européènnes?
L’agriculture européenne proche
d’une catastrophe à l’OMC
Voici le communiqué diffusé par le Copa
dont fait partie la FWA en date du 13 juillet.
Notre agriculture européenne est à deux doigts d’une catastrophe.Nos ministres
doivent camper fermement
sur leur position à l’OMC et
refuser que le choix de
l’Europe pour une agriculture
durable soit sacrifié dans le
seul but de satisfaire
quelques grands opérateurs
mondiaux.Tel est le message
qu’ont véhiculé les représentants agricoles du COPA qui
se sont réunis aujourd’hui à
Bruxelles le 13 juillet.
«Nous savions qu’un accord à l’OMC impliquerait des
sacrifices pour l’agriculture
européenne» ont souligné les
représentants agricoles. Et
d’ajouter: «Mais nous avons
été choqués par l’évaluation
réalisée par la Commission
européenne de l’accord actuellement discuté à Genève,
basé sur les propositions des
pays du G20, emmené par le
Brésil.»
Ce ne sont pas quelques
secteurs et/ou quelques régions de l’UE qui seront touchés.Tous les principaux secteurs - viande bovine, viande
de volaille, viande porcine,
produits laitiers, céréales,
fruits et légumes - seraient
décimés, avec des répercussions sur tous les autres secteurs.
Les recettes globales que
les agriculteurs tirent du marché chuteraient d’un quart.
Avec des coûts en hausse
constante, les revenus des
agriculteurs diminueraient
encore bien davantage. En
fait, la Commission reconnaît
que le secteur de la viande
s’écroulerait tout simplement
et que les productions de
viande bovine et de volaille
risqueraient de disparaître.
Tous les principaux secteurs - viande bovine, viande de volaille,
viande porcine, produits laitiers, céréales, fruits et légumes - seraient décimés
C’est une vision d’horreur
non seulement pour les agriculteurs mais également pour
les consommateurs et tous
ceux qui sont profondément
attachés aux zones rurales en
Europe.
Plus d’un million de personnes travaillant dans l’agriculture ou en lien avec l’agriculture pourraient sous peu
être contraintes à chercher du
travail ailleurs.
Comment les ministres assureront-ils la sécurité sanitaire et alimentaire alors que
nous devenons tributaires du
Brésil pour satisfaire nos besoins en viande par exemple?
Pas plus tard que la semaine
dernière,la Commission a publié un rapport accablant de
l’Office alimentaire et vétérinaire faisant apparaître que
nous importons du Brésil des
produits alimentaires pas
sûrs. La fièvre aphteuse sévit
actuellement au Brésil. Que
se passera-t-il alors en cas
d’épidémie de grippe aviaire?
Comment garantir aux
consommateurs que les denrées alimentaires qu’ils
consomment ont été produites dans le respect des normes environnementales et de
bien-être des animaux?
Ce n’est pas comme si
l’Europe obtenait dans ces
négociations des avantages
dans d’autres secteurs tels
que l’industrie ou les services.
Jusqu’à présent, Peter MANDELSON n’a jamais obtenu
de contrepartie qui profiterait
aux citoyens européens.
Quant aux pays les plus pauvres, ils n’attendent plus rien
non plus de ces négociations.
Les seuls à en tirer bénéfice
seront les grands exportateurs agricoles tels que les
Etats-Unis et le Brésil.
Toutefois, cette vision d’horreur n’empêchera pas le
Président BUSH de faire pression sur l’Europe pour qu’elle
aille encore plus loin lorsqu’il
rencontrera, ce week-end, les
dirigeants européens du G8,
et ce, alors qu’il maintient un
soutien financier massif aux
grands exploitants agricoles
américains.
Les représentants agricoles
du COPA et de la COGECA
ont déclaré que les prochains
jours seraient critiques. Ils demandent avec force aux ministres de camper fermement
sur leur position et de s’en tenir à l’offre substantielle qu’ils
avaient mise sur la table en
octobre dernier.
ACTUALITÉS
La FWA interpelle le Ministre Lutgen
Le mardi 18 juillet dernier, une délégation de la
Fédération Wallonne de l’Agriculture, soutenue
par les membres élus de sa base, était reçue au
Cabinet du Ministre Lutgen pour relayer nos
revendications. Nous reprenons ci-dessous le
texte du Président René Ladouce adressé au
Ministre à cette occasion.
Monsieur le Ministre,
La mise en œuvre de la conditionnalité dans le cadre de la dernière réforme de la Politique
Agricole Commune a constitué
l’un des faits majeurs de l’agriculture ces derniers mois.
Le droit au paiement unique
conditionné par le respect de diverses règles constitue aujourd’hui le revenu de base de nos agriculteurs.
Lors de la négociation sur les
grilles de pénalités, il avait été
convenu qu’après un an de mise
en œuvre, serait effectué un bilan
des procédures de contrôle et des
éventuelles pénalités engendrées
par ceux-ci.
Force est de constater qu’à ce
jour aucun bilan n’a été fait et
qu’il n’y a pas encore eu de
concertation pour l’intégration de
nouvelles matières dans la conditionnalité. Nous pensons en particulier aux matières relatives au
bien-être des animaux qui devront être d’application au 1er
janvier 2007.
Vous savez, Monsieur le
Ministre, que ces contraintes et
les contrôles inopinés qui sont un
mal nécessaire laissent planer sur
nos exploitations une crainte et
une angoisse de chaque instant.
Nous continuons à revendiquer une certaine déontologie
dans l’organisation de ces contrôles où l’objectivité doit être la règle et ne permettre aucune subjectivité dans le chef du contrôleur.
Un deuxième sujet sur lequel
nous souhaitons vous interpeller
est celui de la mise en œuvre du
Plan de Développement Rural
pour la période 2007-2013. Le
sujet est d’importance car si on
n’y prend garde, des moyens historiquement dévolus à l’agriculture pourraient être réorientés vers
d’autres acteurs de la ruralité, ce
que nous ne pourrons accepter.
D’accord pour plus de ruralité,
mais alors avec plus de moyens financiers. L’agriculture a plus que
jamais besoin de ses budgets
pour continuer à assumer la place
qui est la sienne dans le monde
rural.
Nous resterons donc très attentifs à la ventilation par axe des
moyens budgétaires dans le prochain PDR et nous serions heureux de connaître vos intentions
sur le sujet.
Du PDR à Natura 2000, il n’y a
qu’un pas et ici également, c’est
la disponibilité budgétaire qui
constitue, à l’instar de nos collègues européens, notre premier
souci. En effet, dans le PDR actuel, nous constatons que 75 à
80% du budget est consommé
par l’investissement et l’agri-environnemental. Demain, il nous
faudra intégré Natura 2000 dont
on peut légitimement craindre
qu’il sera particulièrement budgétivore compte tenu du poids des
mesures recommandées par la
communauté scientifique. N’eston pas allé trop loin dans ces mesures et ne risque-t-on pas de se
retrouver dans une impasse budgétaire ?
La FWA tient en tout cas à rappeler les termes de l’objectif de
Natura 2000 à savoir, le maintien
de la biodiversité existante dans
certains sites et non des stratégies
de redéveloppement de celle-ci.
Monsieur le Ministre, nous
souhaitons également vous interpeller rapidement sur les Mesures
Agri-Environnementales dont on
constate que les primes sont
payées avec des délais sans cesse
croissants. Cette évolution estelle causée par l’organisation des
contrôles, voire par des difficultés
au niveau des moyens budgétai-
res ? De même, les engagements
MAE sont intégrés depuis 1 an à
la déclaration PAC, ce que nous
apprécions en terme de simplification administrative.
Ne peut-on envisager de coupler le paiement des MAE au
paiement des DPU avec le versement du principal au 1er décembre et le solde en février-mars de
l’année suivante ?
En ce qui concerne la Directive
Nitrates, nous apprécions la
concertation entre vos services et
la FWA. Nous tenons toutefois à
vous rappeler 3 revendications
très précises.
* Donner la possibilité à l’agriculteur de réaliser des contrats
d’épandage complémentaires
après 30 jours après notification
du LS par les services de l’administration ;
* Diminution du pourcentage
de couverture hivernal des sols de
70 à 50% ;
* Mise en place d’une petite
dérogation pour atteindre une
norme de 170kg d’N/ha. Cette
dérogation étant particulièrement
importante pour les exploitations
qui ont principalement des cultures mais également du bétail.
Par ailleurs, nous avons eu
l’occasion de vous interpeller début de ce mois sur les conséquences d’un dépassement du taux de
liaison au sol dans le paiement
des aides régions défavorisées.
En tout état de cause, nous ne
pourrions accepter l’application
de double pénalité.
Avant de conclure sur un sujet
d’actualité, nous souhaiterions,
Monsieur le Ministre, vous entendre sur l’APAQ-W, son avenir,
son fonctionnement, son financement et en particulier, la contribution du secteur, mais également
sur la mise en place de la Société
Civile Laitière au sujet de laquelle
nous vous avons adressé des propositions courant juin.
Enfin comme tous nos concitoyens, vous aurez pu constater
les conditions météorologiques
particulièrement chaudes et sèches que nous connaissons depuis plusieurs semaines.
Certaines régions n’ont plus eu
une goutte d’eau depuis plus de 6
semaines. La récolte d’escourgeon qui s’achève traduit des
chutes de rendement de 10 à
15% par rapport à l’année passée avec une qualité des grains
correcte sans plus. Toute chose
restant égale, on peut s’attendre
à des chutes de rendement de
l’ordre de 15 à 20% en froment. Il
est encore trop tôt pour se prononcer sur les betteraves et les
maïs.
Par ailleurs les pâtures de certaines régions ne parviennent
plus à assurer le nourrissage du
bétail et nos éleveurs doivent déjà
entamer les stocks d’aliments
qu’ils conservaient pour l’hiver
prochain.
Face à cette situation, envisagez-vous, Monsieur le Ministre,
d’interpeller les autorités européennes afin d’autoriser par dérogation le fauchage des jachères,
comme cela a déjà été permis de
par le passé ?
Monsieur le Ministre, nous
sommes venus vous rencontrer ce
jour en délégation, soutenus par
une partie seulement de nos
membres, pour vous faire part de
nos interrogations et de certaines
de nos inquiétudes vis-à-vis de
l’avenir d’une activité agricole qui
apparaît parfois bien flou.
Sachez que vous avez face à
vous une organisation professionnelle agricole représentative
du monde agricole wallon par
l’adhésion de ses membres et à ce
titre reconnue comme partenaire
social responsable. Aussi nous
faisons clairement appel à plus de
dialogue et de concertation avec
votre Cabinet et votre
Administration et ce, dans un
souci commun d’assurer des perspectives valables à notre agriculture régionale.
Nous aurions encore pu vous
parler de précarité en agriculture,
de permis d’environnement ou de
la problématique spécifique à nos
amis germanophones, mais il s’agit-là de dossiers qui, à l’image
des dossiers évoqués précédemment, doivent faire l’objet d’un
dialogue entre nos entités respectives.
Je vous remercie de votre attention.
Laiterie coopérative de
Cheoux: assemblée
générale annuelle
En 2005, la coopérative de Cheoux a collecté
255,4 millions de litres de lait auprès de
1221 fournisseurs. Cette progression de 5
millions de litres résulte de l’arrivée de 42
nouveaux producteurs qui fournissaient des
laiteries qui ont arrêté la collecte.
André Gohy
Ces producteurs détenaient
pour l’ensemble un quota de
10,5 millions de litres.Pendant
la même période, 43 producteurs détenant un quota laitier
global de 6,3 millions de litres,
ont cessé leur activité laitière.
La concentration de la production se poursuit et atteint 202
131 litres livrés par les producteurs en 2005 contenant 41,2
grammes par litre de matière
grasse et 34,00 grammes par
litre de matière protéique.
Compte tenu du correctif matière grasse appliqué,ces livraisons représentent un quota de
219 300 litres.
Fin décembre 2005, 622
des producteurs représentant
73( de la collecte étaient
agréés QFL.En ce qui concerne
les marchés, les cours mondiaux des produits laitiers industriels exprimés en dollar se
sont maintenus à un bon niveau pendant le premier semestre malheureusement le
taux de change favorable
euro/dollar pénalise fortement
les exportateurs européens.
En outre, la consommation
européenne de matière grasse
est nettement inférieure à la
production. Le niveau des
cours mondiaux exprimés en
euro et les faibles restitutions
CE à l’exportation ne permettent pas de soulager le marché.
Par contre en 2005, les
cours de la protéine laitière ont
bénéficié de la demande industrielle européenne. Malgré
la baisse du prix d’intervention
de 5( en juillet 2004, les cours
de poudre de lait écrémé sont
restés stables jusqu’en juillet
2005. Ceci démontre que le
prix d’intervention n’est plus
un élément déterminant du
prix,c’est le marché qui est devenu prépondérant.
Entre 2003 et 2005, le prix
du lait a subi une baisse de
1,21 euros par 100 litres
(0,51FB/l) liée à la moindre valorisation de matières grasses.
En 2005, les producteurs ont
reçu une aide compensatoire
directe européenne de 2,42
euros par 100 litres (0,98 FB/l),
ce qui engendre usine progression de la recette en ferme de
0,46 FB/litre.
Cheoux détient depuis
2001,50 ( du capital de SOLAREC. Cette usine a transformé
614 millions de litres de lait en
2005 en poudre de lait,beurre
et dans une moindre mesure
en lait de consommation UHT.
Le plan d’investissement se
poursuit avec l’installation d’une nouvelle tour de séchage
plus économe en énergie et
plus performante.
Enfin l’accroissement des
capacités de production de lait
de consommation UHT est à
l’étude. Des efforts important
sont réalisés afin de réduire
d’une manière drastique les
coûts de l’activité de collecte,
activité qui subit de plein fouet
l’augmentation des coûts
énergétiques. Le secteur de la
transformation est confronté à
la mondialisation croissante.
Ce qui signifie recherche de
débouchés,compétitivité et efficacité.
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20 juillet 2006
3
LOCAL
Echo herbager
A M I C A L E D E S R E T R A I T É S D E L A F WA
«Le pays herbager fait place au pays
roussi»
L’été est bel et bien là. Le grand soleil est
également au rendez-vous pour le plus
grand bonheur du secteur touristique et des
enfants en congé scolaire.
Lucien Royen
Toutefois, la météo actuelle ne fait pas que des heureux. C’est véritablement un
climat de sécheresse qui a caractérisé les derniers jours:
des fortes chaleurs accompagnées d’un vent du nord-est,
mieux connu sous le nom de
bise. Le résultat est visible
dans nos pâtures.Nos pâturages qui devraient être bien
verts se transforment en déserts roussis.
Plusieurs d’entre nous ont
déjà entamé les réserves hivernales. Certes à la sortie de
l’hiver,il restait encore un certain stock dans les fermes,
mais le printemps qui a tardé
à s’installer avait déjà obligé
les agriculteurs à puiser dans
les stocks.
En ce qui concerne le maïs
la situation n’est guère
brillante. Ceux-ci avaient
connu de nombreux problèmes de démarrage suite aux
fortes pluies, maintenant il
souffre abondamment en raison du soleil.
La pluie est vraiment attendue avec impatience par tous
les agriculteurs. Pourtant, les
prévisions actuelles ne sont
guères rassurantes. Les tem-
pératures sont encore annoncées à la hausse, et pour ce
début de semaine, les météorologues font état d’un climat
qualifié de tropical pour ces
prochains jours.
En ce qui concerne l’activité syndicale, épinglons que
lundi dernier, le 10 juillet
2006, les membres de notre
Comité Directeur Syndical se
sont invités à la réunion de
coordination de l’AFSCA pour
soutenir nos représentants.
Cette réunion concernait essentiellement la propreté des
animaux présentés à l’abattoir.
Voici, la position de notre
Comité Directeur Syndical:
«Soucieux de poursuivre le
dialogue, nous refusons toutefois les termes de base de la
négociation. Il s’agit d’une
xème goutte qui risque de faire déborder la coupe et nous
profiterons de notre action
pour faire part de nos griefs
que nous avons à l’égard de
l’AFSCA et de son ministre de
tutelle Rudy Demotte.
Précisons,que l’objet de notre
action n’est pas d’attaquer
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20 juillet 2006
litiques, mais bien de lui
adresser un message clair et
ferme à son pouvoir politique
de tutelle. Une intervention
directement au niveau politique reste envisageable à l’avenir compte tenu de notre
appréciation de l’évolution de
ces dossiers.»
Cette semaine nous nous
rendrons au Cabinet du
Ministre Lutgen. La rencontre
est prévue ce 18 juillet 2006.
Elle se sera donc déjà tenue
lorsque vous lirez ces
quelques lignes.
L’ordre du jour est relativement copieux vu que nous y
aborderons différents sujets:
conditionnalité, programme
de développement rural,
Natura 2000, MAE, directive
nitrate, société civile laitière,
concertations Cabinet et
FWA.
En ce qui concerne la réunion qui s’est déroulée récemment à laquelle nous
avions convié René Ladouce
et notre directeur administratif Y. Hayez, a été très intéressante et unanimement appréciée par les participants.
Regrettons toutefois que
ceux-ci n’étaient pas très
nombreux.La faute non pas à
la qualité des orateurs,mais à
un important matche de la
coupe du monde.
Voilà, avant de prendre
congé de vous,je me permets
de vous donner rendez-vous
le week-end prochain à l’importante foire de Libramont.
Celle-ci se tiendra du 28 au
31 juillet. L’année dernière,
elle avait attiré 173.346 visiteurs, soit une augmentation
de 20.000 visiteurs par rapport à 2004.
La Foire agricole, forestière
et agroalimentaire de
Libramont est une gigantesque exposition en plein air.
Elle est une vitrine exceptionnelle de la ruralité qu’elle
aborde sous de nombreux
aspects: le machinisme, l’élevage,la forêt,l’agroalimentaire, l’horticulture et encore la
recherche, l’éducation et la
culture. Cette approche en
fait un événement sans pareil
en Europe.
Comme le disent les organisateurs,la foire s’est diversifiée et est aujourd’hui le rendez-vous incontournable de
tous les acteurs du monde rural.
A dans quinze jours dans
les lignes de ce journal ou au
week-end prochain au détour
d’un stand ou d’une allée de
la foire.
Namur
Jeudi 31 août
Croisière repas sur la Moselle de Grevenmacher à
Schengen, d’une durée de 4h. Visite du jardin des
Papillons et des caves Bernard Massard. Prix 70 euros, repas et boissons comprises. Départ de Ciney à
7h30.Inscriptions avant le 25 juillet auprès de V Kinif
082/613.121, N Floymont 082/223.391 ou J
Clarenne 082/743.119
Brabant
Le 1er septembre
Croisière sur la Moselle. De Grevenmacher à
Shengen pour 50 Euros par personne:déjeuner sur le
bateau: Quiche Lorraine, Coq au Riesling, Glace
Maison (boissons non comprises). Visite et dégustation de Crémant à Wormeldange.
Départs du car: Genappe-Bonne Ferme 7h30 et
Thorembais-Cœur d’Or 8h.
Inscriptions pour le 15 Août chez Temmerman
Marcel au 02/633.39.69 ou chez Hannet Marcel au
071/87.72.05
Voyage dans les Alpes Suisses de l’ARFWA
Brabant
Le dimanche 11 juin dernier, nos retraités se sont
lancés à l’assaut des Alpes Suisses, dans les Grisons,
à l’autre bout de ce beau pays.
Marcel Hannet
C’est avec une météo magnifique,très contrastée
avec celle que nous avions connue en mai,que nous
avons atteint sans encombres notre lieu de villégiature :au Post Hotel
à Davos (1560 mètres).
Une des trois stations élégantes des Grisons avec St
Moritz et Arosa.
La région de Davos compte 54 installations de ski,
+/- 300 km de pistes et 30 sentiers de G. R. Notre
hôtel, un peu à
l’image de ce
que
nous
avions connu
en Autriche, est
entouré d’un
paysage de pâturages, de forêts, de montagnes, dont certains pics sont
toujours enneigés.
Notre séjour fut jalonné de nombreuses excursions et visites,comme celle de cette magnifique vallée du Sertig où certains d’entre nous sont allés palper la neige amassée lors d’avalanches. A bord d’un
petit train de montagne, au départ de Choire (595
m), nous sommes montés à Arosa (1775 m).
Confortablement installés dans des wagons panoramiques,nous avons franchis des viaducs très impressionnants et découvert des paysages et des sommets
tout blancs.
Que dire aussi de ces paysans occupés à constituer leurs réserves pour le long hiver qu’ils ont à subir, avec des moyens humains et du matériel d’une
autre génération pour nous.
Le jeudi, nous sommes partis pour Lovigno, ville
hors taxe en Italie, par le col de la Fluela (2383 m).
Après nous être régalés sur place,nous sommes rentrés à notre hôtel pal le col de la Bernina (2323 m) et
St Moritz.
Notre dernier jour fut consacré à une visite de ce
centre de Congrès. Nous avons fait du lèche-vitrines
et du shopping, ébahis par les prix affichés dans ces
étalages de bijoux et de vêtements de marques très
huppées. L’après-midi nous sommes montés sur une
des hauteurs de Davos,au Schatzalp (1931 m) où est
rassemblée la flore des environs.
La dernière soirée fut consacrée au résumé de la
semaine et au rappel des différentes anecdotes par
Edmond.
Comme tout à une fin, le samedi, nous quittions
cette station sous un ciel morose qui s’est permis de
verser quelques larmes. Regrettait-il notre départ ?
Via Eguisheim le midi, dans la plus pure tradition
Alsacienne qui n’a pas été sans nous rappeler plusieurs de nos précédents voyages,nous regagnons la
Belgique dans la soirée,ramenés par Daniel,notre irréprochable chauffeur.
Quant à nous, toutes nos sympathies vont à tous
les participants qui ont répondu à notre offre et aux
nouveaux inscrits qui se sont très bien intégrés au
groupe.
Madame la Ministre Arena visite des fermes pédagogiques
Madame Marie Arena, Ministre-Présidente de la
Communauté Française et de l’Enseignement, a
visité ce lundi 26 juin la ferme pédagogique de
M. et Mme Nutin à Estaimpuis, et la ferme
d’animation la Prairie à Mouscron.
Valérie Mayerus
Après avoir été accueillie par les
élèves en visite à la ferme pédagogique Nutin, Madame la Ministre a
participé avec eux à la découverte
des bovins et des céréales. La collation,un bon verre de lait frais et des
gaufres maison, a été l’occasion
d’un échange avec les élèves et
leurs enseignants sur l’alimentation
saine.
La Ministre s’est ensuite entretenue avec M. Lobet, président
d’Accueil Champêtre en Wallonie,
et Mme Abras, présidente de la
Fédération des fermes d’animation.
Le débat a porté sur les problématiques suivantes :
- le coût du transport vers les fermes, avec évocation d’un partenariat avec les TEC,
- le nouveau décret qui requiert
une participation de 90 % des élèves pour pouvoir réaliser des activités hors de l’école en période scolaire,
- l’emploi dans les fermes pédagogiques,
- la motivation des élèves du
3ème cycle primaire et du secondaire pour les fermes pédagogiques.
Cette visite était réalisée dans le
cadre du projet Fermécole,partenariat entre les fermes pédagogiques
d’Accueil Champêtre en Wallonie,
et les fermes d’animation.
Fermécole organise différentes actions pour créer un espace de dialogue entre les acteurs des fermes et
de l’école, par exemple Ferme en
Classe (organisation de visites d’agriculteurs en classe,qui répondent
aux questions des enfants sur le
thème de la ferme), et les Fermes
Ouvertes aux Enseignants et à leurs
familles (portes ouvertes spécialement pour les enseignants, en septembre prochain, en fermes pédagogiques et fermes d’animation).
Pour plus d’informations sur les
fermes pédagogiques, contactez
Maryvonne Carlier (081/627 453).
Pour plus d’informations sur le projet Fermécole, consultez www.fermecole.be ou contactez Valérie
Mayérus (0479/42 58 92).
Partenariat entre les fermes d’animation et
les fermes pédagogiques, soutenu par la
Ministre-Présidente de la Communauté
Française, Fermécole travaille à la rencontre et au dialogue entre les fermes éducatives et les acteurs de l’école.
ACTUALITÉ
La Ministre Laruelle visite le premier producteur belge de biodiesel
La Ministre fédérale des Classes Moyennes
et de l’Agriculture, Sabine Laruelle, s’est
rendue chez Dow Haltermann, à Kallo en
province d’Anvers, pour une visite de
travail. Ce déplacement officiel est motivé
par le fait que cette entreprise chimique est
le premier producteur de biodiesel à
l’échelle industrielle en Belgique.
Au cours de sa visite, la ministre a annoncé que l’appel
d’offres officiel pour le quota
de biodiesel serait émis la semaine prochaine.Le biodiesel
est obtenu à partir d’huile végétale et est moins nocif pour
l’environnement que le diesel
normal.
Une directive UE
rend obligatoire
l’ajout de biodiesel
La Ministre Laruelle a visité le site de Dow Haltermann, le premier
producteur de biodiesel à l’échelle industrielle en Belgique
L’Union européenne a
édicté une directive pour ses
états membres visant l’ajout
de 5,75% de biodiesel au
diesel normal pour 2010. Les
autorités belges reconnaîtront en automne les
quelques entreprises de production qui pourront approvisionner le marché belge dans
le cadre d’un système de réduction de l’accise. Selon la
Ministre Laruelle,l’appel d’offres européen sera émis au
plus tard fin de la semaine
prochaine. Les entreprises intéressées sont invitées à soumissionner jusqu’au 20 août.
Le directeur commercial de Dow Haltermann, Luc Van Doren, fournit des explications à la Ministre Laruelle
concernant le biodiesel
La capacité de
biodiesel passe à
100.000 tonnes
Dow Haltermann qui
disposait depuis début 2006
d’une capacité de production
de 40.000 tonnes de biodie-
sel par an a décidé de passer
à 100.000 tonnes encore cette année. Cette capacité sera
pleinement utilisée à partir de
2007 après des investissements dans l’extension de la
logistique. Les moyens de
stockage du biodiesel seront
élargis et la capacité d’appontement dans l’Escaut sera
doublée.La majeure partie du
biodiesel produit est actuellement livrée sur le marché allemand où une exonération de
l’accise est en vigueur sur le
biodiesel.
WPU SF DP P QnS BU J W F XB M M P OOF EµB M JNFOU T DPNQ P Tn T
4$"3 hWPUSFJNBHF
S V F E F T N B S U Z S T I F S W F U n M J O G P ! T D B S C F
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20 juillet 2006
5
CONCOURS
Soignies: 61ème concours provincial BBB
Le provincial hennuyer est le seul à
présenter les deux rameaux de la race
Blanc-Bleu Belge, le viandeux et le mixte. Si
la poignée des éleveurs en mixte a toujours
une participation très élevée, 37 sujets
parmi les 45 inscrits soit 95%, les éleveurs
en viandeux prolongent leur bel effort de
l’année dernière en participation en
présentant 143 sujets par rapport aux 158
de 2005, soit cette année 66%.
lement champion «Aux Amis
de Tournai»,le voici de même
à un étage nettement supérieur champion des taureaux
d’âge moyen.
Nombreuses présences
et 1 champion pour
Vanderbecq Guy
L’élevage de la Ferme des
Croix est un des 2 éleveurs les
plus présents. Parmi ses 14
sujets, 6 se classent dans les
trios de tête dont 2 en tête.
Son lauréat de série des 9
mois, Indiscret de la Ferme
des Croix, est champion des
jeunes taureaux face à
Impeccable du Chemin de Fer
à Sébastien Vangansbergt.
@21BOD:L’association du
Brabant Wallon ne comptant
qu’un éleveur participant au
concours régional, Michel
Sablon, et n’organisant pas
de provincial, celui-ci concoure à l’Interprovincial HainautBrabant.Son élevage du Bara
fit mieux que se défendre,ainsi que l’élevage hennuyer de
Terniaux à Marnix et Johan
Vandromme.
En primipares, l’élevage du
Bara lutte contre lui-même et
est donc assuré du titre avec
Dragonne du Bara. Chez les
vaches, cet élevage à la double présence est cette fois
contré par l’élevage de
Terniaux avec Brillante de
Terniaux.
Chez les jeunes taureaux,à
nouveau Vandromme M et J
contre Sablon Michel.
Quant aux taureaux âgés,
les 2 rappelés sont des produits de Terniaux, l’aîné muté
chez Jean-Pierre Gheysen et
Paul Vandromme est le
champion.
Long-Pré
Le rameau viandeux
Double championnat
pour Lempereur Serge
Si l’élevage de Wayaux cartonne toujours dans les festis
même de haut niveau, il sait
apposer aussi sa griffe dans
son provincial hennuyer et
même dans les nationaux.
Une nouvelle fois,il est un des
plus présents et voit 11 sujets
parmi les 14 présents se classer dans les trios de tête dont
4 premier prix couronnés par
la championne des jeunes génisses, Lolita de Wayaux et le
champion des taureaux âgés,
Lucien Van de Gouden Polder
en
copropriété
avec
Schotmans et Van Isacker.
Plus parcimonieux,1 titre pour Lefèvre Michel
et Cédric
Si l’élevage du Château
Lebrun s’est mieux fait
connaître par sa championne
nationale Cassis du Château
6
Lebrun, il en a entre autres
plus d’une qui s’extériorise.
Plus parcimonieux en 8 présences mais non des moindres vu les 6 trios ponctués de
4 1er prix auréolés par la
championne Girls ET du
Château Lebrun.
Un titre couronne que
des trios pour Roman
Jean-Paul
L’élevage de l’Orangerie
sort très souvent à coup sûr et
donc privilégie la qualité à la
quantité.Ses 4 présences toutes parmi les 2 premières places dont l’une des 2 1ère prime Fanfan ET du Moulin à
Papier, championne des vaches.
Une présence, un
champion pour LiagreSory et Fils
L’élevage de Catégines
n’est pas à son premier bon
taureau tant en produit de
chez lui qu’en muté.Déjà faci-
Génisses non officielles de 13 à 14 mois: série de la
championne
Lolita de Wayaux (Lasso) à Lempereur Serge, Wayaux
Irrésistible de la Coulbrie (Ivoire) à Caty J-P, Soignies
Inspirée du Pont Royal (Circuit) à B .Q .S . Boclinville,
Ogy
Taureaux de 10 à 13 mois: série du champion
Istamboul de Catégnies (Libro) à Liagre-Sory & Fils, Pecq
Haubert ET de Fooz (Genièvre) à Vanderbecq Guy, Thieu
Inca ET des Prés Fostys (Latent) à Gryspeert Eric, Wayaux
Vaches de 5,11 ans et plus
Butée de Bray (Brutus) à Cauchie M. & CHr., Bray
Joie de L’ECluse (Bionique) à Lempereur Serge,
Wayaux
Dignité des PrésFontaine (Biscuit) à Hut René, Tertre
Primipares de 40 44 mois: série de la championne
Grils ET du Ch. Lebrun (Cubitus) à Lefèvre M. & Céd.,
Seneffe
Granada de Wayaux (Falco) à Lempereur Serge,
Wayaux, Fontaine des Frères (Notez-Le) à Ophals
Jacqueline ,de Ormeignies
Lucien Vd Gouden Polder (Emigré) à
Lempereur,Schotsmams,Van Isacker
Hourra ET de L’Orangerie (Fausto) à B.Q.S.
Boclinville & Roman , Ogy
Championne de primipares mixte: Dragonne du Bara
à Michel Sablon, Ceroux-Mousty
Vaches de 3,8 à 4,6 ans: série de la championne
Fanfare ET du Moulin Papier (Radar) à Roman J-P,
Grandmetz
Tinette des Turquoises (Bijoutier) à B.Q.S.
Boclinville& Cauchy , Ogy
Futée (Lasso) à Lempereur Serge, Wayaux
Primipares de 32 à 39 mois
Géniale de L’Orgelot (Coquin) à Scohiez Bernard, Pipaix
Gloriole de la Ferme Croix (Radar) à Vanderbecq Guy,
Thieu
Gourde de Bierrewart (Lascar) à Lumen Laurent,
Hellebecq
Championne des vaches mixtes: Brillante de
Terniaux à Marnix et Johan Vandromme, Vergnies
Indiscret de la Ferme Croix (Colibri) à Vanderbecq
Guy, Thieu
Indonésien de la Ferme Croix (Occupant) à idem
Individu du Blanc Dos (Artaban) à Decock Joël,
Quartes
Vaches de 4,7 à 4,11 ans
Eminence de Boulogne (Biscuit) à Frison J. & J-L.,
Bassilly
Eva de Wayaux (Lasso) à Lempereur Serge, Wayaux
Espionne de la Roquette (Expert) à Gustin J-L.,
Braine-Le-Comte
Champion des taureaux adultes mixtes: Fleuron de
Terniaux à Jean-Pierre Gheysen et Paul Vandromme
Permanence téléphonique
et accueil destinés
aux agriculteurs et agricultrices
0800/85.0.18 Numéro vert
PROPOSE
GRATUITEMENT…
99983396/2606plc adr
12h00 à 21h00 (lundi au samedi)
12h00 à 16h30 (mercredi)
• une écoute anonyme
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au niveau psychologique, social,
ӾQDQFLHUIDPLOLDOMXULGLTXH
UHFKHUFKHG·HPSORL«
• GHVIRUPDWLRQVHWGHVVHQVLELOLVDWLRQV
5XH*RGHIURLG
5000 Namur
Avec le soutien de la Région Wallonne
et du FSE/SPF Emploi, Travail et Concertation sociale
20 juillet 2006
SOCIÉTÉ
Quand les consommateurs abusent de substances toxiques
On sait combien l’agriculture est
périodiquement mise en cause dans
l’utilisation de pesticides alors que celle-ci
est en fait en diminution régulière depuis
des décennies.
Depuis pas mal de temps
cependant, il apparaît qu’il
est d’autres responsables de
l’usage immodéré de pesticides: les consommateurs individuels notamment pour l’entretien de leurs pelouses et
jardins, ainsi que les pouvoirs
publics dans leur gestion de
divers espaces verts.
Pour ce qui est de la
responsabilité du consommateur individuel,un rapprochement peut être effectué avec
les résultats d’une enquête
récemment effectuée par le
Crioc (qui rassemble les organisations belges de consommateurs) et qui porte sur l’usage des insecticides,antinuisibles et autres antiparasites.
Les résultats sont édifiants:
l’usage qui devrait être fait de
ces produits est loin d’être
parcimonieux et rigoureusement localisé dans l’espace et
dans le temps,déborde largement les nécessités réelles de
lutte contre les insectes,puces
et autres rats, souris et limaces.Il a en fait tendance à être
préventif. Ce qui donne lieu à
des excès alors que les substances utilisées sont souvent
très toxiques.
L’étude du Crioc fait ressortir les résultats suivants.
Insecticides
Les insecticides sont majoritairement achetés en grandes surfaces (8 sur 10), un
ménage sur trois achète en
moyenne 3 produits insecticides chaque année. Cet achat
se réalise souvent dans une
logique de prévention, surtout parmi les groupes sociaux inférieurs. Les aérosols
ont la cote, avant les poudres
ou autres moyens de lutte.
Pour les insectes volants, le
papier collant tue-mouche et
les diffuseurs électriques sont
également souvent cités.
Antinuisibles
Quant aux antinuisibles, il
s’agit surtout d’appâts empoisonnés ou de pièges mécaniques. 55% de ces produits sont achetés en grandes
surfaces,19% dans un magasin de jardinage. Détaillants
spécialisés, magasins de proximité, pharmacies, magasins
animaliers ou de bricolage se
partagent le reste du marché.
Un ménage sur quatre a
acheté des antinuisibles en
2005,en moyenne 2,2 achats
sur l’année. Les groupes sociaux inférieurs achètent
moins cette catégorie de produit que les groupes sociaux
supérieurs. Le réflexe préventif est moins marqué pour cette catégorie de produit mais
est encore le fait d’une majorité d’acheteurs alors même
que le risque potentiel est
moins prévisible.
Antiparasites
Les antiparasites sont surtout achetés en pharmacies
(41%), ensuite en grandes
surfaces (27%) puis dans les
magasins animaliers (23%).
7 fois sur 10, cet achat se ré-
Les antiparasites sont surtout achetés en pharmacies (41%)
alise au moment de la perception du risque et sur prescription du vétérinaire. Un
ménage sur cinq achète 2,7
produits antiparasites chaque
année. Le collier anti-puces
est la solution préférée pour
les chats, le shampoing pour
les chiens.Près de 3 ménages
sur 4 déclarent ne pas connaître de problème avec leurs
animaux de compagnie. Pour
les autres, l’utilisation est encore souvent préventive, en
particulier parmi les groupes
sociaux inférieurs.
Conclusions
Insecticides, antinuisibles
et antiparasites sont censés
répondre à un problème précis et saisonnier.Beaucoup de
consommateurs sont conscients des risques d’utilisation
de ces produits. Or ils les
achètent majoritairement de
manière préventive, ce qui
n’est pas utile.Il n’est pas rare
qu’ils s’équipent de plusieurs
produits différents et les stockent d’une année à l’autre.
C’est surtout vrai pour les
groupes sociaux inférieurs,
qui gagneraient à être mieux
informés sur ces produits
pour en faire un usage plus
parcimonieux.
Etude complète:
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20 juillet 2006
7
ENVIRONNEMENT
Liaison au sol, la conditionnalité se met en route
Si vous avez dépassé de manière plus
significative le taux de liaison au sol 2005,
vous devez avoir reçu un nouveau courrier
de la DGRNE précisant le code infractionnel
lié à la conditionnalité. Ce code détermine la
pénalité qui s’appliquera à votre paiement
unique de l’année 2006 pour une non
conformité observée uniquement dans le
cadre du LS. Il vous est encore possible de
procéder à un dernier recours.
des pénalités sont comprises
entre 0 et 5%. Des pénalités
plus élevées sont possibles
mais elles sont dues à des
non conformités intentionnelles ou à des non conformités
répétées d’année en année.
LS indicateur
Comme annoncé depuis
longtemps, le taux de liaison
au sol (LS) est l’un des indicateurs qui a été retenu pour
l’application de la conditionnalité dans le domaine de
l’environnement. Le LS de
l’année 2005 qui a été envoyé aux agriculteurs dans le
courant du mois de mai est le
premier qui peut donner lieu
à une pénalité. Lors des discussions sur la conditionnalité, la FWA avait toutefois obtenu une certaine marge de
tolérance pour prendre en
compte la difficulté qu’il y a à
Denis Devos et Olivier Gérard
our rappel, la conditionnalité a été instaurée
par la dernière réforme
de la PAC. Elle consiste à établir un lien entre le paiement
des aides (couplées et découplées) et le respect par l’agriculteur d’une série d’exigences réglementaires qui sont
regroupées dans cinq grands
domaines: le maintien des
pâturages permanents, les
bonnes conditions agricoles
et environnementales, la santé publique, l’environnement
et le bien être animal.
Le respect des exigences
réglementaires se traduit
concrètement par le contrôle
d’indicateurs.A chaque indicateur correspond une norme
à respecter. Lorsque lors d’un
P
8
contrôle le non respect d’un
indicateur est constaté, une
pénalité peut être appliquée
sur l’ensemble des aides perçues. Cette pénalité correspond à un pourcentage
variable qui dépend du caractère intentionnel ou négligent
de la non-conformité, de son
caractère de gravité et de sa
répétition.La grande majorité
prévoir son LS. La marge de
tolérance dépend d’une part
du taux de LS et d’autre part
de l’excédent d’azote qui a
mené au dépassement de LS.
Si vous vous trouvez malgré tout au delà de la marge
de tolérance, la DGRNE vient
de vous notifier votre ‘code
infractionnel’. Il s’agit en fait
d’un code qui détermine la
pénalité qui sera appliquée à
votre paiement unique. Dans
la plupart des cas le code infractionnel est soit égal à 110,
120 ou 130. Ce qui correspond à des pénalités de
respectivement 1%, 3% et
5%. Le code 100 correspond
quant à lui à un avertissement soit 0% de pénalité.
Recours
Si vous l’estimez justifié,
vous avez la possibilité d’introduire un recours à propos
Pénalités pour une non conformité observée uniquement dans le cadre du LS
(Av. = avertissement)
Excédent d’azote (kilos)
1,00 - 1,10
LS 2005
0-500
-
500-1000
Av. (0%)
1000-2000
Av. (0%)
2000-3000
1%
>3000
3%
1,11 – 1,25
-
1%
1%
3%
5%
1,26 – 1,50
Av. (0%)
3%
3%
3%
5%
1,51 - 999
Av. (0%)
3%
5%
5%
5%
du code infractionnel que
vous venez de recevoir. Il ne
s’agit plus ici de contester le
calcul du LS (un recours à propos du calcul du LS était possible endéans le mois de sa
notification) mais plutôt d’expliquer les raisons qui ont
conduit à ce que votre LS soit
supérieur à 1. Il s’agit en
quelque sorte, pour vous de
faire valoir des circonstances
atténuantes.
Pénalité finale et
répétition
Les pénalités reprises dans
le tableau sont valables pour
une non conformité uniquement au niveau du LS. Vous
pouvez en effet être contrôlé
dans d’autres domaines de la
conditionnalité (santé publique, bonnes conditions
agricoles et environnementales,...) durant l’année 2006,
de sorte que la pénalité finale
peut être différente.
Autre point important: la
conditionnalité prévoit une
augmentation très importante de la pénalité en cas de répétition de la ‘non conformité’ lors d’une année future.
Autrement dit, si vous êtes
pénalisés cette année parce
que votre LS était supérieur à
1 et que cette situation se répète l’année suivante, cela
peut vous mener à des pénalités bien supérieures à 5 %
l’année prochaine. Il est dès
lors impératif de régulariser
votre situation durant l’année
2006.En cas de doute n’hésitez pas à prendre contact
avec la FWA.
Demande de la FWA
Le système de calcul du LS
est aujourd’hui entièrement
automatisé à partir du Sanitel
et de la déclaration de superficie. Bien que la FWA ait toujours plaidé pour un maximum
de simplification administrative,
il existe toutefois un problème
majeur dans le système de calcul
actuel du LS. Ce problème majeur est l’impossibilité pour l’agriculteur de prévoir son LS et de
pouvoir le corriger après l’avoir
reçu. Nous avons demandé au
Ministre Lutgen de modifier le
système en donnant par exemple
la possibilité de corriger le LS
dans les semaines suivant son
envoi. Notre demande est malheureusement restée vaine pour
l’instant. Le nombre d’agriculteurs qui devraient recevoir une
pénalité (600 à 700!) nous démontre pourtant que des adaptations sont plus que nécessaires.
Région défavorisée et taux de liaison
au sol
Certains agriculteurs n’ont pas reçu le
paiement 2005 des aides relatives aux
Régions Défavorisées dès lors qu’ils
possédaient une liaison au sol en 2005
(calculée à partir de l’année civile 2004)
supérieure à 1. Nous estimons que ce non
paiement des aides est une application
sévère de la réglementation. La FWA a réagi
et a transmis le courrier ci-dessous au
Ministre de l’Agriculture Benoît Lutgen.
Monsieur le Ministre,
Durant le mois de mai dernier
les aides aux régions défavorisées pour l’année 2005 ont été
versées aux agriculteurs. A cette
occasion, le paiement de la prime a été supprimé dès que l’exploitation présentait un taux de
liaison au sol pour l’année 2004
supérieur à 1. Bien que nous ne
contestions pas le fait que toute
exploitation doive respecter le
principe du taux de liaison au sol,
il s’agit pour la FWA d’une application sévère de la législation. En
effet, elle ne tient pas compte du
délai d’adaptation au taux de
liaison au sol qui avait été laissé à
l’agriculteur dans le cadre de
l’application de la conditionnalité. En accord avec vos services, il
avait été décidé que le taux de
liaison au sol de l’année 2004 ne
pourrait donner lieu qu’à un
avertissement. La raison en était
20 juillet 2006
notamment que 2004 était encore une année de rodage pour
l’envoi des taux de liaison au sol
par l’administration. Pour certains agriculteurs il s’agissait
même de la première année pour
laquelle ils recevaient un taux de
liaison au sol.
En lien avec l’objet de ce courrier, nous nous permettons de
vous rappeler la difficulté que
pose l’actuel calcul du taux de
liaison au sol dans la gestion de
la ferme. Avec plusieurs années
d’expérience, il est évident que la
méthode de calcul possède un
inconvénient majeur pour l’agriculteur: celui de ne connaître son
LS que lorsque l’année est écoulée. Or, la prévision de la présence moyenne du cheptel sur l’année avec exactitude est impossible et le PGDA actuel ne permet
pas de signer des contrats d’épandage pour corriger son taux
de liaison au sol. Bien que la
FWA se soit toujours prononcée
en faveur de l’utilisation des données déjà en possession de l’administration pour calculer ce taux
de liaison au sol, il nous semble
que le système pourrait être
amélioré. Nous avons fait des
propositions en ce sens qui n’ont
pour l’instant pas été retenues.
Concrètement, nous souhaitons que la même logique qui a
prévalu pour les aspects «conditionnalité» soit appliquée pour le
paiement de l’aide aux régions
défavorisées et donc que le paiement de l’année 2005 soit assuré pour tous les agriculteurs.
Enfin, si le principe de supprimer
la prime région défavorisée pour
les exploitations présentant un
taux de liaison au sol supérieur à
1 devait se répéter dans les années suivantes, il s’agirait pour
nous d’une preuve évidente
d’application de la double pénalité.
REVUE PRESSE
Glané pour vous
Commerce équitable:
vente en hausse de
37%
Les ventes mondiales de
produits issus du Commerce
Equitable ont progressé de
37% en 2005 et atteignent
1,1 milliards d’euros. En
Belgique,elles se sont élevées
à 21 millions d’euros
(+21%). De plus en plus de
producteurs,de commerçants
et de marques veulent entrer
dans le système. Le nombre
de marques proposant des
produits issus du commerce
équitable a augmenté de
29% en 2005.
(Vers l’Avenir)
Des fleurs contre du
pétrole
Une rose d’Inde pour colorer le sirop de pêche, un indi-
gotier pour teindre les robes
en bleu: à Lauris, dans le
Luberon
(France),
le
Conservatoire des plantes
tinctoriales, unique en
Europe, promeut l’usage des
plantes pour remplacer les
colorants synthétiques dérivés du pétrole.
«Aujourd’hui, alors qu’on
veut protéger l’environnement et réduire l’utilisation de
pétrole, les plantes à couleur
permettent d’avoir une alternative», explique Florent
Valentin, jardinier botaniste
du conservatoire. «Les plantes très colorées ne sont pas
forcément celles qui donnent
les meilleurs colorants ou les
mêmes couleurs que leurs
fleurs», souligne-t-il.
(L’Echo)
Des appareils
électroménagers
moins toxiques
Les appareils électriques et
électroniques vendus dans
l’UE ne pourront plus contenir
à partir du 1er juillet,une série
de substances chimiques particulièrement toxiques pour
l’homme et l’environnement.
C’est en effet à cette date
qu’entre en vigueur la directive européenne sur la restriction des substances dangereuses. Elle interdit la mise en
vente sur le marché européen
d’équipements contenant du
plomb, du mercure, du cadmium et autres retardateurs
de flammes bromés.
(LLB)
Japonais et Italiens
les plus âgés du
monde
Les Japonais sont devenues le peuple le plus vieux
du monde,devant les Italiens,
révèle un recensement gouvernemental publié récemment. De l’avis général, la crise démographique est le problème le plus grave du Japon,
où les plus de 65 ans sont 21%
de la population (+ 3,7% par
rapport à 2000). L’Italie (20%)
et l’Allemagne (18,8%) complètent ce podium.
A l’opposé, les 0-14 ans
sont 13,6% au Japon, 14%
en Italie et 14,3% en
Allemagne. Et comme 60%
des Japonaises de 25 à 29
ans sont célibataires ...
(Vers l’Avenir)
Plus de
contaminations
Les problèmes sanitaires
alimentaires, comme les
contaminations à la salmonelle, détectés dans l’Union
Européenne en 2005 ont
augmenté de 22% par rapport à 2004.
Au total en 2005, 3.158
risques sanitaires ont été détectés et notifiés Cette augmentation est surtout due à un
dépistage plus systématique
(LLB)
Colruyt ne vendra plus
d’œufs de batterie
L’organisation de défense
des animaux Gaia s’est dite
très satisfaite de la décision
du groupe Colruyt de ne plus
vendre d’œufs de batterie depuis le 1er juillet. Makro avait
déjà adopté cette politique au
début de cette année. «C’est
un deuxième acteur important du marché belge de la
distribution qui donne un signal très positif, s’est réjoui
Michel Vandenbosch,le président de Gaia. C’est aussi un
message clair à l’industrie: il
n’y a pas d’avenir pour les
élevages en batterie».
(Le Soir)
Du 28 au 31 juillet 2006 Champ de foire
Le 1er août 2006 Journée de l’herbe
Un must
pour le monde agricole
> Avec plus de 700 exposants en 2005 (dont 100 internationaux),
> plus de 100.000 m2 de matériels et de produits,
> plus de 3.500 animaux exposés
la Foire de Libramont est décidément LE rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur agricole.
AU PROGRAMME :
> le Mecanic’Show : présentation des nouveautés de la mécanisation,
> démonstrations de matériels de manutention, de génie civil, de véhicules tout terrain,
> réunions et conférences traitant des sujets d’actualité,
> Thème central de la Foire 2006 "Achetons responsable" concernant les normes et les règlements,
> journée de l’herbe : démonstrations de matériels de récolte des fourrages et présence d'organismes d'encadrement.
Voilà qui promet une très belle édition 2006 à laquelle nous espérons vivement vous rencontrer !
Représentation de
la CE en Belgique
FOIRE DE LIBRAMONT - Rue des Aubépines, 50 - B-6800 Libramont
Tél.: +32(0)61 23 04 04 - Fax: +32(0)61 23 04 09
[email protected] - www.foiredelibramont.com
20 juillet 2006
9
FISCALITÉ
Les barèmes 2005 : en baisse et sans « primes »
C’est après des négociations ardues qu’un
accord est intervenu en ce début juillet
entre l’administration fiscale et les
organisations professionnelles agricoles (
FWA et Boerenbond).
Ces bases forfaitaires de taxation,
difficilement obtenues, sont à la fois le
reflet de nouvelles modalités d’application
et de l’évolution économique des grands
secteurs traditionnels de l’agriculture.
Christine Le Borne
Un barème sans
primes
L’élément le plus important
est incontestablement le fait
que toutes les « primes » qui
traditionnellement étaient incorporées au bénéfice semibrut seront dorénavant taxées
individuellement.
Sont concernées, toutes les
aides européennes telles les
droits au paiement unique, les
primes vaches allaitantes et primes laitières.
Le barème a donc été calculé sans tenir compte de ces aides.
Il est important de signaler
que, bien entendu, ces « primes» continuent à bénéficier
du taux de taxation distinct à
16.5%, comme toutes les aides au secteur agricole instaurées par une réglementation
européenne.
L’évolution des
secteurs
Le secteur du lait a connu,
en 2005 une diminution du
prix au litre commercialisé.
D’autre part,le prix du bétail de
réforme et des veaux laitiers a
connu une hausse de l’ordre
de 10 à 15 % minimum. Enfin,
globalement, en moyenne, le
poste relatif à l’alimentation du
bétail a également diminué.
A travers toutes les régions,
la combinaison de ces éléments nous a conduit a accepter une diminution d’environ
1% du barème relatif aux
superficies fourragères affectées à la production laitière.
Pour tenir compte des économies d’échelles constatées
dans les exploitations laitières
les plus importantes, une progressivité a été aménagée. La
formule à appliquer est détaillée ci-dessous. Elle signifie
que jusqu’à 25 ha de superficies fourragères consacrées à la
production laitière, on appliquera toujours le barème semibrut de base.
A partir du 26ème hectare,
une progression de 5 € à l’hectare ( avec un maximum de
200 € ) sera appliquée. Le barème semi-brut ainsi déterminé
s’appliquera sur tous les hectares « lait » à partir du 26ème.
Ainsi, en région limoneuse,
un agriculteur commercialisant
240 000 l de lait devra déclarer
30 ha au barème « lait ». Il devra appliquer le semi-brut de
1095 € aux 25 premiers hectares laitiers et le semi-brut de
1095 € + ( 5 x 5 € ) soit 1120€
aux 5 hectares qui dépassent
25.
En ce qui concerne le secteur
de la viande bovine, les prix
sont restés plus ou moins stables par rapport à ceux de
2004 avec,comme dans le secteur du lait,une diminution globale du poste alimentation.
Le bénéfice semi-brut applicable aux superficies fourragères affectées à la production de
viande diminue de l’ordre de
8% dans toutes les régions.
Cependant,pour les régions du
Sud-est ( Famenne, Ardenne,
Jura) où la part de primes était
auparavant plus importante, le
barème « viande » diminue de
l’ordre de 36 à 37%.
Enfin, dans le domaine des
grandes cultures, il faut relever
les bons résultats des pommes
de terre.
En effet, même si les rendements étaient en diminution,
cela a été compensé par une
augmentation très sensible des
prix.
Le rendement des céréales
et des betteraves sucrières ont
quant à eux diminués également avec des prix en hausse
très légère.
A travers toutes les régions,
le barèmes « cultures » diminue de l’ordre de 17 %.
Le secteur porcin est carac-
térisé globalement par une
augmentation du prix de la
viande et une diminution des
coûts d’alimentation. Ce sont
surtout les prix des porcelets
qui ont connu une hausse par
rapport à 2004. Les porcs à
l’engrais connaissaient également une augmentation mais
de moindre ampleur.
Les bénéfices complémentaires pour les éleveurs de
porcs sont donc les suivants :
Par truie : 256.11€
Par porc à l’engrais :19.72€
Par porc engraissé sous
contrat : 13 €
Les modalités
d’application
En plus des éléments déjà cités ci-dessus ( primes taxées à
16.5% hors barème et progression dans le secteur du
lait), nous pouvons signaler
que les superficies fourragères
seront calculées sur base des
groupes maïs,prairies et autres
fourrages de la déclaration de
superficie ( soit les codes cultures 201, 202, 61, 62, 71, 72,
73,741,742,743 ).A cette fin,
une copie de la déclaration de
superficie sera jointe à la déclaration fiscale.
Enfin, le montant maximal
de travaux déductibles à l’hectare est augmenté à 315€,
230€ ou 150€ selon les régions.
Rappelons aussi que les chiffres repris dans le tableau cijoint,sont des chiffres de bénéfice semi-brut et que donc toute une série de frais sont encore
déductibles sur base individuelle,moyennant la production de
documents probants.
Citons parmi les plus importants : les fermages, les cotisations sociales,les intérêts d’emprunts professionnels, le précompte immobilier professionnel, les pertes exceptionnelles
au bétail et aux cultures, les
frais payés aux vétérinaires, les
médicaments vétérinaires, les
amortissements de quotas de
production, les cotisations
payées à la FWA...
Les déclarations fiscales sont
attendues pour le mois d’octobre prochain. Nos Secrétaires
pourront vous aider pour examiner votre situation et compléter au mieux votre déclaration.
N’hésitez donc pas à faire
appel à leurs conseils.
Remarque:
La formule de calcul suivante est insérée dans les échelles de bénéfice semi-brut ( BSB) concernant la
superficie fourragère affectée à la production laitière (SL) pour l’ensemble du Royaume.
10
Superficie fourragère affectée à la production laitière (SL)
SL ≤ 25 ha
25 ha < SL <= 65 ha
SL > 65 ha
20 juillet 2006
Montant forfaitaire
€
SL x BSB
(BSB x 25) + (SL - 25) x
[ BSB + {( SL - 25) x 5 }]
(SL - 25) x ( BSB + 200 )
BASES FORFAITAIRES DE TAXATION DES AGRICULTEURS
Bénéfice semi-brut de base (en €/hectare)
Régions agricoles wallonnes
Exercice 2006
Revenus 2005
1. Région sablo-limoneuse: Brabant et prolongement hennuyer
(Ronquières, Henripont et Arquennes)
a. Superficie fourragère affectée à la production laitière
b. Superficie fourragère non affectée à la production laitière
c. Autre superficie agricole ordinaire
2. Région sablo-limoneuse: nord du Hainaut (partie des communes
de Houthem et de Comines)
3. Région sablo-limoneuse: nord du Hainaut
(région d'Orroir à Russeignies)
4. Région sablo-limoneuse: nord du Hainaut
(région d'Ellezelles à Houtaing)
5. Région sablo-limoneuse: enclave du centre du Hainaut (sauf
Campine hennuyère)
6. Région limoneuse: sauf Thuin et environs
7. Région limoneuse: Thuin et environs
8. Région herbagère (Liège) - Sous-région A-B
9. Région herbagère (Liège) - Sous-région C
10. Région herbagère (Liège) - Sous-région D
11. Campine hennuyère
12. Condroz: Liège - 1ère catégorie
13. Condroz: Liège - 2ème catégorie; Condroz: Namur - 1ère catégorie;
Condroz: Hainaut
14. Condroz: Liège - 3ème catégorie; Condroz: Namur - 2ème catégorie
15. Condroz: Namur - 3ème catégorie
16. Haute Ardenne
17. Région herbagère (Fagne)
18. Famenne
19. Ardenne
20. Région jurassique
Bénéfices semi-bruts complémentaires pour l’élevage porcin :
Par truie: 256,11 euros
Par porc engraissé: 19,72 euros
Par porc engraissé sous contrat: 13,00 euros
Exercice 2005
Revenus 2004
1.154,00
932,00
771,00
1.170,00
1.011,00
933,00
1.213,00
1.014,00
806,00
1.230,00
1.100,00
976,00
1.184,00
932,00
759,00
1.200,00
1.011,00
919,00
1.095,00
1.120,00
940,00
1.110,00
1.215,00
1.094,00
986,00
1.008,00
846,00
999,00
1.094,00
985,00
1.095,00
1.120,00
940,00
1.110,00
1.215,00
1.138,00
1.095,00
1.120,00
913,00
1.110,00
1.215,00
1.105,00
1.406,00
830,00
669,00
1.425,00
900,00
810,00
1.129,00
712,00
574,00
1.144,00
772,00
695,00
945,00
569,00
434,00
958,00
617,00
526,00
838,00
857,00
719,00
849,00
930,00
870,00
1.012,00
990,00
837,00
1.026,00
1.074,00
1.013,00
874,00
833,00
702,00
886,00
904,00
850,00
823,00
767,00
638,00
834,00
832,00
772,00
823,00
767,00
638,00
834,00
832,00
772,00
1.006,00
572,00
437,00
1.020,00
621,00
529,00
727,00
548,00
430,00
737,00
666,00
515,00
684,00
393,00
393,00
693,00
609,00
472,00
684,00
396,00
396,00
693,00
630,00
480,00
684,00
390,00
390,00
693,00
609,00
464,00
N° 61
20 juillet 2006
Organe officiel de la Fédération des Jeunes Agriculteurs servi en 31.000 exemplaires/mensuel
C h a u s s é e d e N a m u r, 4 7 - 5 0 3 0 G e m b l o u x - T é l . 0 8 1 / 6 0 . 0 0 . 6 0 - F a x 0 8 1 / 6 0 . 0 5 . 2 7 - E - m a i l : f j a @ f w a . b e
Edito
le repos bien mérité après une
longue période de stress intense.
Au moment où je vous écris
les premiers escourgeons ont
été moissonnés, mais à première vue les rendements ne sont
pas spectaculaires.
Bonjour à toutes et à tous,
Voici venu le temps des vacances pour tous les étudiants,
Certaines régions souffrent
d’un manque d’eau, pâture
rousse, froment qui crève sur
pied, maïs qui ne pousse guère.
Et voilà comme chaque année
arrive le grand rendez-vous de
l’agriculture à Libramont, un
moment de détente et de re-
trouvaille pour les agriculteurs.
Je voudrais également vous
rappeler l’importance des
différentes commissions; ces
commissions servent à nous
informer des nouveautés, à
vous défendre et aussi un point
très important, à exprimer votre
mécontentement, vos revendications ainsi que toutes vos
craintes face à l’avenir, afin de
pouvoir l’améliorer, et il ne faut
surtout pas hésiter à aller aux
diverses réunions et commissions.
Le lundi 10 juillet, une dé-
légation d’agriculteurs ainsi
qu’une délégation de la FJA
se sont rendues au siège de
l’AFSCA à Bruxelles, afin de
leur exprimer notre mécontentement vis-à-vis de leur
contrôle strict et de leur prise de
position sans avoir au préalable
consulté la fédération FJA, FWA
et UAW, de même pour le mardi
18 juillet une délégation s’est
rendue au cabinet du Ministre
Lutgen afin de soutenir nos
différentes revendications sur
différents points : conditionnalité, Natura 2000, MAE, directive nitrate, société civile laitière,
programme de développement
rural. Nous attendons avec
impatience les nouvelles de ces
deux dossiers.
Ah oui, je termine par un petit
rappel pour ceux et celles qui seraient concernés n’oubliez pas
d’aller passer votre permis tracteur avant le 1er Septembre.
Pour toutes vos questions,
le Bureau National FJA est toujours là pour vous, un petit coup
de téléphone n’a jamais tué
personne.
Bonne continuation dans
tous vos travaux saisonniers et
je vous donne à tous rendezvous sur notre stand lors de la
foire de Libramont.
Au plaisir de vous rencontrer,
en
espérant vous voir nombreuses et nombreux lors de
nos diverses activités, réunions,
commissions, manifestations,
etc.….
A bientôt
MèZ\ekDfiXlo
M`Z\$gij`[\ekeXk`feXc
La Foire Agricole de Libramont
Le Projet Interreg III A Wallonie – Lorraine – Luxembourg
«Valorisation des structures agricoles»
Qu’est-ce qu’Interreg ?
La Wallonie, le Grand-Duché
de Luxembourg et la Lorraine
se sont engagés dans une démarche de coopération transfrontalière. Rendre les frontières
plus perméables : permettre les
déplacements des personnes,
des biens, de l’information, tout
cela contribue au développement d’une région traversée
de frontières. C’est dans ce but
que la commission Européenne
a créé un programme destiné à
promouvoir le développement
harmonieux des régions frontalières et à les aider à tirer profit
au mieux de l’intégration européenne.
Notre projet Interreg ?
Depuis 2005, le Centre
d’Economie Rurale (CER) est
porteur d’un projet Interreg qui
vise à promouvoir l’agriculture
en province de Luxembourg, au
Grand-Duché de Luxembourg
et en Lorraine. C’est un projet développé en partenariat
avec la Fédération des Jeunes
Agriculteurs (FJA) et la Chambre
Régionale d’Agriculture de
Lorraine (CRAL).
L’objectif principal du projet
est de créer un réseau d’échange
d’expériences dans le domaine
agricole. Il s’articule autour de
trois axes :
-la vulgarisation et la promotion de l’agriculture
-la formation professionnelle
agricole
-l’agritourisme
La Foire Agricole
de Libramont
C’est dans le cadre du volet
promotion et vulgarisation de
l’agriculture que nous serons
présents à la Foire Agricole de
Libramont.Vous pourrez retrouver les acteurs du projet et les
animations que nous proposons
à plusieurs endroits.
Dans le chapiteau des provinces wallonnes, au sein du
stand du Département de
l’Economie Rurale de la province de Luxembourg (Stand
26.13). Nous y organiserons
un concours de dessin pour les
enfants ainsi que des animations
autour de la ferme pour petits et
grands. Des idées à dessiner et
des savoirs à échanger…
De plus, au sein de l’ «Ardenne Joyeuse », un stand transfrontalier Interreg III A Wallonie
– Lorraine – Luxembourg et
Interreg III A Wallonie – France
– Flandre sera organisé (Stand
72-02 et 71-01A) en partenariat avec Accueil Champêtre
en Wallonie et le réseau
Développement Transfrontalier
des Entreprises de Chimay et
de Vervins. Il regroupera une
vingtaine de producteurstransformateurs de produits de
terroir. Cet espace mettra en
lumière les produits fermiers
via un « Itinéraire Gourmand
Transfrontalier ». Vous pourrez
vous y restaurer à toute heure du
jour pour déjeuner, dîner, souper
ou simplement grignoter. Vous
y retrouverez les saveurs des
trois régions concernées par
le projet, comme par exemple
des gâteaux aux mirabelles, des
quiches lorraines, des glaces, des
bonbons des Vosges, des pains
saucisses, des omelettes paysannes, des pâtés, de la liqueur
de mirabelle ou encore des vins
vosgiens. Nous aurons également la chance d’accueillir l’association « Eurotoques ». Elle
proposera des recettes simples
et originales à base des produits
des producteurs présents.
Des idées à déguster et des
saveurs à échanger…
D’autres démarches seront
menées sur la foire pour la promotion de nos actions, sur le
stand « Vers l’Avenir » via un
concours ‘produits de terroir’
ainsi que sur le stand de RTLTVI.
Si vous souhaitez plus d’informations demandez Sarah Albert
pour le CER ou Olivier Schifflers
pour la FJA sur les stands.
Anne –Cath, alors que tu te consacrais
à ta passion de cavalière ; une chute et tu
t’en es allée. Avec toi tout était toujours
super et tu affichais en permanence un
sourire qui se communiquait de suite à ceux
qui t’entouraient. Toi et Xavier vous étiez
une paire parfaite, un couple, un très beau
couple. Vous étiez simplement fait l’un
pour l autre. Anne – Catherine tu vas nous
manquer. A tes frères, ta soeur, tes parents,
ta famille, tes amis et à ton Xavier, nous
donnons tout notre courage pour affronter
cette fatalité injuste. Anne –Cath tu étais
une étoile sur terre alors maintenant que tu
es là-haut veille sur nous. A bientôt.
Le comité WPJ
Fc`m`\iJZ_`]]c\ij#=A8
JXiX_8cY\ik#:<I
'(
Arlon s’est éveillé au chant du coq pour la 1ère fois…
Au sens propre comme au sens figuré, la
place Léopold d’Arlon s’est éveillée au chant
du coq aux petites heures le vendredi 30
juin, et ce pour 2 journées de (re)découverte
ensoleillées.
soleil une fois tondus par une
main experte reste toujours attrayant et impressionnant.
carrosse et les sabots des ânes
ont portés enfants et adultes
pour leur plus grande joie.
La première journée de cette
première édition en province
Vers 21h, le coq pouvait enfin se reposer. Notre pari était
réussi, nous avions attiré un
nombre non négligeable de
personnes, fait découvrir ou redécouvrir les particularités de
la ferme. Et même si d’aucuns
pensaient inutile de recréer une
ferme au sein d’une ville rurale,
les nombreuses questions ou
remarques posées tout au long
de ces deux journées nous ont
réconforté dans notre décision.
Car si nous avons pu expliquer
Cependant, tout à réellement débuté le jeudi par le
montage de ce bel événement. Armés de courage, de
nombreux membres de la FJA
étaient présents pour monter
l’un des deux chapiteaux ainsi
que les bonhommes de paille,
les nombreuses barrières pour
confectionner les enclos qui
accueillirent près d’une trentaine d’animaux.
C’est ainsi que de 14h à
23h, les stands producteurs,
les services éducatifs, le bar, le
barbecue, la volière… prirent
place petit à petit.
Pour clôturer la mise en
place de notre mini-ferme,
quelques machines agricoles
Je ne pourrais pas terminer cet article sans remercier
et féliciter tous les membres
présents sur place, aussi bien
pour le montage que pour le
démontage ainsi que pour
les visites, le temps passé aux
réunions, sur le terrain, pour la
manutention du matériel…
Bref, chapeau pour la bonne
coordination de l’organisation.
Je me dois de féliciter tout
particulièrement la section locale de Sud Luxembourg qui,
étant sur place, a entrepris le
plus gros du travail.
de Luxembourg pouvait se clôturer sur une note très positive.
Nous attendions impatiemment le lendemain, journée
qui coïncidait avec la nuit des
soldes d’Arlon.
furent placées aux abords de
la place.
Les choses sérieuses pouvaient commencer…
… Et c’est donc le vendredi
matin, avec les premiers élèves du primaire des écoles du
Grand Arlon, que nos guides
ont arpenté dès 8h30 les allées de notre mini-ferme.
Enfants et professeurs
étaient ravis de discuter avec
les producteurs, d’observer les
escargots ou encore d’écouter
attentivement l’apiculteur présenter sa ruche sous verre.
A côté de cela, les services
éducatifs étaient sur le qui-vive
pour tester les connaissances
des enfants, comme la vache
Margaux (vache cybernétique)
par exemple, qui questionnait
sur le lait les assemblées attentives qui se succédaient ; ou
encore le service prévention
santé ou le projet Bon’App
Académy qui dispensaient
leurs bons conseils en matière
d’alimentation saine. Les écoliers pouvaient dès lors se ruer
vers le bar à lait, où un bon verre de lait cru leur était offert. Se
furent 200 litres de lait qui ont
été dévalisés sur les 2 journées
de ferme !
Le samedi, toujours sous un
ciel radieux, les gens se sont
succédés les uns aux autres.
On ne peut pas dire que la
place était noire de monde,
mais un flux continu permit
à tous nos producteurs de
faire connaître leurs produits.
N’ayant eu finalement que très
peu de relâche, l’opération était
réussie. Non seulement les enfants avaient été nombreux à
apprécier les joies de ce grand
chapiteau la veille, mais en
plus bon nombre d’entre eux
revinrent avec leurs parents le
lendemain.
Une autre particularité de ce
samedi était la possibilité de visiter le piétonnier à dos d’ânes,
ou encore les alentours de la
ville en calèche tirée par deux
magnifiques chevaux de traits.
C’est donc du petit matin
jusqu’au soir que les roues du
Une ferme en ville n’en serait pas vraiment une si les animaux ne venaient pas égayer
cette ambiance un peu particulière au sein d’une ville qu’elle
soit rurale ou non.Truie (et non
pas truite comme le dirait les
enfants !) et porcelets (et non
pas cochonnets !), volailles de
tous genres, lapins, moutons,
ânesse et son ânon, chèvres,
bovins et veaux… furent l’une
des principales attractions.
En plus des 300 élèves qui
se sont baladés durant toute
la journée sur une place métamorphosée, bon nombre
de citoyens ont également
parcouru la ferme avec autant
d’attrait que les enfants. Il faut
dire que voir travailler un maréchal-ferrant ou voir des moutons fondre comme neige au
')
à ne fusse qu’une seule personne qu’une Pie Noire n’est
pas « anormalement maigre »
ou que « cette drôle de poule » dans la volière n’est autre
qu’un dindon, nous n’avons
pas tout perdu !
La ferme terminée, nous
pouvions enfin tout démonter
et ranger pour laisser seule la
place Léopold avec ses pavés
et ses voitures.
Je tiens également à remercier la ville pour sa collaboration ainsi que toutes les
personnes qui ont travaillé en
parallèle pour arriver au résultat que nous connaissons.
Il ne me reste plus qu’à vous
souhaiter bon vent et à l’année
prochaine (sans doute) pour
une nouvelle édition !?
K_fdXj=I@GG@8K
Congrès des Jeunes Agriculteurs français en Vendée
En ce début juin, la FJA a répondu présent à
l’invitation des Jeunes Agriculteurs français
pour participer à leur congrès. C’est donc au
Sable d’Olonne que 781 JA français se sont
retrouvés avec «le Belge». Une belle occasion
pour comprendre comment fonctionne leur
mouvement et aussi une occasion d’entendre les
différentes craintes de Jeunes Agriculteurs qui
habitent parfois à plus de 1000 km l’un de l’autre.
L’occasion aussi de débattre sur les revendications
que leur syndicat exprime pour le moment.
Je vous parlais de distance,
voici un exemple:
L’ancien Président Bernard
Layre atteint par la limite d’âge
s’en retourne auprès de sa
femme et de ses deux petites
filles dans la région de Pô. Avec
sa famille, il retravaillera dans
ses champs de maïs semences
et de kiwis. Lors des élections du
Bureau, c’est un gars du Nord
de l’Aisne très exactement qui
devient Président. Il s’agit de
Philippe Meurs qui exploite avec
son oncle un élevage Charolais,
et cultive 280 ha de grandes
cultures. C’est donc quasi un
voisin car il habite à 80 km de la
frontière belge. Pour vous faire
une idée, son numéro deux est
producteur d’Armaniac en bordure de la Méditerranée.
Je vous parlais de fonctionnement:
Là-bas, leur «cahier de revendications» s’appelle «rapport
d’orientation». Il s’écrit suite à
de multiples réunions dans toutes les régions de France sur une
multitude de sujets tout au long
de l’année. Mais avant de valider
le tout, chaque région propose
des amendements qu’ils défendent chacun à leur manière et
qu’ensuite on adapte si besoin
pour que les JA l’acceptent. Cela
n’a l’air de rien comme ça, mais
imaginez un peu 780 JA, plus
«le Belge», 46 pages de rapport
et surtout 224 amendements!
Début de la séance à 14h, fin à
…23h48 précises! Assurément
une expérience passionnante
car je me suis surpris moi-même
de n’être sorti de la salle que
deux fois 20 minutes tellement
la volonté et la passion étaient
présentes. Comme quoi qu’on
soit JeuneAgriculteur de Franche
Comté, de Bretagne ou de
Wallonie, on aime tous le métier
et on le défend du mieux qu’on
peut. C’est ça les mouvements
de JA.
Mais leurs craintes quelles
sont-elles? Souvent fort similaires aux nôtres.Voire même quasi
identiques à 100%. Par contre,
dans leurs revendications, il y
a des différences dues à une
structuration du monde agricole
français différente de la nôtre:
groupements entre agriculteurs,
amont et aval sous forme de
coopératives, organismes entourant l’agriculteur beaucoup plus
nombreux, gestion de l’habitat
totalement différente,…
Les trois sujets débattus qui
m’ont le plus marqué sont les
suivants:
La pluri activité : Débat identique chez nous mais j’ai envie de
dire, là-bas il a lieu!!
Un pluri actif : Ca peut être un
riche qui achète les terrains et les
cultive pour se ressourcer ou encore un autre riche qui élève quatre vaches en montagne en leur
offrant une étable en pleine zone
agricole qui sera du style «hôtel
quatre étoiles 35 chambres»
mais attention, c’est un gîte à
la ferme… Mais un pluri actif
c’est aussi un jeune qui reprend
une part de la ferme familiale
et qui va travailler à l’usine, qui
roule en camion ou autre. Il va
donc travailler «sur le côté» pour
dégager un revenu supplémentaire. Lequel des deux a le plus
besoin d’aide? Lequel des deux
aujourd’hui les reçoit?
Le débat suivant, qui touche
un peu le premier, fut sur le parcours de l’installation appelé
«parcours du combattant». Je
dois bien avouer que dans ce domaine il y a de bons organismes
qu’on rêverait d’avoir ici mais
d’autres par contre… Ce débat
porta donc sur une sorte de validation de compétences en une
fois. Sorte d’examen oral pour
constater si le futur agriculteur a
la capacité et une réelle volonté
d’être agriculteur dans le but
d’en vivre car «agriculteur demain, c’est bien plus qu’un projet
professionnel, c’est un projet de
vie».
Le troisième débat avait pour
sujet la fiscalité:
Régime totalement différent
des nôtres car là-bas les agriculteurs ayant un chiffre d’affaire
inférieur à 76 000 euros par an
bénéficient de pas mal d’exonérations par rapport aux autres. Et
je me suis aperçu que dans des
régions entières (Massif Central,
Rhônes-Alpes,…) la plupart des
agriculteurs ne le sont encore
que grâce à ces exonérations. Ce
sont des exploitations qui vivent
quasi en autarcie et qui ont un
revenu via la vente directe.
Voilà un bref résumé de ce
congrès qui se déroulait quand
même à 50 mètres d’une magnifique plage sur laquelle nous
avons pu déguster des sardines
grillées, des viandes diverses et
un tas de bons produits lors de
la soirée de clôture. Mmm un
délice! Séminaire qui donne
déjà des suites car un groupe
de JA de la région Champagne
Ardenne est venu à Bruxelles 10
jours plus tard et le Président JA
de la région Est est venu le samedi 8 juillet discuter d’un pôle
de compétitivité avec Francis
Goreux, pour ensuite faire la visite de l’ETA Vynckier et terminer
la journée à Saint-Germain pour
heu… demandez à Céline.
Rencontre avec
le Comité des Régions
à Alexandropoulis
Après avoir rencontré le
Comité Economique et Social,
c’est maintenant leurs voisins du
Comité des Régions qui ont invité la délégation du CEJA, dans
laquelle je représente les intérêts
de la FJA, pour discuter durant
une journée au cours d’un mini
séminaire. Cette rencontre a eu
lieu dans la ville d’Alexandropoulis, ville située en bord de
mer au nord-est de la Grèce. La
journée précédant la rencontre
avec le Comité des Régions fut
l’occasion d’organiser une mini
assemblée du CEJA afin de
faire le bilan après un an sous la
Présidence actuelle, ainsi que de
préparer les activités futures.
Je vous rappelle donc le séminaire à Bruges du 17 au 19
novembre 2006 sur l’innovation
en agriculture. Séminaire auquel
ceux désirant participer peuvent
nous contacter. Il y a aussi ce
Concours du Jeune Agriculteur
Innovateur (voir article ci-joint).
Si vous avez moins de quarante
ans et que vous avez réalisé, ou
que vous réaliserez dans un avenir proche, un projet innovateur
(productions alternatives, modes
de productions différents, approches sociales nouvelles, systèmes
de ventes différents ou, … Un
tas de projets peuvent rentrer
dans les critères), faites-le-nous
donc savoir avant le 31 août et
peut-être Mariann Fischer Boel
vous remettra le prix du Meilleur
Jeune Agriculteur Innovateur
Européen. Ce prix justement, le
jury décidera à Bruges à qui il reviendra mais la remise de celui-ci
se fera le 17 avril 2007 lors d’une
grande journée pour les jeunes
agriculteurs car Mariann Fischer
Boel va organiser une journée de
rencontre entre la Commission
et 400 jeunes agriculteurs européens à Bruxelles. Vous y serez
donc plus que les bienvenus.
Venons-en au lundi matin
en Grèce pour la journée de
rencontre avec le Comité des
Régions. Ce Comité des Régions
donne un avis à la Commission
Européenne, au Conseil des
Ministres et au Parlement
Européen lorsque ceux-ci élaborent des textes législatifs qui portent sur des domaines touchant
les collectivités régionales ou locales. L’application de la stratégie
de Lisbonne les concerne donc
fortement. Mais au niveau agricole, c’est dans cette stratégie
qu’on retrouve une bonne partie
des aides dites du deuxième pilier (aide à l’installation, mesures
MAE, …). Mesures qui sont
donc vitales pour notre avenir. La
journée entière fut donc consacrée à rappeler l’importance de
l’agriculture au niveau rural. La
déclaration finale, disponible
sur www.ceja.org, explique les
mesures en détail et vous verrez
que toutes soulignent l’agriculture comme premier élément
du développement rural, preuve
qu’on a bien défendu notre pain.
Il faut préciser que la majorité du
Comité des Régions dont Michel
Lebrun (ancien Ministre et originaire de Viroinval) représentait la
Wallonie,furent des gens ouverts
et conscients de l’importance de
notre métier qui, pour la plupart
des membres du Comité des
Régions, évolue fortement et
assure une multitude de rôles
tels que productions alimentaires, énergétiques, gestion de
l’environnement, services aux
communes…
Bon voilà, je ne vais pas m’attarder davantage car on reproche à certains de mes articles
d’être trop longs (il est vrai que
pour le séminaire «Made In Ue»
à Orvieto j’étais particulièrement
inspiré). Je ne vous relate donc
pas l’état de la plage, la température de l’eau, l’excellent souper
au bord de mer, les cinq décollages et atterrissages en quatre
jours, les heures de présence
de mon ami Pieter Van Oost
Président du Groene Kring (FJA
Flamande) au séminaire comparées aux heures qu’il a passées
en compagnie de la permanente
de la «FJA» Tchèque. Enfin, tous
ces détails qui constituent un séminaire CEJA.A bientôt.
9fli^\f`jOXm`\i
Grand concours pour jeunes agriculteurs novateurs
Le Conseil Européen des Jeunes Agriculteurs
organise une compétition pour mettre
à l’honneur le meilleur jeune agriculteur
novateur de l’Union Européenne.
de transformations et de distributions innovatrices dans
le secteur agricole, et servir à
fournir à de jeunes fermiers de
nouvelles idées sur la façon de
faire des projets agricoles durables et innovateurs intégrés
dans le territoire.
Objectif
Cette compétition est inscrite dans le programme du
congrès européen de Bruges.
«L’innovation comme l’outil
pour augmenter la compétitivité dans le secteur agricole
de l’UE»
L’objectif est d’attirer l’attention sur les agriculteurs
novateurs et sur les projets
Conditions de
participation
La Compétition est ouverte
à tous les jeunes agriculteurs
en Europe ( agriculteurs de
moins de 40 ans).
L’inscription pour la compétition est possible pour des
agriculteurs individuels ainsi
qu’à des groupes d’agriculteurs ( à temps partiel comme
à temps plein).
L’inscription se fait via l’or-
ganisation nationale de jeunes
agriculteurs. (Pour la Région
Wallonne il faut donc passer
par la FJA).
La proposition de projet novateur doit être une réalisation
récente, débutée au maximum
depuis 5 ans. Le projet qui n’est
pas complètement opérationnel au moment de l’inscription
peut-être pris en considération
à condition que le projet soit
complètement opérationnel
dans l’année.
La nomination
du «Jeune agriculteur
de l’année»
Le prix ira au jeune agriculteur qui aura développé
un projet de ferme avec la
meilleure synergie entre le caractère durable et novateur.
Un jury extérieur évaluera
chaque projet envoyé par le
CEJA via les organisations de
jeunes agriculteurs, mesurant
le caractère durable du projet en terme de protection de
l’environnement ( biodiversité,
gestion du paysage,… ) le rôle
social du secteur rural ( approche territoriale et création
d’emplois) la performance
économique (le taux de croissance mesuré par rapport à
l’investissement fait )
mais aussi l’orientation de
marché ( mesuré en terme de
qualité et de satisfaction grand
public).
En plus de cela, nous offrons
aux membres du jury la possibilité d’offrir des récompenses de côté dans le cas où ils
sentiraient qu’un projet a une
valeur spécifique prêtant à une
attention spécifique.
Timing pour la
compétition
Chaque participant pourra
se procurer les documents
d’inscription auprès du bureau
de la FJA. Il devra remplir le
'*
questionnaire concernant le
projet qu’il souhaite voir participer à la compétition nationale. Une fois le questionnaire
complété – accompagné d’une
photo du projet de la ferme (
de préférence en version informatisée) – devra être rentré à
la FJA pour la fin juillet 2006.
L’organisation nationale sélectionnera 5 projets de jeunes
agriculteurs du pays et présentera ceux-ci au CEJA pour la
fin août 2006. L’organisation
nationale motivera ses choix
auprès du CEJA. Chaque projet
devra être accompagné d’une
explication de l’organisation
nationale motivant le choix du
projet.
Un Jury européen indépendant présentera, en octobre, la
sélection du gagnant parmis
les candidats sélectionnés.
L’annonce des résultats
Basé sur un reportage
photo, ils donneront là une vue
des différents types de projets
ayant été présentés.
Mrs. Fischer Boel annoncera
le gagnant et offrira le prix du»
jeune agriculteur novateur
2006» lors de l’événement
médiatique prenant part au
congrès européen de Bruges
qui se tiendra le 17 novembre
2006, lié au séminaire du CJA
sur l’innovation.
Dans le cas où les membres
du jury indépendant donnerait
une récompense complémentaire, le prix sera offert dans le
cadre de l’évènement médiatique de Bruges.
N’hésitez pas à contacter la Fédération des Jeunes
Agriculteurs au 081/60.00.60
ou [email protected] ou encore par
courrier, chaussée de Namur
47 – 5030 Gembloux.
Petit rappel
Nos formations agricoles, gratuites et ouvertes à tous, redémarrent en force en début d’automne !
que les Sections locales prévoient d’organiser.
Comme vous le savez déjà, la saison des
cours agricoles redémarre dès septembre,
et il nous semble important de rappeler
quelques conditions en vigueur pour l’accès
aux cours de reprise d’exploitation et pour
l’organisation des cours en général.
Pour accéder aux cours de
type B de reprise d’exploitation, il faut obtenir un certificat de réussite des cours de
type A d’agriculture générale
(cours de mise à niveau destinés aux personnes ayant
une formation insuffisante
en agronomie et/ou des
cours qui abordent de façon générale les principales
techniques de production)
ou posséder un diplôme à finalité agricole du niveau de
l’enseignement secondaire
supérieur ou encore faire
la preuve d’une expérience
utile de 3 ans au moins, en
tant qu’aidant, salarié ou
exploitant agricole.
Dans certains cas, l’obtention du certificat de réussite
du cours B est requise dans
le cadre des aides du FIA
« 1ère installation ».
Toutefois, pour qu’un
cours soit agréé par la
Région Wallonne, il faut au
moins 6 élèves réguliers à
chaque séance de cours.
Les participants doivent en
outre être âgés d’au moins
18 ans avant le début du
cours. Ces conditions sont
valables pour tout type de
cours A, B ou C.
En ce qui concerne les
cours de type C obligatoires
pour les sections locales !
Afin de planifier correctement (dans la période
creuse : Hiver) et de faciliter
l’organisation de la saison
de cours 2006-2007 (année scolaire), la FJA devrait
recevoir début septembre
les informations relatives au
cours C (thèmes, dates, lieu)
Les cours C sont des cours
de perfectionnement en gestion et technologies visant à
assurer périodiquement une
formation approfondie sur
n’importe quelle matière en
rapport avec l’agriculture.
Une grande diversité de
cours vous est proposée
(voir encadré), sans oublier
que beaucoup d’autres sujets peuvent faire objet d’un
cours C en fonction de vos
demandes. Ne tardez donc
pas à contacter le secrétariat
ou vos perm
anents.
Il n’est pas inutile de rappeler que nos formations
sont ouvertes à tous, jeunes
et moins jeunes et qu’elles
sont totalement gratuites. A
vous d’en saisir l’occasion !
Formation Professionnelle Agricole
Saison 2006-2007
Cours A
Cours B
Cours C
Agriculture Générale
Reprise d’exploitation
Spécialisation
Province du Brabant
Nivelles et Perwez
Province du Brabant
Nivelles et Perwez
Toutes provinces
Province de Hainaut
Soignies, Chimay et Tournai
Province de Hainaut
Ath, Chimay, Soignies et Tournai
Province de Liège
Battice et Waremme
Province de Liège
Battice, Waimes et Waremme
Province de Luxembourg
Etalle, Michamps,
Libramont et Marche
Province de Luxembourg
Etalle, Michamps,
Libramont et Marche
Province de Namur
Ciney, Philippeville,
Namur
Province de Namur
Ciney, Philippeville,
Namur
Si vous désirez vous inscrire à un
cours, merci de renvoyer le formulaire
d’inscription ci-joint
- soit par courrier à la Fédération des
Jeunes Agriculteurs, Chée de Namur,
47 à 5030 Gembloux ;
- soit par fax au 081/60 05 27
- soit par téléphone au 081/60 00 60
JUILLET
21
23
30
AOUT
4
6
13
HAINAUT
NAMUR
Soignies BBB
Merbes-Binche BBB
Eghezée BBB
LUXEMBOURG
Sud Lux BBB
CondrozLiégeois BBB
Aubel PN
Namur-Sud BBB
Florenne BBB
20
25
BRABANT
Ath Flobecq BBB
Beauraing BBB
Bastogne 1 BBB
Centre Ardenne
BBB ( ? )
Rechain-Herve
PN
27
Beaumont BBB
Ciney BBB
Houffalize Vielsam
BBB
Andenne BBB
Finale
(Provinciale)
Bastogne 2 BBB ( ? )
SEPT.
3
23
Ath (Provinciale) BBB
Cornesse PN
FOSSE
(Provinciale)
BBB
24
OCTOBRE
FINALE NATIONALE
SILLY BBB
1
7
Nom : …………………………………
Prénom : ………………………………
Adresse :………………………………
Localité…………….. Code Postal : …
Tél :……………………………………
Lieu et date de naissance : ……………
………………………………………...
Num. de carte d’identité (12 chiffres):
……….-……………………..-………..
Je désire m’inscrire au cours : A B C
Lieu du cours : ………………………..
Résultats des Concours de Meilleur Juge 2006
Planning des Concours Meilleur Juge de Bétail F.J.A. 2006
FP (finale provinciale)
FN (finale nationale)
LIEGE
Soudure, électricité, maçonnerie,
menuiserie, mécanique agricole,
comptabilité, phytopharmacie,
alimentation du bétail, insémination
artificielle, informatique à la ferme,
soins aux onglons, aménagement
des bâtiments agricoles, diversification en petits élevages…
WPJ:
1.
Sablon Julien
2.
Godelet Sandrine
3.
Van Eynde
Bernard
Leuze:
1.
Marnier Emilie
2.
Leleux Laurent
3.
Moulard
Sébastien
'+
1.
Van Eynde Michel
2.
Van Eynde
Bernard
3.
Wautelet
Sébastien
Dinant:
1.
Mailleux Benoît
2.
Romedenne
3.
Wautelet Vincent
Mathieu
Henri Chapelle:
1.
Piron Christophe
2.
France martin
3.
Schuurman
Laurence
Hannut:
1.
Wautelet Vincent
2.
Godelet Sandrine
3.
Courtoy AGauthier
Bastogne 2:
1.
Wathelt Fabian
2.
Paquay Vincent
3.
Tasiaux Ludovic
FINALE
NATIONALE
BLEGNY PN
Nord Luxembourg:
Philippeville:
1.
Pierard Quentin
2.
Lannoo Johan
3.
Cornelis Mathieu
Latere d’ardenne :
1.
Lambert
Stéphanie
et Donna
2.
Frédéric
3.
Alice Collignon
Dubuisson
M É C A N I SAT I O N
Moteurs Tier 3 pour les nouveaux Fastrac
Appelés à remplacer les 3190 et 3220, les
nouveaux Fastrac 3200 et 3230 de JCB sont
plus puissants, plus silencieux et ont plus de
couple à bas régime que leurs
prédécesseurs. Et surtout, leurs nouveaux
moteurs répondent aux normes Tier 3.
Bernard Kersten
n a rarement assisté à
un renouvellement
aussi rapide des modèles de tracteurs que ces
dernières années. Le phénomène de mode se serait-il
emparé des constructeurs où
la situation est-elle à ce point
favorable qu’ils disposent de
moyens conséquents pour rajeunir leurs gammes? Ni l’un
ni l’autre, sans doute. C’est
plutôt du côté des obligations
environnementales qu’il faut
chercher l’explication.La mise
en application de la norme
Tier 3 sur les émissions des
moteurs contraint en effet les
O
tractoristes à opter pour de
nouveaux moteurs. Et dans la
foulée, ils en profitent alors
pour modifier la dénomination de leurs produits, même
si parfois le seul changement
significatif porte sur la motorisation.
C’est un peu ce qui vient
de se passer chez JCB:ce sont
essentiellement les moteurs
qui distinguent les nouveaux
Fastrac 3200 et 3230 de leurs
prédécesseurs 3190 et 3220.
Il s’agit toujours de moteurs Cummins QSB mais cette fois d’une cylindrée de 6,7
litres et non plus 5,9 litres.
La gamme des tracteurs Fastrac de JCB compte aujourd’hui 3 séries pour des puissances allant de 140 à 250 ch: 2000 (à gauche),
3000 (à droite) et 8000 (au centre)
Ces nouveaux moteurs développent davantage de puissance que les précédents.
Ainsi, le 3200 affiche une
puissance maxi de 198 ch
contre 178 ch au 3190 et le
3230 annonce 230 ch alors
que le 3220 en faisait 200.A
noter que les puissances au
régime nominal de ces deux
nouveaux tracteurs sont
respectivement de 195 et
220 chevaux.
Mais ce n’est pas tant le
gain de puissance qui est mis
en avant par JCB que le couple,particulièrement à bas régime.A 1000 tr/min, le 3230
dispose d’un couple 16%
plus élevé que le 3220. La
conduite est donc plus souple
et le conducteur ne sera pas
obligé de changer aussi souvent de rapport.
La réduction sensible du
bruit est un autre atout mis en
avant par JCB et Cummins.
Elle est obtenue par le positionnement en arrière de la
distribution.
Enfin et surtout, les nouveaux moteurs répondent
aux normes Tier 3. Pour atteindre ces exigences, les ingénieurs de Cummins ont utilisé les techniques qui se sont
largement développées ces
toutes dernières années,
comme les 4 soupapes par
cylindre ou encore l’injection
Common rail à haute pression. Par contre, les solutions
de post-traitement des gaz
d’échappement n’ont pas été
retenues avec pour conséquence que les nouveaux
tracteurs peuvent toujours
être alimentés avec un gasoil
à haute teneur en soufre,seule qualité disponible pour les
tracteurs dans certaines ré-
Avec une cylindrée passant de 5,9 l à 6,7 l, la nouvelle motorisation des Fastrac 3200 et 3230 offre davantage de puissance et de couple tout en étant plus silencieuse et surtout en répondant aux nouvelles
normes européennes
gions du monde. Pour les futurs moteurs Tier 4, dont le
développement est actuellement à l’étude, il est possible
qu’il n’y ait pas d’autre choix
technique,mais cela reste encore à confirmer.
De 140 à 250
chevaux
C’est à l’automne 1990
que JCB a présenté pour la
première fois son Fastrac, un
tracteur agricole rapide,capable à la fois de réaliser les travaux habituellement confiés à
un tracteur classique et de se
déplacer sur la route à une vitesse de 65 km/h. Même si
une telle vitesse reste interdi-
te aux tracteurs agricoles
dans de nombreux pays (dont
la Belgique où,rappelons-le,il
n’est pas permis de mettre en
circulation un véhicule agricole en mesure de rouler à plus
de 44 km/h), le Fastrac
connaît un certain succès, en
particulier au Royaume-Uni,
en Allemagne aux Etats-Unis
et en Australie.
Depuis son lancement, la
gamme s’est naturellement
développée. Elle compte aujourd’hui 5 modèles, répartis
en 3 séries.
La série 2000 ne compte
qu’un seul modèle, le 2140
qui développe 142 ch.
Particularité de ce tracteur: il
est également disponible
dans une version 4 roues directrices qui en améliore sensiblement la maniabilité.
La série 3000 est riche de 3
modèles. A côté du 3170 de
155 chevaux, on retrouve les
nouveaux 3200 et 3230 de
198 et 230 chevaux.
Enfin la série 8000, qui a
été lancée à l’automne dernier,ne compte qu’un seul représentant. Il s’agit du 8250,
un tracteur qui affiche 250
chevaux et qui, outre sa puissance, se distingue essentiellement de ses compagnons
d’écurie par sa transmission.Il
s’agit en l’occurrence d’une
boîte à variation continue
«made in Marktoberdorf».
AVIS - ENQUETE INFORMELLE
99982521/2906 plc jht
Dans le cadre du classement de terre du bloc à
remembrer «REBECQ TUBIZE» (soumis à la loi du
12 juillet 1976 portant sur les mesures particulières en
matière de remembrement légal de biens ruraux lors de
l’exécution de grands travaux d’infrastructure), les
exploitants
et
propriétaires
concernés
par
ce
remembrement agricole sont invités à consulter le
projet de classement de terre et à faire part de leurs
éventuelles remarques.
Le bloc à remembrer est situé sur les communes de
Rebecq, Tubize et Enghien.
Les consultations auront lieu à l’adresse et aux dates
suivantes:
Salle communale de Wisbecq
Place de Wisbecq, 15
1430 Rebecq
Contact: Mr Pierre SMITS
Du 25 au 27 juillet 2006 de 9h00 à 15h00
A8 –E429
Tubize
Enghien
Rebecq
Les remarques sont à adresser, uniquement par courrier et avant le 8 août 2006,
au prestataires de service à l’adresse suivante:
SHER Ingénieurs-Conseils s.a.
Rue J. Matagne, 15 - 5020 Vedrin (NAMUR)
20 juillet 2006
15
ZWISCHEN EUPEN UND SANKT VITH
Expansionskurs für die Milch-Union Hocheifel
Pronsfeld. Die Milch-Union Hocheifel eG
(MUH) befindet sich weiter auf
Expansionskurs. „Wir haben im
abgeschlossenen Geschäftsjahr erneut
deutliche Zuwachsraten in nahezu allen
Geschäftsbereichen erzielt”, sagte Rainer
Sievers, geschäftsführender Vorstand des
Unternehmens am Mittwoch in Pronsfeld
im Kreis Bitburg-Prüm. Mit 1,15 Milliarden
verkauften Verpackungseinheiten, die einen
Umsatz von rund 448 Millionen Euro
(Vorjahr 446 Mio. Euro) bedeuteten,
erreichte die MUH im Geschäftsjahr 2005
eine Steigerung von mehr als fünf Prozent.
Hans Müllens
Ein weiteres Indiz für ein
erfolgreiches Jahr, ist nach
den Worten von Sievers das
erstmalige Überschreiten der
Marke von 900 Millionen
Kilogramm bei der jährlichen
Milchverarbeitung. Damit hat
der Hersteller haltbarer
Milchprodukte die jährlich
produzierte Milchmenge in
den vergangenen zehn
Jahren mehr als verdoppelt
(1995: 413 Millionen
Kilogramm).
Die Mitgliedsbetriebe lieferten
888
Millionen
Kilogramm Milch an, eine
Steigerung im Vergleich zum
Vorjahr um 15,5 Millionen
oder knapp zwei Prozent.
Davon
wurden
in
Deutschland 646, in Belgien
142 und in Luxemburg 100
Millionen Kilogramm erfasst.
Nach den Worten von Sievers
waren zum Jahresende
knapp 2600 Landwirte als
aktive MUH-Lieferanten registriert,rund 200 weniger als
im Vorjahr. Die durchschnittli-
che Anlieferung pro Landwirt
betrug demnach rund
344.000 Kilogramm pro Jahr.
Insgesamt seien 2005 im
Werk Pronsfeld inklusive der
Zukaufsmilch 904 Millionen
Kilogramm Milch verarbeitet
worden, sagte Sievers. Das
entspreche einer Steigerung
von 3,4 Prozent.
Immer mehr Export
Auch im Exportgeschäft
hat die MUH 2005 erneut
ganz erheblich zugelegt.
Mittlerweile mache der
Export 26,7 Prozent des
Gesamtgeschäftes aus, erklärte der für den Vertrieb vera n t w o r t l i c h e
Geschäftsführer Winfried
Meier. Neben den traditionellen Exportländern wie
Benelux und Frankreich hätten sich insbesondere
Griechenland, Italien und
Großbritannien als wichtige
Wachstumsmärkte für MUHProdukte etabliert. Als füh-
rend präsentiert sich das
Unternehmen auch beim
Thema
Produktinnovationen im
Bereich
der
Verpackungstechnologie.Seit
April diesen Jahres bietet die
MUH ihren Handelspartnern
auch
bei
haltbaren
Milchprodukten den verbraucherfreundlichen
Drehverschluß an.
Über eine erfreuliche
Entwicklung
berichtete
Sievers
auch
im
Kleinpackungsbereich der
alle Verpackungseinheiten
mit weniger als einem Liter
Inhalt umfasst. „Hier haben
wir uns mit mehr als 26
Millionen zusätzlich verkaufter Einheiten nochmals um
fünf Prozent gesteigert”, so
Sievers.Auch auf dem insgesamt
rückläufigen
Kondensmilchmarkt habe die
MUH ihren Absatz stabil gehalten.
Warum
Preisrückgang?
Sievers erläuterte die
Gründe für den erneuten
Milchpreis-Rückgang und betonte dabei, dass die von der
Agrarmarktordnung
der
Europäischen Union vorgegebenen Rahmenbedingungen
dafür verantwortlich seien.
Dem deutlich erhöhten
Angebot stünde eine unveränderte Nachfrage nach
Milchprodukten gegenüber,
was zwangsläufig eine
Preisreduzierung zur Folge
habe. Trotz des schwierigen
Umfeldes habe sich die MUH
gut behauptet. Der an die
MUH-Landwirte ausgezahlte
Milchpreis für eine Milch mit
3,7 Prozent Fett und 3,4
Prozent lag bei 29,11 Cent
pro Kilogramm. „Mit diesem
Auszahlungspreis liegen wir
über
dem
Molkereidurchschnittspreis
und weiterhin in der
Spitzengruppe der Auszahler
in Deutschland”, berichtete
Sievers.
Neue Lagerhalle
Die Milch-Union Hocheifel
eG, einer der größten
Hersteller
haltbarer
Milchprodukte in Europa beschäftigt
am
Standort
Pronsfeld
rund
650
Mitarbeiter.
Das
Unternehmen in der Eifel
plant
den
Produktionsstandort weiter
auszubauen. Allein im vergangenen Jahr seien rund 16
Millionen Euro in die
Modernisierung
und
Vergrößerung des Werkes investiert worden, sagte
Sievers.Herauszuheben seien
dabei die Installation weiterer
Abfülllinien, die mit den
neuen Verschlusssystemen
ausgestattet sind und die
Produktionsflächenerweiteru
ng zur Abfüllung der
Kleinpackungen. Dazu kamen der Bau einer neuen,
10.000
Quadratmeter
großen Lagerhalle sowie ein
neues Gebäude für den
MUH-Agrar-Service.
Vorstand und
Aufsichtsrat
Derzeit verarbeitet die
MUH täglich bis zu drei
Millionen Kilogramm Milch
Pferdegespanne in Malmedy
Am 09.07.2006 besuchte ich den
Wettbewerb der Pferdegespanne, welcher
zum 10. Mal in Malmendy stattfand. Die
Organisatoren sind der «Cercle d’Attelage
du Pays de Liège» und «der Verkehrsverein
von Malmedy».
Die Kutschen und die
Pferde waren von unterschiedlichster Art.Es gab sehr
einfach gehaltene und sehr
aufwendig
hergestellte
neue, sowie alte Kutschen
zu bewundern. Die Besitzer
haben weder Kosten noch
Mühen gescheut, um dem
Besucher ein harmonisches
Gesamtbild zu zeigen.
Bewundernswert waren
auch die prächtig, glänzend
geputzten Pferdegeschirre.
Gleichzeitig versuchten
sich die Kutscher und ihre
Begleitungen in den dazu
16
p a s s e n d e n
Kleidungsstücken zu präsentieren.
Die
Pferdegespanne defilierten
über mehrere Stunden
durch die mit liebevollem
Blumenschmuck hergerichtete Innenstadt Malmedys.
Am
Rande
der
Veranstaltung
wurden
Kutschen zum Verkauf angeboten. Auf dem Place
Albert wurde innerhalb eines extra hergerichteten
Parkurs die Gespanne durch
eine
Jury
bewertet.
Gleichzeitig hatten die
20 juillet 2006
Besucher Gelegenheit ihre
Favoriten durch Stimmzettel
zu klassifizieren.
Für die Jüngsten unter
den Besuchern hatte man
eine kleine Auswahl an
Ponys
und
deren
Nachwuchs in Boxen gezeigt. Dies wurde von den
Kleinen mit Begeisterung
sofort angenommen. Am
Nachmittag konnte man
sich mit einer Kutsche durch
Malmedy fahren lassen. Die
Fahrten wurden in großen
langen
alten
Transportgespannen angeboten. Natürlich durften zu
dieser Veranstaltung die
Hufschmiede nicht fehlen.
Diese stellten seit den
Morgenstunden ihr Können
unter Beweis.
an einem einzigen Standort.
Für
das
laufende
Geschäftsjahr rechnet Sievers
mit einer weiteren Steigerung
und kündigt an,die magische
Grenze von einer Milliarde
Kilogramm
verarbeiteter
Milch pro Jahr in naher
Zukunft erreichen zu wollen.
Der Geschäftsführer hofft,
dass sich der Milchpreis trotz
gestiegener Kosten im laufenden Jahr auf dem Niveau von
2005 stabilisieren wird. Die
zufrieden stellend verlaufenen Kontraktverhandlungen
deuten nach den Worten von
Vertriebschef Meier zumindest darauf hin.
Anlässlich
der
Vertreterversammlung der
Milch-Union Hocheifel eG haben sich Vorstand und
Aufsichtsrat neu konstituiert.
Die beiden Gremien setzen
sich für die Amtsperiode bis
zur
nächsten
Vertreterversammlung im
Jahr 2007 wie folgt zusammen:
Vorstand:
Manfred Graff
(Vorsitzender)
Robert Mehlen
(Stellvertretender
Vorsitzender)
Ignaz Hontheim
(Wechsel aus Aufsichtsrat)
Ludwig Jung
(Wechsel aus Aufsichtsrat)
Patrick Rauw
Karl-Heinz Steffens
Rainer Sievers
(Geschäftsführer)
Aufsichtsrat:
Klaus Land (Vorsitzender)
Alphonse Ferber
Franz-Michael
Klinkhammer (neu)
Frank Königs (neu)
Patrick Krings
Christoph Lüpschen
Johannes Streit (neu)
Hans-Wilhelm Thelen
Albert Thiex (neu)
Helmut Wilms
Mit
Wirkung
der
Vertreterversammlung hat
die Milch-Union Hocheifel eG
die
drittelparitätische
Mitbestimmung
der
Arbeitnehmer im Aufsichtsrat
nach
dem
Drittelbeteiligungsgesetz umgesetzt.
Folgende fünf Arbeitnehmer
werden zukünftig dem
Aufsichtsrat angehören:
Wolfgang
André
(Fachbereichsleiter
Qualitätssicherung)
Hermann
Braun
(Abteilungsleiter
Aseptic
Wartung)
Reimund
Dimmer
(Betriebsratsvorsitzender)
Dieter Klasen (Mitarbeiter
Zentrallager)
Marc Peiker (Mitarbeiter
Planung/Technik)
Peter Feinen, der sein
Vorstandsmandat Anfang
April aus persönlichen
Gründen zur Verfügung gestellt hatte wurde von den
Gremien
verabschiedet.
Feinen war seit 1976 im
Aufsichtsrat und seit 1991 im
Vorstand der MUH tätig.Von
1993 bis April 2006 war Herr
Feinen Vorstandsvorsitzender.
Die Vertreterversammlung
hat Feinen in Anerkennung
und Würdigung seiner hervorragenden Leistungen zum
Ehrenvorsitzenden
des
Vorstands der Milch-Union
Hocheifel eG ernannt.
ZWISCHEN EUPEN UND SANKT VITH
IBR, GAP und Nitrat-Richtlinie stehen auf der
Tagesordnung des Generalrats
Der Generalrat des FWA ist am 30. Mai 2006 in
Gembloux zusammengetroffen. René Ladouce,
Präsident des FWA, führte den Vorsitz.
Richard Cydzik
Der Präsident, René Ladouce,
der die Sitzung eröffnete, forderte dazu auf,Yves Mestdag Beifall
zu spenden, der soeben zum
Vizepräsident des FWA gewählt
worden ist, eine Bitte, der die
Teilnehmer gerne nachkamen.
IBR
Das erste Dossier (IBR) wurde
von Alain De Bruyn angesprochen und vorgestellt, aus verschiedenen Gründen ist der südliche Landesteil viel stärker mit
dem Thema vertraut als der
Norden des Landes. Es sei daran
erinnert, dass eine freiwillige
fünfjährige Impfungsphase geplant ist, danach wird der
Bekämpfungsplan Pflicht.
Es ist zu erwarten, dass der
Erlass über die Bekämpfung im
kommenden September verabschiedet wird und zwei Monate
später soll er dann tatsächlich
umgesetzt werden.
Der nördliche Landesteil fordert
ständig
diverse
Abweichungen, sogar die
Anwendung des Erlasses um 12
oder sogar 18 Monate zu verschieben.
Eine Zukunftsaussicht, die der
FWA ausschließt. Wie stünden
wir da, wenn wir - nachdem wir
ständig Druck auf die
Wallonische Region ausgeübt
haben, um eine Finanzierung zu
erwirken, indem wir auf die
Dringlichkeit hingewiesen haben
und die Bekämpfung zu beginnen - nun akzeptieren würden,
die Aktionen um mehr als ein
Jahr zu verschieben!
Die Züchter werden gebeten,
Arsia alle notwendigen Angaben
mitzuteilen, so dass der Verband
sie erfassen kann. Dies bietet die
Möglichkeit,die Viehbestände zu
kontrollieren (eine Impfung ohne
Kontrolle ist vergebens). Die
Arbeit
der
Regionalen
Vereinigung für die Gesundheit
und Identifikation von Tieren
Arsia (die u.a.das Datum mitteilt,
an dem der Züchter impfen
muss) ermöglicht eine maximale
Vereinfachung der Arbeit des
Züchters oder des Tierarztes.
Ideal wäre es nächsten Winter
mit der Bekämpfung zu beginnen, denn dies ist der günstigste
Zeitraum für die Impfung, weil
das meiste Vieh dann in den
Ställen steht.
Die Einführung der Regelung
und ihre Umsetzung werden von
der Region übernommen, die es
abgelehnt hat eine Prämie für die
Impfung zu gewähren,weil diese
auf Ebene der von den Firmen
praktizierten
Preise
Abweichungen verursachen
könnte.
Alain De Bruyn,der die nächste Sitzung des Ausschusses
„Tierproduktionen” ansprach,
betont wie besonders wichtig
diese ist. Die Situation ist in der
Tat auf verschiedenen Ebenen in
gefährlicher Weise blockiert und
zwar im Bereich Betreuung und
Verzeichnis.Außerdem läuft man
Gefahr in diesem Bereich in
Bezug auf die Errungenschaften,
die wir nach zehn Jahren zäher
Verhandlungen erreicht haben,
einen Rückschlag zu erfahren.
Neues bei der GAP
Yves Somville brachte die
Situation
in
diesem
Zusammenhang auf den Punkt.
Der FWA hat - was die
Anwendung der Cross-compliance-Regelung angeht, die ja
zuerst
unakzeptable
Ausschreitungen hervorgerufen
hat - heftig reagiert. Im Mai sind
noch offizielle Schreiben versandt worden. Die Situation darf
umso weniger geduldet werden,
als die Anwendung der Crosscompliance-Regelung paradoxerweise mehr Probleme bei
der Landwirtschaft aufzuwerfen
scheint als bei der Umwelt, einem Bereich, der jedoch viel anfälliger und heikler ist.
Allgemein warnte Yves
Somville vor der Frist 20082009. Eine Halbzeitbilanz
(Begriff, dessen Zweideutigkeit
und Gefahren bekannt sind) der
GAP-Reform 2003 wird zu diesem Zeitpunkt vorgenommen.
Man sollte auch nicht vergessen,
dass die EU-Kommission ggf.
über die Macht verfügt, die
Ausgaben für die Landwirtschaft,
einschließlich
der
Betriebsprämie, drastisch zu kürzen, sollte die Haushaltsdisziplin
nicht eingehalten werden. Die
Gefahren bestehen in dieser
Hinsicht z. B. insofern bisher kein
Budget für Natura 2000 vorgesehen ist.
Zudem ist es jedem
Mitgliedstaat überlassen worden, die Modulation bis auf 20
% anzuheben:ein Anteil,der von
der Betriebsprämie abgezogen
werden könnte, um ihn sodann
für die ländliche Entwicklung zu
verwenden. Für die Landwirte,
müssen die so „unterschlagenen” Beträge der Landwirtschaft
zukommen und nicht dazu verwendet werden, Dorfplätze zu
gestalten!
Die Mitglieder werden dazu
angehalten,Position zu verschiedenen punktuellen Problemen zu
beziehen,so z.B.zur eventuellen
Beibehaltung der Kopplung bei
den Mutterkühen oder bei den
Milchquoten.
In Europa zeichnet sich eine
starke Tendenz zur Abschaffung
der Milchquoten hin ab. Die
Schweiz erwägt es die öffentliche
Regelung der Kontingentierung
aufzugeben, während der DBV,
der mächtige landwirtschaftliche
Verband in Deutschland dafür ist
die Milchquoten ab 2015 abzuschaffen.
Die Ruhe, die derzeit auf Seite
der GAP zu herrschen scheint,ist
also nur augenscheinlich, und es
geht bei all’ diesen Dossiers darum „die Sache im Vorfeld zu erfassen”,d.h.eine proaktive,anstatt eine reaktive Haltung einzunehmen.
Was den Amtsschimmel anbelangt, so erwähnen manche
den Fall gewisser PfadfinderSommerlager, die fortan zahlreiche Formalitäten erledigen und
Genehmigungen einholen müssen. Ein auffälliger Irrweg, der
jetzt angeprangert wird.
Nitrat-Richtlinie
Zu dem Zeitpunkt,wo Sie diese Zeilen lesen, hat es insofern
Fortschritte beim Dossier,das sich
aus der Verurteilung Belgiens
durch den EuGH ergeben hat,als
ein neues Treffen zwischen der
Wallonischen Region und der
EU-Kommission vereinbart worden ist. Derzeit ist nichts unter
Dach und Fach und die eingehenden Informationen sind mit
Vorsicht zu behandeln, solange
die
Kommission
ihr
Einverständnis nicht gegeben
hat.
Bernard Decock gibt einen
chronologischen Überblick des
Dossiers und es hat mehrere
Zusammentreffen zwischen diversen beteiligten Partnern gegeben, um die Position zu definieren, die die Region in Kürze bei
der EU-Kommission vertreten
muss. Zu diesen Partnern gehören die GD Naturressourcen und
Umwelt, die GD Landwirtschaft,
Partner aus Wissenschaft,
Wassererzeuger und natürlich
der FWA.
Bernard Decock erinnert daran, dass das Dossier in drei Teile
unterteilt wird und ein Zeitplan
einzuhalten ist.
In einem ersten Teil ist es angemessen, das Ausmaß der anfälligen Zonen zu definieren. Ein
zweiter Teil beinhaltet Aspekte
der guten fachlichen Praxis in der
Landwirtschaft. Sind diese beiden Punkte erst einmal unter
Dach und Fach, kann die
Kommission über den Antrag auf
Abweichung von den 170 kg
Stickstoff entscheiden.
Da diese Abweichung vom
Nitrat-Ausschuss gebilligt werden muss und dieser Ausschuss
nur noch im September und
Dezember zusammenkommt, ist
es wichtig, zu den beiden ersten
Punkten schnellstmöglich eine
Einigung zu erzielen. Somit ist
der enge Zeitplan zu erklären.
Unter den unterbreiteten
Vorschlägen gingen manche
über die Verurteilung durch den
Gerichtshof hinaus.
Dennoch sind für jeden der 3
folgenden Fälle Vorschläge unterbreitet worden:außerhalb anfälliger Zone, in anfälliger Zone
und Ausnahmeregelung bei den
170 kg Stickstoff. Für jede dieser
Kategorien gab es zahlreiche
Vorschläge zu Massnahmen:
grasbewachsene
Streifen,
Revision der Ausbringungsdaten
und der Bedingungen zur
Lagerung von Dung im Feld,
technische Kontrolle der Streuer
(Verteiler), Verbot zu Füttern,
usw.
Diese Normen waren so strikt,
dass der FWA sich mit Händen
und Füßen hat wehren müssen,
um gewisse Erleichterungen zu
erwirken, die sie etwas akzeptabler machen. Die ursprünglich
vorgeschlagenen Normen, die
selbstverständlich zwingend sein
sollten,hätten dazu geführt,dass
diverse
Agrar-UmweltMaßnahmen ausgeschlossen
worden wären.
Im Laufe zahlreicher
Verhandlungsrunden hat der
FWA veranlasst, dass am
ursprünglichen Text merkliche
Abschwächungen,
siehe
Streichungen, angebracht worden
sind
(unsere
Umweltexperten werden diesem
Thema einen Artikel widmen).
In der Diskussion, die mit den
Aktivisten geführt worden sind,
sind diverse Aspekte angesprochen worden. Der endgültige
Text, der die erlangten
Erleichterungen enthält,beinhaltet noch zahlreiche ungenaue
und vage Punkte. Es wird darin
angefragt, dass Nitrawal ein
Beratungsorgan bleibt und nicht
zu einer Kontrolleinrichtung umfunktioniert wird.
Zudem fällt das Ergebnis gewisser Analysen (Beispiel APL) je
nach Labor unterschiedlich aus!
Wo bleibt da die Zuverlässigkeit?
Experten wie Decock und Gérard
erklären, dass die zuletzt einge-
gangen Vorschläge nicht ideal
sind,es allerdings angebracht ist,
sie mit den Forderungen mancher Gesprächspartner, so z. B.
den Wassererzeugern,zu vergleichen.
Die Landwirte prangern allgemein die Tatsache an, dass sie in
den meisten Regelungen immer
für schuldig gehalten werden.
Warum wird,bei Schäden,die
der Umwelt zugefügt werden,
die Verantwortung anderer
Sektoren nicht mehr in Frage
gestellt.
Das Dossier ist auf jeden Fall
noch lange nicht abgeschlossen
und wir werden Sie über die
Diskussionen, die mit der EUKommission stattfinden werden,
auf dem Laufenden halten, und
zwar anhand des Programms,
das wir Ihnen oben vorgestellt
haben.
Molkereigesellschaft
bürgerlichen Rechts
(SCL)
André Gohy, Stellvertretender
Generalsekretär, hat die Société
Civile Laitière (SCL) vorgestellt.
Der FWA hat der Wallonischen
Regierung dazu Argumente und
Informationen geliefert.
Die Ziele der SCL,die sich vom
GPL (Milcherzeugerverband) unterscheidet, sind im Leitartikel
von JP Champagne (Plein
Champ Ausgabe Nr. 18 vom 4.
Mai) dargelegt worden.
A. Gohy hat daran erinnert,
dass der SCL eine de facto
Gesellschaft ist,die sich aus mehreren Milcherzeugern (einschließlich solcher,die nebenberuflich erwerbstätig sind) für unbestimmte Zeit (doch man muss
seit mindestens 5 Jahren
Mitglied sein, um Strafen zu vermeiden) zusammensetzt.
Die Molkereigesellschaft bürgerlichen Rechts ist im Bereich
der Milchproduktion (Quoten)
gemeinschaftlich tätig, die
Produktionsmittel dienen der
Milcherzeugung sowie der
Vermarktung der Milch. Sie darf
über keinerlei Grundstücke verfügen, davon ausgenommen sind
Gebäude, die für die
Milcherzeugung genutzt werden. Da jeder Teilhaber seine
Betriebsprämie beibehält, führt
die
SCL
keinerlei
Flächenerklärung durch, und sie
bietet auf steuerlicher Ebene diverse Vorteile (MWSt.).
Sonstige greifbare Vorteile:
Die SCL würde es möglich machen, das Problem „Melken”
und der Molkerei anzugehen sowie Investitionen rationell zu
gestalten. Bestehende Betriebe
werden beibehalten.
Das letzte Dossier, das beim
Generalrat angesprochen wurde,
betrifft „Biobrennstoffe”. Der
Generalsekretär JP Champagne
hat die Situation beschrieben.Zu
diesem Thema hat es seitdem
Änderungen gegeben. Im
Communiqué, das Minister
Lutgen zum Thema herausgibt,
werden wir darüber berichten.
Die Koordinationsstelle « Grünes Land Eifel Ardennen », eine Institution zur Förderung der nachhaltigen
Entwicklung der Grünlandwirtschaft im Dreiländereck Eifel-Belgien-Luxemburg sucht für den Standort Bitburg und St.Vith eine(n)
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• Vertrauter Umgang mit EDV-Programmen, Textverarbeitung
• Sehr gute Deutsch- und Französischkenntnisse (schriftlich und mündlich)
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Wir bieten einen Lohn nach Beamtenbarema der Wallonischen Region.
Bewerbungsunterlagen sind zu richten an:
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Tel : 080 22 78 96 oder 0477 277 449 (P. Luxen)
20 juillet 2006
17
MARCHÉS
DE
BOVI
S
ANDERLECHT - GROS
11/07/2006
Apports: 355 euros/kg sur pied
Taureaux:cdp <24m & 650kg : 2,97-3,17
(2,97-3,17)
cdp >24m & 650kg:
2,68-2,88
(2,73-2,93)
assimilés:
2,38-2,58
(2,38-2,63)
bonne conformation:
2,03-2,23
(2,08-2,23)
60 %:
1,74-1,93
(1,78-1,93)
55 %:
1,44-1,59
(1,44-1,64)
holsteiner
1,24-1,44
(1,24-1,44)
Vaches: culs-de-poulain
2,53-2,73
(2,53-2,73)
assimilées:
2,33-2,43
(2,33-2,43)
bonne conformation:
1,74-2,23
(1,78-2,23)
55 %:
1,24-1,54
(1,29-1,59)
50 %:
0,99-1,09
(0,99-1,09)
fabrication:
0,74 -0,94
(0,74-0,94)
Génisses: culs-de-poulain 2,58-2,88
(2,58-2,88)
assimilées
2,28-2,53
(2,28-2,53)
bonne conformation:
1,54-2,13
(1,54-2,13)
ordinaires:
1,29-1,44
(1,29-1,44)
Par rapport au marché précédent, on a enregistré 1 tête
de bétail en moins.L'offre est faible même si les prix restent fixes pour les vaches culs-de-poulain et assimilés,
ainsi que pour les taureaux culs-de-poulain pas trop
gros. Tout le reste est faible à légèrement en baisse.
Attention: semaine 29 = pas de marché.
BATTICE
20 juillet 2006
BASTOGNE
12/07/2006
Nombre: 435
Prix au kg:
Vaches cul-de-poulain:
1,80-2,40 (1,80-2,40)
Vaches bon. conf.:
1,00-1,50 (1,00-1,50)
Vaches de fabric.:
0,50-0,70 (0,50-0,70)
Boeufs et gén. bon. qual.: 1,20-1,70 (1,20-1,70)
Boeufs et gén. qual. moy.: 0,70-1,00 (0,70-1,00)
Taureaux culs de poulain: 2,10-2,60 (2,10-2,60)
Taureaux ordinaires:
1,00-1,40 (1,00-1,40)
Prix pièce
Vaches ordinaires:
400-525
(400-525)
Boeufs et gén. de 15 à 18 mois: 350-700 (350-700)
Taureaux cdp 6 à 10 mois: 1000-1250 (1000-1250)
Taureaux ord. 6 à 10 mois: 400-700
(400-700)
Jeunes veaux:
75-400
(75-400)
Très calme. Prochain marché le 26/07/06.
ST-TROND
13/07/2006
Bovins: 84, veaux: 88.
Euro/kg:
Génisses 56%:
1,20-1,41 (1,20-1,41)
58-60%:
1,46-2,11 (1,46-2,11)
63-65%:
2,14-2,59 (2,14-2,59)
cdp 70%:
2,96
(2,96)
Taureaux 55%:
0,96-1,21 (0,96-1,21)
60%:
1,21-1,56 (1,21-1,56)
62%:
1,75-2,01 (1,75-2,01)
assim. :
2,21-2,41 (2,21-2,41)
cdp 67%:
2,31-2,81 (2,31-2,81)
cdp extra hors marché :
3,00
(3,00)
Vaches: 50%
0,81-0,96 (0,81-0,96)
55%
1,31-1,41 (1,31-1,41)
60%:
1,61-1,86 (1,61-1,86)
Bonne conformation:
2,08-2,68 (2,08-2,68)
fabrication:
0,45-0,60 (0,45-0,60)
Euro/pièce:
Veaux cdp mâles extra:
670-705
(670-705)
Veaux cdp 2e cat.:
545-620
(545-620)
BBB extra:
590-465
(405-480)
BBB 2e cat.:
250-320
(265-335)
Rouges extra:
125-220
(210-235)
rouges 2e cat.:
40-90
(40-90)
noirs extra:
30-80
(40-90)
noir 2e cat.:
30-80
(40-90)
BBB génisses:
70-220
(85-235)
veaux génisses:
15-75
(20-80)
Marché calme. Baisse dans les veaux. Prochain marché
le 27/07/06.
PRODUITS LAITIERS
Cotations de la Confédération Belge de
l’Industrie Laitière
12/07/2006
Prix euro/kg
Beurre
2,52
(2,52)
Poudre de lait écrémé
2,15
(2,12)
Poudre l.écrémé alim anim
1,96
(1,94)
Poudre de lait entier
2,33
(2,33)
Gouda
3,25
(3,25)
Cheddar
2,84
(2,84)
17/07/2006
(euros/kg)
Porcs extra de viande:
1,38-1,41 (1,36-1,39)
Porcs de viande:
1,29-1,35 (1,27-1,33)
Porcs 1/2 gras:
1,20-1,23 (1,18-1,21)
Porcs gras et hors poids:
1,08-1,12 (1,06-1,10)
Truies
0,70-1,01 (0,70-1,01)
Porcs: légère hausse
Truies: stationnaire
Les tendances provisoires des produits de la découpe indiquent une légère hausse dans les épaules, et une situation stationnaire dans les autres catégories.
Les expéditions sont calmes vers la France, en baisse
vers l’Italie et l’Allemagne et en hausse vers les Pays-Bas.
ST-TROND
6/07/2005
Porcelets
(euro/pce-5eur supp inclus)
20kg:
36,00
(36,00)
23kg:
39,00
(39,00)
Tendance: stationnaire
CARCASSES DE GROS BOVINS
Sem. du 3 au 9 juillet 06
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Taureaux de moins de deux ans
A - S2
466,12
(465,63)
A - S3
436,52
(434,28)
A - E2
403,19
(411,16)
A - E3
377,98
(384,88)
A - U2
330,72
(332,90)
A - U3
303,68
(303,58)
A - R2
291,25
(291,44)
A - R3
269,54
(269,84)
A - O2
257,50
(257,79)
A - O3
236,95
(237,23)
Vaches
D - R2
266,99
(272,59)
D - R3
261,25
(261,58)
D - O2
243,68
(246,13)
D - O3
236,72
(236,14)
D - O4
229,04
(229,64)
D - P2
203,45
(203,22)
D - P3
189,87
(190,97)
Génisses
E - U2
337,00
(337,00)
E - U3
318,50
(318,50)
E - R2
275,00
(275,00)
E - R3
260,50
(261,00)
MOUT
AV I CULT
UR E
18
12/07/2006
Nombre: 404
Prix à la pièce
Vaches ordinaires:
350-650
(350-650)
Vaches p.n. et p.r.:
150-500
(150-500)
Vaches bonne conform:
350-860
(350-850)
Génisses 10-18 mois:
350-650
(350-650)
Génisses cdp:
600-875
(600-900)
Taureaux 6-10 mois:
340-550
(340-550)
Taureaux cdp:
800-1150 (800-1250)
Têteurs cdp:
600-940
(600-950)
Veaux rouges:
50-175
(50-200)
Veaux noirs-blancs:
50-160
(50-190)
Veaux blancs-bleus:
200-325
(200-325)
Veaux culs de poulain:
500-680
(500-685)
Prix au kg
Vaches cdp:
1,80-2,00 (1,80-2,20)
Vaches cdp âgées:
1,40-1,70 (1,40-1,70)
Vaches de qualité moyenne: 1,00-1,10 (1,00-1,10)
Vaches bonne qualité:
1,00-1,25 (1,00-1,25)
Taureaux 3 à 10 ans:
1,75-2,10 (1,70-2,25)
Marché bcp plus calme,baisse dans les vaches cdp,forte
baisse dans les vaches et veaux laitiers et dans les taureau cdp. Baisse dans les veaux. Prochain marché: le
19/07/06. Fermé dernière semaine de juillet.
ANDERLECHT
S
CINEY
7/07/2006
Nombre d’animaux exposés: 2.755. Bétail maigre et de
boucherie 2.660, 83 veaux et 12 chevaux. Prix du bétail
bovin hors T.V.A. et frais de marché inclus.
a) Bétail maigre: euro/pièce:
I.Veaux:
PN:
0-220
(0-220)
PR:
75-225
(75-225)
BBB ordinaire:
200-350
(200-350)
C.d.p. mâle:
450-750
(450-750)
C.d.p. femelle:
475-600
(475-600)
II. Génisses:
180-250kg: PN/PR:
250-350
(250-350)
BBB culard:
550-750
(550-750)
250-400kg: PN/PR:
320-450
(320-450)
BBB culard:
900-1150
(900-1150)
400-500kg: PN/PR:
400-600
(400-600)
BBB culard:
1.100-1.400 (1.100-1.400)
pleines: PN/PR:
850-1050
(850-1050)
III.Vaches:
Moyennes, PN/PR:
350-750
(350-750)
mixtes cat.I:
700-900
(700-900)
mixtes cat. II:
800-1050
(800-1050)
C.d.p. 2 à 4 ans:
1200-2000 (1200-2000)
âgées:
950-1750
(950-1750)
IV.Taureaux:
Ordin.: 180-250kg:
325-525
(325-525)
250-320kg:
550-600
(550-600)
320-370kg:
600-700
(600-700)
370kg et +:
700-800
(700-800)
NEUFCHATEAU
VEGET
PORCS
ON
15/07/2006
Nombre de bovidés: 365
CATEGORIE BOUCHERIE:
• euro/kg :
Taureaux:
C.d.p.:
2,75-3,00
(2,75-3,00)
assimilés:
2,50-2,75
(2,50-2,75)
bonne conformation
1,65-2,15
(1,65-2,15)
60%:
1,40-1,65
(1,40-1,65)
poids lourds:
1,10-1,40
(1,10-1,40)
• euro/tête:
Vaches:
Bonne conformation
750-900
(750-900)
1ère catégorie 45%:
525-675
(525-675)
2ème catégorie 40%:
400-525
(400-525)
de fabrication:
225-325
(225-325)
Génisses (euro/kg):
c.d.p.:
2,40-2,75
(2,40-2,75)
Assimilées.:
2,00-2,40
(2,00-2,40)
Bonne conformation:
575-700
(575-700)
Ordinaires:
300-500
(300-500)
Marché très calme.
CATEGORIE COMMERCE:
• euro/Tête:
Vaches c.d.p. 2-3 ans:
1350-1725 (1350-1725)
Vaches c.d.p. +3 ans:
1200-1400 (1200-1400)
Bonnes vaches ordinaires: 625-875
(625-875)
Vaches ordinaires:
350-600
(350-600)
Génisses 2 ans:
450-600
(450-600)
Génisses 1 an:
300-450
(300-450)
Veaux cdp:
550-750
(550-750)
Veaux blancs bleus:
315-400
(315-400)
Veaux Bleus Holstein:
190-250
(190-250)
Veaux rouges:
175-225
(180-225)
Veaux noirs bonne qualité: 125-175
(150-200)
Veaux noirs moyenne qual.: 15-125
(15-150)
Marché très calme, veaux en baisse.
Assimil.: 180-250kg:
650-750
(650-750)
250-320kg:
800-900
(800-900)
320-370kg:
950-1000 (950-1000)
370kg et +:
1000-1150 (1000-1150)
C.d.p.: 180-250kg:
950-1050 (950-1050)
250-320kg:
1050-1250 (1050-1250)
320-370kg:
1250-1350 (1250-1350)
370kg et +:
1350-1475 (1350-1475)
b) Bétail de boucherie (prix/kg)
I.Vaches:
Fabrication:
0,95-1,05 (0,95-1,05)
50%:
1,25-1,45 (1,25-1,45)
55%:
1,45-1,75 (1,45-1,75)
II.Taureaux:
55%:
1,55-1,85 (1,55-1,85)
60%:
1,85-2,15 (1,85-2,15)
assimilés
2,40-2,70 (2,40-2,70)
C.d.p.
2,80-3,20 (2,80-3,20)
Stationnaire. Prochain marché le 14/07/06. En congé les
21 et 28/07/06
AUX
La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique,
entre parenthèses, les cotations du marché précédent.A défaut d’indication contraire,les prix s’entendent hors TVA
ANDERLECHT
18/07/2006
Prix de gros des carcasses de moutons
Anglais
4,60
(4,80)
Ecossais
5,30
(5,50)
Prix moutons vifs (euros/kilo) Apport: 23
Agnelles
1,61-1,86
(1,61-1,98)
Agneaux mâles
1,86-2,11
(1,86-2,23)
Brebis réforme (pce)
20,00-60,00 (20,00-60,00)
Béliers adultes (pce)
70,00-90,00 (70,00-90,00)
Les prix sont modérés,également pour les agneaux,malgré une offre faible.
DEINZE - VOLAILLES
12/06/2006
• Poules à bouillir:
extra lourdes (+ 3,5 kg):
0,10-0,12
brunes (1,8 à 2,0 kg):
nc
blanches (1,6 à 1,8 kg):
nc
• Poulets à rôtir (1,8 kg): 0,74-0,76
• Lapins:
1,20
(0,12-0,14)
nc
nc
(0,76-0,78)
(1,20)
KRUISHOUTEM -OEUFS
18/07/2006
Prix euro/100 pces
Prix producteurs
blancs
bruns
Cat.0:+ 75 g
4,60 (4,68)
4,60 (4,68)
Cat.1:70 à 75
3,36 (3,44)
3,36 (3,44)
Cat.2:65 à 70
3,10 (3,20)
3,10 (3,20)
Cat.3:60 à 65
2,89 (3,02)
2,89 (3,01)
Cat.4:55 à 60
2,72 (2,85)
2,70 (2,81)
Cat.5:50 à 55
2,56 (2,64)
2,42 (2,50)
Cat.6:45 à 50
2,37 (2,42)
2,16 (2,20)
Cat.7:- 45
1,25 (1,30)
1,04 (1,08)
Prix négoce
XL + 73 g
5,00(5,08) 5,00(5,08)
L + 63-73 g
3,50(3,60) 3,50 (3,60)
M + 53-63 g
3,12(3,25) 3,10 (3,21)
S - 53 g
2,57(2,62) 2,36 (2,40)
Les prix producteurs s’appliquent à la vente aux stations
d’emballage. Les prix négoce s’appliquent à la vente au
commerce de gros, de détail et à l’industrie.
MATIERES PREMIERES
ALIMENTATION BETAIL
12/07/06
Prix par 1000kg en vrac hors TVA, départ négoce
Pulpes betteraves sèches 8mm Fr
127
(127)
Luzerne 18% pellets 6mm Fr 125
(124)
Tourteau Tournesol 28% Arg 109
(105)
Tourteau colza 34% Belg
133
(131)
Tourteau soja 43% Arg
192
(195)
Tourteau soja 44% Holl
189
(188)
Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés
217
(221)
Tourteau soja 49% Belg
203
(203)
Tourteau lin 40% Belg
243
(237)
Glutenfeed maïs 22% EU 120
(121)
Manioc Thaïlande
134
135
Mélasse cannes
165
(165)
CHICAGO
17/07/2006
1ère col.:en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau
= 27,2 kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg
pour le tourteau de soja;2ème col.:en euro/Tonne;3ème
col.: prix de la semaine précédente en euros.
Froment
397,50 116,53
(110,99)
Maïs
254,75
79,97
(77,33)
Tourteau Soja
170,50 151,11
(151,30)
LIEGE
13/06/2006
(Tous les prix s’entendent euro/Tonne de marchandise,
T.V.A. non comprise).
Prix Culture:
Froment panif. 76K/11 MPT/220:
(-)
Bonification comprise
From. fourrag. P.S. 73/74:
(-)
Escourgeon: 62/63
(-)
Avoine P.S. 50 kg:
(-)
Les cotations de la Bourse de Liège pour la campagne
2005 se sont arrêtées le 31 mai 2006. Elles reprendront
dès la prochaine campagne.
INTERNATIONAL - OLÉAGINEUX
29/06/2006
Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés mondiaux, en $/tonne.
Soja
Graines U.S. Cif. Rotterdam:
266
(266)
Graines Arg. Cif. Rotterdam:
257
(258)
Pellets 44,46% Arg. Cif. Rotterd.: 200
(201)
Pellets 48% Brésil Cif.Rotterdam: 217
(218)
Colza
Graines Europe “00” Cif. Hamb:. 305
(313)
Tourteaux 34% Fob Hambourg: 114
(112)
Lin
Graines Canada Cif. Europe:
288
(291)
Tourteaux 36% Allemagne:
219
(219)
POMMES DE TERRE
18/07/2006
euro/100kg HTVA
Bintjes
15,00-17,50
(11,80)
Hâtives belges (Première): Prix météo, marché ferme et
nouvelle tendance à la hausse. Les prix aux producteurs
continuent à monter rapidement, et ce suite au temps
sec persistant dans la plupart des régions.Les arrachages
sont très difficiles, et il faut souvent irriguer (quand c'est
possible) pour pouvoir arracher. L'offre est limitée, et la
demande limitée aux "achats de compléments" et aux
besoins des éplucheurs. Les industries reprennent progressivement,travaillant encore parfois des "vieilles" (le
plus souvent contractées), mais aussi et de plus en plus
des nouvelles (le plus souvent sous contrat, avec des
achats complémentaires sur le marché libre. Les rendements varient le plus souvent entre 28 et 35 tonnes/ha,
la proportion de 50mm+ varie entre 55 et 70%.
L'évolution des cours sera en bonne partie déterminée
par la météo des prochains jours.
BRUXELLES
31/05/2006
(Tous les prix s’entendent euro/1000 kg de marchandise,
T.V.A. non comprise). Les prix froment meunier sont calculés sur base des caractéristiques technologiques suivantes: protéine 11, Hagberg 180 et Zélény 30.
Froment meunier (rendu moulin): 127 (124,50)
Autres céréales livrées usine:
Froment fourrager:
126
(124)
Seigle:
(-)
Triticale:
(-)
Avoine 48/50:
(-)
Escourgeon fourrager
116 (114,50)
Maïs indigène:
138 (135,50)
Issues de meunerie (départ négoce):
Rebulet:
83
(84)
Remoulage:
93
(91)
+
AGENDA
FÉDÉRATION WALLONNE
DE L’AGRICULTURE (FWA)
DIVERS
DU 10 AU 15 SEPTEMBRE
FWA DU NAMUROIS:Voyage agricole et touristique dans
le département des côtes d’Armor (Bretagne). Rens et inscriptions, O. Slegers, FWA du Namurois à Bouge, 081/21.15.52 0478/274.594.
JEUDI 20 JUILLET
DÉPARTEMENT DU NORD (France): visite de mises aux
normes organisée par Nitrawal :épuration des eaux blanches et
des eaux brunes,racleur hydraulique,fumière couverte.Voir annonce dans ce journal. Inscription et informations au 069/671 551
FÉDÉRATION DES JEUNES
AGRICULTEURS (FJA)
DIMANCHE 6 AOUT
ETALLE: 27ème journée du mouton et de l’artisanat.
Concours interprovincial ovin.Activités diverses. Organisée par
les Bergers de la Gaume.Tél.063/455.747
VENDREDI 21 JUILLET
FJA EGHEZEE: Jeux inter FJA chez M. et Mme Van Vynckt
(voir encart)
DIMANCHE 23 JUILLET
FJA EGHEZEE: CMJ BBB chez M. et Mme Van Vynckt, rue
du chêne à l’image, 47, à Upigny. (voir encart)
FJA SUD LUX: CMJ BBB à la ferme Krier, élevage de la clé à
Aix-Sur-Cloie.
FJA MERBES BINCHE: CMJ BBB chez M.et Mme VergoteDevos, chaussée Brunehaut, 14, à Péronnes-Lez-Binche.
DIMANCHE 30 JUILLET
FJA CONDROZ-LIEGEOIS: CMJ BBB rue du Bati, à Sery
(Thynlo) (voir encart)
PORTES OUVERTES
Mr et Mme Kairet Daniel
avec la collaboration
des établissements Eric Semaille
ont le plaisir de vous inviter
le dimanche 23 juillet à partir de 10h00
à venir visiter leur nouvelle
salle de traite
1 x 10 - 90° - type TASL
marque BOUMATIC
99982513/2906 PLC JHT
JEUDI 20 ET VENDREDI 21 JUILLET
FJA SOIGNIES: Week- end CMJ et CMA accompagné de
deux soirées rue des Théodosiens à Soignies (voir encart)
Le verre de l’amitié vous sera offert.
DIMANCHE 6 AOUT
FJA NAMUR SUD: CMJ et CMA chez Monsieur et Madame
Marc Baudoin, Mianoye, 17, 5330,Assesse. (voir encart)
ADRESSE DU JOUR:
Rue des Petits Sarts, 40 - 6230 Viesville
UNION DES AGRICULTRICES
WALLONNES (UAW)
VENDREDI 28 JUILLET au MARDI 1er AOUT
FOIRE DE LIBRAMONT :Bienvenue à toutes et toutes dans
notre stand
LUNDI 31 JUILLET
UAW JODOIGNE : L’UAW et la FWA de Jodoigne organisent un autocar pour le lundi de la foire de Libramont. Prévoir
une paf. Départ 8h Jodoigne et 8h20 Thorembais St-Trond.
Inscription obligatoire chez C Mauen 010/866.978 et M G
Decoster 010/812.402
MARDI 1er AOUT
UAW ATH: 19h30 à la ferme de Michel et Brigitte DUCARMOIS 113, rue Foucaumont LIGNE «montage d’une souris en
foin»
DIMANCHE 6 AOUT
UAW SECTION STAVELOT LIERNEUX: CROISIERE sur la
Moselle Luxembourgeoise départ 8h30 avenue Monbijou (garage Feyen) dîner sur le bateau retour à Malmedy vers 19h Ne
tardez pas à vous inscrire chez Jeanne Bissot 080/319.637 PAF
49 euros/pers
LA FJA DE
SOIGNIES
vous invite
Jeudi 20 juillet
Méga Soif Party
2006
à sa
dès 21h chez Monsieur et Madame Caty-Herbecq
rue des théodosiens,206 à Soignies
(fléché à partir de la chaussée du Roeux et de la chaussée de Mons)
Vendredi 21 juillet 2006
dès 19h à son Concours de Meilleur
Juge BBB et son Concours de la
Meilleure Agricultrice
à la Ferme de la Coulbrie Dès 23 h Remise des prix
(premier prix: un embryon) suivie d’une Grisette
Party
EMPLOI
NÉCROLOGIE
Monsieur
Gérard HOUNJE
veuf de Marie THISSEN
né à Aubel le 14 juin 1913 et décédé à Membach le 3 juillet
2006
***
Monsieur
Joseph PITTIE
veuf de Jeannine DEBYE
époux d’Andrée RADERMECKER
né à Thimister le 3 mars 1931 et décédé à Heusy le 29 juin
2006
rue Rosa Luxembourg 125F à 4630 Soumagne
***
Monsieur
Roger TRIFFAUX
époux de Georgette GONDAT
né à Lantremange le 17 mai 1933 et décédé à Waremme le
4 juillet 2006
***
Monsieur
Marcel DUMONT
époux de Colette LEDENT
né à Soiron le 21 juin 1939 et y décédé le 7 juillet 2006
Hezée 177 à Soiron
***
Monsieur
Raymond KELLER
époux de Mathilde NELIS
né à Anloy le 21 juillet 1933 et y décédé ce 15 juillet 2006
Le défunt était un ancien président régional.
Les Petelles 35 6890 Libin Anloy
***
La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein
Champ adressent aux familles leurs sincères condoléances
NAISSANCE
Alain BARBIER et Damyre BOUGARD ainsi que Justine
ont la grande joie de vous annoncer la naissance de
CLEMENCE née le 8 juillet 2006.
Chemin du Château 6 à 1400 Nivelles
La Fédération des Services de Remplacement Agricoles
Engage :
un(e) employé(e) chargé(e) de l’information
Profil :
•
Bonne connaissance du monde agricole
•
Contacts aisés
•
Permis B + véhicule
•
Demandeur d’emploi inoccupé en possession de la carte APE
•
De préférence, habitant la province du Hainaut ou la région de
Namur
Mission :
Faire connaître les Services de Remplacement Agricoles auprès des
Agriculteurs.
Candidatures (lettre + CV) à adresser par courrier
à Fédération des SRA – rue de la Clé 41 – 4650 HERVE
La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein
Champ adressent aux jeunes parents et aux grands-parents
leurs plus vives félicitations
LA FJA DE CONDROZ-LIÉGEOIS
a le plaisir de vous inviter à son
Concours de Meilleur Juge et à son
Concours de la Meilleure Agricultrice
Dimanche 30 juillet 2006
Pensez à vous ! … On s’occupe du reste.
à la Ferme Desmet à Sery - rue du Bati avec les élevages de
Messieurs benoît Mahaux (Cenfantain)
et bernard Wautelet (Dutilleul)
Soirée animée par Blak Cwo
Parcours fléché à partir de Thynlo
LA aFJA
NAMUR SUD
le plaisir de vous inviter à son
LA FJAvousD’EGHEZÉE
invite aux
Concours de Meilleur
Juge en race BBB
chez Monsieur et madame Yvan Van Vynckt et à son
LeChez
dimanche
6 août 2006
Monsieur et Madame Marc Baudoin
Elevage de Mianoye // Mianoye 17, 5330 Assesse
Programme de la journée:
dès 12h00:
Dîner (apéritif, assiette barbecue, dessert) // prix:
adultes: 13 euros, enfants 7 euros
réservation souhaitée pour le 30 juillet au
0498/666.913
Château gonflable de 18h30 à 22h00:
Concours de Meilleur Juge Concours de la Meilleure
Agricultrice
dès22h00: Remise des lots
parcours fléché à partir de la N4 (sortie Natoye) et
de la E411 (sortie Spontin)
JEUX INTER FJA
Vendredi 21 juillet 2006
Concours de Meilleur Juge en BBB
Dimanche
23 juillet 2006
Chez Monsieur et Madame Van Vynckt et leurs enfants
rue du chêne à l’image, 47, à Upigny
Programme de la journée:
dès 12h00:
Dîner Barbecue au prix de 10 euros
Château gonflable, bar, bières spéciales,
exposition de machines agricoles et du bétail
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Joskin 6000L; semoir engrais
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28 °C
16 °C
28 °C
16 °C
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27 °C
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