74440 la riviere enverse - Mairie de La Rivière Enverse

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74440 la riviere enverse - Mairie de La Rivière Enverse
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74440 LA RIVIERE ENVERSE
HAUTE-SAVOIE
Le Riverot
Editorial du Maire
L’intérêt général n’est pas la somme
des intérêts particuliers.
Cette expression démocratique fut
affichée lors de la première réunion
publique de la présentation de notre
PLU et ne peut être ignorée des
participants de celle-ci. Elle fut
également citée dans la presse locale et
dans le compte rendu qui fut établi
après cette réunion.
Celle-ci fut le socle des réflexions et des décisions des deux
équipes municipales, qui depuis août 2002 œuvrent à la
création et la mise en place de ce dossier, crucial pour
organiser l’avenir et l’environnement de notre quotidien. La
prise en compte de tous les paramètres conseillés, et le plus
souvent imposés par les différents services de l’état, nous ont
conduits au document qui fut présenté lors de l’enquête
publique récente.
Il n’a jamais été dans nos intentions de privilégier ou spolier
un quelconque propriétaire, mais bien au contraire de
s’assurer que tout projet futur serait possible en respectant
toutes les composantes de notre environnement : agriculture,
risques naturels, infrastructures existantes et à créer,
développement économique et respectueux du
développement durable, prise en compte des attentes et des
besoins de la jeunesse, etc.
C’est l’esprit sain et confiant que prochainement nous
transmettrons à Monsieur le Préfet de Haute-Savoie notre
dossier afin de recueillir sa signature et son accord.
Rencontre avec nos deux doyennes :
Berthe Planchamp et Lina Bergoen.
Nous rencontrons nos deux doyennes habitantes permanentes de notre
commune, afin qu’elles nous parlent de leurs vies d’hier et
d’aujourd’hui.
Qui êtes-vous mesdames ?
Berthe : Je suis née le 21 mai 1918 au village de Cellières dans la
maison où je vis toujours. Je suis une vraie riverote. Mon père
était aussi d’ici et ma mère des Gets. Mon papa s’appelait Jean
« Laleine » parce que sa mère s’appelait Hélène. Je me suis
mariée et j’ai 3 enfants, 10 petits enfants en comptant les
conjoints et 9 arrières-petits enfants, la dernière s’appelle Manon
qui a 6 ans. C’est la fille de notre conseiller municipal Antoine
BOISIER. Mon mari s’appelait Henri. Il était employé dans les
travaux publics et fut aussi en son temps conseiller municipal.
Lina : Je suis née à Morillon le 22 novembre 1918 et malheureusement de tous mes « classards » de Morillon, nous ne sommes
plus que 2. J’habite à la Rivière-Enverse depuis 1943 où je me suis mariée et ai élevé mes 3 filles (Josiane, notre conseillère,
Monique et Michelle) avec mon mari charpentier. Quant à moi, j’étais agricultrice.
Comment était la vie autrefois ?
Lina : La vie était agréable. J’ai gardé ma grand-mère, Céline FORAX née ROCH jusqu’à sa mort à 102 ans. Elle avait fêté ses
noces de diamant, ce qui à l’époque ne s’était jamais vu. Elle disait aux plus jeunes « T’étais d’ja ben vi, mais t’as ben
travailla ». A l’époque on parlait beaucoup patois. Autrefois, on se déplaçait à vélo, il n’y avait pas autant de routes. On avait
acheté une 2 CV et une moto après la guerre. On a construit notre maison en 1954. Je me souviens qu’il y avait des
commerçants ambulants (épicerie, pain, légumes, viandes). Il y avait plus de pâturages et moins de forêts qu’aujourd’hui. Cela
est lié à la disparition des agriculteurs. On faisait le pain de seigle avec le four, et on adorait les tartes aux myrtilles de la forêt.
L’électricité est arrivée en 1928. Autrefois, il n’y avait pas de réfrigérateur, pas de machine à laver. Le feu devait être entretenu
toute la journée mais on était heureux. Enfin, nous étions jeunes. On dansait, on chantait, on jouait aux cartes… J’ai appris à
danser aux plus jeunes. Ma grand-mère disait « I fa juste touchi lou dou bé », c’est juste pour toucher les deux bouts. Cela
voulait dire qu’on avait moins d’argent, mais que ce n’était pas l’essentiel. Nous étions heureux. Cette convivialité a disparu à
l’arrivée de la télévision.
Berthe : Autrefois, il y avait une grande intimité dans le village. Lina venait et jouait avec un peigne et une feuille à cigarette.
Nous n’avions pas d’instrument à bouche. La route était étroite. Elle a été goudronnée en 1962, quand la route du village de
Plon a été faite. Auparavant, on circulait à pied ou à cheval. L’électricité, comme le dit Lina à été installée en 1928. L’eau à
l’évier date de plus longtemps encore. Dans l’ancien temps, le chemin passait le long de la chapelle et près de ma maison et
allait vers Fargot. Quant à mon jardin, il était à l’emplacement d’un château qui dépendait du domaine de Mélan. Ma maison
était à l’époque un relais de chevaux. Dans ma jeunesse, je me souviens que les travaux d’intérêt général étaient pris en charge
par l’ensemble du village. Chacun mettait la main à la pâte et les accords se faisaient par une simple tape sur la main qui faisait
office de contrat.
SUITE DE L’ENTRETIEN :
Comment occupez-vous vos journées ?
Berthe : Je fais toujours seule mon ménage, et l’après-midi, je tricote, car j’ai aimé, j’aime et j’aimerai toujours tricoter. Je me
fais toujours seule à manger. Je me fais aider par mon fils Guy qui m’assiste dans ma vie quotidienne. Dès que le temps le
permet, je fais mon jardin aidée de ma famille. Par contre, je ne suis jamais partie en vacances au cours de toutes ces années.
Lina : A mon grand regret, je danse moins souvent. Je joue néanmoins de l’harmonica. Je tricote et je lis le journal tous les
jours. Je regarde la télévision quotidiennement, surtout les jeux. Je marche peu, car je me déplace difficilement.
Qu’attendez-vous de la commune ?
Lina : J’aime bien le repas des anciens. Je suis gâtée par ma famille. Je ne demande rien de plus..
Berthe : Comme Lina, ça va très bien. Je ne vais plus aux fêtes, je ne me trouve plus assez jeune.
Nous vous remercions mesdames pour cette leçon de vie et de courage. Que cet exemple puisse être médité par nos plus jeunes
administrés afin de leur donner confiance en l’avenir.
Vie communale
Soirée Gospel :
Ce sont de petits airs nés en Amérique que nous ont apportés un
excellent groupe de 7 jeunes femmes « sunshine-74 » le samedi 15
janvier au soir dans l’église paroissiale devant une grande assistance.
Ces chants religieux d’origine chrétienne de la communauté noire des
Etats-Unis encore appelés negro spiritual, ont conquis la terre entière et
en ce samedi ce fut le tour de notre commune. Nous avons assisté à
une manifestation vivante car très vite les spectateurs ont « chauffé la
salle » et tous debout accompagnant les artistes, chantant les refrains
avec eux, battant des mains et terminant chaque morceau par des
applaudissements nourris, firent de cette soirée un moment fort de la
vie communale dont on parlera sans doute encore longtemps. Un grand
merci à « Loisirs et Partages » notre association qui une fois de plus a
assuré une animation de qualité.
Repas des anciens :
Cette année encore, nos ainés ont répondu présents à cette journée
désormais incontournable. Après que le conseil municipal eut accueilli tous
les convives, Monsieur le Maire a prononcé un discours dans lequel il a
rendu hommage à nos anciens en prononçant cette phrase « Les vieux sont
les porteurs de richesses prêtes à être transmises sous forme
d’engagement, de présence, et de convivialité. » Ensuite, tous nos anciens
se sont attablés autour d’un repas offert par la commune et servi par des
bénévoles et les membres du conseil municipal. Comme de coutume, la
maison Boisier a offert à la fois les fromages et l’animation. Qu’ils reçoivent
ici la gratitude de la commune et des élus. Après une après-midi entière
consacrée à la danse, à la musique et à la gaieté, tout le monde s’est quitté
en se promettant bien de se retrouver ensemble l’année prochaine.
Espace Citoyen :
Citation : Un homme n’est vieux que quand les regrets ont pris chez lui la place des rêves.
(John BARRYMORE)
Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : Article 7 : Chacun a droit à une égale protection de la loi.
Appel aux riverots : Notre école doit être baptisée. Le conseil municipal fait appel à vous pour nous proposer
vos suggestions. Pour cela, faites nous parvenir vos idées par tous moyens (lettres, internet...).
Vos propositions détermineront notre décision.
Carnet de Route
TRAVAUX ROUTES : La circulation des véhicules à moteur sur les voies non ouvertes à la circulation et
dans les espaces naturels pose certains problèmes de cohabitation avec les riverains et les promeneurs.
Une décision intercommunale sera prise et mise en œuvre prochainement.
ORDURES MENAGERES Après 8 mois de bon fonctionnement, civisme, propreté, un laisser aller est à
nouveau constaté sur les sites du chef-lieu.
Nous renouvelons notre appel à un effort de tous afin de tenir propre ces lieux qui sont la vitrine de notre
commune. Si la situation devait perdurer, la municipalité serait contrainte de retirer les bacs à ordures ménagères
du site du tri sélectif, et de les réaffecter sur le site de Pacottets.
ECOLE : Les travaux avancent à bon rythme. Fin avril, tous les travaux d’intérieurs seront achevés. Il restera les
travaux extérieurs (cour, terrain de sport, escaliers extérieurs…)
ASSAINISSEMENT COLLECTIF : Le maitre d’œuvre retenu est le cabinet HYDRETUDES d’Annecy
pour les études de faisabilité. Cette étude est en cours et devrait être finalisée en juillet 2011.
SIVU DES FONTAINES Le bureau de maitrise d’œuvre retenu est le cabinet MONTMASSON
et Fils d’Annecy. Les premiers travaux seront réalisés à l’automne 2011 (liaisons Fargot- Vagnys)
INTERCOMMUNALITE : Les réunions se poursuivent. Nous espérons conclure pour la fin de l’année.
FLOP : A ce jour, on ne compte aucun Riverot
comme pompier dans nos centres de secours.
Histoire d’eau
0% d’impayés sur l’eau pour les riverots en
2010. Bravo !!
TOP :
ENIGME Quelle est l’année de la construction de l’église de la
Rivière-Enverse ?
Solution de l’énigme précédente (Riverot n°8) : Il s’agit
du général Jean-François HENRIOUD.
(voir article ci-dessous)
TOP :
Construction d’un aérodrome
Dans le cadre de la nouvelle politique de transport de
la vallée du Giffre, les travaux de repérage pour
l’installation d’une piste d’atterrissage en pente pour le
convoyage de certains animaux débuteront le 1er avril
2011 …
TOP :
Histoires d’eaux
La nappe phréatique sous le Giffre dans les
territoires de Taninges et de la Rivière serait la plus
importante de Haute-Savoie.
La Rivière-Enverse compte une célébrité en la personne de Jean-François HENRIOUD. Né dans notre commune le 21
octobre 1763, il s’enrôle à l’âge de 19 ans dans les armées du roi de France. De 1792 à 1801, il fut de toutes les campagnes
de la république, dans l’armée du Rhin, sous les ordres des généraux Moreau et Desaix. Plus tard, dans les armées de
l’empereur, en Autriche, en Prusse, en Pologne, il fut de tous les combats à l’instar du chevalier Bayard sans peur et sans
reproches. Plusieurs fois blessé ( il eut 2 chevaux tués sous lui à la bataille d’Inspach), il obtient vite du galon. En 1807, il
traversa les lignes russes à la célèbre bataille d’Eylau où il fut touché à la main. Blessé à nouveau d’un boulet de canon à la
cuisse droite à HEILSBERG le 10 juin 1807, il en faudra pourtant bien plus pour abattre notre solide Riverot que l’on
retrouve au siège de Saragosse en Espagne en 1809 où.... mais vous l’aviez deviné, il fut encore atteint par un projectile.
Elevé au rang de baron d’empire par Napoléon avec une rente annuelle de 4000 francs de l’époque, il se verra nommé
général de brigade en 1810. Ce sera couvert de blessures et de gloire qu’après l’épopée impériale, il se retirera pour une
retraite bien méritée et s’éteindra le 20 juin 1825 aux eaux de Neris (Allier).
Mode d’Emploi
Que faire de vos déchets verts ?
Après avoir élagué vos arbres, taillé vos haies, ramassé les feuilles mortes, vous pouvez amener vos déchets verts sur la
plateforme de compostage de la station d’épuration de Morillon (situé au lieu dit les bois). Le site est accessible gratuitement du
lundi au vendredi de 8 heures à 12 heures et de 13h30 à 17 heures toute l’année, et le samedi après-midi de 15 heures à 17
heures du mois de mai au mois de novembre.
Notre politique culturelle
La municipalité a fait de la politique culturelle et de loisirs un des axes majeurs de son action auprès de la population. Dans ce
cadre, nous vous invitons à exprimer vos souhaits, suggestions, remarques quant aux types de manifestations qui viendraient
satisfaire vos attentes. Pour cela il vous est proposé d’écrire au Riverot-Bulletin Municipal, Mairie de la Rivière Enverse, 74440
la Rivière-Enverse.
Afin de vous guider dans la formulation de vos idées nous vous proposons la trame suivante :
1
2
3
Activités sportives
Activités de découvertes (ex : Rallye)
Activités culturelles (théâtre, cinéma, musiques, …)
4
5
6
Manifestations récréatives (bal à thème, …)
Conférences
… etc. (autres suggestions) penser à préciser ces
dernières
Nous transmettrons vos réponses aux différentes associations auxquelles nous comptons dédier un prochain numéro du Riverot
en soutien à leurs actions indispensables à la réussite d’une politique culturelle locale, vivante et équilibrée.
Les loisirs, les vacances … c’est important !
UFOVAL 74 organise depuis plus de 60 ans des colonies de vacances et vous présente à travers sa brochure ses séjours pour
l’été 2011 pour des enfants de 3 à 17 ans.
Leurs séjours correspondent aux valeurs que nous défendons pour construire une société plus solidaire et fraternelle.
Renseignements/Inscriptions : UFOVAL Fédération des œuvres Laïques
3 avenue de la Plaine - BP 340
74008 Annecy cedex
Tél. 04 50 52 30 00 - Fax 04 50 45 81 06
[email protected]
SOMMAIRE :
Page 1 :
Page 1:
Page 2 :
Editorial du maire
Rencontre avec nos deux doyennes
Vie communale
Espace citoyen
Page 3 :
Carnet de route
Des tops et des flops
Page 4 :
Mode d’emploi :
Supplément pages 5 et 6 : Entretien avec le lieutenant MOUTON chef du centre de secours
de Taninges
Comité de rédaction : Elodie ITHIER et Fabienne TASSA
A vous les jeunes …
« Un métier, une passion »
Une trentaine de femmes et d’hommes répondent quotidiennement aux demandes de secours de la population
des communes de la Rivière-Enverse, Taninges et Mieussy. Afin d’en savoir plus, le Riverot est allé interroger
le lieutenant Philippe MOUTON, chef du centre de secours des pompiers de Taninges.
Mon lieutenant, voulez-vous vous présenter ?
Bien sûr. J’ai pris mes fonctions au centre de secours au mois d’octobre 2009 en intérim puis nommé officiellement le 6 janvier 2010. Je suis
marié à une jacquemarde et j’ai deux enfants.
En quoi consistent vos fonctions de chef de centre ?
J’ai la responsabilité de la gestion de 32 personnes qui assurent la sécurité des 3 communes précitées. Parmi ce personnel, 3 pompiers sont
professionnels ( dont un est aussi volontaire en dehors de ses horaires) et tous les autres ont un statut de volontaire. Nous comptons dans nos
rangs 4 femmes et nous en attendons une 5e qui aura les compétences d’infirmière et qui pourra assurer les premiers secours médicaux, par
exemple injection antidouleur.
Parlez nous de vos interventions.
Nous assurons environ 420 à 450 interventions par an qui vont des secours à personne ( incident domestique, chute…) aux incendies en
passant par les accidents tels que inondations, ascenseurs bloqués, nids de guêpes dans les lieux publics ( c’est à ce titre que nous sommes
intervenus dans une salle de votre mairie en 2010).
Vous recrutez actuellement des volontaires. Quelles sont les qualités d’un volontaire et ses activités ?
C’est tout d’abord la passion de vouloir sauver son prochain en situation de détresse et c’est aussi un temps donné à la collectivité parfois au
détriment de la vie de famille, qui peut en être gênée. Il faut avoir l’esprit d’équipe et savoir vivre en communauté.
En contrepartie, on trouve au sein de la caserne une ambiance familiale, une convivialité et un esprit d’entraide qui donne le sentiment à tous
d’être « comme à la maison ». Mais ce sont aussi des heures d’entrainement et d’efforts et quand on parvient, comme ce fut mon cas, à
sauver une vie, on ressent un extraordinaire sentiment d’aboutissement et de satisfaction.
Comment s’organise la permanence pour un volontaire ?
C’est un investissement sur le long terme, un week-end tous les mois et 2 nuits par semaine. Les volontaires habitant à plus de 5 km dorment
au centre. Les autres sont chez eux. Au centre on trouve petite cuisine, frigo, TV, lieu de repos… Bref toutes les commodités et le confort
d’un foyer. Les chambres sont pour deux personnes. En fait, chacun trouve sa place et l’ambiance est excellente.
Comment faire pour devenir pompier volontaire ?
D’abord, on prend contact avec le chef du centre (moi-même) puis on monte un dossier avec différentes pièces à joindre. Ensuite, on passe
une visite médicale d’aptitude et si tout est validé, le dossier est signé par le chef du centre et le chef du groupement (Cluses ). Il passe alors
en commission auprès de la direction générale pour la décision finale.
Le plus souvent, c’est oui et la personne est intégrée au centre de Taninges où elle recevra une formation de 300 heures. La recrue aura alors
3 ans pour faire cette formation mais dans les faits, nous organisons un stage d’un mois durant les vacances d’été, comprenant l’intégration
au groupe, la formation de secourisme, à l’incendie… Au bout du compte, la jeune recrue est opérationnelle. Elle peut alors se spécialiser en
secours de montagne, risque chimique, en plongée, maitre-chien, surveillant de plage (ainsi le lac de Morillon est surveillé par des
saisonniers de chez nous).
En conclusion mon lieutenant, un message à faire passer ?
La vocation de pompier est exigeante mais valorisante.
J’en profite pour lancer un appel à de nouveaux pompiers volontaires filles ou garçons, en particulier sur la
Rivière-Enverse, en rappelant que l’engagement apporte non seulement une reconnaissance de la collectivité mais
aussi le sentiment d’appartenir à une vraie famille.
Merci de nous avoir reçus mon lieutenant et nous espérons que cette interview va susciter chez nos jeunes riverotes et riverots l’envie
de participer à une noble entreprise qui fait appel au dévouement, à la solidarité, à l’altruisme, toutes qualités qui font la grandeur
de votre métier.
Ne laissons pas le manque de Sapeurs –Pompiers volontaires devenir notre prochaine
URGENCE
Rejoignez notre Centre de Secours.
Venez partager les valeurs humaines qui animent et fédèrent les Sapeurs –Pompiers de Taninges.
Si vous voulez vivre cette aventure avec nous, si vous êtes âgés de 18 à 45 ans et en bonne condition physique, vous pouvez intégrer
nos rangs en devenant Sapeurs-Pompiers volontaires.
Pour tout renseignement vous pouvez contacter le Centre de secours au 04/050/34/21/25
Ci-dessous, les pompiers du centre de Taninges autour de leur chef de centre et en compagnie de leur deux chiens de décombre,
Duc le berger allemand et Athos le border-collie, spécialisés dans la recherche des victimes des tremblements de terre,
effondrements de maison et autres séismes. Vous reconnaitrez accroupis les anciens pompiers toujours actifs à l’amicale.
En cas d’urgence, nous rappelons que les pompiers sont joignables par le 18 ou le 112.