Dictionnaire historique de Longueuil Michel Pratt
Transcription
Dictionnaire historique de Longueuil Michel Pratt
Dictionnaire historique de Longueuil Michel Pratt © E East Greenfield East Greenfield Territoire de Saint-Hubert qui correspondait aux lots 171 à 173. Ce secteur, à deux pas du parc industriel Litchfield, s’étendait du chemin de la Côte noire (Grande-Allée) jusqu’au boulevard De Maricourt. Les rues suivantes le traversaient : Cornwall, Wesley, Quévillon, Kensington, Belmont, Nantel, Campbell. Perpendiculaires à ces rues, on retrouvait celles de Barlow, Milligan, Viateur, Lalande, McCrae, Spriggs, Robinson. Le recensement électoral fédéral de 1935 étend les limites de ce quartier du lot 170 à 198, soit jusqu’aux limites de la paroisse de Saint-Joseph de Chambly. À cet endroit, le 13 avril 1913, eut lieu une terrible tragédie ferroviaire faisant huit morts. Les passagers revenaient d’une excursion à Chambly. Sur le plan religieux, ce quartier était desservi par la mission anglicane St. Stephen et la Wesley United Church. Le recensement électoral fédéral de 1935, nous a permis d’observer la présence très majoritaire des francophones sur le chemin de la Grande-Ligne (Grande-Allée), mais ailleurs une présence anglophone tout aussi importante. Échangeur Charles-Le Moyne Ancien viaduc Southwork construit en 1932 à l'intersection des boulevards Sir Wilfrid-Laurier (route 116) et Taschereau (route 134). Entièrement reconstruit, au coût d'environ 15 millions de dollars, suite à une décision annoncée par le ministre des Transports, Denis de Belleval le 26 juin 1980. La première pelletée de terre eut lieu le 26 janvier 1981. Échangeur du chemin de Chambly On l'appelait le « rond-point de la mort », et en ce sens il constitue un élément mémorable de l’histoire de Saint-Hubert. En effet, en sortant du viaduc il y avait un échangeur comme on en trouve encore aujourd’hui dans certaines régions des États-Unis. Le nombre d’accidents était très élevé. À la fin des années 1960, un groupe de pression, l’Action civique, présidée par Germain Pitre, en fit son cheval de bataille. En 1970, on apporta des changements importants à cet échangeur. Ce fut véritablement à partir de ce moment que commença à se développer le boulevard Cousineau, ainsi nommé en mémoire du premier curé de la paroisse catholique de Saint-Hubert, Jean-Baptiste Cousineau. École (historique) Les débuts de l'enseignement à Longueuil datent des premières années du XVIII e siècle. Dès 1721, le frère François Simonnet de la Croix enseignait à Longueuil. Le premier presbytère de la paroisse de Saint-Antoine servit d'école de 1816 à 1827. Des lois en 1824, 1829 et 1832 conférèrent aux fabriques des paroisses et aux syndics la responsabilité de la gestion de l'éducation. Dès 1827, nous disent Jodoin et Vincent, « la fabrique avait accordé, dans le but de l'encourager, la somme de 25 louis à Rémi Béchard, maître d'école ». En 1834, la fabrique acquit, de Charles Fournier dit Préfontaine et de François Viau, une maison en pierre à l'emplacement actuel de la Caisse populaire de Longueuil et la convertit en école ; c'est dans cette maison Marie-Rose-Durocher qu'Eulalie Durocher, Henriette Céré et Mélodie Dufresne fondèrent, en 1843, la congrégation des sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. En 1835, une école fut ouverte dans la résidence de Joseph Gélineau, au sud du chemin de Chambly. Il y avait aussi, à la même École (historique) époque, une école sur la Côte noire, aujourd'hui le chemin Tiffin. En 1842, la fabrique acquit la maison d'Alexis Fournier dit Préfontaine (père) pour pallier le manque d'espace. Manquant toujours de place, elle profita, en 1843, de la banqueroute d'Henri Mongeau pour acquérir sa propriété, derrière le presbytère construit en 1831, l'actuelle Banque Laurentienne. En 1844, les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie ouvrirent leur couvent à cet emplacement. Les garçons devaient se contenter de l'école de la maison MarieRose-Durocher, dirigée jusqu'en 1846 par William Benziger. Celle-ci se révéla rapidement trop petite pour répondre aux besoins de la clientèle masculine. La fabrique acquit donc la maison Chaboillez en 1854 pour en faire un collège pour garçons. Les Clercs de SaintViateur y enseignèrent de 1856 à 1866 et furent remplacés, pendant une année, par des laïcs. Les frères des Écoles chrétiennes arrivèrent en 1867 ; ils enseigneront dans la maison Chaboillez jusqu'à l'inauguration, en 1910, de leur nouveau collège, sur le chemin de Chambly, qu'ils occupèrent jusqu'en 1970. Lors de l'implantation des installations du Grand Tronc, on construisit, dans les années 1850, une école sur la rue Victoria, côté nord-est de la rue Gagnon (qui se prolongeait à l'époque). À compter de 1876, les sœurs Grises dispensèrent l'enseignement au Jardin de l'enfance, à l'emplacement du Foyer Saint-Antoine. Des écoles de rang furent fondées à la fin du XIXe siècle : du Bas-du-Fleuve à Fatima, Sainte-Marie sur le Coteau rouge, Saint-Vincent sur le chemin De Gentilly, aujourd'hui le boulevard RolandTherrien, Saint-Isidore sur le chemin de Chambly. Les anglophones, surtout regroupés dans le secteur ouest de la ville, avaient une école sur la rue Victoria pendant la prospère période de la présence de la compagnie de chemin de fer du GrandTronc, entre 1848 et 1860. Il existait une autre école, dans le Vieux-Longueuil de 1855 à 1876 à l'emplacement du Foyer Saint-Antoine ; il s'agissait de la Société évangélique de la Grande Ligne, également nommée l'Institut Feller, dirigée par des baptistes : Sophie Jonte, de France, Zélie Cuendet, de Suisse, Lydia Émond, des États-Unis, et Séraphine Brochette, de France, y dispensaient l'enseignement à une quarantaine de jeunes filles presque toutes venues de l'extérieur de Longueuil. Les épiscopaliens construisirent une petite école à côté de l'église St. Mark en 1875. Les méthodistes implantèrent une petite école qui servit aussi de chapelle de 1882 à 1886, sur la rue Saint-Charles Ouest, du côté nord, en face de la pointe du parc Saint-Jean-Baptiste, à 64 pieds de la rue Saint-Jacques. Cette petite construction de bois n'avait que 16 pieds de front par 24 pieds de profondeur ; elle fut vendue à François Crevier en 1889. En 1903, l'école protestante Model School fut construite, à l'emplacement de la Place Longueuil. Une autre école anglaise était établie dans une maison de briques rouges de deux étages, en face du Collège de Longueuil, sur le chemin de Chambly. Elle fut abandonnée en 1923 lorsque l'école de la rue Caroline, baptisée Hazel-Cross en 1959, ouvrit ses portes. La vieille école fut alors occupée, pendant quelques années, par la Légion canadienne, avant d'être détruite. L'augmentation de la population, tant dans le Vieux-Longueuil qu'à MontréalSud, puis Jacques-Cartier, entraîna l'ouverture d'un grand nombre de nouvelles École (historique) écoles. Dans les années 1980 et 1990, le phénomène inverse se produisit : on commença à fermer des écoles, à cause de la baisse de clientèle et des compressions budgétaires. Les commissions scolaires En 1841, le gouvernement du Québec adopta une loi structurant l'éducation dans les écoles primaires et institua, en 1845 et 1846, un système de commissions scolaires, basé sur l'appartenance religieuse, avec droit de perception de taxes. Dix ans plus tard, la commission scolaire de la paroisse était divisée en deux entités administratives distinctes : celle du Village de Longueuil, ancêtre de la Commission scolaire de Longueuil, devenue de Saint-Exupéry puis de l'Eau-Vive, et celle de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine, ancêtre de la Commission scolaire de JacquesCartier. En 1961, la Commission scolaire régionale de Chambly, fondée l'année précédente sous le nom de Corporation des écoles secondaires du comté de Chambly, administra les écoles secondaires du territoire jusqu'à sa fermeture, en 1992. Actuellement, les écoles de Longueuil sont administrées par la Commission scolaire Marie-Victorin pour les francophones et par la Commission scolaire Riverside pour les anglophones. École (historique) L’arrondissement 1, situé dans la partie nord du chemin de Chambly, avait une école à proximité de la gare du chemin de fer du Grand Tronc. Médard Émard y enseigna de 1860 à 1887. Il devait luimême s’occuper, à ses frais, du chauffage de l’école et du blanchiment du bâtiment. Il dut, jusqu’en 1870, engager une auxiliaire pour l’aider à accueillir les débutants. En 1875, l’école fut transférée sur un terrain de la fabrique. Compte tenu du couvent à proximité, l’école fut réservée aux garçons à partir de 1870, sauf de très rares exceptions. En 1880, Charles Narbonne construisit une chambre à l’étage supérieur et en dota l’école d’un puits. Ce bâtiment est aujourd’hui occupé par le restaurant L’Ancêtre. Joseph Paradis fut instituteur de 1887 jusqu’à son décès, le 15 novembre 1902. Par la suite, plusieurs professeurs se succédèrent. Georges Brulé, qui se plaignit de l’eau insalubre et qui réussit à faire creuser un nouveau puits artésien en 1904. Anna Audette et AlexinaMartin n’eurent pas la vie facile puisqu’en 1909 une pétition de 50 signataires exigea que l’enseignement soit dispensé par un maître. P. H. Binet, Louis Denis et Jeanne Robert se succédèrent tour à tour de 1916 à 1924. Napoléon Beauregard vint redonner un peu plus de stabilité dans le corps professoral. Il fut remplacé, de 1924 à 1926, par Mercédès Quenneville, de 1926 à 1927 par Delia Houle, puis par Alexina Martin qui enseigna jusqu’à sa démission, en 1936, pour maladie grave. L’école de l’arrondissement 2 était située dans la partie le plus au sud du chemin de Chambly, sur le lot 71, à proximité de la Montée Daniel. En 1868, Jean-Baptiste Courtemanche, de Chambly, construisit une école, en bois, de 11 mètres par 7,6. L’étage supérieur comptait trois pièces, dont deux chambres. En 1879, quelques propriétaires établis le plus au sud du chemin de Chambly demandèrent la création d’un nouvel arrondissement jugeant la localisation de l’école trop éloignée. En 1911, des travaux majeurs de rénovation furent entrepris. La stabilité École (historique) du corps enseignant laissa à désirer, 27 professeurs y ayant enseigné de 1860 à 1941. En novembre 1932, un commissaire scolaire souligna l’importance de faire installer l’électricité à cette école, l’institutrice y logeant et les lampes à pétrole étant dangereuses pour le feu. En 1935-1936, l’école accueillait des élèves de la 1re à la 6e année. En 1937, on projeta de la déplacer avec ses dépendances, en raison de l’élargissement du chemin de Chambly longeant le terrain où elle était située. L’école no 2 prit, en mars 1944, le nom d’école Saint-Alcide. En 1945, le nombre d’enfants inscrits s’élevait à 40. Cette école fut fermée en juillet 1961 et fut vendue en mai 1965. Dans l’arrondissement 3, de la Grande Ligne, situé dans la partie le plus à l’ouest de la paroisse de Saint-Hubert, une école fut construite sur le lot 166. Objet de plaintes fréquentes, à peine 4 ou 5 élèves s’y étant inscrits; la Commission scolaire la ferma en 1905. Elle ne fut rouverte qu’en 1917. Pendant cette période, l’arrondissement 3 fut jumelé à l’arrondissement 6. Malgré la fermeture de l’école pendant plusieurs années, pas moins de 22 femmes y enseignèrent. La plus longue carrière fut celle de Jeanne Eva Ouellet qui y enseigna de 1931 à 1938. En juillet 1942, une nouvelle école fut érigée sur une partie du cadastre no 165 des plans et livre de renvoi officiels de la paroisse de Saint-Hubert. Au mois de mars 1944, elle prit le nom d’école Sainte-Thérèse. Compte tenu de la faible population résidant dans cet arrondissement (seuls huit enfants y étaient inscrits en 1946), la commission scolaire ferma l’école en 1947 et songea à vendre l’établissement scolaire d’une profondeur de 27 mètres et d’une largeur de 18. En août 1949, des contribuables demandèrent sa réouverture, vu le nombre croissant d’enfants qui pourraient avoir accès à cette école. En janvier 1957, l’école fut vendue. Dans l’arrondissement 4, l’école de rang était située sur le chemin de la Savane, sur le lot 19. Elle ne recevait qu’une demi-douzaine d’enfants. Dans l’arrondissement 5, les sœurs du Bon Pasteur avaient réservé une classe pour les filles dans leur couvent, au 5300, chemin de Chambly. En 1901, cette classe fut transférée dans la propriété d’Alfred Martin. Au mois de mai 1870, les Sœurs du Bon Pasteur d’Angers s’installèrent à Saint-Hubert dans une maison de bois de 9 x 6 mètres, appartenant à la fabrique de la paroisse. Les débuts furent difficiles puisqu’il n’y avait pas de tableau noir ni assez de chaises autour des tables. Le 26 décembre 1870, elles déménagèrent dans le nouveau couvent en pierres, de quatre étages, d’une dimension de 18 x 12 mètres. Au début, elles se chauffaient à la tourbe, produit abondant à Saint-Hubert. Mais les murs du couvent devinrent immédiatement noirs, nécessitant un constant lavage. Elles durent y renoncer assez rapidement. Dès 1871, le couvent comptait déjà 72 élèves (36 externes et 36 internes). En 1874, le pensionnat accueillit l’étudiante Alice Fitch, plus tard Alice Underwood Fitch, peintre de renommée internationale. Protestante à son arrivée, elle fit son abjuration. En 1878, les sœurs fermèrent le pensionnat pour ouvrir celui de l’Académie Saint-Louis-de-Gonzague, sur la rue Sherbrooke à Montréal. À la suite de nombreuses pressions, l’institution de Saint-Hubert rouvrit son pensionnat en 1884. En 1892, le couvent comptait 66 élèves, dont 22 pensionnaires. École (historique) Au mois de juin 1920, on célébra le 50e anniversaire du couvent de Saint- Hubert. Drapeaux et de bannières flottaient au vent. Une vingtaine de prêtres assistèrent aux célébrations. On était peu familiarisé avec ces sœurs qui se réfugiaient dans les profondeurs de leur cloître loin des regards des habitants du quartier. Le soir, le village était illuminé et on fit éclater des feux d’artifice. Le public, nombreux, put assister à une séance d’art dramatique. Une sœur nous laissa un témoignage de la venue en 1930 du dirigeable R-100 que ses compagnes pouvaient aisément voir de leur couvent : « Pendant que Dieu multipliait ainsi les dons à ses enfants, le temps précipitait sa marche. Nous ne voudrions pas passer sous silence les distractions reposantes que nous valut, après la retraite, l’arrivée du fameux dirigeable R-100. Cette manifestation grandiose donna lieu à des évolutions aériennes extraordinaires alors pour notre pays. Le mât d’ancrage étant situé à proximité de nos jardins, nous pouvions suivre, dans l’espace, les évolutions magnifiques qui attirèrent des foules innombrables de spectateurs. Le ballon gigantesque passa au-dessus de notre couvent avant de recevoir l’accueil bienveillant de la tour qui lui tendit les bras au lever du soleil. Spectacle idéal qui incitait autant à la méditation qu’à l’admiration. Il nous montrait Dieu agissant dans la pensée humaine où Il crée des merveilles que le monde, sans penser à Celui qui en est l’auteur, se plaît à attribuer au génie des savants. Après avoir intéressé, quinze jours durant, tout un peuple ému de le contempler, le R-100 reprit sa course aérienne vers Cardington. Qu’adviendra-t-il, se demandait-on ? Notre bonne Mère Prieure le confia à Marie, guide des voyageurs ; peut-être doit-il à sa prière fervente de n’avoir pas subi le triste sort de son frère le R-101. » En 1936, les sœurs du Bon Pasteur quittèrent la paroisse et leur couvent. Les Sœurs du Sacré-Cœur prirent immédiatement la relève et le couvent changea son nom pour celui de couvent Sacré-Cœur. L’arrondissement 6 fut créé en 1871 au détriment de l’arrondissement 3. L’école était située sur le lot 181. En octobre 1872, il fut décidé qu’une somme de 526 $ serait assumée par tous les propriétaires imposables de l’arrondissement de la Grande-Ligne afin de faire face à la construction de la maison d’école. En 1901, vu le mauvais état de l’école, il fut décidé qu’il était impossible d’y continuer la classe pour 1901-1902. La même année, les salles de classe furent jugées trop petites et la ventilation insuffisante. En juillet 1906, l’inspecteur se plaignit toujours que la salle de classe était trop petite pour le nombre d’élèves qui la fréquentaient et il proposa le départ de familles dans d’autres arrondissements afin de faire de la place. La commission scolaire décida ainsi d’enlever un mur de séparation dans la maison. Au mois de mai 1921, l’école fut incendiée. Au mois de juillet suivant, la décision fut prise non pas de la reconstruire, solution jugée trop dispendieuse, mais de trouver une maison à louer dans l’arrondissement. En 19351936, l’école accueillait des élèves de la 1re à la 6e année. Au mois de mars 1944, elle prit le nom de Saint-Viateur. Au mois de novembre 1946, on y offrait deux classes dont l’une de langue anglaise pour 12 élèves. L’école, située au 8600, chemin de la Côte noire (Grande Allée), fut mise en vente en 1966. École Armand-Racicot L’arrondissement 7 ou Saint-Lambert Annexe- Croydon. En mars 1928, des propriétaires résidant dans le territoire de Saint-Lambert Annexe firent une requête auprès de la Commission scolaire catholique de Saint-Hubert, demandant de construire une école pour accommoder les enfants catholiques de cette subdivision. L’école fut ouverte en 1929 sur l'emplacement actuel du Centre culturel Saint-Thomasde-Villeneuve et elle était fréquentée par des élèves de langue française et anglaise. En décembre 1933, ceux-ci durent opter pour l’une ou l’autre langue, car l’institutrice ne pouvait assumer l’enseignement dans les deux langues. En 1939-1940, deux institutrices furent donc engagées : l’une enseignant le français et l’autre l’anglais ; 46 élèves répartis de la 1re à la 7e année y étaient alors inscrits ; 34 parlaient le français et 12 l’anglais. En avril 1941, Mgr Roméo Lauzon de Saint-Lambert Annexe (Notre-Dame-duSacré-Cœur) exprima le désir de voir des religieuses enseigner à l’école no 7 à partir de l’année 1941-1942. Des démarches furent entreprises auprès des Sœurs de Saint-Joseph à Saint-Hyacinthe ; deux sœurs furent ainsi engagées : une de langue anglaise et l’autre de langue française. L'école porta alors le nom de l'école Saint-Joseph. En juillet 1942, l’école fut agrandie de 7,6 mètres en longueur (côté nord). En 1946, elle comptait 110 élèves ; il fallait louer des locaux ou construire daredare. Dix ans plus tard, elle n'était réservée qu'aux garçons et devint l'école Saint-Thomas. Elle ferma ses portes en 1967. École Académie Ave-Maria (PaulChagnon) Elle fut construite en 1951-1952 au 5295, chemin de Chambly, en face du couvent Sacré-Cœur, à l’angle de la Montée Saint-Hubert. À ses débuts, l’école était réservée surtout aux filles et était dirigée par les Sœurs du SacréCœur. En 1958, l’école changea de cap et fut réservée aux garçons. On l’appelait alors simplement l’école de Saint-Hubert. Au début des années 1970, on modifia le nom pour celui de Paul-Chagnon, ancien président de la commission scolaire de 1960 à 1972 et décédé en 1974. École Adrien-Gamache École primaire, construite en 1971 et inaugurée le 28 mai 1972, au 2375, rue Lavallée, dans le secteur de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. Elle disposait de 24 classes. École Anastase-Forget Située au 2533, rue Cartier, dans le secteur de la paroisse de Saint-Jean-Vianney, elle fut construite au printemps de 1958 et comprenait quatorze classes. Elle porte le nom de l'évêque du diocèse de Saint-Jean de 1934 à 1951. Elle fut fermée en 1994. École Arc-en-Ciel Elle ouvrit ses portes en 1953 dans l'arrondissement de Saint-Hubert sous la direction d’une sœur Ursuline. École Armand-Racicot École primaire de 27 classes, réparties à l'origine sur deux bâtiments, avec un gymnase, construite en 1952-1953 dans la paroisse de Saint-Pierre-Apôtre, par Décarie Construction, au coût de 415 000 $, selon les plans de l'archi- École Bel-Essor tecte Marc Cinq-Mars. On la désignait, avant le décès du célèbre curé, sous le nom de Catherine-Primot. On y implanta le concept de parc-école en 1988, grâce à l'initiative de Diane Reumont. L'école relève de la Commission scolaire de l'Eau-Vive et est située au 965, rue Saint-Thomas. Elle offre des cours du préscolaire à la 6e année à environ 250 élèves. École Bel-Essor École située au 1250, chemin Du Tremblay et spécialisée dans l'éducation des enfants souffrant d'un handicap intellectuel grave. Elle offre ses services à une centaine d’élèves. École Bourgeoys-Champagnat École primaire, au 2180, rue Brébeuf, dans le secteur de la paroisse de SaintVincent-de-Paul. Elle ouvrit ses portes au mois de septembre 1957 et comptait 23 classes. L'école était dirigée, à ses débuts, par les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle porte le nom de Bourgeoys, en souvenir de Marguerite Bourgeoys, fondatrice de la Congrégation de Notre-Dame. École Carillon Située au 1360, rue Laurier, dans le secteur de la paroisse de Saint-Pie-X. Construite en 1958, elle comprenait quatorze classes et coûta 207 810 $. École Caroline ou Hazel-Cross École protestante de quatre classes, construite en 1922, sur la rue Caroline, du côté est, tout près de la rue SaintLaurent, dans le Vieux-Longueuil, au coût de 20 500 $. Elle remplaçait l'école établie dans une vieille maison, sur le même terrain, mais avec accès au che- min de Chambly, achetée 7 000 $ en 1916. Le bâtiment de l'ancienne école fut démoli en 1931 par la Ville de Longueuil. L'école Caroline devint, en 1959, l'école Hazel-Cross, en l'honneur d'une enseignante exceptionnelle qui mit fin, en 1962, à une carrière d'une quarantaine d'années au service de la communauté anglophone de Longueuil. Le bâtiment fut acquis par la Ville de Longueuil en 1973 et détruit dans la foulée de la rénovation urbaine. École Catherine-Primot Voir École Armand-Racicot. École Centennial Regional High School Située au 880, rue Hudson, cette école de Greenfield Park fut inaugurée en 1972. Elle fut ainsi nommée dans la foulée de l’esprit du Centenaire de la fédération canadienne célébré en 1967. Il s’agissait à l’origine d’une école plutôt technique qui desservait un vaste territoire sur la Rive-Sud et qui offrait des cours comme la coiffure, la menuiserie, la mécanique automobile et l’électronique. Aujourd’hui, l’école possède un auditorium, un laboratoire de biologie, un laboratoire de sciences, un studio de danse, une salle d’arts plastiques, une cafétéria, quatre gymnases, des salles de détente pour les étudiants, des bureaux administratifs, une bibliothèque, un bureau pour une infirmière, etc. École Christ-Roi Située au 3 000, rue Dumont. Elle fut construite en 1966. École Collège Charles-Lemoyne Institution privée d'enseignement secondaire, fondée en 1975, dont le siège social est situé dans la ville de École d'administration et de secrétariat de la Rive-Sud. Sainte-Catherine, et dont l'un des campus est installé dans l'ancienne Maison Saint-René-Goupil, sur le chemin Tiffin, construite pour les Jésuites en 1950. Le collège agrandit son campus de Longueuil en 1987 au coût d'environ 3 000 000 $, confiant le projet à l'architecte Mario Petrone. Le 25 septembre 1992, il inaugurait son nouveau campus qui avait exigé des investissements de plus de 5 millions de dollars, sur le boulevard Fernand-Lafontaine, dans le parc industriel. Le collège possède actuellement trois campus à Longueuil : le Classique, pavillon de 1er cycle qui offre notamment le cours de latin, situé au 1430 , rue Patenaude; le Musidanse, pavillon de 1er cycle qui offre un programme spécialisé en musique ou de danse, situé au 905, chemin Tiffin et l'Envol, pavillon de 2e cycle, situé au 2301, boulevard Fernand-Lafontaine, où l'élève poursuit son programme spécialisé de musique ou de danse mais qui offre aussi un programme d'enrichissement en informatique et robotique. Voir aussi Collège de Longueuil, Collège Édouard-Montpetit, Collège Français, Couvent de Longueuil. École Collège Notre-Dame-de-Lourdes Fondée en 1950 par les Filles de la Providence. Une quinzaine de religieuses y dispensaient l'enseignement, et 28 pensionnaires logeaient dans l'édifice de 105 pieds par 46. En 1954, une nouvelle aile de 64 pieds par 86 permit d'accueillir une soixantaine de nouvelles pensionnaires. Cette seconde aile fut construite par la compagnie Albert Gendron, de Jacques-Cartier, selon les plans de l'architecte Dumais, de Montréal. Le couvent fut cédé, en 1972, à une corporation sans but lucratif, dirigée par Lorenzo Larouche. En 1985, sous la direction générale de Gérard Brodeur et sous la présidence de Carmen Larose, l'édifice fut agrandi au coût de 2 200 000 $. Cette école privée fut le dernier externat, exclusivement réservé aux jeunes filles, de la région. L'école est devenue mixte pour l'automne 1996 et devint, à la même occasion, une école d'éducation internationale. L'école est située au 845, chemin Tiffin. École du Coteau rouge Voir École Saint-Ernest. École Curé-Lequin École primaire pour filles, de douze classes, construite en 1948, au 653, rue Préfontaine, au coin du boulevard Desaulniers, dans le secteur de la paroisse de Saint-Georges, dans l'ancien Montréal-Sud. Les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie y enseignèrent au début et conservèrent la direction de l'école jusqu'en septembre 1972. Une résidence pour ces religieuses occupa d'ailleurs une partie de l'édifice. L'édifice fut agrandi en 1961, selon les plans de l'architecte Gilles Larose; on y ajouta un gymnase et plusieurs classes. L'école partage ses locaux avec l'école SaintJude. Elle abrita autrefois la Commission scolaire catholique de Montréal-Sud. Elle offre aujourd'hui des cours du préscolaire à la 6e année à environ 250 élèves. École d'administration et de secrétariat de la Rive-Sud. Institution privée, fondée en 1972 par Juliette Laramée et Fernand McDuff et située au 910, boulevard Curé-Poirier Ouest. École de Maricourt (ou Regent Park ou Immaculée-Conception) École de Maricourt (ou Regent Park ou Immaculée-Conception) Elle fut construite afin de réduire le nombre d’élèves aux écoles Ave Maria et Saint-Joseph-de-Croydon. En décembre 1953, la Commission scolaire catholique de Saint-Hubert décida d’ériger une école de huit classes dans le secteur Regent Park. En février 1954, elle fit l’acquisition des lots 121 à 124 du cadastre 135 ainsi que des lots 109 à 112. À ses débuts, en janvier 1956, l’institution se nommait Regent Park. Elle était sous la direction bicéphale d’Alice Ouellet (sœur Marie Salome) et de Réal Dugas et comptait sept classes. En septembre 1956, on ajouta une 7e année et le nombre de classes fut porté à neuf. En 1957, sous l’initiative d’Eugène Savaria, l’établissement prit le nom d’Immaculée-Conception. Le nombre total d’élèves à son ouverture était de 148. Il s’élevait à 173 élèves en 1958-1959 et à 247 en 1962-1963. Une classe de maternelle ouvrit en 1964. Deux ans plus tard, on fit agrandir l’école en aménageant quatre classes, une salle de récréation et une maternelle. En 1969, l’école comptait 14 classes. L’année suivante, elle accueillait les élèves de la maternelle à la 6e année demeurant dans la paroisse Immaculée-Conception. En septembre 1971, elle prit le nom d’École de Maricourt. À l’automne 2005, un comité de parents manifesta pour préserver l’école menacée de fermeture et gagna sa cause. L’école put ainsi célébrer son 50e anniversaire. École Déclic Voir école Notre-Dame-de-Fatima. École d'Éducation internationale École qui était située située au 7445, chemin de Chambly dans l'arrondisse- ment de Saint-Hubert dans les années 1990. École de la Côte noire Première école fréquentée par les élèves du secteur de la ville de LeMoyne. Il s’agit d’une des plus vieilles écoles de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil. En fait, elle existait même déjà en 1835, alors que Joseph Manceau y enseignait. Elle était située dans le secteur de Mackayville, plus tard Laflèche, territoire maintenant intégré à la ville de Saint-Hubert. Elle fut vendue à l’enchère en 1921 pour 1 150 $, pour faire place à une nouvelle école. École de la Nyctale. Voir École Saint-Jude. École de Normandie École primaire de 22 classes située au 450, rue de Normandie, à l'angle de la rue Saint-Laurent, dans le secteur de la paroisse de Saint-Antoine, construite en 1961-1962 par J.-R. Bourdages au coût de 663 000 $, selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars. L'école fut bénie par le chanoine Gareau, le 20 octobre 1963. Elle offre de la formation du préscolaire à la 6e année primaire à environ 329 élèves. La Ville de Longueuil loua depuis 1977, pour la somme de 1$ par année, le sous-sol pour y entreposer divers documents pendant plus d’une vingtaine d’années. École des Mille-fleurs Elle fut ouverte en 1980 au 1600, Monaco et on y inaugura un parc-école en 1984. École François-de-Bienville École des parents de Longueuil Fondée en 1943, elle administrait une petite bibliothèque pour enfants et organisait des conférences mensuelles. En 1956, l'École des parents devint l'Union des familles de Longueuil. École des Quatre-Saisons. Voir École Vincent-Massey École des Quatre-Vents. Voir École Jean-XXIII. École d'Iberville. Voir École Saint-Joseph. École du Jardin-Bienville Située au 8370, rue Gervais elle fut ouverte en 1982. École du Petit-Bois École fondée en 1909 dans le secteur de Saint-Josaphat, à LeMoyne. Elle occupa, jusqu’en 1913, une partie du jubé de la chapelle. En 1909, il n’y avait qu’une institutrice; on en ajouta une seconde en 1910, mais elle démissionna au mois de novembre, de la même année. Cléophas Côté construisit, en 1915, une véritable école à l’angle des rues Saint-Alexandre et Saint-François. Elle porte le nom de Petit-Bois jusqu’en 1919 alors qu’elle devient l’école SaintJosaphat. École du Sacré-Cœur École construite en 1948, au 1104, rue Cartier, pour remplacer l’école SaintMaximilien, et qui accueillait 192 étudiants, en 1949, et 218 en 1951. La bénédiction de l’école eut lieu le 20 juin 1949. En 1963, l’école du Sacré-Cœur devint une école primaire et les Clercs de Saint-Viateur quittèrent l’institution. De 1969 à 1972, le Collège Français loua l’école pour 8 000 $ par an, et la résidence de l’école pour 150 $ par mois. L’école fut détruite par un incendie, le 22 janvier 1977. À cet endroit, on retrouve aujourd’hui un parc-école grâce à l’initiative de plusieurs résidants de SaintMaxime qui voulaient doter le quartier d’un espace vert. École du Sacré-Cœur (ou JardinBienville) Située au 3500, Mountainview, elle dispensait, en 1951, de l’enseignement dans quatre classes. En 1973, l’école ferma ses portes et le bâtiment devint le Centre culturel Bienville puis en 1982 on ouvrit l’école Jardin-Bienville. École Félix-Leclerc École primaire à vocation musicale, inaugurée le 14 juin 1990. Elle partagea ses locaux avec l'école Jean-de-Lalande, au 1711, rue Bourassa. École François-de-Bienville École bilingue de 17 classes, construite en 1957 par L.-P. Thériault au coût de 319 950 $ sur le boulevard Quinn, au coin de la rue De Gentilly. Le commissaire Maurice Brault proposa le nom de cette école. L'école fut bénie par Mgr Coderre le 1er juin 1958. Elle accueillait les élèves anglophones, garçons et filles, de la première à la neuvième année; le secteur francophone offrait des cours aux garçons de la première à la cinquième année et aux filles de la première à la sixième année. Elle fut occupée à partir de 1977 par le siège administratif de la Commission scolaire de l'Eau-Vive, maintenant disparu. Les élèves anglophones ont été transférés à l'école St. Francis of Assisi. École Gentilly École Gaétan-Boucher Voir École Saint-Jean-de-La-Lande. École Gentilly École primaire construite en 1973 au 1280, rue Beauharnois. École Georges-Étienne-Cartier École primaire construite en 1969, selon les plans de l'architecte Maurice Archambault. Son premier directeur fut Roland Héon. L'école relève de la Commission scolaire Marie-Victorin et est située au 3455, rue Soissons, dans le secteur de la paroisse de Saint-Robert. École Hazel-Cross Voir École Caroline École Hélène-de-Champlain Construite en 1949, au coût de 152 754 $, au 2115, rue Gamache, à l'angle de la rue Dubuc, dans le secteur de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. La direction relevait des sœurs de la congrégation de Notre-Dame-des-Missions. Vendue à la Commission scolaire régionale de Chambly en 1971, elle relève aujourd'hui de la Commission scolaire de l'Eau-Vive et se spécialise dans l'éducation d'adolescents de 13 à 17 ans qui présentent des problèmes de comportement. Elle offre de la formation de la 1ère à la 4e secondaire, à environ 64 élèves. École Heritage Regional High School École secondaire anglophone située au 7445, chemin de Chambly dans l'arrondissement de Saint-Hubert. En 2006, environ 1 780 élèves. La grandeur des espaces extérieurs permet de mettre l’accent sur le sport et de compter sur des terrains de soccer à surface synthétique. Au premier cycle secondaire, l’école offre le programme de l’Organi- sation du Baccalauréat International. Elle offre aussi un programme d’art dramatique. L’établissement relève de la Commission scolaire Riverside. À l’origine, la polyvalente, nommée Macdonald-Cartier, était destinée aux anglophones catholiques de toute la Rive-Sud; elle avait ouvert ses portes en 1968 et relevait de la Commission scolaire régionale de Chambly. Dans les années 1990, elle logeait les élèves francophones l’École d’éducation internationale. École Hubert-Perron Réunion des écoles Lambert-Closse, construite en 1949, et Élisabeth-Moyen, construite en 1951, autrefois administrativement et physiquement séparées. La nouvelle école primaire fut inaugurée le 26 avril 1974. Un incendie y causa environ 50 000 $ de dommages en 1987. Située au 1100, rue Beauregard. École Jacques-de-Sainte-Hélène. Voir École Saint-Charles. École Jacques-Ouellette École pour élèves handicapés visuels, de 4 à 21 ans. Elle résulte de la fusion, en 1975, des écoles Nazareth et LouisBraille. L'école, qui relevait de la Commission scolaire régionale de Chambly, changea de nom en 1986. Elle logea d'abord au 1255, rue Beauregard, dans le secteur de la paroisse de Saint-JeanVianney, puis déménagea, en décembre 1992, à l'ancienne école Louis-de-Frontenac au 1240, boulevard Nobert, qui dut être réaménagée au coût de 2,6 millions de dollars. Elle fut officiellement inaugurée par la ministre de l'Éducation, Lucienne Robillard, le 28 mai 1993. École Jubilee Elementary School École Jean-XXIII ou École des QuatreVents Construite en 1959 au 1940, boulevard Marie dans l'ancienne ville de Laflèche. Les Frères de l'Instruction chrétienne en assumaient l'enseignement. À l'origine on y enseignait de la première à la 11e année, mais dès 1963 l'école dispensa uniquement le cycle primaire. De 1973 à 1977, les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie y enseignèrent. En 1985, elle devint l’école Quatre-Vents. École Jean-de-Brébeuf École de 24 classes construite en 1956 par J.-R. Robillard, selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars, au 1863, rue Brébeuf. École Jean-de-Lalande École de 24 classes ouverte en 1956 sous le nom de Notre-Dame-de-Grâces. L'école fut construite au coût de 362 033 $, au 1711, rue Bourassa. École Jeanne-Dufresnoy Construite en 1950, à l'angle du boulevard Curé-Poirier et du chemin de Chambly, plus précisément rue Wolfe, dans le secteur de la paroisse de SaintPie-X, sous le nom d'école SaintCharles, section des filles. Les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie y enseignèrent de 1957 à 1959. Les anglophones y possédaient une section nommée St. Mary's où l'on enseignait aux enfants de la première à la septième année. La Ville de Longueuil acquit l'édifice en 1987 au coût de 575 000 $ et le rénova pour servir principalement au Service des loisirs. École Jeanne-Leber École construite au coût de 204 608 $, en 1951, au 1600, rue Bourassa, face à l'église actuelle de la paroisse NotreDame-de-Grâces. Elle fut bénie le 11 novembre 1952 et fut active jusqu'au mois de juin 1973. Ce sont les Filles de la Providence qui y enseignèrent. École Joseph-de-Sérigny École primaire de 14 classes, située au 1 000, chemin du Lac, dans le secteur de la paroisse de Saint-François-deSales. Elle fut construite selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars, par Désourdy Construction, au printemps de 1958, au coût de 220 570 $. À sa première année, 274 étudiants, formant onze classes, la fréquentaient. Elle regroupait, à la fin des années 1960, tous les étudiants du secteur anglophone. École Jubilee Elementary School Cette école de Greenfield Park (École internationale primaire de Greenfield Park) fut construite en 1957 au 776, Campbell (angle de la rue Taggart). Au milieu des années 1960, l’école était dirigée par Ulrich Russell, appuyé par Mme Weatley. On y comptait 16 classes de la maternelle à la septième année, soit deux classes par niveau. Parmi les professeurs de cette époque on note messieurs Caines, Ilieff, Murphy, Tutton, Rollins et mesdames Baugh, Belcher, Bishop, Brandeis, Brown, Cillis, Dayton, Erkkila, Gœrnet, Green, Gregory, Haris, Hinks, Hoyle, Le Touzel, McIntre, Malony, Moscovitch, Mould, Richards, Rollins, Russell, Smith, Stobrich, Stone. L’école est maintenant remplacée par l’École internationale primaire de Greenfield Park/The Greenfield Park Primary International School, ouverte depuis 1994. Elle profite de la proximité du parc Jubilee et relève maintenant de la Commission scolaire Marie-Victorin pour les élèves francophones, et de la Commis- École Kensington Elementary sion scolaire Riverside pour les élèves anglophones. La devise de l’école est « Je prends conscience et je m’engage. » L’école est membre de la Société des établissements du baccalauréat international du Québec (SEBIQ) et elle fait partie du réseau de l’Organisation du Baccalauréat International (OBI). L’OBI est un organisme sans but lucratif, établi en Suisse, qui offre un programme pour les élèves du primaire, du secondaire et du niveau collégial. École Kensington Elementary Cette école était située au 6905, boulevard Maricourt à Saint-Hubert. Cette école est devenue la Mosaïque. École Lajeunesse École primaire mixte fondée en 1959 dans la paroisse de Saint-Maxime, au 160, rue René-Philippe. L’école fut construite selon les plans de l’architecte Dufresne. La levée de la première pelletée de terre eut lieu le 3 juillet 1958. L’école servit aussi de locaux à la Commission scolaire catholique de Ville de LeMoyne. En 1970, l’école passa aux mains des laïcs et les directeurs en sont successivement Denis Dupont, Adrien Savoie, Paul Lagacé, Gilles Côté, Jean-Guy Talbot, Harold Sylvain et Rachel Lepage. Sœur Gertrude Monpetit enseigna à cette école jusqu’en 1984, et sœur Marie-Rose Desroches jusqu’en 1986. École La Mosaïque. Voir École Kensington. École Laurent-Benoît Elle ouvrit ses portes en 1973 au 5905, Laurent-Benoît, à proximité du secteur de la Cité-Soleil. Ce fut pendant une dizaine d’années une école à aires ouvertes. École Le Jardin Bienville Située au 8370, rue Gervais fut ouverte en 1982. École Le Moyne-d'Iberville École anglaise et protestante de niveau secondaire au 560, rue Le Moyne Ouest, à l'angle de la rue Montarville. Construite en 1951 au coût de 45 331 $, elle ne disposait à l'origine que de trois classes; mais en 1954 on y ajouta huit autres classes au coût de 194 000 $. Le 4 février 1955, les trois classes originales furent détruites par le feu, mais furent rapidement reconstruites. En janvier 1962, on inaugura une aile de quinze classes avec bibliothèque et cafétéria. École Les Petits Castors École primaire située au 1275, rue Papineau, dans le secteur de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Garde. Fondée en septembre 1976, cette école dite alternative accepte environ 80 enfants de la maternelle à la sixième année. École Lionel-Groulx École primaire ouverte en 1969 et qui relève de la Commission scolaire de Jacques-Cartier. Elle est située au 2725, rue Plessis, dans le secteur sud de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. École Little Red House École protestante et anglophone ouverte du début des années 1920 à 1948 sur Grande Allée dans Mackayville. Il n'y avait que deux classes. École Louis-de-Châteauguay. Voir École Saint-Ernest. École Maurice-L. Duplessis École Louis-de-Châteauguay. Voir École Saint-Jean-de-Lalande. École Louis-de-Frontenac École de 14 classes construite en 1963 au 1240, boulevard Nobert, dans le secteur de la paroisse de Saint-Jean-Vianney, par la compagnie Robert Rosa, selon les plans de l'architecte Normand Gagnon. L'école fut fermée en 1990. École MacDonald-Cartier High School Inaugurée en 1968, elle était située à l'emplacement actuel de la Heritage Regional High School, sur le chemin de Chambly. Elle cohabitait dans les années 1990 avec l'École d'éducation internationale. Elle était ainsi nommée en l'honneur des premiers ministres John A Macdonald et George-Étienne Cartier. École Mackayville Protestant School École construite au 3480, Mackay dans Mackayville. Ouverte au début de l’année 1950, en remplacement de la Little Red House, elle doubla sa superficie en 1954 et compta alors sept classes plutôt que quatre. C’était la Longueuil Protestant School Commission qui administrait cette école et les commissaires avaient arrêté leur choix sur les contracteurs Iddon & Corneil pour effectuer les travaux. Les coûts de construction s’élevèrent à 44 980 $ et le gouvernement provincial finança 60% du projet. Les plans et devis furent conçus par l’architecte Leslie Perry. La Mackayville Protestant School enseigna aussi aux élèves de la Municipalité de la paroisse Notre-Dame du Sacré-Cœur, aujourd'hui annexée à Brossard. En 1998, l'école devint De La Farandole. En 2001, la décision fut prise de fermer l'établissement. École Marie-de-Neuville Construite en 1950, au coût de 158 839 $ et comprenant douze classes, elle portait à l'origine le nom de la paroisse, Notre-Dame-de-la-Garde. Elle devint vacante en 1988 et fut attribuée, le 29 juin 1989, à la Commission scolaire de Greenfield Park qui la céda, le 6 septembre 1989, à la Commission scolaire St. Lawrence. L'école fut nommée La Sittelle et accueillit les protestants. École Marie-Victorin Construite en 1959 au coût de 225 000 $, selon les plans de René Richard. Ouverte en 1960 sous la direction de Raoul Blais puis de M. Giasson, Louis Bertrand, Laurent Ménard, Jules Gadbois, Albert Raymond et Hélène Côté. L'école est située au 2190, rue Limoges, dans le secteur de Fatima. École Maurice-L. Duplessis École de 14 classes construites en 1959 au 3225, rue Windsor, entre les rues Édouard et Cartier dans l'ancienne ville de Laflèche. Le nom est celui du premier ministre du Québec décédé en 1959. Les Frères du Sacré-Cœur en assumaient l'enseignement à son ouverture en 1960. L'école servit de 1960 à 1969 de local à la Commission scolaire catholique de Laflèche. À l’automne 1960, il y avait 14 classes comprenant 379 élèves. Cette école de garçons devint mixte à partir de 1969. C'est aujourd'hui une école primaire. Le Centre Notre-Dame de Toutes-Aides était sous la juridiction de l’école. On installa, au milieu des années 1960, des classes de maternelle, sous la direction des Sœurs Ursulines École Monseigneur-Forget ou Our Lady Queen of the World École Monseigneur-Forget ou Our Lady Queen of the World. École de 10 classes ouverte dans les années1950 au 1700, rue de Gaulle, dans Mackayville. Les sœurs Ursulines y enseignèrent à son ouverture. L'école devint rapidement anglophone et catholique et se nomma Our Lady Queen of the World. En 1958, il y avait 135 garçons et 156 filles. En 1959, l’école n’avait pas encore l’eau courante, comme ce fut le cas pour les autres écoles dans la première moitié des années 1950. Les Presentation Brothers y enseignèrent. Cependant, à la suite d’un conflit de travail en 1970, ils démissionnèrent. L’école prit, en 1980, le nom de Mgr-Forget et cessa d’être une école uniquement anglophone. C’était la moitié du personnel de l’école Quatre-Saisons qui déménagea dans ce bâtiment. Les francophones côtoyaient donc les anglophones, mais, en 1984, avec l’ouverture de l’école Terry Fox, l’école devint uniquement francophone. École Monseigneur-Parent École pour filles et garçons construite dans la paroisse de Notre-Dame-desSept-Douleurs en 1953. L’année suivante, elle comptait 335 élèves. En 1959, quatre sœurs Ursulines y enseignèrent alors que l’école comptait 173 garçons et 298 filles. À la fin des années 1950, et au début des années 1960, l’école servit de local pour célébrer la messe du dimanche puisque l’église de la paroisse Notre-Dame-des-Sept-Douleurs avait été détruite par le feu. En 1969, les Ursulines, qui demeuraient sur la rue Walnut, quittèrent Laflèche. École Monseigneur-Payette Fondée en 1953 par les Clercs de SaintViateur, dans la paroisse de Saint-Josaphat, par suite de l’expropriation d’un terrain sur la rue Saint-Georges. L’école fut construite par R. G. Hamelin, selon les plans de l’architecte Marc CinqMars. L’école coûta 208 930 $; elle comptait 9 classes pour garçons. La bénédiction, par Mgr Romain Boulé, eut lieu le 21 novembre 1954. Le nom de Mgr-Payette lui fut donné en hommage au fondateur de la paroisse. Le frère Gilles Mongenais en a été longtemps le directeur. Les Clercs de Saint-Viateur quittèrent la paroisse de Saint-Josaphat le 27 février 1963. En 1973, les élèves de l’école Sainte-Agnès déménagent tous dans l’école Mgr-Payette, qui prendra, en 1983, le nom de Sainte-Agnès. École Model School École protestante, également connue sous le nom de Longueuil High School, construite, en 1903, au coût de 18 700 $, et située à l'emplacement de l'actuelle Place Longueuil. D. M. Gilmour en fut le premier directeur. L'école fut achetée 25 000 $ en 1945 par le gouvernement fédéral qui possédait une base militaire à cet endroit. École Notre-Dame-de-Fatima Construite en 1951 au coût de 197 150 $, l'école accueillait les jeunes filles de la première à la neuvième année. Elle fut ensuite achetée par la Commission scolaire régionale de Chambly pour en faire un centre spécialisé pour mésadaptés socio-affectifs. L'école fut alors dénommée Le Déclic et passa de nouveau sous la responsabilité de la Commission scolaire de Jacques-Cartier, maintenant Marie-Victorin. Elle sert actuellement, en partie, de succursale à la bibliothèque municipale de Longueuil. L'école est située au 45, rue Hémond, dans le secteur de Fatima. École Pierre-d'Iberville École Notre-Dame-de-la-Garde École pour jeunes filles construite en 1962, sur le boulevard Sainte-Foy, à l'angle de la rue La Salle, dans le secteur de la paroisse de Notre-Dame-dela-Garde, au coût de 300 000 $, selon les plans des architectes Papineau, Gérin-Lajoie et Lalande. L'école fut fermée en 1994. École Notre-Dame-de-l'Assomption (ou Terry-Fox) École construite en 1951. Elle était située sur la rue Laurier, aujourd’hui Langevin. Les Frères du Sacré-Cœur en avaient la charge, sous la direction du frère Martin Jutras. En 1954, il y avait dans cette école 292 filles et 221 garçons. À l’hiver 1960, la communauté des Frères se déplaça à l’école Maurice-L.-Duplessis. En 1967, l’école ne comprenait que des enseignants laïcs. En 1984, l’école devint anglophone et porta le nom de Terry-Fox. Cette institution résultait de la fusion des écoles catholiques anglophones existantes à Saint-Hubert. Saint-Jean-Baptiste, dans le secteur de la paroisse de Saint-Georges, dans l'ancien Montréal-Sud. Il y avait une section pour les filles, une autre pour les garçons et une troisième, petite, pour les anglophones. L'école relevait de la Commission scolaire de Saint-JeanBaptiste de Montréal-Sud. Thérèse Lecours en fut la première directrice. De 1963 à 1972, l'école passa sous l'égide de la Commission scolaire de Longueuil. En 1972, l'édifice fut loué à la Commission scolaire Saint-Exupéry. Le 9 décembre 1975 la Commission scolaire régionale de Chambly en fit l'acquisition et la transforma en un centre spécialisé pour déficients moyens. L'école relève aujourd'hui de la Commission scolaire de l'Eau-Vive et reçoit environ une centaine d'élèves de 13 à 21 ans, provenant d'une vingtaine de municipalités de la Rive-Sud, répartis en dix classes. École Our Lady Queen of the World Voir école Monseigneur-Forget École participative l’Agora Elle est située au 482, Springfield, à l’emplacement de l’ancienne école Royal-George, à Greenfield Park. École Notre-Dame-de-Lourdes (ou Charles-Le Moyne) Elle ouvrit ses portes en 1958 au 2505, rue Coderre. Il s’y donna des cours de la première à la onzième année et une classe de maternelle s’ajouta en 1964. Le bâtiment servit pendant presque une décennie de siège social à la Commission scolaire Taillon. En 1972, l’école adopta le nom de Charles-Le Moyne. En 2007, l’école de niveau préscolaire et primaire offrait des cours à plus de 700 enfants. École Paul-de-Maricourt École primaire construite en 1957 par l'entrepreneur J.-L. Guay. Située au 1275, rue Papineau, dans le secteur de la paroisse de Notre-Dame-de-laGarde, elle partage aujourd'hui ses locaux avec Les Petits Castors. Les frères de l'Instruction chrétienne y enseignèrent jusqu'en 1973. École Notre-Dame-des-Écoles École élémentaire bâtie en 1958, au 695, rue Duvernay, en face de l'école École Pierre-d'Iberville Ouverte en 1961 au 897, rue Maple dans le Domaine Bellerive. École Pierre-Laporte L'école fut l'objet de travaux majeurs de rénovation en 1987. École Pierre-Laporte École de Greenfield Park de 18 classes, construite au 1005, du Centenaire, a été inaugurée le 15 octobre 1972 par Françoise Laporte, la veuve de l’ancien ministre libéral Pierre Laporte. À l’origine, l’école était à aires ouvertes. En 2006, l’école possédait une bibliothèque d’environ 3000 livres. Elle offrait aussi un service de garde. École Plein Soleil École primaire dite alternative. Ouverte par la Commission scolaire de JacquesCartier en septembre 1986, elle occupe des locaux à l'école Bourgeoys-Champagnat, au 2180, rue Brébeuf. École Presentation School Cette école de Greenfield Park (centre d’Éducation des adultes de 16-18 ans) de la rue Hubert, vint alléger, au printemps 1949, le poids énorme de la clientèle supportée par la première école Saint-Edmond. C’était cependant un très petit bâtiment puisqu’en 1959 on n’y logeait que 75 élèves de la 5e à la 9e année, dans seulement trois salles de cours. L’année précédente, il n’y avait que 53 élèves. L’école était sous la direction du Frère Vincent. École Royal-Charles Elementary Située au 5525, Maricourt dans l’arrondissement de Saint-Hubert. École Royal-George L’École Royal-George, de Greenfield Park, date du début des années 1910. Les premières classes pour les élèves protestants se tinrent en 1911 à l’église St. Paul, à l’angle des rues Victoria et James E. Davis. On enseigna également dans une maison privée. En 1913, certaines classes furent transférées sur la rue Springfield à l’emplacement de l’église baptiste. L’édifice actuel de l’école sur la rue Springfield n’a toutefois été construit qu’en 1914. La population atteignait alors près de 150 élèves. L’école fut nommée en l’honneur du roi George V. Dès 1915, une aile fut construite pour accueillir plus d’élèves. En 1916, un relevé fit état de la présence de 218 élèves protestants d’âge scolaire. L’école servit pour les réunions du conseil de la ville qui louait l’édifice. Dans la première moitié des années 1920, la population se rapprochait des 300 élèves. L’agrandissement de 1915 fut donc largement justifié. En 1953, l’école s’est vue ajouter quatre nouvelles classes aux huit préexistantes, et un auditorium-gymnase très moderne. En 1955, une autre extension porta le nombre à 18 classes. Un troisième agrandissement eut lieu en 1957. Dans la seconde moitié des années 1910, la clientèle scolaire se situait aux alentours de 160 élèves, mais dans des les années 1920, elle dépassa 270 inscriptions. École Royal-Oak Elementary Elle est située au 3555, Rocheleau. École Saint-Alcide. Voir Écoles de Saint-Hubert, arrondissement 2. École Saint-Antoine École élémentaire et secondaire de 17 classes, au coin de la rue Saint-Charles et du chemin de Chambly, dans le secteur de la paroisse de Saint-Antoine. Construite au coût de 363 000 $ par l'entrepreneur Marcel Rivest, selon les plans de Marc Cinq-Mars. L'école fut bénie le 30 octobre 1960 par Mgr Co- École Saint-Edmond derre. Vendue par la Commission scolaire Saint-Exupéry à la Commission scolaire régionale de Chambly en 1979, elle servit, depuis 1980, de local à la Maison de l'éducation des adultes. En 2007, elle fut remplacée par des condominiums. École Saint-Arsène ou du Bas-duFleuve. La première école portant ce nom remonte aussi loin qu'en 1845. Construite entre les rues Léo et de l'Église, sur l'actuel boulevard Marie-Victorin, dans le secteur de Fatima. Une nouvelle école fut construite en 1903 au coût de 1 275 $. École Saint-Charles Cette école fut construite en 1926, au coût de 10 000 $. Située sur le chemin de Chambly, à l'angle nord-est du boulevard Curé-Poirier, elle disposait d'un balcon au-dessus de l'entrée principale. Un moulin à vent fut même installé sur son toit pour y pomper l'eau. Avant la construction de l'église SaintCharles-Borromée, en 1942, les gens assistaient à la messe dans cet édifice. De 1931 à 1957, la direction de cette école pour filles fut confiée aux sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. En 1957, les garçons remplacèrent les filles, puis au milieu des années 1960, l'édifice devint un centre administratif. Le bâtiment fut détruit en 1974 pour permettre l'agrandissement du boulevard Curé-Poirier. École Saint-Edmond Les débuts de cette école de Greenfield Park datent du milieu des années 1910. Après avoir séjourné, de 1914 à 1916, dans un local loué sur la rue Murray, une première école catholique fut construite, en 1916, à l’extrémité de la rue Hubert, du côté ouest d’un ruisseau. Il n’y avait qu’une seule classe et l’étage supérieur était réservé aux services religieux. En 1935, deux institutrices, Winifred Curran et Hellen Duffy, se partageaient la tâche. On avait en effet divisé la classe en deux : celle des petits (1re à 3e) et celle des grands (4e à 7e). En 1936, on obtint l’eau courante. Pour l’année scolaire 1937-1938, on confia l’enseignement aux sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. En 1939, on ouvrit une salle supplémentaire à l’étage supérieur. En 1945, l’inspecteur, M. Lefrançois, recommanda de dispenser l’enseignement en français et d’offrir des locaux neufs aux francophones. Son successeur, Arsène Brillon, fit la même recommandation en exigeant que la mesure soit opérationnelle dès 1947, ce qui fut fait. M. Brillon considérait que l’enseignement bilingue nuisait aux performances académiques des francophones. La clientèle se chiffrait alors à 27 francophones et 43 anglophones. En 1949, la population étudiante était constituée de 34 francophones et 38 anglophones. Au mois de septembre 1949, on engagea Marie-Paule Mercille et Mlle Laramée comme institutrices temporaires, mais dès octobre elles furent remplacées par Lorraine Bandjus et Denise Liboiron. Pauline Moffat fut ensuite engagée en février 1950. On comptait alors 64 francophones et 64 anglophones. Sœur Georges-Adélard et sœur Martha du Sacré-Cœur complétèrent la brochette d’enseignantes. En 1951, on dénombrait 82 anglophones et 78 francophones. Les classes étant surchargées, des élèves furent transférés dans d’autres villes. L’entente avec les Sœurs des Saints Noms de École Saint-Ernest ou du Coteau rouge Jésus et de Marie se termina au début de l’automne 1953. La Commission scolaire fit appel à quatre sœurs de la communauté des Filles du Saint-Esprit. Une nouvelle école Saint-Edmond fut construite en 1952 et fut bénie le 19 décembre 1954. Elle était située au 346, rue Hubert. Le terrain mesurait 61 mètres en profondeur par 152 en largeur. En 1959, elle comptait 218 inscriptions de la maternelle à la 9e année. En 1996, la clientèle étudiante était passée à 616 étudiants, dont 420 du niveau secondaire. En 2006, cette école secondaire offrait une formation d’éducation internationale. L’École possède une bibliothèque, une cafétéria, des gymnases, un local d’arts plastiques, des laboratoires de sciences et d’informatique, un salon étudiant et une salle récréative. École Saint-Ernest ou du Coteau rouge Cette école de quatre classes fut construite en 1942. Elle était située au 1331, rue Sainte-Hélène, à l'angle du chemin du Coteau rouge, aujourd'hui le boulevard Sainte-Foy, dans le secteur de la paroisse Notre-Dame-de-laGarde. Ce sont les frères de l'Instruction chrétienne qui la prirent en charge. En 1957, l'école accueillit les anglophones de confession catholique, puis en 1962, elle adopta le nom de Louisde-Châteauguay. Les sœurs de la communauté Notre-Dame-du-Bon-Conseil y enseignèrent les « arts familiaux ». École (ou Académie) Saint-Georges Construite à l'automne de 1913 par Guertin et Bouchard, selon les plans d'Alfred Préfontaine, l'école de 16 classes pour jeunes filles fut administrée par les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. Suite à une demande du Club ouvrier de Longueuil, on y implanta une école du soir en 1920; mais elle dut mettre un terme à ses activités, faute d'inscriptions. En 1922, la classe anglaise fut transférée à la nouvelle école Sainte-Rose. En 1950, l'école fut agrandie au coût de 150 200 $ par la firme L.-P. Thériault, selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars, et sa construction fut terminée le 4 avril 1952. En 1962, une annexe, baptisée école Saint-Antoine y fut ajoutée, et c'est à ce moment que l'école Saint-Georges changea de nom pour celui de Saint-Antoine. Aujourd'hui, des condominiums ont pris la relève. École Saint-Isidore C'est au 3055, chemin de Chambly, entre les boulevards Des Ormeaux et Roberval, dans le secteur sud de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus, que fut construite en 1904, au coût de 1 547 $, cette école, en remplacement de la précédente, construite en 1856, vendue aux enchères. La particularité de ce genre d'école, où l'on enseignait aux enfants du cours primaire dans une même salle, consistait à permettre à l'institutrice de résider en permanence dans l'édifice, à certaines conditions. La Commission scolaire ne chargeait aucun loyer et défrayait même les coûts d'éclairage et de chauffage. En contrepartie, l'institutrice devait entretenir adéquatement la résidence. À la fin des années 1950, l'école reçut une partie du surplus des élèves de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. De 1964 à 1966, elle ne reçut que des classes de maternelle, puis l'édifice fut démoli. École Saint-Jean-Baptiste Une première école fut construite à Montréal-Sud par Denis Larivée, au coût de 3 200 $, sur la rue Victoria, aujourd'hui Saint-Laurent, en 1903, selon les plans de l'architecte Perrault. Il fallut cependant construire un bâtiment de bois à côté de l'école pour y loger les toilettes. Les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie en prirent la direction à partir de 1907. Elle servit d'église catholique et possédait d'ailleurs un clocher, dont la cloche fut donnée par Antoine Racicot. L'école fut bénie le 25 octobre 1903. Les frères de l'Instruction chrétienne remplacèrent, en 1948, les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie qui allèrent enseigner à la nouvelle école Jean-Lequin. Dès l'année suivante, ils durent se résoudre à enseigner temporairement à l'école Jean-Lequin puis, en 1950, dans les baraques de l'armée, à l'emplacement actuel de la Place Longueuil, qui logèrent alors dix classes dont deux anglaises. L'école fut démolie au mois d'avril 1958. Une nouvelle école Saint-Jean-Baptiste, de 17 classes, fut construite en 1954, au coût d'environ 400 000 $, au 700, rue Duvernay, autrefois Hindland, à l'angle du boulevard Desaulniers, dans le secteur de la paroisse de Saint-Georges, qui accueillit alors 440 élèves. L'école fut agrandie en 1961 d'après les plans des architectes Larose et Larose, au coût de 316 000 $. En 1963, un gymnase conçu par Rodolphe Lajoie y fut ajouté. Les frères de l'Instruction chrétienne y dispensèrent l'enseignement jusqu'en 1969, alors qu'ils déménagèrent à l'école secondaire Gérard-Filion. L'école devint alors un centre d'adaptation scolaire; puis la Commission scolaire régionale de Chambly l'acheta en 1976, et en fit une école pour les élèves de 1re et 2e années du cours secondaire à partir de École Saint-Jean-Eudes ou Sacré-Cœur) 1980-1981. L'école subit des transformations majeures en 1994 avec la construction de laboratoires de sciences, d'un nouveau gymnase et d'une bibliothèque. Elle accueillit alors des élèves de tous les degrés du cours secondaire, sous la responsabilité de la Commission scolaire de l'Eau-Vive. L'École secondaire Saint-Jean-Baptiste accueille aujourd'hui environ 576 élèves de la 1re à la 5e secondaire provenant de Longueuil et de Saint-Lambert. École Saint-Jean-de-La-Lande (ou Louis-de-Châteaugay ou GaétanBoucher) Fondée en 1947, cette école de deux classes était située au 4850, boulevard Wesley. Ce sont les sœurs de la Congrégation de Saint-Joseph qui y enseignèrent jusqu'en 1972, année où cette école devint Louis-de-Châteauguay. En 1984, l’école changea de nom pour celui de Gaétan-Boucher qui venait de se distinguer aux Jeux olympiques d'hiver de Sarajevo. École Saint-Jean-Eudes (ou SacréCœur) Ouverte en 1921, l'école située au 860, Marie ne comptait que quatre classes. Elle était située dans Mackayville. De 1921 à 1925, l'école porta le nom de Sacré-Cœur et servit aussi de chapelle. En 1927, on y ajouta un étage. L'école, mixte au départ, devint, en 1951, une institution réservée aux filles; les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie y enseignèrent depuis 1922. L'école ferma ses portes en 1957 et le bâtiment servit au Centre hospitalier Régina, aujourd'hui le Centre d'hébergement et de soins de longue durée Montérégie. École Saint-Jean-Vianney École Saint-Jean-Vianney Nom de la première école de la paroisse de Saint-Jean-Vianney, en 1946. Elle était logée à l'étage supérieur de l'église. On construisit en 1949, sur la rue Beauregard, à l'angle de la rue Préfontaine, une école de 12 classes au coût de 158 846 $ qui porta ce nom, pour ensuite être nommée LambertClosse. Les garçons étaient regroupés en six classes, à l'étage, et les filles en six classes, au rez-de-chaussée. Elle fusionna avec sa voisine, l'école Élisabeth-Moyen, pour devenir l'école Hubert-Perron. École Saint-Josaphat (école no 6) Construite en 1915 par Cléophas Côté, à l’angle des rues Saint-Alexandre et Saint-François, sur le lot 247-2-1, elle servit jusqu’en 1929, alors que la Commission scolaire de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil la décréta inadéquate pour l’enseignement. Les premières institutrices y furent R. Roberge, Marguerite Groulx et Bernadette Fontaine. Cette école servit aussi de domicile aux sœurs. Ce n’est qu’en 1919 que la commission scolaire autorise le changement de nom d’école du Petit-Bois pour celui d’école SaintJosaphat. Le bâtiment fut vendu, en 1941, à Louis-Stanislas Beaudry pour la somme de 575 $. Un nouvel immeuble, le couvent, fut construit sur la rue SaintAlexandre sur les lots 250, 251, 252, 249-7, et 249-8. Ces terrains appartenaient à la veuve de Joseph Charron, à Alexandre Lamarre et à Alexandre Dumoulin. La nouvelle école servit aussi de domicile aux sœurs. Elle ouvrit ses portes le 30 avril 1929. En 1949, elle comptait 158 élèves et, en 1951, 181. Elle devint, en 1956, l’école SainteAgnès. École Saint-Joseph École pour garçons située au 3855, boulevard Grande-Allée, au coin de la rue Pine, qui fut ouverte au mois de septembre 1964. Les enseignants étaient tous laïcs. École Saint-Joseph (ou D’Iberville). Elle fut construite en 1955 au 5035, Redmond dans le secteur de Croydon. Cette école pour les filles passa sous la direction des sœurs de Saint-Joseph. En 1969, on agrandit l’école et on lui donna le nom d’école d’Iberville. En 1984, on y annexa l’école Jean-XXIII que l’on baptisa le pavillon Deslandes. École Saint-Jude (Nyctale) Construite dans le secteur de la paroisse de Saint-Jude, en 1958, au coût de 180 000 $, par l'entrepreneur Robert Rosa, elle disposait de seize classes. Elle porta plus tard le nom de La Nyctale, alors que la nouvelle école SaintJude était située au 653, rue Préfontaine et répondait aux besoins des élèves déficients auditifs soit environ 200 élèves. L'école de la Nyctale était située au 1450, rue de Wagram. Elle offrait des cours du préscolaire à la 6e année à environ 250 élèves. École Saint-Jude (Greenfield Park). Construite en 1962 au 781, Miller, Greenfield Park, offre actuellement un programme d’immersion en français et en anglais qui favorise le bilinguisme en bas âge. On y trouve une garderie et un gymnase. L’école met l’accent sur la musique et la littérature tout en ne négligeant pas la science et les technologies. Elle est située à proximité du parc Saint-Jude. École Saint-Pie X École (ou couvent) Saint-Maxime no 7 ou couvent Sainte-Madeleine École fondée au mois de septembre 1918 dans le secteur de Saint-Maxime, à LeMoyne. Déjà, en 1911, Élie Charron avait construit une école qu’il louait à la commission scolaire 100 $ par année pour le rez-de-chaussée, et 60 $ par année pour l’étage. En 1914, il loua toute la maison pour 300 $ par année. Ce sont les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie qui prirent en charge l’enseignement dans cette institution, sous la direction de sœur Marie-Célinie. Chaque sœur gagnait alors 300 $ par année. À la suite de l’incendie de l’église SaintMaxime, en 1941, l’école servit de lieu de culte jusqu’en 1945. En 1949, l’école comptait 195 élèves, et en 1951, 223. Les sœurs quittèrent le couvent en 1972. L’école Sainte-Madeleine devint alors une école secondaire. Marie-Rose Desroches est la dernière religieuse à y avoir enseigné en 1986. Voir aussi École Sainte-Madeleine. École Saint-Maximilien École fondée en 1934 par les Clercs de Saint-Viateur, dans la paroisse de SaintMaxime, à LeMoyne. Cette institution était ouverte aux garçons de SaintMaxime, de Saint-Josaphat et de Mackayville (Laflèche). En 1944, l’inspecteur d’école, J. A. Lefrançois, écrit dans son rapport qu’il « s’y donne une bonne éducation vraiment canadienne...» En 1947, cependant, l’inspecteur A. Brillon fait un rapport où il s’exprime ainsi : « Le problème du manque d’espace doit être résolu incessamment, à l’école St-Maximilien, côté des filles où la première année est partagée en deux groupes qui doivent suivre le cours. Un groupe fréquente l’avant-midi, et l’autre l’après-midi. De ce fait, bon nombre d’élèves ne réussissent pas à voir tout le programme et devront doubler l’an prochain. Chez les garçons, une classe se tient dans un vestiaire. La situation ne pourra qu’empirer l’an prochain. J’ai bien hâte de voir votre projet de construction se réaliser...». En 1949, une nouvelle école fut construite et porta le nom d’Académie du Sacré-Cœur. L’école Saint-Maximilien fut détruite en 1963. École Saint-Pie X Déjà, lors d'une assemblée des commissaires d'école, le 30 avril 1957, le nom de l'école Saint-Pie X était approuvé et il ne restait qu'à entreprendre la construction de cette école pour filles, ce qui fut fait à l'été de 1958. Située au 388, rue Lamarre, cette école était bientôt intégrée au concept du parc-école Carillon, une entreprise conjointe de l'OTJ, de la commission scolaire de Jacques-Cartier et des autorités municipales. Ce parc-école devait en effet comprendre tout le quadrilatère formé des rues Lavallée, Lamarre, Laurier et Rougemont. Ce projet représentait une première à ville de Jacques-Cartier. L'école Saint-Pie X, sur la rue Lamarre près de la rue Lavallée, était en construction, en juillet 1958, quand parut, dans le Courrier du Sud, une photographie de A. A. MacNair montrant les plans de ce fabuleux projet. Cependant en septembre 1958, l'école n'était toujours pas prête à recevoir les jeunes filles et celles-ci durent fréquenter l'école Jeanne-Dufresnoy, l'ancienne école Saint-Charles pour filles, sise sur la rue Wolfe, jusqu'au tout début de l'année 1959. En janvier de cette année, les École Saint-Pierre-Apôtre jeunes filles qui devaient fréquenter la nouvelle école Saint-Pie X firent leur entrée dans le nouvel immeuble du 388, rue Lamarre. C'étaient les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie qui enseignaient à cette nouvelle école comme elles le faisaient à Jeanne-Dufresnoy. La nouvelle école fut bénie par Mgr Gérard-Marie Coderre le 28 juin 1959. Les religieuses enseignèrent à Saint-Pie X jusqu'en 1972. C'est le 20 avril 1977 que l'immeuble fut acheté pour y accueillir le CLSC de LongueuilEst, mais l'inauguration officielle du CLSC ne se fit que le 25 mai 1979. C'est cette nouvelle vocation de l'école SaintPie X qui perdure. École Saint-Pierre-Apôtre École élémentaire de la paroisse de Saint-Pierre-Apôtre située sur la rue Saint-Jacques, construite en 1951 au coût de 177 700 $ par Patrick Baillargeon selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars. Elle fut vendue, en 1980, et est occupée actuellement par la Maison Le Réveil. École Saint-Romain Construite en 1958, au coût de 268 236 $, elle comprenait sept classes, incluant la classe de l'école Saint-Vincent. L'école, située au 1995, rue Bédard, dans la paroisse de Saint-François-deSales, fut ouverte en 1960. Elle fut endommagée par un incendie le 29 septembre 1981. École Saint-Thomas Voir écoles de Saint-Hubert, arrondissement 7. École Saint-Viateur Voir écoles de Saint-Hubert, arrondissement 6. École Saint-Vincent Construite en 1899 et située, à l'époque, au 2315, chemin De Gentilly, aujourd'hui le boulevard Roland-Therrien, dans le secteur de la paroisse de Saint-François-de-Sales. Elle contenait une seule classe à degrés multiples et était habitée par l'enseignante. L'édifice fut détruit vers 1960. École Sainte-Agnès En 1928, l'école, appelée école SaintJosaphat, au coin de Saint-Alexandre, aujourd’hui de l’Église, et Saint-François, devint trop petite. La commission scolaire de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil décida de construire une nouvelle école de quatre classes. Puis on construisit une annexe, en 1956, qui porta le nom d’école Sainte-Agnès, à la mémoire de sœur Marie-Agnès. Les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie quittèrent le couvent SainteAgnès le 30 juin 1977. Les élèves déménagèrent, en 1973, dans l’école Mgr-Payette, sur la rue Saint-Georges; l’école prit le nom de Sainte-Agnès en 1983. Plus tard, les enfants de Saint-Josaphat fréquentaient encore cette école primaire avant de passer à l’école secondaire Monseigneur-Parent, à SaintHubert. L’ancienne école Sainte-Agnès, rue de l’Église, fut transformée en une coopérative d'habitation. École Sainte-Claire École catholique à l'origine bilingue de seize classes, au 805, rue Gardenville, construite, en 1963, au coût de 412 885 $, selon les plans de l'architecte Gilles Larose. Elle dispensait des cours du préscolaire à la 6e année à environ 270 élèves. École Saint-Pierre-Apôtre École Sainte-Louise-de-Marillac École élémentaire de la paroisse de Sainte-Louise-de-Marillac, au 902 Gardenville, au sud de la rue Perreault, ouverte au mois de septembre 1960. Elle fut construite par la compagnie Lecaut, selon les plans de l'architecte Lajoie. Elle comprenait une section pour les garçons, avec un gymnase, et une autre aile, au sud, pour les filles avec un autre gymnase. Détruite par un incendie en 1973, elle ne fut pas reconstruite. Elle fut démolie en 1975 et on y a aménagé le parc Gardenville. La Ville de Longueuil est propriétaire du terrain. École Sainte-Madeleine En 1956, l’école Saint-Maxime prend le nom de Sainte-Madeleine, à la mémoire de sœur Marie-Madeleine, compagne de sœur Marie-Rose, fondatrice du couvent de Longueuil et de la communauté des sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. En 1972, le Collège Français loua l’école. Le personnel déménagea alors à l’école du Sacré-Cœur. L’école Sainte-Madeleine a été démolie au mois de novembre 1979 après 61 ans d’existence. C’est sur ce terrain que se trouve aujourd’hui la maison André-Charpentier. Voir aussi École Saint-Maxime. École Sainte-Marie Construite en 1885 par Joseph Aubertin. Elle était située au 1222, chemin du Coteau rouge, le boulevard Sainte-Foy, dans le secteur de la paroisse de NotreDame-de-la-Garde. En 1904, on y ajouta un vestibule et on modifia le second étage pour y loger l'institutrice. D'une seule classe, elle en avait deux lorsque les anglophones ont commencé à la fréquenter en 1954. Elle fut démolie en 1965. École Sainte-Rose École élémentaire sur la rue Labonté, dans le secteur de la paroisse de SaintAntoine, ouverte en 1922. Il y eut, dès la première année, une classe réservée aux anglophones; en 1956, il y avait trois classes anglaises. La clientèle anglaise fut déménagée, en 1958, à l'école François-de-Bienville. La première version de l'école ne contenait qu'un seul étage qui s'avéra rapidement insuffisant. Un second étage, comprenant quatre classes supplémentaires, fut donc construit en 1923. Ce sont les sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie qui avaient la charge de l'enseignement. En 1946, une annexe fut construite par Gaspard Archambault au coût de 103 137 $, selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars; l'école fut bénie par Mgr Anastase Forget en 1949. L'école comptait 438 élèves en 1952. En 1958, elle offrait des cours aux garçons, de la première à la cinquième année inclusivement, et aux filles, de la première à la neuvième année inclusivement. L'école fut fermée et vendue à la Ville de Longueuil en 1975, démolie en 1976 et remplacée par un centre d'accueil pour personnes âgées, la Maison SainteRose, construit selon les plans de l'architecte Roméo J. Desjardins et inauguré le 9 juin 1980. École Samuel-de-Champlain École primaire de 24 classes située au 2101, rue Lavallée, dans le secteur de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus. Construite au printemps 1958, au coût de 250 000 $, elle put accueillir 457 étudiants en 1960. École secondaire André-Laurendeau École secondaire francophone inaugurée en 1969 et située au 7450, boule- École secondaire Gérard-Filion vard Cousineau. À son ouverture, elle comptait plus de 3 000 élèves. En 2007, elle en comptait environ 2 500. École secondaire Gérard-Filion École jumelée de 48 classes construite en 1963 par l'entreprise Désourdy, selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars et sous la supervision des ingénieurs Barré, Pellerin et Poirier. Une section, dirigée par Louise Simard, était réservée aux filles, et l'autre, dirigée par Robert Belle-Isle, aux garçons. L'inauguration officielle eut lieu le 19 janvier 1964. La direction générale de l'établissement avait été, en premier lieu, confiée à Bernard Jasmin. Rapidement, les locaux devinrent insuffisants pour les 1 400 élèves des 10e et 11e années. La concentration étudiante dans ce secteur augmenta davantage avec l'ouverture de la South Shore Catholic High School, à proximité. Il fallut donc faire l'achat de locaux préfabriqués pour les recevoir. En 1965, les étudiants fondèrent leur association. De nouveaux pavillons s'ajoutèrent d'une année à l'autre. Elle devint la première polyvalente du Québec et fut inaugurée comme telle en 1968, intégrant la première année du cours secondaire en 1970. En 1978, l'Amicale des Anciens fut fondée. L'école, située au 1330, boulevard Curé-Poirier Ouest. École secondaire Jacques-Rousseau Construite en 1974 selon les plans de l'architecte Marc Cinq-Mars, par B.G.L Construction, sous la supervision des ingénieurs Claude Lanthier et Jean Saïa au coût de 6 122 000 $. Normand Lapointe fut son premier directeur. Elle innovait par ses aires ouvertes. On procéda cependant au cloisonnement de ces aires en 1990 et l'école inaugura ses nouveaux locaux le 12 février 1991, tout en dévoilant un nouveau logo conçu par Robert Béliveau, alors enseignant à cette école. L'école relève de la Commission scolaire Marie-Victorin et est située au 444, rue De Gentilly Est. École secondaire Monseigneur-A.-M.Parent Elle fut ouverte en 1971 au 3875, rue Grande-Allée dans l'arrondissement de Saint-Hubert. Elle accueillait, en 2006, plus de 2 000 élèves. Elle offre notamment un programme de musique-études et un programme multisports. École secondaire Notre-Dame-desMissions Construite en 1954 sur la rue Dubuc, au coin de la rue Gamache, dans le secteur de la paroisse du Sacré-Cœur-deJésus. Le couvent fut agrandi en 1963, selon les plans de l'architecte Gilles Larose, par la firme de Jacques Bouchard, sous la supervision de l'ingénieur conseil Guérette. Ce sont les sœurs de la communauté de Notre-Dame-desMissions, fondée à Lyon en 1861, établie au Canada en 1898, et à Jacques-Cartier en 1948, qui furent les responsables de l'enseignement. En 1973, l'école changea de nom pour l'Escale et se spécialisa en réadaptation des enfants souffrant de problèmes affectifs. École secondaire Pierre-Dupuy École de formation professionnelle, située au 1150, chemin Du Tremblay, dans le secteur de la paroisse de SaintFrançois-de-Sales, ainsi nommée en l'honneur de Pierre Dupuy, commissaire général de l'Expo '67. Elle porta, jusqu'en 1970, le nom d'École des mé- ÉCRÉMENT tiers de Jacques-Cartier. Construite en 1965 au coût de 1 774 456 $, l'école, dirigée par Yves Lanouette, fut inaugurée au mois d'avril 1967. On y ajouta, à partir du 25 octobre 1993, un nouveau pavillon d'une capacité de 440 étudiants, au coût de 14 millions de dollars. Cet ajout fut réalisé par Construction Château St-Marc, selon les plans de Consortium Rive-Sud. École secondaire Saint-Jean-Baptiste. Voir École Saint-Jean-Baptiste. École Springfield Park Petite école temporaire ouverte en 1915 pour accueillir une douzaine d'élèves anglophones et protestants. École St Mark Petite école protestante originalement construite en 1876, au coût de 961 $. Elle était située entre la rue Saint-Jean et l'église St. Mark. Elle aurait été remplacée en 1889 par une autre école, elle-même détruite au mois d'octobre 1935. École St Mary's Elementary Première école anglophone de la Cité de Jacques-Cartier, fondée en 1959. Elle déménagea à maintes reprises, notamment à l'école Jeanne-Dufresnoy, pour finalement s'établir, en 1979, dans le même bâtiment et sous le même nom que l'école Jean-de-Brébeuf. En 1987, elle retrouva son nom original de St. Mary's. École Terry-Fox Voir école Notre-Dame-de-l'Assomption. École Tournesol École à aires ouvertes inaugurée le 27 septembre 1975, et située au 2515, rue de Boulogne, dans le secteur sud de la paroisse de Saint-Vincent-de-Paul. Elle devint la première école, en 1991, à signer une entente de partenariat avec l'Université du Québec à Montréal, pour la formation de maîtres de l'école primaire. École Vincent-Massey École protestante et anglophone offrant le cycle primaire dans Laflèche. Ouverture officielle le 30 octobre 1959 au 1640, Walnut. On ferma l'école en 2005 et, en 2007, le bâtiment fut démoli. École William White School École anglo-protestante construite en 1927 au 1212, rue de Wagram, à l'angle sud-ouest de la rue Mercier, à MontréalSud, au coût d'un peu plus de 12 000 $. En 1948, sa superficie fut doublée au coût de 60 777 $. L'école logeait au 770, rue Mercier. Écrément, J.-Anatole (1876-1950) Premier curé de la paroisse de SaintMaxime en 1918. Il demeura en poste jusqu’à sa démission, pour des raisons de santé, en 1940. Il fut ordonné prêtre en 1901. Il enseigna au Collège de L’Assomption, de 1901 à 1904, puis fut vicaire de la paroisse de Saint-Antoine, à Longueuil, de 1905 à 1918. Fils de Joseph-Arthur Écrément, notaire, et d’Athala Piché. ÉDELINE Édeline, Charles (1641-1711) Maître cordonnier et premier bedeau de la paroisse de Saint-Antoine. Concessionnaire, en 1675, d'une terre de 2 arpents de front par 20 de profondeur, à l'est du chemin de Chambly. Il était cependant déjà présent à Longueuil depuis au moins 1670, et avait acheté une terre de Thomas Chertren (Chartrand) en 1673. Fils de David Edeline et de Noëlle Lambert. Époux de Jeanne Braconnier (1675) de qui il eût 12 enfants. Son fils Charles fut d'ailleurs baptisé dans le manoir du seigneur Charles Le Moyne, en 1678. Église Adventiste du 7e jour Située au 7350, chemin de Chambly, dans l'arrondissement de Saint-Hubert. Église anglicane St. Paul Comme pour toute paroisse qui se met en branle, les premiers moments de la paroisse anglicane de Saint-Paul furent modestes. Les premières célébrations religieuses eurent lieu sous une tente en 1909. Puis la première église fut construite en 1910 sur La Pinière (Devonshire-Victoria), à l’angle de la 3e rue, aujourd’hui la rue James E. Davis. L’église actuelle loge au 321 Empire. Le révérend William J. Dart contribua à créer, en 1910, la mission anglicane Saint-Paul; il était alors le recteur de la paroisse St. Barnabas à Saint-Lambert. Les premiers officiants étaient des étudiants en théologie. En 1918, Henry Alford Naylor prit en charge la mission. En 1919, Anthony Vyvian Grant prit la relève. Il avait été prêtre à la cathédrale St. John the Baptist au Belize. Il avait également fait un séjour au diocèse de Calgary. Elber Eva Findlay fut responsable de la mission entre 1922 et 1926. Henry Naylor revint dans la mission brièvement en 1926. De 1927 à 1931, Malcom Lidstone prit en charge l’église St. Paul. De 1932 à 1941, H. K. Ashdown fut le premier à faire une décennie dans la paroisse. Il fut remplacé en 1941 par A. L. Baldwin, puis entre 1942 et 1944 par W. Noseworthy. John Dove, assura une nouvelle stabilité dans la paroisse en étant en poste entre 1944 et 1956.Walter Alfred Bockus a dirigé la paroisse entre 1956 et 1965 après quoi il démissionna; il fut transféré au diocèse de Fredericton. T. D. Rowe le remplaça de 1965 à 1968. David A. Conliffe officia à l’église St. Paul entre 1968 et 1977 alors que le poste devint vacant. En 1978, le révérend Prendergast devint le recteur de St. Paul. Il le demeura jusqu’en 1992, devenant ainsi celui qui conserva ce poste le plus longtemps à Greenfield Park. En 1992, Peter Blunt prit la relève jusqu’en 2002 alors que Linda Faith Chalk devint responsable de la paroisse comme titulaire. Église baptiste ou South Shore International Baptist Church. Située au 598, rue Bellevue à Greenfield Park. L’église actuelle a été construite en 1965 par Projets Frontenac, selon les plans de l’architecte Bernard Motola. Église Évangélique Pain de vie gélique de Longueuil. Elle occupa un nouvel édifice, au 839, rue La Salle, au mois de décembre 1992. Fondation du patrimoine religieux du Québec; 2003. En 1989, le bâtiment en pierres et aluminium a été agrandi par Michel SaintAmand. La partie originale sert de salle communautaire. Église Baptiste centrale de la RiveSud Située au 4405, Aurèle. Église baptiste évangélique de Longueuil Les baptistes s'installèrent à Longueuil, en 1855, à l'angle nord-ouest des rues Grant et Sainte-Élizabeth. Ils se désignaient sous l'appellation La Société évangélique de la Grande-Ligne et leurs membres étaient francophones. L'édifice servit à la fois d'école pour jeunes filles et de chapelle. Ils étaient arrivés à Longueuil à la suite de l'incendie, l'année précédente, de leur bâtiment à Saint-Pie. En 1876, ils quittèrent les lieux et le bâtiment devint le Foyer Saint-Antoine. Il fallut attendre presque un siècle avant que les membres de cette église, nommée alors l'Église baptiste évangélique du Sud, ne tinrent une réunion de fondation, le 10 décembre 1961, dans le Canadian Legion Hall, sur la rue Mercier. Le 20 mai 1962, ils achetèrent la propriété du 785, boulevard La Fayette, et y construisirent une nouvelle église, au mois d'octobre 1967. En 1990, la communauté modifia son nom en devenant l'Église baptiste évan- Pasteurs de 1961 à 1995 1961-1977 Élisée Beau 1977-1987 Claude Laverdière 1987-1994 Richard Houle 1994-1995 Ernest Keefe, intérimaire 1995- Claude Beaulieu Église Baptiste Évangélique de SaintHubert Située au 5680, chemin de Chambly. Église Béthanie de Longueuil Église évangélique de la Pentecôte construite par la firme Blanchette et Amiot en 1946, au 1783, rue Sainte-Hélène. Elle portait alors le nom de Chapelle Béthanie, mais en 1968, son nom fut modifié. Pasteurs de 1947 à 1994 1947-1949 Roger Daignault 1949-1954 Lucien Chouinard 1954-1994 Robert Le Brasseur 1994- Vito Sciacca Église Biblique Baptiste Métropolitaine. Fondée en 1982. Située au 3395, Mountainview. Église Calvin United Church. Cette église était située au 4405, Aurèle dans l'arrondissement de Saint-Hubert. Le bâtiment a par la suite été acquis par l’Église Baptiste centrale de la RiveSud. Église évangélique de Saint-Hubert. Située au 4235, rue Domville. Église Évangélique Pain de vie Située au 7125, boulevard Maricourt dans l'arrondissement de Saint-Hubert. Église Gardenville United Church Église Gardenville United Church Le 10 novembre 1905, le comité directeur de la South Shore Presbyterian Mission composé de messieurs Porteous, Ferris, McPhee et Jarvis se réunirent chez G. W. Murray pour discuter de la construction d'une église. Andrew Hardie donna le terrain et une somme de 3 000 $ pour mener à terme ce projet. La pierre angulaire de l'église, située au 250, rue Gardenville, fut installée le 30 juin 1906 et l'office inaugural de la nouvelle église fut célébré le 16 septembre 1906. L'église fut d'abord prise en charge par un étudiant en théologie, M. Campbell, en 1906-1907. Les ministres de la Gardenville Avenue Presbyterian Church furent: 1908-1910 C. E. Cameron 1910-1912 Thomas Harrison 1912-1918 G. R. Allan 1918-1919 H. N. Morgan 1919-1922 E. J. Rattlee 1922-1925 J. Hamilton 1925 P. Tanner En 1925, l'église joignit les rangs de la United Church et devint la Gardenville Avenue United Church. Église Méthodiste (de la rue SaintCharles). Les membres de cette religion s'installèrent, en 1882, à Longueuil. Il construisirent une chapelle de bois de 16 pieds de front, sur la rue SaintCharles, et de 24 pieds de profondeur, à 64 pieds de l'angle nord-ouest de la rue Saint-Jacques, en face de la pointe du parc du Triangle (parc Saint-JeanBaptiste), ce qui serait aujourd'hui le bâtiment du Courrier du Sud. Ce terrain avait été concédé à Pierre Vincent. Celui-ci y fit construire une maison à deux logements; la partie située à l'angle des rues Saint-Charles et SaintJacques fut vendue à Georges Kernick et la partie ouest à Adolphe Cherrier. James Kyle Urguhart acquit la propriété d'Adolphe Cherrier et le terrain vacant sur lequel allait être construite la chapelle. Il vendit le tout au révérend Henry Wilkes. Ce dernier mourut et son épouse vendit une partie du terrain et l'église, le 24 novembre 1887, aux syndics de l'Église méthodiste (Isaac Shaw, Charles Hanson, Thomas Dawson, etc.). La propriété fut ensuite vendue en 1889 à François Crevier. Église Méthodiste de Greenfield Park. Elle a débuté ses activités à Greenfield Park en 1914, mais elle prit le nom Greenfield Park United Church en 1925, après avoir joint les rangs de l’Église Unie du Canada. Cette dernière fut inaugurée le 10 juin 1925; elle regroupait les méthodistes, 70 % des presbytériens et la Congregational Union of Canada. Les premières réunions de la congrégation eurent lieu dans les résidences des membres. Le 29 septembre 1914, le pasteur R. W. Armstrong désigna les syndics : Green, Manser, J. Burchmore, Harry Percy Kipps, John William Oakley et Frank Frost. La Église St Aidan Anglican Church construction d’une église, sur l’avenue Murray, fut entreprise le 7 février 1915. Le révérend J.-D. Ellis faisait alors la prédication du matin, et le révérend Dr Hart se chargeait de la prédication du soir. En 1921, la congrégation fit l’acquisition de l’édifice qui avait été occupé jusqu’alors par l’Église baptiste (Temple Baptist Church). Cet édifice dut toutefois être condamné en 1937, après que le plancher eut cédé. En 1939, une nouvelle église fut construite selon les plans de l’architecte R. G. Heughan; elle fut terminée l’année suivante. En 1952, on y ajouta une extension. Le 15 septembre 1963, on procéda à la consécration d’une nouvelle église, au 335, rue Springfield, construite par G. Burgess, selon les plans de l’architecte John W. Cooke. L’ancienne église fut dès utilisée lors pour différents besoins. Au début des années 2000, la loge maçonnique la loua pour tenir ses réunions. L’Église méthodiste de Greenfield Park a vu naître plusieurs organisations comme The Ladies Aid qui fut créée peu après la construction de l’église située sur la rue Murray. Cette organisation faisait des souscriptions pour l’Église méthodiste en organisant des activités sociales telles que des concerts, des salons de thé, etc. Mme Paterson en était la présidente en 1916. L’association devint The Women’s Association. Au mois de mars 1930, Mme Gray fonda The Woman’s Missionary Society. Il y eut également The Young Matrons Group, connu plus tard sous le nom Friendly Circle. Les Sunday School furent organisées dès le début de la mission. Liste des ministres du Culte R. W. Armstrong 1914-1915 W. Wilding 1915-1916 A. A. Radley 1916-1917 R. D. Mullin 1917-1920 George Francis Lalonde 1920-1921 C. Gaukrodger 1921-1924 Henry E. Curry 1924-1925 Robert Smith 1926-1926 D. A. Lough 1926-1930 Edwin Herbert Gray 1930-1937 John C. Downing 1938-1947 D. A. McCuaig 1947-1957 Église Montreal South United Church En 1888, un groupe d'hommes d'affaires du secteur de Montréal-Sud achetèrent le lot 158-81, sur la rue Sainte-Hélène, dans le but d'y ériger un temple méthodiste. La Montreal South Methodist Church fut bénie en 1892. En 1890, les services religieux avaient lieu dans la résidence d'Alfred Humphrey. En 1891, les méthodistes et les baptistes utilisèrent la gare du Grand Tronc, à l'intersection des rues Washington et Sainte-Hélène. L'église avait été construite selon les plans de l'architecte W. H. Rosevear Jr. Elle changea son nom lors de la fusion des églises en 1925. L'église cessa ses activités le 28 juin 1970. Elle est aujourd'hui abandonnée et en voie de disparition. Église pentecôtiste de Greenfield Park Elle s’est implantée en 1932 à Greenfield Park. Son local, construit en 1949, est situé au 30, boulevard Churchill. Église sans frontières Située au 4975, Sir Wilfrid Laurier. Cette église fut fondée à Otterburn Park, déménagea à Saint-Bruno puis s’établit à Saint-Hubert. Église St. Aidan Anglican Church Située au 3785, boulevard Mountainview. Elle desservait le secteur de Brookline. Église St. John the Baptist Église St. John the Baptist Église grecque orthodoxe située au 4350, Montée Saint-Hubert. Église St. Margaret of Antioch's Church Située au 4955, Montée Saint-Hubert; elle desservait le quartier de Croydon. Église St. Marina Église orthodoxe au 5220, Grande Allée. Église St. Mark À la suite des pressions, en 1841, de Frederick Broome, pasteur de la paroisse de Saint-Luc de Laprairie, auprès du baron Charles William Grant, les protestants épiscopaliens obtinrent un terrain et firent construire, par Allen Robinson, une église de style néoroman en 1842. Les anglophones et protestants étaient alors fort peu nombreux dans le Village de Longueuil. Au recensement de 1851, sur 3 021 personnes, 2 947 étaient catholiques et 53 anglicanes. On ne recensa que 7 anglophones, 68 Irlandais et 9 Écossais. Les anglophones ont traditionnellement habité le quartier de Longueuil-Ouest, du boulevard Quinn à la rue Gardenville, àcause des activités ferroviaires. En 1844, un violent ouragan renversa le clocher de l'église. Il fut reconstruit par Jos. Tiffin en 1867. En 1847, Richard Lonsdell, qui devint plus tard archidiacre d'Hochelaga, hérita des paroisses de Laprairie et de Longueuil. En 1852, le baron Grant fit don de l'église à Francis Fulford, l'évêque du nouveau diocèse de Montréal. En 1864, Edmund Wood, de l'Église St. John the Evangelist, de Montréal, prit la relève. Excellent musicien, il organisa, en 1865, un concert au bénéfice de l'église dans l'entrepôt du Grand-Tronc et put ainsi acheter un orgue. Suite aux pressions des citoyens protestants, l'église obtint, en 1872, un révérend résidant, R. W. B. Webster, qui était d'ailleurs l'assistant du révérend Wood. Des transformations majeures furent alors effectuées à l'église. On planta plus de 90 arbres et, en 1876, on construisit une petite école entre l'église et la rue Saint-Jean, au coût de 961 $. L'école fut détruite au mois d'octobre 1935. La Commission scolaire protestante, dissidente de la Commission scolaire catholique, avait été fondée en 1868. Elle obtint sa reconnaissance juridique en 1894. Suite à la démission du révérend Webster, Thomas Everett le remplaça jusqu'en 1879, année où il dut laisser son poste pour des raisons de santé. Ernest Houghton le remplaça le 14 mai 1879. Fred W. Webber succéda à Hougton qui s'était d'ailleurs absenté pendant presque une année complète entre 1880 et 1881 pour aller solliciter un soutien financier en Angleterre. Webber préféra retourner aux études et J. Gilbert Baylis prit charge de l'église, le 10 mai 1886. C'est sous son administration que St. Mark reçut ses titres de paroisse et que fut construit le presbytère en 1893. Celui-ci fut vendu 135 000 $, en 1987, à une corporation qui le loua à la station de radio communautaire de la Rive-Sud. La Ville de Longueuil acheta, Électricité en 1990, l'édifice du Vieux-Presbytère. J.Gilbert Baylis quitta Longueuil le 30 août 1896 pour devenir secrétaire du diocèse de Montréal. N. A. F. Bourne lui succéda jusqu'en 1906. Puis ce fut la longue administration d'Hector P. Mount, de 1906 à 1932. C'est lui qui constitua, à Montréal-Sud, la desserte St. Oswald. E. H. Waters lui succéda jusqu'en 1935, alors qu'il choisit de retourner dans sa famille en Angleterre. Le révérend J. B. Bonathan prit la relève d'une église endettée par la diminution constante de la population anglophone à Longueuil et la crise économique des années 1930. La dette fut liquidée dès 1942. En 1945, des rénovations importantes furent encore entreprises et, en 1956, on construisit une salle paroissiale au coût de 30 000 $. Le révérend Bonathan quitta en 1971. Révérends 1971-1976 George Long 1976-1982 Reginald M. Turpin 1982-1994 Norman Michael Butwill 1994- Michael J. Robson En 1994, St. Mark et St. Margaret of Antioch’s de Saint-Hubert s'unifièrent pour former la nouvelle paroisse de Saint-Hubert et Longueuil. Au mois de mai 1996, le terrain situé entre la rue Saint-Charles et l'église fut aménagé en parc comprenant notamment un kiosque. Le parc fut ouvert officiellement le 26 juin 1996. Église St. Mary Coptic Orthodox Church Située au 6100, Grande-Allée dans l’arrondissement de Saint-Hubert. Église St. Oswald Église anglicane de 300 places, à Mont- réal-Sud, à l'angle sud-est de la rue La Salle et de la rue Benjamin-Constant. Elle fut détruite par un incendie en 1959. À partir de 1970, le responsable de l'église St. Mark desservait aussi l'église St. Oswald. Ce fut notamment le cas du révérend Bonathan. Ce bâtiment fut également détruit par un incendie en 1979, et vendu à des orthodoxes en 1981, dirigés par M. Kam Rizk. L'église brûla de nouveau les 6 août et 3 octobre 1990. Église St. Savior Située au 3825, rue Adelaide dans l'arrondissement de Saint-Hubert et desservait le quartier de Springfield Park. Église St. Stephen Anglican Church. Elle est située au 4275, Wesley. Église Wesley United Church. Située au 4675, rue Wesley dans l'arrondissement de Saint-Hubert. La première église fut déménagée en 1918 de Notre-Dame-de-Grâces, à Montréal. la communauté était méthodiste. Elle porta aussi le nom de East Greenfield Methodist Church puis en 1925 East Greenfield United Church. En 1966 l'église se nomma Wesley United Church. Électricité L'électricité fut installée, dans les résidences, commerces et industries du Vieux-Longueuil, à la suite d'un règlement municipal qui confiait, en 1903, son implantation à la Royal Electric Company. Les rues ne furent éclairées à l'électricité, par la Montreal Light and Power, qu'à partir de 1910, c'est-à-dire en même temps que l'implantation des tramways; l'électricité remplaçait ainsi les réverbères alimentés par l'huile de pétrole. ÉMARD À Greenfield Park, le réseau électrique devant assurer l’éclairage des rues et amener le courant électrique aux résidences de Greenfield Park fut inauguré le 29 décembre 1917. Émard, Antoine (1856-1904) Maire de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil de 1900 à 1903, et commissaire scolaire en 1896. Inspecteur de voirie pour son quartier, il résidait à l'extrémité ouest du chemin Du Tremblay. Il était propriétaire des lots 57, de 60 arpents, et 59, de 96 arpents. Natif de Longueuil; fils de François Émard et de Philomène Brosseau. Époux d'Azilda Achim (1881). Émard, Félix (1876-1964) Conseiller de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil du 20 avril 1926 au 15 mai 1933, et marguillier de 1935 à 1937. Cultivateur, il résidait à la limite sud-est du chemin de Chambly, sur le lot 111, d'une superficie d'environ 94 arpents, près de l'actuel aéroport de Saint-Hubert. Son père possédait le lot 60, dans le fief Du Tremblay, les lots 22 et 23 dans le secteur du Bassin ou du chemin du Lac et le lot 292, sur une des îles formant les Îlets-Verts (Îlot de la Baronnie). Fils de Félix Émard, cultivateur sur le chemin du Lac, et de Joséphine Delage dite Lavigueur. Époux de Émélina Roy (1905). Émard, Pierre (1859-1924). Conseiller de la Municipalité de la paroisse de Saint-Antoine de Longueuil de 1894 à 1900. Marguillier de la paroisse de Saint-Antoine de 1906 à 1908. Cultivateur sur le lot 13, d'environ 105 arpents, dans le secteur actuel de Fatima. Époux d'Anathalie Geoffrion dite St-Jean. Emery, Frederick James (1868-1929) Conseiller municipal de Greenfield Park de 1923 à 1927. Enfants de Marie de Saint-Josaphat. Mouvement fondé en 1919. Entraide Chez-Nous Organisme communautaire, né en 1971 de la fusion des sociétés de Saint-Vincent-de-Paul, masculine et féminine, de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus, sous l'initiative d'Yvette Champagne et de Gabrielle Houde. D'abord nommé Service d'entraide aux familles, le nouveau nom fut adopté en 1976. L'organisme vient en aide aux individus et familles démunis en fournissant réconfort, nourriture, vêtements et meubles. Sa fondatrice, Antoinette Robidoux, distribuait d'ailleurs des vêtements à partir de son propre logement. Les premiers locaux furent situés à l'angle des rues Gamache et King-George. En 1975, le service d'entraide s'installa au sous-sol de l'église Sacré-Cœur-de-Jésus. Incorporé en 1978, l'organisme mit l'accent sur la promotion sociale et l'éducation. Présidentes et président 1971-1981 Antoinette Robidoux 1981-1988 Pauline Robillard 1988-1993 Bibianne Gemme 1993-1994 Jean-Yves Laverdure 1994-1995 Jacynthe Turcotte 2014- : André Taillefert Envol (L’) Organisme fondé à ville LeMoyne en 1989 pour venir en aide aux jeunes mères célibataires en difficultés. Premier conseil d’administration Présidente Paulette Palasse Vice-présidente Louise Vaillancourt Secrétaire Colette Lamoureux Sanche Esclaves Administratrices et administrateur Joanne Belle-Isle Bariteau, Jocelyne Lebeau et Alex Radmanovich. L’organisme offrait, au début, des ateliers de couture et de cuisine. En janvier 1991, il obtint, pour le travail bénévole et communautaire, un prix d’excellence du Conseil régional de la santé et des services sociaux de la Montérégie. En 1992, l’organisme fusionna avec la Maison Marie-Lucille. Le nouveau conseil d’administration était composé ainsi : Président Gérald Savoie Vice-présidente Louise Mercier Secrétaire Colette Sanche Trésorier Anatole Pouliot Administratrices Lise Giard, Caroline Lauzé et Paulette Palasse Administrateur Philippe Lefèvre Directrice générale Suzanne Charest En 1993, l’émission Enjeux, de RadioCanada, y tourna un reportage. Le 5 décembre 1995, L’Envol inaugura ses nouveaux locaux au 1660, rue de l’Église. En 2008, Josée Livernoche remplaça Thérèse Dallaire à la direction générale. En 2010, ce fut l’ouverture de la garderie Les Coucous de l’Envol. Esclaves L'esclavage ne se pratiquait pas qu'au sud des États-Unis. Longueuil a eu sa part d'esclaves. La situation n'avait évidemment rien de comparable à celle de nos voisins, ni par le nombre, ni par ses caractéristiques. Les esclaves, au Québec, étaient en majeure partie des Amérindiens et particulièrement des Panis, c'est-à-dire des Amérindiens originaires de la Louisiane ou du Mississippi ramenés par les explorateurs français. Posséder un esclave était un grand luxe et n'était, conséquemment, réservé qu'à la classe sociale la plus aisée. Le baron Charles Le Moyne possédait un couple d'esclaves qui eurent au moins sept enfants, tous baptisés à Longueuil. Des esclaves noirs figurent d'ailleurs sur les armoiries des Le Moyne. D'autres esclaves amérindiens vinrent accroître ce nombre. Au décès du premier baron de Longueuil, la succession fit le partage des esclaves, quitte à séparer les enfants de leurs parents. Le notaire seigneurial Cherrier posséda une esclave amérindienne. André Marsil en posséda également un du nom de Joseph; il lui fit notamment faire du transport en canoë, en 1736, pour un nommé Bourassa; il est précisé dans l'acte notarié que Marsil en est le propriétaire. L'année suivante, ses services furent loués à Nicolas Volant. Adrien Fournier dit Préfontaine (fils) avait acheté, en 1757, un esclave de 7 à 8 ans qu'il avait payé 350 livres. L'historien Marcel Trudel a également identifié François Collin, vers 1785, Jacques Desautels, entre 1765 et 1784, et Toussaint Truteau, vers 1722, comme propriétaires d'esclaves; il estime de plus que Charles Surprenant, vers 1734, aurait pu être le propriétaire de Pierre Surprenant, de la nation Pacota. Le dernier cas, et le plus complexe, est celui de Joseph Panis, né sous le nom de Joseph Bourdon, qui épousa Marie Boudau. Dans ce cas, la personne a modifié son nom d'origine. Qui plus est, elle reçut une concession du baron de Longueuil sur la côte d'Adoncourt, en 1724, qu'elle revendit dès le lendemain. Si l'on se fie à la coutume d'alors, Joseph Panis aurait été l'esclave d'un Bourdon. Jacques Bourdon, notaire seigneurial de Longueuil de 1675 à 1720, pourrait avoir été son propriétaire. Joseph Panis étant censitaire en 1724, il nous apparaît clairement qu'il n'était plus, à cette époque, esclave. ÉTHIER Éthier, Colette Conseillère municipale élue le 3 novembre 2013 sous l’étiquette d’Action Longueuil dans la circonscription de LeMoyneJacques-Cartier. Elle fut directrice de l'Association des utilisateurs du transport adapté de Longueuil (AUTAL). Élection du 3 novembre 2013 Colette Éthier AL Claude Jr Gladu Réal Chevalier 1 633 votes 972 776 Éthier, Henri (1904-1977) Employé du ministère des Postes, il fut directeur de la chorale de la paroisse de Saint-Antoine de 1937 à 1949 et de 1968 à 1976. Il résidait à l'actuel 727, rue SaintAlexandre. Excel (Club) Club nautique fondé dans les années en 1936 par l'avocat John Kerry. W. W. Browning, ancien commodore du Longueuil Boating Club (1928-1934) y fut également un président fort actif et influent. Son emplacement était situé à proximité du Longueuil boating Club et le club possédait un chalet et un club de tennis à l'angle des rues Excel (anciennement en face du parc Saint-Charles) et de l'Aqueduc (rue à mi-chemin entre la rue Saint-Charles et le Bord-de-l'Eau). Expo 67 Exposition universelle ouverte le 28 avril 1967 sur les îles Sainte-Hélène et Notre-Dame. Suite à une idée originale d'Alphonse Barthe, les premières démarches sont imputables au Parti conservateur du Canada, et en particulier au ministre Pierre Sévigny, à l'Union nationale de Maurice Duplessis et au maire de Montréal, Sarto Fournier. Ce n'est qu'à la suite du désistement de l'Union soviétique, qui avait obtenu les droits pour l'Exposition de 1967 que le maire Jean Drapeau s'impliqua, avec beaucoup de vigueur, dans le projet. Le gouvernement canadien y voyait une bonne occasion de célébrer le centenaire de la fédération canadienne. L'événement fut grandiose. Des millions de touristes envahirent les îles et la région de Montréal. C'était le premier pas significatif de l'ouverture du Québec sur le monde. Externat classique de Longueuil Le 25 mai 1949, Mgr Forget, évêque du diocèse de Saint-Jean, autorisait l'ouverture d'un externat classique pour garçons. Les pères Franciscains acceptèrent l'invitation de prendre en charge Externat classique de Longueuil cette institution. À la première année d'existence, en 1950, les 32 étudiants recevaient leurs cours à l'étage supérieur de l'église Saint-Jean-Vianney. Après avoir reçu ses lettres patentes du gouvernement du Québec le 27 juillet, elle obtint son affiliation à la faculté des Arts de l'Université de Montréal le 9 décembre suivant. Le 13 septembre 1951, la nouvelle bâtisse de 450 pieds de largeur par 60 pieds de profondeur, située sur le chemin de Chambly, à JacquesCartier, était prête pour loger les étudiants d'Éléments latins et de Syntaxe. L'école ne devient officiellement un collège classique que le 24 septembre 1952. Elle comprenait notamment 10 classes, une chapelle et un auditorium. le bâtiment coûta plus de 2 500 000 $. Le gouvernement provincial accorda un premier octroi de 400 000 $ en 1954 et un second de 300 000 $ en 1963. L'inauguration officielle, par Mgr GérardMarie Coderre, eût lieu le 2 novembre 1952. Le premier recteur entra en fonction le 25 août 1953. La première promotion des bacheliers eût lieu au mois de juin 1958. Clientèle scolaire 1950: 32 1951: 60 1952: 82 1953: 136 1954: 171 1955: 176 1956: 213 1957: 239 1958: 287 1959: 294 1960: 325 1961: 341 Un ciné-club y a diverti toute une génération de jeunes, les samedis aprèsmidi, dans les années 1950 et au début des années 1960. En 1965, on ajouta le pavillon Le Caron, construit par la compagnie Omega, selon les plans de la firme Larose, Laliberté et Petrucci. En 1967, suite aux recommandations du rapport Parent, l'Externat devint le Collège d'enseignement général et professionnel Édouard-Montpetit, qui dispense l'enseignement à plus de 20 000 personnes annuellement.