Orchestre National Philharmonique de Hongrie | J eudi 18 jan vier
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Orchestre National Philharmonique de Hongrie | J eudi 18 jan vier
18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 1 JEUDI 18 JANVIER – 20H Franz Liszt Concerto pour piano n° 1 entracte Johannes Brahms Danses hongroises n° 1, n° 3 et n° 10 Béla Bartók Danses populaires roumaines Zoltán Kodály Danses de Galánta Orchestre National Philharmonique de Hongrie Zoltán Kocsis, piano et direction L’Orchestre National Philharmonique de Hongrie bénéficie du soutien du Ministère hongrois de l’héritage culturel. Coproduction Productions Internationales Albert Sarfati, Salle Pleyel. Fin du concert vers 21h40. Orchestre National Philharmonique de Hongrie | Jeudi 18 janvier Franz Liszt/Zoltán Kocsis Valse oubliée n° 2 Festmarsch zur Goethe Jubiläumsfeier 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 2 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 3 JEUDI 18 JANVIER Franz Liszt (1811-1886)/Zoltán Kocsis (1952) Valse oubliée n° 2 en la bémol majeur S. 215, pour piano Transcription pour orchestre de Zoltán Kocsis Composition : 1883. Dédicace : à Olga von Meyendorff. Première publication : Berlin, Bote & Bock, 1884. Durée : environ 6 minutes. Les quatre Valses oubliées pour piano, de 1881-1884, font partie du groupe des œuvres tardives « oubliées » de Liszt. En leur donnant ce titre singulier, le compositeur, à une époque de désespoir et d’obsession de la mort, les rejette avec ironie dans un passé fictif et décide de leur sort avant même toute réception par le public. La deuxième s’ouvre sur un motif déconcertant pour une valse : fantasque, avec de petites notes capricieuses, insaisissable et perturbateur. Il cède rapidement la place à des arpèges qui font penser à Ravel et Debussy. Trilles, notes répétées… le thème de valse n’apparaît que dans un troisième temps. Le tout est repris puis s’interrompt pour une conclusion pensive, en tempo ralenti. Une coda toute en disparition met fin à cette musique décharnée et fugitive, où la valse se fait le socle d’un monde irréel. Festmarsch zur Goethe Jubiläumsfeier (Marche solennelle pour les célébrations de Goethe) S. 115, pour orchestre Arrangement de Zoltán Kocsis Introduzione. Allegro – Marcia. Composition : 1849-1857. Dédicace : à la princesse Carolyne von Sayn-Wittgenstein. Première publication : Leipzig, Schuberth, 1859. Durée : environ 7 minutes. Liszt s’installe à Weimar en février 1848. La ville où Goethe avait longtemps vécu s’apprêtait à célébrer le centenaire de la naissance du poète. À cette époque déjà, fasciné par le mythe de Faust, Liszt caresse le projet d’une musique inspirée du poème dramatique de Goethe, qui aboutira en 1854 à sa magistrale Faust-Symphonie. Mais pour l’heure, lors des célébrations d’août 1849, il crée une autre pièce d’après Goethe, son deuxième poème symphonique, Tasso, Lamento e Trionfo, en ouverture au drame Torquato Tasso, et dirige une autre musique inspirée du Faust, celle de Schumann, avec la Transfiguration de Faust, troisième partie des Scènes de Faust. C’est aussi pour ce centième anniversaire de la naissance de Goethe qu’il a écrit la grande Festmarsch zur GoetheJubiläumsfeier, introduction en fanfares, rythmes pointés majestueux, traits grandioses s’accordant au caractère de la circonstance. 3 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 4 Franz Liszt Concerto pour piano et orchestre n° 1 en mi bémol majeur S. 124 I. Allegro maestoso – II. Quasi adagio – Allegretto vivace – Allegro animato – III. Allegro marziale animato – Presto Composition : 1832-1834/35. Révisions : 1839, 1849, 1853, 1855. Dédicace : à Henri Litolff. Création : le 17 février 1855 à Weimar par l’auteur sous la direction de Hector Berlioz. Publication : 1855-1857. Durée : environ 20 minutes. Conçu dans les années 1830 et révisé à plusieurs reprises jusqu’à la version définitive de 1855, le Premier Concerto pour piano témoigne des recherches formelles de Liszt et de la transformation du genre qu’il accomplit. Il y applique sa technique de métamorphose thématique et s’achemine vers la forme cyclique d’un seul tenant où sont enchaînés les trois mouvements. Trois, ou plutôt quatre, ici, car le deuxième contient un scherzo, sur le modèle de la symphonie. Mais tout est inhabituel dans cette œuvre proche de la fantaisie. À peine lancé par un motif chromatique et non clos, qui se révélera fondateur, le premier mouvement fait entendre une cadence du soliste. De la sonate, il ne conserve que des traces, la forme est en constante évolution, comme fondée sur une logique d’improvisation, avec une grande part d’imprévisible dans le déroulement du discours. Le Quasi adagio se distingue par son traitement vocal du piano, en récitatif, et par la place qu’il laisse à l’instrument seul. Il enchaîne sur un scherzo (Allegretto vivace) où le triangle apparaît en soliste, et qui privilégie le registre aigu du piano, celui-ci évoluant dans une virtuosité toute de légèreté. Le retour du motif fondateur du premier mouvement assure la transition vers le finale. L’Allegro marziale animato opère la synthèse des matériaux et fait réapparaître de manière cyclique les éléments thématiques entendus jusque-là. Éblouissant du point de vue motivique, il donne au soliste l’occasion d’une débauche de virtuosité. 4 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 5 JEUDI 18 JANVIER Johannes Brahms (1833-1897) Danses hongroises n° 1 en sol mineur, n° 3 en fa majeur et n° 10 en fa majeur N° 1. Allegro molto N° 3. Allegretto N° 10. Presto Composition : terminée en 1868 ; arrangement pour orchestre réalisé par le compositeur en 1873. Création : version pour orchestre des n° 1, 3 et 10, le 5 février 1874 à Leipzig sous la direction de l’auteur. Édition (version orchestrale) : Simrock, 1874. Durée : environ 9 minutes. Les vingt et une Danses hongroises de Brahms sont des compositions personnelles nourries de mélodies empruntées à un fonds populaire tzigane. En les publiant, Brahms avait refusé de leur donner un numéro d’opus, tenant à ce que l’édition spécifie qu’il s’agissait d’un arrangement. Comme les Rhapsodies hongroises de Liszt, elles sont davantage « tziganes » que « hongroises ». Brahms avait découvert certaines mélodies en 1853 grâce au violoniste hongrois Ede Reményi, avec qui il était en tournée ; il put en entendre d’autres à Vienne et en Hongrie, diffusées par les orchestres tziganes itinérants. Les Danses hongroises stylisent tous les éléments caractéristiques de la musique tzigane : elles imitent les timbres et les figurations du cymbalum et du violon, elles unissent la mélancolie et la fougue, présentent des alternances volontiers brusques de tempos lents et rapides, une rythmique capricieuse, avec une prédilection pour les syncopes, une harmonie intégrant une couleur « tzigane »… La première est une csárdás que le tzigane Ferenc Sárközy avait rendue célèbre. Les n° 3 et 10 sont des danses nuptiales empruntées au Tolnai Lakadalmas du compositeur populaire hongrois József Riszner. Brahms tenait à la version originale pour piano à quatre mains et n’orchestra que les n° 1, 3 et 10, à la demande de son éditeur, Simrock. 5 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 6 Béla Bartók (1881-1945) Román népi táncok (Danses populaires roumaines) Sz. 56 N° 1. Danse au bâton N° 2. Danse où l’on se tient par la taille N° 3. Sur place N° 4. Danse de la corne de berger N° 5. « Polka » roumaine N° 6. Danse rapide Composition : 1915 (version originale pour piano) ; 1917 (pour orchestre). Dédicace : à Ioan Busitia. Édition : Vienne, Universal Edition, 1918. Durée : environ 6 minutes. Depuis 1909 Bartók étudiait la musique populaire des paysans de Roumanie. En collaboration avec son ami roumain Ioan Busitia, il avait réalisé plusieurs expéditions de collectes de mélodies, en particulier en Transylvanie, cette région multi-ethnique, alors partie de la Hongrie, qui allait devenir roumaine en 1918. Son étude aboutit en 1915 à un groupe d’œuvres utilisant des mélodies populaires roumaines : la Sonatine, les Danses populaires roumaines, les Colinde (Noëls roumains), tous trois pour piano, ainsi que les Deux Chansons populaires roumaines pour chœur de femmes et les Neuf Chansons roumaines pour voix et piano. Sous forme de suite, les Danses populaires roumaines présentent presque sans changement des mélodies populaires authentiques de Transylvanie (la partition précise pour chacune son origine géographique). Bartók fournit l’accompagnement, qui respecte leur structure modale, et présente une assez grande liberté harmonique, avec parfois de belles dissonances. Les sept danses (la sixième en contient deux), toutes très rythmiques, exigent de l’interprète une bonne compréhension de l’exécution populaire. Très célèbres, elles sont aujourd’hui partie intégrante du répertoire des pianistes et sont aussi couramment jouées dans l’orchestration qu’en réalisa Bartók en 1917. 6 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 7 JEUDI 18 JANVIER Zoltán Kodály (1882-1967) Galántai Táncok (Danses de Galánta) N° 1. Lento N° 2. Andante maestoso N° 3. Allegretto moderato N° 4. Andante maestoso N° 5. Allegro con moto, grazioso N° 6. Andante maestoso N° 7. Allegro N° 8. Poco meno mosso N° 9. Allegro vivace N° 10. Andante maestoso N° 11. Allegro molto vivace Composition : 1933. Dédicace : à la Société philharmonique de Budapest, pour son 80e anniversaire. Création : le 23 octobre 1933 à Budapest. Publication : Editio Musica Budapest/Editions Universal, Vienne, 1934. Durée : environ 13 minutes. À une cinquantaine de kilomètres à l’est de Bratislava, la ville de Galánta appartenait jadis à la pointe nord-ouest de la Hongrie. Cédée à la Tchécoslovaquie en 1920, elle se trouve aujourd’hui en République slovaque. Sa situation géographique, à un carrefour ethnique, explique le mélange de populations hongroise, slovaque et germanique autrichienne. C’est cette mixité culturelle que découvre le jeune Kodály lorsque sa famille s’installe à Galánta, en 1885. Il y habitera jusqu’à ses dix ans, et les souvenirs de son enfance se mêleront à ceux d’un orchestre tzigane local réputé. Les Danses de Galánta sont une commande de la Société philharmonique de Budapest pour son 80e anniversaire. Kodály a puisé leurs mélodies dans l’un des premiers recueils édités de verbunkos, les deux volumes de danses de musiciens tziganes de Galánta, parus à Vienne en 1804. Après une introduction lente, la suite débute avec une première danse passionnée, qui reviendra à la manière d’un refrain. Elle est conçue en crescendo et selon un principe d’intensification avec, à partir de la sixième danse, des retours d’éléments thématiques déjà entendus. Les danses sont de caractères variés, la deuxième plus lascive, la troisième pastorale, tandis que la cinquième frappe par ses dissonances et la sixième, rappelant Stravinski, approche les rythmes de transe. Le sommet final est interrompu par un ultime retour de la première danse, comme de loin, avant une conclusion brillante. En 1935, Kodály réunira les Danses de Galánta et les Danses de Marosszek, de quelques années antérieures, en un ballet, L’Histoire d’un rebelle. Marianne Frippiat 7 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier Zoltán Kocsis Né à Budapest en 1952, Zoltán Kocsis débute le piano à l’âge de 5 ans et entre à 11 ans au Conservatoire Béla-Bartók, où il étudie le piano et la composition (1863-1868). Il intègre ensuite l’Académie de Musique Franz-Liszt où il étudie avec Pál Kadosa et Ferenc Rados. À 18 ans, il remporte le Concours Beethoven de la Radio Hongroise, qui lui ouvre les portes des grandes scènes européennes, notamment la Philharmonie de Berlin. Il reçoit en 1973 le prix Liszt et enseigne en 1976 à l’Académie Franz-Liszt de Budapest. Invité régulier de très grands orchestres, dont le Berliner Philharmoniker, le Wiener Philharmoniker, le Royal Philharmonic Orchestra, le San Francisco Symphony…, il joue en Europe, au Japon, en Australie, en Extrême-Orient, en Amérique du Nord et du Sud, sous la direction de Claudio Abbado, Sir Georg Solti, Christoph von Dohnányi, Charles Mackerras, Valery Gergiev, Charles Dutoit, Michael Tilson Thomas… Zoltán Kocsis est invité par Sviatoslav Richter pour jouer une pièce à quatre mains à la Grange de Meslay et au festival de Hohemens. Il se produit régulièrement dans plusieurs grands festivals, à Édimbourg, à Londres, à Paris, à Lucerne, à Salzbourg, à Prague et à La Roque-d’Anthéron. En 1983, il est avec Iván Fischer l’un des fondateurs de l’Orchestre du Festival de Budapest, qu’il dirige régulièrement. Dès 1987, Zoltán Kocsis se produit en tant que chef d’orchestre et, parallèlement à sa carrière de pianiste, travaille également la composition et les arrangements. Il crée plusieurs œuvres du compositeur hongrois 12/01/07 15:33 Page 8 György Kurtág, dont … quasi una fantasia… pour piano en 1989 et le Double Concerto en 1990. Dédicataire de plusieurs partitions de Kurtág, Zoltán Kocsis les a jouées à travers toute l’Europe. En 1997, il est nommé directeur musical de l’Orchestre National Philharmonique de Hongrie. Au cours de sa première saison à la tête de la formation, il dirige notamment la première audition en Hongrie des Gurrelieder de Schönberg dans le cadre du Festival de Printemps de Budapest. Orchestre National Philharmonique de Hongrie L’histoire de l’Orchestre National Philharmonique de Hongrie (Orchestre Symphonique d’État de Hongrie) commence en 1923 sous la direction de Dezsö Bor. L’Orchestre devient très rapidement un des piliers de la vie musicale hongroise. Après la guerre, Ferenc Fricsay et László Somogyi y sont nommés directeurs musicaux. Durant cette période, l’orchestre est dirigé par de prestigieux chefs invités tels Otto Klemperer, Antal Doráti et Leonard Bernstein. En 1952, János Ferencsik est nommé directeur musical. Jusqu’à son décès en 1984, il s’efforcera de faire de cet orchestre l’une des plus prestigieuses formations internationales. Il crée le War Requiem de Benjamin Britten à Budapest quelques mois seulement après la première en Angleterre. Dans les années 60, l’orchestre invite de grands chefs comme Ernest Ansermet, Antal Doráti, Zubin Mehta, Lorin Maazel, Sir John Barbirolli, Leopold Stokowski, Claudio Abbado, Christoph von Dohnányi ainsi que de 8 non moins prestigieux solistes tels que Sviatoslav Richter, Yehudi Menuhin, Anja Silja, János Starker, Ruggiero Ricci… En 1987, le japonais Ken-Ischiro Kobayashi est nommé chef principal. Kobayashi assure ses fonctions pendant 10 ans et effectue de nombreuses tournées internationales. À l’automne 1997, Zoltán Kocsis est nommé directeur musical. Le 1er janvier 1998, la formation reçoit son titre actuel d’Orchestre National Philharmonique de Hongrie. L’une de ses premières actions est d’engager un talentueux jeune chef d’orchestre hongrois, Zsolt Hamar, en tant que chef résident principal. Au début des années 2000, l’orchestre bénéficie du soutien du ministère de la culture. Le développement de la formation, sans précédent dans les arts hongrois, se ressent d’ores et déjà dans les concerts donnés en Hongrie et à travers le monde. Ces dernières années, l’orchestre a reçu un grand nombre d’invitations et a connu un remarquable succès dans des salles comme le Avery Fisher Hall à New York, le Tokyo Suntory Hall, le Birmingham Symphony Hall, le Megaron d’Athènes et le Festival de Colmar. 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 9 JEUDI 18 JANVIER Flûtes Imre Kovács Zsófia Embey-Isztin Irén Móré Hautbois József Kiss Edit Budai Ágnes Kubina Clarinettes József Tönköly József Németh György Salamon Bassons Sándor Tamás Klára Börzsönyi Zsolt Szabó Cors Tamás Zempléni Rajmund Andó László Fröschl László Gál Tibor Maruzsa Trompettes László Tóth Zsolt Skultéty Zsolt Spitzer Trombones Jenô Kácsik Ákos Galla Balázs Kerényi Béla Koppányi Tuba László Szabó Percussions Mihály Kaszás Gergely Bíró Szabolcs Joó Nándor Weisz László Rácz Ágnes Reményi András Rudolf Harpe Deborah Sipkay Violoncelles Tamás Koó Rezsô Pertorini Zsuzsa Bajner György Deák Beatrix Fazekas Sándor Harangozó Tünde Lukács János Zsoldos Violons I Jenô Koppándi Ferenc Balogh Ferenc Bangó János Bodor Attila Boniszlávszky Sándor Déri László Fülöp János Horváth Ágnes Kertész Tóth Éva Kissné Károly Meleg Zsuzsanna Molnár Dániel Papp Péter Sárosi Contrebasses Péter Kubina Iván Sztankov Ferenc A. Kovács János Mészáros Péter Palotai Tibor Zsákai Violons II Gizella Herendiné Szekeres Ágnes Herbály Gábor Bali Gábor Bodor Mária Marcella Detvay Éva Dúlfalvy Zoltán Horváth János Mózer Katalin Németh Román Oszecsinszkij Ferenc Sánta Szegleti Bernadett Szûcsné Altos György Porzsolt Enikô Balogh Zsuzsanna Bársony Sándor Kertész Ernô Klepoch Péter Ligeti György Márkus Salle Pleyel Président : Laurent Bayle Notes de programme Éditeur : Hugues de Saint Simon Rédacteur en chef : Pascal Huynh Rédactrice : Gaëlle Plasseraud Maquettiste : Ariane Fermont 9 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 10 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 11 Salle Pleyel Prochains concerts DU VENDREDI 19 JANVIER AU JEUDI 1 FÉVRIER VENDREDI 19 JANVIER, 20H MARDI 23 JANVIER, 20H SAMEDI 27 JANVIER, 20H Sofia Goubaïdoulina Conte de fée Sergueï Rachmaninov Concerto pour piano n° 3 Piotr Ilitch Tchaïkovski Casse-Noisette (suite arrangée par Vladimir Fedosseiev) Johannes Brahms Concerto pour piano n° 2 Serge Nigg Millions d’oiseaux d’or Alexandre Scriabine Poème de l’extase Dianne Reeves, chant Russell Malone, guitare Romero Lubambo, guitare Orchestre Colonne Laurent Petitgirard, direction Kun Woo Paik, piano Wolfgang Amadeus Mozart Quatuor K. 590 Leos Janácek Quatuor n° 1 « Sonate à Kreutzer » Robert Schumann Quintette pour piano et cordes op. 44 SAMEDI 20 JANVIER, 20H Ludwig van Beethoven Triple Concerto op. 56 Symphonie n° 6 « Pastorale » op. 68 Orchestre des Champs-Élysées Philippe Herreweghe, direction Daniel Sepec, violon Jean-Guihen Queyras, violoncelle Andreas Staier, pianoforte Production Orchestre Colonne. MERCREDI 24 JANVIER, 20H JEUDI 25 JANVIER, 20H Robert Schumann Manfred (Ouverture) Concerto pour violon Symphonie n° 4 Orchestre de Paris Marek Janowski, direction Thomas Zehetmair, violon VENDREDI 26 JANVIER, 20H DIMANCHE 21 JANVIER, 10H45 Concert éveil destiné aux jeunes Johannes Brahms Concerto pour piano n° 2 (extraits) Alexandre Scriabine Poème de l’extase (extraits) Igor Stravinski Scherzo à la russe Sergueï Prokofiev Concerto pour violon n° 2 Piotr Ilitch Tchaïkovski Symphonie n° 6 « Pathétique » Orchestre Colonne Laurent Petitgirard, direction Kun Woo Paik, piano Orchestre National d’Île-de-France Yoel Levi, direction Akiko Suwanai, violon Production Orchestre Colonne. Production Orchestre National d’Île-de-France. Quatuor Guarneri Alain Planès, piano MARDI 30 JANVIER, 20H Wolfgang Amadeus Mozart La Betulia liberata (version de concert) Concentus Musicus Wien Arnold Schönberg Chor Nikolaus Harnoncourt, direction Jeremy Ovenden, Ozia Marijana Mijanovic, Giuditta Luba Orgonasova, Amital Georg Zeppenfeld, Achior Eva Liebau, Cabri Elisabeth von Magnus, Carmi Le bar du hall est ouvert une heure avant le début du concert et pendant l’entracte. Le bar du foyer, en fond de parterre, est ouvert pendant l’entracte. Un point de vente harmonia mundi vous accueille dans le hall. Il est ouvert une heure avant le concert, pendant l’entracte et à l’issue du concert. Les partenaires média de la Salle Pleyel Photo couverture © D.R. | Imprimeur SIC | Imprimeur France Repro | Licences : 7503078, 7503079, 7503080 Orchestre Philharmonique de Radio France Vladimir Fedosseiev, direction Oleg Maisenberg, piano LUNDI 29 JANVIER, 20H 18 janvier Kocsis ONH:KOCSIS 18 janvier 12/01/07 15:33 Page 12