Orchestre National Philharmonique de Hongrie | J eudi 18 jan vier

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Orchestre National Philharmonique de Hongrie | J eudi 18 jan vier
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JEUDI 18 JANVIER – 20H
Franz Liszt
Concerto pour piano n° 1
entracte
Johannes Brahms
Danses hongroises n° 1, n° 3 et n° 10
Béla Bartók
Danses populaires roumaines
Zoltán Kodály
Danses de Galánta
Orchestre National Philharmonique de Hongrie
Zoltán Kocsis, piano et direction
L’Orchestre National Philharmonique de Hongrie bénéficie du soutien du Ministère hongrois de l’héritage culturel.
Coproduction Productions Internationales Albert Sarfati, Salle Pleyel.
Fin du concert vers 21h40.
Orchestre National Philharmonique de Hongrie | Jeudi 18 janvier
Franz Liszt/Zoltán Kocsis
Valse oubliée n° 2
Festmarsch zur Goethe Jubiläumsfeier
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JEUDI 18 JANVIER
Franz Liszt (1811-1886)/Zoltán Kocsis (1952)
Valse oubliée n° 2 en la bémol majeur S. 215, pour piano
Transcription pour orchestre de Zoltán Kocsis
Composition : 1883.
Dédicace : à Olga von Meyendorff.
Première publication : Berlin, Bote & Bock, 1884.
Durée : environ 6 minutes.
Les quatre Valses oubliées pour piano, de 1881-1884, font partie du groupe des œuvres
tardives « oubliées » de Liszt. En leur donnant ce titre singulier, le compositeur, à une
époque de désespoir et d’obsession de la mort, les rejette avec ironie dans un passé fictif
et décide de leur sort avant même toute réception par le public.
La deuxième s’ouvre sur un motif déconcertant pour une valse : fantasque, avec de petites
notes capricieuses, insaisissable et perturbateur. Il cède rapidement la place à des arpèges
qui font penser à Ravel et Debussy. Trilles, notes répétées… le thème de valse n’apparaît
que dans un troisième temps. Le tout est repris puis s’interrompt pour une conclusion
pensive, en tempo ralenti. Une coda toute en disparition met fin à cette musique
décharnée et fugitive, où la valse se fait le socle d’un monde irréel.
Festmarsch zur Goethe Jubiläumsfeier (Marche solennelle pour les célébrations de Goethe)
S. 115, pour orchestre
Arrangement de Zoltán Kocsis
Introduzione. Allegro – Marcia.
Composition : 1849-1857.
Dédicace : à la princesse Carolyne von Sayn-Wittgenstein.
Première publication : Leipzig, Schuberth, 1859.
Durée : environ 7 minutes.
Liszt s’installe à Weimar en février 1848. La ville où Goethe avait longtemps vécu s’apprêtait
à célébrer le centenaire de la naissance du poète. À cette époque déjà, fasciné par le mythe
de Faust, Liszt caresse le projet d’une musique inspirée du poème dramatique de Goethe, qui
aboutira en 1854 à sa magistrale Faust-Symphonie. Mais pour l’heure, lors des célébrations
d’août 1849, il crée une autre pièce d’après Goethe, son deuxième poème symphonique,
Tasso, Lamento e Trionfo, en ouverture au drame Torquato Tasso, et dirige une autre musique
inspirée du Faust, celle de Schumann, avec la Transfiguration de Faust, troisième partie des
Scènes de Faust. C’est aussi pour ce centième anniversaire de la naissance de Goethe qu’il a
écrit la grande Festmarsch zur GoetheJubiläumsfeier, introduction en fanfares, rythmes
pointés majestueux, traits grandioses s’accordant au caractère de la circonstance.
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Franz Liszt
Concerto pour piano et orchestre n° 1 en mi bémol majeur S. 124
I. Allegro maestoso – II. Quasi adagio – Allegretto vivace – Allegro animato – III. Allegro marziale animato – Presto
Composition : 1832-1834/35.
Révisions : 1839, 1849, 1853, 1855.
Dédicace : à Henri Litolff.
Création : le 17 février 1855 à Weimar par l’auteur sous la direction de Hector Berlioz.
Publication : 1855-1857.
Durée : environ 20 minutes.
Conçu dans les années 1830 et révisé à plusieurs reprises jusqu’à la version définitive de
1855, le Premier Concerto pour piano témoigne des recherches formelles de Liszt et de
la transformation du genre qu’il accomplit. Il y applique sa technique de métamorphose
thématique et s’achemine vers la forme cyclique d’un seul tenant où sont enchaînés les
trois mouvements. Trois, ou plutôt quatre, ici, car le deuxième contient un scherzo, sur le
modèle de la symphonie. Mais tout est inhabituel dans cette œuvre proche de la fantaisie.
À peine lancé par un motif chromatique et non clos, qui se révélera fondateur, le premier
mouvement fait entendre une cadence du soliste. De la sonate, il ne conserve que des
traces, la forme est en constante évolution, comme fondée sur une logique
d’improvisation, avec une grande part d’imprévisible dans le déroulement du discours.
Le Quasi adagio se distingue par son traitement vocal du piano, en récitatif, et par la place
qu’il laisse à l’instrument seul. Il enchaîne sur un scherzo (Allegretto vivace) où le triangle
apparaît en soliste, et qui privilégie le registre aigu du piano, celui-ci évoluant dans une
virtuosité toute de légèreté. Le retour du motif fondateur du premier mouvement assure
la transition vers le finale.
L’Allegro marziale animato opère la synthèse des matériaux et fait réapparaître de
manière cyclique les éléments thématiques entendus jusque-là. Éblouissant du point de
vue motivique, il donne au soliste l’occasion d’une débauche de virtuosité.
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JEUDI 18 JANVIER
Johannes Brahms (1833-1897)
Danses hongroises n° 1 en sol mineur, n° 3 en fa majeur et n° 10 en fa majeur
N° 1. Allegro molto
N° 3. Allegretto
N° 10. Presto
Composition : terminée en 1868 ; arrangement pour orchestre réalisé par le compositeur en 1873.
Création : version pour orchestre des n° 1, 3 et 10, le 5 février 1874 à Leipzig sous la direction de l’auteur.
Édition (version orchestrale) : Simrock, 1874.
Durée : environ 9 minutes.
Les vingt et une Danses hongroises de Brahms sont des compositions personnelles
nourries de mélodies empruntées à un fonds populaire tzigane. En les publiant, Brahms
avait refusé de leur donner un numéro d’opus, tenant à ce que l’édition spécifie qu’il
s’agissait d’un arrangement. Comme les Rhapsodies hongroises de Liszt, elles sont
davantage « tziganes » que « hongroises ». Brahms avait découvert certaines mélodies
en 1853 grâce au violoniste hongrois Ede Reményi, avec qui il était en tournée ; il put en
entendre d’autres à Vienne et en Hongrie, diffusées par les orchestres tziganes itinérants.
Les Danses hongroises stylisent tous les éléments caractéristiques de la musique tzigane :
elles imitent les timbres et les figurations du cymbalum et du violon, elles unissent la
mélancolie et la fougue, présentent des alternances volontiers brusques de tempos lents
et rapides, une rythmique capricieuse, avec une prédilection pour les syncopes, une
harmonie intégrant une couleur « tzigane »…
La première est une csárdás que le tzigane Ferenc Sárközy avait rendue célèbre.
Les n° 3 et 10 sont des danses nuptiales empruntées au Tolnai Lakadalmas du compositeur
populaire hongrois József Riszner. Brahms tenait à la version originale pour piano à quatre
mains et n’orchestra que les n° 1, 3 et 10, à la demande de son éditeur, Simrock.
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Béla Bartók (1881-1945)
Román népi táncok (Danses populaires roumaines) Sz. 56
N° 1. Danse au bâton
N° 2. Danse où l’on se tient par la taille
N° 3. Sur place
N° 4. Danse de la corne de berger
N° 5. « Polka » roumaine
N° 6. Danse rapide
Composition : 1915 (version originale pour piano) ; 1917 (pour orchestre).
Dédicace : à Ioan Busitia.
Édition : Vienne, Universal Edition, 1918.
Durée : environ 6 minutes.
Depuis 1909 Bartók étudiait la musique populaire des paysans de Roumanie.
En collaboration avec son ami roumain Ioan Busitia, il avait réalisé plusieurs expéditions
de collectes de mélodies, en particulier en Transylvanie, cette région multi-ethnique, alors
partie de la Hongrie, qui allait devenir roumaine en 1918. Son étude aboutit en 1915 à
un groupe d’œuvres utilisant des mélodies populaires roumaines : la Sonatine, les Danses
populaires roumaines, les Colinde (Noëls roumains), tous trois pour piano, ainsi que les
Deux Chansons populaires roumaines pour chœur de femmes et les Neuf Chansons
roumaines pour voix et piano.
Sous forme de suite, les Danses populaires roumaines présentent presque sans
changement des mélodies populaires authentiques de Transylvanie (la partition précise
pour chacune son origine géographique). Bartók fournit l’accompagnement, qui respecte
leur structure modale, et présente une assez grande liberté harmonique, avec parfois de
belles dissonances. Les sept danses (la sixième en contient deux), toutes très rythmiques,
exigent de l’interprète une bonne compréhension de l’exécution populaire. Très célèbres,
elles sont aujourd’hui partie intégrante du répertoire des pianistes et sont aussi
couramment jouées dans l’orchestration qu’en réalisa Bartók en 1917.
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Zoltán Kodály (1882-1967)
Galántai Táncok (Danses de Galánta)
N° 1. Lento
N° 2. Andante maestoso
N° 3. Allegretto moderato
N° 4. Andante maestoso
N° 5. Allegro con moto, grazioso
N° 6. Andante maestoso
N° 7. Allegro
N° 8. Poco meno mosso
N° 9. Allegro vivace
N° 10. Andante maestoso
N° 11. Allegro molto vivace
Composition : 1933.
Dédicace : à la Société philharmonique de Budapest, pour son 80e anniversaire.
Création : le 23 octobre 1933 à Budapest.
Publication : Editio Musica Budapest/Editions Universal, Vienne, 1934.
Durée : environ 13 minutes.
À une cinquantaine de kilomètres à l’est de Bratislava, la ville de Galánta appartenait jadis
à la pointe nord-ouest de la Hongrie. Cédée à la Tchécoslovaquie en 1920, elle se trouve
aujourd’hui en République slovaque. Sa situation géographique, à un carrefour ethnique,
explique le mélange de populations hongroise, slovaque et germanique autrichienne.
C’est cette mixité culturelle que découvre le jeune Kodály lorsque sa famille s’installe
à Galánta, en 1885. Il y habitera jusqu’à ses dix ans, et les souvenirs de son enfance se
mêleront à ceux d’un orchestre tzigane local réputé.
Les Danses de Galánta sont une commande de la Société philharmonique de Budapest
pour son 80e anniversaire. Kodály a puisé leurs mélodies dans l’un des premiers recueils
édités de verbunkos, les deux volumes de danses de musiciens tziganes de Galánta, parus
à Vienne en 1804. Après une introduction lente, la suite débute avec une première danse
passionnée, qui reviendra à la manière d’un refrain. Elle est conçue en crescendo et selon
un principe d’intensification avec, à partir de la sixième danse, des retours d’éléments
thématiques déjà entendus. Les danses sont de caractères variés, la deuxième plus lascive,
la troisième pastorale, tandis que la cinquième frappe par ses dissonances et la sixième,
rappelant Stravinski, approche les rythmes de transe. Le sommet final est interrompu par
un ultime retour de la première danse, comme de loin, avant une conclusion brillante.
En 1935, Kodály réunira les Danses de Galánta et les Danses de Marosszek, de quelques
années antérieures, en un ballet, L’Histoire d’un rebelle.
Marianne Frippiat
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Zoltán Kocsis
Né à Budapest en 1952, Zoltán Kocsis
débute le piano à l’âge de 5 ans et
entre à 11 ans au Conservatoire
Béla-Bartók, où il étudie le piano et
la composition (1863-1868). Il intègre
ensuite l’Académie de Musique
Franz-Liszt où il étudie avec Pál Kadosa
et Ferenc Rados. À 18 ans, il remporte
le Concours Beethoven de la Radio
Hongroise, qui lui ouvre les portes des
grandes scènes européennes,
notamment la Philharmonie de Berlin.
Il reçoit en 1973 le prix Liszt et
enseigne en 1976 à l’Académie
Franz-Liszt de Budapest.
Invité régulier de très grands orchestres,
dont le Berliner Philharmoniker,
le Wiener Philharmoniker, le Royal
Philharmonic Orchestra, le San Francisco
Symphony…, il joue en Europe, au
Japon, en Australie, en Extrême-Orient,
en Amérique du Nord et du Sud, sous
la direction de Claudio Abbado,
Sir Georg Solti, Christoph von Dohnányi,
Charles Mackerras, Valery Gergiev,
Charles Dutoit, Michael Tilson Thomas…
Zoltán Kocsis est invité par Sviatoslav
Richter pour jouer une pièce à quatre
mains à la Grange de Meslay et au
festival de Hohemens. Il se produit
régulièrement dans plusieurs grands
festivals, à Édimbourg, à Londres,
à Paris, à Lucerne, à Salzbourg,
à Prague et à La Roque-d’Anthéron.
En 1983, il est avec Iván Fischer l’un des
fondateurs de l’Orchestre du Festival
de Budapest, qu’il dirige régulièrement.
Dès 1987, Zoltán Kocsis se produit
en tant que chef d’orchestre et,
parallèlement à sa carrière de pianiste,
travaille également la composition et
les arrangements. Il crée plusieurs
œuvres du compositeur hongrois
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György Kurtág, dont … quasi una
fantasia… pour piano en 1989 et le
Double Concerto en 1990. Dédicataire
de plusieurs partitions de Kurtág,
Zoltán Kocsis les a jouées à travers
toute l’Europe.
En 1997, il est nommé directeur musical
de l’Orchestre National Philharmonique
de Hongrie. Au cours de sa première
saison à la tête de la formation, il dirige
notamment la première audition en
Hongrie des Gurrelieder de Schönberg
dans le cadre du Festival de Printemps
de Budapest.
Orchestre National Philharmonique
de Hongrie
L’histoire de l’Orchestre National
Philharmonique de Hongrie (Orchestre
Symphonique d’État de Hongrie)
commence en 1923 sous la direction de
Dezsö Bor. L’Orchestre devient très
rapidement un des piliers de la vie
musicale hongroise. Après la guerre,
Ferenc Fricsay et László Somogyi y
sont nommés directeurs musicaux.
Durant cette période, l’orchestre est
dirigé par de prestigieux chefs invités
tels Otto Klemperer, Antal Doráti et
Leonard Bernstein. En 1952, János
Ferencsik est nommé directeur musical.
Jusqu’à son décès en 1984, il
s’efforcera de faire de cet orchestre
l’une des plus prestigieuses formations
internationales. Il crée le War Requiem
de Benjamin Britten à Budapest
quelques mois seulement après la
première en Angleterre.
Dans les années 60, l’orchestre invite
de grands chefs comme Ernest
Ansermet, Antal Doráti, Zubin Mehta,
Lorin Maazel, Sir John Barbirolli,
Leopold Stokowski, Claudio Abbado,
Christoph von Dohnányi ainsi que de
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non moins prestigieux solistes tels que
Sviatoslav Richter, Yehudi Menuhin,
Anja Silja, János Starker, Ruggiero
Ricci…
En 1987, le japonais Ken-Ischiro
Kobayashi est nommé chef principal.
Kobayashi assure ses fonctions
pendant 10 ans et effectue de
nombreuses tournées internationales.
À l’automne 1997, Zoltán Kocsis est
nommé directeur musical. Le 1er janvier
1998, la formation reçoit son titre
actuel d’Orchestre National
Philharmonique de Hongrie. L’une de
ses premières actions est d’engager un
talentueux jeune chef d’orchestre
hongrois, Zsolt Hamar, en tant que chef
résident principal.
Au début des années 2000, l’orchestre
bénéficie du soutien du ministère de
la culture. Le développement de la
formation, sans précédent dans les arts
hongrois, se ressent d’ores et déjà dans
les concerts donnés en Hongrie et
à travers le monde.
Ces dernières années, l’orchestre
a reçu un grand nombre d’invitations et
a connu un remarquable succès dans
des salles comme le Avery Fisher Hall
à New York, le Tokyo Suntory Hall,
le Birmingham Symphony Hall,
le Megaron d’Athènes et le Festival de
Colmar.
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JEUDI 18 JANVIER
Flûtes
Imre Kovács
Zsófia Embey-Isztin
Irén Móré
Hautbois
József Kiss
Edit Budai
Ágnes Kubina
Clarinettes
József Tönköly
József Németh
György Salamon
Bassons
Sándor Tamás
Klára Börzsönyi
Zsolt Szabó
Cors
Tamás Zempléni
Rajmund Andó
László Fröschl
László Gál
Tibor Maruzsa
Trompettes
László Tóth
Zsolt Skultéty
Zsolt Spitzer
Trombones
Jenô Kácsik
Ákos Galla
Balázs Kerényi
Béla Koppányi
Tuba
László Szabó
Percussions
Mihály Kaszás
Gergely Bíró
Szabolcs Joó
Nándor Weisz
László Rácz
Ágnes Reményi
András Rudolf
Harpe
Deborah Sipkay
Violoncelles
Tamás Koó
Rezsô Pertorini
Zsuzsa Bajner
György Deák
Beatrix Fazekas
Sándor Harangozó
Tünde Lukács
János Zsoldos
Violons I
Jenô Koppándi
Ferenc Balogh
Ferenc Bangó
János Bodor
Attila Boniszlávszky
Sándor Déri
László Fülöp
János Horváth
Ágnes Kertész
Tóth Éva Kissné
Károly Meleg
Zsuzsanna Molnár
Dániel Papp
Péter Sárosi
Contrebasses
Péter Kubina
Iván Sztankov
Ferenc A. Kovács
János Mészáros
Péter Palotai
Tibor Zsákai
Violons II
Gizella Herendiné Szekeres
Ágnes Herbály
Gábor Bali
Gábor Bodor
Mária Marcella Detvay
Éva Dúlfalvy
Zoltán Horváth
János Mózer
Katalin Németh
Román Oszecsinszkij
Ferenc Sánta
Szegleti Bernadett Szûcsné
Altos
György Porzsolt
Enikô Balogh
Zsuzsanna Bársony
Sándor Kertész
Ernô Klepoch
Péter Ligeti
György Márkus
Salle Pleyel
Président : Laurent Bayle
Notes de programme
Éditeur : Hugues de Saint Simon
Rédacteur en chef : Pascal Huynh
Rédactrice : Gaëlle Plasseraud
Maquettiste : Ariane Fermont
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Salle Pleyel Prochains concerts
DU VENDREDI 19 JANVIER AU JEUDI 1 FÉVRIER
VENDREDI 19 JANVIER, 20H
MARDI 23 JANVIER, 20H
SAMEDI 27 JANVIER, 20H
Sofia Goubaïdoulina
Conte de fée
Sergueï Rachmaninov
Concerto pour piano n° 3
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Casse-Noisette (suite arrangée
par Vladimir Fedosseiev)
Johannes Brahms
Concerto pour piano n° 2
Serge Nigg
Millions d’oiseaux d’or
Alexandre Scriabine
Poème de l’extase
Dianne Reeves, chant
Russell Malone, guitare
Romero Lubambo, guitare
Orchestre Colonne
Laurent Petitgirard, direction
Kun Woo Paik, piano
Wolfgang Amadeus Mozart
Quatuor K. 590
Leos Janácek
Quatuor n° 1 « Sonate à Kreutzer »
Robert Schumann
Quintette pour piano et cordes op. 44
SAMEDI 20 JANVIER, 20H
Ludwig van Beethoven
Triple Concerto op. 56
Symphonie n° 6 « Pastorale » op. 68
Orchestre des Champs-Élysées
Philippe Herreweghe, direction
Daniel Sepec, violon
Jean-Guihen Queyras, violoncelle
Andreas Staier, pianoforte
Production Orchestre Colonne.
MERCREDI 24 JANVIER, 20H
JEUDI 25 JANVIER, 20H
Robert Schumann
Manfred (Ouverture)
Concerto pour violon
Symphonie n° 4
Orchestre de Paris
Marek Janowski, direction
Thomas Zehetmair, violon
VENDREDI 26 JANVIER, 20H
DIMANCHE 21 JANVIER, 10H45
Concert éveil destiné aux jeunes
Johannes Brahms
Concerto pour piano n° 2 (extraits)
Alexandre Scriabine
Poème de l’extase (extraits)
Igor Stravinski
Scherzo à la russe
Sergueï Prokofiev
Concerto pour violon n° 2
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Symphonie n° 6 « Pathétique »
Orchestre Colonne
Laurent Petitgirard, direction
Kun Woo Paik, piano
Orchestre National d’Île-de-France
Yoel Levi, direction
Akiko Suwanai, violon
Production Orchestre Colonne.
Production Orchestre National d’Île-de-France.
Quatuor Guarneri
Alain Planès, piano
MARDI 30 JANVIER, 20H
Wolfgang Amadeus Mozart
La Betulia liberata (version de concert)
Concentus Musicus Wien
Arnold Schönberg Chor
Nikolaus Harnoncourt, direction
Jeremy Ovenden, Ozia
Marijana Mijanovic, Giuditta
Luba Orgonasova, Amital
Georg Zeppenfeld, Achior
Eva Liebau, Cabri
Elisabeth von Magnus, Carmi
Le bar du hall est ouvert une heure avant le début du concert et pendant l’entracte. Le bar du foyer, en fond de parterre, est ouvert pendant l’entracte.
Un point de vente harmonia mundi vous accueille dans le hall. Il est ouvert une heure avant le concert, pendant l’entracte et à l’issue du concert.
Les partenaires média de la Salle Pleyel
Photo couverture © D.R. | Imprimeur SIC | Imprimeur France Repro | Licences : 7503078, 7503079, 7503080
Orchestre Philharmonique
de Radio France
Vladimir Fedosseiev, direction
Oleg Maisenberg, piano
LUNDI 29 JANVIER, 20H
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