13 Faits au Sujet de l`Aide Humanitaire de la Croix
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13 Faits au Sujet de l`Aide Humanitaire de la Croix
13 Faits au Sujet de l’Aide Humanitaire de la Croix-Rouge Américaine en Haïti Afin d’apprendre la vérité au sujet du travail de la Croix-Rouge Américaine en Haïti, veuillez visiter notre page Programme d’Assistance à Haïti Notre déclaration est aussi disponible à la page: La Croix Rouge Américaine répond aux récentes déclarations de ProPublica et NPR Déclaration Erronée La Croix Rouge Américaine n’a jamais établi un plan de travail finalisé pour Haïti. Faits La Croix-Rouge Américaine a commencé sa planification à long-terme presqu’immédiatement après le séisme. Durant la première année, nous avions déjà établi un plan de travail établissant six priorités stratégiques auxquelles une septième a été ajoutée plus tard: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Secours d’urgence Logement Santé Eau et Assainissement Moyens de Subsistance Préparation aux Désastres Prévention du Choléra L’environnement de travail en Haïti est complexe et nécessite des ajustements au niveau du plan en vue de prendre en compte l’évolution de la situation et les défis sur place. A titre d’exemple, quand nous n’avions pas pu obtenir des terrains afin d’établir de nouveaux logements, nous avons porté notre attention sur l’habitat sûr pour offrir un éventail de choix adaptés à la réalité de chaque communauté (loyer subventionné, réhabilitation et réparation de logements existants, formation des propriétaires à la réhabilitation de leurs maisons). Des problèmes de gestion interne ont retardé la mise en place des services. • Turnover du personnel • Manque de planification C’est faux. • Notre travail a été éfficace, mettant à contribution les capacités et compétences de 47 partenaires qui ont accru notre • Faiblesse dans la gestion des relations avec les partenaires • • Les statistiques sur les services fournis par la Croix-Rouge peuvent être trompeuses. • • Les données financières rapportées par la CroixRouge sont si générales qu’elles sont inutiles. capacité d’intervention et ont, simultanément, apporté des solutions aux nombreux besoins. Par rapport aux autres organismes humanitaires qui travaillent en Haïti, et selon les informations disponibles, le roulement de personnel fut relativement faible. La Croix-Rouge Américaine, attentive aux besoins divers et émergents, a adapté en permanence son plan de travail afin de répondre à l’évolution du contexte dans lequel elle travaille. 4.5 millions ont bénéficié de l’appui de la Croix-Rouge à travers divers programmes de formation et d’information dans différents thèmes telle la prévention des maladies infectieuses. La Croix Rouge Américaine estime que du nombre de bénéficiaires est réaliste. En effet, la Croix Rouge Américaine établi le nombre de bénéficiaires de ses programmes en comptant qu’une seule fois le bénéficiaire, et ce, même si la personne a pu bénéficier de plusieurs programmes. Nombreux sont ceux et celles qui, en plus, d’avoir bénéficié des des programmes de prévention des maladies ont aussi bénéficié de services multiples tels le logement, la formation professionnelle, l’accès à l’eau potable, etc. La Croix Rouge publie sur son site Web, de façon annuelle, la répartition des fonds reçus des donneurs et les ventile par secteur et en rapport à nos sept priorités stratégiques : 1. 2. 3. 4. 5. 6. Secours d’urgence Logement Santé Eau et Assainissement Moyens de Subsistance Préparation aux Désastres 7. Prévention du Choléra La Croix-Rouge prélève des frais de gestion et finance des partenaires qui, à leur tour, prélèvent également des frais de gestion. • • • La Croix-Rouge a subventionné le gouvernement américain avec des fonds reçus des donateurs La présidente de la Croix-Rouge a promis de fournir des logements permanents à des dizaines de milliers de personnes mais seulement six nouvelles maisons ont été construites. Sur chaque dollar dépensé, 91 centimes sont alloués aux programmes et services humanitaires. Nous travaillons en partenariat avec des organisations dont les coûts d’opération sont bas. Le rapport coût-efficacité est meilleur lorsque la Croix-Rouge, au lieu de mettre en œuvre directement les programmes, utilise des partenaires dont l’expertise est démontrée. • Ce n’est que rarement que nous consentons des subventions financières à une agence gouvernementale. Dans ce cas-ci, nous avons créé un fonds commun avec la U.S. Agency for International Development (USAID), laquelle n’a prélevé aucun frais de gestion. Chaque organisation a pu apporter son expertise et ses forces à la mise en œuvre du projet. • La Croix-Rouge a aidé 132,000 personnes à trouver des solutions de logement sûr et durable en utilisant diverses méthodes. La méthode la plus rapide et efficace pour résoudre des problèmes de logement est souvent le loyer subventionné ou la réhabilitation/amélioration des logements existants. Additionnellement, nous construisons et réparons des infrastructures essentielles à la redynamisation des communautés, telles que les écoles, les voies d’accès et les points de distribution d’eau. La vérité est qu’il n’y a pas eu assez de terrains pour construire de nouvelles maisons, particulièrement dans les zones de Port-au-Prince qui furent les plus affectées par le séisme et où les gens préfèrent habiter. La plupart des Haïtiens/Haïtiennes avec lesquels-les nous travaillons ne veulent • • • • • pas quitter les communautés où ils/elles ont vécu, ont été éduqué-e-s et ont travaillé avant le séisme. La Croix-Rouge a tenu sa promesse d’appuyer des dizaines d’Haïtiens/Haïtiennes à retourner dans des maisons. La Croix-Rouge présente les logements temporaires, appelés t-shelters, comme des habitats permanents. C’est faux. • La Croix -Rouge n’a, en aucun cas, présenté un t-shelter comme logement permanent. Nous avons toujours proposé tout l’éventail de solutions offertes par notre programme afin de fournir aux bénéficiaires des logements plus sûrs. Le programme de choléra avait enregistré des retards sérieux en dépit des déclarations de Gail McGovern indiquant que la Croix-Rouge « s’est immédiatement mobilisée ». Faux. • • • La Croix-Rouge n’emploie pas assez de staff haïtien, mais plutôt du staff « expat » qui coûte cher. A peine 72 heures après l’annonce de l’épidémie de choléra, des équipes de volontaires de la Croix-Rouge Haïtienne étaient déjà sur place pour organiser des séances de formation sur la prévention du choléra dans les camps, et des membres du staff de la Croix-Rouge Américaine ont été au foyer de l’épidémie pour contribuer à la réponse. En cinq jours, un transport aérien fut organisé, livrant des dizaines de milliers de livres de matériel de secours en réponse au choléra. Nous avons aussi financé la toute première campagne de vaccination contre le choléra en Haïti et contribué 47 millions de dollars pour la mise en place de projets d’approvisionnement en eau potable. Encore faux. • Depuis le début de notre programme de assistance, les Haïtiens/Haïtiennes constituent plus de 90% de notre staff. • La Croix-Rouge ne tolère aucune forme de préjugé et organise pro-activement, pour son staff, des séances de sensibilisation sur l’inter culturalité. • La Croix-Rouge Américaine a recruté des ressources internationales avec une expertise en relèvement post-désastre. Leur rémunération est comparable aux niveaux utilisés dans le secteur humanitaire. La Croix-Rouge a leurré les résidents de LAMIKA en ne leur communiquant pas le montant total du budget du projet et n’ayant pas tenu la promesse de nouvelles maisons. • • • Nous avons travaillé en étroite collaboration avec les résident-e-s de LAMIKA, les tenant informé-e-s des plans et budgets, et en sollicitant leur point de vue en ce qui concerne la répartition des fonds dans les communautés. Nous avions, au début, prévu la réparation, l’amélioration et la construction de 700 maisons permanentes. Cependant, quand il devint clair qu’il était impossible d’obtenir les titres de propriété des terrains de la zone de LAMIKA, nous nous sommes adaptés à cette situation. Par ailleurs, les résident-e-s avaient accordé une plus grande priorité à d’autres besoins comme les routes et voies d’accès, les emplois, les écoles, etc.. Ainsi, nous avons investi dans des infrastructures communautaires comme les routes, les sentiers piétonniers, le drainage et la construction d’écoles. Des informateurs au sein de la Croix-Rouge indiquent que, sur chaque dollar dépensé, 24 centimes sont consommés en frais de gestion, pas 9 centimes. • En moyenne, pour chaque dollar dépensé par la Croix-Rouge, 91 centimes sont dédiés au financement de nos programmes et services humanitaires et seulement 9 centimes sont dépensés en frais de gestion, que ce soit l’administration générale ou la levée de fonds. La Croix-Rouge a décliné notre requête de nous faire visiter des projets en Haïti. • La Croix-Rouge arrange souvent des entrevues pour les media basés aux ÉtatsUnis lorsqu’ils visitent Haïti. Les autres organismes de presse nous avisent plusieurs jours à l’avance, sachant que notre staff sur le terrain doit s’arrêter de travailler en vue d’accommoder les journalistes. • • Nous avions rejeté la requête de ProPublica et NPR quand ils nous ont approchés en Haïti sans avoir effectué des arrangements préalables.