Plan de cours CPS1001 A2012

Université du Québec à Montréal
Département de science politique
Session d’automne 2012
Plan de cours CPS 1001 — 20 : Médias, politique et société II
(Préalable : CPS 1000)
Mardi de 9 h 30 à 12 h 30, local DE-2550
Chargée de cours : Anne-Marie Brunelle
Bureau et heures de bureau : sur rendez-vous
Courriel : [email protected]
Descriptif du cours
L’interdépendance qui lie politique et communication médiatique influence quotidiennement la teneur
des débats publics, soit l’agenda des enjeux, problèmes et thèmes politiques qui sont l’objet d’une
diffusion et d’une légitimité-visibilité médiatique dans l’espace public. Elle met en scène divers acteurs
politiques et sociaux (nationaux et internationaux) qui se servent de la communication et de ses
multiples stratégies et supports médiatiques, pour faire valoir leurs représentations respectives auprès
des citoyens constitutifs de l’opinion publique. Selon les principes qui sous-tendent les conditions
mêmes de l’exercice de la démocratie, cette logique communicationnelle et informationnelle devrait
permettre à des citoyens bien informés constitutifs de l’opinion publique de s’engager dans des débats
publics, de prendre des décisions éclairées en maints domaines de la vie publique, sociale,
économique, culturelle et politique, mais aussi de saisir les réalités politiques et sociales exogènes.
Pour saisir les enjeux actuels de société et de citoyenneté liés à l’exercice de la démocratie, ce cours
entend aborder et analyser la relation triangulaire et souvent contradictoire qui se tisse entre
politique, communication et citoyens constitutifs de l’opinion publique. Ce cours abordera, entre
autres, les thèmes suivants : démocratie libérale, information et communication; acteurs et enjeux de
la « société (nationale et mondiale) de l’information »; politique nationale, politique internationale et
chaînes d’informations en continu; sélection, production, diffusion et accès à l'information politique
dans les médias privés, publics et indépendants, etc.
Objectifs de formation
Dans la continuité de la formation fondamentale dispensée dans le cours CPS 1000, ce cours vise
l’approfondissement des connaissances des interactions qui se tissent entre médias de communication
(publics, privés et indépendants), politique et espace public, et ce, à l’échelle nationale et
internationale.
Méthode pédagogique
•
•
•
•
Exposés magistraux et diffusion de documents vidéo (documentaires et reportages)
Achat et lecture obligatoire du recueil de textes CPS 1001
Achat obligatoire et utilisation du Guide de méthodologie en science politique à l’usage des
étudiants de premier cycle, Centre Paulo Freire
Questions, échanges et débats avec les étudiant-e-s sur les problématiques abordées dans le cours
et le recueil de textes.
Contenu et calendrier du cours CPS 1001
COURS 1 : 2 octobre 2012
• Présentation du plan de cours, des grands thèmes abordés dans les cours et des modalités d’évaluation/
Élection d’un R.G.C. Entente sur les modalités d’évaluation
COURS 2 : 9 octobre 2012
• Retour sur CPS 1000 : les acteurs de la communication politique et les enjeux de la « société de
l’information »
COURS 3: Les médias de masse et la propagande de guerre
16 octobre 2012
• Rôle de la guerre au 20e siècle dans le développement des nouvelles technologies de communication, des
médias de masse. Guerre psychologique, propagande de guerre et communication politique
COURS 4 : La propagande / 23 octobre 2012
• De Propaganda, ou la manipulation de l’opinion en démocratie, par Edward Bernays, à la propagande
sociologique de Jacques Ellul
COURS 5 : LES JOURNALISTES ET LES MÉDIAS / 30 octobre 2012
• Le journalisme et le marché.
• Conférence J-F Nadeau du quotidien Le Devoir
• Cours 5 : Communication des questions relatives à l’examen « fait à la maison » 1
COURS 6 : LES JOURNALISTES ET LES MÉDIAS / 6 novembre 2012
• Histoire politique du journalisme
COURS 7 : 13 novembre 2012
• Conférence de la professeure Isabelle Gusse : Ellul appliqué à une analyse contenu du site de la Défense
nationale et les Forces canadiennes
• Rencontres avec les équipes sur les sujets des exposés
•
Évaluation 1 : Remise par les étudiants de l’examen fait à la maison (30 %)
COURS 8 : LE JOURNALISME ET LA CRISE DE L’INFORMATION / 20 novembre 2012
• Les «fondamentaux» du journalisme
• L’avenir du journalisme ?
• Établissement du calendrier des exposés.
COURS 9 et 10 : DÉMOCRATIE, CITOYENNETÉ ET COMPÉTENCES CIVIQUES 27 novembre et 4
décembre 2012
• La démocratie libérale représentative est-elle une démocratie faible?
• Éducation, médias de services publics, compétences civiques
• Cours 9 : Communication des questions relatives à l’examen « fait à la maison » 2
COURS 11 ET 12 : LES EXPOSÉS 11 et 18 décembre 2012
• Exposés (30 %)
• Évaluation 2 : Remise par les étudiants du deuxième examen «fait à la maison» (40%)
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Modalités d’évaluation CPS 1001
Chaque cours CPS 1001 comporte des enseignements qui permettent de bien saisir toutes les
composantes des problématiques abordées dans le cadre du cours. Dans son processus
d’apprentissage, l’étudiant-e doit considérer que les cours et les lectures sont des entités
complémentaires. En d’autres termes, les cours ne peuvent pas remplacer les lectures et vice-versa. Il
est donc fortement recommandé de lire le recueil de textes, et de participer avec assiduité à tous les
cours. Pour la préparation des deux examens et de l’exposé, chaque étudiant-e est invité-e à
consulter d’autres textes dont la lecture lui semble appropriée.
L’évaluation comporte deux examens faits à la maison et un exposé préparé en équipe.
1. DEUX EXAMENS « FAITS A LA MAISON ».
a. Premier examen de mi-session, à remettre le 13 novembre 2012 (30 % de la note globale)
b. Deuxième examen de fin de session, à remettre le 18 décembre 2012 (40 % de la note
globale)
Lors des cours 5 (30 octobre 2012) et 9 (27 novembre 2012), les étudiant-e-s reçoivent une liste de
questions sur les problématiques abordées dans les cours 2 à 5 et 6 à 10. Ces questions ont été
construites en puisant à même la teneur des articles scientifiques réunis dans le recueil de textes.
Pour chaque examen, ils-elles devront choisir une de ces questions, y répondre dans un travail écrit à
remettre au cours 7 (le 13 novembre 2012) et lors du cours 12 (le 18 décembre 2012).
Tour à tour, leurs réponses à ces deux questions, qui réfèrent à un auteur et un article scientifique,
doivent refléter la qualité de l’étude et la connaissance élargie de la matière (soit des références au
contenu du cours, aux divers articles du recueil de textes et autres lectures si désiré).
Cet examen est également un exercice de synthèse : l’étudiant-e dispose de 5 pages maximum
pour répondre à chaque question (excluant la page de présentation et la bibliographie).
CPS 1001 — Critères d’évaluation du travail des deux examens « faits à la maison »
Note
Évaluation de la qualité de la compréhension approfondie des notions et problématiques vues pendant le
cours (cohérence, pertinence des références bibliographiques)
Évaluation de la capacité d’analyse critique de ces notions
Évaluation de la qualité des efforts de synthèse (concision)
Total
20
12
8
40
CPS 1001 — Critères relatifs à la qualité de la langue écrite des deux examens « faits à la maison »
Qualité de la grammaire et de la syntaxe (orthographe et vocabulaire, construction des phrases, clarté,
efficacité, cohérence).
Perte d’un 1/2 point pour chaque faute de grammaire et de la syntaxe
jusqu’à concurrence de 8 fautes (= — 4 points)
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CPS 1001 - Consignes relatives au respect des règles techniques de présentation
des références documentaires pour les examens :
Nota bene : Toute dérogation au respect des règles liées aux références bibliographiques et aux citations sera
considérée comme du plagiat et sévèrement sanctionnée.
L’étudiant-e doit impérativement respecter l’application des règles techniques de présentation des références
des ouvrages. Pour réaliser un travail universitaire, l’étudiant-e consulte et analyse divers ouvrages, des sites
Internet (parfois il-elle procède à des entrevues de documentation). La première fois qu’il-elle y réfère, il-elle
doit donc présenter rigoureusement dans le corps de son texte ou dans une note de bas de page :
• Le nom, prénom et titre (ou fonction) de chaque auteur cité dans son travail (selon Pierre Untel,
professeur, ou journaliste, ou chercheur, ou attaché de presse, etc.).
• Puis le nom de l’organisme auquel il est rattaché (par exemple : du département de science politique,
Chaire en communication politique, UQAM).
• Par la suite, à chaque fois que l’étudiant-e réfère à cet auteur, il-elle peut inscrire seulement son nom de
famille.
L’étudiant-e doit respecter le concept de propriété intellectuelle et TOUJOURS indiquer ses sources, soit ses
références bibliographiques dans le corps de son texte, en utilisant, selon sa préférence, la méthode classique
des notes de bas de page ou la méthode auteur-date. Il-elle doit également consigner les références complètes
de sa documentation dans une bibliographie (intégrée à la fin de son travail).
L’étudiant-e doit impérativement respecter l’application des règles relatives à l’intégration des citations dans les
textes.
L’étudiant doit bien incorporer ses citations dans son texte, soit les introduire avec précision et cohérence (par
rapport à son propos). Il doit aussi les transcrire textuellement et les identifier systématiquement :
• soit par appel de note renvoyant à une note de bas de page (laquelle contient la référence bibliographique
complète du document),
• soit par la méthode auteur-date : (Gusse, 2007 : 23) dans le corps du texte avec référence bibliographique
complète du document dans la page comportant la bibliographie : la date d’édition du document vient tout
de suite après le nom et de prénom de l’auteur.
La CITATION COURTE (pas plus de trois lignes) est insérée dans le texte entre guillemets français. La
CITATION LONGUE (plus de trois lignes) est détachée du texte et dactylographiée, sans guillemets, à
interligne simple en retrait de six frappes à partir de la marge de gauche.
Il ne faut JAMAIS disposer une citation sur deux pages.
L’étudiant-e doit toujours indiquer un concept emprunté à un auteur par des guillemets : « désenchantement
du monde », « démocratie forte » et par l’identification de son auteur : Selon Max Weber ou (Benjamin Barber,
1994).
Pour une description détaillée des règles techniques relatives aux références (méthodes classique et auteur-date, citations,
notes de bas de page, bibliographie, etc,), consulter Guide de méthodologie en science politique à l’usage des étudiants de
premier cycle.
CPS 1001 - Règles relatives à la présentation matérielle
des deux examens faits à la maison
L’étudiant-e doit soigner la présentation matérielle de ses travaux et respecter obligatoirement les règles
suivantes :
• Une page de présentation
• Textes dactylographiés à interligne et demi et paragraphes justifiés
• Marges de 2,5 centimètres des deux côtés des pages et de 2 centimètres en haut et en bas des pages
• Caractère Times (12 points) : l’étudiant-e doit toujours utiliser la même police et la même taille de caractère
dans tous ses travaux, incluant les titres et sous-titres et les citations
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Le guide de méthodologie en science politique à l’usage des étudiants de premier cycle.
Centre Paulo Freire
Les étudiant-e-s du cours CPS 1001 doivent obligatoirement s’acheter Le guide de méthodologie en science
politique (5$) en vente au Centre Paulo Freire du département de science politique. Lors de la réalisation des
travaux du cours CPS 1001, les étudiant-e-s devront respecter et faire bon usage des outils de travail proposés
dans ce guide qui comporte des conseils précis et judicieux sur les travaux universitaires de science politique. Ce
guide contient enfin une annexe avec une série d’exemples et de modèles.
Le Centre Paulo Freire est un centre de ressource et monitorat pour et par les étudiant-e-s du département de
science politique. Il est situé au bureau A- 3645. Téléphone : (514) 987-3000 # 2544. Heures d'ouverture pour
les étudiant-e-s du premier cycle : du lundi au vendredi : 11h à 16h. Les rencontres se font sur une base
volontaire, individuelle et sans rendez-vous.
2. UN EXPOSE (COURS 11 ET 12 : 11 ET 18 DECEMBRE 2012)
•
Les exposés des étudiant-e-s (en équipe) portent sur un sujet qui réfère aux thèmes abordés dans le
cadre du cours CPS 1001 (30 %). Le sujet et la façon de l’étudier peuvent prendre diverses formes, dont
l’étude de cas, la recherche/action ou le compte-rendu synthèse de lecture.
Directives pour l’exposé
• Chaque équipe devra présenter (par écrit et verbalement lors de la rencontre de la semaine 7) et faire
approuver son sujet et sa méthodologie par la chargée de cours.
•
La présentation écrite du sujet sera élaborée dans un texte précis et cohérent de 2 pages maximum
(excluant la page de présentation).
•
Chaque équipe doit impérativement soigner la qualité de sa présentation : clarté et cohérence de
l’exposé, qualité de la langue parlée.
•
La taille finale des équipes sera déterminée au début de la session en fonction de la taille du groupecours. Il en sera de même pour l’établissement de la durée définitive de l’exposé composé de la
présentation des textes et de la discussion.
Dans le cadre de ce travail, les étudiant-e-s devront se préparer et assurer les deux parties classiques d’un
exposé :
1. La présentation de leur sujet d’étude, de la méthodologie utilisée et des conclusions de l’analyse
2. La discussion fondée sur une ou deux questions (bien préparées) qui servent à la lancer et l’alimenter, que
les membres des équipes posent aux étudiant-e-s du groupe-cours et pour lesquelles ils ont un début de
réponse.
CPS 1001 — Critères d’évaluation des exposés
Originalité et qualité du choix du sujet en communication politique (référence à la matière abordée
pendant le cours et dans le recueil de textes)
Qualité et justesse de la présentation du sujet
Qualité de la méthodologie et de la démonstration
Qualité et pertinence des questions soulevées par l’équipe aux fins de la discussion en classe
Total
Note
5
10
10
5
30
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AUTRES INSTRUCTIONS RELATIVES AUX TRAVAUX ET AU COURS CPS 1001
En ce qui concerne les deux examens faits à la maison, AUCUN RETARD NE SERA ADMIS. Tout retard sera
pénalisé à raison de cinq points en moins par jour de retard, à moins d’une entente négociée entre
l’étudiant-e et la professeure, AU MOINS UNE SEMAINE avant la date normale de remise du travail.
Veuillez également noter que les examens faits à la maison doivent être remis directement par chaque
étudiant-e à la professeure pendant la période de cours, soit le mardi matin : 13 novembre (cours 7) et 18
décembre (cours 12). Tout manquement à cette obligation expose l’étudiant-e à des pénalités identiques à
celles prévues pour les retards. Il est donc FORMELLEMENT INTERDIT de déposer tout travail écrit au
département de Science politique.
Remise de l’examen 2 : À la fin de la session, l’examen 2 doit être remis en version papier lors du cours 12
ET envoyé en version électronique à la chargée de cours, de manière à être retourné à l’étudiante ou l’étudiant,
une fois l'évaluation complétée.
MISE EN GARDE CONTRE PLAGIAT
PLAGIAT
Règlement no 18 sur les infractions de nature académique
Tout acte de plagiat, fraude, copiage, tricherie ou falsification de document commis par une étudiante, un
étudiant, de même que toute participation à ces actes ou tentative de les commettre, à l’occasion d’un examen
ou d’un travail faisant l’objet d’une évaluation ou dans toute autre circonstance, constituent une infraction au
sens de ce règlement
La liste non limitative des infractions est définie comme suit :
· la substitution de personnes ;
· l’utilisation totale ou partielle du texte d’autrui en le faisant passer pour sien ou sans indication de référence ;
· la transmission d’un travail pour fins d’évaluation alors qu’il constitue essentiellement un travail qui a déjà été
transmis pour fins d’évaluation académique à l’Université ou dans une autre institution d’enseignement, sauf
avec l’accord préalable de l’enseignante, l’enseignant ;
· l’obtention par vol, manœuvre ou corruption de questions ou de réponses d’examen ou de tout autre
document ou matériel non autorisés, ou encore d’une évaluation non méritée ;
· la possession ou l’utilisation, avant ou pendant un examen, de tout document non autorisé ;
· l’utilisation pendant un examen de la copie d’examen d’une autre personne ;
· l’obtention de toute aide non autorisée, qu’elle soit collective ou individuelle ;
· la falsification d’un document, notamment d’un document transmis par l’Université ou d’un document de
l’Université transmis ou non à une tierce personne, quelles que soient les circonstances ;
· la falsification de données de recherche dans un travail, notamment une thèse, un mémoire, un mémoirecréation, un rapport de stage ou un rapport de recherche.
Les sanctions reliées à ces infractions sont précisées à l’article 3 du Règlement no 18
Pour plus d’information sur les infractions académiques et comment les prévenir :www.integrite.uqam.ca
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NOTATION DES ETUDIANTES ET ETUDIANTS : EQUIVALENCE DES NOTES EN
POURCENTAGE
Appréciation de
l’apprentissage
Excellent
Très bien
Bien
Passable
Échec
Notation
littérale
A+
A
AB+
B
BC+
C
CD+
D
E
Pourcentage
93 % - 100 %
89 % - 92,5 %
85 % - 88,5 %
82 % - 84,5 %
79 % - 81,5 %
75 % - 78,5 %
72 % - 74,5 %
69 % - 71,5 %
65 %- 68,5 %
63 %- 64,5 %
60 % - 62,5 %
0 %- 59,5 %
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Bibliographie et sources complémentaires
BALLE, Francis. 2001. Médias et sociétés : Presse, édition, cinéma, radio, télévision, Internet, Paris : Édition
Montchrestien, 15e édition, 876 pages.
BARBER, Benjamin. 1997. Démocratie forte, Paris : Desclée de Brouwer, 329 pages.
BARBER, Benjamin. 1996. Djihad contre McWorld. Mondialisation et intégrisme contre la démocratie, Paris :
Desclée de Brouwer, 302 pages
BELAND, Claude. Mars 2003. Prenez votre place. Rapport du comité directeur sur la réforme des institutions
démocratiques au Québec, Gouvernement du Québec, 88 pages.
BERNAYS, Edward. Présentation de Normand Baillargeon. 2008. Propaganda. Comment manipuler l’opinion en
démocratie ?, Montréal : Lux Éditeur, 130 pages (plus 25 pages de présentation : I à XXVI).
BOURDIEU, Pierre. 1996. Sur la télévision. Suivi de l’Emprise du journalisme, Paris : Raison d’Agir, 95 pages.
BRETON, Philippe. 1997. L’utopie de la communication, Paris : La Découverte, Collection La Découverte/Poche,
172 pages.
BRIN, Colette, CHARRON Jean et Jean DE BONVILLE, Nature et transformation du journalisme : théorie et
recherches empiriques, Sainte-Foy Québec : Les Presses de l’Université Laval, 454 pages.
CHAREAUDEAU, Patrick. 2001. La télévision et la guerre, Bruxelles : INA/De Boeck, Collection Médias
Recherches Études, 163 pages.
CHARRON, Jean-Marie et MERCIER Arnaud. 2004. Armes de communications massives. Informations de guerre
en Irak 1991-2003, France CNRS Communication, 274 pages.
CHALIAND, Gérard. 1996. La persuasion de masse : guerre psychologique, guerre médiatique, Paris : Presse
Pocket, 232 pages.
CHOMSKY, Noam et HERMAN, Edward S. 1988. Manufacturing Consent, The Political Economy of the
MassMedia, New York : Pantheon. (édition française parue en 2003).
CHOMSKY, Noam et MCCHESNEY, Robert W. 2000. Propagande, médias et démocratie, Montréal : Éditions
Écosociété, 202 pages.
CHOMSKY, Noam. 2002. Propaganda, Paris : Danger public : Kiron/Le Félin, 77 pages.
COLLON, Michel. 1994. Les médiamensonges du Golfe : manuel anti-manipulation, Bruxelles, Éditions EPO, 304
pages.
DOMENACH, Jean-Marie. 1979. La propagande politique, Paris, Presses universitaires de France. Collection Que
sais-je ?, 8e édiiton mise à jour. 127 pages..
DUBOIS, Frédéric; LANGLOIS, Andréa. 2006. Médias autonomes Nourrir la résistance et la dissidence, Montréal :
Lux Éditeur, Collection Futur proche, 258 pages.
ELLUL, Jacques. Propagandes, Paris, 1990. Paris : Économica, Collection Classiques des sciences sociales, 361
pages.
Page 8
EVENO, Patrick (anthologie présentée par). 2011. «J’accuse… ! » et autres grands articles, Paris : Le
Monde/Flammarion, Collection Les livres qui ont changé le monde, 332 pages.
GROUPE DE TRAVAIL SUR LE JOURNALISME ET L’AVENIR DE L’INFORMATION AU QUÉBEC (Dominique Payette,
direction). Janvier 2011. L’Information au Québec : un intérêt public, Québec, ministère de la Culture, des
Communications et de la Condition féminine du Québec. 132 pages.
GUSSE, Isabelle (dir.). 2006. Diversité et indépendance des médias, Montréal : Presse de l’Université de
Montréal, Collection Paramètre, 291 pages.
LE CAM, Florence.2009. Le journalisme imaginé : Histoire d’un projet professionnel au Québec, Montréal :
Leméac, 255 pages.
MATTELART, Armand, DELCOURT, Xavier et MATTELART, Michèle. 1984. La culture contre la démocratie :
l'audiovisuel à l'heure transnationale, Paris : La Découverte, 223 pages.
MATTELART, Armand. 1992. La communication-monde : histoire des idées et des stratégies, Paris : La
Découverte, 356 pages.
MATTELART, Armand. 1997. L'invention de la communication, Paris : La Découverte, 375 pages
MATTELART, Armand et MATTELART, Michèle. 1995. Histoire des théories de la communication, Paris, La
Découverte, Collection repères, 125 pages.
MATTELART, Armand. 1996. La mondialisation de la communication, Paris :Presses Universitaires de France,
Collection « Que sais-je? », 127 pages.
MILNER, Henry. 2004. La compétence civique. Comment les citoyens informés contribuent au bon
fonctionnement de la démocratie, Québec : Les Presses de l’Université Laval, 388 pages.
MORELLI, Anne. 2001. Principes élémentaires de la propagande de guerre, Bruxelles : Éditions Labor, 93 pages.
MUHLMANN, Géraldine. 2004. Une histoire politique du journalisme : XIXe – XXe siècle. Paris : Presses
universitaires de France. 489 pages.
MUHLMANN, Géraldine. 2004. Du journalisme en démocratie, Paris : Payot. 347 pages.
PULITZER, Joseph. 2011. Sur le journalisme, Paris : Circé. 125 pages.
RAMONET, Ignacio. 1999. La tyrannie de la communication, Paris : Éditions Galilée, 200 pages.
RAMONET, Ignacio. 2000. Propagandes silencieuses : masses, télévision, cinéma, Paris : Éditions Galilée, 200
pages.
REPORTERS SANS FRONTIÈRES. 1992. Les mensonges du Golfe, Paris : Arléas/RSF, 171 pages.
SAINT-JEAN, Armande. 2002. Éthique de l’information. Fondements et pratiques depuis 1960, Montréal, Les
Presses de l’Université de Montréal, Collection Paramètres, 299 pages.
SALMON, Christian. 2007. Storytelling, la machine à fabriquer des histoires et à formater des esprits. Paris : La
Découverte, 239 pages.
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SAOUTER, Catherine. 2003. Images et société : Le progrès, les médias, la guerre, Montréal : Les Presses de
l’Université de Montréal, 192 pages.
SCHIFFRIN, André. 2011. L’argent et les mots. Paris : Éditions La Fabrique, 103 pages.
SCHIFFRIN, André. 2005. Le contrôle de la parole : l’édition sans éditeurs, suite. Paris : Éditions La Fabrique, 91
pages.
STAUBER, John et Sheldon RAMPTON. 2012. L’industrie du mensonge, relations publiques, lobbying et
démocratie, Marseille : Agone, 411 pages.
TCHAKHOTINE, Serge. 1992. Le viol des foules par la propagande politique (1952), Paris : Gallimard, collection
Tel, 605 pages.
TROUDE-CHASTENET, Patrick (sous la direction de). 2006. La propagande. Communication et propagande,
L’Esprit du Temps, Cahiers Jacques Ellul, 2006, 269 pages.
VALANTIN, Jean-Michel. 2003. Hollywood, le Pentagone et Washington, Paris : Autrement Frontières, 200
pages.
WOLTON, Dominique. 1991. War Game : l’information et la guerre, Paris : Flammarion, 289 pages.
WOLTON, Dominique. 1997. Penser la communication, Paris : Flammarion, 401 pages.
WOLTON, Dominique. 2000. Internet… et après, une théorie critique des nouveaux médias, Paris : Flammarion,
240 pages.
WOLTON, Dominique (sous la direction de). 2004. La télévision au pouvoir. Omniprésente, irritante et
irremplaçable, France : Universalis, Collection Le tour du sujet, 195 pages.
WOLTON, Dominique. 2005. Il faut sauver la communication, Paris : Flammarion, 220 pages.
WOLTON, Dominique. 2009. Informer n’est pas communiquer, Paris : CNRS éditions, 147 pages.
Page 10
CPS 1001 — 20 : Médias, politique et société II
NOM :
Identifiez et commentez un événement politique récent (au Québec, au Canada ou à l’échelle
internationale) en indiquant en quoi il vous semble significatif et important. Intégrez à votre
réflexion le rôle des médias d’information.
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