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PHILHARMONIE DE PARIS CONCERT PARTICIPATIF EN FAMILLE Samedi 28 mars 2015 CHANTEZ AVEC L’ORCHESTRE ! ORCHESTRE NATIONAL D’ÎLE-DE-FRANCE ENRIQUE MAZZOLA, DIRECTION STÉPHANIE D’OUSTRAC, MEZZO-SOPRANO CHANTEZ AVEC L’ORCHESTRE ! SAMEDI 28 MARS 2015 13H30 GRANDE SALLE Sur une idée originale de l’Orchestre national d’Île-de-France Manuel De Falla Le Tricorne (Suites 1 et 2) Georges Bizet Extraits de Carmen Habanera (Acte I n o 5) – avec la participation du public Chœur des gamins (Acte I n o 3) – avec la participation du public Danse bohème ORCHESTRE NATIONAL D’ÎLE-DE-FRANCE ENRIQUE MAZZOLA, DIRECTION STÉPHANIE D’OUSTRAC, MEZZO-SOPRANO Ce concert est précédé d’un atelier de préparation en famille à 11h30. Coproduction Orchestre national d’Île-de-France, Philharmonie de Paris DURÉE DU CONCERT : 1H. Les notes de programme des concerts en famille sont consultables sur le site Internet philharmoniedeparis.fr quatre jours avant la représentation. 3 Pendant le concert, vous êtes invités à chanter avec l’orchestre deux airs extraits de l’opéra Carmen de Georges Bizet : la Habanera et le Chœur des gamins. Habanera La Habanera (chanson et danse cubaines de rythme binaire) est l’air le plus connu de l’opéra Carmen : elle correspond à l’entrée de Carmen sur scène. Dans cet air, Carmen tente d’aguicher le brigadier Don José, tout en évoquant sa vision pessimiste de l’amour. Le chœur amplifie les paroles de Carmen, dont la mélodie se transforme en contrechant (« l’amour... »). La partie chœur (public) a été mise en gras pour être plus facilement repérable. Carmen sera interprétée par la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac. CARMEN CARMEN Quand je vous aimerai ?… ma foi, je ne sais pas… Peut-être jamais, peut-être demain ; Mais pas aujourd’hui, c’est certain ! L’amour est un oiseau rebelle Que nul ne peut apprivoiser, Et c’est bien en vain qu’on l’appelle, S’il lui convient de refuser. Rien n’y fait ; menace ou prière ; L’un parle bien, l’autre se tait ; Et c’est l’autre que je préfère Il n’a rien dit, mais il me plaît. Si tu ne m’aimes pas, Si tu ne m’aimes pas, je t’aime. CHŒUR (PUBLIC) Prends garde à toi ! CARMEN Mais si je t’aime, Si je t’aime, prends garde à toi ! CHŒUR (PUBLIC) L’amour est enfant de Bohême, Il n’a jamais, jamais connu de loi ; Si tu ne m’aimes pas, je t’aime ; Si je t’aime, prends garde à toi ! Prends garde à toi ! CHŒUR (PUBLIC) L’amour est un oiseau rebelle Que nul ne peut apprivoiser, Et c’est bien en vain qu’on l’appelle, S’il lui convient de refuser. CARMEN L’oiseau que tu croyais surprendre Battit de l’aile et s’envola… L’amour est loin, tu peux l’attendre, Tu ne l’attends plus… il est là… Tout autour de toi, vite, vite, Il vient, s’en va, puis il revient… Tu crois le tenir, il t’évite ; Tu crois l’éviter, il te tient ! CARMEN L’amour est enfant de Bohême, Il n’a jamais, jamais connu de loi ; Si tu ne m’aimes pas, je t’aime ; Si je t’aime, prends garde à toi ! CHŒUR (PUBLIC) Prends garde à toi ! 4 CHŒUR (PUBLIC) CARMEN Tout autour de toi, vite, vite, Il vient, s’en va, puis il revient… Tu crois le tenir, il t’évite ; Tu crois l’éviter, il te tient ! Mais si je t’aime, Si je t’aime, prends garde à toi ! CHŒUR (PUBLIC) L’amour est enfant de Bohême, Il n’a jamais, jamais connu de loi ; Si tu ne m’aimes pas, je t’aime ; Si je t’aime, prends garde à toi ! CARMEN L’amour est enfant de Bohême, Il n’a jamais connu de loi ; Si tu ne m’aimes pas, je t’aime ; Si je t’aime, prends garde à toi ! CARMEN Si tu ne m’aimes pas, Si tu ne m’aimes pas, je t’aime. CHŒUR (PUBLIC) Prends garde à toi ! CHŒUR (PUBLIC) CARMEN Prends garde à toi ! Si tu ne m’aimes pas, Si tu ne m’aimes pas, je t’aime. CARMEN CHŒUR (PUBLIC) Mais si je t’aime, Si je t’aime, prends garde à toi Prends garde à toi ! Chœur des gamins L’air débute par une sonnerie de trompette que l’on entend de loin et qui annonce l’arrivée de la garde montante. Elle précède la marche, présentée avec légèreté par les piccolos et ponctuée par les motifs de la trompette. Cette mélodie est ensuite reprise, accompagnée de l’ensemble des cordes en pizzicato (le pizzicato consiste à pincer les cordes avec les doigts). Le chœur des enfants entonne sa première phrase de manière très marquée. On remarquera l’imitation vocale des sonneries de trompette par les enfants (sur les « Ta ra ta ta ») soutenue par les cuivres et l’importance des instruments à vent. Le public interprète l’intégralité de l’air. 5 Avec la garde montante, Nous arrivons, nous voilà ! Sonne, trompette éclatante ! Ta ra ta ta ta ra ta ta Nous marchons la tête haute Comme de petits soldats Marquant sans faire de faute Une deux marquant le pas Nous marchons la tête haute Comme de petits soldats Marquant sans faire de faute Une deux marquant le pas Les épaules en arrière Et la poitrine en dehors Les bras de cette manière Tombant tout le long du corps Nous arrivons ! Nous voilà ! Les épaules en arrière Et la poitrine en dehors Les bras de cette manière Tombant tout le long du corps Ta ra ta ta ra ta ta ta Ta ra ta ta Et la garde descendante Rentre chez elle et s’en va Sonne, trompette éclatante ! Ta ra ta ta ta ra ta ta Avec la garde montante Nous arrivons, nous voilà ! Sonne, trompette éclatante Ta ra ta ta ta ra ta ta Nous marchons la tête haute Comme de petits soldats, Marquant sans faire de faute Une deux marquant le pas Ta ra ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ra ta ta ra Ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta Ta ra ta ta ta Ta ra ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta Ta ra ta ta Ta ra ta ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta Ta ra ta ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta ra ta ta ra ta ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ta ra ta ta Ta ra ta ta ra ta ta ra ta ta ra ta Ta ra ta ta ta 6 Hogwood, Jesus Lopez-Cobos, Alain Altinoglu, René Jacobs, Claude Schnitzler, Giuseppe Grazioli, Jean-Yves Ossonce, John Nelson, Jean- Claude Casadessus, Sir Colin Davis). Elle est également invitée par des festivals internationaux, notamment en 2009, elle chante Sesto de Giulio Cesare (Haendel) au Festival de Glyndebourne. Elle donne régulièrement des concerts avec l’ensemble Amarillis, ainsi que des récitals principalement avec le pianiste Pascal Jourdan. Stéphanie d’Oustrac a été récompensée par plusieurs prix : prix Bernac (1999), Radios Francophones (2000), Victoires de La Musique (2002), Gramophone Editor’s Choice pour le CD de Haydn (2010) avec Aline Zilberach. Parmi ses projets pour les prochaines saisons figurent les rôles d’Orphée (Orphée et Eurydice, Gluck) et L’Enfance du Christ (Berlioz) à la Monnaie de Bruxelles, Lazuli (L’Étoile, Chabrier) à l’Opéra d’Amsterdam, Sesto (La Clémence de Titus) à l’Opéra National du Rhin, les rôles de Carmen et Béatrice (Béatrice et Bénédict, Berlioz) au Festival de Glyndebourne, le rôle-titre de L’Aiglon (Honegger) à l’Opéra de Marseille, ainsi que de nombreux concerts… Biographies des interprètes STÉPHANIE D’OUSTRAC Alors qu’elle est étudiante au Conservatoire National Supérieur de Lyon, Stéphanie d’Oustrac est remarquée par William Christie qui lui offre les rôles de Médée (Thésée, Lully) et Psyché (Les Métamorphoses de Psyché, Lully-Quinault). Elle travaille le répertoire baroque avec des chefs réputés comme Jean-Claude Malgoire, Gabriel Garrido et Hervé Niquet, et incarne également des rôles appartenant au répertoire classique. Après les rôles/titres de Médée et d’Armide, elle aborde celui de Carmen à l’Opéra de Lille en 2010 et devient rapidement une des figures incontournables du répertoire français. Sa personnalité lui permet d’aborder tout un panel de rôles féminins : jeunes femmes (Zerline, Argie, Psyché, Callirhoé, Périchole, Belle-Hélène), tragédiennes (Médée, Armide, Didon, Phèdre, Ottavia, Céres, Erénice, Carmen, Cybèle) et travestis (Nicklausse, Sesto, Ruggiero, Lazuli, Cherubino)… Plus récemment, elle interprète les rôles de Dorabella (Così fan Tutte, Mozart) et Sesto (La Clémence de Titus, Mozart) à l’Opéra de Paris, Concepción (L’Heure espagnole, Ravel) à l’Opéra de Rome et Mélisande (Pelléas et Mélisande, Debussy) à l’Opéra d’Angers-Nantes. Elle travaille avec de prestigieux metteurs en scène (Laurent Pelly, Robert Carsen, Jérome Deschamps, Jean-Marie Villégier, Yannis Kokkos, Mariame Clément, Vincent Vittoz, David McVicar, Jean-François Sivadier) et chefs d’orchestre (Marc Minkowski, Sir John Eliot Gardiner, MyungWhun Chung, Alan Curtis, Christopher ENRIQUE MAZZOLA Enrique Mazzola est directeur musical et chef principal de l’Orchestre national d’Île-de- France depuis septembre 2012. Parmi les artistes les plus dynamiques de sa génération, c’est un spécialiste de l’opéra (bel canto) et des répertoires classiques et romantiques. Durant la saison 2013/2014, et à la tête de l’Orchestre national d’Île-de-France, Enrique Mazzola dirige deux programmes 7 Don Giovanni (Mozart) au Théâtre National de Tokyo, Macbeth (Verdi) à l’Opéra du Rhin, Don Pasquale au Théâtre des ChampsÉlysées avec l’Orchestre national de France et à la Scala de Milan, Le Barbier de Séville (Rossini) et Falstaff (Verdi) au Deutsche Oper de Berlin, La Cenerentola et L’Élixir d’amour (Donizetti) au Festival de Glyndebourne. Les principaux festivals européens, tels Aix-enProvence (nouvelle production de Falstaff), München Opernfestspiele, Radio France et Montpellier, Rossini Opera Festival, Biennale de Venise, Dvorák Festival de Prague, ont conviés Enrique Mazzola à y diriger. De 1999 à 2003, Enrique Mazzola a été directeur artistique et musical du Cantiere Internazionale d’Arte à Montepulciano en Italie, où il a dirigé de nombreux concerts symphoniques et de nouvelles productions d’opéra avec l’orchestre du Royal Northern College of Music de Manchester. Interprète accompli de musique contemporaine, Enrique Mazzola s’attache à faire connaître compositeurs et musique d’aujourd’hui. Créations et reprises sont très régulièrement aux programmes de ses concerts, notamment avec l’Orchestre national d’Île-de-France. Enrique Mazzola a dirigé les créations mondiales de Il processo d’Alberto Colla à la Scala de Milan, Il re nudo de Luca Lombardi à l’Opéra de Rome, Medusa d’Arnaldo De Felice au BayerischeStaatsoper, Isabella d’Azio Corghi au Rossini Opera Festival et beaucoup d’autres créations en Europe. dans le cadre du Festival de Bucarest, plusieurs concerts à la Salle Pleyel, La Scala di Seta de Rossini au Théâtre des ChampsÉlysées et des concerts au Festival de SaintDenis et au Festival de La Chaise-Dieu. Par ailleurs, Enrique Mazzola fait ses débuts à la tête de la Philharmonie de Prague, de l’Orchestre symphonique de Vienne au Musikverein, du Northern Sinfonia, est réinvité par le Scottish Chamber Orchestra et le New Japan Philharmonic. Côté opéra, Enrique Mazzola a récemment dirigé Le Barbier de Séville (Rossini) et Le Vaisseau fantôme (Wagner) au Deutsche Oper de Berlin, une nouvelle production de La Sonnambula (Bellini) au Théâtre du Bolchoï à Moscou, Don Pasquale (Donizetti) au Festival de Glyndebourne, une nouvelle production de La Cenerentola (Rossini) à l’Opéra du Rhin ainsi qu’une nouvelle production de Tancrède (Rossini) au Théâtre des ChampsÉlysées avec l’Orchestre philharmonique de Radio France. Au cours des prochaines saisons, Enrique Mazzola fera ses débuts à l’Opéra de Zürich, à l’Opéra de Chicago, au Metropolitan Opera de New York, aux Chorégies d’Orange et retrouvera, entre autres, le Deutsche Oper de Berlin, le London Philharmonic, le Brussels Philharmonic et le Festival de Glyndebourne. Enrique Mazzola a été l’invité du London Philharmonic, de l’Orchestra of the Age of Enlightenment, du Royal Scottish National Orchestra, de la Philharmonie de Nuremberg, de l’Orchestre de la Radio suédoise, des Philharmonies d’Oslo et Bruxelles, du New Japan Philharmonic, de l’Orchestre symphonique de Taipei, et a dirigé L’Italienne à Alger (Rossini) au Teatro del Maggio Musicale Fiorentino, ORCHESTRE D’ÎLE-DE-FRANCE N AT I O N A L L’Orchestre national d’Île-de-France est créé en 1974 à l’initiative de Marcel Landowski 8 qui en deviendra président d’honneur fondateur. Il est financé par le Conseil régional d’Île-de-France et le ministère de la Culture. Sa mission principale est de diffuser l’art symphonique sur l’ensemble du territoire régional et tout particulièrement auprès de nouveaux publics. L’orchestre compte parmi les formations nationales les plus dynamiques et figure au top 10 des orchestres les plus engagés au monde du fameux mensuel Gramophone. Toutes les merveilles du grand répertoire classique à la portée des franciliens Composé de quatre-vingt-quinze musiciens permanents, l’Orchestre donne chaque saison une centaine de concerts, offrant ainsi aux franciliens une grande variété de programmes sur trois siècles de musique, du grand symphonique à la musique contemporaine, du baroque aux diverses musiques de notre temps. L’orchestre innove également et a créé, depuis une quinzaine d’années, une centaine de pièces contemporaines, un festival, Île de découvertes et un concours de composition, Île de créations, dont la troisième édition aura lieu en 2015. En septembre 2012, Enrique Mazzola est nommé directeur musical, succédant à Yoel Levi qui avait considérablement renforcé l’exigence de qualité et la cohésion musicale de l’Orchestre. L’arrivée de ce nouveau chef dynamique et novateur apporte de nouvelles ambitions artistiques pour la formation. L’action culturelle est à l’orchestre un véritable laboratoire qui développe des actions éducatives ambitieuses : ateliers, rendez-vous avec les artistes, concerts éducatifs et spectacles musicaux. Ces actions visent à donner le goût et la connaissance du répertoire symphonique au plus grand nombre, tout en favorisant les rencontres avec les musiciens et la découverte du spectacle vivant. L’Orchestre produit de nombreux spectacles jeune public : L’Enfant et les sortilèges, Zazie, Céleste ma planète… La première fois que je suis née, paru en livre-CD chez Gallimard Jeunesse, a remporté le Grand Prix du livre-CD jeune public et le coup de cœur de l’Académie Charles Cros 2012. Au printemps 2013, c’est Le Ré-si-do-ré du prince de Motordu de Pef et MarcOlivier Dupin qui a lui aussi reçu le coup de cœur de l’Académie. Directeur musical Enrique Mazzola Premiers violons supersolistes Ann-Estelle Médouze Co-soliste Alexis Cardenas Violons solos Stefan Rodescu Bernard Le Monnier Violons Jean-Michel Jalinière (chef d’attaque) Flore Nicquevert (chef d’attaque) Maryse Thiery (2e solo) Yoko Lévy-Kobayashi (2e solo) Virginie Dupont (2e solo) Grzegorz Szydlo (2e solo) Jérôme Arger-Lefèvre Marie-Claude Cachot Marie Clouet Émilien Derouineau Isabelle Durin Domitille Gilon Bernadette Jarry-Guillamot 9 Léon Kuzka Marie-Anne Pichard-Le Bars Matthieu Lecce Jean-François Marcel Laëtitia Martin Delphine Masmondet Diana Mykhalevych Julie Oddou Anne Porquet Marie-Laure Rodescu Pierre-Emmanuel Sombret Justine Zieziulewicz Altos Muriel Jollis-Dimitriu (1er solo) Renaud Stahl (1er solo) Sonia Badets (2e solo) David Vainsot (2e solo) Anne-Marie Arduini Benachir Boukhatem Raphaëlle Bellanger Frédéric Gondot Catherine Méron Lilla Michel-Peron François Riou Violoncelles Frédéric Dupuis (1er solo) Anne-Marie Rochard (co-soliste) Bertrand Braillard-Eberstadt (2e solo) Jean-Marie Gabard,(2e solo) Béatrice Chirinian Natacha Colmez-Collard Renaud Déjardin Camilo Peralta Raphaël Unger Bernard Vandenbroucque Contrebasses Philippe Bonnefond (1er solo) Didier Goury (co-soliste) Pierre Maindive (2e solo) Jean-Philippe Vo Dinh (2e solo) Florian Godard Pierre Herbaux Pauline Lazayres Robert Pelatan Flûtes Hélène Giraud (1er solo) Sabine Raynaud (co-soliste) Pierre Blazy Piccolo Nathalie Rozat Hautbois Jean-Michel Penot (1er solo) Jean-Philippe Thiébaut (co-soliste) Hélène Gueuret Cor anglais Marianne Legendre Clarinettes Jean-Claude Falietti (1er solo) Myriam Carrier (co-soliste) Clarinette basse Benjamin Duthoit Petite clarinette Vincent Michel Bassons Henri Lescourret (1er solo) Frédéric Bouteille (co-soliste) Gwendal Villeloup Contrebasson Cyril Exposito Cors Robin Paillette (1er solo) Tristan Aragau (co-soliste) Marianne Tilquin Jean-Pierre Saint-Dizier Annouck Eudeline Trompettes Yohan Chetail (1er solo) Nadine Schneider (co-soliste) Pierre Greffin Patrick Lagorce Trombones Patrick Hanss (1er solo) Laurent Madeuf (1er solo) Matthieu Dubray Sylvain Delvaux Contretuba / tuba-basse André Gilbert Timbales Florian Cauquil Percussions Georgi Varbanov Pascal Chapelon Didier Keck Harpe Florence Dumont 10 Orchestres en fête ! Chaque saison, pendant 10 jours, tous les acteurs de la manifestation offrent au public un moment privilégié de découverte de l’orchestre. Le succès de l’événement et l’engouement du public reposent sur la grande diversité des événements proposés, ainsi que sur la grande disponibilité des artistes : effectifs très importants ou plus intimes, concerts traditionnels ou concerts surprenants, ateliers participatifs et rencontres. C’est l’occasion unique de découvrir l’orchestre comme on ne l’attend pas. Du 20 au 29 mars 2015 Une initiative de l’Association Française des Orchestres www.orchestresenfete.com Une initiative de l’Association Française des Orchestres 11 P O R T E D E PA N T I N P H I L H A R M O N I E D E PA R I S . F R Illustration de couverture : Sandrine Kao. - Imprimeur BAF - E.S 1-1041550 - 2-1041546 -3-1041547 01 4 4 8 4 4 4 8 4 2 21 , AV E N U E J E A N - J A U R È S 7 5 019 PA R I S