Genève, 3-13 Octobre 1983
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Genève, 3-13 Octobre 1983
RAPPORT XI ASSOCIATION INTERNATIONALE DE LA SECURITE SOCIALE XXIe ASSEMBLEE GENERALE (Genève, 3-13 Octobre 1983) UTILISATION DE L'INFORMATIQUE FAITE PAR LES ORGANISATIONS MEMBRES DE LtAISS Rapporteur: V. VELIMSKY Service consultatif de 1'AISS en matière d'informatique Secretariat général de 1'AISS Genève TABLE DES MATIERES Page INTRODUCTION 1 RESUME DES CONCLUSIONS LES PLUS FRAPPANTES 2 BE CONCLUSION 6 QUELQUES RIEFLEXIONS EN ANNEXES 11 UTILISATION BE LTINFORMATIQUE FAITE PAR LES NEMBRES BE L'AISS INTRODUCTION Le délai de selon les normes mations a l'aide résultats risque sent rapport. quatre ans — délai exceptionnellement long, même si l'on juge de l'AISS — qui s'est écoulé entre le rassemblement des infor— du questionnaire habituel et la presentation definitive des de susciter des sentiments mitigés parmi les lecteurs du pré— Mais la réalité semblera peut—être moms morose si l'on rappelle les phases du projet et les conditions dans lesquelles des résultats partiels ou complete ont été présentés a diverses reunions précédentes de UAISS. Le questionnaire (reproduit a a l'annexe 8 du present rapport) a été élaboré Munich lors de la reunion du Comité consultatif de l'AISS en matière d'in— formatique (septembre 1978) et approuvé dans sa version definitive par la reunion de la Commission permanente d'organisation et des méthodes a Washington (mai 1979). Lee réponses au questionnaire ont été demandées pour janvier 1980 et il a été possible de presenter certains résultats significatifs a la Commission permanente dtorganisation et des méthodes lore de la reunion de Manille (novembre 1980). Ce premier lot de résultats contenait une vue d'ensemble des réponses exploitables (par sections, par langues, par branche de la sécurité sociale) et identiflait non seulement lee organisations membres de lAISS ayant répondu aux questions mais aussi - et ce pour la premiere fois — les unites de base, subordonnées ou fédérées, selon le cas, qui avaient rédigé lee diverses réponses au questionnaire. Il contenait égale— ment plusieurs autres ventilations du total des réponses et des réponses positives (par region et sous—région de 1'AISS, par branche de la sécurité sociale, ou avec indication du taux de succès, a savoir de la proportion des réponses exploitables, par section et sous—section du questionnaire). Ii se terminait par trois chapitres consacrés a l'analyse des résultats (qui traitaient des problèmes poses par la sécurité et la confidentialité des données, le numéro— matricule des assures et autres systèmes de classement, et enfin lee institutions non informatisées). Quant au second et dernier lot de résultats (qui portaient sur la place de l'iriformatique au sein des institutions de sécurité sociale, les questions de personnel et la fréquence des applications informa— tiques spécifiques et non spécifiques, et enfin — ce n'en était pas l'élément le moms important — le materiel infonnatique), il a été soumis a la reunion que la Commission permanente d'organisation et des méthodes a tenue a Paris (mai 1982), accompagné de quelques conclusions, le rapporteur faisait prin— cipalement état de quelques considerations d'ordre méthodologique. Par lteffet d'un juste et légitime retour des choses, ceux qui avaient pris l'initiative d'organiser l'enquête, a savoir les- membres du Comité consultatif de l'AISS en matière d'informatique, ont eu la possibilité de se familiariser avec l'ensemble des résultats, a savoir les deux rapports ISSA/OM/XIIT/3 eL ISSA/OM/X1T/3 qui leur ont été soumis a la reunion de Luxembourg (septembre 1982). Le Comité a estimé que les rapports étaient globalement conformes aux objectifs fixes pour l'enquête il y a quatre ans de cela, puis il a passé a l'examen des méthodes et des moyens a adopter pour que les analogues qui seraient entreprises a l'avenir solent moms laborieuses, tout en conser— vant, voire en améliorant, leur valeur d'information et leur utilité. Bans la même foulée, le Comité a adopté implicitement le prmncipe de Ia périodicité sur l'informatique. des La version provisoire du rapport fut présentée a la Quinzième Reunion de la Commission permanente d'organisation et des méthodes (Paris, mai 1982). La version definitive fut adoptée a l'unanimité par la XXIe Assemblée générale de UAISS (Genève, octobre 1983). * * * —2— Le temps qui passe, s'il dépouille lee données et lee chiffres de leur actualitd, agit comme une pierre de touche quant a leurintérêt. De l!avis du rapporteur, le travail accompli et les résultats obtenus présentent un permanent a quatre titres: 1) en ce qu'ils constituent des données de référence qui, dans itavenir, permettront a ceux qui étudieront l'évolution de l'informatique au sein des institutions de sécurité sociale de mesurer et quantifier le rythme des progrès accomplis dans plusteurs directions, a savoir selon la region géographique, le type et la taille de l'équipement, la popularité des différentes applications ou des différentes solutions a l'alternative centralisation—décentralisation, etc.; 2) en ce qu'ils constituent une tentative d'élaboration d'une mdthodologie significative et réutilisable (et en fait le point de depart de nouveaux développements féconds dans ce domaine); 3) ii est possible de en ce qu'ils constituent une base de données, tirer lee réponses a certaines questions concernant spécifiq.uement i'mformatique que les membres de l'AISS posent au Secretariat de l'AISS; notons que ceci n'est pas une utilisation hypothétique et a déjà été "testé", 1+) enfin en Ce que le questionnaire en tant que tel peut se a telle ou telle autre utilisation (qui serait sans rapport avec les de i'AISS) et, plus précisément, peut servir de guide pour n'importe quel audit des applications informatisées d'une institution de sécurité sociale donnée ou d'un groupe interdépendant d'institutions. Il s'agit là d'un effet dérivé qui n'est pas purement hypothétique putsqu'on l'a déjà observe dans la et rdalité. Lee principaux résultats de l'enquête sont manifes-tement ceux dent on a dit qu'ils constituaient des données de référence. En raison des circonstances indiquées plus haut, le rapporteur préfère lee presenter a deux niveaux d'anadans le corps du rapport, sous la forme d'un "résumé des lyse différents conclusions lee plus frappantes", qui s'adresse au lecteur profane occupé, d'une analyse des don— et, a l'annexe 7, sous Ia forme beaucoup plus nées section par section (utilisée précédenunent dans les deux rapports provi— soiree ISSA/OM/XIV/3 et ISSA/ON/XV/3). RESUME DES CONCLUSIONS LES PLUS FRAPPANTES L'Association étant ce que son nom mndique - a savoir un organisrne auquel ses membres ont adhéré librement — et n'ayant pas les moyens d'obliger ses adherents a répondre a ses questionnaires, la proportion des membres qui répondent est habituellement inférieure a 100 pour cent et, lorsqu'on lee interprète, on doit considérer lee résultats quantitatifs d'une enquête queue qu'elle soit comme inférieurs a la réalité. Cette tendance a la sous—estimation accentuée du fait du délai qui s'écoule entre les réponses peut même brutes et la publication des résultats. Néanmoins, les 260 réponses positives parvenues de tous lee continents, qui montrent que plus de la moitié des mem— bres de i'AISS en Europe et près du tiers des membres de l'AISS dans les autres continents utilisent des ordinateurs, donnent une idée des ordres de grandeur en cause et,en tout cas, fournissent les seuls chiffres dont on dispose a cc jour sur cette question. —3— Le dénombrement des unites centrales de traitement utilisées dans la sécurité sociale qui a été effectué sur la base des réponses des membres de 1'AISS montre qu'il y avait 464 unites en service en 1980, contre 334 dix anaugmentation des capa— ndes plus tot. Mais ces chifires dissimulent cites, que fait ressortir la ventilation ci—après des chiffres ci—dessus En 1970 Ordinateurs de deuxième génération (déjà pratiquement déclassés) 88 Ordinateurs de troisième 88 16 KB 16 KB et 4 128 KB 126 > 128 KB 32 Total 334 En 1980 512 KB 187 512KB et4 1MB > > 64 lMBet4 2MB 2MBet44MB 49 33 4MB 27 Taille non indiquée 104 Total 464 L'enquête récente permet plusieurs autres ventilations. exemple par ±'ournisseur et taille, par fournisseur et région,ou par taille et region. Ceux qui étudient le rythine du développement, ou plus précisément le taux ae pénétration de l'informatique dans lea institutions de sécurité sociale des pays en développement, s'intéresseront probablement a la dernière de ces ventilaToutefois, la division des activités régionales de l'AISS entre quatre tions. regions (Afrique, Amérique, Asie plus Océanie, Europe) était de nature a masquer les écarts intrarégionaux du niveau d'informatisation, aussi a—t-on adopté un mode special de subdivision des regions aux fins de cette analyse, en partant de l'hypothèse intuitive que les sous-régions "B" auraient plus facilement accès a l'informatisation que les sous—régions "A". La liste des pays des quatre sous—régions "B" étant sensiblement plus courte que la liste complémentaire des sous—régions "A", il suffira de définir simplement les premieres Afrique tous lea pays riverains de la Méditerranée; : Amérique Asie et Océanie Europe : Canada et Etats-Unis; : Commonwealth d'Australie, Israel, Japon, Nouvelle—Zélande; tous les pays a économie de marché, plus la Yougoslavie. La ventilation du nombre des unites de traitement centrales par taille de mémoire centrale et par sous—région confirme notre hypothèse intuitive de depart de manière tout a significative pour 1'Amérique et 1'Europe (mais non pour les deux autres regions). fait —4— Nombre d)unités centrales de traitement par taille de mémoire centrale et par sous-région ( 512 KB sous-régions Afrique Amérique > 512 KB 1 MB MB MB > non indiqué :A 6 1 1 0 1 1 B 3 0 0 0 0 0 A 11 1 0 0 0 1 B 37 15 17 14 8 21 A : Asieet Océanie: Europe: 7 2 0 0 0 1 B 5 0 0 0 1 1 A 2 0 0 0 0 3 B 116 45 31 19 17 76 187 64 49 33 27 104 Total Le dénombrement des équipements périphériques typiques confirme l'impres— sion que l'on avait de la prépondérance de 1'Amérique "B" (a savoir 1'Amérique du Nord) et de 1'Europe "B" (a savoir 1'Europe occidentale) sur toutes les autres sous—régions telles qu'elles ont été définies ci—dessus. Ii suffit de quelques chiffres concernant trois équipements périphériques asses typiquë's pour illustrer ce constat Dérouleurs de bandes Unites a disques Ecrans d'affichage de données Sous—régions Nombre d'unites . /0 Nombre d'unites - , Nombre 0/ /0 d'unites 70 • Amérique "B" 1 260 47,8 1 283 37,8 1 203 45,6 1 576 41,1 50,5 11 230 Europe "B" 17 056 57,5 175 6,6 264 8,4 1 393 4,7 2 638 100,0 3 123 100,0 29 679 100,0 Reste dumonle Total Une autre section du questionnaire de 1980 sur l'utilisation de l'informatique faite par les organisations membres de l'AISS visait a mettre en évidence les aspects hurnains de l'utilisation des ordinateurs. De même que dans le cas du recensement des matériels, les chiffres obtenus au sujet des effectifs Les chiffres ci-après du personnel risquent d'être en decà des totaux reels. ont trait a l'ensemble des institutions membres de 1'AISS dans le monde: Effectifs Personnel administratif total, dont Pourcentage 504 667 100,00 Informaticiens 22 315 4,42 Non-informaticiens ayant accès aux terminaux (aux fins de saisie des données, de leur re— cherche ou de mise a jour) 32 618 6,46 —5— C'est la dernière ligne cl—avant qu'il faut observer avec soin. Ceux que nous avons appelés les "non—informaticiens" disposent d'un terminal a écran de visualisation (et très souvent d'une imprimante), qu'ils utilisent seuls ou a plusieurs, et ce sont eux qui jouent Un role ole dans n'importe queue administration de la sécurité sociale, us sont les agents respon— sables de l'attribution des prestations. Autrefois,il leur fallait longtemps pour venir a bout de leur tâche avec les méthodes de travail qui avaient cours dans les bureaux. La phase intermédiaire, celle oü le mode de traitement par lots s'est répandu, n'a fait le plus souvent qu'accroltre leur sentiment de frustration. Par contre, le poste de travail tel qu'il se présente actuelle— ment leur permet d'avoir accès aux bases de données sur—le-champ, de régler les difficultés au fur et a mesure qu'elles surgissent, de prendre des déci— sions et de les faire executer en temps reel, en d'autres termes de "garder la haute main" sur un cas du debut a la fin. Incidemment, dans lee deux tableaux qui précèdent, le nombre de terminaux a écran de visualisation et l'effectif des pereonnes autorisées a les utiliser sont du même ordre de grandeur (le premier étant, comme on s'y attend, légèrement inférleur au second). Lee 22 315 agents dont lee réponees ont indlqué qu'ils étaient des "informaticiens" constituent toutefois un groupe très hétérogène. Si l'on examine de plus près leur repartition par profession ou métier, on obtien-t le tableau suivant (en pourcentages) Direction et encadrement 6,41 Programmeurs, analystes et programmeurs de systèmes 22,02 Opérateurs de l'ordinateur central 11,94 Secretariat, bandothèque, cervices logistiques, contrOle de qualité a la sortie, etc. 11,75 Personnel de saisie des d'encodage ou de perforation) 24,26 Personnel a±'fecté a la sur clavier (atelier maintenance du materiel 1,80 Non spécifié ou autre 21,82 Total 100,00 C'est la proportion élevée (près du quart) dee personnes exécutant lee les plus monotones et lee plus fastidieuees, a savoir l'entrée dee don— nées sur clavier, qui est manifestement le revere de la médaille. La solution du problème reside évidernment dane l'intégration avec des correspondants exté— rieurs produisant ou utilieant lee mOines données. L'intégration avec lee correspondants "en amont" permettra d'obtenir lee données susceptibles d'être lues par l'ordinateur (essentiellement identification du travailleur, salairee gagnés et cotisatione de sécurité sociale payées tant par l'employeur que le travailleur) pour lee employeure qui auront informatisé leurs operations de paie. L'intégration avec lee correepondants "en aval", avantageuee surtout pour ces derniers, permettra de communiquer lee données relatives aux presta— tions a payer a l'organusme payeur (eeeentiellement lee bureaux de poste et, a un degré moindre, lee banques), ce eous une forme également susceptible d'être lue par l'ordinateur, et d'obtenir, par la mOme vole, quittance dee paiemente effectués. l'attribution Ii existe un troieième type d'intégration, qui est lie a de prestations a long terme aux travailleure migrants. Ii s'agit de réunir la preuve dee droite acquie auprès de plusieurs institutions de sécurité eociale d'un mOme pays, voire de différents pays. —6— La dernière section de l'enquête sur l'utilisation des ordinateurs effec— tuée par l'AISS qui doive être mentionnée ici concerne les applications. Bien qu'on ait abandonné, il y a longtemps, l'idée d'un transfert éventuel des logiciels spécifiques de la sécurité sociale (sauf entre des institutions régionales ou locales ayant des tâches absolument identiques), le but de cette (ou taux de succès) section du rapport était de montrer le "rang de Nals ceci f alt intervenir dans le des différentes applications spécifiques. tableau la structure de la sécurité sociale (institutions gérant une ou plu— sieurs branches d'assurance, organismes nationaux ayant des agences ou institutions décentralisées plus ou moms autonomes). Pour éviter de surcharger le tableau de details obscurs pour le profane, nous nous bornerons a mentionner le nombre des cas de telle ou telle branche de la sécurité sociale qui ont fait l'objet d'une mention spéciale des institutions de sécurité sociale — nationales ou locales Accidents du travail et maladies professionnelles Maladie-maternité Vieillesse—mnvalidité—survivants (a fonds de prévoyance) 73 105 l'exclusion des 215 Chômage 36 Prestations familiales 89 Ponds de prévoyance 5 Dans certains pays, l'application de la legislation sur la sécurité sociale incombe directement au gouvernement et relève d'un ministère ou dépar— tement, alors que, dans d'autres pays, cette tâche est confiée a des institutions para—étatiques dans la gestion desquelles les représentants des employeurs et des travailleurs jouent un rôle significatif. Le fait que la sécurité sociale soit a la charnière de types d'organisation "ministérielle" et"para— dissimulé le fait qu'elle est Pun aes plus gros étatique" aura utilisateurs (sinon le plus gros utilisateur) d'ordinateurs du secteur public non militaire. QUELQUES REFLEXIONS EN GUISE DE CONCLUSION entreprise a la fin de 1979, a l'aide du questionnaire ISSA/OM/XIV/3 auprès des organisations membres de l'AISS et, par leur inter— médiaire, auprès de nombreuses autres institutions — subordonnées ou fédérées aux organisations membres de l'AISS - chargées d'appliquer "sur le terrain" la legislation de sécurité sociale, dépasse par son ampleur, et de loin, la moyenne des enquêtes conduites par les commissions permanentes de PAISS. Le nombre de réponses est déjà peu commun. Le pointage fait a Manille en novembre 1980 en a signalé 292, la reception de quelques réponses tardives a falt mo.nter le total a 322 et, en dernier lieu, la decision d'une fédération de caisses d'assurance-maladie de remplacer par une réponse unique les 28 rdponses fournies auparavant par les caisses qui en relevaient a ramené en définitive le total des réponses reçues a 295. Relevons a ce stade que, sur le total des 295 réponses reçues, il y a 31 réponses negatives et quatre monographies qui sortent du cadre du questionSur les 260 réponses conformes au questionnaire, 103 proviennent naire. titutions membres de l'AISS et 157 de ce que l'on a appelé les unites de base de la sécurité sociale (subordonnées ou fédérées). On peut représenter la situation schématiquemen-t cornice suit 7— Total des réponses reçues dont positive réponse a la negative section 11—B dont en provenance des membres de 1 unites de base (fédérées ou subordonnées) dont sous une forme conforme au questionnaire narrative libre (monographique) -8Etait également exceptionnel le nombre d'éléments de réponses envisages par le questionnaire. Pour illustrer notre propos, nous les avons comptes Nombre d.'éléments Re ponses sollicitées a) Une par questionnaire a—i) a cocher (choix entre oui et non, ou choix multiple) a-2) a chiffrer a—3) a expliquer 121 89 102 ou décrire ou designer Sous—totai b) 312 a) Une par application choisie comme typique (en cas de n appiications typi qu e s) b-i) a chiffres b-2) a expiiquer n x 30 n x 16 ou décrire ou designer Sous—total n x 46 b) Total général 312 + (n x 46) Ainsi, si l'institution répondante avait choisi deux de ses applications informatiques cornme typiques, le nombre d'éléments de réponse exigés aurait pu dépasser 400 et, si elle avait voulu décrire en detail quatre applications, le nombre d'éléments de réponse aurait vite approchéles 500. Ii est evident qu'un tel état de choses ne rendait pas aisée la prépara— tion des réponses a celui qui en fut chargé, et encore moms le dépouiilement de ces dernières au rapporteur. Ceci est d'autant plus vrai qu'aussi bien les répandants que le rapporteur s'avancaient sur un terrain très peu balisé par les enqtthtes précédentes porHormis i'article du rapporteur present, intitulé "Au sujet. tant sur le seuil d'une seconde décennie" et publié dans le numéro 11/1971 du Bulletin d'in— formation sur le traitement des données, la dernière étude, a la fois globale et chiffrée,du sujet qui nous intéresse fut celle présentée a travers le rapport ISSA/OM/IX/2 lors de la neuvième session de la Commission perthanente d'organisa— en octobre 1972. Rappelons aussi que ce rapport, tion et des méthodes, a dont le titre fut "La mécanisation et l'automatisation dans l'administration les machines en amont et en aval de l'ordina-teur" et de la sécurité sociale Directeur général de la Caisse nationale de le rapporteur N. Mohamed sécurité sociale du Naroc, fut définitivement adopté par la XVIIIe Assemblée générale de 1'AISS a Abidjan en octobre-novembre 1973. : Après cette date, on assiste a une sorte de traversée de desert, tout au moms en ce qui concerne les etudes globales et chiffrées ayant trait au déve— loppement de l'informatique au sein des institutions de sécurité sociale. C'est sans doute cette traversée préalabie du desert qui a contribué au voeu du Comité consultatif en matière d'informatique, exprimé lors de sa quatrième reunion de Munich, en septembre 1978, dtentreprendre une étude a la fois gbbale et approfondie du sujet en question. Si ia Commission permanente d'orga— nisation et des méthodes a, bors de sa treizième reunion, a Washington en mai 1979, approuvé .aussi bien les principes de ltenquete que le contenu du questionnaire, ii n'en reste pas moms vrai que l'entreprise était peut—être trop —9— ambitieuse, le champ de l'enquête très vaste et de toute façon le terrain peu balisé, surtout en ce qui concerne la méthodologie du dépouillement du questionnaire et la presentation des résultats. Dans ces circonstances, un secours dont on ne peut pas asses souligner la générosité ainsi que l'importance fut celui de trois organisations membres de l'AISS ayant offert la collaboration de leurs propres services informatiques pour décharger le rapporteur et sa secrétaire des tâches les plus fastidieuses liées au dépouillement manuel des questionnaires. Cette aide importante, offerte au Service consultatif do l'AISS en matière d'informatique, mérite aussi d'être explicitement mentionnée sous ses aspects techniques. En un premier temps, c'est le service informatique do l'Office national de l'emploi do Belgique qui, avoir obtenu l'aimable autorisation de N. Maurice ANDRE, Adniinistrateur général de l'Office national de l'emploi, a prêté sa main en compilant six tableaux, dont une partie fut reproduite dans les annexes au rapport provisoire ISSA/ON/XIV/3 (Manille, novembre 1980). Outre la saisie des données y afférentes, la contribution de l'Office national do l'emploi de Belgique comportait aussi l'écriture (analyse et progranimation) d'un logiciel d'application tout a spécifique. fait Chronologiquement deuxième mais non moindre fut la contribution de l'Ins— titut fédéral d'assurance des employés (Bundesversicherungsanstalt fUr Angestellte(BfA), Berlin) de la République fédérale d'Allemagne. Notre gratitude va tout particulièrement a N. Hans-Joachim ROHRIJACH, Directeur de l'Institut fédéral d'assurance des employés, non seulement pour le fait d'avoir autorisé sos services informatiques a s'occuper de ces travaux dont le coüt — y compris collaboration extérieure — fut loin d'être négligeable, mais surcelui tout pour sa constante sollicitude pour le bon déroulement de toute cette entreprise en tant quo point de depart (et dans une certaine mesure peut—être pour d'autres futures entroprises d'un genre similaire. memo Sans doute un logiciel d'exploitation statistique était disponible au sein do BfA des le depart. Ce logiciel, connu sous le signe allemand SIS (Statistik— Informations—System), pormet, grace a do paramètres spécifiant les oxigencos particulièros de chaque tableau, d'obtenir a d'un soul programme général une grande variété de tableaux répondant aux vooux do tout a l'utilisateur. Bans le cas present, le nombre do tableaux oxigés par l'utili— sateur s'élovait a 15 (sans comptor los tableaux livrés par le fournisseur a d'exomples préliminaires). Encore fallait—il au préalable confoctionner un manuel do codification de toutes les données pouvant figurer dans los réponsos au questionnaire. Ce manuel comportait dans sa version la plus complete uno restructuration du contenu du questionnaire do manière a co quo colui—ci puisse être saisi dans son entièreté sur quelque 70 différentes sortes do cartes perforées a 80 colonnes. Un pas intermédiairo qui ne pouvait maiheureusemont être franchi quo par un fastidieux travail manuel fut celui de la transformation du contenu des questionnaires en feuillos d'encodago, conformément aux instructions contenues dans le manuel mentionné plus haut. Soit dit on passant, c'est précisément sur ce point qu'une amelioration et simplification des méthodes pormettrait un gain do tomps et une augmentation do productivité considérables. L'étape suivante, qui était cello de la saisie classique de données, fut cornparativement sans problèmes. l'insertion fait partir titre Chronologiquoment dernière fut l'offre d'une organisation membre do Suisse de mettre dans uno forme plus aisément exploitable lea nombreuses romarques sous formo do toxte libre accompagnant certaines réponsos formelles. - 10 — Nous avons déjà indiqué que ltinventaire des utilisations faites de l'informatique par les institutions de sécurité sociale semble presenter un intérêt permanent pour quatre raisons 1) en ce qutil a fourni des ?tdonnées de référence" ou des éléments d'infor.susceptibles de servir de base a la construction d'une série mation chronologique; 2) 3) en ce qu'il a dégagé une méthodologie informatisée permettant de réaliser aisément la tâche définie ci—dessus, ainsi que N. Rohrlach l'a propose a diverses reunions antérieures de 1'AISS; en ce qutil a constitué une base de données que iton pourra utilement mettre a contribution pour répondre a telle ou telle question ou demande spécifique émanant des organisations membres de 1tAISS ou de la communauté plus large des utilisateurs de l'informatique au sein de la sécurité sociale; 4) en ce qu'il a créé un outil de travail type pour l'audit de la rentabilité des applications au sein des institutions de sécurité sociale qui souhai— teront procéder a l'audit de leurs operations informatiques. La coutume veut que les derniers paragraphes des rapports de l'AISS présentent presque toujours quelques suggestions au sujet de l'ac-tion future de l'organisation. Bans le cas présent,étant donné qu'il existe au sein de l'AISS un Comité consultatif en matière d'informatique dont les membres, qui viennent de voir leur mandat renouvelé, possèdent les compétences et le dynamisme requis, la Commission peimanente dtorganisation et des méthodes, après avoir pris une decision de principe au sujet de la périodicité des enquêtes informatiques, souhaitera peut-être confier a la prochaine reunion du Comité consultatif la tâche de conseiller les organismes statutaires de l'AISS au sujet de deux questions techniques: a) la fréquence des enquêtes, et b) ltamélioration du questionnaire en vue de mettre au point une méthode type pour ltévaluation et l'analyse informatisées des résultats. — 11 — TABLE DES ANNEXES Page ORGANISATIONS NEMERES DE L'AISS AYANT REPONDU AU QUESTIONNAIRE 13 ANNEXE 2 DETAIL DES REPONSES PAR ORGANISATION 23 ANNEXE 3 REPONSES POSITIVES OU COMNENTEES 53 ANNEXE 4 APERCU QUANTITATIF DES REPONSES POSITIVES OU CONNENTEES ... 87 ANNEXE 5 TAUX DES REPONSES PAR REGIONS 93 ANNEXE 6 STRUCTURE DES REPONSES PAR BRANCHES DE SECURITR SOCIALE ... 99 ANNEXE 7 ANALYSE PAR SECTIONS ANNEXE 1 a) Sections ayant trait aux structures du système informatique (sections III, V et VII) 107 b) Section ayant trait au personnel (section VI) 110 c) Sections ayant trait aux applications informatiques (sections I et II) 113 Section ayant trait au materiel informatique (section X) 120 Section ayant trait a Ia sécurité et a Ia confidentialité des données accessibles par l'ordinateur (section XI) 131 Section ayant trait au numéro—matricule des assures o-t aux autres systèmes de classement (section IV) 134 ci) e) f) g) Section ayant trait aux institutions non informatisées (section I—C) ANNEXE 8 105 QUESTIONNAIRE ISSA/OM/XIV/3 141 143 — 13 ANNEXE — 1 ORGANISATIONS MEMBRES BE L'AISS AYANT REPONDU AU QUESTIONNAIRE — 15 —. ORGANISATIONS NEMBRES DE L'AISS AYANT REPONDU AU QUESTIONNAIRE Organisations menibres Pays N° d'ordre R6publique Verwaltung fiir Sozialversicherung d6moc rat Gewerkschaft sbundes ique allemande des Freien Deutschen (Administration de l'assurance sociale de la Conf6d6ration des Syndicats libres allemande) 005 R6publique f6d6rale d Allemagne Bundesanstalt Arbeit tjnstitut national de 1 emploi Bundesarbeitsgemeinschaft der UnfallversicherungstrEger 006 der 3ffentljchen Hand e.V. (BAGUV) (Union nationale des institutions d'assurance—accident du secteur public) Bundesknappschaft als 007 der Krankenversicherung (Caisse fdd6rale d'assurance des mineurs) Bundesverband der Innungskrankenkassen 009 (F6d6ration nationale des caisses—inaladie des arts et m6tiers) Bundesverband der Ortskrankenkassen 012 (Fdddration nationale des caisses—maladie locales) Hauptverband der gewerblichen Berufsgenossenschaften e.V. (F6d6ration nationale des caisses d'assurance contre les accidents du travail dans lhindustrie) Verband der Angestellten-Krankenkassen e.V. o15 (F6d6ration des caisses—maladie pour empioy6s) Verband Deutscher 017 (F6d6ration des institutions allemandes d'assurance—pension) 018 Andorre Caixa Andorrana de Seguretat Social (Caisse de s6curit6 sociale d'Andorre) 019 Antigua Antigua and Barbuda Social Security Fund de s6curit6 sociale d'Antigua et Barbuda) 020 Arabie saoudite General Organization for Social Insurance (Organisation g6n6rale de l'assurance sociale) 021 Argentine Caja de Asignaciones Familiares para el Personal de la Estiba (Caisse 022 d'allocations familiales du personnel des docks) Caja de Subsidios Familiares para Empleados de Comercio de la RepiThlica Argentina (Caisse d'allocations familiales pour les enploy6s de commerce d'Argentine) — 16 Pays N° d'ordre 023 Argentine (suite) — Organisations membres Caja de Subsidios Faniliares para el Personal de la Industria (Caisse d'allocations fainiliales pour le personnel de l'industrie) 030 Australie Department of Social Security de la sociale) Health Insurance Commission (MEDIBAI'IK) 031 (Commission 032 Autriche Bundesministerium für Finanzen des Finances) Bundesministerium für Soziale Verwaltung 033 des Affaires sociales) Hauptverband der österreichischen Sozial— versicherungstrüger (F6d6ration des institutions dtassurance sociale d'Autriche) 031 Belgique Alliance nationale des mutualit6s chr6tiennes Caisse nationale des pensions de retraite et de survie 039 Caisse de retraite de la Caisse g6n6rale d'6pargne et de retraite Caisse sp6ciale pour allocations familiales des administrations locales et r6gionales Fonds national de retraite des ouvriers mineurs 0)4)4 Institut national d'assurance—naladie— (INANI) Institut national d'assurances sociales pour travailleurs ind6pendants 0)46 de la 0)48 sociale 050 Office national de l'emploi 051 Office national des pensions pour travailleurs salari6s Office national de s6curit6 sociale (ONSS) 052 'I 058 Bolivie Union nationale des socialistes Caja Nacional de Seguridad Social (Caisse nationale de s6curit6 sociale) 061 Bulgarie Direction des assurances sociales dtEtat — 17 Pays N° d'ordre 061-t 065 — Organisations inembres R6publique unie du Cameroun Caisse nationale de Canada Department of Employment and linmigrat ion sociale de ltEmploi et de l'immigration) Department 066 of National Health and Welfare de la Sant6 nationale et du Bien—être social) R6gie des rentes du Qu6bec 068 071 Superintendencia Chili de Seguridad Social (Administration centrale de s6curit6 sociale) 072 Ministry of Labour and Social Insurance Chypre du Travail et d'Assurance sociale) 075 R6publicjue populaire du Congo Caisse nationale de pr6voyance sociale 077 Costa Rica Caja Costarricense de Seguro Social (Caisse d'assurance sociale du Costa Rica) 078 C6te—d'Ivoire Caisse nationale de pr6voyance sociale 082 Danemark Arbejdsmarkedets Tillaegspension (ATP) (Institut de pensions compl6inentaires du march6 du travail) De Samvirkende Statskontrolierede Fortsaettelsessygekasser i Danmark 083 (F6d6ration daiaoise des caisses d'assurance— maladie continu6e) Sikringstyrelsen 081t (Office national de la 088 R6publique d'Egypte 092 Espagne arabe sociale) Social Insurance Organisation (Organisation d assurance sociale) Instituto Social de la Marina (Institut d'assurance sociale de la marine) 095 Etats—Unis Social Security Administration (Administration de la sociale) Unemployment Insurance Service 096 (Service dt assurance—chômage) 097 Finlande (Institut central des pensions) 098 (Institution d'assurance sociale) - 18 - Pays N° d'ordre 099 Organisations nembres (MELA) Finlande (suite) (Institut des pensions agricoles) 100 — Sj&nanspensionskassan (Caisse des pensions des marins) Tapaturmavakuutuslaitosten Liitto 102 des instituts d'assurance— accidents) 105 France Association des r6gimes de retraites compl6mentaires (ARRCO) 106 107 Association des institutions de retraites des cadres (AGIRC) 'I Caisse autonome nationale de conpensation de l'assurance—vieillesse artisanale Caisse autonome nationale de la s6curit6 sociale dans les nines 108 109 110 111 113 115 tt Caisse de compensation de l'organisation autonome nationale de l'industrie et du commerce (ORGANIC) It Caisse nationale des allocations familiales I, Caisse nationale d'assurance—naladie et maternit6 des travailleurs non des professions non agricoles It Caisse nationale d'assurance—vieillesse des travailleurs salari6s IT Caisse de pr6voyance du personnel des organismes sociaux et similaires 119 Mutuelle 120 Union des caisses centrales de la agricole 121 II de l'Education nationale Union nationale interprofessionnelle pour l'emploi dans l'industrie et le commerce (UNEDIc) 122 Gab on Caisse nationale de s6curit6 sociale 123 Ghana Social Security and National Insurance Trust (Institut de nationale) 1214 Grèce Idryma Koinonikon (Institut 125 sociale et d'assurance Asphaliseon (IKA) d'assurance sociale) Institut national dtassurances sociales agricoles (OGA) — 19 — Pays N° d'ordre Organisations meinbres 126 Grace (suite) Office d'emploi de la main—d'oeuvre (OAED) 128 Guatemala Instituto Guatemalteco de Seguridad Social (Institut de 129 sociale du Guatemala) Caisse nationale de pensions R6publique populaire de sociale et Guin6e 130 Guyana National Insurance Scheme Guyane (R6gime national d'assurance de Guyane) 132 Haute—Volta 131i Hongrie Caisse nationale de s6curitg sociale - Magyar Szaicaszervezetek OrszAgos d'assurance sociale (Direction du Conseil central des syndicats hongrois) 135 Inde Ministry of Labour dii Travail) 13T Indon6sie Public Corporation for Employees' Social Insurance (PERUM ASTEK) (Organisine public d'assurance sociale des salari6s) State Enterprise for the Administration of Savings and Insurance of Government Employees 138 (Institut de l'Etat pour la gestion de l'6pargne et l'assurance du personnel de l'Etat) 139 Iran Social Security Organization (Organisation 141 Irlande de la sociale) An Roinn Leasa Shósialaigh (Ministère de la prévoyance sociale) 1115 Israel National Insurance Institute (Institut national d'assurances sociales) 150 Italie Ente Nazionale di Previdenza ed Assistenza per i Dipendenti Statali (ENPAS) (Institut national de pr6voyance et d'assistance des employ6s de l'Etat) 151 " Nazionale di Previdenza e di Assistenza Farinacisti Ente (Institut national de pr6voyance et d'assis— tance aux pharmaciens) 1514 Istituto Nazionale di Assistenza Dipendenti Enti Locali (INADEL) (Institut national d'assurance—maladie et d'assistance aux employ6s de l'administration locale) 20 — N° d'ordre 155 Pays Italie (suite) Organisations menibres Istituto Nazionale per l'Assicurazione contro gli Infortuni sul Lavoro (INAIL) (Institut national d'assurance contre les accidents du travail) Istituto Nazionale della Previdensa Sociale (INPS) (Institut national de prdvoyance sociale) 158 165 lie de Jersey Social Security Department de la s6curit6 sociale) 168 Koweit The Public Institution for Social Security (Institution publique de sociale) 169 Liban Caisse nationale de s6curit6 sociale 172 Luxembourg Association luxembourgeoise des organismes de sgcuritg sociale 175 R6publique du Mali Institut national de 176 Maroc Caisse nationale de s6curit6 sociale 178 Ile 179 Mauritanie Caisse nationale de s6curit6 sociale 180 Mexique Instituto Mexicano del Seguro Social Maurice sociale de la S6curit6 sociale (Institut mexicain d'assurance sociale) 182 Nicaragua Instituto Nicaragüense de Seguridad Social (Institut national de s6curit6 sociale du Nicaragua) 183 Niger Caisse nationale de s6curit6 sociale National Provident Fund (Fonds national de pr6voyance) Rikstrygdeverket 185 (Institut national d'assurance sociale) 186 Nouvelie—Z6lande Department of Social Welfare de la 187 Ouganda Social Security Fund (Caisse 188 Pakistan sociale) de s6curit6 sociale) Labour Division (Division du travail) 192 Pays—Bas Contact—Commissie van Bedrijfspensioenfondsen (Commission de coordination des caisses professionnelles de pensions) 193 Federatie van Bedri.jfsverenigingen (F6d6ration des associations professionnelies) — 21 Pays N° d.'ordre 1914 Pays—Bas (suite) — Organisations membres Geineenschappelijk Adxninistratiekantoor (Bureau administratif conimun de l'assurance sociale) Sociale Verzekeringsraad 195 (Conseil ci'assurance sociale) " 196 Sociale Verzekeringsbank (Banque d'assurance sociale) 191 " Vereeniging van Raden van Arbeid (Association 200 P6rou des conseils du travail) Seguro Social del (Institut d'assurance sociale du P6rou) 201 Philippines Employees' Compensation Commission (Commission de r6paration des accidents du travail des salari6s) Social Security System 203 (Institut de s6curit6 sociale) 2014 Pologne Zaklad Tfbezpiecz6n Spolecznych (Institut des assurances sociales) 201 da Portugal (Direction g6n6rale de pr4voyance sociale) Royaume—Uni 210 Grande-Bretagne Department of Health and Social Security de la Samt6 et de la S6curit6 sociale) 211 Irlande du Nord Department of Health and Social Services de la Sant6 et des Services sociaux) 212 Ewanda Caisse sociale du Rwamda 213 El Salvador Instituto del Seguro Social (Institut d'assurance sociale du Salvador) 218 Soudan Public Social Insurance Institution (Institution d'assurance sociale publique) De ErkHnda Arbetsl6shetskassornas Samorganisation 219 (F6d6ration des caisses d'assurance—ch6mage reconnues) 221 " Kooperationens Pensionsanstalt (Institut d'assurance—pensions de la soci6t6 coop6rative) — 22 — N° d'ordre Pays 222 (suite) Organisations merobres Riksförsükringsverket (Office national d'assurance sociale) Svenska Personal—Pensionskassan 223 (Caisse de pensions du personnel de 22)4 Suisse Bundesamt für Sozialversicherung (Office f6d6ral des assurances sociales) Schveizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) 226 (Caisse nationale suisse d'assurances en cas d'accidents) Union schweizerischer KrankenkassenverbNnde 227 (Union des f6d6rat ions de caisses—maladie suisses) 229 R6publique arabe syrienne Institution des assurances sociales 232 Tch€coslovaquie Federäln{ ministerstvo práce a Socidlnich VSci f6d6ral du Travail et des Affaires sociales) nemocensk6ho 233 (Administration centrale de l'assurance—maladie) 2314 Togo Caisse nationale de s6curit6 sociale 238 Thnisie Caisse nationale de s6curit6 sociale 241 Thrquie Sosyal Sigortalar Kurumu (Institut d'assurance sociale) 21t3 URSS Comit4 d'Etat de 1'URSS pour le travail et les questions sociales 2)47 Yougoslavie Saves Zajednica Penzijskog i Invalidskog Osiguran,ja Jugoslavije i Savez Zajednica Zdravstvenog Osiguranja Jugoslavije (Union des Associations d'assurances pension— invalidit4 de Yougoslavie et Union des Associations d'assurance—maladie de Yougoslavie) 249 E6publique du Zaire Institut national de s6curité sociale 250 Zanbie Zambia National Provident Fund (Fonds national de pr6voyance de Zambie) — 23 — ANifEXE 2 DETAIL DES REPONSES PAR ORGANISATION — 25 — LISTE DES ABREVIATIONS ST SYMBOLES REPRIS BANS LES TABLEAUX COUNTRY Abréviation du pays solon la liste des plaques automobiles NUMBER Numéro d'ordre des organisations membres de l'AISS selon leur liste d'aoQt 1979 (voir annexe 1) ANNEX Numéro a deux chiffres de toute institution fédérée ou subordonnée a un membre de l'AISS (Branches de la sécurité sociale) WI — Accidents du travail et maladies professionnelles1 PD Maladie et maternité1 SM OA — I — S Vieillesse — Invalidité UNEMP Chômage1 PA Prestations familiales1 PF Fonds de prévoyance' - Survivants1 1 La presence d'un indique l'appartenance de l'institution en question a la branche de sécurité sociale correspondante LANGUAGE Langue de la réponse FRA Français ENG Anglais ESP Espagnol DEU Allemand RUS Russe NS Réponse non conforme au questionnaire NEG L'institution ne fait aucune mention de l'utilisation de 1 'ordinateur SECTIONS Sections et sous-sections du questionnaire (de lA a annexe 7) 0 Omission ou réponse negative X Réponse positive Réponse positive commentée ii - voir ORGANISATION — INSTITUTION BUNDESANSTALTFUERARBEIT D — E — S 0 U A N F P NS 012 D —06 009 U —05 009 D —04 009 —03 D 009 D —02 009 D —01 009 D 009 LANDESVERBANDDER INNUNGSKRANKENK½SSEN WESTFALEN—LIPPE BUNDESVERBAND DER ORrsKRANKENKAsSEN LANDESVERBANDDERIKK NORDRHEIN UND RHEINLAND-PFALZ INNUNGSKRANKENKASSEN NIEDERSAC}ISEN LANDESVERBANDDER HAMBURG BUNDESVERBANDDER INNUNGSKRANKENKASSEN (SPITZENVERBAND) LANDESVERBANDDER INN1JNCSKRANKENKASSEN BADEN-WUERTTENBERG LANDESVERBANDDER INNUNGSKRANKENKASSEN BUNDESVERBANDDERINNIJNGSKRANKENKASSEN X X X X X X X X 007 D KRANI(ENVERSICHERUNG D DEU DEIJ DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU NEC OEFFENTLICHEN HAND E.V. (BACUV) BUNDESKNAPPSCHAFTALSTRAEGERDER x NS UNFALLVERSICHERUNGSTRAEGER DER DEU BUNDESARBEITSGEMEINSCHAFT DER X DEU NS NEC DEU 006 X SP X X X D 1 1 2 2 2 3 3 4 1OIO1OlO1O1O1OIO1O1O x x x X XXX X X X X X X 0000000000 XX X XXX X XX XXOOXXOOXX 0000000000 X X X X XX X X XX x x x X X X X X X X 0000000XO XXXXOXXOXX XXOOX000XO xxxx X 0000000XO XXXXOXXOXX XXOOX000XO XXXX 0000000XO XXXXOXXOXX XX00000000 XXXX 0000000XO XXXXOXXOXX XXXOXOOXXO XX 0000000XO XXXXOXXOXX XXOOX000XX XXXX 0000000XO XXXXOXXOXX X XXOXXXXOX XX XXOXXXXOX XXXXOXXOXX XXOOXXXXXX x xxx ABC ABCAB ABCDEFGHIJ 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 SECTIONS XXOXXXXOX XXXXOXXOXX XXXXXXXXXX ABCABCAB 1 LANGUAGE PMIMAF NEC I W D 005 FREIEN DEUTSCHEN DDR 004 VERWALTUNG FtJER SOZIALVERSICHERUNG DES COUNTRY NUMBER ANNEX IS SA X 0 0 0 O 0 X X X X X X 11 ORGANISATION — INSTITUTION LANDESVERSICHERUNGSAMBTALT HESSEN —01 D 017 —02 LANDESVERSICHERUNGSANSTALT WESTFALEN D 017 017 VERBANDDEUTSCHER RENTENVERSICHERUNGSTRAEGER SCHWAEBISCH-GMUENDENERERSATZKASSE SCHWAEBISCH—GMUEND —06 D 015 —07 HANSEATISCHEERSATZKASSE HAMBURG X X X X X X X X HANBURG-MUENCHENER ERSATZKASSE-HAMBURG X D X X X SP • PMIMAF X }IANDELSKRANKENKASSE BRENEN D A.N I —S — E F P 0 U W KAUFMAENNISCHEKRANKENKASSE HANNOVER TECHNIKER-KRANKENKASSE HAMBURG D 015 —05 015 D 015 —04 D 015 —02 D 015 —03 D —O I 015 DEUTSCHEANGESTELLTEN KRANKENKASSE HAMBURG E.V. 015 D VERBANDDERANGESTELLTEN—KRANKENKASSEN D D HAUPTVERBAND DER GEWERBLICHEN 014- BERUFSGENOSSENSCHAFTEN E.V. ANNEX NUMBER COUNTRY ISSA DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU DEU NS NEG 1 2 2 2 3 3 4 . ABCAB 8 9 9 X 0 X X 0 X X 0 X X ABC 5 6 6 6 7 X X X X . X X X x X X X x x X X X X X X X XXOOXXOOXO x XXXOXOXOOX X X X X X X X X X X X X XXXOXX0000 X XXXOXXOXOX 0 0 0 0 0 0 0 X 0 . 0 0 0 0 0 0 0 X 0 X X X X X 0 X X 0 X X X X . X X X X 0 X X 0 X X X X X X X 0 X X X X 0 X X X X X X 0 0 X X 0 X 0 X X X XXOXXOXOX 0000000000 0000000000 X XXOXXOXOX X XXOXXOXXX XXXXO.XXX.X0 X X XXXXXXXOX XOXXOXXOXO 0000000000 X 000XXOXXX x XXOXXOXOX X 0 K x X X X x X X X X X X X x 0 0000000000 XXOXXX0000 X 11 0 0 X X 0 X X X X ABCDEFGHIJ IO1O1O1O1O1O101O1O1O XXOXXOXOX XXXX0000XX XXOOXOXOOX X XXOXXOXOX 000000000 0000000000 X X 0 X X 0 X 0 X X X I ABCABCAB I SECTIONS D D 017 —14 LANDESVERSICHERUNGSANSTALT BERLIN BADEN 017 —13 LANDESVERSICBERUNGSANSTALT B —12 017 LANDESVERSICHERUNGSANSTALT WUERTTEMBERG SCHWABEN —II LANDESVERSICHERUNGSANSTALT 017 UNTERFRANKEN LANDESVERSICHERUNGSANSTALT FREIE UND HANSESTADT HAMBURG B —10 017 D —09 017 D —08 017 B LANDESVERSICHERUNCSANSTALT OBERFRANKEN UND MITTELFRANKEN FliER DAS SAARLAND —07 LANDESVERSICHERUNGSANSTALT LANDESVERSICHERUNGSANSTALT R}IEINLAND/PFALZ NIEDERBAYERN/OBERPFALZ LANDESVERSICHERUNGSANSTALT OBERBAYERN 017 • INSTITUTION LANDESVERSICHERUNCSANSTALT RHEINPROVINZ — B —06 017 D —05 017 B —04 017 D 017 —03 B NUMBER ANNEX COUNTRY ISSA D — S X X X N X .X N N X X X X SP — E F P 0 U A N PMIMAF I W DEU DEU DEU DEU DEli DEU DEU DEli DEU DEU DEU DEli NEG NS 1 1 2 2 2 3 3 4 X 0 C) 0 oooooooxc 0 0 0 0 0 0 0 N 0 0000000XO 0 0 0 0 0 0 0 X 0 X 0 0 X 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 X 0 0 0 0 0 0 0 0 X 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 X 0 0 0 0 0 0 0 0 X 0 I ABCABCAB 0000000XO LANGUAGE 6 6 6 7 8 8 8 9 9 X 0 0 0 I010I0IOl01O1010I0IO 0 X 0xX0 x XXO X X X X X X X X X N N 0 X X 0 XXO N X X X X X X X X X X X X X N X 0 0 0 X 0 X N X 0 X 0 X X N N N X X 0 0 0 X X X X X X N 0 0 0 0 0 0 X X X X X X X X X X X X X 0 X 0 0 0 X X X X X X X X X N X N N X X X X X X 0 X N 0 X X N X X X X X X 0 X X X X X X x X X X X 0 0 0 0 N N N X X N N N. X X XX X 0 N N 0 X 0 0 X X X N xxxxoxxoxx xxxoxxxoxx XX N N X N X XOXXOXXOXX XXOOXXOXOO X N X X X N X X X X 0 X X N X X 0 X X X N X X N X N X X X X X X X X X X X X N X X 0 X X 0 X X X X X X X X 0 X X 0 X X x x x X ABC.'.ABCAB ABCDEFGHIJ XXXXOXXOXX XXXOXXOXXX 5 SECTIONS 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 II N) LO . INSTITUTION X IO1OI0IO10IOIO1OIO1O -X X XX X X' X X X 0 X X 0 X X X XXXX0XX0XX X x X XX00XX000 X XXX0XX0X0 0 X 000000-OXO X X X XOX0000000 0000XOOXOO X 0000000XO X000XXXOXO XXXOX00000 000 0000X0 000 0000X0 . 6 7 8 8 8 9 9 ABC ABCAB ABCDEFGHIJ XXXX000000 OXOOXOOXOX 5 6 -6 CAIXAANDORRANADESEGURETATSOCIAL SOCIAL INSURANCE CAJADEASIGNACIONESFAI'IILIARESPARAEL PERSONAL DE LA ESTIBA RA 021 GENERALORCANISATIONFOR - AS 020 019 ANT.ANTIGUAANDBARBUDASOCIALSECURITYFUND 018 AND —22 D DATENSTELLEDERDEUTSCHEN HANNOVER 017 —21 LANDESVERSICHERUNGANSTALT —20 D XX XX XXX X X ENG ENG FRA DEU DEU X X X . X X X X 0000000000 x X X X X XXOXXOXOX XXXXOXXXXO X000XOOXOO x XXOXXOXOX XXXXX000XX X000X00000 X X X X X X X 0 X X 0 X 0 0 X XXXXOXOXXX XXXOXX0000 X X X X X X 0 X X 0 X X XX X X X XXOX0000X 0000000000 XX XXOXXOXXX 0000000XO 0 0 0 0 0 0 0 X 0 0000000XO X X X X DEU 2 2 2 3 3 4 XXXOXXOXXX X DEU DEU DEU DEU 1 X X - X X X X DEU I : SECTIONS XXXXOXXOXX 017 BUNDESVERSICHERUNGSANSTALT FUER ANCESTELLTE SP X I ABCABCAB 0000000XO . —19 D . D PMIMAF NEC NS LANGUAGE . X SEEKASSE BUNDESBAHNVERSICHERUNGSANSTALT LANDESVERSICHERUNGSANSTALT BRAUNSCHWEIG LANDESVERSICHERUNGSANSTALT LANDESVERSICHERUNGSANSTALT SCHLESWIG—HOLSTEIN ORGANISATION . 0 U I A N —S — E F P W 017 D —18 017 D —17 017 D —16 017 D 017 —15 D ANNEX NUMBER COUNTRY ISSA X X X 0 X X X 0 0 0 0 0 0 11 0 • X X X 1 1 2 2 2 3 3 4 X X CHRETIENNES CAISSENATIONALEDES PENSIONS Dli RETRAITE liT Dli SURVIE CAISSEDERETRAITEDELACAISSEGENERALE D'EPARCNE ET DE RETRAITE CAISSE SPECIALE POUR ALLOCATIONS FAMILIALES DES ADMI]ISTRATIONS LOCALES liT REGIONALES FONDSNATIONALDERETRAITEDESOUVRIERS MINEURS 039 B 040 041 B 044 B B X X X XXOXXOXOX ALLIANCENATIONALEDESMUTUALITES B 037 X X FRA FRA FRA FRA FRA DEU X X X ABCDEFGHIJ XXOOX000XO IO1OIO1OIOlO1O1O1OlO X X X X X x XX X XXXXOXXXXX x XXXXOXXOXO X XXXXOXOXXX XX XX0X0X X0X0 XXXX XX X X X X 0 X X X X X X XXX x X XXOOXX0000 x XXOOXXOXXX X XXXOXXOXOO X 00X00X0X00 . XXX . XX X XXXX0X X0X0 . X XXX0X00000 X XX X XX X X XXOXXXXOX XXXXOXXOXO XXXOXOX000 X XX0 XX0X0X XX X X X X X X X X X X X X X 0 0 X 0 X X X X X X X X 11 X X XXOOXOOXOX XXOXXOXOX 0000000000 0000000000 X XXOXXOXOX x X XXOXXXXOX X HAUPTVERBANDDEROESTERREICHISCHEN SOZIALVERSICHERUNGSTRAEGER 034 X XX0 X00X0X X X 0 )C X 0 X 0 X X X A DEU X XXOXXOXOX XXXXOXXXXO VERWALTUNG MEG 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 XXOXXOXOX XXXXOOXXXX XXXXXX0000 X 033 X 1 SECTIONS ABC ABCAB ABCABCAB XXOXXOXOX XXXXOXXOXO BUNDESMINISTERIUN F1JER SOZIALE DEU NS ENG ENG ESP ESP NEC NS A X • XXXX SP XXX D PMINAF LANGUAGE BUNDESMINISTERIUM FUER FINANZEN . 0 U A N — 5 —E F P I W A 032 031 AUS HEALTH INSURANCE COMNISSION (MEDIBANK) DEPARTMENTOF SOCIAL SECURITY AUS 030 PERSONAL BE LA INDUSTRIA CAJADESUBSIDIOSFANILIARESPARAEL EMPLEADOS BE COMERCIO Dli LA REPUBLICA ARGENTINA CAJADESUBSIDIOSFANILIARESPARA ORCANISATION — INSTITUTION RA 023 RA 022 COUNTRY NUNBER ANNEX ISSA INSTITUT NATIONAL D'ASSURANCES SOCIALES POUR TRAVAILLEURS INDEPENDANTS 045 B 046 DEPARTMENTOFNATICNALHEALTH AND WELFARE AND CDN DEPARTMENT OF 066 065 CDN 064 CAM 061 B CAISSE NATIONALE DE PREVOYANCE SOCIALE INSTITUTNATIONAL D'ASSURANCE—MALADIE—INVALIDITE (INANI) B X D X X X XX X X SP XX X E F P X X . X X X PMI.MAF 0 U AN ANNEX I W —S — ORGANISATION — INSTITUTION COUNTRY NUMBER ISSA ENC ENG FRA NS NEG FRA NEC FRA FRA FRA FRA NEG . 1 2 2 2 3 34 x x x X X X XXXX0XX0X0 xxx . ABC ABCAB XXXXOXXOXO 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 SECTIONS X X X X X XXXX X XXXXX00000 X X XXOXXOXXX X X X X 0 X .X 0 X X X XXX X . X X X 0 X X 0 X X X X 0 X XX XX0XXXX 0X X XX X X XX0X X 0 X 0 X X X X XXOXXOXOX X XOX000000 0000000000 X X XX0X00X 0X x XXOXXXXOX I ABCABCAB I LANGUAGE NS XX X X X 0000000000 XXXXX XXXXXXXX0X X X X 0 X X 0 0 0 0 X X X X X X 0 0 -X X X X -O 0 X XXXOXXXOXO ABCDEFGHIJ . 1O10IO1O10I0IOIOIO1O 0 X X X X X X 0 x X 0 X X II: AND FAMILY ALLOWANCES —01 CDN SUPERINTEND. DE SECURIDAD SOCIAL CAJA DE PREVISION DE EMPLEADOS PARTICULARES SUPERINTEND. DE SEGURIDAD SOCIAL SERVICIO DE SEGURO SOCIAL —02 RCH 082 DR 078 CI CR 077 075 RCB 072 CY —03 ARBEJDSMARKEDETS TILLAEGSPENSION (ATP) CAISSE NATIONALE DE PREVOYANCE SOCIALE , CAJACOSTARRICENSEDESEGUROSOCIAL CAISSE NATIONALE DE PREVOYANCE SOCIALE MINISTRY OF LABOUR AND SOCIAL INSURANCE PUBLICOS Y PERIODISTAS 071 071 SUPERINTEND.D1:SEGURIDADSOCIAL CAJA NACIONAL DE EMPLEADOS RCH —0 I 071 RCH . SUPERINTENDENCLADESEGURIDADSOCIAL RCH 071 REG1EDESRENTESDUQUEBEC CDN —02 066 DEPT.OF NATIONAL HEALTH AND WELFARE CANADA PENSION PLAN DEPT.OF NATIONAL HEALTH AND WELFARE OLD AGE SECURITY CDN 066 ORGANISATION — INSTITUTION COUNTRY NUMBER ANNEX ISSA — E OU AN FP NS. ENG X . X X XX X X X XXXX X• X X X X X X XXXXX XXXXX ENG FRA NEC ESP FRA ENG ESP ESP ESP ESP X ENG XXXXX . X FRA X X X SP X D . 1 2 22334 000 0 0 0 0 X x x 8 8 8 9 9 X X X XXXXOXXOXX X 00000XXXXX bb 7 X X X X X X XX XX . XXXX000000 XXXX XXXX0XX0X0 X X X X X X X 0 X 0 X X X X XXX XXXXXXXOXO X X XXXX0XXXX0 XXX X XXXX0XX0XX XX0 XX0X0X x X XX X X X X 0 X X X X 0 X X X X X 0 X X X X X X X X X XXOXXOXXX XXXXXXXXXO X0X XXXX0X XX XX0 XX00XX X X 0 X X 0 X X X X X X XXOXXXXXX X XX0 XXXXXX 1O1O1OlO1OI010101OIO 0 0 00 X X X X X X XXX0XX0XXX XX XXX XX X X X 0 X 0 0 0 0 0 X X XXXOX00000 X 0000X00000 X XX00X00000 0 0 0 0 0 0 X 0 0 0 X X000XOXXXO X X000X00000 0000000000 X X XX00XX0X00 0 ABC ABCAB ABCDEFGHIJ 5666 SECTIONS 000000000 0000000000 X XXOXXOXXX 000 000000 0 0 ABCABCAB I LANGUAGE PMIMAF NEG —S I W X X X X X X X X X X• X 0 X X X 11 —05 097 SF —04 ELAEKETURVAKESKUS KALERVO POJHA KESKINAEINEN 097 SF ILMARINEN PENSION INSURANCE COMPANY 097 —03 •SF ELAEKETURVAKESKUS OYAKAPO —02 ELAEKETURVAKESKUS SF ELAEKETURVAKESKUS CENTRAL ORGANISM ELAEKETURVAKESKtJS UNEMPLOYMENT INSURANCE SERVICE SOCIAL SECURITY ADMINISTRATION INSTITUTO SOCIAL DE LA MARINA 097 —0 1 SF 097 097 SF 096 USA 095 USA 092 E 088 ET 084 SOCIAL INSURANCE ORGANISATION SIKRINGSSTYRELSEN DR DK DE SANVIRKENDE STATSKONTROLLEREDE FORTSAETTELSESSYGEKASSER I DANMARK ORGANISATION — INSTITUTION. 083 ANNEX COUNTRY NUMBER ISSA — E ou AN FP X SP X X X X X X X X X X X XXXX XXX D X ENG. ENG ENG ENG ENG ENG ENG ENG ESP ENG ENG ENG SECTIONS X X X 0 0 0 0 0 0 0 0 XX XX.X XXXXXXX0 XXXX x 00000XX000 00 00 XX 0 : 000X0 0000000XO 000 . . X XX00000000 x X000000000 X 0000000XO XX00000000 0000000XO 0000000XO XX000000 X X 0 X X X X 0 X XX0 XXXX0X X XX X X X X X X 0 X X 0 XX XO XX0 XX0X0X X X X X X 0 X X 0 X X X X X X X 0 X X 0 XO X 0 X X X 0 0 0 0 XO XX0XX000XX X X 0 X X 0 X 0 X X X XX0 XX0XXX X XX0 XX000X . XX0 XX0XXX 111222334 5666788899 ABC ABCAB ABCABCAB LANGUAGE NS PMIMAF NEG —S I w XXXXX O 0 0 0 0 0 0 0 0000000000 O0••00000000 000000000X 0000000000 XX XXOXXXXXXX XXXXXX XX XXOOXXXXXX XXOOX00000 X000X00000 O0.000000XO X XXXXO XO XXO ABCDEFGHIJ X X X X 0 X X 0 X X X .X X X X X x 10 10 10 10 10 1010 10 II10 10 SF ASSOCIATION CENERALE DES INSTITUTIONS DE RETBAITES DES CADRES (AGIRC) TAPATURNAVAKIJUTUSLAITOSTEN LIITTO MERIMIESELAEKEKASSASJOEMANSPENSIONSKASSAN F ASSOCIATIONDESRECflIESDE'RETRAITES 106. COMPLENENTAIRES (ARRCO) 105 F '102 SF 100 SF 099 ELAEKELAITOS (MELA) (JOINT DP UNIT) —11 KANSANELAEKELAITOS OY ELAEKESYSTEEMI AB SF 098 ELAEKETURVAKESKJS OY 097 (JOINT DP UNIT) ELAEKETURVAKESKUS SF SF 097 —09 TYDELAEKEKASSA (EIPLOYMENT PENSION FUND) ELAEKETURVAKESKUS ELAEKETURVAKESKUS ELAEKEVAKUUTUS OSEKEYKTIOE KANSA ELAEKETURVAKESKUS LIVEDERSAEKRINGS AKTIEBOLACET VERDANDI ELAEKETURVAKESKUS ELAEKEVAARNA SF 097 —06 SF 097 —07 SF 097 —08 SF 097 ORGANISATION — INsTITUTION: COUNTRY NUMBER ANNEX ISSA S 0 U — E A N F P X D 1 2 2 2 3 3 4 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 1O1O1O1OlO1O1O1Ol0tO X X X X XX X X X X X X X 0 0 X X 0 X X 0 X X0 X XX XX0 0 X X0 XXXX0 X X 0 X XX X X X X 0X XX -x x 0 0 X X 0 X X X XXX0XX0 x x X XX X X X X x x X X 0 X X X X 0 X XX0 X X XX0 X X X X X X X X X X X X X 0 X X X X X X X X X X 0 X X0 X X X X X X 0 0 0 X X 0 0 X X X X 0 0 X X X X X X X XXXX X X X X XXOXOOXOX XXXOXXXXXX 0000XXOXOO XX0 X XX0 X X 0 X 0 X X 0000000XO OXXXOXXOXX XXOOXXOXOO X 0 X X X 0 XX 0 X X x x x xx . x x x FRA. XXOXXOXXX XXXXOXXXXX XXOOXXOXXO FRA ENG ENG ENG ENG ENG ENG 0 0 0 0 0 0 0 X 0 X X X X X X X X X X X X 0000000XO XX00000000 0000000000 ENG X 0000000XO XX00000000 0000000000 ENG X X X X 11 0000000XO XX00000000 0000000000 X ABC ABCAB ABCDEFGHIJ 0000000XO XX00000000 0000000000 1 ABCABCAB 1 SECTIONS ENG ENG NEC NS LANGUAGE X X SP PMIMAF — I W AN 0 U NS . 0000000XO X X 9 . X ABCAB 106 —11 F 106 —1 F —10 106 —09 F F 106 —08 F 106 —07 106 F —06 —05 F 106 —04 F F 106 106 —03 . LSICA . CAISSEINTERPROFESSIONNELLE DE RETRAITES COMPLEMENTAIRES REGIMEINTERPROFESSIONNEL DES SALARIES SALARIES UNIONDEPREVOYANCEDES GROUPEMALAKOFF IREPS APCN INTERENTREPRISES) GROUPECRI (CAISSE DE RETRAITES . GROUPEMORNAY(CGIS—CIS) IPRIS X X X X X X X X X X FRA- FRA FRA FRA IRA FRA . FRA FRA FRA IRA IOIOIOIOIOIOIOIOIOIO 0000000XO , 0000000XO XXOOXX0000 x XXX0000000 X • . X X XOX000000X XXXOXXOOXO X XXX0000000 XXOOX00000 X . XXOOX00000 XXOOXX0000 XXX000000X XXOOXXXXOO X XXX0000000 X XOX000000X XXOOXX0000 x XOX000000X XX000XOXOX X XXX000000X XXOOXXOXOO X 0000000XO XXX0000000 . 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO XXOOX00000 XXX0000000 0000000000 A.BC XOX0000000 FRA FRA 5 6 6 6 7 •8 8 8 9 —02 F X X SP 4 x . D 2 2 2 3 3 SECTIONS ABCDEFGHIJ XXOXXOXOX 00000XX000 0000000000 1 ABC.ABCAB 1 LANGUAGE PMIMAFNEG —S — E F P I w F 106. • RETRAITES COMPLEMENTAIRES —REPONSE POUR LA PERIPHERIE 106 ANEP+IRNIS ASSOCIATIONDESREGIMESDE F —01 ORGANISATION — INSTITUTION COUNTRY NUMBER ANNEX ISSA 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 X X 11 —24 106 F —23 F 106 —22 106 •F F 106 —21 —20 F 106 —19 F 106 —18 106 F —17 106 F —16 F 106 —15 F 106 —14 F 106 —13 106 F ANNEX NTJMBER COUNTRY ISSA • . X X X X X X AGPS CRIREP x X X . X SP IRPELEC D X . S ou —EFP AN PMIMAF — I w ARCIL IRREP • CPM IRECAS IRPC CNRO CANAREP—RESURCA CPAV—FNCC CARPILIG ORGANISATION — INSTITUTION FRA• FRA FRA FRA IRA FRA IRA FRA FRA FRA FRA FRA NEC NS 1 1 2 2 2 3 3 4 9 IOIOIOIOIOIOIOIOIOIO . 0000000XO 0000000XO XOX000000X XXOOXX0000 XXX0000000 XX000X0000 X XXX000000X XXOOXXOXOO 0000000XO S XOX000000X XXOOXXOOXX XXX000000X XXOOXX0000 X XXX0000000 XX00000000 X XXX0000000 0000X00000 X XOX0000000 0000000000 X XXX0000000 XXOOXXOXOX X XOX0000000 XXOOXX0000 X XXXOO00000 0000000000 X ABC ABCAB ABCDEFGHIJ XXX000000X XXOOXX0000 56 6 6 7 8 8 8 9 SECTIONS 0000-000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO . ABCABCAB 0000000XO 1 LANGUAGE . 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 11 —36 106 F —35 F 106 —34 F .106 —33 F 106 —32 F 106 —31 F 106 —30 F 106 —29 106 F• —28 F 106 —27 106 F —26 106 F —25 F 106 ANNEX NUMBER COUNTRY ISSA • . CIPS+IRSIP+CCN IRPSACM CAIRPSA CBTP IRIAL IGIRCA . IGIRS IRIS UIRIC ICRIS CRIS CIRSIC+INIRS+IRIHA ORGANISATION - INSTIrJTI0N. . o U AN D X X X X X X X X X X X X SP PHIMAF —S —E F P I w FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NEG NS ' 1 1 2 2 2 3 3 4 9 . 0000000XO IOIOIOIOIOIOIOIOIOIO X . 000000000X . . 0000X000XO XXOOX00000 . . XXOOX00000 XX00000000 0000000XXO X XOX0000000 X XXOOX00000 X XXX000000X XXOOXXOXOO X 0000X00000 XXX000000X XXOOXXOXOO X XOX0000000 X xox0000000 X XOX0000000 X XOX000000X XXOOXXOXOO X XOX0000000 X XXX0000000 . XXX0000000 X ABC ABCAB ABCDEFGNIJ XXX000000X XXOOXXOXXX 5 6 6 6 7 8 8 8 9 SECTIONS 0000000XO XXX000000X 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000xo 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO ABCABCAB 0000000XO 1 LANGUAGE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 11 110 F F 109 —01 F CAISSE NATIONALE DEE: ALLOCATIONS FANILIALES (ORGANIC) ORGANIC POOL INFORNATIQUE ORGANIC CAISSE DE COMPENSATION DE L'ORGANISATION AUTONOME NATIONALE DE L'INDUSTRIE ET DU • 109 X X X X X X CIRSEE ACRE X CIRRIC—IRCI—NORD X X X SP UCREPPSA D X 108 F 107 OU A N X —S—EFP PMIMAF I W CARCOM IRSPME IRSLM ORGANISATION — INSTITUTION CAISSE AUTONOME NATIONALE DE COMPENSATION DE L ASSURANCE—VIEILLESSE ARTISANALE (CANCAVA) CAISSE AUTONOME NATIONALE DE LA SECURITE SOCIALE DANS LES MINES —43 F 106 F —42 106 F —40 F 106 —41 106 F 106 —39 106 —38 —37 F 106 F NUMBER ANNEX COUNTRY ISSA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NEG NS 111222334 X0 XO 000000X0 X0 X0 000000 X X X XX X X XX X XXO 00 XXO XO X X0 XXO XXO XX XXXXO XXO XO XXXX XXXXOXXXXX XXOO XX XO X XC 0 X 0000XO X X X X X X X X OX0X00 X X X X X 0 0 0 0 0 0 0 11 XX XXX00X XX 00 XXOXOO XXOXXOXOX OXXXO XXXXX 0000000000 X 0000000XX X XXXXXOXXX X XXOXXOXOX XX XXOXXXXXX X XX0XXX XXO 0 XXOXOO XXOOXXOXOO 0000000XO XXX000000X XX00 X 0000000XO X XXO 00000 X X XX00X00000 XXX0000000 0000000000 X X0X0000000 XXOOX00000 X IOIOIOIOIO1O1OIOIOIO ABC ABCAB ABCDEFGH IJ X0 X0 000000 XXOOX00000 5666788899 0000000XO XX X0 00000 X 0 0000000 X0 0000000 0000000 ABCABCAB LANGUAGE F P. —12 F 110 —11 F 110 —10 F 110 —09 F 110 —08 110 —07 F 110 —06 X X ATELIERINPORMATIQUE INTER—CAISSES DE MELUN X X X X CENTRE INFORNATIQUE DE PROVENCE INTER—ORGANISMES DE LYON) AEIO (ATELIER ELECTRONIQUE LtINFORNATION DE LILLE CENTREDETRAITEMENTDE ATELIER MECANOGRAPHIQUE INTER—ORGANISMES DU CENTRE D'ANJOU ET DU MAINE ATELIERELECTRONIQUE INTER—ORCANISMES DE GRENOBLE X CENTREREGIONAI DETRAITENENT F 110 DE LtINFORNATILN—DLJON CLERNONT—FERRAND —05 F 110 110 •F X X X X —04 SP X D NORMANDIE POUR LA GESTION D'UN CERTI ASSOCIATIONMECANOGRAPHIQUE CENTRE REGIONAL DE TRAITEMENT INFORNATIQUE D'ORCANISMES SOCIAUX D'AQUITAINE LIMOGES E PMIMAF — AN I —S 0U W UNIONDESCAFETURSSAFDE —03 110 F —02 DES ALLOCATIONS FAMILIALES CERTI DE PICARDIE 110 —01 F 110 CERTIDELAREGIONDE CAISSENATIONALE ORGANISATION — INSTITUTION F . ANNEX COUNTRY NUMBER ISSA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NEG 1 1 1 222334 0000X0 IOIOIOIOIOIOIOIOIO!O 00000000 X X000000000 X X000000000 x X000000000 X X000000000 X X000000000 X X0 0 0 0 0 0 0 0•0 X X0 X . X OXOO X X XXX0X0 X XXXOXO x XXXOXO X XOxO X OOXO X OXOO X XXXOXO OXoX X XXXOXO 0000 X X X X 0 X 0 OXXO X XXXOXO x ABC ABCAB ABCDEFCHIJ X0 00000000 XXXOX00000 5666788899 SECTIONS 0000000XO 0000000X0 0 0 0 0 0 0 0 X 0 . X X000000000 X X000000000 X 0 0 0 0 0 0 0 0 0 x X 0000 OOXO X X XXXOXO X,000 X. XXX0X0 X X X 0 X 0 X X 0000000XO X000000000 XXXOXO OxOO 0000000X0 0000000XO 0000000XO 0000000XO 0000000XO 000 0000 X0 000 000 0000 X0 ABCAB CAB LANGUAGE NS 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 11 0 - —23 F 110 —24 110 —22 F 110 F —21 F 110 —20 I 10 F —19 110 —18 F 110 —17 F 110 F 110 —16 —15 F no F —14 110 F 110 —13 F ANNEX COUNTRY NUMBER I SSA LANGUEDOC—ROUSSILLON CENTRE ELCTRONIQUE REGIONAL DE TRAITEMENT INFORNATIQUE DE VALENCIENNES CAISSE NATIONALE D'ALLOCATIONS FAMILIALES DES MARINS DU COMMERCE CENTRE DE TRAITENENT REGIONAL CAF—URSSAF TOULOUSE CAISSE D'ALLOCATIONS FANILIALES DE STRASBOURG CENTRE REGIONAL DE TRAITEMENT DE'L'INFORNATION POUR LES CAF ET URSSAF DE BRETAGNE CENTRE REGIONAL DE TRAITEMENT DE 'INFORMATION—ST. ETIENNE DEPARTEMENT DE LA CAFRP—PARIS ALPES—MEDITERRANEE CENTRE ELECTRONIQUE. REGIONAL DE TR.AITEMENT DE L'INFORMATION CENTRE DE TRAITEMENT REGIONAL DE NANCY CENTRE D'ALLOCATIONS FAMILIALES DU HAUT—RHIN DIJ CENTRE REGIONAL DE L'INFORMATIQUE CENTRE D'ALLOCATIONS FAMILIALES DE LA MOSELLE ORGANISATION — INSTITUTION AN ou FP X X X X X X X X X X X X PM I MA F D SP —S — E I w FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NEG 000000000 0000000.X0 X X X 000000000 0000000xO x000000000 X 0000000XO X000000000 X 0000000XO X000000000 X 0000000xO X000000000 x 0000000X0 X000000000 X 0000000XO x000000000 X 0000000XO X000000000 X 0000000xO X000000000 x 0000000x0 X000000000 X 0000000XO X000000000 X X 0000000XO ABCAB ABC 5666788899 SECTIONS 111222334 ABCABCAB LANGUAGE NS XO XO XC X 0 x x 0000 X000 X x xOx0 0000 X OXOX X X X X X XX00X 00000 X XX x0 x0 OXoC x Xx 00 XO XXOO x XX X0 XC 0000 x XX x0 XC OXCO XX X Xx xO XX x XX x0 XC OXXU x XX XC X0 CXXX XX XX x ABCDEFGHIJ xxXOx00000 10101010101010101010 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 11 CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE MALADIE DU CENTRE—OUEST 113 —06 F 113 113 —10 F —09 r 113 —08 113 F —07 CAISSE D'ASSURANCE MALADIE DU LANGUDEDOC-ROUSSILLON MALADIE DU SUD--EST CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE MALADIE RHONE—ALPES BOURGOGNE—FRANCHE COMTE CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE MALADIE DE LILLE —05 F CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE MALADI E 113 CAISSE REGIONALE D'ASSURANCE MALADIE DU MASSIF CENTRAL ' CAISSE REGIONALE DtASSURANCE NALADIE CNAVTS CENTRE INFORMATIQUE REGIONAL DtILE DE FRANCE CNAVTS CENTRE INFORNATIQUE NATIONAL CAISSE NATIONALE D'ASSURANCE—MALADIE ET MATERNITE DES TRAVAILLEURS NON SALARIES DES PROFESSIONS NON ACRICOLES CAISSE NATIONALE 0 tASSURANCE—VIEILLESSE DES TRAVAILLEURS SALARIES ORGANISATION - INSTITUTION F 113 —04 F -03 113 F —02 113 —01 113 F 113 F 111 F ANNEX COUNTRY NUMBER ISSA B P X x X X X X X X X X X X SP MIMAF A N 0 U —S—EFP I W - FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NS NE G XXX SECTIONS X X X X X X X X xO X XX X X X X X X XX X X X X0 X X X xO XO XX0 XO 0 X XX XXX0 XXO xX0 X X X X X X 0000000XX XXXXOXXOXX 0000XOOXOO X 0000000XX XXXXOXXOXX X XXX X X 0000000XX XXXXOXXOXX XXX0XXX X 0000000 XX XXXXOXXOXO X XX XX 0000000XX XXXXOXXOXX X000XX0 000 X X0 0 XXOO X00 000 0000000XX XXXXOXXXXX XXOOXXX X 0000000XX XXXXOXXOXO X 0000000 XX XXXXOXXXXX XX00XX0 000 X 0000000 XX XXXXOXXXXX XXOO XXO X 0000000XX XXXXOXXOXX xX0OXX0 000 X XXOXXOXOO 0000000000 0000000 000 X 111222334 5666788899 1O1OIOIOIOIOIOIO1OIO ABC ABCAB ABCDEFGHIJ ABCABCAB XXOXXOXOX XXxXOXXOXO LANGUAGE 0 X X X X X X X X X X X x X X X X 0 X X 11 —14 F 113 CAISSERECIONALED'ASSURANCE MUTUELLEGENERALEDEL'EDUCATION NATIONALE UNIONDESCAISSESCENTRALESDELA MUTUALITE AGRICOLE UNION NATIONALE INTERPROFESSIONNELLE F 119 F 120 F 121 —01 121 F COMMERCE (UNEDIC) UNEDIC GIA—CEDIDA ORLEANS POUR L'EMPLOI DANS L'INDUSTRIE ET LE CAISSE DE PREVOYANCE DU PERSONNEL DES ORGANISMES SOCIAUX ET SIMILAIRES F 115 —17 MALADIE DU NORD—EST F 113 —16 CENTREREGIONALDETRAITEMENT DE LtINFORMATION SECURITE SOCIALE NANTES F 113 . CAISSERECIONALED'ASSURANCE NALADIE MIDI—PYRENEES 113 —15 CAISSERECIONALED'ASSURANCE VIEILLESSE—STRASBOURG F —13 CAISSEREGIONALED'ASSURANCE MALADIE DE NORMANDIE II 3 MALADIE DE BRETAGNE F —12 INFORNATIQUE DU CENTRE 113 —11 F 113 CAISSEREGIONALED'ASSURANCE UNIONREGIONALEDUTRAITEMENT ORGANISATION — INSTITUTION F ANNEX COUNTRY NUMBER IS SA 0 U A N X X X X X X X X X X SP X XXX D X PHIMAF —S —E F P I W FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA FRA NEG NS I 1 2 2 2 3 3 4 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 IOIOICIOIOIOIO1OIOIO X X X X X X x x x X XX x XXX X X XX : X X X X X X X X X X X X X XXXOXXOXOO X X X X XXX X X X X X 0 X X X X 0 X X X x x x X X X X 0 0 X 0 0 0 0 0 X X X X x x XX 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 x x x x 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 x X X X 0000000X X XXXXOXXXXX xXOOXXOXOO X X X 0 X X 0 X 0 0 XXX XXOXXXXOX XXXXXXXXXX XXOOXXOXXO x XXOXXXXOX XXXXOXXOXX X X 0 X X 0 X 0 X XX X X 0000000XX XXXXOXXOXX XXXOXXOXOO X 0000000XX XXXXOXXOXO 0000X0000.O X 0000000XX XXXXOXXXXX X 0000000XX XXXXOXXOXX XXOOXXOXOO X 0000000XX XXXXOXXOXX XXOOXXOXOO x 0000000XX XXXXOXXOXX XXXOXXOXOO I SECTIONS ABC ABCAB ABCDEFGHIJ ABCABCAB 0000000XX XXXXOXXOXX XXXOXXOXOO LANGUAGE X 0 X x X x X X X X X X X X X X X X x X X X II —03 OFFICED'EMPLOIDELAMAIN-D'OEUVRE (OAED) INSTITUTO GUATEMALTECO Dli SOCIAL CAISSENATIONALEDESECURITESOCIAIEET PENSIONS CR 126 CCA 128 GUI 129 130 BRGGUYANANATIONALINSURANCESCHEME - INSTITIJT NATIONAL D'ASSURANCES SOCIALES AGRICOLES (OGA) • 125 CR 124 •IDRYMAKOINONIKONASPHALISEON(IKA) TRUST CR SOCIAL SECURITY AND RATIONAL INSURANCE 123 CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE UNEDIC ClARA LYON CR 122 —05 GAB 121 F —04 121 F UNEDIC CENTRE INFORMATIQUE D'AUBAGNE UNEDIC GIA—COPERNIC ARRAS 121 F PARIS NSTITUTION, UNEDIC GIA—IDF I ORGANISATION — F 121 —02 NUMBER ANNEX COUNTRY ISSA S XXX XXX X X X X XX X . X X X XX X X X X SP X X X D X PMIMAF —EFP AN I — 0U W NEG NEC ENG FRA ESP ENG ENG FRA ENG FRA FRA FRA FRA FRA 1 1 x 2 2 2 3 3 4 IOIOIOIOIOIOIOIOIOIO x X ABC ABCAB ABCDEFGHIJ XXXXOXXXXO XXXOOXOXOX 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 SECTIONS XXXXOXXXXX X X XXXOOXOXOO x X X X X. X 0 XX X X 0 0 X 0 0 0 0 0 X X X 0 X 0 0 0 0 0 x X X X X X 0 X X 0 X X X X X XXX 0 X X 0 0 X 0 0 0 0 0 X X XXXXOXXOXO XXOOX00000 X X X X X 0 X X XXXX X X X X 0 X X X X 0 x X X X X 0 X X 0 X 0 X X 0 0 0 X 0 0 0 0 0 . X00000000 0000000000 0000000000 XXX000000 0000000000 0000000000 X X X 0 X X 0 X X X X XXOXXOXOX XXX0000000 0000000000 X X 0 X X X X X X X X X X X XXOXXOXXX X X X 0 X X 0 X 0 X X X X 0 X X 0 X 0 X x 0000000XX XOXXOXXXXX XX000XOXOO X 0000000 XX X 0000000XX XXXXOXXXXX XXXOXXOXOO 1 ABCABCAB 0000000XX LANGUAGE NS X 11 0 0 X X 0 X X X X X X X X X . INSTITUTION MINISTRYOFLABOUR IND ENTENAZIONALEDIPREVIDENZAED ASSISTENZA PER I DIPENDENTI STATALI I 150 ISTITUTO NAZIONALE DI ASSISTENZA DIPENDENTI ENTI LOCALI (INADEL) I 155 I ISTITUTO NAZIONALE FER L'ASSICURAZIONE CONTRO GLI INFORTTJNI SUL IAVORO (INAIL) ASSISTENZA FARNACISTI 151 154 ENTENAZIONALEDIPREVIDENZAEDI I (ENPAS) NATIONAL INSURANCE INSTITUTE STATE ENTERPRISE FOR THE ADMINISTRATION OF SAVINGS AND INSURANCE OF EMPLOYEES (PERUM SOCIAL INSURANCE ORGANIZATION IL 141 139 ER 138 RI 137 RI PUBLIC CORPORATION FOR EMPLOYEES' SOCIAL INSURANCE (PERUM ASTEK) TARSADALOMI3IZTOSITAST FOEIGAZCATOSAC 135 S —E P P A N 0U X D X SP X X X X X XX XXXXX XXX.XX XX XX X X X PMIMAF — I W MAGYARSZAKASZERVEZETEKORSZACOSTANACSA XXX CAISSENATIONALEDESECURITESOCIALE ORGANISATION H 134 32 NV ANNEX COUNTRY IS SA ERA FRA FRA ERA ENG ENG ENG NS NEC ENG NEC ENG ENG NEC DEU FRA NE NEC . 1 1 2 2 2 3 3 4 00 ABC ABCAB 0000000000 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 SECTIONS X X X X . , 0 0 0 X 0 0 0 X 0 X X X 0 X 0 X 0 X 0 X 0000000000 X X X X X X X X X X 0 X X 0 X 0 X X XX0 X X 0 X 0 X X XXOXXOXOX X X X X X X X X X X 0 X X 0 X 0 X X X X X X X 0 X X 0 X0 X X X 0 X X X 0 X X 0 x x x X 0 0 0 X 0 0 0 0 0 X XXXXXXXXXO X0000X0000 X XXOOXXOXX OXXOXXXXOX XXXOXXOXXX X XXOXXOXOX X XXX X X X X 0 X X 0 X 0 X X X X X 0 X X X X 0 x . X XXOOX00000 ABCDEFGHIJ 0000000000 101O1O1O1O1O1O1O1O1O XXOXXOXOX XXXXOXXOXX X000XX0000 X X 0 X X 0 X 0 X X 0 X 0 X X 0 X X X x x xx XXX000000 0000000000 X X X XXOXXXXOX XXXXOXXXXO XOXOXO 1 ABCABCAB LANGUAGE X x x X X x x X X X 0 x 0 11 SOCIALE (INPS) SOCIALSECURITYDEPARTMENT 158 GBJ CAISSENATIONALEDESECURITESOCIALE RL MINISTERE DE LA SECURITE SOCIALE MAU XX X SP X X NEC FRA. XXX CAISSENATIONALEDESECURITESOCIALE 183 RN NS NEG ESP FRA ENG FRA NEG FRA FRA NEC FRA ENG ENG ES? X X X X X X X X FRA NS NEC XXX XXX X X X X X X X XXX XXX XXX D PMIMAF 1 1 2 2 2 3 3 4 X XX X X0XX0X0X X X X X X X0XX0X0X X XXXX0X0X XX XX X XXXXXXX0XX X X X X XXX X X X X 0 X X 0 X 0 X X0XX0XXXX0 XX XXXX0000X0 X XXXXOOXOXX X X X X X X 0 0 X 0 0 0 0 0 X XXX0X00000 00000000X0 X XXXOXXXXXO 0000000000 XX00XX000X X000000000 0000000000 x • XX X0XX0X0X . XOX000000 X X00000X000 0000000000 0000000000 x XXXX0000X0 XOX000000 0000000000 0000000000 X X X0 X X 0 X X X X X X XXOXXXXOX X 1O1OlO1O1O1O10101O1O ABC ABCAB ABCDEFGHIJ XOXXOXXOXX XXXOOXOXXO 5 6 6 6 7 8 8 8 9 9 SECTIONS OXXXXOXXX XXXOX00000 X X XXOXOOXOX x XXOXXXXOX ABCABCAB 1 LANGUAGE INSTITUTO NICARACUENSE DE SEGURIDAD SOCIAL INSTITUTO MEXICANO DEL SEGURO SOCIAL 0 U AN —S — E F P I W NIC 182 180 MEX 179 RIM CAISSENATIONALEDESECURITESOCIALE CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE MA 176 178 INSTITUT NATIONAL DE PREVOYANCE SOCIALE ORGANISMES DE SECURITE SOCIALE RMM 175 L 172 ASSOCIATIONLUXEMBOURCEOISEDES SECURITY 168 169 THE PUBLIC INSTITUTION FOR SOCIAL KWT 165 INSTITUTONAZIONALEDELLAPREVIDENZA ORGANISATION — INSTITUTION I COUNTRY NUMBER ANNEX ISSA . 0 x X 0 X X 0 X 0 X X 0 X 11 • 0 U A N SOCIALSECURITYFUNt EMPLOYEES OLD—ACE BENEFITS INSTITUTION GOVT.OFPAKISTANLABOURDIVISION N.W.F.P. EMPLOYEES 188 —01 PAR SOCIAL SECURITY INSTITUTION 188 —03 PAR 188 189 —04 PA SIND EMPLOYEES PAR CAJADESEGUROSOCIAL PUNDJAB EMPLOYEES SOCIAL SECURITY INSTITUTION GOVT.OFPAKISTANLABOURDIVISION SOCIAL SECURITY INSTITUTION COVT.OFPAKISTANLABOURDIVI5ION —02 188 GOVT.OFPAKISTANLABOURDIVISION PAR PAR GOVERNMENTOFPAKISTAN LABOUR DIVISION 188 187 EAU 186 —02 NZ DEPARTMENTOFSOCLALWELFARE XXX XXX XXX XXX ES? ENG ENG ENG ENG XXX ENG ENG ENG ENG ENG ENG NEG ENG X X NEC NS 1 I 2 2 2 3 3 4 9 IO1O1O1O1O1O1O1O1O1O XX X ABC ABCAB ABCDEFGHIJ XXXXO XXXX XOXOX00000 5 6 6 6 7 8 8 8 9 SECTIONS X X XX X xx X OOXOXXOXOX x X X 0000000000 XXX X X XXOXXXXOX XOXXXOOXXO X XOX000000 0000000000 x X XXOOXXOOXO 0000000000 XOX000000 0000000000 0000000000 X X0000000X 0000000000 0000000000 X XXOXXOXOX XOXXX00000 . 000000000 0000000000 0000000000 X XXOXOOXOX X0000000XO 00000000XO X XXX x XXOXXXXOX XXXXOXXXXO x XXOXXXXOX XXXXOXXXXX XXOOXXOXXO X XXOXXOXOX XXXXOXXOXX XXOOXOOXXX 000000000 0000000000 0000000000 X ABCABCAB XXOXXOXOX 1 LANGUAGE XXX X XXXX X XX 185 RIKSTRYGDEVERXET DECENTRALISED SYSTEM X N XX X . SP XX D PMIMAF —S — E F P I W RIKSTRYGDEVERKET CENTRAL SYSTEM RIKSTRYCDEVERKET NATIONALPROVIDENTFUND ORCANISATION — INSTITUTION. N 185 —01 185 N 184 WAN ANNEX NUMBER COUNTRY ISSA X 0 0 X X 0 0 X N X x X 0 X X II FEDERATIEVANBEDRIJFSVERENIGINGEN NL FONDSEN BEDRIJFSVERENIGINGVOORHET BAKKERSBEDRIJF BEDRIJFSVERENIGING "DE 193 -01 NL 193 —02 NL. 193 TEXTIELINDUSTRIE GRAFISCHEBEDRIJFSFONDSEN 193 —04 NL SOCIAALFONDS BOUWNIJVERHE1D —06 Ni 193 BEDRIJFSVERENICINGVOORDE —08 NL 194 193 —09 NL GEZONDHEID,GEE5:TELIJKE EN MAATSCHAPPELIJEE BELANGEN CENEENSCHAPPELIJK ADMINISTRATIEKANTOOR BEDRIJFSVERENICINGVOORHET KLEDINCSBEDRIJF Ni. 193 —07 BEDRIJFSVERENIGING VOOR DE LEDER EN TABAK 193 —05 NL 193 BEDRIJFSVERENIGINGVOORDE NL —03 AGRARISCHESOCIALE NL 193 BEDRIJFSPENSIOENFONDSEN VAN ORGANISATION — NL 192 ANNEX NIJMIBER COUNTRY ISSA AN SP X K K X X X XXXXX XXXXX XXXXX K X X X X XXXXX XXXXX XXXXX XXXXX XXXXX XXXXX D PMIMAF —S—EFP I ENG, ENG ENG ENG ENG ENG ENG ENG ENG ENG NEG ENG ENG NS I I 1222334 0000000000 . 0000000000 0000000000 K x x x X X 0 X 0 0 K X K X 0 X X K 0 0 K X 0 0 0 0 X X XXOOXX000X x X XXXXOXXXXO X XXOOXXX000 X X X 0 X X 0 X 0 K X X X K X X K 0 K X 0 X X X XX XXX X K 0 0 X X 0 X X X X XXOXXOXOX XXXXXXXOXK XXXOXX000X X XXOXXOXXX X XXOXXOXOX X0000000XX XXOOXXXXXX K X X 0 X X 0 K 0 X X XXOXXOXOX XXXXOXXOXO x XXOXXOXOX XXXXOXXOXX XXOOXX0000 XOX000000 X X XXOXXOXOX XXXXOXXXXX XXOOXX000X X XXOOX000XO 0000000000 5666788899 10 1010 10 10101010 1010 ABC ABCAB ABCDEFGHIJ SECTIONS XXOXOOXOX XOXX0000XO 000000000 ABCABCAB LANGUAGE NS NEC X X X X X X X X 0 X X 0 II co EMPLOYEES' COMPENSATION AN OU X CAISSE SOCIALE DU RWANDA RWA ES 213 INSTITUTO SALVADORENO DEL SEGURO SOCIAL XXX DEPARTMENT OF HEALTH AND SOCIAL SERVICES GBI XXX X XXX DEPARTMENT OF HEALTH AND SOCIAL SECURITY 212 X X XXXX GB 207 DA PREVIDENCIA XXX ZAKLAD UBEZPIECZEN SPOLECZNYCH PL P XXX SOCIAL SECURITY SYSTU{ X X X XXX NEC ESP FRA ENG NS NEC ENG NS FRA NEC FRA NS ENG ENG NS NEG ESP ENC ENG NS NEC ENG X XXO X XX X X ABC X XX X X X X XXXXXXXOXO XX K XX XXOOXXOXXO X XXXXXXOXXO xX.OOX000XO X XOX0000000 0000000000 XXX ABC DE F GB 13 10101010101010101010 XXXXOXXXXX XXO.oxXxXXX AB CAB 5666788899 SECTIONS X X XX X XX X XXOXXOXOX XXXXXOXXXO X000X00000 X XOX000000 0000000000 0000000000 X XXOXXXXXX XXXXOXXXXX XXOOXXOXOO XX XXOXXOXOX X XXX XX 0 XXX X XXO x xo XXO XX0 XOX 111 222334 ABCAB ABC LANGUAGE —S—EFP NS PHIMAF NEC D SP I W RP 203 201 RP VERENIGING VAN RADEN VAN ARBEID SEGURO SOCIAL DEL PERU 97 SOCIALE VERZEKERINGSBANK SOCI.ALE VERZEKERINGSRAAD ORGANISATION — INSTITUTION PE 200 1 ML 196 ML 195 ML COUNTRY NUMBER ANNEX ISSA X X 0 X X X. 0 X X II w i • S KRANKENKASSENVERBAENDE INSTITUTION DES ASSURANCES SOCLALES 227 SIR 229 233 CS 232 CS I I SPRAVA NEMDCENSKEHO FEDERALNI MINISTERSTVO PRACE A U I SOCIALNICH VEC UNION CH CH 226 —01 SOZIALVERSICHERUNG CENTRALE DE COMPENSATION SCHWEIZERISCHE UNFALLVERSICHERUNGSANSTALT (SUVA) BUNDESAMT BUNDESANT FUER SOZL\LVERSICHERUNG SVENSKA PERSONAL—PENSIONSKASSAN 224 CH 224 CR 223 S 222 S - KOOPERATIONENS PENSIONSANSTALT 219 RIKSFOERSAEKRINGSVERKET DE ERKAENDA ARB.ETSLOESHETSKASSORNAS SAMORCANISATION S 221 PUBLIC SOCIAL INSURANCE INSTITUTION ORGANISATION — INSTITUTION SUD 218 COUNTRY NUMBER ANNEX S ISSA ou X x X X X X XX x X X XX X X XX XX SP D X A N I —S—EFP PMIMAF w NS NEC FRA NEC ENG ENG DEU DEU FRA FRA ENG ENG ENG NS NEG ENG ENG NEC NS 1 1 2 2 2 3 3 4 IOIOIOIOIOIOIOIOIOIO ABC ABCAB ABCDEFGHIJ 6 6 6 7 8 8 8 9 9 X XX X X XXX XXXXOXxOXX K XXOOXOX000 X XxOOXXOXXX X XX X XXXX0XX0XX XX XXXXOXXOXX XXX XXXXOXXXXX XX 00 X 0000 X 0000000000 0000000000 0000000000 X XXXOXX0XX0 X XOXXXX•xO0X X XXOOXXOXXX 0000000000 K OX00000000 X X XX X XXXXOXXOXX X XX XXXX XOXXOOXOX 0000000000 X XXOXXOXXX XX XXOXXOXXX X XXOXXOXOX X XXOXXOXOO X XXOXXOXOX X 11 0 0 X X X X X 0 X X X X 0000000000 00000000000 5 SECTIONS XXOxOOxOX xXXX0000XX XXxOXXOXOO X XXOXXOXOX XOX000000 ABCABCAB 1 LANGUAGE 0 ZRE 250 Z ZAMBIA NATIONAL PROVIDENT FUND INSTITUT NATIONAL DE SECURITE SOCLALE 247 X X XX X SAVEZ ZAJEDNICA PENZIJSKOG I INVALIDSKOG OSIGURANJA JUGOSLAV].JE I SAVEZ ZAJEDNICA ZDRAVSTVENOG 0 SICURANJA JUGOSLAVIJE YU 249 X COMITE D'ETAT DE L'URSS POUR LE TRAVAIL ET LES QUESTIONS SOCIALES XXX SU 243 241 TR SOSYAL SIGORTALAR KURUMIJ X X XX GAlS SE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE 238 TN ,X A F X S P M XXX D PMI EFP 0 U A N —S— I W CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE ORGANISATION — INSTITUTION TG 234 COUNTRY NUMBER ANNEX IS SA ENG FRA FRA RUS NS ENG FRA ERA X X X XXOXXO X X XO X x XXXXO XOOXO XXX X XXOO XXO 0 X XX XXOO X K XXXXOXXOXX X X XX0O XO X XX XXXXXX0XO X XXX000XXX XXOO XX X X X X X X XO 0 X X00000 X X0 0 XO X X XO X0 XO XX XO 00 666788899 10 1010 10 1010 101010 10 ABC ABCAB ABCDEFCHIJ XXOOX000XO X XXOOXXXXO 5 SECTIONS XXOXX0 XXX XXXXOXXOXO X X XOXXOXOX X X0XX0X0X X 11222334 BCABCAB X0X00X0X XXOXXO X X X LANGUAGE NS I NEC A X X K X X X K X 11 H 'Ji — 53 — ANNEXE 3 REPONSES POSITIVES OU COJ'tIENTEES — ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE SECTION .. REPONSES POSITIVES flU COMMENTEES 3 I—A FAMILIALES NUMERO D ORDRE 005 007 009-00 014 015—01 015—02 015—03 015—05 015—06 015—07 017—Of) 018 019 020 021 022 023 030 031. 033 034 IDENTIFICATION DE I INSTITUTION PARTICIPANT AU RECENSEMENT NUMERO NIJMERO. 0 OR ORE 0 ORDRE 071—02 011—03 072 075 132. 077 078 082 083 141 194 196 1350 197 1.38 200 203 151. 207 212 213 084 088 092 095 154 155 218 221 158 096 097—00 098 099 168 172 175 222 223 224—00 100 102 135 145 150 ... 165 176 178 185—01 247 249 1.08 1.85—02 040 041 044 109—00 110—00 111 113—00 115 186 187 188—Cl 120 121—00 122 123 189 NUMERO 0 ORDRE 229 232 234 238 039 NUMERO 0 ORDRE 224—01 226 227 179 182 183 184 037 046 NUMERO D OPORE 134 106—00 106—01 107 045 — 0 2041 250 188—02 0 050 051. 052 055 058 064 065 066—00 068 071—01 124 125 126 128 129 130 193—01 193—02 193—03 193—05 193—06 193—07 193_080 193—09 REMARQUE 1; LES NUMERflS 0 ORDPE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTFES SONT PRECEDEES ASTER ISQUE. UN — ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE 3 SECTION 56 — REPONSES POSITIVES OU 1—6 QUESTIONS GENEP.ALFS —-s_—n—— NIJMERO D ORORE NUMERO 0 ORORE ————— NUMERO D ORDRE 005 072 141 007 009—00 014 015—01 015—02 015—03 015—05 015—06 015—07 017—00 077 078 082 083 145 150 151 154 *084 155 158 018 019 020 021 022 023, 030 031 033 034 037 039 040 041 044 045 046 050 052 055 058 064 065 066—00 068 071—01 071—02 071—03 088 092 095 096 097—00 098 099 100 102 105 106—00 106—01 '107 165 168 169 172 175 176 178 182 187 111 113—Of) 193—01 115 119 193—04 120 121—00 122 123 193—06 193—07 193—08 193—09 128 129 134 *135 137 138 0 ORORE NUME!W 0 ORORE NUMERO 0 ORORE 223 *224—00 224—01 227 232 234 238 241 247 249 250 184 185—01 185—02 186 108 109—00 110—00 *124 125 126 NLJMERO 188—01 189 193—0 2 193—05 194 196 197 200 203 207 213 221 222 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES ZNSTITUT1ONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTERISQUE. — ISS4/OM/XIV/3 — REPONSES POSITIVES OLJ CCMMENTEES ANNEXE 3 SECTION I—C NUMERO O ORORE NUMERO 0 ORORE QUESTIONS CONCERNANT LES INSTITUTIONS NON INFORMATISEES NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORIDRE NUMERO 0 GROPE *01.5—05 048 *051 075 129 132 *j35 1.69 175 179 183 *188—03 *188—04 193—03 * 200 *212 218 229 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IOENTIFTEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN ASTER I SQUE. ISSAIOM/XIV/3 ANNEXE 3 SECTION 58 — REPONSES POSITIVES Oh Il—A — ACTIVITES INFORMATISEES SPECIFIQUES A IA SECURITE SOCIALE NUMERO 0 ORORE NtJMERO O ORORE *007 *071—03 *072 *014 *015—01 *015—02 075 *077 078 *082 *141 *145 *151 154 155 NIJMERO *01.5—03 *01.5—04 *015—05 *015—06 015—07 017—00 *018 *01.9 *020 *021. *022 023 *Q3fl 031. 0 ORORE 158 083 084 088 *092 095 *096 097—00 098 099 100 102 *105 *165 *168 *169 *106—00 106—01 187 *033 107 034 037 *039 *108 *040 041 *Q44 *045 *046 *050 *052 *055 058 *364 *065 *066—00 *068 071—01 *071—02 *1.1.1 *1.09—00 *113—00 *115 119 *120 *121—00 *122 123 *124 *125 *126 128 *134 *137 138 COMMENTEES 172 *175 *176 NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORDRE 224—00 *224—01 *226 *227 229 234 *238 *241 *247 *249 *250 178 *182 184 *185—01 185—02 *186 188—01 *189 193—01 193—02 *193—04 *193—05 193—06 193—07 193—08 *193—09 194 196 197 *200 *203 207 *213 221 222 223 a Wa 1; LES NUMEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFTEES EN ANNEXE 2. REMARQIJE 2; LES REPONSESCOMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN REMARQUE ASTERI SQUE. — 59 — ISSA/OM/XI V/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION NUMERO o ORORE 005 *007 009—00 314 015—01 015—02 015—03 '315—04 01.5—05 015—06 015—07 017—00 020 021 022 023 330 *33j *034 037 039 *040 041 044 045 050 052 *355 058 ACTIVITES ADMINISTRATIVES SUSCEPTIBLES 0 FIRE TRAITEES A I AIDE 0 ORDINATEURS, NON SPECIFIQUES A IA SECURITE SOCIALE Il—B NUMERO 0 OPORE NUMERO D ORORE 077 078 082 083 084 088 092 *095 096 097—00 098 099 102 105 106—00 151 154 155 158 *168 169 172 175 176 178 *182 184 185—01 188—01. *189 193—02 193—04 193—05 193—06 193—07 193—08 193—09 194 *115 119 *123 121—00 ' 207 *213 128 132 *223 *134 224—00 137 138 141 145 *224—01 *072 075 247 249 253 *203 066—00 071—01 071—02 071—03 241. 196 064 065 *368 NUMERO 0 ORDRE *197 *233 1.22 1.26 NUMERO 0 ORORE 186 107 108 109—00 110—00 111 113—00 125 D CRORE 185—02 *106—31. 123 124 NtJMERO' 221 *226 *150 227 232 238 1.; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEFS EN ANNEXE 2. REMARQUE'2"; LES PEPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES' 0 UN REMARQUE ASTERI SQUE. — 60 ISSA/OMFXIV/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION — Il—C AUTRES ACTIVITES SUSCEPTIBIES 1) ETRE TRAITEES A I AIDE 0 ORDINATEUP.S NUMERO O ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO U ORORE NUMERO 0 ORURE 005 007 009—00 *015—05 034 *044 045 *065 071—01 075 *078 *096 097—Ofl 102 *105 *107 119 *120 *125 *134 150 158 172 18 5—0 2 *186 *189 207 RFMARQUE 1; LES NUMEROS D ORORE CORRESPONDENT A CEtJX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; IFS REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTERISQUE. - 61 ISSA/OM/XI V/3 R.EPONSES POSITIVES OU.COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION — Ill—A STRUCTURE GEOGRAPHIQUE DES ACTIVITES I NFURMATI SEES NLJMERO NUMERO o ORORE 0 ORDRE 005 *007 009—00 014 01 5—01 015—02 015—03 015—04 *015—05 01 5—06 015—07 017—00 018 020 021 022 023 030 031 033. 034 037 039 040 041 *044 *045 046 050 052 055 058 064 *065 *066—00 068 071—01 071—02 071—03 NUMERO 0 ORDRE 075 077 078 154 082 *165 168 083 088 092 095 155 158 169 172 175 *096 097—00 098 099 100 102 105 *106—00 106—01 *107 108 109—00 110—00 111 113—00 115 119 120 NUMERO 0 ORDRE 227 229 234 238 241 *247 249 250 185—01 185—02 *186 187 188—01 189 193—01 193—02 193—04 193—05 193—06 193—07 193—08 193—09 194 196 *197 134 137 200 203 207 213 221 222 1.38 223 126 128 145 151 NUMERO 0 ORORE 178 182 184 *125 141 0 OPDRE 176 *121—00 122 123 124 NIJMEP.O 224—00 *224—01 226 REMARQUE 1; L.ES NUMEPOS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER I SQUE. — ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE REPONSES POSITIVES PU COMMENTEES 3 SECTION NUMERO 0 ORORE 009—01 009—02 009—03 009—04 009—05 009—06 015—04 015—06 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 017—07 017—08 017—09 017—11 017—12 017—13 017—14 017—15 017—16 017—17 017—18 017—19 017—20 017—21 017—22 018 066—00 068 071—01 071—02 071—03 072 077 078 62 — Ill—B NUMERO C ORDRE IDENTIFICATION DES CENTRES INFORMATIQUES AVANT REPONDU A TITRE INOIVIDUEL A CERTAINES SECTIONS DU RECENSEMENT DES EQtJIPEMENTS INFORMATIQUES UTILISES PAR LES INSTITUTION MEMBRES DE I AISS NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORDRE 106—26 106—27 106—28 106—29 106—30 106—31 110—19 110—20 110—21 110—72 110—23 110—24 113—01 113—02 113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 113—08 113—09 113—10 113—11 113—12 113—13 113—14 113—15 113—16 113—17 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 124 125 128 083 088 097—01 097—02 097—03 097—04 097—05 097—06 097—07 097—08 097—09 097—10 097—11 099 106—00 106—02 106—03 106—04 106—05 106—06 106—07 106—08 106—09 106—10 106—11 106—12 106—13 106—14 106—15 106—16 106—17 106—18 106—19 106—20 106—21 106—22 106—32 106—33 106—34 106—35 106—36 106—37 106—38 106—39 106—40 106—41 106—42 106—43 lOT *109—00 109—01 110—01 110—02 110—03 110—04 106—23 106—24 106—25 110—05 110—06 110—07 110—08 110—09 110—10 NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORDRE 226 249 110—it 110—12 110—13 110—14 110—15 110—16 110—17 110—18 150 169 178 193—08 197 200 207 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN REMARQUE ASTER I SQUE. — 63 — ISSA/OM/XIV/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION NUMERO MATRICULE DES ASSURES ET AUTRES SYSTEMES DE CIASSEMENT IV NUMERO O ORORE NUMERO 0 ORORE NUMER,O *005 *007 *009—00 *fl4 *015—01 *015—02 *015—03 *071—03 *113—14 *113—15 *113—16 *113—17 *115 *015—04 *015—05 *015—06 084 088 *092 *015—07 *Q95 *096 097—00 *098 *099 *017—00 *018 *019 *020 *021 *022 023 *030 031 *033 *034 *037 *039 040 *041 *044 *045 046 050 052 *055 *058 *064 *065 *068 *071—01 *071—02 *072 075 *077 *078 *082 *083 102 *105 *106—00 *106—01 *jQ7 *108 *109—00 *109—01 *110—00 *111 *113—01 *113—02 *113—03 113—04 *113—05 *113—06 *113—07 *113—08 *113—09 *113—10 *113—11 *113—12 *113—13 0 ORDRE *119 *120 *121—01 *121—02 *121—03 *121—04 *121—05 *122 *123 NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORDRE 186 *187 *188—0! *188—02 *189 193—01 193—02 *193—04 *193—05 *193—06 *193—07 *193—08 193—09 194 *124 *125 126 *128 *196 *200 *203 *207 *134 *137 *138 *141 *145 *213 *221 *222 *223 *224—01 *226 *227 150 *151 *154 *155 *158 *165 *168 *169 *172 *j75 *176 NUMERO 0 ORORE 22° *234 *238 *241 *247 *249 *250 182 *184 *185—01 *185—02 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES tN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN ASTERISQUE. ISSA/OM/XIV/3 — MODE 0 UTILISATTON DO MATERIEL SECTION V NIJMERO NUMERO 0 ORORE D ORORE *105 021 021 022 *009—02 *009—03 *009—04 *009—05 *009—06 014 015—01 015—02 023 *030 *031 *033 *034 *01.5—03 044 *045 *046 050 052 055 058 *064 *065 *066—00 *015—04 *015—05 015—06 *015—07 017—01 *017—02 017—03 *017—04 017—05 *017—06 *017—07 017—08 *017—09 011—10 *017_il *017—12 017—13 017—14 *017—15 017—16 *017—17 *017—18 *017—19 *017—20 *017—21 *017—22 *11.8 64 — REPONSES POSITIVES 00 COMMENTEES ANNEXE 3 037 *0.39 *041 *068 *071—01 *071—02 *071—03 *072 *075 *077 078 *082 083 088 092 *095 *096 097—01 097—03 *097—04 *097—05 NUMERO 13 ORORE 097—06 097—07 097—08 097—09 *098 *099 *100 102 105 *106—00 *106—02 *106—03 *106—04 *106—05 *106—06 *106—07 *106—08 *106—09 *106—10 *106—11 *106—12 *106—13 *106—14 *106—15 *106—16 *106—17 *106—18 *106—19 106—20 106—21 *106—22 106—23 106—24 *106—25 106—26 *106—27 *106—28 *106—29 *106—30 NUMERO 0 ORDRE *106—31 *106—32 *106—33 *106—34 *106—35 *106—36 *106—37 *1.06—39 *106—39 106—40 *106—41 *106—42 *106—43 *107 1.08 *109—00 *109—01 *110—01 *110—02 *110—03 *110—04 *110—05 *110—06 *110—07 *110—09 *110—09 *110—10 *110—il NUMERO U ORDRE NUMERO 0 ORDRE *110—24 *154 155 158 *165 *168 *169 172 *175 *176 *178 182 *184 185—01 185—02 *186 *187 *188—01 *199 193—01 *193—02 *193—04 151 *111 113—"l 113—02 113—03 113—04 *113—05 *113—06 113—07 *113—08 *113—09 *113—10 *113—11 *113—12 *113—13 *113—14 *113—15 *113—16 *113—17 *115 *119 *tlfl—12 *120 *121—01 *121—02 *121—03 121—04 *121—05 *122 *110—13 *110—14 *flO—15 *110—16 *110—17 *110—18 *110—19 *110—20 *110—21 *110—22 *124 *125 126 128 *j34 137 138 *141 145 123 193—0.5 193—06 193—07 193—08 193—09 194 *196 *197 *200.. 203 207 213 *221 *222 *223 *224—01 *226 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEJX DES INSTITUTIONS !DENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQIJE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER! SQUE. — 65 — ISSA/OM/XI V/3 REPCNSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 MODE 0 UTILISATION DU MATERIEL V SUITE NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORDRF NUMERO D ORORE *227 *234 238 *241 *247 *249 *251) — — 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTTFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTERISQUE. REMARQUE — ISSA1OM/XIV/3 ANNEXE SECTION 66 — REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES 3 Vt—A PLAN INFORMATIQUE El ORGANIGRAMMES CONCERNANT' IFS SERVICES NUMERO o ORDRE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NIJMERO NUMERO 0 ORORE 0 ORDRE *005 *007 *031 *033 *fl99 *113—05 *113—06 *178 *182 034 *037 *039 *102 *jØ5 *113—07 *113—08 *113—09 *j94 *185—01 *165—02 *113—10 *113—ti *186 *193-02 *113—12 *113—13 *113—14 *113—15 113—16 *113—17 *193—04 *193—05 *193—na *193—09 *194 *009—02 *009—03 *009—04 *009—05 *009—06 *015—01 *015—02 *015—03 *015—04 *015—06 *015—07 *017—01 017—02 *317—03 *017—04 *017—05 *017—06 *Øj7-fl7 017—08 *017—09 *017—10 *017—11 *017—13 *017—14 017—15 *017—16 *317—17 *017—20 *017—21 *017—22 018 020 *021 *022 023 100 *106-00 *041 106—02 106—04 106—07 106—09 106—09 106—10 106—11 106—13 106—14 106—16 106—18 106—19 106—23 106—22 106—23 106—25 106—26 106—27 106—33 106—35 106—36 106—39 106—41 106—42 106—43 *Q44 *045 *046 *050 055 *058 *065 *066—00 *068 *071—01 *071—02 *071—03 *072 *075 *077 *078 *082 083 *084 *088 *092 *095 *096 097—01 *097—03 097—05 *097—06 097—07 097—08 *097—09 *097—10 *097—11 *098 *115 *119 120 *121—01 121—02 121—03 121—04 *122 *123 *124 *125 *126 . *213 *221 *222 *223 *224—00 *224—01. *226 *227 *234 128 *238 *137 *138 *j4j 247 *249 *250 *j34 *107 *145 108 150 *151 *109—01 *196 *200 *203 *207 *241 *154 *111 *11,3—01 *113—02 *113—03 *113—04 155 *168 169 . *172 *175 REMARQUE 1; IFS NIJMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX INSTITUTIONS IOENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2..; IFS REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES ,D UN ASTERISQUE. NUNERO 0 ORDRE — 67 — ISSA/OM/XIV/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION NUMERO OORDRE VI—B NUMERO U ORORE 8UDGETET PERSONNEL INFORMATIQUES NUMERO 0 ORORE NUMEPO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE S *005 007 *009—01 009—02 *009—03 *009—04 *009—05 *039—06 014 015—02 015—03 015—04 015—05 015—06 015—07 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 *017—07 017—08 *017—09 017—10 017—11 017—12 *017—13 017—14 017—15 017—16 017—Il 017—19 017—20 017—21 017—22 Ô22 023 *030 *031 034 037 039 041 *044 *fl45 *046 050 *052 055 058 064 *065 *066—00 *068 071—01 *071—02 071—03 *072 075 077 078 *082 084 088 092 *095 096 097—10 097—11 098 018 020 *099 100 102 021 *105 106—flfl 106—02 106—03 106—04 106—05 106—06 106—40 106—41 106—42 106—43 108 150 .106—07 106—OR 106—09 106—10 106—11 106—12 106—13 136—14 106—15 106—16 106—17 106—18 106—19 106—20 106—21 106—22 106—23 106—24 106—25 106—26 106—27 106—28 106—29 106—30 106—31 106—32 106—33 106—34 106—35 106—36 106—37 106—38 106—39 128 134 137 138 *141 145 *111 113—01 113—02 *113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 *113—08 113—09 *113—10 *113—11 113—12 *113—13 *113—14 *113—15 113—16 *113—Il *1.15 119 120. 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 *122 123 *124 *125 126 151 154 *155 158 *222 223 *224—01 226 227 234 238 241 *247 249 *250 168 *169 172 175 176 *178 182 184 185—01 185—02 *186 188—01 189 193—01 193—02 193—04 193—05 193—06 193—08 193—09 194 *196 197 200 203 207 *213 *221 1; CESNUMEROS D ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; IESREPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN REMARQIJE ASTERISQUE. ISSA/OM/XLV/3 ANNEXE 3 SECTION NUMERO 0 ORORE 005 *009—01 *009—02 *009—03 *009—04 *009—05 *009—06 014 *015—01 *015—02 015—03 *015—04 015—05 015—06 015—07 017—01 317—02 017—03 017—04 017—05 017—06 017—01 017—08 017—09 017—10 017—11 017—12 017—13 017—14 *Øj7—j5 017—16 017—17 017—20 017—21 017—22 018 020 021 — 68 — REPONSES POSITIVES flU COMMENTEES — QUELQUES CHIFFPES—MESURE VT—C NUMERO 0 ORDRE NUMERO *022 023 030 *031 *033 034 037 039 041 044 045 *046 050 *052 055 058 064 065 *066—00 *068 071—01 071—02 071—03 *072 075 077 078 082 083 084 088 092 *095 *096 097—10 097—11 098 *099 102 *105 106—00 *107 NUMERO 0 ORDRE f) ORDRF — 138 141 145 151 108 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 *122 — 123 124 125 128 134 137 *241 249 250 155 158 *168 *172 *175 176 178 182 184 185—01 111 119 120 NUMERO 0 ORORE 154 109—00 110—00 113—01 113—02 113—03 113—04 113-05 113—06 *113—07 113—08 113—09 113—10 113—11 113—12 113—13 113—14 113—15 113—16 113—li 115 NUMERO 0 ORDRE 185—02 186 188—01 189 193—01 193—02 193—04 : 193—05 193—08 193—09 194 196 200 203 207 213 221 *222 223 224—01 226 227 238 241 — ————-,,_ 1; IFS NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN REMARQUE ASTER I SQUE. ISSA/OM/XIV/3 —. VII NMERO O ORORE — REPONSES POSITIVES OtJ COMMENTEES ANNEXE 3 NUMERO 0 ORDRE FACILITIES MANAGEMENT. FT CLE SUR PORTE NUMERO D ORORE NUMERO 0 GROPE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORORE 017—18 020 066—00 *071—02 *07 1—0 3 *Q77 083 *096 100 *105 *120 * 150 151 *168 169 188—0 1 189 193—09 200 *203 213 241 — ______ 1; LES NUMEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES U UN ASTERISQUE. REMARQUE — ISSA/OM/X[V/3 ANNEXE 3 - 70 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES SECTION VII.I—A, IFS REALISATLONS IFS PLUS — NUMERO .NUMERO .0 ORDRE 0 ORORE 005 007 009—fl 009—02 009—03 009—04 009—05 009—06 014 015—01 015—03 015—04 015—05 015—06 015—07 017—01 017—02 317—03 017—04 017—05 017—06 017—07 017—08 017—09 317—10 033 034 037 039 041 044 045 046 050 052 055 058 064 065 066—01 066—02 068 071—01 071—02 071—03 072 077 078 082 088 092 095 096 097—02 097—10 097—11 098 099 100 102 105 106—00 106—01 107 01.7—11 017—12 017—14 017—16 017—17 017—18 017—20 01 7—21 017—22 018 021 022 030 031 — _— NUMERO 0 ORDRE 108 109—00 109—01 110—00 NUMEPO 0 ORDRE 151. 154 1.55 113—01 113—02 113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 113—08 113—09 113—10 113—11 113—12 113—13 113—14 113—15 113—16 158 168 176 178 11317 121—02 121—03 121—04 121—05 122 123 124 125 128 134 137 138 141 NUMERO 0 ORDRE 145 150 111 115 119 *120 121—01 NUNERO P ORDRE 185—01, 185—02 186 193—02 193—04 193—05 193—06 193—08 193—09 194 196 200 203 207 221 223 224—01 226 227 234 241 247 249 250 REMARQUE 1; LES NUMEROS DORORE CORRESPONDENT A DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE2; LES REPONSES SONT PRECEDEES bUN ASTERISQUE. LSSA/OM/XIV/3 — — REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION VI1'I—B DESCRIPTION VERBALE DES ACTIV1TES SELECTIONNEES NIJMERO o ORDRE NUMERO 0 ORORE NUMERO D ORORE NUMERO D OPDRF *005 *007 *009—01 *033 *037 *039 *041 *044 *045 *046 *050 *052 055 *109—00 *109—01 *150 151 154 *111 113—01 113—02 113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 155 158 *009—02 *009—03 *009—04 *009—05 *009—06 *015—01 *015—03 *015—04 *015—05 *015—06 *015—07 *017—01 *017—02 *017—03 *058 *064 *065 *066—01 *066—02 113—08 *113—09 *113—10 113—11 *068 *071_Ol *113—12 *113—14 *113—15 113—16 *113—17 *017—09 *017—10 *071—02 *071—03 *072 *077 *078 *082 *088 *092 *017—il *017—12 *095 *096 *017—14 *017—16 *017—17 *017—19 *017—20 *017—21 *017—22 *021 *097—02 *097—10 *097—11 022 *023 *106—00 *106—01 *017—05 *017—06 *017—07 *017—08 *030 *031 *098 *099 *100 *102 *105 107 108 *l13_13 172 176 178 184 185—01 185—02 *l86 193—02 193—04 193—05 193—06 193—08 *193—09 194 *U5 *119 207 120 213 221 223 122 123 *124 *125 NUMERO 0 ORDRE *168 *196 *203 *121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 NUMERO 0 ORORE 224—01 *226 *227 234 241 247 *249 128 134 137 138 *141 145 1; LES NUMEROS D ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS !DENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES StINT PRECEDEES D UN REMARQUE ASTER! SQIJE. !SSA/OM/XIV/3 ANNEXE 3 72 — REPONSES POSiTiVES OU COMMENTEES SECTION VIIT—C NUMERO U ORORE 015—03 015—04 015—06 015—07 021 *023 031 034 039 052 055 058 064 066—01 066—02 071—01 077 078 NUMERO 0 ORORE — TABLEAU SYNOPTIQIJE DES ACTIVITES SELECTIONNEES NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUN ERO 0 ORORE 137 145 150 151 176 184 185—02 186 189 193—02 193—06 193—08 196 200 207 213 224—01 234 238 100 105 106—00 107 110—00 113—02 113—03 113—05 113—15 115 120 12 1—01 121—02 121—03 121—04 121—05 122 123 134 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES U UN ASTER I SQUE. ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE SECTION NUMERO O ORORE 005 *007 009—01 009—02 009—03 009—04 009—05 009—06 014 015—01 015—02 015—03 *015—04 015—05 015—06 015—07 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 017—07 017—08 017—09 017—10 017—li *017—12 *017—13 017—14 017—16 017—IT 017—18 017—20 *017—21 017—22 1)18 020 021 — — REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES 3 IX—A NUMERO 0 ORORE 022 023 030 031 033 034 037 039 041 044 045 046 051) 052 055 058 064 *065 066—01 *066—02 *068 071—01 071—02 071—03 072 077 078 082 083 084 088 092 095 096 097—10 097—11 098 LOGICIEL 0 APPLICATION N(JMERO 0 ORDR.E 102 105 106—00 107 108 109—00 139—01 110—00 111 113—01 113—02 113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 113—08 113—09 113—10 113—11 *113—12 *113—13 113—14 113—15 113—16 113—17 099 100 115 119 120 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 122 123 124 125 128 NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORDRE 134 137 138 *141 145 226 227 234 238 241 *247 249 250 151 154 155 158 168 172 175 176 178 182 184 185—01 185—02 186 187 189 193—01 193—02 NUMEPO 0 OROPE 193—04 193—05 193—06 193—01 193—08 193—09 104 196 200 203 207 213 221 222 223 224—01 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN REMARQUE ASTER I SQUE. LSSA/CM/XIV/3 ANNEXE 3 SECTION NUMERO D ORORE 005 007 009—01 009—02 009—03 009—04 009—05 009—06 014 015—01 015—02 015—03 015—04 015—07 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 01 7—07 017—08 017—09 017—10 017—Il 017—12 017—13 017—14 017—16 017—17 01 7—20 017—21 018 020 023 031 034 039 050 74 — REPONSES POSITIVES Ut) COMMENTEES IX—B NUMERO 0 ORDRE 052 055 065 066—01 066—02 068 082 083 095 096 097—10 097—11 098 — IC)GICIEI DE GESTION DES TACHES UTILITAIRES NUMERO 0 ORDRE 113—02 113—03 113—05 *113—06 113—08 113—09 113—10 113—il 113—12 113—13 113—14 113—15 113—17 099 119 100 102 120 121—01 106—00 106—04 106—05 106—06 106—08 106—12 106—13 106—20 106—21 106—22 106—24 106—25 106—29 106—33 106—35 106—36 106—41 106—42 106—43 107 109—00 110—00 113—01 121—03 121—04 121—05 NUMERO D ORORE NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORDRE 226 227 238 247 141 145 *150 158 168 172 184 185—01 185—02 193—02 193—04 193—07 193—09 194 196 207 221 222 223 224—01 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; tES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN ASTER ISQUE. — 75 — ISSAIOM/XI ANNEXE 3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES MATERIEL DE TRAITEMENT El DE STUCKAGE DES OONNEES SECTION X—A NUMERO O ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE *005 007 009—01 023 030 031 *Q34 *037 039 *041 044 045 046 050 052 055 058 064 *065 066—02 *068 071—01 071—02 072 *077 078 082 083 088 092 *095 *096 097—10 097—11 *098 099 102 105 *106—00 106—03 106—04 106—05 106—06 106—07 106—08 106—09 106—10 106—lI 106—12 106—13 106—15 106—16 106—19 106—20 106—21 106—22 106—23 106—24 106—25 106—26 106—29 106—31 106—32 106—33 106—35 106—36 106—37 106—38 106—40 106—41 106—42 106—43 110—06 110—07 110—08 110—09 121—02 121—03 121—04 121—05 122 123 *124 125 128 134 137 138 141 145 *150 009—02 009—03 009—04 009—05 009-06 014 *015—01 015—02 015—03 015—04 015—06 015—07 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 *017—07 *017—08 017—0° 017—10 017—11 017—12 017—13 017—14 017—16 017—17 *017—18 *017—20 017—21 017—22 018 020 021 022 • 107 108 109—00 109—01 110—01 110—02 110—03 110—04 110—05 110—11 110—12 110—13 110—14 110—15 110—16 110—17 110—18 110—19 110—20 110—21 110—22 110—23 110—24 111 *113—01 113—02 113—03 113—04 113—05 113—06 113—07 113—flR 113—09 113—Il 113—12 113—13 113—14 113—15 113—17 115 119 *120 121—01 NUMERO 0 ORDRE 203 207 213 221 *222 *223 224—01 226 227 234 238 241 *247 249 250 151 154 155 158 168 172 176 178 182 184 185—01 185—02 189 193—01 193—02 193—04 193—05 193—06 193—07 193—08 193—09 194 196 200 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER! SQUE. — ISSA/OM/XIVI3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION 76 — X—B MATERIEL POUR SORTIE DE DONNEES LISIBLES EN GRANDE QUANTITE OU OF DONNEES GRA PH 1 QU E S NUMERO 0 ORDRE 005 007 009—01 009—02 009—03 009—04 009—05 009—06 014 015—01 015—02 015—03 015—04 015—06 015—07 *017—01 *01.7—02 *011—03 017—04 017—05 017—06 017—07 017—08 011—09 017—10 017—11 017—12 017—13 017—14 017—15 017—16 011—17 011—18 *017—20 017—21 017—22 018 022 023 NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORDRE 030 031 034 037 039 041 044 045 046 050 052 055 058 064 *065 *066—02 068 072 077 078 *082 083 092 *095 *096 097—10 097—11 *098 *099 102 106—00 106—03 106—04 106—05 106—06 106—01 106—08 106—09 106—10 106—11 106—12 106—13 106—15 106—16 106—19 106—20 106—21 106—22 106—23 106—24 106—25 106—26 106—29 106—31 106—32 106—33 106—35 106—36 106—31 106—38 106—40 106—41 106—42 106—43 110—11 110—12 110—13 110—14 110—15 110—16 110—11 110—18 110—19 110—20 110—21 110—22 110—23 110—24 107 108 109—00 109—01 110—01 110—02 110—03 110—04 110—05 110—06 110—07 110—08 110—09 110—10 111 113—01 113—A2 113—03 113—04 113—05 113—07 113—08 113—11 113—12 113—13 113—14 113—15 113—17 115 119 120 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 122 123 NUMERO 0 ORDRE NIJMERO D ORORE 125 134 138 145 *150 155 158 168 172 176 178 185—01 185—02 189 193—01 193—02 193—04 193—05 193—06 193—01 193—08 193—09 194 196 200 203 207 221 *222 223 224—01 227 234 238 241 247 249 250 *124 REMARQUE 1; LES NUMEROS 1) ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFTEES EN ANNEXE 2. REMARQIJE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER! SQUE. — .LSSAIOM/XIV/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTiON — X—C MATERIEL APRES LA SORTIE DE DOCUMENTS IMPRIMES NUMERO O ORORE 005 009—03 015—03 015—06 015—07 017—02 .017—03 017—05 017—06 017—07 017—08 017—10 017—11 017—13 017—14 011—16 017—18 *017—20 017—21 018 023 NUMERO 0 ORDRE NUMERO D ORORE 110—02 110—03 110—04 193—09 110—05 110—06 113—09 113—11 113—12 113—15 113—17 121—02 121—03 121—04 110—01 222 226 227 110—12 110—13 110—14 110—15 110—16 110—17 110—18 110—19 110—20 110—21 110—23 113—07 *113—08 106—12 109—00 NUMERO 0 ORORE 110—11 033 078 *082 383 NUMERO 0 ORORE 110—07 110—08 110—09 110—10 *031. 034 041 044 045 *058 064 *065 *068 077 NUMERO 0 ORDRE 122 138 150 158 172 176 184 186 REMARQUE 1; LES NUIIEROS 0 ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER I SOUE. — 78 — ISSA/OM/X1V/3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION X-O MJMERO 0 ORDRE MJMERO D ORDRE MATERIEL POUR PREPARATION DECENTRALISEE DE DOCUMENTS DESTINES A LA LECTURE OPTIQUE NUMERO D ORORE NUMERO D ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORORE 005 015—01 023 *065 083 095 155 226 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS ID'ENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTERISQUE. — 79 — ISSA/OM/X1 V13 REPCNSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION NUMERO o ORDRE *007 *009—01 *009—02 *009—03 *009—05 *009—06 X—E NUMERO .0 ORDRE 041 106—12 106—13 106—15 106—16 106—18 106—20 106—21 106—22 106—24 106—25 106—26 106—27 106—29 106—32 106—33 106—34 106—35 106—36 106—37 106—38 106—40 106—41 106—42 106—43 *017—34 *017—05 *017—06 *017—07 *017—08 *017—09 *017—10 *068 *017—16 *017—1.7 *017—18 *017—19 *017—20 *017—21 *017—22 018 020 021 *110—08 *110—09 *110—10 *110—11 106—09 106—tO *066—02 *017—12 *017—13 *017—14 011—15 106—06 106—07 106—08 034 *037 *039 *017—fl3 *017—11 NUMERO D ORDRE *030 *015—03 *015—04 *015—06 015—01 017—01 *017—02 015—fl 015—02 NUMERO 0 ORDRE *022 023 *044 *045 *046 *050 *052 *055. *058 064 *065 014 MATERIEL SPECIFIQUEMENT DESTINE A LA SAISIE DES DONNEES 106—il *071—01 *071—02 *072 *075 *077 *078 *082 088 102 105 106—00 106—03 106—04 *113—01 113—02 113—03 *113—04 *113—05 *113—06 *113—07 *113—08 *113—09 121—03 122 123 *124 *125 128 *134 137 138 141 *145 150 *154 *155 168 *227 234 238 *241 247 *24c *250 *186 *189 193—01 *113—14 *194 *110—01 *110—02 *110—03 *110—04 *110—05 *110—06 *110—07 *113—15 *196 *113—16 *113—17 *200 *203 *207 *213 121—01 *224—!)1 *226 185—01 185—02 107 120 *223 *176 *178 *184 *108 *115 119 NUMERO D OPDRE *172 *113—10 *113—11 *113—12 *113—13 *097—10 *099 *100 *111 0 ORDRE *193—02 *193—04 *193—05 *193—06 *193—07 *193—08 *193—09 092 *095 096 097—11 *098 *110—12 *110—13 *110—14 *110—15 *110—16 *110—17 *110—18 *110—19 *110—20 *110—21 *110—22 *110—23 *110—24 NIJMERO *221 *222 REMARQUE 1; LES NUMEROS D ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFTEES EN ANNEXE 2. PEMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN ASTER I SQUF. ISSA/TJM/XIVI3 ANNEXE 3 — 80 — REPONSES POSITIVES flU CUMMENTEES TERMINAUX SECTION X—F NUMERO o ORDRE N1JMERO NUMERO D ORORE D ORORE *058 064 065 066—02 068 *082 083 *095 *096 097—10 107 *108 005 007 009—01 014 *015—01 015—04 015—06 015—07 017—01 017—02 017—03 017—04 017—05 017—06 017—07 017—08 017—09 017—10 01.7—il 017—12 017—13 017—1.4 017—16 017—17 017—20 017—21 017—22 018 023 031 033 034 037 039 045 046 050 052 055 097—U 098 099 100 102 105 106—00 106—04 106—OS 106—06 106—07 106—08 106—09 106—12 106—13 106—15 106—1.6 106—20 106—21 106—22 106—23 106—24 106—25 1.06—29 106—33 106—36 106—41 106—42 106—43 109—0') 110—18 113—01 113—02 113—03 113—05 113—06 113—07 113—08 113—09 113—11 *113—12 *113—13 113—14 *113—15 *113—17 NUMERO 0 ORORE NIJMERO 0 ORORE NUMERC 0 ORDRE 193—06 193—07 193—08 193—09 *194 *196 203 207 222 223 224—01 226 227 238 250 1.19 *120 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 *141 145 150 151 155 *158 168 172 185—02 *186 189 193—02 193—04 193—05 PEMARQUE 1; LES NUMEROS U ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IOENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES U uN ASTERISQUE. - 81 ISSA/CM/XI REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION. X—G NUMERO P ORDRE NUMERO C ORORE' 005 007 015—02 — MATERIEL MECANOGRAPHIQUF NUMERO 0 ORDRE NUMEPO 0 ORDPE NUMERO C ORDRE NUMEPO D ORDRE 241 015—03 017—02 017—fl4 017—06 01. 7—09 01.7—11 017—14 044 045 046 050 fl52 065 071—02 071—03 *095 *096 102 106—08 108 110—08 110—12 110—14 110—22 113—05 113—08 119 138 172 182 193—07 193—08 196 221 226 238 REMARQUE 1; LES NUMEROS 0 ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES 'INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES D UN ASTER! SQUE. ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE 3 82 — REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES — TRAITEMENT A DISTANCE — RELATIONS AVEC IFS SERViCES DE TELECOMMUNICATIONS SECTION X—H NUMERO o ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO D ORDRE *005 *007 *097—11 *098 *099 *113—12 *113—13 *113—14 *113—15 *113—17 *009—03 014 • *017—02 *017—03 *017—04 *(fl7—05 *017—06 *017—08 *017—09 *017—12 *017—13 017—15 *017—16 017—19 *017—20 017—21 017—22 021 *030 *031 *033 034 037 *046 052 *055 *065 *066—02 *068 071—02 *092 *083 *095 *096 *097—10 102 *106—00 106—04 106—05 106—08 106—16 106—22 106—25 106—29 106—30 106—33 106—36 106—41 106—42 106—43 107 *109—00 *110—02 *110—03 *110—05 *110—06 *110—09 *110—16 *110—17 *110—18 *110—20 *110—22 *110—23 *113—02 *113—05 *113—07 *113—08 *113—09 NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE 119 *120 *121—01 *121—02 *121—03 *121—04 *121—05 145 150 *155 158 *172 185—01 *185—02 *186 193—07 *194 *196 *203 207 *222 *223 224—01 227 *247. 113—10 *113—11 REMARQIJEj; LES NUMEROS D ORDRE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IT)ENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE •2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTERI SQUE. - 83 - ISSA/OM/XIVt'3 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES ANNEXE 3 SECTION X—I TRAITEMENTS COMPLETEMENT DECENTRALISES — UTILISATION DE MINI—ORDINATEURS AUTONOMES NUMERO o ORORE *005 *009—01 *009—02 *009—05 *009—06 014 015—04 *017—03 *011—04 *3j7—Ø5 017—08 NUMERO 0 ORDRE .NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 OROPE 110—03 *110—07 110—08 110—10 110—16 110—17 *113—07 *120 137 138 150 *j55 158 *172 *017—14 *017—20 *022 *031 037 045 052 071—02 *082 083 084 *095 *096 097—10 *098 102 175 185—01 185—02 187 189 *193—01 193—07 *194 196 200 *20.3 223 *224—01 227 234 241 *11)5 106—00 *106—12 106—21 10 6—25 *106—27 106—30 106—43 *109—01 — — 1; LES NUMEROS 0 ORDRF CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIFES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; IFS REPONSES COMMENTEES SONT PR.ECEOEES 0 UN REMARQUE ASTER ISQUE. ISSA/CM/XIV/3 ANNEXE 3 — 84 — REPONSES POSITIVES 00 COMMENTEES SECTION X—J NtJMERO NUMERO 0 ORDRE 0 ORDRE *005 *007 *009—01 *009—02 014 015—02 015—03 015—06 317—01 017—02 017—03 *017—04 017—05 017—08 017—09 017—10 017—11 *317—14 017—15 017—16 *017—20 017—22 *030 *031. 037 050 365 MACHINES A TRAITEMENT DE TEXTES NUMERO 0 ORORE NUMERO B OPORE NUMERO 0 ORORE NUMERO 0 ORORE 106—25 106—28 106—43 108 110—05 110—16 110—18 111 113—02 113—08 121—02 *150 168 185—01 186 193—02 1.93—05 1.93—07 193—09 *194 196 223 224—01 226 247 068 *082 *095 *096 097—01 098 099 102 105 106—05 106—16 1.0 6—21 PEMARQUE 1; LES NUMEROS B ORORE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; LES REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER! SQUE. - 85 - ISSA/OM/X1 VI3 ANNEXE SECTION NUMERO o ORORE *005 *007 *009—00 009—06 014 015—01 015—02 *015—03 *015—04 015—06 *015—07 *017—00 017—21 *018 020 *021 022 023 *030 031 033 034 037 039 *040 041 044 045 046 *050 052 055 058 064 *065 066—02 *068 071—01 REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES 3 SECURITE — CONFIDENTIALITE XI NUMERO 0 ORDRE NUMERO 0 ORORE 071—02 071—03 *072 *075 113—04 *113—05 113—06 *113—07 *113—08 *113—09 *113—11 *113—12 *113—13 *113—14 *113—iS *113—16 *113—17 *115 *119 *120 121—01 121—02 121—03 121—04 121—05 *122 *123 077 078 *082 083 084 *088 092 *095 *096 *097—01 *097—03 *097—04 097—05 097—06 097—07 097—08 091—09 *097—10 097—11 098 099 100 102 105 *136—00 *106—01 *101 *108 109—00 109—01 110—00 *111 *113—01 *113—02 *113—03 124 125 *128 134 *137 138 141 145 *150 151 154 155 158 *168 172 176 NUNERO 0 ORORE NUMEPO 0 ORURE NUMERO D ORDPE 178 *182 *184 185—01 *185—02 *186 188—01 188—02 189 193—01 193—02 193—04 193—05 *193—06 193—07 193—08 193—09 194 *196 200 203 207 *213 221 222 *223 *224—01 226 *227 *234 238 241 247 249 *250 REMARQUE 1; IFS NUMEROS 0 ORURE CORRESPONDENT A CEUX DES INSTITUTIONS IDENTIFIEES EN ANNEXE 2. REMARQUE 2; IFS REPONSES COMMENTEES SONT PRECEDEES 0 UN ASTER ISQUE. - 87 - ANNEXE 4 APERCU REPONSES DES OU CONiVIENTEES ISSA/OM/XIV/3 ANNEXE 4 — 89 — APERCU QUANTITATIF DES REPCNSES POSITIVES CU COMMENTEES PARMI T C U T E S LES REPONSES SOIl SOUS LA FORME EXIGEE PAR LE QUESTIONNAIRE (DONT TAUX DE AU NOMBRE DE ........ 280 ONT RAPPORT flUX SECT I CNS I—A COMMENTEES) POSITIVES 50,3 I—B 141 129 19 46, 6,7 4 I—C Il—A 128 121 45,7 43,2 78 24 12 16 Il—B Il—C Ill—A 111—8 IV V Vt—A Vt—B Vt—C 28 125 159 149 241 186 2')6 10, 7 44,6 56,7 53,2 128 86, 171) 66,4 73,5 56,7 136 1 52 31 9 VIII—A 159 22 150 VIII—B 15') V!II—C tX—A 58 7 3 164 12 tx—B X—A 121 210 58,5 43,2 75, X—B 194 X—C X—D X—E X—F 82 69,2 29,2 23 14 8 2,8 1 205 132 40 108 69 64 152 73,2 47,1 14,2 38,5 24,6 22,8 54,2 132 VII X—G X—H X—I X—J XI 7,8 53,5 1 53,5 99 2 7 1.6 2 73 32 14 65 ISSAIOM/XIV/3 ANNEXE 4. — 90 — APERCU QUANTITATIF DES REPONSES POSITIVFS flU COMMENTEES PARMI LES REPONSES EXPLOITABLES EN PROVENANCE DES INSTITUTIONS MEMBRES DE I AISS SOIT (ISOLEES OU COIFFANT DES UNITES DE BASE) (DONT TAUX DE AU NOMBRE OE ........ 123 ONT RAPPORT AUX SECT iONS i—A I—B I—C 115 107 11—8 Il—C Ill—A lIt—B 15 105 99 24 102 25 [V V 102 94 Il—A VT—A VT—B VT—c VII VIIT—A VIII—8 VIII—C TX—A TX—B X—A X—B X—C X—D 88 93 89 17 78 78 37 90 45 84 71 29 7 X—E X—F X—G 81 X—H 41 X—l 35 X—J 26 93 XI COMMENTEES) POSITIVES 54 21 93,4 86,9 12,1 85,3 80,4 19,5 82,9 20,3 82,9 76,4 71,5 75,6 72,3 13,8 63,4 63,4 4 4 65 22 11 14 1 85 60 74 34 20. 7 1 49 30, 73,1 3 5 36,5 68,2 57,7 17 1 5 5,6 65,8 43,9 53 ii 17, 33,3 28 28,4 21,1 75,6 1 2 14 9 39 ISSA/flPIIXI V/3 ANNEXE — 91 — APERCU QUANTITATIF DES REPONSES POSITIVES OU COMMENTEES PARMI LES REPONSES ANNEXES (EN PROVENANCE DES UNITES DE BASE SUBORDUNNEES SUIT (DONT OU TAUX DE AU NOMBRE DE ........ 157 ONT RAPPORT AUX COMMENTEES) POSITIVES SE CT I ONS IT—A Il—B fl—C 111—4 26 22 4 23 22 4 23 Ill—B 134 IV 47 147 I—A I—B I—C 16,5 14, 2,5 3 14,6 14, 2,5 13 14,6 85,3 2 43 62 113 70 29,9 93,6 62,4 71,9 44,5 5 3,1 2 V1iI—A VIlI—B VlII—C 72 72 45,8 45,8 50 21 TX—A TX—B X—A X—B X—C X—O X—E X—F X—G X—H 74 13,3 47,1 48,4 7 V VT—A VT—B VT—C VII X—I X—J XI 98 76 126 123 53 2 18 11 1 6 78,3 33,7 5 78,9 49,6 12,1 42,6 21,6 24,2 37,5 79 2 1 124 78 19 67 34 38 59 5 45 18 5 . 26 — 93 - ANXEXE 5 TAUX DE REPONSES PAR REGIONS ISSA/OM/XI V/3 ANNEXE 5 — 95 — TAUX DE REPONSES PAP REGIONS TAUX DE REPONSES EN PROVENANCE DE TO(JTES LES URGANISATIONS MEMBRES DE I AISS NOM BR ES D INSTITUTIONS REGION ME MB R ES POUR— CENTAGE DE DE PEPONSES REPONSES 47,7 AFR IQUE 44 21 AMER IQUE 45 '9 ASIE El OCEANIE 35 17 48,5 EUROPE 126 81 64,2 TOTAL MONDIAL 25') 1.38 55,2 TAUX OE REPONSES EN PROVENANCE DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS —. INFORMATISEES NOM BR ES POUR— CENTAGE D INSTI— TUTIONS MEMBRES DE DE REPONSES REPONSES AFRIQUE 44 12 27,2 AMERIQUE 45 17 37,7 ASIE El OCEANIE 35 11 31,4 EUROPE 126 67 53,1 TOTAL MO NOIAL 25° 107 42,8 REGION . REMARQUE; LA PREMIERE COLONNE SE RAPPOPTE A TOUTES LES ORGANISATIONS MEMBRES AFFILIES 1W 1 AISS AU MOMENT DE I ENVOI DU QUESTIONNAIRE ISSA/OM/XIV/3 TSSA/DM/X I V/3 ANNEXE 5 — TAUX 96 — DE REPONSES PAP SOUS—REGIONS TAUX DE REPONSES EN PROVENANCE DE TOUTES LES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AIS.S NOMBRES - REGION El SOUS—REGION (VOIR REMAPOIJE) D TNSTT— TUTIONS MEMBRES AFRIQUE(A) POUR— CENTAGE DE DE REPONSES REPONSES 18 54,5 35,8 AMERIQUE (Al 39 ASIE El OCEANIE (A) 22 13 59, EUROPE (A) 10 7 70, 52 50, SOUS—TOTAL (A) TAUX DE REPONSES EN PROVENANCE DES ORGANISATIONS MEMBP.ES DE I AISS — INFORMATISEES NOMBRES REGION El SOUS—REGION (VOIR REMARQUE) D INSTI'TIJTIONS MEMBRES POUR— CENTAGE DE DE REPONSES REPONSES AFRIQUF (A) 33 9 27,2 AMERIQUE (A) 39 12 30,7 ASIE ET OCEANIE (A) 22 7 31,8 EUROPE (A) 10. 3 30, SOUS—TOTAL (A) 104 31 29,8 REMARQUE; LA PREMIERE COLONNE SE RAPPORTE A TOUTES IFS ORGANISATIONS MEMBRES AFFILIES DE I AISS AU MOMENT DE I ENVO! DU QUESTIONNAIRE ISSA/OM/XIV/3 SAUF CELLES REPRISES EN PAGE 97 ISSA/OM/X.IV/3 ANNEXE 5 — 97 — TAUX DE REPONSES PAP SOUS—REGIONS TAUX DE PEPONSES EN PROVENANCE DE TOUTES LES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS MOM BR ES REGION ET SOUS—REGION (VOIR REMARQUE) AFRIQUE (B) AMERIQUF (8) ASIE ET OCEANIE (8) EUROPE (8) SOUS—TOTAI. (8) D INSTI— TUTIONS MEMBRES POUR— CENTAGE DE DE REPONSES REPONSES 11 3 27,2 6 5 83,3 13 4 3C,7 116 .4 63,7 146 86 58,9 TAUX DE REPONSES EN PROVENANCE DES OR.GANISAT!ONS MEMBRES DE I AISS — INFORMATISEES MOM BR ES REGION El SOIJS—REGION (VOIR AFRIQUE (8) 0 INSTI— TUTIONS MEMBRES POUR— CENTAGE DE DE REPONSES PEPONSES 11 3 27,2 6 5 83,3 13 4 30,7 EUROPE (8) 116 64 55,1 SOUS—TOTAL (8) 146 76 52, AMERIQtJE (81 ASIE ET OCEANIE (8) REM ARQUE; IA PREMIERE COLONNE SE RAPPORTE A TOUTES IFS ORGANISATIONS MEMBRES AFFILIES DE I AISS (AU MOMENT DE I ENVOI DU QUESTIONNAIRE ISSA/OM/XIV/3) DES PAYS SUIVANTS; ALGERIE, REP.FED.D ALLEMAGNE, ANDORPE, AUSTRALIE, AUTRICHE, BEIGIQUE, CANADA, DANEMARK, REP.AR.D EGYPTE, ESPAGNE,ETATS—UNIS o AMERIQUE, FINLANDE, FRANCE, GRECE, IPLANDE, ISIANDE, ISRAEL, ITALIE, JAPON, JERSEY, JAM.AR.LIBYENNE, LIECHTENSTEIN, LUXEMBOURG, MAROC, NORVEGE, NOUVEILE ZELANDE, PAYS—8AS, PORTUGAL, RCYAUME—IJNI, SUEDE, SUISSE, TUNISIF, VOUGOSLAVIE - 99 - ANNEXE 6 STRUCTURE DES REPONSES PAR BRANCHES DE SECURITE SOCIALE I SSAICMIXI V/3 ANNEXE 6 — 101 — • • STRUCTURE DE REPONSES PAR BRANCHES SECURITE SOCIALE BRANCHE; ACCIDENTS DE TRAVAIL — MALADIES PROFESSIONNEIL.ES TOTAL DES REPONSES PECUES 73 DONT; NEGATIVES *) 23 (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOLEES; (SOUS FORME DE MONOGRAPHIES • MULTIPLES; 31 ( 3 (DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS ( (DES UNITES SUBORDONNEES OU FEDEREES BRANCHE; MALADIE — MATERNITE TOTAL DES REPONSES RECUES DONT; NEGATIVES *) (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOLEES; MULTIPLES; 105 21 50 ( (SOUS FORME DE MONOGRAPHIES 2 (DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS 1 ( (DES UNITES SUBORDONNEES OU FEDEREES 31 BRANCHE; VIEILLESSE — INVALIDITE — SUPVIVANTS TOTAL DES REPONSES RECUES (MINT; NEGATIVES *) (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOLEES; MULTIPLES; 215 23 67 ( (SOUS FORME DE MONOCRAPHIES 3 (DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS 7 ( (DES UNITES SUBORDONNEES OU FEDEREES REMARQUE; *) V COMPRIS LES REPONSES DE PURE FORME SERVANT 0 INTRODUCTION AUX PEPONSES RAMIFTEES 115 !SSAfOM/XI V/3 ANNEXE 6 — 102 — STRUCTURE DE REPONSES PAR BRANCHES DE SECURITE SOCIALE BRANCHE; CHOMAGE 36 TOTAL DES REPONSES RECUES DONT; NEGATIVES *) (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOLEES; (SOUS FORME DE MONOGRAPHIFS 1. MEMBRES DE I AISS 1 (DES UNiTES SUBORDONNEES 01) FEDERFES 17 IDES MULTIPLES; 15 ( ( BRANCHE; PRESTATIONS FAMILTALES TOTAL DES PEPONSES RECUES DONT; NEGATIVES *) (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOLEES; 13 32 I (SOUS FORME OF MONOGRAPHIES (DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS MULTIPLES; I (DES UNITES SUBORDONNEES CU FEDERFES 3 41 BRANCHE; FONDS OE PREVOYANCE TOTAL DES REPONSES RECUES 5 DONT; NEGATIVES *) 1 (REPONSES AU QUESTIONNAIRE ISOL EES; (SOUS FORME OF MONOGRAPHIES (DES ORGANISATIONS MEMBRES DE I AISS MULTIPLES; ( (DES UNITES SUBORDONNEES 01) FEDEREES REMARQUE; *) V COMPRIS LES REPONSES DE PURE FORME SERVANT 0 INTRODUCTION AUX PEPONSES RAMIFIEES 4 IS S A / C / X I V I? ANNEXF 6 — 103 — STRUCTURE DE PAR BRANCHES DE SECURITE SCCIALE 8RANCHE; TOUTES LES BRANCHES DE LA SOCIALE TOTAL DES REPONSES PECUES DONT; NEGATIVES (V CUMP!US LES 795 DC PURE FC)RME SERVANT D INTRODUCTION AUX PEPUNSES RAMIFLEES) 31 (REPONSES AU QUESTIONNAIRE .3 (SOUS FDRME BE '4ONPGPAPHIES 4 ISCLEES; (DES ORGANISATIONS MULTIPLES; BE L AISS ( (DES tJN!TFS SUBOPDONNFES flu FEDEFFES PEMARQUE; *) DU FAIT DE L'EXISTENCE D'INSTITUTIONS CHARGEES DE LA GESTION DE PLUSIEURS BRANCHES DE LA SECURITE SOCIALE, LES CHIFFRES INDIQUES EN PAGE 103 NE SONT PAS LA SONNE DE CEUX FIGURANT EN PAGE 101 ET 102 IJE LE PRESENTE ANNEXE. 157 - 105 - ANKEXE 7 ANALYSE PAR SECTIONS - 107 PdTkLYSE SECTIOITS La partie substantielle du questionnaire contenait, d'une part, dix soussections d'une section consacrée au materiel informatique et, d'autre part, cjuinze autres sections se proposant soit de décrire "Uenvironnement organi— sationnel, humain et financier" du phénomène informatique au sein des institutions de sécurité sociale, soit de définir, dans le méme cadre, les applications (c'est.-à—dire les travaux confiés a l'ordinateur) et d'en saisir quelques aspects qualitatifs (par exemple travail en mode conversationnel par rapport au traitement par lots, traitement a distance par rapport au traitement local, etc.). Le nombre de questions ponctuelles ainsi posées se chiffrant par centaines (sans parler de la possibilité des commentaires explicatifs libres auxquels les répondants furent invites et dont de nombreux rdpondants firent effecti— vement usage), un regroupement des rdsultats s'imposait pour en dégager les faits saillants et des tendances lea plus significatives. Dans ce qui suit, nous nous sommes proposes de regrouper les résultats de l'enqudte en quatre chapitres, chaque chapitre ayant une unite logique sans nécessairement l'ordre dans lequel les sections ou sous—sections appa— suivre raissaient dans le questionnaire. Voici l'ordre de la presentation adopté dans ce qui suit Sections ayant trait aux structures du système informatique (sections III, a) V et VII); b) Section ayant trait au personnel (section VI); c) Sections ayant trait aux d) Section ayant trait au materiel informatique (section X). applications informatiques (Sections I et II); Trois autres sections oft un rapport avec l'informatique au sens large du terme et traitent de questions souvent discutées. Ces sections n'ont pas beau— coup de rapport avec les aspects matériels de l'utilisation de l'ordinateur et oft été incluses dans le questionnaire pour des raisons d'opportunité évidente. i1 des sections suivantes: Section ayant trait a 1a sécurité e-b a la confidentialité des données e) accessibles grace a l'ordinateur (Section XI); Section ayant trait au numéro—matricule des assures et aux autres systèmes f) de classement (Section IV); Section ayant trait aux institutions non informatisées (Section I—C). g) s'agit a) Sections ayant trait aux structures du système informatigue (sections III, V et VII) La structure la plus élémentaire dams l'informatique appliquée a la sécu— une institution — un seul centre de traitement rite sociale eat la suivante C'est ainsi qu'ont défini leur structure informa— de données et rien d'autre. tique 99 répondants sur 260, soit 38 pour cent. Au niveau des seules organisations membres de 1'AISS (c'est—à—dire en éliminant les unites subordcnnées ou féddrées), on retrouve ce type de structure élémentaire et fortement con— tralisée beaucoup plus fréquemment, soit en 81 cas sur lea 103 institutions qui se sont déclarées informatisées et ont renvoyé le questionnaire correcte— ment rempli. Ceci représente presque quatre cinquièmes du total de référence, soit 79 pour cent. : On pout en déduire qu'une autre structure, sans doute plus "ramifiée", dtre retrouvée chez 161 répondants de tout genre, soit en 62 pour cent des cas, ou encore chez 22 organisations membres de l'AISS, soit 21 pour cent du total de référence cite plus haut. devrait Si le centre de traitement de données eat une division "banalisée" de l'institution, lea traitements des agents qui y travaillent doivent être con— formes aux barèmes applicables dans les autres divisions de l'institution et peuvent de ce fait étre inférieurs a ceux offerts aux informaticiens par le secteur privé. Pour échapper a ces contraintes, ou aux contraintes dues au "cadre" devenu rigide, ou encore pour d'autres raisons d'opportunité, on a parfois imagine des structures de rechange. Nous avona imagine, outre l'informatique "banalisée" au sein de l'insti— tution, quatre cas de structure de rechange, a savoir - 108 - a) le cas d'une firme de traitement a façon, jiiridiquement distincte, mais en fait entièrement dépendante des institutions de sécurité sociale; b) le cas de mice en commun des ressources informatiQues de plusieurs institutions de sécurité sociale; c) le cas hybride a a) l'intérieur : ltordinateur en dehors de l'institution, les terminaux de it institution; le travail a façon utilisé uniquement au cas oü les exigences envers le traitement de données dépassent la capacité du centre informatique propre a i'institution. Enf in, une cinquième ligne dans cette partie du questionnaire devrait per— mettre de recenser tous les autres cas, c'est—à—dire les situations en queLjue \Toici les résultats de ce dénombrement sorte normales. Nombre de cas signalés par tous les répondants a) b) c) par les organisations membres directs de 1'AISS Ordinateur situé chez un façonnier 'tdépendant" 40 (13) Ordinateur situé dans un centre informatique commun de sécurité sociale 68 (11) Ordinateur a l'extérieur avec terminaux a l'intérieur de l'institution 27 (12) en cas de débordement de capacité propre 30 (20) Aucune des situations précédem— ment mentionnées ne survient 77 (28) a) Façonniers utilisés uniquement e) Le cas Itbanaliséti est le plus frequent encore que les chiffres recueillis sous—estiment manifestement la réalité. Parmi les membres directs de 1'AISS, aucune des structures de rechange ne jouit d'une réelie popularité, encore qu'cn consent plus ou moms fréquemment a se faire dépanner par un façonnier en cas dtinsuffisance de ses capacités infcrmatiques propres. Tout autre semble être le cas auprès des institutions de base que nous appelons "subordonnées ou fédérées". Si nos chiffres sont exacts, c'est la mise en commun des ressources informatiques qui devance, par 57 cas signalés contre 49, la solution que nous avons appelée "banalisée", c'est—à—dire "une caisse — un ordinateur". Cette mise en commun des ressources informatiques particulièrement populaire en France et en République fédérale semble d'Allemagne, deux pays dans lesquels la structure et la taille des institutions favoriser, sinon dicter, de tels regroupe— de base semblent ments. Les 27 cas signalés par les institutions subordonnées ou fédérées d'utilisation des services d'un façonnier entièrement dépendant de la séourité sociale ne different d'ailleurs de la simple mise en commun des ressources informatiques que par leur forme juridique particulière. les solutions de rechange, il y en a deux autres, non mentionnées Ii s'agit,d'une part, des contrats du type "facilities management" de durée indéterminée, dans lesquels la gestion des services mnformatiques (appelés "les facilités" dans le contexte) est confiée entièrement a un bureau d'experts en informatique. L1autre type de contrat, de durée plus limitée, a Parmi ci—dessus. — 109 — de base de fournir a Uacheteur-un service informatique en état de fonctionnement ?lclés sur porte". Bans ce cas, le buxeau d)experts se charge clu choix de materiel, de Uécriture du logic.iel et de la formation du person- pour nel propre du aille au—delà deux types de de risques et expérimentés, client mais pas do Uexploitation du système mis en place qui d)une courte période de démarrage. La publicité vantait ces áontrat pour les institutions voulant progresser vite et a peu temps un manque de éprouvánt en et de spécialistes le paradigme étant les pays pétroliers. On a donc voulu, par le dénombrement de cas signalés, établir la fréquence réelle de ces deux types de contrat parmi les institutions ayant répondu au questionnaire, en ajoutant entre parentheses cette même fréquence pour les seuls membres directs de UAISS. On a pu ainsi dénombrer 10 (6) cas du con— trat du type "facilities management?? confiant la gestion de Uinformaticjue aux experts extérieurs, et 7 (6) cas de contrat du type ??clés sur Porte?? confiant a de tels experts tous les travaux et fournitures lies au lancement de formatique. En fait, si le paradigme "pays pétrolier" n'est pas absent du tableau, on y trouve aussi le de "symbiose avec le centre d?ordinateur de Uemployeur des assures sociaux" (exemple Bundesbahnversicherungsanstalt) et une poignée d'autres institutions de différentes tallies en Europe, Amérique : et Asic. Ceuxquiont opté pour avoir Un ordinateur sous leur propre contrOle et responsabilité sont confrontés avec un choix d?ordre financier et un autre choix d'ordre a la fois financier et technologique. Le premier choix auquel nous venons de faire allusion est celui, éterneiiement discuté, entre l'achat, la location auprès du fabricant, la location auprès des tiers tels que lee maisons de leasing ou enf in une combinaison de ces trois méthodes. Le deuxième choix, qui presuppose une competence technologique suffisante pour évaiuer la compatibilité des matériels provenant des différents fabricants, consiste a acquérir le materiel (et parfois mêrne des ensembles de composantes tels que la ou son extension) ??a la carte" auprès des différents fournis— mémoire seurs presents sur le marché. Les options retenues dependent entre autres d?un subtil combat que se livreñt lee concurrents sur le marché. Ainsi la prépondérance, initialement constatée, de la formule "location du materiel au fabricant" n' était pas néces— sairement due a la préférence des clients mais au fait que le four— nisseur principal avait ??pipe lee des" en faveur de cette formule. Bien qu'un tel reproche ne soil plus justifiC aujourd'hui, la location au fabricant reste, par ia force de l'inertie, entre autres, la formule la plus usuelle de l'acquisition du materiel. Suivent, en seconde position, los formules mixtes (en partie location, en partie achat). Be leasing est peu répandu, sans doute parce que les moyens financiers propres ne font pas défaut aux organismes de sécurité èociale. Le cas particulier du "mixed hardware" ou materiel acquis auprès de plusieurs fournisseurs et harmonisé cur place, n'est pas très. frequent non plus, sans doute a cause des situations délicates qui peuvent so presenter a propos du diagnostic des pannes et a propos de l'entretien. \Toici la fréquence des différentes situations relevées auprès do toutes los institutions ayant rdpondu au questionnaire et — entre parentheses - auprbs des membres affiliés directs de-l'AISS. — 110 — Nombre de cas signalés par toutes les institutions ayant répondu au questionnaire par les membres directs de l'AISS informatiques loués informatiques loués (leasing) achetés loués 121 (53) 25 (10) 39 (22) 66 (26) 26 (13) en d'équipements combines provenances (mixed b) Section ayant trait au personnel (section VI) La section VI du questionnaire ISSA/OM/XIV/3 se donnait pour but de cèrner la place de l'informatique au sein des institutions de sécurité sociale Ainsi, dana la sous—section VI.-A, on s'est par plusieurs voies indirectes. penché sur la question d'existence d'un plan informatique et celle de la position de l'informatique au sein de itorganigramme de l'institution. La sous— section VI—B avait pour but d'évaluer lteffort consenti (aussi bien sous son aspect financier que sous itaspect humain) pour faire fonctionner l'informatique,et la sous—section VI—C complétait les deux précédentes par un choix de chiffres—mesures destinés a évaluer itintensité et les orientations de cet effort. Le taux de réponses, c'est—à—dire de celles exploitables aux fins d'une étude de synthèse, se situe autour de trois quarts pour la sous— section VI—B (légèrement au—dessus, si iton se réfère aux seuls membres directs de l'AISS). Pour les autres sous—sections, ces taux sont moms satis— faisants, ainsi que le montrent les deux tableaux suivants. Parmi toutes les réponses ayant eu la forme exigée par le questionnaire, au nombre de 280, ont VI—A VI—B VI—C rapport aux sous-sections 186, soit 66,4 pour cent. 206, soit 73,5 pour cent 159, soit 56,7 pour cent Le tableau suivant eat construit de la façon mais ne se rapporte qu'aux 123 réponses en provenance de membres directs de UAISS Sections Nombre de répo,nses : Pourcentages : VI—A VI—B VI—C 93 71,5 75,6 89 72,3) 88 La zone grise ou zone de pénombre, mentionnée précédemnient, se retrouve done aussi au sein de la section VI. La partie qui aurait prfter le moms Et pourtant a confusion est celle concernant lea effectifs des personnels. dana ce groupe de questions, certaines réponses ne sont pas conformes au schema exigé par les questions 6.21 a 6.29 (Personnel total, dont personnel informa— Notre méthode, qu'on tique, dont six professions spécifiées - 111 - aurait préféré éviter mais que les circonstances rendait plus ou moms nécessaire, fut celle de "foyer" les réponses douteuses dans les totaux globaux. Nous avons voulu connaitre Ueffectif to1aJ. du personnel des institutions invitées a répondre au questionnaire, a ltexclusion des personnels médicaux et paramédicaux, l'effectif des personnes s'occupant de l'informatique (y compris la saisie des données) et l'effectif des non-informaticiens ayant accès aux terminaux). Au niveau mondial, les totaux obtenus a partir de toutes les réponses exploitables et donc certainement inférieurs a la réalité sont les suivants Personnel a&ninistratif total Effectifs Pourcentages 504 667 100,00 22 315 4,42 32 618 6,46 dont Informaticiens Non-informaticiens ayant accs aux terminaux (aux fins de saisie des données, d'interrogation ou de mise a jour) Une repartition géographique de ces chiffres est possible. Toutefois, une mise en garde concernant les variations possibles de la zone grise (zone de pénombre) d'une region a ltautre s'impose Ic! plus qu'ailleurs. Amérique Asie et 0 C éan ie 2 316 204 686 26 762 270 903 Informaticiens 183 4 304 1 656 16 172 Non-informaticiens ayant accès aux terminaux 108 9 247 1 633 21 630 Afrique Personnel administratif total Europe dont Très curleusement, c'est en Amérique (aussi bien aux Etats-Unis que dans les autres pays du continent) que la proportion des informaticiens dans le total du personnel adminis.tratif s'avère tre sensiblement inférieuxe a celle trouvée partout ailleurs. Si nous nous penchons plus en detail sur les chiffres de la dernière ligne du tableau que nous venons de presenter (c'est-à-dire les nornbres de noninformaticien ayant accès aux terminaux), nous trouvons les variations les plus significatives de la proportion de ce genre de personnel non pas entre les quatre regions, dent le découpage suit celui des activités régionales de l'AISS,mais a l'intérieur de chaque region. Ainsi la proportion de ce genre de personnel est supérieure a la moyenne mondiale dans les sous-régions constituées au sein de la region américaine par le Canada et les Etats-Unis, au sein de la region asiatique et océanienne par l'Australie, Israel, le Japon et la Nouvelle-Zolande, et, finalement, au sein de la region européenne par les pays dits a économie de marché. Le corollaire evident d'un tel découpage est cjue la proportion de non-informaticiens ayant accès aux terminaux par rapport a l'ensemble du personnel administratif est partout ailleurs inférieure a la moyenne mondiale. — 112 — Soit dit en passant que le même problème de disparités intrarégionales ayant été rencontré a propos de l'étude du materiel informatique, nous sommes amenés plus bas dans le rapport present a introduire d'une manière plus systé— matique le concept de deux sous—régions, dénommées A et B, au sein de chaque region et dent les definitions rigoureuses peuvent être trouvées dans ce qui suit dans l'introduction au chapitre d) ayant trait au materiel informatique. Le dernier point auquel nous nous scrnmes intéressés dans le cadre de l'analyse des aspects personnels de .l'informatique est celui de la réparti— tion des informaticiens entre professions ou métiers plus spécifiques. Void, au niveau mondial, les effectifs des différents métiers ou professions informatiques au scm des institutions de sécurité sociale, ainsi. que leur répar— tition en pourcentage du total des informaticiens. Profession Direction et Effe ctifs encadrement Programmeurs, analystes, de système Pourcentages 1 431 6,41 4 913 22,02 Opérateurs de l'ordinateur central 2 665 11,94 Secretariat, bandothèque, services logistiques et d'ordonnancement des travaux, contrdle de qualité a la sortie, etc. 2 622 11,75 Personnel de saisie classique des données dire travaillant dans les ateliers d'encodage ou de perforation) 5 413 24,26 402 1,80 869 21,82 22 315 100,00 Personnel propre, affecté è. l'entretien du materiel électronique Non spécifiée ou autre Total 4 Ii ressort de ce tableau que, parmi les professions informatiques (au sens très élargi du mat), c'est la mains qualifiée et la plus fastidieuse de toutes qui est la. plus fréquente. En effet, un sur quatre des "informaticiens" rencontrés au sein des .institutionsde sécuri.té sociale est une flue astreinte a lcngueur de journée a perforer ou autrement encoder des suites de chiffres cu lettres n'ayant pour elle ni sens ni intérêt. Vu d'un autre angle, ce mdme fait permet de souligner l'importance (aussi bien du point de vue de l'accroissement de la productivité que de celui de l'humanisation du travail) que pourrait revdtir un recours accru a l'échange de données soit a travers les télécommunications, soit par l'envoi des supports physiques de données susceptibles d'etre lues par Uordinateur. Les parte— naires d'un tel échange de données (dent le paradigme est l'échange instauré en République fédérale d'Allemagne par les ordonnances DEVO—DUVO) sont, outre les echelons a de la même branche de sécurité sociale (dans le l'intérieur centre—périphér.ie et vice versa), les employeurs, les organismes de paie— ment (banques, cheques postaux ou giro postal, etc.), et mdme d'autres orga— sens nismes de sécurité sociale au niveau national ou international. Si un sui quatre des "informaticiens" a une qualification de perforation— encodage qui ne le predestine a aucun avancement, par contre les autres professions n'excluent pas une certaine mobilité. Ainsi, un sur neuf apparalt comrne opérateur de l'unité centrale, un autre sur neuf s'occupe des bandothèques, de l'ordonnancement des travaux, du contrdle de qualité a la sortie ou des tdches de secretariat. — 113 — Pour un groupe asses important (deux sur neuf), on n'est pas parvenu a specifier le métier, alors qu'un .autre groupe numériquemènt aussi important (deux sur neuf) peut se consacrer aux intellectuellement plus valori— santes de programmation, analyse et conception de systèmes. L'entretien du materiel étant assure en règle générale par le service "après vente" den dii'i'érents fournisseurs, l'entretien par le personnel propre a Uutilisateur n'est pan rentré dans les moeurs et, en vole de consequence, un tel personnel repré— sente a peine 2 pour cent des informaticiens recensés. Signalons enfin que l'encadrement et la direction des services- informatiques occupent un quinzième du total des informaticiens. c) Sections ayant trait aux applications informatiguen (sections I et II) Le domaine des applications informatiques dans les institutions de sécu— rite sociale se prête a plusieurs manières de description soit une description monographique entièrement libre (telle qu'on la trcuve par exemple dans len contributions den correspondants de UAISS publiées dans le Bulletin d'in— formation nur le traitement des données), soit une description de quelques applications typiques dans le cadre d'un schema préétabli (a la manière des noun—sections VIII—B et VIII—C du questionnaire ISSA/OM/XIV/3), soit enfin une simple énumération, ne nécessitant que de cocher dans les cases apprcpriées d'une liste d'activités possibles ou considérées comme typiques (ce qui a été propose dana la sous—section 11—A du questionnaire susmentionné pour les acti— vités spécifiques a la sécurité sociale et dans les sous—sections Il—B et 11—C en cc qui concerne d'autres activités). Cette dernière méthode, faisant sacrifice de la description de particularités parfois très importantes, a le mérite de permettre asses aisément une synthèse chiffrée reposant sur l'énu— mérátion des nombres de can. : Avant d'entamer cette synthèse, rernarquons que c'est a regret et surtout pour ne pan dépasser le cadre imparti aux rapports destinés a la Commission permanente d'organisation et des méthodes que nous avons renoncé a reproduire noun forme d'annexes len différentes réponses aux sous—sections VIII—B et VIII—C. Ii y en a 150 pour la sous—section VIII—B et 58 pour la noun—section VIII—C, soft respectivement 53,5 et 20,7 pour cent des 280 réponses de toute provenance, ayant la forme exigée par le questionnaire. (Si nous nous bornons aux 123 réponses fournies conformément au questionnaire par len seules institutions membres directs de l'AISS, noun trouvons 78 réponsen a la noun—section VIII—B et 37 a la noun—section VIII—C, soit 63,4 et 30,0 pour cent respective— mont.) Remarquons enf in la distribution de la provenance régionale de toutes ces réponsen, disponibles d'ailleurs sur demande auprèn d.u Service connultatif de 1'AISS en matière d'informatique : - Sous—section VIII—B Sous—section VIII—C A 7 6 B 2 2 Amérique: A 10 8 B 6 2 A 6 1 B 4 4 A 1 1 B 114 34 Afrique Asic et Oceanic Europe : : — 114 Venons—en — aux applications "prévaes" par les sous—sections 11—A, 11—B et En totalisant les réponses positives et en ordonnant les applications par ordre décroissant de réponses positives, nous pouvons obtenir tine sorte d.'échelle "de popularité" des activités informatisées. Une activité "peu populaire", c'est—à—dire se prdtant plutOt mal au traitement par a) volume trop bas de pour trois sortes de raisons l'ordinateur, peut transactions, b) situation en marge du flux principal des données qui est la cible d'un traitement intégré, c) difficulté trop grande d'expliciter toutes A l'inverse, poui les règles qui entrent en jeu lors d'une prise de decision. une activité décelée comme "populaire", on peut supposer a) qu'elle touche de nombreuses transactions unitaires, b) qu'elle se situe au coeur dtun système intégrd de traitement et c) qu'elle comporte, le cas échéant, des règles de decision facilement traduisibles en algorithmes et donc facilernent programma— 11—C du questionnaire. bles. Certaines activités, telles que la preparation des listes de paie de son propre personnel, la gestion du patrimoine et enfin la comptabilité géndrale n'étant guère spécifiques a la sécurité sociale font l'objet d'une "échelle de popularité" séparée, dérivée des sous—sections Il—B et Il—C. partir Les "échelles de popularité" être construites soit a de toutes les réponses (sans distinction des membres directs de l'AISS et de leurs unites subordonnées ou fédérées), soit pour les membres directs de l'AISS uniquement. Le rang de telle ou telle activité est souvent sensible— ment le mdme pour les deux méthodes. C'est pourquoi nous avons pris pour base de notre presentation le "rang de popularité" auprès de toutes les institutions ayant particIpd a l'enquête, en indiquant entre parentheses celui obtenu auprès des membres directs de 1'AISS. Rang de "popularité" auprès de toutes les institutions ayant fourni une réponse auprès des membres directs de l'AISS 1 (2—3) 2 (1) 3 (2—3) a Activités informatisées spécifiques sécurité sociale la . Statistiques diverses Comptabilisation des prestations monétaires, leur ventilation stabistique et comptable Constitution et mise a ficiaires jour du fichier des béné— 4—5 (4) Mand.atement des prestations monétaires périodiques (ou leur paiement direct) 4—5 (6) Immatriculation (enregistrement) de personnes assurdes 6 (5) Preparation de l'attribution de prestations en espèces 7 (7) Collecte (recouvrement) des cotisations 8 (8) Comptes individuels des assures (constitution du fichier historique de l'assurance) 9 (10) Constitution et mise a jour du fichier des entre— prises (des employeurs) tenus de verser les coti— sations — 115 — Rang de "popularité" auprès de Activités informatisées spéci±'iques a la sécurité sociale auprès des toutes les membres institutions ayant fourni une répOnse directs de l'AISS 10 (9) 11 (11) Mandatement des prestations monétaires non pério— diques (ou leur paiement direct) Relevés d'information pour les personnes assurées 12 (12) la situation de leurs comptes individuels et de leurs droits acquis ou en cours d'acquisition Rappel des arriérés 13 (13) Règlement comptable des frais hospitaliers, médi— concernant caux, pharmaceutiques, prothétiques 14 (14) Calculs d'actuariat, calculs pour determiner les classes de risque d'accident du travail 15 (15) Délivrance de prestations médicales, pharmaceutiques, prothétiques, organisation de réadaptation, séjour de cure, etc. 16 (16) 17 (17) Calculs et règlement au titre des aides financières en action sociale Etudes devant faciliter la prevention des accidents 18 (le Etudes du prcfil medical (habitudes des 19 (19) Assistance sociale, aide sociale, visites a domi- 20 (20) du travail médecins en matière d'arrêts de travail, de prescriptions, cile, etc. Placement de chômeurs (demandeurs d'emploi) — 116 — Rang de Hpopularité?I auprès de toutes les institutions ayant fourni une réponse auprès des membres directs de Activités in±'ormatisées non spécifiques a sécurité sociale la UAISS 1 (1) Paie du personnel 2 (2) Comptabilité générale 3 (3) Gestion de personnel 4 (4) Gestion du patrimoine immobilier 5 (5) Gestion de placement de capitaux, de 6—7 (6—7) Gestion des stocks (pharmacie exceptée) 6—7 (6—7) Gestion du courrier, surveillance du mouvement des des délais ou des retards, de dossiers a la productivité, etc. 8—9 (8) Gestion des activités hospitalières 8—9 (9) Constitution d'un fichier de jurisprudence (decisions d'une cour de justice ou d'instances administratives superieures), et recherches dans Un tel fichier - assujettis aux traiter, 10 (10) G-estion de stocks pharmaceutiques 11 (11) Mandatement ou paiement de prestations pour d'autres risques (par exemple calamités naturelles) : L'échelle de popularité donne une premiere vae du rang des différentes applications de ltinformatiq.ue rencontrées en sécurité sociale. Mais cette premiere vue eat un peu trop sominaire, certaines réalisations pouvant moms "poussées" que d'autres (par exemple en réservant des cas compliqués ou atThi— ques au traitement manuel). Nous avons done permis aux institutions répondan— tea de signaler un usage "partiel" de l'informatique. En reprenant l'ordre de popularité établi dana les deux tableaux qui precedent, voici les nombres de cas signalés — hors parentheses pour réponses de toutes les provenanees, entre parentheses pour celles des membres de 1'AISS. — 117 — Informatisation (nombre de cas) Activite. auprès de toutes les institutions auprès des membres directs de 1tAISS ayantfourni une reponse totale partielle totale partielle Statistiques diverses 106 53 (88) (41) Comptabilité prestations 105 56 (89) (45) Fichier bénéficiaires 104 56 (88) (45) Nandatement des prestations périodiques 98 54 (82) (43) Immatriculation des assures 98 56 (80) (43) prestations 96 53 (81) (43) Recouvrement des cotisations 94 57 (77) (43) Paie du personnel 91 7 (72) (6) Comptabilité générale 88 9 (70) (8) Comptes individuels des assures 86 44 (74) (37) Fichier employeurs 84 49 (71) (39) périodiques 83 43 (72) (35) Relevés individuels de 1'historicjue d'assurances 78 38 (68) (33) Rappel des arriérés 76 43 (62) (33) Gestion de personnel 71 5 (58) (4) Règlement des I'rais (hospitaliers, médicaux, pharmaceutiques, etc.) 46 33 (37) (26) Gestiori du patrimoine immobilier 39 1 (34) (1) Calcul d'actuariat 38 22 (35) (20) Prestations de sante en nature 37 25 (31) (21) Gestion de placement de capitaux et de préts 32 3 (27) (3) Gestion des stocks 27 1 (24) (1) Surveillance du mouvement des dossiers 27 3 (24) (3) Aide financière en action sociale 22 11 (21) (10) Prevention des accidents de travail 21 14 (20) (13) Preparation de Uattribution des Mandatement des prestations non — 118 - Informatisation (nombre de cas) Activité auprbs de toutes les institutions ayant fourni une totale Etude du profil medical partielle auprès des membres directs de UAISS . totale partielle 19 13 (19) (13) 13 0 (13) (0) Banque de données de jurisprudence 13 1 (11) (1) Assistance sociale 12 3 (12) (3) Gestion pharmaceutique 12 0 (10) (0) Prestations atypicjues (calamités naturelles., etc.) 9 0 (9) (0) Placement de 5 2 (5) (2) hospitalibre — Ce tableau, en conjonction avec les deux tableaux précédents, appelle quatre remarques L'échelle de "popularité" des activités spécifiques ala sécurité sociale et confiées au traitement par l'ordinateur accuse une nette discontinuité, c'est—à-dire une baisse abrupte du nombre de cas, entre le rang 12 (rappel des arriérés) et le rang 13. Notre explication en est la suivante les activités classées du rang 13 au rang 20 ont une portée limitée généralement a une seule branche de sécurité sociale ou a un petit nombre de branches alors que les activités reprises au rang 12 ou a un rang supérieur ne souffrent pas de cette limitation. 10 : TIne discontinuité, ou baisse abrupte du nombre de cas, très semblable, peut dtre observée entre le rang 3 (gestion de personnel) et le rang 4 des activités non spécifiques a la sécurité sociale. Notre explication en est la suivante les activités du rang 4 et au—delà sont souventdes assez isolés ne nécessitant pas l'intégration dans un système global d'informatique administrative. 2° 30 Tout en distinguant entre les applications "fréquemment informatisées" (rang 12 ou meilleur des activités spécifiques a la sécurité sociale, rang 3 ou meilleur des autres activités) et les applications "rarement informatisées" (toutes los autres activités spéciI'iques ou non spéci— fiques), c'est en ±'ait dans cette dernière categoric qu'on trouve de "belles" applications, c'est—l—dire ayant un attrait intellectuel du point de vue de la science des systèmes. Citons au moms les thesaurus juridiques (legislation et jurisprudence), les thesaurus des accidents de travail et les programmes d'aide au placement de chdmeurs. 40 • • Les activités non spécifiques a la sécurité sociale sont soit laissées en dehors du champ do l'informatique, soit informatisées complbtement lea solutions a mi—chemin (c'est—a—dire l'informatisation "partielle"5 pour les activités spéciétant peu populaires. Ii en va tout. Ici l'approche graduelle du problème, per— fiques a la sécurité sociale. mettant des solutions a mi—chemin avec informatisation partielle (c'est—à— dire le traitement par ordinateur do cas simples ou typiques et le traitement manuel des cas compliqués cu atypiques) est étonnamment populaire. En d'autres termes, on pout dire a propos do chaque activité spécifique a la sécurité sociale quo, pour deux cas d'informatisation intégrale, on trouve grosso triodo un cas d'informatisation moms poussée, donc par— tielle'. — 119 — Si nous venons de remarquer la fréquence des cas de 1'informatisation "mains poussée", nous aimerions aussi sa.cToir ce qui en est de l'informatisa— -tion "plus poussée". Pour critère nous avons cette fois—ci pris l'informati— sation des se déroulant dans les unites périphériques (en laissant la distinction entre le centre et la périphérie a ltappréciation des réponNotons que, dans l'optique de notre questionnaire, l'informatisation dants). d.'une activité peut être simultanément "plus poussée" (c'est—à—dire englobant les unites périphériques) et "moms poussée" (c'est—à—dire réservant au trai— tement manuel des cas trap complicjués). activités la En nous limitant aux activités spécifiques a sécurité sociale et en les rangeant selon leur degré d'informatisation, voici la fréquence des cas d'informatisation réalisée non seulement au centre mais aussi a la périphérie Activités informatisées aussi a la périphérie Statistiques diverses 51 cas sur 106 Comptabilité prestations 50 cas sur 105 Fichier bénéficiaires 55 cas sur 104 Mandatement des prestations périodiques 48 cas sur 98 Iminatriculation des assures 51 cas sur 98 49 cas sur 96 Recouvrement des cotisations 41 cas sur 94 Comptes individuels des assures 39 cas sur 86 Fichier employeurs 40 cas sur 84 Mandatement des prestations non périodiques 45 cas sur 83 Relevés individuels de l'historique d'assurances 39 cas sur 78 Rappel des arriérés 33 cas sur 76 Règlement des frais (hospitaliers, médicaux, pharmaceutiques, prothétiques) 28 cas sur 46 Calculs d'actuariat 19 cas sur 38 Prestations de sante en nature 23 cas sur 37 Aides financières en action sociale 17 cas sur 22 Prevention des accidents de travail 15 cas sur 21 Etudes du profil medical 13 cas sur 19 Assistance sociale 11 cas sur 12 3 cas sur 5 Preparation de Placement de chômeurs de prestations Pour les activités "fréquemment informatisées" (rang 12 ou meilleur), on peut dire que, grosso modo, dans un cas sur deux l'informatisation a été réa— lisée non seulement au centre mais aussi a la périphérie. En ce qui concerne les activités "rarement informatisées" (rang 13 ou plus bas), la proportion de l'engagement de la périphérie aux applications de l'informatique semble être encore plus forte. Les chiffres trouvés ci—dessus sont d'ailleurs parfaitement compatibles avec un autre chiffre, trouvé dans la section concernant le maté— riel informatique, a savoir eelui de 107 cas d'existence d'équipeinents permet— tant le traitement des données a distance. — 120 — L'informatique est tout naturellement introduite dans les institutions de sécurité sociale par la voie des applications adniinistratives, très souvent caractérisées par le grand nombre de transactions et leur caractère répétitif, voire fastidieux. Ce n'est qu'après avoir constitué de vastes fichiers ou banques do données qu'on découvre]eur utilité pour los tâches plus "sophisti— pour des etudes et recherches, planification et previsions, etc.). Bans le tableau synthétique présenté ci—dessous, la compa— raison des deux premieres colonnes montre que seulement dans Un cas sur trois on s'en tient aux applications administratives "banales" alors quo,dans deux on profite des données déjà stockées pour en tirer des informa— cas sur tions de gestion plus "sophistiquées" (etudes, recherches, planification, prevision, etc.). quées" de gestion (par exemple trois, Aperçu synthétique des domaines utilisateurs de Uinformatigue au sein des institutions de sécuxité sociale Dam aine s de l'admi— nistration . • des etudes, rechorches, planificat ion et prevision, de soins de sante etc. Institutions ayant répondu au questionnaire ISSA/OM/XIV/3 toutes 118 74 29 dont (98) (65) (28) 43 24 16 (38) (24) (16) membres directs do 1'AISS Réponses concernant les unites subordonnées ou fédéré.es toutes dont celles émanant des membres directs de l'AISS La dernière colonne du tableau précddent renseigne globaloment sur le nombre d'applications inforrnatiques dans le domaine des soins de sante offerts Ii no s'agit aux personnes protégées par les institutions de sécurité sociale. donc pas des tâchos adniinistratives de l'assurance—maladie mais bien des pros— tations en nature et des documents y afférents spécifiquement. Ces chiffres sont donc très tributaires de la structure interne des institutions et, bien que très infériours a ceux dos premiere et deuxième colonnes du tableau, no permettent aucune deduction quant a la popularité ou l'flnpopularité, le succès ou l'échec de ce genre d'applications do l'informatique. d) Section ayant trait au materiel informatigue (section X) Bien quetout le monde soit d'accord pour affirmor quo le centre do gravité d'une étude de l'utilisation do l'informatique faite par de sécurité sociale so trouve incontestablement dans uno description, si possible comparative, des applications, la question du materiel utilisé no pout entièrement éludée. los institutions — 121 — Il qu'un ordinateur universel peut être programme pour exécu— est ter les tâches d1une extreme variété et que, face a ce grand principe, la spé— cificité des produits fabriqués par les différents fournisseurs paralt minime. Par con-tre, les contra.intes dues a la taille de l'outil (c'est—à—dire en pra— Tine parcimonie tique a la taille do la memo ire interne) sont bien réelles0 dans l'allocation de la mémoire réduit le confort dans l'exécution de toutes los applications et va jusqu'à en interdire certaines. L'acquisition de la premiere unite centrale équivaut au fait de franchir Combion d'organisations membres do l'AISS oat le seuil de l'informatique. exige do répondre quo nous ne le savons pas. franchi ce seull ? Ce que nous savons par contre, c'est que, sur 250 institutions auxquelles le questionnaire ISSA/OM/XI'\J/3 fut adressé, seulement 138 (c'est—à—dire 55,2 pour cent) ont bien voulu fournir une réponse (positive, negative et parfois evasive) et quo seulemont 107 institutions (c'est—à—dire 42,8 pour cent) se sont déclarées informatisées. Ii subsisto done une zone do pénombre (zone grise) dans tout ce qui concorno les donnéos chiffrées, 5. cornmencer par le nombre lors d'un rocensement sombla— ble du materiel informatique, nous avons estimé la zone gr.ise a 20 pour cent du total présumé effectif. En d'autres termes, pour s'approchor do la réalité, los résultats chiffrés de notro compte du nombro d'unités centrales auraient être augmentés globalement de plus ou moms 25 pour Pu et pourraient S'il n'y a paz do raison d'avancer uno hypothbse différonte aujourd'hui cent. en ce qui concerne los chiffres globaux, une mise en garde s'imposo des quo l'on descend. au niveau des regions et sous—régions. En effet, la largeur do la zone griso ayant trait aux institutions qui, tout on étant informatisées, n'ont paz fourni de réponse utile a do l'AISS pout varier considé— rablement d'une region (ot sous—région) a l'autre. des ordinateurs utilisés. Ii y a dix ans, Avant d'entamer l'analyse (do croissance dans le temps et do repartition régionale) dos résultats chiffrés obtenus, il de définir le terme "sous—région" que nous venons d'introduire. Si nous nous ponchons sur les guatro regions dans lesquelles so déroulent los activités régionalos de lAISS (Afrique, Amérique, Asic plus Océanie, Europe) du point do vue du client intellectuel (c'est—à—diro do la "contamination" par le mode d'organisation a base de linformatique) ou du point de vue économique (facilité daccès au marché du materiel informatique), ncus sentons intuitivement quo les regions de l'AISS no sent paz tout a homogènos. Ainsi, dans la region américaino, lo Canada et les Etats—Tinis no sent paz, intuitivemont, tout a connie le rosto do la region. Done nous on avons formé une sous—région "B". Tin raison— nement analogue nous a conduit a former uno sous—région "B" compronant lAustralie, le Japon et la Nouvelle—Zélande, au soin do la region asiatique—océanienne. Pour los doux autres regions, nos deux critbros intui— tifs ("contamination" intellectuello et facilité d'accSs du marché) devionnent moms nets. Cepondant, nous avons poursuivi l'exercice en affectant a la sous—région "B" cinq pays africains riverains do la Néditerranée et, en Europe, lea pays dits a économie de marché (République fédéralo d'Allomagno, Andorre, Autriche, Belgiquo, Danomark, Espagno, Finlando, France, Grèco, Irlande, Islande, Italie, Jersey, Liechtenstein, Luxembourg, Norvege, Pays—Bas, Portugal, Royaume—TJni, SuSde, Suisse, Yougoslavie). fait fait La sous—région "A" comprenant tous los pays non classes dans la zeus— region "B", nous n' avons Pu décolor d ' importantes differences du taux do ré— inforponses en provenance des organisations mombros so déclarant savoir l'Amérique et l'Europe. En offot, si matisées quo dans dour regions, on Aniériquo "B" ce taux atteint 83,3 pour cent (ou 5 sur 6 on chiffres absolus), 5. "A". ii nest quo do 30,7 pour cent (on 12 sur 39 en chiffres absolus) en en Europe "B" on observe le taux do 55,1 pour cent (soit 64 sur 116) alors quil nest quo do 30 pour cent (soit 3 sur 10) en Europe "A". Par Do contro, nulle part ailleurs les differences entre sons—regions "A" et "B" ne so sent avéréos significatives, ainsi quo le montre lo tableau ci—aprbs. — 122 — Taux de réponses en provenance des organisations membres de 1'AISS se déclara,nt elles.-mêmes informatisées En pourcentages Afrique : A 27,2 9 B 27,2 3 Asie et Océanie 31,8 30,7 A : En chiffres B 7 4 absolLus sur sur 33 sur sur 22 11 13 Répétons que l'analyse que nous venons d'entreprendre est basée sur la membres de UAISS s'étant d'un côté, les dichotomie suivante déclarées informatisées lors de leur réponse au questionnaire et, de l'autre toutes les autres institutions (informatisées mais non déclarées, et non informatisées). Ce n'est, bien entendu, quo pour la premiere catégorie qu'une repartition par regions, scus—régions et par la puissance des ordina— teurs utilisés devient possible. Nombre d'unités par taille de mémoire centrale et sous—régiOn KB KB >1 MB >2 MB >4 MB non indiqud (2MB Afrique: Arnérique Asieet Océanie: Europe: Total : A 6 1 1 0 1 1 B 3 0 0 0 0 0 A 11 1 0 0 0 1 B 37 15 17 14 8 21 A 7 2 0 0 0 1 0 0 1 B 5 A 2 0 0 0 0 3 B 116 45 31 19 17 76 187 64 49 33 27 104 Si nous essayons d'entreprendre une analyse dynainique, ctest_à_dire celle de la croissance du nombre d'ordinateurs dans un laps de temps déterminé, nous rencontrons une bonne chance et une maichance. La bonne chance est que le laps de temps que nous pcuvons utiliser est exactement de dix ans, la mal— chance est quo tout en pouvant comparer le nombre d'ordinateurs nous ne pouvons nullement comparer leur puissance. Or la décennie écoulée fut sans le moindre doute plus marquee par le remplacement accompagné d'un glissement vers le "haut de la gan]nle" que par un accroissement du nombre des unites utilisées. Le point de repère d'il y a dix ans est l'analyse de la situation de l'informatique dans les institutions de sécurité sociale qui fut publiée dans le numéro 11/1971 du Bulletin d'information sur le traitement des données. En nous bornant a compter les nombres d'ordinateurs déclarés utilisés, nous obte— nons le tableau suivant — 123 — 1970 Amérique : Asieet Océanie Europe : 1980 A 1 10 B - 3 A 9 13 B 65 112 A 6 10 B 9 7 A 2 5 B 242 304 334 464 Tota.1 C'est en pensant aux fluctuations plus que probables de la largeur de la "zone grise" que nous avons renoncé a l'exercice, pourtant facile, consistant a completer le tableau précédent par les pourcentages de croissance par sous— region. Contentons—nous de dire que la croissance moyenne du nombre d'ordi— nateurs durant la décennie fut de 39 pour cent, soit de 3,35 pour cent annuel— lement, que 1'Europe "B" est la seule sous—région qui accuse une croissance au—dessous de la moyenne et ciue le déclin apparent du nombre d'ordinateurs en Asie et Océanie "B" est a notre avis attribuable uniquement a la variation de largeur de la "zone grise". Ii n'en reste paz moms vrai que si nous avons estimé la croissance du nombre d'ordinateurs pour la décennie 1960—1970 a 26 pour cent par an (soit la un dédoublement tous les trois ans), celle pour la décennie suivante est, avec ses 3,35 pour cent annuels, très nettement en retrait. Bien entendu, la partie cachée de l'iceberg c'est l'accroissement de la puissance des unites soft nou— vehement acquises soit mises en service lors des remplacements qui furent particuhièrement nombreux dans ha décennie 1970—1980. Pour Se. faire une idée de ces changements qualitatifs difficilement mesurables, voici comment se présentait la repartition des ordinateurs par classes de puissance en 1970 et 1980 En 1970 Ordinateurs de deuxibme génération (déjà pratiquement déclassés) Ordinateurs I de troisibme génération ç16KB KB et 88 88 KB 126 >128KB 32 Total 334 En 1980 <512 KB >512 KB et (1 NB >lMBet >2MBet >4MB 187 64 49 33 27 Taihle non indiquée 104 Total 464 — 124 — Chacun qui a même de loin observe, le marché du materiel informatique sait et une pleiade qutil y a là Un constructeur en position de ttleader du dautres fournisseurs qui ne sont pas tous nécessairement des épigones techno— logiques mais dont l'effort de vente reste en deçà de la couverture globale réussie par le leader du marché. En un sens inverse, ii serait nail' de flier qu'au moms en trois pays européens dotes d'une fabrication nationale d'ordi— nateurs la marque d'ordinateurs ±'abriqués sur leui propre sol jouit d'une préférence non déguisée des autorités. Donc la concurrence est loin d'être parfaite, aussi bien dans les pays technologiquement asses avancés protégeant le fournisseur national que dans les pays en voie de développement oü le marché est trop restreint pour permettre a de nombreux fournisseurs de s'y établir et de se faire concurrence. En nombre dtunités, toutes tailles confondues, le leader du marché en détient a peu près deux cincjuièmes. En valeur pécuniaire, sa part du marché pourrait être supérleure a la moitié, étant donné qu'il semble être mieux représenté en haut de la garnme qu'en bas de celle—ci. Ainsi ii parait avoir fourni trois cinquièmes de tous les ordinateurs de plus de 4 mégaoctets de mémoire utilisés en sécurité sociale. • Parmi les autres fournisseurs d'ordinateurs aux institutions de la sécu— rite sociale, c'est un fournisseur européen qui, grace a une bonne implanta— tion dans plusieurs pays d'Europe centrale, semble — selon les données dispo— position, détenant grosso mode un nibles actuellement — parvenir a la cinquibme du marché aussi bien en nombre d'unités qu'en valeur. Le troisième fournisseur (une coproduction franco—américaine) détient un septièrne du marché en nombre d'unités mais nettement moms en valeur, le materiel fourni a la sécurité sociale étant surtout celui du bas de la gaznme. Nombre d'unités centrales (par fournisseur et par taille de mémoire centrals) <512 KB IBM >512 KB >1 MB >2 MB MB MB (4 MB >4 MB non indiqué Total 77 33 25 14 16 22 187 6 2 8 4 1 73 94 Oil—RB HB 55 5 3 1 1 65 UNIVAC 15 8 1 3 27 7 2 3 SIEMENS ICL 6 14 2 1 • 7 NCR 4 2 Autres 8 2 1 1 2 1 15 Non indiqués 9 1Q 8 11 8 3 49 187 64 49 33 27 104 464 Total 6 Avant de quitter le domaine des unites centrales, il est intéressant de noter l'intensité de leur utilisation et la fréquence de travail en équipes postées qui va de pair avec l'utilisation intensive des unites centrales. Sur les 150 institutions ayant I'ourni des informations a ce sujet (membres directs de 1'AISS ainsi que les unites subordonnées et fédérées), le travail poste, intéressant quelque 3 000 agents, dont 2 600 opérateurs d'unités cen— trales et 400 techniciens d'entretien, se répartit comme suit — 125 — en une seule équipe en deux équipes : en 46,6 pour cent des can, : en trois équipes en quatre équipes en 18,7 pour cent des can, en 28,7 pour cent des cas, : : en 6,0 pour cent des cas. En d'autres termes, plus d'un sixième des installations ne travaillent qu'en une seule équipe, plus d'un tiers tournent 24 heures sur 24 et un peu moms de la moitié maltrisent leur tâche en deux équipes, ce qui n'exclut pas le recours "assez régulier" au travail de nuit (49,3 pour cent des répondants), de samedi (34,0 pour cent des répondants) et de dimanche et des jours fériés Les trois derniers pourcentages, étant indé— (14,7 pour cent des répondants). pendants l'un de l'autre, ne sont pas additionnables. Si nous limitons notre analyse aux seuls 84 membres directs de 1'AISS ayant répondu a cette partie du questionnaire, nous somrnes en droit d'attendre une plus forte proportion des "trbs petits", dont l'ordinateur est capable de "digérer" tout son travail en une seule équipe, ainsi qu'une plus forte pro— portion des "tres grands", obliges, pour des raisons de coilts de faire tourner leur materiel 24 heures sur 24. Les chiffres (donnés ci—dessous entre parentheses pour indiquer qu'il s'agit de membres directs de l'AiSS) corroborent cette hypothCse Une équipe (21,4 pour cent) Deux équipes (38,1 pour cent) pour cent) Quatre équipes (9,5 pour cent) Trois équipes (31,0 Partant du mdme total de 84 cas, les membres directs de 1'AISS sont aussi obliges, plus souvent que les unites subordonnées ou fédérées, de faire tourner leur materiel de nuit, les samedis et niême les dimanches et les jours fériés, ainsi que le montrent les pourcentages suivants Travail "asses régulier" de nuit (63,1 pour cent) les samedis (51,2 pour cent) les dimanches et jours fériés (23,8 pour cent) L'étude du materiel informatique ne peut pas se limiter a celle des unites Un aperçu qui se veut complet doit mentionner les matériels de saisie de données, de leur stockage, des matériels "inferface" a la sortie, centrales. des terminaux polyvalents, le materiel de communication et de traitement a distance et, un peu en marge de ce complexe de traitement intégré, deux phénombnes jusqu'à present marginaux, a savoir l'utilisation de petits ordinateurs autonomes et le traitement de textes. Les options en matière de saisie de données peuvent être schématisées de la manière suivante (avec carte perforée comme support de données sur clavier Saisie carte perforée comme support de données par lecteur optique de documents — 126 — La lecture optique nétant représentée que par 16 appareils en Europe "B", 7 appareils en Arnérique "B" et un appareil en Afriquc "A", c'est le phénomène de l'abandon progressif de la carte perforée comme support de données qui retient notre attention. Remarquons que le personnel de saisie "a la maison" (dest-à—dire excluant le personnel occupé éventuellement par la saisie des données de sécurité chez certains employeurs pratiquant la sociale chez les façonniers, voire transmission de données sous forme de bandes magnétiques) représente a seul (sans doute y compris les monitrices des ateliers de saisie) presque le quart de tout le personnel informatique recensé par notre enquête. En chif— fres absolus, la saisie occupe donc 5 413 agents sur un total de 22 315 recensés. D'oü l'iniportance de l'accroissement de la produc— tivité realisable grace a l'abandon de la perforation et verification de cartes au profit de l'encodage sans intermédiaire de cartes perforées. lui On peut dire que l'encodage "sans cartes" est pratiqué pour 58,3 pour cent de la saisie a partir du clavier, en comparant le nombre d'unités de materiel correspondant (3 157 unites) avec le personnel de saisie mentionné plus haut (5 413 agents). Ce processus semble être mieux engage, c'est—à—dire avec un pourcentage supérieur a la moyenne, dans toutes les sous-régions lettre "B" (sauf Afrique "B" qui n'a pas signalé l'utilisa— désignées par tion de ce genre de materiel). la En matière de stockage de très grands fichiers, tels quon les rencontre souvent en sCcurité sociale, l'option technologique était entre bandes magnétiques — impliquant lobligation de traitement par lots — et disques magnéti— mais ouvrant la possibilité de consultations, ques, nettement plus que méme en optant pour voire méme de mice a jour, en temps reel. "tout sur disques", on préfère souvent garder quelques unites de bandes magnétiques pour des besoins de sécurité, c'est—à—dire de redémarrage après panne, et pour faciliter lés rearrangements périodiquement nécessaires des grands fichiers. Notre permettait de faire la distinction entre disques fixes et disques amovibles, mais dans l'analyse nous avons confondu les deux, ne laissant a part que la mémoire dite "de masse" (confondant très grands disques fixes et autres solutions technologiques). La repartition géographique laisse apparaltre la très grande prépondérance de deux sous—régions, a savoir 1'Amérique "B" et 1'Europe "B". Amériq,ue "B" Europe "B" Reste du monde Total Dérouleurs de bandes magndtiques Nombre dunités Pourcentages 1 260 47,8 1 203 45,6 175 2 6,6 638 100 Unites a disques magnétiques Nombre dunités Pourcentages 1 283 41,1 1 576 50,5 264 3 123 8,4 100 0 114 0 100 Mémoires dites "de masse" Nombre d'unités 9 Pourcentages 7,9 105 92,1 — 127 — le petit pourcentage afférent au "reste du monde", et l'Europe "A" restent minoritaires. Notons que mdme dans l'Arnérique A la sortie des données du "tunnel infonnaticjue", quatre options avec conservation du document ("hard copy") se présentent a) impression dite lente de feuilles isolées (généralement aux postes de travail pourvus de terminaux); b) impression rapide a mécanisme d'impact; c) impression très rapide évitant le mécanisme d'impact, telle que l'impres— sion xérographique; d) confection directe du microfilm a partir des données d'ordinateur ("CON"). line comparaison en termes de volume reel de "production" de données a de ces quatre modes d'instruments de sortie de données est pratiquement impossible. Ce qui semble ressortir de notre analyse, par contre, c'est le fait que le terminal ayant la faculté de produire, bien que lentement, les partir ayant la forme de feuilles de format habituel est bien adaptable au mode de travail prépondérant dans l'administration de sécurité sociale et jouit par consequent d'une popularité grandissante. La ventilation simplifiée des pourcentages (Amérique "B", Europe "B", Reste du inonde) apparait comme justifiée aussi pour l'équipement périphérique dit de sortie. documents J\méricjue "B" Europe "B" Reste du monde Total Terminaux permettant l'impression ("hard copy") Nombre d'unités Pourcentages . 2 365 32,5 4 528 62,2 389 5,3 7 282 100 Imprimantes a impact mécanigue Nomljre d'unités Pourcentages 232 31,5 456 62,0 48 6,5 736 100 Imprimantes xérographiques ou a rayon laser Nombre d'unités Pourcentages 6 18,2 10 17 30,3 51,5 33 100 Confection de microfilm a partir de données produites par l'ordinateur Nombre d'unités Pourcentages 9 42,9 10 2 47,6 9,5 21 100 - 128 - Leo terminaux a clavier at écran de visualisation constituaient, ii y a dix ans, une catégorie "expérimentale" oman une "de luxe" de l'équipement périphérique des ordinateurs utilisés dans les institutions de sécuritd sociale. Aujourd'hui, leur usage est devenu banal en Europe "B" et en Américjue "B" et ii eat en train de le devenir en Asie et Océanie "B". Par contre, le processus d'introduction des terminaux eat a peine entamé dana lea autres sous—régions, Sur les voire mdme inexistant (ou tout au moms non signalé) en Europe "A". presque 30 000 terminaux inatallés, 57,5 pour oent se trouvent en Europe "B", 37,8 pour cent en Américjue "B", 3,2 pour cent en Asie et Océanie "B" et 1,5 pour cent dans le reste du monde. Ii eat intéressant de noter que le nombre signalé de terminaux et le nombre signalé d'agents non-informaticiens ayant autorisation de travailler sur un terminal, bien qu'indépendants l'un de l'autre, se situent tous les deux dans le même ordre de grandeur. Nombre de - terminaux Nombre de non— informaticiens ayant accès a un terminal "B" Asie et Océanie "B" Europe "B" Reste du monde Total 11 230 9 237 941 1 580 17 056 21 630 452 171 29 679 32 618 Nous avons déjà aignalé et analyse dans un autre contexte le fait que, our 29 679 terminaux, 7 282, soit presque un quart, sont pourvus de petites imprimantes permettant de conserver sur papier ("hard copy") l'image gui appaI l'écran devant l'opérateur. ralt Ii est notoire que l'installation de terminaux travaillant "en mode local" pratiquement dans l'irnrneuble ou le groupe d'irnmeubles hébergeant l'ordmnateur) est relativement facile. Les choses se compliquent des qu'on a affaire aux lignes téléphoniques nécessitant la modulation et demodulation du signal, et parfois mdme l'usage d'ordinateurs spécialisés (designes dans le jargon comme "pro cesseurs frontaux"). Nous voulions savoir pour combien de terminaux on a pu franchir ces obstacles lies a la distance. Total Utilisés a distance Colonne 2 en pourcentage de colonne 1 11 230 3 480 31,0 941 836 88,8 17 056 7 063 41,4 452 78 17,3 29 679 11 457 38,6 Nombre de terminaux "B" Asie et Océanie "B" Europe "B" Reste du monde Total — 129 — Le pourcentage remarquablement élevé observe dams la sous—région Asie et au mode de travail a distance adopté dans le Oceanic "B" est manifestement Commonwealth d'Australie, faisant partie de cette sous—région. L'informatique fonctionnant a distance (ou "téléinformatique" dans le jargon) peut analysée d'une manière plus globale en posant la question si l'ordinateur accepte l'entrée et/ou la sortie de données a distance. Sur 264 utilisateurs de Uinformatique en sécurité sociale (soit 107 membres affiliés de l'AISS et 157 autres entités — subordonnées ou fédérées), 107, soit 40,5 pour cent ou plus de deux sur cinq affirment recevoir et/ou envoyer leurs données par des moyens électroniques a distance. Le travail a distance comporte l'option entre une solution relativement facile, a savoir l'envoi de messages par lots ("remote batch"),et une solution sophistiquée, a savoir le travail en mode conversationnel. La premiere solution peut s'avérer attrayante Si Ofl peut se servir du réseau téléphonicjue pendant la nuit, lorsque les lignes sont peu encombrées, la qualité du signal est meilleure et souvent aussi la tarification plus avantageuse a l'usager. Cette solution, qui est la plus simple, a été retenue approximativement en 30 pour cent des cas de télétraitement, soit en 33 cas sur 107 au niveau mondial ou C'est donc le travail en mode conversationnel qui a 28 cas sur 94 en Europe. une nette préférence, malgré les exigences techniques,et donc aussi les coats, plus élevées. Voici le tableau complet des cas de télétraitement signalés Tous les cas de télétraitement . Afrique : Amérique Asieet Océanie : : Dont les cas en mode conversationnel A 2 1 B 0 0 A 1 0 B 5 4 A 1 1 B 4 2 A 0 0 B 94 66 La prépondérance apparente de 1'Europe "B" est bien entendu en relation avec la structure, passablement touffue, des institutions de sécurité sociale dans cette sous-région. Aucune deduction quant a du flux de dondonc possible. nées a distance, là ou ailleurs, l'intensité cause produisant les effets, nous observons aussi une préLa pondérance apparente de l'Europe "B" en ce qui concerne l'emploi par les usagers eux—mêmes de miniordinateurs isolés et l'emploi par les secrétaires—dactylos spécialement qualifiées de machines a traitement de textes. En présentant le tableau resultant de notre nous nous gardons d'en tirer des deductions non fondées, en particulier concernant l'intensité de l'usage d'ordinateurs individuels ou de machines a traitement de textes. — 130 — Cas d'utilisation de petits ordinateurs confiés a l'usager Afrique de machines a traitement de textes A 2 2 B 0 0 Amérique:A 3 0 B 2 3 A 2 1 B 1 3 A 0 0 B 32 53 Asieet Océanie Europe: : Le total mondial, qui est de 42 cas d'utilisation de petite ordinateurs confiés aux usagers de 62 cas d'utilisation de machines a traitement de textes est a rapprocher avec les 264 cas d'utilisation din±'ormatique en sécurité sociale (membres de 1AISS et unites subordonnées ou fédérées confondus dans le même total). Ainsi calculé, le taux de pénétration de petite ordinateurs individuels serait de 15,9 pour cent, soit d'un peu moms qu'un sixibme, et celui des machines a traitement de textes de 23;5 pour cent, soit d!un peu moms qu'un quart, des institutions déjà informatisées. 3€ 3€ 3€ — 131 — trait e) Section ayant des données la sécurité et a la confidentialité grace a l'ordinateur (Section XI) a accessibles La sauvegarde du caractère confidentiel de données personnelles stockées en grande quantité et rapidement accessibles grace aux techniques de l'informatique est un sujet de débats perpétuels, quoique plus frequents parmi les honimes polltiques portant intérêt a l'informatiqueque parmi les informaticiens eux-mémes. Les cas de crime informatique, tels que alterations frauduleuses des données financières ou sabotages, ont donné naissance a une nouvelle activité de de vigilance", assez actifs dans la littérature et les conferences. Enfin, "l'homme fiche", dans notre cas l'assujetti a la sécuritésociale, est-il un élément purement passif d'une procedure essentiellement technocratique, ou a-t-il un droit de regard sur les fichiers le concernant et éventuel— lement celui de correction des données erronées ? Les trois problèmes énoncés ci-dessus ont provoqué un certain nombre d'in— terventions orales ou écrites dont ii est très difficile d'apprécier la réalité sous-jacente. Tout cela est-il marginal ou essentiel ? Dans le contexte de la sécurité sociale, on ne pouvait guère, jusqu'à maintenant, s'avancer au-delà des impressions subjectives. L'enquête sur les équipemerits informatiques semblait done fournir une excellente occasion pour sonder l'opinion a ce sujet des institutions membres de 1'AISS, ainsi que la situation de fait. Si la section XI du questionnaire se decompose en dix questions f'ormelles binaire (oui - non) et un espace libre réservé pour expliquer en pré— detail ou commenter les réponses positives, son sujet peut en fait senté sommairement sous la forme de trois grands themes a réponse a) réglementation et surveillance (questions 11.01, 11.02. 11.03 et 11.07); b) phénomènes internes au centre informatique (questions et 11.08); c) relations avec l'extérieur, surtout en ce qui concerne les rapports avec les assujettis a la sécurité sociale (questions 11.09 et 11.10). 11,05, 11.06 Certaines des questions pouvaient paraitre indiscrètes, car touchant au domaine parfois délicàt du fonctionnement interne du centre informatiqué et done semle cas En fait, ceci ne semble pas bier devoir provoquer des réticences. Par contre, les commentaires ou explicapour les réponses proprement dites. tions, pourtant sollicités pour chacune des dix questions donnant lieu a une réponse positive, apparaissent comme très sommaires, et couvrent a peine la moitié des cas agrégés au niveau de la section XI. Le taux de commentaires est encore moindre pour ce qui coricerne les réponses éiémentaires. Globalement, la représentativité des résultats apparalt satisfaisante. Cependant, ii ne faut pas perdre de vue que nous restons dans le domaine des petits nombres, dont une analyse statistique poussée n'a pas de justification. De pius, conformément aux usages de l'AISS, aucune tentative de "pondération" des réponses en fonction du "poids" du correspondant n'est faite, ce principe étant étendu aux réponses annexes, c'est-a-dire celles émanant des institutions fédérées ou subordonnées. — 132 — Le nombre de réponses spécifiques a la section XI est légèrement supérieur moitië du total général des réponses de tous genres. Comme, selon la m6thodologie suggérée, la section XI pouvait figurer soit dans le "tronc commun", soit parmi les réponses ?Iramjfiéesl?, c'est-à-dire annexes, ii n'est pas surprenant que plus de deux tiers des réponses émanant des institutions membres couvrent aussi la section XI, alors que ce n'est le cas que pour deux cinquièmes des réponses annexes. a la Comme le nombre de "cas", en particulier celui des réponses positives a ou telle question, que nous sommes amenés a mentionner dans ce qui suit, peut étre juxtapose et compare aux nombres de réponses totalisées selon difplusieurs chiffres utilisables a férents critères, nous indiquons des fins de comparaison telle Réponses de toutes provenances Nombre de réponses dont spécifiques a dont la section XI contenant des commentaires des membres affiliés de 1'AISS 295 138 152 93 65 39 Le principe d'une pondération des réponses n'étant pas applicable, nous analyserons dans Ce qui suit les réponses de toutes provenances, en rappelant entre parentheses lee chiffres concernant exciusivement les membres affiliés de 1'AISS. Pour ce qui est tout d'abord de la rdglementation et de la surveillance dans le domaine de la sécurité et confidentialité des données personnelles stockées, 11 apparaIt que le caractère confidentiel des données fait l'objet d'une legislation ou réglementation pour plus des trois quarts des institutions ayant répondu a la section XI. Légèrement moms frCquentes sent les réglementations en matiere de sécurité physique des installations informatiques, de pratique de l'audit ou de l'inspection systématique des centres informatiques. L'origine de la réglementation est dane la majorité des cas a la fois Les cas d'une réglernentation purement interne sent netteexterne et interne. ment moms frequents, et ceux de réglementation purement externe tout a atypiques. fait Le caractère confidentiel des données est réglementairement protégé dane 118 (70) cas, la sécurité physique des installations dans 95 (514) cas et l'audit ou l'inspection se pratique dans 91 (58) cas, l'origine de la réglementation étant a la fois interne et externe dans 76 (al) cas, purement interne dans 25 (18) cas et émanant de l'extérieur de l'institution dans 17 (12) cas. La réglementation "externe" englobe lee prescriptions générales sur le secret professionnel, donc antérieures a 1'avenement de 1'informatique, et ceci, comme lee commentaires le laissent entendre, dane la majorité des cas. Le taux relativement élevé de la pratique d'audit ou d'inspection peut recouvrir deux réalités distinctes, a savoir, d'une part, la pratique de l'audit informatique régulier et, d'autre part, la simple existence d'une autorité de surveillance, inspection ou contréle, deux réalités que lee commentaires ne permettent pas de déméler. Pour évaluer lee risques assoclés a un mauvais climat psychologique dans un centre informatique, le questionnaire contenait dane son second volet quatre questions pour lesquelles chaque réponse positive représentait un signal d'alarrne. L'anonymat des répondants étant assure, ii n'y a pas lieu de Lee chiffres indiquent une fréquence douter de la sincérité des réponses. moyenne pour des cas de negligence simple, mais concernant lee fichiers essentiels, puis dane un ordre de fréquences rapidement diminuant sent mentionnés lee cas de grève, de fraude ou tentative de fraude, et enfin de sabotage. —133— Le nombre de cas, dans l'ordre descendant de fréquence, est le suivant Negligence (question ll.0tl) 140 (31) Grève 29 (16) 8 (7) 1 (1) (question 11.08) Fraude ou tentative de fraude (question 11.06) Sabotage (question 11.05) . Aucun commentaire n'est fourni sur les cas graves (ceux des deux dernières Par contre, on remarque que certains cas de grève concernaient l'institution dans son ensemble, et que le personnel informatique ne constituait pas un él6ment moteur. On remarque enfin que la negligence (ou l'incident technique) consistant dans l'effacement de fichiers essentiels n'est pas irrépa— rable, si le principe de conservation de trois générations de donndes est correctement observe. lignes). Le troisième volet de la présente section du questionnaire concernait le public (les personnes assurées, les bénéficiaires- de prestations). La premiere question portait sur la possibilité de découvrir et de corriger, par la diligence de la personne •elle-même, les indications erronées contenues dans un fichier la concernant. Le ton est ici donné par les commentaires qui admettent qu'une correction "ex post" (faisant suite a une reclamation) est toujours possible, mais qu'une découverte d'une faute ou d'une lacune dormant dans un fichier inactif, par la diligence de l'intéressé lui-m8me, n'est guere Le principe de l'envoi d'un extrait de compte ou d'un document analogue aisée. est encore très peu répandu, et les commentaires laissent entendre que les institutions préfèrent envoyer les extraits de compte individuel et sur demande" plutôt que de le faire automatiquement a tous les intdressés e. des dates régulières et fixées d'avance. Il est encore plus troublant de constater que dans presque la moitié des cas le principe de redressement des erreurs par l'intéressé n'est même pas prévu par des règlements, comme le montrent les chif— fres suivants Nombre de cas titre Redressement des erreurs, a de l'intéressé la diligence Extrait de compte (disponibilité sur demande et/ou envoyé automatiquement a tous les détenteurs de compte) ) preiru 83 (149) ) imprévu 68 ('42) 22 (10) La derriière question portait sur le mécontentement éventuel des personnes fichées au sujet du non—respect du caractère confidentiel des données les concernant. Le nombre d'institutions ayant de tels cas a signaler est faible, a savoir 7 (5), et les commentaires soulignent que le riombre de cas est infime. Leur nature ressort des trois commentaires a) on peut découvrir l'âge d'une personne a travers son numéro de sécurité socialé; b) certains fichiers permettraient de découvrir la vraie filiation des enfants adoptifs; et enfin c) un faconnier a copié certaines données de la sécurité sociale — sans doute des adresses - pour en permettre un emploi abusif par des tiers. Si la question des données médicales n'est pas soulevée dans ce contexte, ii faut se rappeler que les plus importants des membres de 1'AISS dons la branche assurance—maladie n'ont pas rempli le present questionnaire en temps utile. : — 134 f) - Section ayant trait au numéro—matricule des assures et aux autres systèmes de classement (Section IV) Une bonne identification des ayants droit est une des conditions primor— diales de toute administration de sécurité sociale dont on est en droit d'at— L'utilisation de l'informatique tendre un fonctionnement correct et efficient. n'a fait que souligner cette exigence. Sa portée est toutefois nuancée selon les branches dtassurance et les constructions juridiques des différents regimes. Un régime couvrant tous les a suivre les vicissitudes de leurs car— residents d'un pays a peu rières professionnelles. Une institution s'occupant exclusivement des accia tenir a jour an dents du travail et des maladies professionnelles a registre des entreprises et a surveiller la masse salariale, sans pour autant immatriculer les travailleurs. Un régime dtallocations familiales doit con— nattre des details, tels que ltâge et la scolarisation des enfants, que dtau_ •tres regimes peuvent ignorer. Enf in, une a enregistrer les non-chOmeurs. Ce qui précède est dit pour expliquer la fréquence relativement importante dans la section IV du questionnaire de réponses du type "sans objet" ou de lacunes logiquement assimilables a de telles réponses. Par contre, dans la branche vieillesse-invalidité-survivants oü une reconstruction de carrière a toujours joué un rôle primordial lors de l'octroi des prestations, la boime identification revêt une importance grandissante, du fait de deux phénomènes récents l'intérieur a) de nombreux pays, l'essor tout recent de regimes de retrai-tes complémentaires comportant soit l'obligation légale, soit une clause contractuelle assurant "la garantie des droits acquis" lors du change— ment de l'emploi; b) entre Etats, et tout particulièrement entre ceux de l'Europe de l'Ouest et de l'espace méditerranéen, l'amplitude des iiiouvements migratoires de la main—d'oeuvre, pour laquelle les instruments bilatéraux ou multilaté— raux prévoient la totalisation des périodes de carrière accomplies dana les différents pays. a Une bonne identification est donc un sujet dtactualité, et on pourrait parfaitement imaginer que la Commission permanente d'organisation et des métho— Le fait que la Commisdes en fasse un point spécifique de son ordre du jour. sion a préféré, lors de sa treizième reunion en mai 1979 et pour les raisons sur le numéro-matricule et autres é-videntes d'opportunité, englober de classement dans une autre enquête — nettement plus vaste — sur l'utilisation de l'informatique n'enlève rien a la relative indépendance des problèmes traités dana la section IV du questionnaire. C'est sous cet aspect que nous pouvons en analyser les résultats. Avant d'entamer les problèmes d'identification "sécurité sociale", mention— nons brièvement l'id.entification "naturelle" et l'identification "policière" des personnes. L'identification naturelle se fait par les noms et la conception eurocentrique veut qu'il y ait au moms un prénom individuel et - en dernière position - un nom de famille transmis généralement par le père aux fils et aux Même en Europe, la conception eurocentrique comporte des filles non mariées. variantes et des exceptions, et si elle est mécaniquement appliquée aux noms de personnes provenant d'autres aires culturelles, elle ne peut conduire qu'à des malentendus, sinon a des absurdités. L'identification policière est en général l'identification naturelle complétée par la date et le lieu de naissance, ceci pour permettre un éventuel recoupement avec les registres d'etat civil. Des données concernant l'identité des' parents, tout en introduisant une surcharge evidente, servent parfois a rendre l'identification policière plus con— Si stan t e. — 135 — L'identification sociale" s'est orientée assez tôt vers des systèmes numériques, sans pour autant abandonner l'utilisation naturelle des noms. Bans l'optique de l'utillsation de l'informatique, les noms soulèvent trois problèmes, dont le premier est général et les deux autres spéci±'iques aux travailleurs migrants. Le problème général est celui de la longueur optimum d'un enregistrement, minimisant le risque d'une mutilation trop fréquente des noms dépassant la longueur prévue, tout en évitant le gaspillage d'espace dü Les deux problèmes spécifi— aux enregistrements réservés en sus des besoins. ques aux -travailleurs migrants, et par consequent passes sous silence dans la présente enquête, sont,d'une part, celui de la transliteration des alphabets (c'est—à—dire de ltexistence ou de l'inexistence des règles permettant la transliteration correcte et sans équivoque dans les deux sens) et, d'autre part, celui du respect par l'ordinateur, depuis la saisie jusqu'à l'impression, des signes diacritiques (et mOme de lettres additionnelles) spécifiques a cer— tains alphabets nationaux. Des solutions entièrement satisfaisantes a ces deux problèmes font toujours défaut. Un pas dans la bonne direction a été En effet, plusieurs pays qul connaissent un haut niveau do migrations fait. transnationales, ant dégagé des règles concernant la transcription correcte des noms. Bans le domaine des systèmes numériques, deux questions viennent assez L'une concerne les très jeunes institutions se pré— naturellement a parant a la premiere immatriculation des assujettis, ou encore des institutions en voie de fusion et voulant se doter d'un numéro—matricule unique. La ques— "Existe—t--il une construction optimale ou idéale tion peut s'énoncer ainsi La deuxième question concernant plus particulièrement du numéro-matricule ?". l'esprit. : les travailleurs migrants, et par consequent mise entre parentheses dans le present contexte, est cello d'une normalisation éventuelle des formats dos numéros—matricule, ou de l'attribution d'un nouveau numéro transnational aux migrants. Remarquons a ce dernier sujet que la Commission administrative pour des travailleurs migrants, fonctionnant au sein de la Com— la sécurité mission des Communautés européennes, s'est longuement penchée sur ce double problème et qu'elle a refermé le dossier de la normalisation ou do l'attribu— tion d'un noméro supranational en élaborant des règles permettant la juxtaposition systématique des numéros—matricule nationaux. Ce dernier système fonc— tionne depuis plusieurs années déjà. Toutefois, a la lumière do cette expé— rionco pratique, on somble éprouver un bosom do son ronforcoment par l'adjonction systématique do la date de naissance et du code de nationalité par-tout oü ces doux données no découlent pas directement do la construction des numCros— matricule existants. Pour en revenir a la question précédento, a savoir cello de la construction idéale ou optimale d'un nurnéro-matricule, ii est evident les nurnéros con-tenant la date de naissance ot la nationalité codifiée jouiront naturellement d'un préjugC favorable. quo Le cheminement de ponsée décrit dans ce qui précèdo a conduit tout natu— rellement a concevoir la section IV du questionnaire en trois partios. Dans la premiere partie, on se demande qui fait l'objet d'une immatriculation (per— sonnes assurées, bénéficiaires, employeurs) et par quelle méthode (nuinérique stricte, aiphanumérique, alphabétique pure, alphabétique phonétisée). Bans la deuxième partie, on se penche brièvornent sur l'enregistremont des noms et dans la dernière partie, comportant neuf questions, on analyse la construction du numéro—matricule ainsi que certains aspects administratifs ou institutionnels relatifs a son usage. Be taux de réponses spécifiques a. du tableau suivant la section IV du questionnaire ressort Réponses. do toutos provonancos Norabre do réponses la section IV dent spécifiques a dent accompagnéos de coinmentaires des mombros affiliés de l'AISS 295 138 149 102 128 85 — 136 — Parmi -tou-tes las réponses reçues (c'est—à—dire celles des institutions membres de l'AISS ainsi que des unites de base subordonnées ou fédérées), plus de la moitié contiennent au mains une réponse aux dii'férentes questions de la taux Si on se limite aux membres affiliés de l'AISS, ce section IV. s'élève aux trois quarts des réponses reçues. La très grande majorité de ré— ponses est assortie d'explications ou de commentaires. La méthode adoptée,qui est tout simplement celle de "l'énumération des cas" ou "l'énumération des situations", ne permet pas de ponderer les cas ou las situations en fonction de l'importance de l'institution qul les signale. En consequence de quoi, les unites subordonnées ou fédérées sont traitées sur un pied. d'egalité avec las institutions membres de l'AISS. Las données chif— frees dans ce qui suit concernent done las réponses de toutes provenances, celles des institutions membres d.c l'AISS étant rappelées entre parentheses. (des assu— L'organisation des fichiers consécutifs a jettis, des bénéficiaires, des employeurs tenus de verser les cotisations) soit non redondante (une seule ale permettant la Techerche), soit peu-t redondante (la recherche pouvant se faire a partir de plusieurs des, par exemple soit le nom, soit le numéro—matricule). La redondance limite les ris— ques d'une recherche infructueuse ou rendue impossible par manque de certaines informations. Elle est done un signe de prudence. Dans les réponses aux questions 4.01, 4.02 et 4.03,elle apparalt manifestement dans 50 (34) cas sur La redondance joue un role evident lors de l'analyse des différents 137 (89). modes de fichage ou de classement utilisés. Le questionnaire a identifié trois groupes de persoimes a immatriculer (la réalité est parfois plus riche) et quatre arguments de elassement. La fréquence des cas (redondances non éliminées) est la suivante Classements Numéri ue Assujettis (cotisants ou membres) Personnes Alphanumerique Alphabétique pur Alphabétique phonétisé . 76 54 31 6 Bénéficiaires 93 54 22 2 Employeurs ou entre— prises versant des cotisations 84 45 20 1 Le mOme tableau, limité aux seules institutions membres de l'AISS, fait appa— rattre une tendance a un certain rééquilibrage des modes de classement numérique at alphanumérique, en ce qui concerne les asdujettis. Classements Numéri que Personnes Alphanumérique Aiphabétique pur Alphabétique phonétisé Assujettis (cotisants ou membres) (42) (40) (20) (5) Bénéficiaires (55) (36) (15) (2) Employeurs ou entre— prises versant des cotisations (49) (29) (12) (1) . . — 137 — Le fait qui ne ressort pas des deux tableaux ci-dessus mais qui est a est le suivant le classement aiphabétique pur, c'est—à—dire L'iden— souligner tification soi—disant naturelle par les noms, apparalt cornice un mode de re— cherche d'appoint (ctest_à_dire redondant) dans tous les cas sauf un. En dtautres termes, une seule institution se fie exciusivement a un système de classe— ment par noms. lJii autre fait est que les systèmes de recherche bases sur un argument aiphabétique phonétisé (genre ne jouissent pas dtune très grande popularité, abstraction faite d'un utilisateur ayant un certain poids, a savoir l'Administration de sécurité sociale des Etats—Unis. La question de la technique de l'enregistrement des noms peut paraltre Toutefois, Un impact psychologique négatif non négligeable auprès du public peut produit par l'utilisation dans la correspondance de noms tronqués faute d'espace dtenregistrement suffisant ou déformés du fait de itimpossibilité de traiter correctement par l'ordinateur les caractères addi— tionnels ou signes diacritiques nationaux. aride. Parmi les 149 (102) réponses spécifiques a la section IV, 119 (75) con— tiennent des informations relatives a la question 4.04 qui traite de l'enre— gistrement des noms. Ainsi, 49 (38) institutions prévoient un seul enregistre— ment pour y noter indistinctement le prénom et le nom de famille. Dans 70 (37) cas, on trouve au moms deux enregistrements distincts avec la possibilité additionnelle, dens 18 (2) cas, de réserver un troisième enregistrement pour le nom de jeune fi-lie dtune feinme mariée. Ltéventail dans lequel se situe le choix de la longueur de l'enregistrement est exrtrêmement large, comme le montre le tableau suivant Positions réservées Langue du questionnaire Minimum Allemand 10 Anglais 16 Espagnol 23 Français 15 Maximum 256 132 Plus un ens de longueur variable, structure en n fois 64 positions. Plus uñ cas de longueur variable, structure en n fois 32 positions. La longueur médiane de l'enregistrement combine du nom et du prénom se situe autour de 34 positions, un chiffre au—delà duquel le risque de voir les noms tronqués devient sans doute minime. L'éventail des choix faits par les institutions ayant répondu au questionnaire reste cependant large, cornice le montre La distribution de frCquence des cas - 138 - Positions réservées pour Uenregistrement du prénom, nom et éventuellement du nom de jeune flue Nombre de cas là 9 10à18 0 (0) 3 (1) 19 a 27 35 (29) 28 a 36 28 (18) 37 a 45 30 (14) 46à54 55 et plus Total 7 (4) 16 (9) 119 (75) L'analyse du numéro-matricule veut découvrir sinon la pratique recommandable, au moms la pratique courante, et d6blayer ainsi un autre bout du chemin menant éventuellement vers un traitement informatisé qui surmonterait les ctifficultés techniques inhérentes aux cas de travailleurs migrants. Un numéromatricule peut être caractérisé par sa longueur, par it existence ou non de chiffre ou chiffres de et finalement par "l'école de pensee" ayant influence sa construction. Les 143 (84) numéros—matricule décrits se répartissent par longueur (positions des chiffres de contrôle induces), comme suit Longueur (Positions) 5 Nombre de cas 2 (2) 6 5 (5) 7 16 (10) 8 10 (7) 9 24 (21) 10 24 (16) 11 12 (6) 12 ii (6) 13 3 (1) 14 13 (3) 15 14 (3) 16 4 (1) 17 '1 (0) 18 2 (2) 24 1 (0) 29 1 (1) La fréquence des cas de ltutilisation du numéro (pur ou augmenté) attribué en France par 1tINSEE est a itorigmne d'une préférence apparente pour les numéros a 14 ou 15 chiffres. Sinon, ce sont lee numéros a 9 ou 10 chiffres qui sont utilisés le plus fréquemment. — 139 — La clé de contrOle est utilisée dans plus des deux tiers des cas et, saul' de rares exceptions, sa construction est en accord avec la théorie (préférant des algorithines modulo un nombre premier). On trouve le chiffre de contrôle a) absent dans 44 (20) cas b) a une position dans 71 (48) cas c) a deux positions dans 28 (8) cas. Les raisons historiques (ou itautonomie des unites fédérées) conduisent parfois a la coexistence de deux ou pl-usieurs systèmes numériques. Le cas de deux systèmes juxtaposes est signalé par 6 (5) institutions, alors que, dans les unites subordonnées ou fédérées, la variété n'a pas de limite (ainsi, une institution connalt trois modes de numérotage, une quatre, une six et les assurances contre les accidents du travail, en République fédérale d'Allemagne, n'utilisent pan mains de 36 systèmes d'irnmatriculation numérique que nous avons d'ailleurs renoncé a inclure dans l'analyse qui suit). Une date de naissance complete apparait coinme élément constitutif du numéro— dans 30 (20) cas, une date de naissance tronquée dans 40 (16) can, et des'données aiphabétiques dans 23 (16) can. matricule La construction du numéro—matricule relève souvent d'une "école de pensée". Nous avons tenté de faire un regroupement en sept écoles, dont noun donnons ci—après la distribution de fréquences ci une ébauche de description Ecole Nombre de cas Chronologique pure 22 (15) Chronologique modifiée 39 (32) Nordique Autrichienne 17 (10) 2 (2) - Suisse INSEE (France) VDR (RF d'Allemagne) 4 (1) 25 (5) 4 (2) Notons que l'école nordique jouit d'un monopole de fait d'utilisation dans les pays d'origine (Danemark, Finlande, NorvCge et Suede) et rayonne très au-.delà (Koweit, Luxembourg, un cas en Allemagne fédérale et trois aux PaysBas). L'école autrichienne n'est qutune modification de l'école nordique, toutes les deux partant de la date de naissance en clair et d'un numéro consécutif a de chaque date. L'école suisse a pour spécificité le partagealphabétique des noms en 900 groupes, de manière a équilibrer Ia fréquence des cas dans chaque groupe, le debut du nom étant ensuite traduit par le numéro du groupe a trois chiffres. Cette école a rayonné aux Pays-Bas, sans pour autant jouir d'un monopole de fait dans son propre pays. l'intérieur L'école INSEE (également connue sous le signe SIPP ou Système d'identifi— cation des personnes physiques, maintenu en France par 1'Institut national de statistiques et d'études éconorniques), ainsi que l'école VDR (numéro d'assuran— ces créé par le Verband Deutscher Rentenversicherungsträger wais ayan-t acquis un certain statut réglementaire grace aux ordonnances DEVO-DUVO1), font usage Ordonnances souvent décrites dans la littérature et en particulier dana numéros 14, 19 et 23 du Bulletin d'information sur le traitement des don— nées, édité par le Service consultatif de l'AISS en matière d'informatique. les — 140 — d'un Ces découpage (a deux chiffres) de leurs pays respectifs. deux écoles n'ont pas rayonné hors des frontières des deux pays respectifs,et, largement suivies, elles sont loin de jouir bien que a dtun monopole de fait. Notons que, dane le numéro VDR, 1a date de naissance est entièrement reprise, alors quo le numéro INSEE se contente de l'année et du mois de naissance. Enfin, les deux modes d'attribution de numéro d'ordre consécutif (chronologique pur et chronologique modifié) jouissent, tous les deux, d'une très grande popularité, des systèmes chronologiques modifies étant Les modifid'ailleurs deux fois plus frequents que le numéro consécutif pur. ajoutés (par exemple la province cations sont souvent des codes d'attribution), mais parfois aussi d'autres codes chronologiques (tels que Notons que plus de 70 pour cent des institutions membres l'année de naissance). de l'AISS ayant répondu a la section IV du questionnaire utilisent quelques Si on tient compte des unites subordonnées ou numéros-matricule de ce genre. fédérées, ce pourcentage tombe au—dessous de 50 pour cent, ce qui est mani— festement dO. a la tree grande diligence qu'ont manifestée les utilisateure du numéro INSEEà répondre au present questionnaire (ou, en d'autres termes, a leur surreprésentation dans l'échantillon). l'intérieur, Les six dernières questions (de 4.54 a 4.59) de la section IVavaient pour but de cerner les aspects administratife ou réglementaires de l'utilisation du Trois d'entre elles (de 4.55 a 4.57) impliquaient soit numéro—matricule. l'existence d.e preetations de longue durée, soit la nécessité de maintenir un historique d'assurances, ce qui explique, en partie, les pourcentages considé— D'autres questions pou— rabies de réponse du type "sans objet" ou "néant". vaient aussi provoquer un flottement. Ainsi, la question 4.59 (sur l'exietence d'un numéro national) a provoqué une réponse du type "officiellement, non", alors que d'autres institutions du méme pays ont éludé la question, d'ailleure La question 4.54, pourtant simple, politiquement delicate dans le pays concerné. sur la premiere attribution du numéro, permettait une diversité de réponses d.ans le cas du numéro INSEE attribué a la naiseance aux Français, mais a l'embauche aux migrants, et dane tous lee cas ne pénétrant dans lee circuits de sécurité sociale que lors de la premiere embauche. D'assez nombreux répondants se sont bornés a cc dernier aspect, alors que d'autres signalaient l'attribution par l'INSEE a la naiseance. Nous n'avons Pu que respecter les points de vue dee répondants, même e'ils apparaissent comme divergents. Sur 137 (88) répondants, 22 (7) signalent donc l'attribution d'un numéro, sDuvent national, a la nalesance. Pour 72 (48) institutions, un numéro— matricule est attribué lors de la premiere embauche, pour 20 (14), a une autre date, alors que 23 (19) ont laissé la question ouverte. Le numéro, une fois attribué, reste imniuable dane 88 (50) cas cur 137 (88). Le changement de la situation ou du nom de l'assujetti provoque le changement du numéro dans 17 (13) cae, i'adjonction de chiffres distinctife dans 2 (2) cas et aucune information n'est fournie dane 30 (23) cas. La pratique est tree partagée en ce qui concerne l'identification par un numéro des veuves et. des orphelins. Dans 43 (29) cas cur 137 (88), on se con— ten-te d'un rattachement pur et simple au matricule du chef de famille décédé, alors que dans 41 (24) cas, lee ayants droit sous leurpropre identification qui est souvent le numéro national. Des solutions intermédiaires ou plus élaborées eont signaiées dane 16 (10) cas, alors que pour 37 (25) institutions, la question apparalt cornice étant sans objet. Sur le même nombre total de cas, la vaste majorité, c'est—à—dire 122 (79) institutions, ne eont pas concernés par lee numéroe—matricule attribués, dans d'autres pays, aux travailleurs migrants. Le stockage de tels numéroe n'est donc pratiqué que dans 15 (9) cas, tous, évidemment, du domaine de l'aseurance— vieillesse. Lee deux queetione (4.58 et 4.59) portant cur l'utilieation du numéro de sécurité sociale hors de son propre domaine, d'une part, et cur l'existence ou non d'un nurnéro national ou numéro civique, d'autre part, sent en correlation évidente. En effet, plus l'üsage du numéro de sécurité sociale se répand hors du domaine qui lui est propre, moms le besoin d'introduire un autre numéro —141— Le cas inverse, c'est—à—clire ltabandon coimne nuinéro national se fait sentir. de toute irnmatriculation propre a la sécurité sociale au profit de l'usage dtun numéro national, peut survenir tout aussi fréquemment. Comme les deux questions portaient plutôt sur les tendances que sur les faits, les réponses sont entourées d'un certain flou. Ainsi, sur 137 (88) répondants, 58 (33) affirment que l'usage du numéro prépondérant dans la sécurité sociale se répand soit vers d'autres branches de la sécurité sociale, soit vers d'autres aspects de la vie organisée; 79 (55) institutions nient ou ignorent une telle tendance. D'autre part, l'existence d'un numéro national ou civique est affirmée dans 54 (29) cas, expressément niée dans 35 (29) cas et ignorée dans 48 (30) cas. La difference marquee entre des cas affirmatifs signalés hors parentheses et ceux entre parentheses tient une fois de plus a une certaine surreprésentation des unites subordonnées ou fédérées signalant Uexistence du Système d'identification des personnes physiques (S1PP) géré par l'INSEE. Signalons enfin que, d'après les quelques rares estimations de nos répondants, les tendances contradictoires, c'es±—à-dire celles tendant a unifier les systèmes d'identification numériques et a tolérer la coexistence de plusieurs de ces systèmes, sont actuellement équilibrées. En effet, si la tendance a est expressément affir— mée dans 9 (9) cas, et expressément flee dans 2 (2) cas, elle est implicitement niée par 8 (5) autres institutions, qui signalent la coexistence paisible de pLusieurs systèmes d'identification nurnérique des personnes. l'unification g) Section ayant trait aux institutions non informatisées (Section I—C) Cette section, ne comportant que cinq questions a réponse binaire (oui-non) ainsi que l'invitation usuelle au commentaire en cas de besoin, fut rédigée avec deux arrière-pensées a) découvrir s'il y a une sorte de "front du refus" face a l'informatique, et quels en sont les motifs éventuels, b) découvrir si, en particulier, les institutions de petites dimensions ne prennent pas, au lieu du chemin de l'informatique classique, un raccourci les menant de la machine comptable ou facturière vers l'ordinateur de bureau. : Ii n'est guère surprenant que nous nous trouvions id dans le domaine des petits nombres, cornme le montre d'ailleurs le tableau suivant Réponses de toutes provenances Nombre de réponses des membres affiliés de l'AISS 295 138 section I—C 19 5 dont accompagnées de commentaires 7 4 la dont spécifiques a La premiere impression qui se dégage des réponses est celle qu'un hypothétique "front de refus" de l'informatique n'existe pas. Sur les deux oas d'étude d'opportunité ayant abouti a une conclusion negative, l'un montre que le dossier n'est pas cbs et que l'informatique reste be but poursuivi. L'autre cas de refus n'est pas celui de l'informatique mais celui de s'adresser a l'unique faconnier du secteur public, ayant obtenu par la decision des autorités be monopole du traitement de l'information de toute institution parasta— tale ou pubbique. Dans un troisième cas, l'attitude de l'institution en question se resume ainsi "Nous ne sentons pas un .besoin aigu de nous équiper, mais si une occasion avantageuse (teble que ba disponibilité pour ba caisse d'un ordinateur de bureau utilisé précédemment aux fins de recensement de ba population) se présente, nous ne ba refuserons pas." : —142— Les quatre questions restantes de la section I—C se proposaient de scruter les intentions des institutions non informatisées (aussi bien des membres affi— lies de 1'AISS que des institutions de base subordonnées ou fédérées a ces derniers), dans un espace de temps couvrant les douze mois consécutifs au renvoi du questionnaire rempli, en ce qui concerne l'équipement pour le traiConmie ii n'y a pas de raison profonde pour faire une tement des données. analyse séparée en ce qui concerne les institutions affiliées directement a 1'AISS et celles q.ui relèvent d'un membre de 1'AISS en tant qu'institutions subordonnées ou fédérées, nous donnons dans ce qui suit les résultats cumulés pour les deux groupes, en rappelant entre parentheses les chiffres concernant exciusivement les membres affiliés de l'AISS. Ii serait faux de dire que les institutions non informatisées soient a la Sur les 18 (14) institutions En fait, leur dynamisme est étonnant. dans cette catégorie, 2 (2) seulement ne manifestaient aucune intention d'avan— cer dans le domaine de l'informatique au cours des douze mois suivant la remise Toutefois, ce dernier chiffre est a interpreter avec une du questionnaire. Comnie le questionnaire .était entièrement axe sur l'informa— certaine reserve. tique, ii est fort probable que, parmi les institutions n'ayant pas répondu, la proportion des institutions non informatisées soit plus forte que parnii les En fait, aux 14 institutions ayant institutions l'ayant correctement rempli. rempli la section 1.-C, ii faut en ajouter 11 autres ayant déclaré par simple lettre ne pas utiliser les équipements informatiques dans leurs administrations. La proportion des non—infonnatisés parmi ceux des membres de 1'AISS ayant donné une réponse (sous la forme exigée ou sous une forme libre) est donc de 25 sur tralne. Si nous admettons que, parmi les 115 institutions 135, soit 18,5 pour cent. n'ayant pas répondu au questionnaire, cette proportion est deux ±'ois plus forte, soit 37 pour cent, on devrait ajouter aux 25 institutions connues connie non informatisées encore au moms une quarantaine de celles qui ne se sont pas manifestées. Ii n'en reste pas moms vrai que, inême si on precede a un "gonflement statistique" a partir des deux institutions "non informatisées et heureuses de qui se sont déclarées, on restera toujours dans le domaine de très petits nonibres. Les quatre autres questions de la section 1.-C concernent donc les projets terme (12 mois). Ces projets englobent dans 12 (8) cas une étude d'opportunité, deux autres etudes d'opportunité ayant été signalées cosine venant dtêtre achevées. Une relation avec un bureau d'études informatiques ou un atelier de travail a façon est prévue dans 10 (7) cas et en voie de réalisation dans un autre cas. Signalons enfin que 10 (8) institutions se préparaient a commander an système a base' dtordinateur alors que 5 (5) comptalent déjà en prendre la livraison, toajours dans le même laps de terops de douse mois. a court Les remarques accompagnant la section I—C signalent la mise en place prochaine d'un système déconcentré a base de mini-ordinateurs dans un seul cas et la transition depuis le traitement des données chez un façonnier vers un ordinateur sous propre dans un autre cas isolé. - 143 - ANifEXE 8 QUESTIONNAIRE ISSA/OM/XIV/ 3 — 145 b) QUESTIONNAIRE — ISSA/OM/XIV/3 TABLE DES MATIERES Page AVANT-PROPOS 147 INTRODUCTION TECHNIQUE 150 Section I - A Identification de l'institution participant au recensement 153 Section I — B Questions générales 154 Section I — Questions concernant les institutions non informatisées 155 Activités informatisées spécifiques a la sécurité sociale 156 Activités administratives susceptibles d'être traitées a dtordinateurs, non spécifiques a la sécurité sociale 159 Autres activités susceptibles d'être traitées a l'aide d'ordinateurs) 160 Section Section Section II — II — II — C A B C Section III — A Structure géographique des activités informatisées 161 Section III — B Identification des centres informatiques ayant répondu a titre individuel a certaines sections (ou parties de sections) du recensement des équipements informatiques utilisés par les institutions membres de l'AISS 163 Numéro matricule desassurés et autres systèmes de classement 164 Mode d'utilisation du materiel 166 Plan informatique et organigrammes concernant les services informatiques 168 Section IV Section V Section VI - A Section VI - B Budget et personnel informatiques 169 Section VI - C Quelques chiffres mesures 171 "Facilities marnagement" et contrats "clé sur la porte" 173 Section VII Section VIII — A Les réalisations les plus significatives 174 Section VIII — B Description verbale des activités sélectionnées ... 175 Section VIII — C Tableau synoptique des activités sélectionnées .... 176 Section IX - A Logiciel d'application 180 Section IX — B Logiciel de gestion des tâches utilitaires 182 — 146 - Page Section X Materiel Sous—section X — Sous-section X — Sous—section X — Sous-section X Sous-section X - A B C D E 183 . Materiel de traitement et de stockage des données 183 Materiel pour sortie de données lisibles en grande quantité ou de données graphiques 184 Materiel après la sortie de documents - imprimés 185 Materiel pour preparation décentralisée de la lecture optique .... documents destinCs 185 Materiel spécifiquement destine a saisie des données la 186 Sous—section X - F Terminaux 187 Sous-section X - G Materiel mécanographique 189 Sous-section X - H Traitement a. distance - relations avec les services de télécommunications Sous—section X — I Sous—section X — J Section XI Traitements complètement décentralisés — utilisation de mini—ordinateurs autonomes Machines Sécurité — a. traitement Confidentialité de textes 190 .. -191 192 193 — 147 — AVANT-PROPOS L'importance de l'infoi'matique pour l'administration de la sécurité so— ciale n'est plus a démontrer. Les témoignages de l'intérêt porte par les institutions membres de l'AISS aux questions touchant ltemploi des ordinaLe dernier en date est le succès remporté par le teurs sont nombreux. deuxième Colloque international sur l'informatique dans le domaine de la sécurité sociale, qui stest tenu a Munich, du 5 au 7 septembre 1978, en presence de 1150 délégués des institutions membres de l'AISS dans 148 pays de toutes les regions du monde. Dans le laps de temps entre deux Colloques sur l'informatique, et en fait depuis 1967, 1'AISS s'efforce de diffuser la connaissances des applications les plus marquantes a travers son Bulletin d'information sur le traitement des données, dont 25 numéros sont déjà parus en francais et en anglais, et dont ii existe aussi une edition espagnole et une edition allemande. La vue de l'évolution donnée par les descriptions essentiellement monographiques publiées dans le Bulletin est sans doute utile et instructive, mais le caractère nécessairement ponctuel de telles informations ne permet de cerner ni la dynamique ni l'ampleur quantitative du phénomène informatique au sein de la sécurité sociale. Les etudes ponctuelles nepermettent pas non plus de saisir les tenEt pourtant, c'est l'observation des tendances qui fait l'attrait et l'utilité des reunions telles que les reunions de laCornmission permanente d'organisation et des méthodes. Dans le domaine qui nous préoccupe, on peut vouloir observer et quantifier les tendances d'aspects tels que dances. - le choix du materiel de saisie des données et le rythme de son renou— vellernent; - le — le choix du materiel de traitement des données et le rythme de son renouvellement; choix des applications et la tendance vers leur integration; - l'architecture des bases de données; l'architecture des réseaux de traitement a distance; la participation directe de l'usager au dialogue homme-machine; — le — i'usage — — traitement décentralisé et le stockage décentralisé des données; des machines "a l'échelle humain&', en particulier dans les institutions de sécurité sociale de petite taille. Au moms une bonne moitié de ces questions ne sont apparues avec acuité qu'au cours des toutes dernières années. Cela prouve combien trompeuse était l'impression, pourtarit répandue au debut des années soixante—dix, qu'à par— tir du moment chaque institution de sécurité sociale dépassant une cer— tame taille serait équipée de sa configuration de materiel électronique de troisième génération, on n'assisterait plus a une croissance foudroyante, telle que celle de 25 pour cent par an observée au cours des années soixante, mais plutôt a des phénomènes de "maturation" de l'état de l'art, voire a un certain plafonnement une fois la vitesse de croisière atteinte. - 148 - Ii n'est même pas nécessaire de souligner combien est dépassée la dernière étude de synthèse des tendances, entreprise par le Service consultatif de l'AISS en matière d'informatique et publiée dans le numéro 11/1971 du Bulletin d'infor— ttAu seuil d'une seconde mation sur le traitement des données, sous le titre décennie". Une mise a jour s'impose done. Elle a été réclamée maintes fois par les informaticiens travaillant au sein de la sécurité sociale, lors d'entretiens a l'occasion de nombreuses reunions de l'AISS, et finalement mise a l'ordre du jour de la reunion du Comité consultatif en matière d'informatique du Pour permettre aux membres de ce Comité, qui se réunissait septembre 1978. dans une composition substantiellement renouvelée, d'engager le débat, un projet de questionnaire y fut présenté par le Service consultatif de 1'AISS d'informatique. en II Après stétre prononcés en faveur de l'idée de principe d'un recensement informatique (englobant les applications et les questions de structure informatique aussi bien que les questions plus classiques concernant le materiel, le logiciel, le personnel, les coüts et les avantages obtenus ou escomptés), les membres du Comité consultatif se sent penchés sur le projet du questionnaire. Pour des raisons techniques (et aussi pour permettre aux quelques membres alors absents de se prononcer également), il fut décidé que les observations et remarques des membres devraient étre adressées au Secrétaire général de l'AISS par voie écrite avant le 31 janvier 1979. ont préfCré fournir une preuve pratique de Sur 21 membres consultés, ce que le recensement est "faisable" en fournissant déjà une "réponse modèle" aussi complete que possible. Il est a noter avec satisfaction que, parnii les quatre réponses modèle, il y en a une émanant d'une institution natio— nale d'assurance—vieillesse qui a dQ procéder a l'exercice demandé aux institutions ayant une structure ramifiée de leur outil informatique, a savoir les réponses "invariantes" au niveau national, et celui de fournir de recueillir toutes les autres réponses des unites de base possédant des centres de traitement de données propres. Il est réjouissant de noter qu'un partage logique des questions entre celles du "troric cominun" et celles des "branches" est possible. Alors que chez 5 membres on peut presumer un accord tacite avec le questionnaire sous sa forme originale, 13 menibres ont fourni des remarques et observations plus ou moms nombreuses, et un des membres a fourni a la fois une réponse modèle et des observations. Les remarques et observations — dépassant une centaine au total — sont assez dispersées sur une aire englobant tout le contenu du questionnaire. Elles sont dans tous les cas d'une utilité pratique indéniable, mais par centre d'une incidence très variable. Les observations "sans gravité" concernaient le nunlérotage des questions, l'ordre logique de la presentation, ou encore des questions d'ordre linguistique (fréquentes surtout dans la version allemande du texte). d'un Les observations "substantielles" allaient dans deux sens opposes côté en suggérant d'ajouter des "blocs de questions" ou même des sections entières, de l'autre en préconisant un allègement substantiel de la description quantitative des applications, ou même son remplacement pur et simple par On a tenu compte des observations préun récit d'une forme entiCrement libre. conisant un allègement du questionnaire en structurant mieux la section VIII et surtout en rendant facultative sa paptie "C" (c'est—à-dire l'intégralité de la section VIII selon la numérotation du projet initial présenté a Munich). : — 149 — Les observations au sujet des "difficultés méthodiques" concernaient irisérer dans l'une ou itautre des a) les cas particuliers, difficiles a questions existantes; b) une hesitation au sujet de la possibilité de commentaires narratifs ttlibres", prévus dans la majorité des sections du questionnaire; c) une autre hesitation concernant la delimitation du "tronc commun" (réponses invariantes au niveau national ou au niveau de l'institution membre de 1'AISS) et des "ramifications" (réponses individualisées au niveau des institutions de base, ou de leurs regroupements, possédant un centre de traitement Clectronique de données propre). Dans la version actuelle du questionnaire, on a tâché de mieux tenir compte des cas particuliers soulevés en ajoutant, supprimant ou exprimant d'une manière différente un nombre, en somnie assez réduit, de questions. Pour faire face aux deux manifestations d'hésitation rappelées ci-dessus sous b) et c), on a procédé a une amplification de itintroduction technique. On renvoie donc le lecteur a cette dernière pour une discussion plus détaillée de ces deux dernières "difficultés méthodiques" et de la démarche que l'on suggère pour les surmonter. — 150 — INTRODUCTION TECHNIQUE Après avoir entrepris plusieurs enquêtes restreintes concernant le sujet du present questionnaire, la Commission permanente d'organisation et des methodes de l'AISS a, de maniOre plus approfondie, étudié au debut des années soixante-dix l'utilisation dumateriel informatique par les institutions Les resultats de ce qutil a ete convenu d'appeler membres de l'Association. le "recensement des ordinateurs" ont ete publiés dans le no 11/1971 du Bulletin d'information sur le traitement des données. àe que de Depuis lors, de nombreuses organisations membres ont demandé tels recensements soient entrepris avec une périodicité permettant de juger de la rapidité de pénétration des ordinateurs dans le domaine de la sécurité sociale, de l'évolution vers un materiel plus performant, ainsi que de l'expan— sion géographique de ce phénomène surtout en direction des pays en développement. Si une telle enquOte n'a pu Otre réalisée plus tot, c'est entre autres par crainte de réticences de la part des institutions membres de l'AISS a caractère fédéral ou similaire, dans lesquelles les unites susceptibles d'informatisation et donc soumises au recensement des ordinateurs seraient des unites de base (caisses, bureaux, etc.) et non les "regroupements au sommet" membres de l'AISS. Schématiquement, la situation se présente comme suit Organisations membres de 1'AISS Informatisees Avec plusieurs centres de traitement des données • . a l'aide d'ordinateurs Avec un seul centre de traitement des données Non informatiséés Utilisant les services d'un atelier (d'ateliers) de traitement de données a facon N ou la securite sociale domine le faconnier (les faconniers) ou la securite sociale ne domine pas le faconnier (les faconniers) La majorité des etudes et rapports, réalisés au sein de 1'AISS par la voie de questionnaires, ne sollicite pas la collaboration des unites de base. Toute— fois, un recensement du materiel informatique doit prendre en consideration toutes les institutions ou unites de base possédant un atelier propre. La situation se corriplique encore en cas de travail a façon. Dans la logique du questionnaire propose, il s'agit de faconnier indépendant de la sécurité so— ciale (c'est—a—dire soit gérO par une autre institution du secteur public, soit purement commercial), le materiel ne doit pas être recensé, l'instituion "cliente" devant remplir uniquement les sections relatives aux applications. Dans le cas d'un atelier a façon dominé par les institutions de sécurité sociale, ii semble plus logique d'omettre les institutions clientes dans les sections techniques du questionnaire et de traiter le faconnier comme l'unité de base pour los besoins du recensement. Le questionnaire propose ne peut donc pas Otre rempli par toutes los institutions selon un schema unique. Le questionnaire comporte une branche courte remplir par lea institutions membres de l'AISS ne se servant pas d'ordinateurs) et une branche longue (a remplir par lea autres institutions, en tenant —151— cornpte de la nécessité de ne pas effacer les particularités structurelles). Les institutions dont l'informatique est centralisée répondront dans la mesure du possible a toutes les questions- de la branche longue. Un questionnaire de ce genre ne peut ni prévoir ni prendre en compte de nombreuses situations particulières se présentant au sein des institutions membres de l'AISS quant a la place qui y est réservée a l'i,nformatique. Un questionnaire rigide (avec des réponses du type "oul — non" ou des réponses quantitatives chiffrées) se prête plus. aisément au dépouillement etaux elaborations de synthèse qu'un questionnaire "ouvert" permettant des réponses narratives. Toutefois, le present questionnaire permet - et même demande - dans la plupart de ses sections et sous—sections des commentaires, des explications et des appreciations qui ne peuvent avoir qu'un contenu narratif, c'est-à--dire non dirigé. Les personnes qui auront a remplir le present questionnaire sont cependant priées d'utiliser les lignes réservCes aux commentaires avec modération. Le commentaire eat indispensable dans toutes les situations oü son absence pourraitengendrer un malentendu, une fausse interpretation ou une incom— prehension totale de la réponse non commentée. Un commentaire est très souhaitable dans toutes les situations ii sert a éclairer les autres institutions membres de l'AISS au sujet d'une experience importante ou d'un aspect partiDans tous les autres cas oü il est prévu, le comrnentaire culier de la question. reste facultatif et devrait être limité aux informations utiles a une étude de Les institutions membres de l'AISS ayant établi plusieurs centres informatiques géographiquement séparés, ou bien les institutions membres dont dépen— dent des unites de base (institutions fédérées ou subordonnées) ayant des centres informatiques propres ou encore des regroupements de ces derniers en vue d'une exploitation commune de l'informatique, devront rëaliser des copies de certaines parties du questionnaire et les envoyer aux unites participant au recensement informatique a individuel. Toutefois, a côté de la section I — A, identifiant l'institution membre de l'AISS, qui reste bien entendu l'interlocu— teur unique de l'AISS et doit, a ce titre, centraliser les réponses individua— lisées provenant des unites de base mentionnées plus haut, certaines autres sections du present questionnaire peuvent se prêter a des réponses "invariantes" au niveau de l'institution membre de l'AISS ou même au niveau national. titre Tout en soulignant la nécessité de concevoir le recensement informatique (surtout dans sa partie ayant trait aux applications, au logiciel et au maté— riel) comme un recensement des unites de base ayant entre leurs mains l'outil informatique, on veut éviter une répétition fastidieuse de réponses "invariantes" a collecter par l'institution membre de l'AISS responsable des réponses au présent questionnaire. C'est pourquoi la premiere ébauche du present questionnaire (le projet ISSA/SCI/CC présenté a Munich) avait envisage une ligne de démarcation entre le "tronc commun", a remplir une seule fois (en substance les sections I a IV), et les réponses "ramifiées", a remplir autant de fois que néces— saire (en substance les sections V a xi, précédées par une "carte de visite" de chaque répondant). Toutefois, la consultation des 21 membres du Comité consultatif de l'AISS en matière d'informatique a révélé une réalité beaucoup C'est pourquoi la decision de tracer plus variée et nuancée, voire hétérogène. la ligne de demarcation entre le "tronc commun" et les "ramifications" a été Désormais, cette ligne de démar— laissée aux institutions membres de 1'AISS. cation ne passe pas obligatoirement entre les sections IV et V, bien qu'on puisse supposer quetel sera son trace dans la major:Uté des cas. Lea réponses aux questions des sections I — A, I - B, II — A, II - B, II — C et III - A étant considérées comme des réponses "de synthèse" au niveau de l'institution membre de 1'AISS, on a inséré "la carte de visite" des institutions de base immédiatement après, en tant que section III — B (identification des centres individuel a certains sections (ou parties informatiques ayant répondu a de sections) du recensement des équipements informatiques utilisés par les institutions membres de l'AISS), ce qui ne limite en rien la liberté des institutions membres de decider quelles sections (et le cas échéant quelles questions de telle ou telle section) permettent une réponse unique ou au a contraire exigent des réponses multiples. titre l'intérieur — 153 — Section I — A Identification de l'institution participant au recensement 1.01 Nom de l'institution membre de 1'AISS 1.02 Ville 1.03 Pays 1.014 Date 1.05 Branche (branches) de la laquelle le questionnaire a sociale, pour laquelle (lesquelles) l'institution est (par exemple vieillesse, maladie, accidents du travail, chômage, allocations familiales) : Personne le contacter pour obtenir questionnaire 1.06 Nom et 1.07 Position dans l'institution 1.08 Numgro de . gciaircissements concernant — 154 Section I — B Questions 1.11 Oui Non Sans objet EJ iiiiiii LI LII II] Li LI] LII 11111 LII 1111 LII 1111 Votre institution se sert—elle d'ordinateurs de traitement ou dtautres des a) dans le domaine administratif b) dans le domaine des soins de c) 1.12 dans le doinaine des recherches, planification et etc. [III En cas de structure ou — les institutions federees hierarchisee se servent—elles d'ordi— ou de traite— nateurs ou d'autres des ment — — : a) dans le doniaine adininistratif b) dansle domaine de soins de Li sante c) dans le domaine des planification et rècherches, etc. positive n'a pu Au cas aucune donnee aux questions de la section I — B, uniquement aux cinq questions de la section I — C. Dans tous les autres cas, passez directement la section II. — 155 — Section I — C Questions concernant les institutions non Oui 1.21 une etude Avez—vous concernant 1' informatique et aboutissant ? une conclusion Non 11111 Coniptez—vous, dans les douze prochains mois 1.22 1.23 entreprendre une etude concernant l'informaticiue ? LII Lii entrer en relation avec un bureau informatiques ou avec un faconnier (c'est— a—dire, un bureau de travail facon dans le domaine de l'informatique) ? [II LI base d'ordinateur 7 LII [III LI LI 1.2)4 commander un systeme 1.25 prendre livraison dtun systeme d'ordinateur, actuellernent En cas de réponse par un "oui" a la base commandg ? question 1.21 veuillez indiquer lesraisonsdurejetdel'informatique Autres commentaires aux questions 1.21 a 1.25 (en cas de besoin) — 156 Section II — A la sociale I Au centre 2.01 Dans les unitgs 1' inst itut ion iiiii F — Constitution et inise jour du fichier des entreprises (des em— ployeurs) tenus de verser des cotisa— tions 2.03 inexistante au sein de (enre— gistrement) de person— nes assurees 2.02 Non Partiel— lement Oui [Iii LII Lii LI] Li] LII LIII U [III El [1111 LIII] LII] I__i Collecte (recouvrement des cotisations) Rappel 2.05 Comptes individuels des (constitution du fichier historique de 1' assurance) 2.06 d'information pour les personnes assu— concernant la situation de leurs comptes in— dividuels et leurs droits acquis ou en cours d' acquisition 2.07 tion de de l'attribu— prestations en LII Li] 2.08 Constitution et mise jour du fichier des Li] LIIJ 111111 IIJ - 157 — Oui Partiel— lement Non I Au centre 2.09 Dans les unitgs Mandatement des presta— tions mongtaires non (ou leur pal ement direct) 2.10 LI] Liii [Ii 11111 [1 LI] [I] U de prestations mgdicales, pharmaceuti— ques, orga— nisation de s 2.12 EllIllIlIl Mandatement des presta— tions diques (ou leur paiement direct) 2.11 j ours de cure etc. comptable des frais hospitaliers, caux, pharmac eu— tiques, etc. plus has) 2.13 2.15 Statistiques (sp6— cifiez plus has) U fl LI LIII [III] LIII] LII [Ii LI LI] P1 LIII] LII LIII 111111 [1] Li U Etudes du prof ±1 (habitudes des en ma— de travail, de prescriptions etc.) 2.16 fl Coinptabilisation des prestations mon6taires, leur ventilation sta— tistique et comptable 2.1)4 Activitg inexistante au sein de l'institution Etudes devant faci— liter la pr6vention des accidents du travail Li __________ - 158 — Oui Partiel— Non lenient Au centre 2.11 2.18 Calculs d'actuariat, calculs pour dgtermi— ner les classes de risque d'accident du travail etc. 2.20 LI] Eli Lii tIlIIlJ LII [I] [II] [I] [II] LIII LIII ElI LIII LIII Calculs et au titre des aides en action sociale Assistance sociale, aide sociale, visites domicile Comnientaire etc. riii aax questions 2.01 En ce qui concerne la question une ou un petit nombre des significatives pour votre institution.) (Note. LIII Placement de ch6meurs (demandeurs d'ernploi) 2.19 LIII inexistante au sein de l'institution Dans les unitgs 111111 2.20 (en cas de besoin) il suffira de statistiques des plus — 159 — Section II — B Activit6s administratives susceptibles d'être d'ordinateurs, non la l'aide Activit6s ipformatiques I Gui 2.51 Part sociale inexistante au sein de l'institution Non e LI LI El LII Liii Liii LI] El El El El 2.52 Gestion de personnel 2.53 Pale du personnel 111111 Gestion de placement de capitaux, de prêts aux assujettis [1 El Liii LII i_i El El El El El El El El LI El El LI LII LII LI 2.55 Gestion du patrimoine imniobilier 2.56 Gestion des stocks (pharmacie 2.57 Gestion de stocks pharmaceutiques Lii 2.58 Gestion des activités hospitalières (spécifiez plus bas) 2.59 Gestion du courrier, surveillance du mouvement des des dossiers a lais traiter, ou des retards, de la productivit6 cifiez) Cormuentaire etc. (sp6— [1 aux questions 2.5 2.59 (en de besoin) — 160 — Section II — C Autres activitgs susceptibles d'etre traitges l'aide d'ordinateurs informatiques 2.91 Oui Partiellement Non sions d'une cour de justice ou dtinstances administratives rieures), et recherches dans un tel fichier Eli LII !IIIIJ Mandatement ou paiement de prestations pour d'autres risques (par exemple naturelles) [13 Autres has) El Constitution d'un fichier cle 2.92 inexistante au sein de l'institution jurisprudence fl : 2.93 Coinmentaire plus aux questions 2.91 11111] El t1113 2.93 (en cas de besoin) [11] El — 161 Section III — A des activitgs Structure Oul L'institution 3.01 3.03 3.05 est—efle d'un seul central responsable de tout ce qui concerne l'informatique EIII1 Eli de directions ou autres formes de succursales ayant leurs propres dans le domaine de l'informatique [1 LII le sommet d'une organisation d'institutions octrbyant des prestations (et ayant une juridique propre) LIII LIII un organe de compensation des risques FT Eli 1—1 LIII d'institutions une Selon les indications questiondans l'introduction technique au a—t--il entre l'institution naire, comment le partage des et les centres informatiques qjfelle chapeaute Tronc coimnun (unc seule au niveau de 3.11 3.12 Section Section Recensement des centres informatiques l'institution (une membre de l'A]ISS par centre) IV V LII 3.13 Section 3.114 Section VII VI EIIIJ LII ri U Li j—j Lii L'un ou l'autre selon les questions liii] — 162 — Tronc conmiun (une seule n5veau de au informatiques l'institution membre de 1tAISS 3.15 Recenseinent des centres L'un ou l'autre selon les questions (une par centre) Section VIII Eli 3.16 Section IX 3.11 Section X 3.18 Section XI 3.21 Les "variantest', 11111111 ri ri les individualisges pour chaque centre informatique, mdi— dans la colonne du milieu de la sous—section 3.11 3.18, sont au nombre total de r—i dont 3.22 pour l'institution 3.23 pour les centres informatiques de base, des institutions niveau des ou subordonnges etc.) (au pour les ateliers informatiques de travail sociale par la facon, 3.25 LII V1 autres Commentaire Elli aux questions 3.01 3.25 (en cas de besoin) - 163 Section III — B Identification des centres inforinatiques ayant titre individuel certaines sections (ou parties de sections) du recenseinent des informatiques utiiisgs par les institutions meinbres de 1'AISS 3.51 Nom de 3.52 Sa etc.) de base (caisse, succursale 3.53 Ville 3.5)4 Pays 3.55 Date 3.56 Nom et 3.51 Position dans le service' . laquelle de 3.58 1 atelier informatique commun, le questionnaire a . . de la personne que 1'on peut contacter pour obtenir questionnaire. concernant le — 164 Section et autres — IV matricule des de classement Alpha pur rique strict rique (Soundex) civil) Votre fichier (ou celui de vos institutions priniaires) des personnes ... des de prestations Eli Lii Eli [1111 [i] [I] El] Li] ri LIII est—il elon un argument ... des entreprises vers ant des cotisations Note 4.04 : [II] de recherche) sont Si plusieurs arguments mention dans plusieurs colonnes. faites—en est le nombre maximum de positions aiphabétiques utilisables lors de la saisie des données pour le nom de l'assuré? ............. a) prénoms .... b) noms de famille . .......•.....,..•........ c)touslesnomsenregistrésensemble .•... ..... En cas d'utilisation diun numéro matricule des personnes assurées, indiquez 4.51 sa longueur et sa composition; 4.52 la signification des différentes positions; 4.53 si 4.54 mode de la premiere attribution du numéro - quand et par qui? 4.55 le une ole de est utilisée, sa construction; dtimmatriculation numéro est-il change ou sauvegardé, lorsque la situation de la personne immatriculée change (par exemple, lors du passage du statut d'assuré actif I celui de bénéficiaire ou lors du changement de nom par manage); — 165 — 14.56 mode d'immatriculation des personnes charge, des veuves et des orphelins (rattachement au numgro de ltassuré direct ou attribution de en cas de travailleurs migrants, le est—il par des institutions )4.58 le 14.59 existe—t—il matricule stockg ? sociale est—il de (par exemple, dans d'autres branches de la sociale); hors de la d'autres fins sociale, national d'identification des personnes un (par exemple, un fichier national) ? Si oui, l'extension de son usage la sgcuritg sociale ? Envisage—t—on la coexistence de plusieurs d'identification ou leur unification ? aux questions 14.51 14.59 (reprendre la des questions) — 166 — Section V Mode d'utilisation du 5.01 Le par la 5.02 est chez un faconnier doming sociale Le est situg dans un atelier cominun par plusieurs institutions de Oui Non [II] Eli El] [Ill en sociale (si oui, en has la situation dorit ii juridique de cet atelier et la est 5.03 5.014 5.05 L'ordinateur hors de l'institution, ii y a toutefois des terminaux (interactifs ou pour traitement par lots — des bureaux propres Certains travaux sont sur le au sein de l'institution, d'autres chez les façonniers plus has le mode de partage des travaux) Aucune des projections 5.01 5.014 ne stapplique exactement ou plusieurs propositions s'appliquent simuitangment (expliquez plus has les de votre situation) Conmientaire aux questions 5.01 5.05 (en cas de besoin) 1—i fl E [III [1 Eli — 167 — Equipements sous propre 5.51 5.52 5.53 1—i El LII El [1111 ElI Elli LII LIII] LIII au fabricant ... des tiers (leasing) ... ... ... en partie les principaux 5.55 de l'institution en partie dans chaque Avez—vous recours un combing de plusieurs provenances (mixed hardware) ? Si oui, la dont le matgriei a combing (par exemple une mgmoire centrale des unitgs de disques ou des irnprimantes provenant d'un fournisseur autre que celui de i'unitg centrale etc.) et indiquez comment de partage la de l'entretien Conimentajre dgtaillg aux questions 5.51 5.55 (en cas de besoin) - 168 Section VI — A Plan informatique et organigrammes concernant les services informatiques 6.01 Le d6veloppement des services informatiques se fait—il selon un ? Oui Non LI Lii En cas de r6ponse positive, indiquez 6.02 a) la dur6e de ce plan b) comment son application est suivie ou c) sur quels sont les changements et les extensions de configuration du matgriei Donnez, sous forme graphique, une id6e de la position services s'occupant de l'informatique au sein d'un organigranime simplifi6 de votre institution. Par exemple Direction I I x I I I 6.03 I Donnez, sous forme graphique, un organigramme interne, du service exemple responsable de l'informatique. des — 169 Section — VI — B Budget et personnel informatiques En de monnaie nationale * 6.ii Budget administratif annuel de l'institution 6.12 dont frais annuels de l'informatique ** * Notes: S'il s agit d un atelier offrant des services informatiques plusieurs institutions clientes, essayez les budgets administratifs des institutions clientes. Si une telle impossible, laissez les lignes 6.n et 6.12 en blanc. ** devrait englober les frais de La matgriei dans leur (y compris les termi— naux les frais de mais exciure les traitements du personnel utiliser les terminaux. rieur polyvalent Si vos chiffres d6vient de cette de votre fiez plus bas les si l'amortissement du materiel achete Si non, indiquez est inclus, et selon quel procede. 6.13 6.1)4 la valeur totale du materiel informatique achetC (au moment de l'achat, non amorti) et dont son amortissement devrait la theoriquement respecte dans les frais annuels 6.15 Taux de change de la monnaie nationale au dollar des Etats—Unis la date de la rCponse au questionnaire) 6.21 Personnel administratif total, 6.22 dont informaticiens aux terminaux non—informaticiens ayant la saisie (y compris les personnes des donnees entierement decentralisees) — 170 — Parmi les informaticiens, indiquez le nombre de personnels pour direction et encadrement 6.25 services logistiques et ordonnancement des travaux, de la sortie etc. 6.26 personnel de saisie des classique dire travaillant dans les ateliers d'encodage ou de perforation) de l'ordinateur central 6.27 l'entretien 6.28 personnel 6.29 programmeurs, analystes, responsables de systeme propre, Commentaire d6taill6 aux questions 6.11 du 6.29 (en cas de besoin) — 171 Section — VI — C Quelques chiffres mesures 6.31 Frais informatiques en pourcentage du budget administratif (Note 6.32 L'indication sous la question 6.31 remplacer celles peut le cas 6.11 et 6.12) sous les : Le personnel de l'exploitation de l'ordinateur travaille—t—il Oui Non en une 1111 en deux LI en trois Liii Li en quatre 6.33 L'ordinateur est—il en service les samedis les LI LIII dimanches et jours LII la nuit l—1 Indiquez, pour l'ordinateur le plus utiiisg (ou pour la moyenne des ordinateurs les plus a) le nombre d'heures par mois sous tension ("power on") dont : b) pour travaux productifs c) pour travaux de (progrannnation et tests) refaire, examens techniques d) travaux et autres travaux improduct ifs Li — 172 - 6.35 Pour le sous i'aiinga 6.29 personnel (programmeurs, analystes, responsables de indiquez le pourcentage de leur temps de travail a) la "maintenance" des applications existantes (y compris le temps des r6unions qui s'y rapport ent) b) au de nouvelles applications (y compris le temps des r6unions clui s'y rapportent) leur c) ainsi Commentaire propre formation professionnelle celle de leurs collaborateurs aux questions 6.31 6.35 (en cas de besoin) — 173 Section VII "Facilities management" et contrats "cig sur la porte" Oui Non Avez—vous conclu ün contrat de lancement de vos informatiques du type sur la conibinant le choix porte" ? du logiciel et la du formation de vos propres agents) LII LII Avez—vous conclu un contrat du type "facilities management" ? laissant la gestion dii service informatique de votre institution un bureau d'experts en informatique) LI] LI] - 7.01 7.02 Si la mode de i'une ou des questions en le contenu d'un tel contrat, sa durge et son pour fonctionnement pratique etc.) — 174 Section VIII — A les plus significatives Les Un recensement des informatiques uniquement sur la description du relatif. Aussi serait d'un les applications. Or, la description des indispensable de recenser du type "oui — non", applications ne se ni aux questionnaires avec Cependant, le ni aux du questionnaire serait rendu presque impossible sans une certaine standardisation au de la description des applications et aussi sans un tn inforinatique propre) entre niveau de chaque base ayant une de les applications les plus significatives mentionner) èt celles de moindre importance omettre). La section VIII comporte donc outre la partie introductive une donner une description de quelques sous—section "B" chiffres significatifs) de quelques grandes applications informatiques et une applicasous—section "C", usage facultatif, permettant de reprendre les tions sous un angle quantitatif assez Nombre (de grandes chalnes reprises de traitement dans la sous—section VIII — B 8.01 I La sous—section VIII — 8.02 Note : C - a—t--elle ete En Remplie Omise consultatif de l'AISS a partir coinme seuil doivent comme significatives un 100 000 dollars des Etats—Unis. annuel par application Compte tenu des de taille des membres de l'AISS, on peut — comine alternative — un plus subjectif, par exemple les que vous mentionneriez Un visiteur que vous ne voudriez pas accabler de Un membre du duquel les — 175 Section VIII — B Description des Donnez (pour chaque les informations suivantes 8.11 Appellation de son but (en sigles ou autres appellations raccourcies ou difficilement par un tiers) 8.12 d'avancement de l'application (etude ou analyse, application au stade d'essai, application 8.13 Mode de traitement (par lots, en conversationnel pour consultation du fichier et par lots pour mise jour, en conversationnel pour toute les act Avantages obtenus ou de personnel, des du service et autres avantages par rapport au travaux, traitement sans ordinateur) 8.15 Volume des en mouvement (veuillez indiquer quelques chiffres carac— tgrisant le mieux le flux annuel des i'entrge et la sortie du systeme) 8.16 Volume des dans le fichier de base ou la banque de (en nombre d'enregistrements unitaires et en nombre dToctets — sans tenir compte des copies de 8.59 8.58 8.56 8.55 8.53 8.52 8.51 C (facultative) (maine de travail) 1 i — S A l'heure actuelle : I ' par lots par lots pour mise jour; en temps ree i pour renseignements seulement . les en temps pour toutes et traitements En reprenant une une les informatiques mentionn6es dans la section VIII — B, c'est—l—dire les applications les plus significatives, et en affectant chacune d'elles un d'ordre partir de 8.51, 8.52, etc.), dans la mesure du possible aux questions du tableau reproduit sur les quatre pages suivantes. Tableau synoptique des Section VIII — 8.59 8.58 8.57 8.56 8.55 8.5)4 8.53 8.52 8.51 p Rgalisation (chalne de travail) Economie de personnel (effective ou virtuelle) Economie de temps (en jours par cas que ci—dessus,indiquez a) le nombre de personnel En reprenant les qu'il aurait fallu engager pour le m6me travail sans ordinateur; b) (liquidation cie prestations etc.) en jours; c) autres avantages. Autres avantages obtenus des Enregistrement de cas nouveaux ("immatriculation") Adjonction ou modification de donnges Sortie de simples renseignements traitement complexe Sortie Sortie pour archivage externe (par ex. sortie sur microfilm) Radiations/cessations d' enregistrements complets dito dito 8 52 8.53 8.5)4 etc. . . 8 51 Mouvements choisies ci—dessus, indiquez pour chacune cI'elle en mouvement (annuellement) Enregistrement de cas nouveaux (ttimmatriculationtt) Adjonction ou modification de Sortie de siraples renseignements Sortie traitement complexe Sortie pour archivage externe (par ex. sortie sur microfilm) Radiations/cessations d' enregistrements complets Numero En reprenant les Les Nombre de cas par an etc. 8.53 8.52 . 8 51 Donnees stockees 1 — . .- Memoire de masse utilisee dito dito etc. Fichier principal Copies de Noms et adresses, si cod€s en au fichier principal Fichier de travail (entrge/sortie) Tableaux statistiques, etc. / — Nombre d'enregis— trements unitaires le type I_________ j___________ j I . : Nombre d'octets Stir disques . Nombre d'enregis— trements unitaires : : Nombre d'octets Stir handes choisies ci—dessus, indiquez pour chacune d?elles Fichier principal Copies de Noms et adresses, Si en au fichier principal Fichier de travail (entree/sortie) Tableaux statistiques, En reprenant les Les Nombre 1 d'octets de masse plus bas le type) 1 Enregis— trements En - 180 Section IX — A Lociciel d'application Votre logiciel d'application est—il 9.01 conçu par vos programmeurs 9.02 concu par une institutions de 9.03 plusicurs commune sociale concu au niveau de l'institution qui chapeaute les institutions de base mixte, concu par une les programmeurs fournisseur du 9.05 ... pour cent du total ... pour cent du total ... pour cent du total ... pour cent du total ... pour cent du total figurent du sous forme de produits—programmes du logiciel ("packages") au Ave z—vous pu 9.11 vendre votre propre logiciel 9.12 d'autres titre gratuit le laisser sociale ? institutions de 9.21 Oui Non LII [iii] LII Lii ? Quelles sont vos principales langues de prograanination 7 ASSEMBLER ... pour cent COBOL ... pour cent pour cent pour cent ou acquis automatiQuement Avez—vous lors des cours de formation 9.31 a) des "mgthodes" normalisges visant amgiiorer ou structurer le travail de programmation b) les produits—programmes (logiciels) ayant pour but Oui Non LII] [11 - 181 9.32 — Oui Non Eli LI de donn6es d'essai (tests) Eli Liii d'autres flEll la (et correction) des fautes — la 9.33 — de et perfectionnements de l'analyse et de progranimation s'il y a lieu, la la question de satisfaction ou produits Quel est le avec les grand Grand Satisfaisant Mediocre sous "a", au — point 9.31 9.142 sous aux — points 9.32 La formation de votre personnel dans les domaines des et du logiciel se fait 9.51 — par les fournisseurs du a pour cent 9.52 — par a pour cent 9.53 — par l'enseignement universitaire ou les de programmation (payantes) pour cent technique 9.5)4 9.55 9.56 — par des cours au niveau des gouvernements pour cent grace aux stages offerts par les organisations internationales pour cent — sur le tas ou par une formation pureinent interne ... pour cent Nul ___I - 182 Section - IX — B Logiciel de gestion des utilitaires Oul Non Employez—vous un logiciel utilitaire (programme—produits) ayant pour 9.91 ... 9.92 ... la gestion des banques de la gestion du traitement des LIJEI distance LJLI En cas de positive (dans un cas ou dans les deux), indiquez pour le logiciel de banques de 9.93 son sigle ou nom 9.9)4 sa provenance (fabricant d'ordinateurs, niaison de diffusion de software, par les programmeurs internes) grand 9.95 votre satisfaction de grand I I satisfaisant I I I I I I nul I I I I - 183 Section X Sous—section X — A de traitement et de stockage de donn6es Niveau existant au 1.1.1980 au 1.1.1980 (si du centrale no 1 Type 10.01 de 10.02 Unitg centrale no 2 Type Capacit6 de 10.03 Unite centrale n 0 3 Type de (En cas de nombre les lignes au 'oas de la trois, utilisez sous—section) Disques fixes Type* Nombre dtunit6s totale de stockage Vitesse de transfert Type* 10.05 io.o6 amovibles Nombre de broches Nombre de disques totale de stockage Vitesse de transfert Dgrouleurs Type* Nombre Vitesse de transfert de bande d' enregistrement Noinbre de bobines 10.01 totale de stockage 10.08 M6moire de masse Type Nombre totale de stockage En cas de types varigs utilisez les lignes au bas de la en mentionnant de quel mat6riel ii s'agit (reprendre le etc. sous—section, de la question) -184Oui 10.09 Non Existe—t—i1 Un dispositif d'interconnexion centrales ou de leurs des Si oui, LII type et fonction Sous—section X—B Matgriel pour sortie de donnges lisibles ou de en grande graphiques Niveau existant au 1.1.1980 Niveau en 1.7.1980 (Si clu 10.11 Type* COM (Computer Output Nombre Vitesse de transfert to Microfilm) 10.12 Imprimantes ou imprimantes laser lo.13 10.1)4 Imprimantes chamne ou tambour Dispositifs de sortie de don— graphiques (plotters etc.) Type* Nombre Vitesse d'impression Nombre Vitesse d'impression Type* Nombre * En cas de types utilisez les lignes du has de la sous—section, en mentionnant de quel matgriel ii s'agit (reprendre le numgro de la question) etc. — 185 - Sous—section X — C la sortie de documents Oui 10.21 Utilisez—vous un original ou pour le faconnage des papiers lasortie de l'imprimante (confection de carnets, adressage et emballage etc.) Non Liii Si oui, indiquez les utiles dans le cadre du questionnaire Sous—section X — pour de documents D la lecture optique Oul 10.31 tjtilisez—vous un matgriel original ou de documents pour la au traitement par un lecteur optique Si oui, indiquez les utiles dans le questionnaire cadre du Non i_i - 186 Sous—section X — Mat6riel la saisie des E desting Oui 1O.)41 Non Lecteurs optiques de documents. nomljre, vitesse de lecture, limitation de la reconnaissance de formes (barres, chiffres, chiffres et lettres — OCR A ou OCR B —, chiffres et lettres non manuscrits), traitement des d.c la saisie (nonibre de lus par an) : 10J42 Enregistrement du clavier au support. ("encodage"). Sp6cifiez utiiisg (disque nombre, type, support souple, cassette, bande 1/2 pouce) et de de saisie autonome, plusieurs claviers connect6s un dispositif d'enregistrement, plusieurs claviers directement l'ordinateur), nombre de encodgs par an lO.)43 Perforation et de cartes. si utiiisgs pour cartes de programme seulenient, ou pour les indiquez le nombre de machines perforer et le nombre de par an perfor6s et/ou : r—i - 187 i0.)4)4 Autres modes (sauf par terminaux) - Oui Non fl fl de Sous—section X — F Terminaux 10.51 Indiquez le nombre total de terminaux imprinante, combinant les deux) vos ordinateurs 10.52 Indiquez le nombre de terminaux (autres que les postes de saisie pure, plus haut sous 10.142) au travail "off line" Ventilez le nombre total des terminaux (10.51 plus 10.52) 10.53 10.5)4 par affectation chez le pupitreur (control operator) de la division informatique dans les divisions utilisatrices par distance l'ordinateur central et par mode de connexion dans le inimeuble : dans la yule On line Off line est l'ordinateur ailleurs 10.55 selon le progrannnables d'"intelligencet' capables de rejeter les non plausibles au moment de leur entree sans "intelligence" interne Nombre d'unltgs - 188 10.56 selon le pouvoir de stockage local a diskettes (floppy discs) cassettes autre support de stockagelocal le support sans de stockage local selon le pouvoir d'impression terminaux uniquernent l'iinpression capables de produire terminaux des copies de son contenu sur papier (Hard—copy) terminaux a 10.58 sans par fabricant et type Fabricant Type Nombre - 189 Sous—section X — iO.6i Utilisez—vous des "ordinateurs (machines progranimables 10.62 d'ordinateurs 10.63 de tabulatrices de trieuses carte Oui Non [_I 1—i carte dont le support unique de est la carte des tabulatrices, des trieuses Si oui, indiquez les nombres G f'onctions — 190 — Sous—section X — Traitement a distance — les services de H relations avec Oui 10.71 10.72 Non Votre institution est—elle concernge par i'entrge et la sortie de distance 111111 Si oui, travaillez—vous essentiellement en mode conversationnel LIII par lots (remote batch) Eli des deux En cas de EIIII positive la question 10.71 graphique de votre 1) donnez une 2) les lignes simplex, half duplex, duplex; transmission) ou radio ou micro—ondes de transmission) 3) de intermgdiaire (modems, concentrateurs, front—line processors) l'ordinateur 5) connexion 6) mode dtinitiation de la transmission ("polling" ou (on line, off line) "contention") et protocoles utilisgs 7) 8) les avantages constat6s par rapport aux modes de travail dgcrivez rencontrgs et les une telle information a de l'in— (dans la mesure t6rêt pour d'autres institutions membres de l'AISS) — 191 — Sous—section X — Traitements utilisation I dgcentralis€s de niini—ordinateurs autonomes Oui lo.81 Non Dans votre institution, y a—t—il des applications de la "mini—informatiqjie" - l'€tude ciii — en voie de - — En cas de les 1) ainsi administratives et leur nombre le matgriei nombres, performances) 2) 3) positive les applications (y compris volumes de travail) - indiQuez Si, le autonome des postes de travail, une communication "machine— machine" est techniquement possible, en fait et dans le cas d'une positive, par quels moyens 5) indiquez les obstacles et les difficultgs de la "mini—informatique" ainsi que ses aspects positifs Lii Lii — 192 Note toute de mini—ordinateurs ayant pour point le prix de ces derniers. Ce qu'il stagit de recenser dans la sous—section X — c'est un aux suivants On renonce de I, a) une "intelligence" plus comptables ou de textes; b) l'environnement "normal" de bureau, sans conditions de climatisation trop contraignantes; que celle des machines ou des machines traitement et d'"utilisateur" avec la fonction pratiquement confondue. du dont le choix et/ou l'acqui— (Ii peut s'agir des divisions utilisatrices. sition se font sous la Si tel est le cas de votre institution, ne manquez pas de le men— tionner dans vos commentaires ci—dessus.) Sous—section X — J Machines 10.91 traitement de textes Oui Non [III] Liii Votre institution utilise—t—elle des machines traitement de textes (machines Si oui, indiquez uniquement pour 10.92 le nombre de ces machines la dactylographie 10.93 le nombre de ces machines, au flux de donnges la sortie de l'ordinateur (et de textes) 10.9)4 les machines a d'encre, etc. s'il s'agit de (en a marguerite, a mosaique, a jet — 193 — Section — 11.01 XI Confidentialit6 11.03 Non fl liii Votre institution est—elle tenue d'observer une ou concernant le confidentiel de iros 11.02 Oui Votre institution est—elle tenue d'observer une concernant la ou physique de vos et des installations de leur traitement En cas de positive l'une et/ou l'autre s'agit—il de des questions prescriptions d'autoritgs ext6rieures a EIIIIIIII1 ri par l'institution 11.05 11.06 LIII LIII fl la fois externes et internes, les unes les autres liii Des cas d'effacement de fichiers essentiels par sont—ils survenus dans votre centre de traitement de [III] LIII] Des cas d'effacement intentionnel de fichiers essentiels sont—ils survenus dans votre centre de traitement de donn6es LII LIII Des cas de fraude inforinatique (ou des essais de fraude) sont—ils survenus dans votre centre de traitement de fl LII 11.01 Votre centre de traitement de est—il assujetti a une d'audit (d'inspection interne ou externe) 11.08 Y a—t—il eu des informatique de votre personnel fl — 194 - 11.09 11.10 Oul Non la Les personnes assujetties sociale sont—elles en mesure de et de faire corriger les indications erron4es contenues gventuenement dans vos fichiers ? (Si oui, indiquez plus bas la suivie et la de tels cas.) ri LI sociale Les personnes assujetties a la ont—efles eu I se des plaindre du manque de les concernant ? (Si oui, dans la mesure du possible la nature des plaintes et leur U LIII Pour chaque ajoutez positive I ltune des questions 11.01 1 une explication circonstanci€e 11.10,