Quand votre ventre vous empoisonne la vie… - Medi
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Quand votre ventre vous empoisonne la vie… - Medi
« Quand votre ventre vous empoisonne la vie…» « C’est une maladie avec laquelle je dois vivre. Difficile d’en parler, d’ailleurs, même si j’ai des “solutions”. Au travail, cela passe encore. Mais faire les courses le samedi matin ? Très peu pour moi. » Chacun a déjà été constipé et sait l’inconfort qui va de pair. Et pourtant… On n’en parle pas. On se résigne à annuler sa soirée, à avaler un laxatif et à attendre à la maison. Mais combien de temps ? Et, au fond, qu'est-ce qui ne va pas ? Imaginez que vous y pensiez sans cesse… Et que les 101 conséquences pratiques de la constipation chronique vous empoisonnent la vie. Imaginez la douleur et la sensation de ballonnement, les flatulences ou les douloureuses fissures anales. Sans oublier l’impact sur votre vie sociale, sur votre weekend dont vous passez la moitié « aux toilettes ». Plus grave encore : la honte d’en parler et l'angoisse d'un problème plus sérieux... Toujours là « Cela ne me quitte pas. C’est toujours là, dans un coin de ma tête, dans mon inconscient : pourrai-je y aller aujourd’hui ? Un peu plus facilement ou toujours avec ces douleurs ? Et puis, voilà le ventre qui durcit et gonfle. Des pantalons dans lesquels on ne rentre plus… Devoir essayer de dissimuler cela sous un châle ou un pull large... » Quand on souffre de constipation chronique, la vie tourne souvent autour du transit. Mais aussi de la peur et du comportement de fuite. De l’automédication avec des laxatifs OTC. Des routines et de la planification que l’on s’impose. Ces deux dernières donnent (l'impression de) plus de contrôle, mais la frustration subsiste. Elles peuvent même empêcher de chercher de meilleures solutions. Par simple peur d’abandonner un comportement qui, sans être une solution, fonctionne tant bien que mal. Tour de Babel Jetez un pont « Si vous ne mangez pas (lors d’une fête) ou très peu, vous vexez vos amis. Ils pensent parfois que vous n’appréciez pas. » « J’ai un emploi prenant et je suis souvent en voiture, en déplacement d’un client à l'autre. Je dois donc faire très attention à tout ce que je prends, faute de quoi j'ai des crampes et je dois me rendre aux toilettes à tout moment. » Comment aider votre patiente, en tant que pharmacien ? En lui prêtant simplement une oreille attentive. En l’écoutant parler de la manière dont la constipation chronique lui rend la vie impossible. Ce n’est qu’alors qu’elle sera réceptive à votre conseil de consulter un médecin. Vous êtes, en outre, le seul à savoir l'arsenal OTC qu'elle teste sans résultats depuis des mois. Et donc le seul à comprendre son désespoir. Votre oreille attentive peut jeter un véritable pont entre la patiente et son médecin. Et lorsqu'elle reviendra vers vous avec une prescription pour Resolor®, votre compréhension, votre connaissance du produit et votre confiance joueront un rôle clé dans son adhérence au traitement. Vous l'encouragez ainsi à briser ce cercle vicieux et à respecter la prise journalière, a fortiori quand « les choses vont mieux ». A l’occasion de cette enquête, les patientes souffrant de constipation ont indiqué : Je me sens… • incomprise ; • honteuse ; • limitée ; • exclue ; • mal à l’aise ; • ballonnée ; • malheureuse ; • inquiète ; • persécutée ; • coupable. Dix femmes souffrant de constipation chronique résument leur vie dans le cadre. Point interpellant, cette liste ne mentionne qu'une seule plainte physique : « ballonnée ». Toutes les autres sensations concernent l’impact de l'affection sur leur vie quotidienne, leurs relations avec les autres et leur bien-être psychique. On constate une ligne de fracture entre la patiente et son médecin à cet égard. Ce dernier cherche, en effet, à cerner l’origine du problème et se concentre sur les plaintes physiques. Il décèle un régime pauvre en fibres ou un manque d'exercice physique avant de prescrire un laxatif en vente libre que la patiente a probablement déjà testé. Cette approche se répète en plus forte mesure lors d’une coloscopie par le gastroentérologue. Résultat ? La patiente est rassurée sur le plan physique. Mais c’est précisément pour cela qu’elle se replie souvent sur elle-même et apprend à « vivre avec » son problème. Honteuse, incomprise et malheureuse. Cet article repose sur une étude qualitative menée par Ipsos UU, à la demande de Tramedico et Shire Belgium. Elle s’est déroulée en avril 2013 auprès de dix patientes souffrant de constipation chronique et de douze pharmaciens. Les citations, parfois écourtées et/ou traduites, sont des transcriptions d’entretiens en profondeur qui ont duré 1 heure et 15 minutes en moyenne. Vous trouverez des informations importantes sur le produit de Resolor® ailleurs dans ce magazine, ainsi que la version abrégée du résumé des caractéristiques du produit. Editeur responsable: Shire Belgium BVBA Lambroekstraat 5c, B-1831, Diegem, Belgique © Shire Belgium BVBA 2013 BE/LO/RES/13/0003 - juin 2013 Prix public (TVA incluse) par comprimé 1 mg 28 comprimés €61,60 1 mg 28 comprimés €2,20 2 mg 28 comprimés €75,50 2 mg 28 comprimés €2,70 1 mg 14 comprimés €35,89 1 mg 14 comprimés €2,56 2 mg 14 comprimés €42,85 1 mg 14 comprimés €3,06 Libérez les femmes de la constipation chronique Prokinétique: mécanisme d’action différent des laxatifs Amélioration cliniquement significative de la fréquence de défécation Efficace pour soulager les symptômes incommodants, comme la sensation de ballonnement et la gêne abdominale Simplicité d’emploi, une fois par jour, tous les jours (de préférence le matin, suivant le péristaltic naturel du côlon) La satisfaction des patients concernant leur fonction intestinale s’est maintenue jusqu’au minimum 18 mois1 Les effets indésirables possibles (céphalées, douleurs abdominales, nausées ou diarrhée) apparaissent surtout au début du traitement et sont généralement passagers INFORMATIONS IMPORTANTES SUR LE PRODUIT Resolor® (prucalopride) est indiqué dans le traitement symptomatique de la constipation chronique chez les femmes pour lesquelles les laxatifs n’ont pas les effets escomptés. Veuillez consulter le résumé des caractéristiques de Resolor, en particulier pour ce qui concerne une hypersensibilité à l’un des composants, une insuffisance rénale nécessitant une dialyse, une perforation ou obstruction intestinale, un iléus obstructif, des maladies inflammatoires sévères du tractus intestinal ainsi que des maladies concomitantes sévères et cliniquement instables. 1 Camilleri M, Van Outryve MJ, Beyens G, Kerstens R, Robinson P, Vandeplassche L. Clinical trial: the efficacy of open-label prucalopride treatment in patients with chronic constipation - follow-up of patients from the pivotal studies. Aliment Pharmacol Ther 2010;32:1113-23. BE/LO/RES/13/0004 Les effets indésirables doivent être signalés. Les effets indésirables doivent également être rapportés à ShireBeNeLux par email [email protected] ou au 02/711.02.30. BE/LO/RES/13/0004 © Shire Belgium BVBA, 2012 Editeur responsable: Shire Belgium BVBA, Lambroekstraat 5c, B-1831 Diegem, Belgique Version abrégée du résumé complet des caractéristiques du produit (Veuillez consulter le résumé complet des caractéristiques du produit.) RESOLOR® 1 mg / 2 mg comprimés pelliculés. Composition qualitative et quantitative Chaque comprimé pelliculé contient 1 mg / 2 mg de prucalopride (sous forme de succinate de prucalopride), 150 mg / 160 mg de lactose monohydraté,cellulose microcristalline,dioxyde de silicium colloïdal,stéarate de magnésium, hypromellose,triacétine,dioxyde de titane,Macrogol, (2 mg encore en plus: oxyde fer rouge, oxyde de fer jaune, laque d’aluminium carmin d’indigo) Forme pharmaceutique comprimé pelliculé Indications thérapeutiques Resolor est indiqué dans le traitement symptomatique de la constipation chronique chez les femmes pour lesquelles les laxatifs n’ont pas les effets escomptés. Posologie et mode d’administration Posologie Femmes: 2 mg une fois par jour. Hommes: La sécurité d’emploi et l’efficacité de Resolor chez les hommes n’ont pas été déterminées au cours d’essais cliniques contrôlés. C’est pourquoi, la prise de Resolor par les hommes n’est pas recommandée tant que d’autres résultats n’auront pas été obtenus. Personnes âgées (>65 ans): Commencer le traitement par 1 mg une fois par jour ; si nécessaire, la dose peut être augmentée jusqu’à 2 mg une fois par jour. Enfants et adolescents: Resolor n’est pas recommandé chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans jusqu’à ce que de nouvelles données soient disponibles. Patients souffrant d’insuffisance rénale: La dose recommandée pour les patients souffrant d’une insuffisance rénale sévère (DFG < 30 ml/min/1,73 m2) est de 1 mg une fois par jour. Aucun ajustement de dose n’est nécessaire pour les patients souffrant d’une insuffisance rénale légère à modérée. Patients souffrant d’une insuffisance hépatique: Chez les patients souffrant d’une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh classe C), le traitement doit débuter à la dose de 1 mg une fois par jour, qui peut être augmentée à 2 mg si nécessaire pour améliorer l’efficacité, et si la dose de 1 mg est bien tolérée.Aucun ajustement de dose n’est nécessaire pour les patients souffrant d’une insuffisance hépatique légère à modérée. En raison du mode d’action spécifique du prucalopride (stimulation de la motilité propulsive), il n’est pas attendu que la prise d’une dose supérieure à la dose quotidienne de 2 mg améliore l’efficacité du produit. Si la prise quotidienne d’une dose de prucalopride n’est pas efficace au bout de 4 semaines de traitement, le patient doit être à nouveau examiné et l’intérêt de la poursuite du traitement doit être étudié. L’efficacité du prucalopride a été démontrée lors d’études en double aveugle, contrôlées contre placebo, sur des périodes allant jusqu’à 3 mois. En cas de traitement prolongé, l’intérêt du traitement doit être reconsidéré à intervalles réguliers. Mode d’administration Les comprimés pelliculés Resolor sont destinés à être pris par voie orale et peuvent être pris au cours ou en dehors des repas, à n’importe quel moment de la journée. Contre-indications Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients. Insuffisance rénale nécessitant une dialyse. Perforation ou obstruction intestinale due à un trouble structurel ou fonctionnel de la paroi de l’intestin, à un iléus obstructif, à des maladies inflammatoires sévères du tractus intestinal, telles que la maladie de Crohn, à une rectocolite hémorragique et à un mégacôlon/mégarectum toxique. Effets indésirables Resolor a été administré par voie orale à environ 2700 patients souffrant de constipation chronique au cours d’études cliniques contrôlées. Parmi ces patients, pratiquement 1000 patients ont reçu Resolor à la dose recommandée de 2 mg par jour, tandis qu’environ 1300 patients ont été traités avec 4 mg de prucalopride par jour. L’exposition totale dans le plan de développement clinique dépassait 2600 patients années. Les effets secondaires les plus fréquemment rapportés au cours d’un traitement par Resolor sont les maux de tête et les symptômes gastro-intestinaux (douleurs abdominales, nausées ou diarrhée) et surviennent chacun chez environ 20 % des patients. Les effets secondaires apparaissent principalement au début du traitement et disparaissent généralement au bout de quelques jours de traitement continu. D’autres effets secondaires ont été rapportés de façon occasionnelle. La majorité des effets secondaires était d’intensité légère à modérée. Les effets secondaires suivants ont été rapportés lors d’études cliniques contrôlées à la dose recommandée de 2 mg, aux fréquences suivantes: Très fréquents (≥ 1/10), Fréquents (≥ 1/100 à < 1/10), Peu fréquents (≥ 1/1000 à < 1/100), Rares (≥ 1/10000 à < 1/1000) et Très rares (≤ 1/10000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables doivent être présentés suivant un ordre décroissant de gravité. Les fréquences sont calculées sur la base des données provenant de l’essai clinique contrôlé contre placebo. Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquents: anorexie. Affections du système nerveux Très fréquents: maux de tête. Fréquents: vertiges. Peu fréquents: tremblements. Affections cardiaques Peu fréquents: palpitations. Affections gastro-intestinales Très fréquents: nausées, diarrhée, douleurs abdominales. Fréquents: vomissements, dyspepsie, rectorragie, flatulences, bruits intestinaux anormaux. Affections du rein et des voies urinaires Fréquents: pollakiurie. Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fréquents: fatigue. Peu fréquents: fièvre, malaise. Après le premier jour de traitement, les effets indésirables les plus fréquents ont été rapportés à des fréquences similaires (incidence inférieure à une différence de 1 % entre le prucalopride et le placebo) au cours d’un traitement par Resolor comme au cours d’un traitement par placebo, à l’exception des nausées et de la diarrhée qui survenaient plus fréquemment au cours du traitement par Resolor, mais de façon moins prononcée (la différence d’incidence entre le prucalopride et le placebo se situait entre 1 et 3 %). Les palpitations ont été rapportées chez 0,7 % des patients recevant le placebo, chez 1,0 % des patients recevant 1 mg de prucalopride, chez 0,7 % des patients recevant 2 mg de prucalopride et chez 1,9 % des patients recevant 4 mg de prucalopride. La majorité des patients a continué à utiliser le prucalopride. Comme pour tout nouveau symptôme, les patients doivent discuter de l’apparition de palpitations avec leur médecin. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Shire-Movetis NV - Veedijk 58, B-2300 Turnhout, Belgique. Numéros d’autorisation de mise sur le marché EU/1/09/581/001--003--005--007-. Date de première autorisation: 15/10/2009. Date de mise à jour du texte: Février 2013; Mode de délivrance Médicament soumis à prescription médicale. Prix: Resolor 1 mg 35,89€ (14 comprimés), Resolor 1 mg 61,60€ (28 comprimés), Resolor 1 mg 137,62€ (84 comprimés); Resolor 2 mg 42,85€ (14 comprimés), Resolor 2 mg 75,50€ (28 comprimés) et Resolor 2 mg 206,09€ (84 comprimés).